Tumgik
#anticolonialist memes
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handweavers · 3 years
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watching the hundreds of like normie "just here for shitposts and memes" blogs who followed me recently due to the jeremy fragrance videos + mice fucking post slowly unfollow me one by one as they realize that i'm not some tumblr funnyman or whatever and actually just a geek who posts essays about lichen dyeing and sheep breeds and tags pictures of bears with #i look like this inbetween marxist leninist & anticolonialist ranting is so extremely funny i have no words <3
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thebusylilbee · 3 years
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"Face au Covid-19, difficile de mettre les humains à égalité. Dans le monde, les vaccins profitent surtout aux pays les plus riches, et à l'intérieur des Etats, tout le monde n'est pas logé à la même enseigne. En France, la Seine-Saint-Denis n'a pas eu la partie facile : fin mars, c'était le deuxième département où le virus circulait le plus. Pour l'expliquer, on a relevé le fort taux de logements suroccupés, synonymes de promiscuité, ou le grand nombre d'ouvriers et d'employés (des ouvriers aux infirmières) : ne pouvant télétravailler, ils se retrouvent chaque jour dans des métros bondés. «Les populations les plus défavorisées, à âge identique, sont les premières victimes du Covid», témoignait un médecin d'Aubervilliers à Libé en février. «Il n'est pas vrai que nous sommes tous dans le même bateau, confirment les sociologues Fabio Perocco et Francesca Rosignoli. Nous naviguons dans la mer agitée avec des bateaux très différents. Certains n'en ont carrément pas.» Pour les deux chercheurs, l'explication détaillée de ces inégalités repose sur des facteurs économiques, mais aussi le «racisme environnemental», à savoir des inégalités environnementales - tant du point de vue écologique (forêts, espaces verts ) que du point de vue social (proximité d'usines polluantes, facilité d'accès aux hôpitaux ) - «caractérisées par une dimension raciale (1)». Autrement dit, en matière de Covid-19, les espaces à l'environnement le plus propice au développement de la maladie seraient aussi ceux où les populations issues de l'immigration sont les plus présentes. Le cas de la Seine-Saint-Denis, où la population est à 17,5 % sous le seuil de pauvreté et à 23,5 % d'origine étrangère, semble leur donner raison. De même, aux Etats-Unis, une note de recherche indiquait l'été dernier que chez les 45-54 ans, les Noirs et les Hispaniques avaient des taux de décès six fois plus importants que les Blancs. «Les populations noires et hispaniques ou latinos sont plus nombreuses dans les zones du pays les plus touchées par le Covid-19», expliquent les analystes de la Brookings Institution.
Martin Luther King à Memphis
L'idée de racisme environnemental est née bien avant la pandémie. Contre l'idée d'une crise écologique globale dont l'humanité tout entière serait à la fois responsable et victime, les promoteurs de cette notion expliquent que les groupes les plus exposés à des risques environnementaux - crue, cyclone, pollutions automobiles ou industrielles - subissent aussi généralement des formes de discrimination plus ou moins volontaires. «La race et la classe ont toujours de l'importance, et sont spatialement corrélées à la pollution, l'inégale protection et la vulnérabilité», affirme sur son site internet le chercheur américain Robert Bullard, l'un des premiers à avoir parlé de racisme environnemental dans les années 80. Avant lui, Martin Luther King s'était rendu à Memphis en 1968, la veille de sa mort, pour soutenir des éboueurs noirs protestant contre l'insalubrité de leurs conditions de travail. Mais le véritable acte de naissance de cette notion est une action menée à partir de 1982 à Afton, une ville de Caroline du Nord où les Afro-Américains sont très largement majoritaires, avec de forts taux de pauvreté et de chômage. Soutenus notamment par les institutions religieuses locales, les habitants s'opposent alors à l'enfouissement de boues cancérigènes chargées de biphényles polychlorés (PCB) sur un site industriel. Ils enchaînent marches, manifestations, actions de désobéissance civile, etc. et obtiennent finalement des travaux de dépollution des sols une vingtaine d'années