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#au temps de madame de pompadour
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Beautiful robe à la française made for me by the talented Madame Jejette (a.k.a Anna Nurzyńska) from Atelier Saint-Honoré in Warsaw, Poland. Can’t wait to have it in person!
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claudehenrion · 3 years
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Justice immanente et autres bonnes nouvelles, toutes mauvaises...
  Nous en parlions hier, et les lecteurs de ce Blog le savent :  je suis sans doute l'un des derniers à vivre avec le souvenir de cette belle notion d'une morale à peu près disparue, celle des jolies choses qui rendaient la vie plus douce et plus belle. Cette ''Justice immanente'' est une promesse que la justice finit un jour par triompher (la vraie justice, pas celle que rendent nos tribunaux, refuges de militants d'idées de gauche qui ne survivent que dans quelques administrations assoupies dans leurs croyances d'un autre âge). Cette confiance en l'existence d'un lien entre une mauvaise action et sa sanctio, découle du merveilleux ''Sermon sur la montagne'' (croyants ou pas, on devrait le relire de temps en temps : il est simplement beau).
  Et je dois dire que, ces temps derniers, rien ne se passe (au contraire) qui puisse m'éloigner de ma foi dans  cette notion de ''droit naturel'' : après tant de décennies où l'humanité dans son ensemble, mais ‘’l'homme blanc’’, en particulier, a tout accepté, tout admis, tout supporté sans rien trouver à redire, un ''on'' innommé (qui, pour les tordus dans mon genre, est ''le Destin'') présente l'addition.  L'Occident s'est imaginé, depuis ''les Lumières'', qu'il pouvait faire ou dire n'importe quoi dans l'impunité. Trois siècles plus tard, il n'a plus assez de larmes pour pleurer ses morts (et le pire est à venir, hélas), plus assez de tee-shirts ''Je suis X ou Y'' pour ses inutiles ''marches blanches'', plus assez de fleurs chez ses fleuristes fermés sans raison, plus assez de dates pour ses ''funérailles nationales'' aux Invalides ou à la Sorbonne, et trop de ''plus jamais ça'' et ‘’ils ne passeront pas’’, suivis de... rien.
  Passer en revue la litanie sinistre de nos erreurs est hors des limites de ce Blog (1 à 2 pages ''A 4'') : il faudrait une encyclopédie ! On peut essayer d'en rappeler les grandes lignes, qui se recoupent, en gros, avec toutes les idées farfelues que la Gauche a ''con-coctées'' entre l’invention de cette façon de (mal) poser les faux problèmes, au XVIII ème siècle, et toutes les lois dites sociétales (une manie de Hollande et de Macron), toutes mauvaises et toutes à oublier, en passant par les insultes à l'intelligence que furent les parenthèses communistes (rouge ou jaune), socialistes, modernistes, soixante-huitardes, progressistes et que sais-je encore !
  Un exemple ? Encore hier, l'inénarrable Delfraissy, cet assoiffé de titres ronflants, ce Delevoye de la chasse aux prébendes, ce Frégoli des présidences bidon et interchangeables, a tenu à nous prévenir solennellement, ''ex cathedra'', que le mois de confinement annoncé par Macron durerait, en réalité, jusqu'à janvier (sous entendu : il va faire tout ce que lui permet son pouvoir de nuisance pour que cette catastrophe au carré arrive : il est insatiable, dans son désir de nuire à ses contemporains). Et comme personne en face de lui, n'a les colonnes vertébrales (voyez comme je suis délicat, dans le choix de mes références anatomiques !) pour résister, on peut être à peu près certains que ''ce n'est pas demain la veille'' que la vie normale va reprendre... si elle reprend un jour. Que de punitions immanentes sont encore devant nous ! Noël 2020 va être très triste, pour les non-chrétiens !
  Imaginez l'horreur, pour eux ! La suppression pour cette année (et des suivantes, partis comme on est), des bacchanales que sont devenues les ''Fêtes de fin d'année'' depuis qu'ils ont chassé l'ancien ''Noël'', qui était tout... sauf des ''champagneries'' autour de dindes aux OGM et des tsunamis de ''e-phones'' et ''i-phones'' ad nauseam : on déposait un bébé symbolique dans la crèche familiale dans de merveilleux chants de Noël repris en chœur dans un partage irremplaçable (aujourd'hui, un bébé, ça se condamne à mort ''par confort'')... Mais à force de faire haïr par système tout ce qui est crèches, santons, nativités, arbres de Noël et messe de minuit, le destin nous rattrape. Vous ne vouliez pas des vrais Noëls ? Bingo ! Vous allez être confinés ! Et estimez-vous heureux, c’est une punition légère : nous avons si longtemps et si souvent exagéré, dans tant de domaines, que la justice immanente risque fort de ne pas nous ‘‘lâcher les baskets’’ de sitôt...  
  Pour ''comprendre demain'', il suffit de regarder les mauvaises idées qui ont pollué notre passé au point de détruire notre présent : nos faux gourous ont raconté des océans de mensonges éhontés sur l'immigration, les faux ''migrants'', la colonisation, l'Histoire de la France et sur tout ce qu'elle a apporté aux pays qui lui ont fait confiance (et qui en ont rarement été dignes, eux, par la suite !), sur notre culture, chrétienne avant d'être républicaine, et sur le christianisme proprement dit, sur notre civilisation judéo-chrétienne, sur les fondements et les références de cette culture et de nos ''valeurs''... Nous avons laissé des malintentionnés et des pervers fabriquer des bobards monstrueux sur notre passé, nos motivations, notre mentalité, sur ce que nous sommes et ce que nous avons été... et nous récoltons aujourd'hui ce que nous avons semé : la haine de l'homme blanc, le rejet de tout ce que nous sommes, le refus de cette République que nous avons stupidement confondue avec la France : deux notions, proches parfois l’une de l’autre, qui ne sont pas interchangeables. La seconde, n'en déplaise aux cuistres, est à jamais antérieure, supérieure, préférable à la première.
  De mauvaises idées intrinsèques (le plus souvent provenant de cette gauche qui n'est, en dernier ressort, que le refuge des fausses solutions et des remèdes qui n'en sont pas), ont été poursuivies jusqu'à leurs limites les plus absurdes et les plus impossibles. Nous avons laissé dire et laissé faire tout et n'importe quoi, au point que certains d'entre nous ont eu honte d'être ce qu'ils sont, ployant sous des tombereaux d'accusations qui ne reposent sur rien de vrai (même un tout petit peu). Nous nous réveillons devant le champ de ruines que nous avons laissé entasser, parfois même en nous en excusant, de trucs vieux de 4 ou 500 ans... Je n'ai pas trouvé d'explication à ces folies, mais la ''justice immanente'', seule, permet de trouver des solutions vers un retour à la normale, qui permettra à son tour de voir clair dans le jeu de nos contempteurs qui sont en train de devenir nos ennemis, qui applaudissent les égorgements, qui rient des assassinats, qui voient des héros dans les pires salopards, qui ''conchient'' (comme disait Aragon) notre drapeau et notre Marseillaise et qui mettent un point de leur manque d'honneur à ne nous trouver que des défauts.... comme si c'était statistiquement possible ! L'homme, rappelait la Fontaine, fut créé besacier : une poche par devant pour voir les défauts des autres, et une par derrière, pour ne pas pouvoir regarder les siens propres !
  Ce qui semble certain, c'est que notre destin est scellé si nous ne balayons pas tous les concepts tordus, soi-disant humanistes, faussement bien pensants, artificiellement modernes et mensongèrement progressistes qui nous ont conduits dans l'impasse dans laquelle nous nous débattons sans plus rien comprendre à ce qui nous arrive face au terrorisme, à l'immigration, à la ''pandémie'', aux faux ''migrants'', à l'économie en chute libre, à la morale et à la perte de repères (en chute accélérée, elles) et, en somme... à tout, en un mot... Mais à notre destin, sera lié celui de ceux dont l'action néfaste aura causé notre perte, car la justice immanente a ceci de beau qu'elle circule dans les deux sens du temps, de l'Histoire et de l'humanité : ce qui est puni aujourd'hui contient en soi la punition de demain pour ceux qui se sont cru des justiciers, le temps d'accomplir leurs forfaits... Tout ce mauvais cinéma, les français en ont marre. Aujourd'hui, on n'a plus besoin d'émotions fabriquées, on veut du courage. Et rien d'autre.