plus tard. Entre-temps, le pasteur Benjamin Chavis coordonne une enquête de The United Church of Christ qui fait date. Intitulée Toxic Wastes and Race in the United States (1987), elle établit à l'échelle du pays un lien entre sources de pollutions et localisation des quartiers afro-américains. Le constat du racisme environnemental s'accompagne d'une exigence de «justice environnementale». «Comme l'a notamment théorisé Robert Bullard, c'est le nom donné aux mobilisations de minorités défavorisées contre des décisions et des pratiques, industrielles comme gouvernementales, à l'origine de pollutions et de nuisances environnementales et sanitaires parfois dramatiques», explique Flaminia Paddeu. Géographe, elle a étudié au début des années 2010 des mobilisations en faveur de la justice environnementale à Hunts Point, un quartier du Bronx totalisant 35 ins-tallations liées au traitement des déchets, sans oublier le passage quotidien de quelque 13 000 camions. Elle insiste sur le fait que ces notions aujourd'hui mobilisées par la recherche proviennent des habitants eux-mêmes : en les portant explicitement dans leurs mobilisations, ils ancrent les problématiques environnementales dans leur espace de vie, et se présentent comme des acteurs à part entière de l'aménagement local. «J'ai par exemple rencontré les femmes d'une association du Bronx, Mothers on the Move. Ces mères de famille s'investissent du fait de la prévalence très élevée d'asthme infantile dans le quartier, en lien avec la forte pollution atmosphérique aux particules fines. Elles disent : "C'est nous qui emmenons nos enfants chez le médecin. C'est à nous de porter ces questions"», indique la géographe.
Dans les années 90, la justice environnementale bénéficie d'une reconnaissance institutionnelle aux Etats-Unis, où l'administration Clinton s'intéresse aux travaux de Benjamin Chavis ou Robert Bullard. Elle se diffuse au delà des Etats-Unis. En 1991, le premier Sommet des peuples de couleur, organisé à Washington, adopte 17 principes de la justice environnementale, d'inspiration anticolonialiste et anticapitaliste. L'année suivante, le Sommet de la Terre de Rio souscrit aux principes du développement durable et s'engage à «satisfaire équitablement les besoins relatifs au développement et à l'environnement des générations présentes et futures». S'il ne parle pas de justice environnementale, le Sommet «lie le développement durable aux considérations de justice, en faisant de l'équité sociale [l'un de ses piliers]», analyse la philosophe Catherine Larrère (2).
Dans le monde, de nombreuses situations sont alors analysées sous ce prisme. «Le Bangladesh connaît une forte émigration, provoquée par l'élévation du niveau de la mer ; d'autres événements climatiques extrêmes y ont de graves répercussions, notamment sur les femmes. Au Congo, en Inde, au Brésil et dans de nombreux autres pays d'Amérique latine, les communautés indigènes vivent souvent aux confins de zones d'extraction de matières premières», signalent Fabio Perocco et Francesca Rosignoli. Mais les Etats-Unis restent un théâtre important de ces mobilisations : en 2005, l'ouragan Katrina fait le plus de victimes dans des quartiers noirs aux infrastructures défaillantes. Et en 2020, les militants de Black Lives Matter signent un manifeste, The Breathe Act, qui revendique un environnement sain pour tous.
Les gens du voyage, à côté des décharges
En France, dans le sillage de la mobilisation née aux Etats-Unis, les collectifs Génération climat et Génération Adama organisent On veut respirer, un rassemblement commun en juillet 2020 pour que «les quartiers populaires ne [soient] plus le terrain des inégalités raciales, sociales et environnementale». Mais l'usage de la notion de racisme environnemental a déjà ses précédents dans l'Hexagone. En Seine-Saint-Denis, des collectifs d'habitants organisent depuis quelques années des Toxic Tours pour montrer les dégâts environnementaux causés par certains aménagements. Dans leur ligne de mire : l'autoroute A1 qui traverse de nombreux quartiers populaires où la pollution atmosphérique est forte, ou encore les futurs bâtiments des JO 2024 qui menacent de bétonner les espaces verts de la Seine-Saint-Denis. Quant au juriste William Acker, il montre que les aires d'accueil de gens du voyage sont généralement localisées à proximité de décharges ou d'usines (3).