  La seule prévision possible, aujourd'hui, ce serait ''Après nous, le déluge''... mais dit dans un sens rigoureusement opposé à celui dans lequel Mirabeau, Madame de Pompadour et Louis XV lui-même l'auraient, raconte-t--on, utilisé : aujourd'hui, ce n'est pas une hypothèse, hélas, c'est une prévision effroyable.
H-Cl.
PS : de nombreux lecteurs s'étonnent de mon silence sur l'élection américaine de ce jour.. La raison en est simple : pour une fois, mon modèle ne me suggère pas une réponse nette. La logique, au vu de son bilan économique, voudrait que Trump gagne aisément, malgré le covid. Mais les démocrates ont rendu ce scrutin tellement irrationnel et la société américaine est tellement fractionnée qu'il est impossible de savoir qui, du rationnel ou de l'irrationnel, va prendre le dessus, et les sondages ne veulent rien dire. Je fais du bout des lèvres le choix de Trump, par amour pour ce que furent les Etats-Unis, en craignant de me... trumper ! Mais il y aura des pleurs et des grincements de dents, demain
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mylessqtt104 · 2 years
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Mature Bien Faite
Cette coiffure courte est idéale concernant les douilles de texture long à quantité. Les bobs à divers couches sont espérances pour une femme de 50 ans qui ne souhaite pas passer trop de temps sur leurs casques, mais qui désire l’illusion d’un genre stylé. Cette jonction valeur courte-pompadour offre une touche de nouveauté à ce penne simple. Un pixie texturé est une forme facile réaliser et très branché. tous les prunelle sont rivés sur la longue limite de ce pixie. L’ajout d’une cadre donne un genre jeune qui effectue se démunir les années de votre visage. On ne se rend pas compte dès lors que l’on est jeune de la plupart des trucs lesquelles l’on conquerit facilement. Mais après 50 ans, c’est un peu plus compliqué, il faut se dépêcher des challenges et tout arranger pour s'élever jusqu'à ses aigu ! Vous pouvez totalement prendre en charge les tendances actuelles et affecter une scalp charmant et subtile sans paraître trop jeune ! L’ajout de texture favorise faire paraître les cheveux fins plus enrichi. Ce penne convient aux cheveux directs, ondulés, fins ou fourni. Il bénéficie 18 têtes de tripotement destinées aux parties de réflexe des fondement, par un gîte d’inclinaison positionnable ainsi qu'une surface en maille respirante.
Choisissez une prix courte qui convient à votre forme de visage
Déjeuner
Un glasses de jus détox (eau, bergamote, chicotin, gingembre)
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Enora Malagré (@EnoraMofficiel) 7 janvier 2019
Système de matchmaking
Femme Pour Une Heure
Les coussins de massage font eux ainsi que animosité, embellissant la paix musculaire et démolissant la asthénie et le stress, au même degré qu'un massage manuel. si vous appréciez la multitude et l'authenticité, n'attendez pas à adopter une pédicure différente de votre manucure. pour afficher une manucure batterie dans les aspirations, sans pour autant parer vos ongles d’imprimés animaliers ou alors de pois, osez clairement un couche femme 50 ans en tabac graphite, violet menthe ou en bleu ciel. si vous voulez découvrir à enfermer vos chevelure cigare de la nature, gardez un œil sur nos photos. Quand c’est un shooting pour la joie, le mieux est auxquels j’arrive à coincer vos attentes afin de faire la photograhie qui vous plairont. dans le cas où vous voulez être à la mode, il existe de nombreuses cornettes courtes pour les femmes de plus de 50 ans pour atteindre vos envies. Avant votre prochain rendez-vous chez le perruquier, jetez un coup d’œil à ces 45 turbans courtes à ne pas louper pour les femmes de 60 ans. Adoptez une postiche courte et texturée pour les femmes de plus de 50 ans si vous trouvez que vos chevelure requièrent trop d’entretien. Manger des pruneaux aide à alourdir leur santé des complication et à garder vos os en bonne forme.
Cette fabuleux coupe dégradée présente une côte texturée en écharpe. dans le cas où vous êtes à la recherche d' des vase courtes professionnelles pour les femmes de 60 ans, c’est la bonne. Cette évaluation dégradée est féminine et sophistiquée. Restez classe et pleine de grâce par les différentes improvements cette récompense. La remise pompadour courte peut sembler pénible, mais elle ne pourrait pas être plus facile à réaliser. Elle est admirable vis à vis des douilles raides et peut être coiffée lissée postérieur ou potée au four vers l’avant via une raie barde ainsi qu'une plage balayée. Et entendu pour avoir cinquante ans, Madame devra être née dans les années 60-70 pour vivre à plein tube les années 80. par exemple, des gadgets vintage à dans l'air du temps rétro lui exécuteront surement cul ! Dans les années 50, une femme consacrait 3 moments quotidiennement aux tâches ménagères, se déplaçait fréquemment à pieds et ne restait pas assise face à son ordinateur 8 heures journellement comme beaucoup d’entre nous aujourd’hui. Les êtres humains sont à leur tour devenus une forme représentative de marché dès les années 1990, sommés de persévérer bien, à travers des services d’entretien et de maintien de la tonicité. Formule de Bornhardt Selon la formule de Bornhardt adaptée aux meufs, le pesage idéal pour une taille de 1, 68m est compris entre 49, 00 kg et 67, 20 kilo, instable selon son tour de buste.
L’époque des casques démodées réservées aux grands-mères est passée. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, ces filles ne sont effectivement pas très régulièrement riches et aisées. Car union, https://landenkrdb576.substack.com/p/rencontre-femme-cougars-vendee?r=125tpj&utm_campaign=post&utm_medium=web beaucoup de personnes de 50 ans qui souhaitent retrouver l’amour suite à un divorce. Une rive souple peut échauf même une des plus quelconque des jatte de douilles, car elle apporte amabilité et dimension à la fois. Il m’a également rassurée puisque j’ai l’impression de ne pas perpétrer trop d’erreurs, même s’il y a toujours des points à améliorer. C’est Eric qui m’a affirmé lequel nous pouvions tout faire, que je pouvais tout achever. ne paniquez pas, nous sommes là pour vous assurer des envies de chats extraordinaires, qui sortiront de l’ordinaire, et qui lui montreront lesquels vous avez fait l’effort de localiser quelque chose qui sorte de l’ordinaire ! Passez-y du temps, donnez le meilleur de vous-même et ayez confiance en l’autre : l’amitié c'est une sorte d’assurance-vie, un capital dont le cours est inappréciable et ne cesse de s'élargir. Maintenant, vous pouvez bénéficier de l'audiovisuel d’une femme de 50 ans dont l’âge ne l’empêche pas de pouvoir être d’une manière maximale pour accolade. Bob avec une rebord irrégulière pour les femmes de cinquante ans et au-delà. Les franges en éléments aident à donner plus de portée mais ainsi que de dimension à votre aigrette, lorsque l'apparence de chapeau de soleil accessible sur internet A ajoute de l?élégance et du smart.
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marie-bradshaw · 3 years
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L’Homme est un animal social
Une étude récente montre que le lien social prévient 32% des AVC et 20% des crises cardiaques. 
Assise dans ce hall de l’un des lieux les plus passants de Paris, la Gare Montparnasse, après avoir lu ce fait dans une revue culturelle, je m’interroge. 
Il est clair que l’Homme n’est pas fait pour vivre seul. 
Les différents liens qu’il tisse au cours de sa vie à travers son éducation, sa famille, son travail, ses amis, ses loisirs ou sorties, assurent l’équilibre de son éco-système. 
Alors pourquoi ces liens?
Dans le milieu pro comme dans celui des loisirs, de l’éducation, il assure en premier lieu un rôle d’apprentissage via la communication et l’échange. 
On se balance des idées, des questions, on se répond, et ainsi va l’évolution de la conversation et des chemins de pensée. 
Car tout être humain est conditionné par ce que j’appelle son prisme: visualisez le prisme des Sims au dessus de la tête de chacun, chaque facette contient un facteur de conditionnement. 
On y retrouve notamment la personnalité, l’expérience, l’éducation, les valeurs et les besoins pro/perso. 
L’addition de chaque facette nous donne un filtre qui vous fait voir une situation A d’une façon quelque peu différente d’un autre individu. 
Quant au lien plus émotionnel que social, via notre cercle d’amis principalement, il nous organise à la façon d’une ruche d’abeilles. 