La métaphore du bateau négrier
Mais l'expression de «racisme environnemental» est-elle aussi pertinente en France qu'aux Etats-Unis ? Répondant par l'affirmative, les sociologues Perocco et Rosignoli pointent «l'existence d'environnements et de lieux, comme les banlieues où la classe ouvrière - en bonne partie, d'origine étrangère - vit dans une condition générale d'infériorité sociale, de racisme et de discriminations». Une étude citée par le mouvement écolo Notre affaire à tous confirme : «En France, chaque pourcentage supplémentaire de la population d'une ville né à l'étranger augmente de 29 % les chances pour qu'un incinérateur à déchets, émetteur de divers types de pollutions, y soit installé.» Malcom Ferdinand, auteur de l'essai Une écologie décoloniale (Seuil), appelle à observer la crise écologique depuis les Antilles, et notamment la Guadeloupe et la Martinique, pour mieux percevoir l'inégale vulnérabilité des humains en fonction de leur statut social ou de leur couleur de peau.
Il prend l'exemple du chlordécone : utilisé dans les plantations de bananes des îles caribéennes françaises des années 70 aux années 90, cet insecticide a durablement pollué sols et nappes phréatiques, sans compter les nombreux problèmes sanitaires, prématurité, malformations ou cancers. «Ces grandes exploitations agricoles destinées à l'exportation rejouent l'inégalité entre colonisateurs et colonisés, les descendants de ces derniers étant aujourd'hui les plus touchés», dit-il. Dans son livre, il utilise la métaphore du bateau négrier qui oppose les esclaves enfermés dans les cales à l'équipage présent sur le pont. Une façon de remettre la question sur la table : face à la crise écologique, sommes-nous dans le même bateau."
(1) Les deux sociologues ont lancé un appel à articles scientifiques pour un futur numéro de la revue Socioscapes sur ce sujet.
(2) «Justice et Environnement : regards croisés entre la philosophie et l'économie», Revue de philosophie économique, 2015.
(3) Où sont les «gens du voyage» ? paru le 16 avril, éditions du Commun.
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figureinthedistance · 4 years
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im jst gna say it i rlly hate the way ppl on here + specifically north americans mock the english like its so undeniably + blatantly nearly exclusively targeted @ their working class communities it makes me sick. im not saying the working classes are exempt from the legacy + ongoing benefits of colonialism ofc im not saying tht. but the fact tht in the years ive been on tumblr there have been so many ppl from bermingham or bradford or manchester whove been targeted w viral mockery + so so so few posh english ppl is like shockingly disgusting. like im from ireland english hating is a national hobby me n my friends n family do it all the time but we talk abt toffs we dont talk abt chavs. especially also im sorry but considering how many of those working class communities have blended w immigrant communities from my country + from other countries colonized by britain.
i genuinely dont think ive ever known an irish person whos mocked yorkshire rural culture + thts like nearly all ppl on here do. like ive been on this site fr so long + its literally so rare 2 see private school educated tory types being mocked its almost always working class ppl w limited formal education + regional dialects who are already btw being made fun of + dehumanized by their own countrys media regularly so whether or not this is actually carrying any anticolonialist messaging is debatable lmfao. like honestly i rlly have bit my tongue fr years bc i was thinking i was overreacting or being needlessly critical for drama but by now im like oh ok ppl jst wanna funnel their hatred of working class culture + behaviour into sth where theyll thru tacit agreement not b accused of classism. like i hope u kno ur mocking someone fr an accent tht has been documented as meaning theyre less likely 2 succeed in job interviews. + not mocking ppl who hunt or avoid taxes or support austerity measures responsible fr thousands of deaths or were part of secret uni societies where they made a game of tormenting homeless ppl. + i guarantee theyre posting equally cringe content on their social media so meme that next time jesus christ. u rlly have like no fucking sophistication when it comes 2 brit bashing + its embarrassing
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quatregats · 5 years
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I really wish “Northwest Passage” wasn’t so blatantly praising European colonialism with the worst possible colonial attitudes because it’s such a pretty melody and it’s super fun to sing but also like....the lyrics just make me extremely uncomfortable and it would be great if they didn’t
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