Chacun a sa place, sa personnalité bien distincte, des atomes communs lie le groupe, mais globalement on se complète tous et chaque relation s’établit et se renforce en duo. Ainsi on retrouve souvent des paires où la proximité est accrue renforcée dans une même “tribu”. 
Et chaque individu ressort à sa manière, un peu comme les drôles de dames!
Si je prends l’exemple de la mienne, elle se distingue en plusieurs groupes bien distincts, de l’univers des sports mécaniques aux parisiens pure souche, mais dont chacun partage mes valeurs de bienveillance, de loyauté, de soutien, et d’amour indéfectible. 
Ma “bande” principale étant mes copines parisiennes. 
Aurore, tout d’abord, véritable maitre Bouddha, mon phare dans la nuit. 
Elle est le yin de mon yang. D’un calme imperturbable, je crois bien que je ne l’ai jamais vue en colère en quatre ans. 
Coup de froudre amical dans mon ancienne boite, mon énergie rayonnante l’a séduite, et moi son humilité et sa bienveillance. 
Que ce soit pour retourner un bar, pour jauger d’un éventuel prétendant, ou pour arracher de la tapisserie toute la journée, elle est toujours là bien que moins présente physiquement en ce moment. 
On a fait les quatre-cent coups ensemble, et je lui confierais ma vie. 
C’est vous dire à quel point je lui fais confiance. 
Biensûr nous ne sommes pas toujours d’accord, d’un caractère plus passionnel, plus impulsif, j’ai souvent tendance à l’entrainer dans ma folie, et elle à me calmer. C’est ce qui fait la beauté de notre équilibre. 
Il n’y a jamais de jugement entre nous, rien que du love et une écoute ouverte.
Ensuite arrive Stephanie, ma meilleure amie non avouée (selon elle c’est trop de responsabilités...), rencontrée via une amie commune sur Toulouse, et l’élément central de notre joyeuse troupe. Toutes les soirées se passent chez elles globalement, son appart est le plus cool et le plus central!
A bien des niveaux on se ressemble, la même force de caractère, le même sens du leadership et de la détermination, la même douleur dans le coeur de nos parents respectifs, comme Aurore, Sarah, Céline et Luisa d’ailleurs. 
Nous sommes la team Phoenix, celles qui ne meurent jamais, se relèvent toujours plus fortes de leurs cendres. 
On se distingue principalement par nos looks, le sien plus sage, le mien plus extraverti, et notre conception de l’Amour. 
Elle est plus dure, plus terre à terre que moi. 
Je reste la grande romantique du groupe, à tous les niveaux. 
Depuis quelques mois on est inséparables, Tic et Tac. Elle a été là quand je me suis fait réopéré de l’épaule, et on passé Noël ensemble. 
On s’appelle tous les soirs, c’est notre rituel quotidien. 
Et ça part très souvent en fous rires.
Elle voit ce que je ne vois pas et inversement, ce qui fait que nous sommes de très bon conseil l’une pour l’autre. 
Pointilleuse, grande gueule, les gens la prennent souvent à tort pour une Bobo parisienne coincée, et bien qu’elle refuse toujours de franchir le périphérique pour aller où que ce soit, ou de boire de l’eau du robinet, il n’y a pas plus rentre dedans que cette nana. 
Sarah maintenant, plus timide, introvertie, elle a un coeur aussi gros que le Brésil. Et j’ai appris aux dépends de notre relation qu’on ne pouvait pas rire de tout, parce que nous ne fonctionnons pas de la même manière, tout simplement. Chacun a ses codes, ses règles, qu’il faut intégrer.
Après un verre ou deux en revanche, elle n’a plus sa langue dans sa poche, et on l’adore aussi pour cette double personnalité. 
Céline, que je connais moins, est sans doutes la nana la plus généreuse que je connaisse. Madame de Pompadour pour les intimes, elle fait toujours les choses en grand. Drôle, attentionnée, son énergie est positive et on a envie de l’avoir autour de soi. J’aimerais la connaitre d’avantage.
Luisa, copine formidable en dehors de la bande. 
Elle et moi on est pareil côté glamour et sens de l’esthétique. D’ailleurs je l’ai rencontré sur ce domaine, elle a commencé par me poser mes extensions de cils et on a tout de suite accroché, parlant astrologie et garçons. 
Puis elle a traversé une période sombre, se séparant d’un ex violent, et j’ai tout de suite voulu être là pour elle (ayant traversé la même chose). 
Depuis c’est ma deuxième super copine parisienne. Elle était là pour me récupérer à chaque sortie d’hôpital, et dieu sait qu’il y’en a eu un paquet l’année dernière, et quand je suis triste elle m’offre des roses dans la rue pour me faire sourire. 
C’est le genre d’amie en or qui va tout faire pour te protéger, quitte à brûler la baraque de ton ex. 
“La plus bonne de mes copines” comme je l’appelle, petite bombe latine à forte poitrine.  
Elle a un coeur énorme, est d’un naturel généreux avec ceux qu’elle aime, mais des barrières de fer contre la gente masculine. On était pareilles là-dessus, de très lourds mécanismes de défense, et une passion pour tout donner dès qu’elles sont franchies. 
J’ai évolué. Sur la partie défenses en tout cas, et ça m’a pris du temps et le sacrifice de ma dernière relation.
Elle s’habille toujours en noir, se maquille simplement, quand en elle c’est un feu d’artifice de couleurs. 
Quand elle rencontre quelqu’un elle commence toujours par demander son signe astrologique et ça me fait mourir de rire. 
Un jour, après une rupture, je me souviens qu’elle m’ait regardé dans les yeux et déclaré “Faut qu’on arrête de tout donner comme ça”.
Je lui ai répondu “Toi et moi on donne peut-être tout, et on peut souffrir d’être abusées, mais pour rien au Monde je ne changerais qui nous sommes pour des êtres aux coeurs fermés et limités, nos grands coeurs, c’est aussi ce qui fait notre beauté”.
Elle acquiesça, et je lui souris. 
Je l’aime d’amour.
D’ailleurs on part bientôt pour de longues vacances d’été ensemble, et j’ai vraiment hâte. 
Passons maintenant aux plus éloignés géographiquement...
Florian, alias Bugs, mon meilleur ami depuis presque dix ans maintenant et un rider moto (Stunt) incroyablement doué.
On s’est connus via un ex qui m’avait amené à sa soirée d’anniversaire, et lors d’un event de sports extrêmes où je l’ai hébergé et où il m’a sauvé la vie, on s’est rapprochés. 
Ce mec a la même folie et la même loyauté que moi. 
A bien des niveaux c’est mon alter égo masculin. 
Combien de soirées, combien de fous rires, de nouvels ans à drifter sur des ronds-points encore alcoolisés, combien de weekends de ride moto a-t-on passé ensemble? 
Il a toujours été là pour moi, comme je l’ai toujours été pour lui. 
Lui et moi c’est à la vie, à la mort. 
Si demain l’un de nous deux commet un meurtre, l’autre sera là avec un sac poubelle et de l’acide. 
Quand mon ex violent m’a frappée pour la première fois, il était là, dans la pièce à côté. 
Je ne l’ai jamais vu dans un état pareil. 
En comprenant ce qui s’était passé, en me voyant sous le choc en sanglots, il avait dévalé comme un jaguar et l’avait saisi au cou pour le plaquer violemment au sol. 
J’ai vraiment cru qu’il allait le tuer. 
Aujourd’hui je rêve d’un avenir où je tomberais amoureuse d’un homme qu’il approuve, je cite “qui soit assez bien pour toi” et où nous partirions tous ensemble à l’aventure avec sa chère et tendre et son nouveau né. 
Ici loin des yeux, mais jamais du coeur. 
Et si j’ai décidé de redescendre dans le Sud c’est en grande partie pour pouvoir le voir plus souvent qu’à Paris. 
C’est ma famille. Et je donnerais ma vie pour lui. 
Sa mère a longtemps cru qu’on finirait ensemble, et pourtant, comme je le disais souvent à son ex, la base de notre amitié c’est qu’il n’y a aucune attirance entre nous. Un amour purement platonique. 
Et oui, je fais partie de ceux qui croient à l’amitié homme-femme. 
Tant qu’il n’y a pas d’attirance d’un côté ou de l’autre. 
Drew, mon “bro”, de mon époque lyonnaise, ou mon petit frère caché. 
De nos rendez-vous post cuite au Starbuck pour débriefer aux longues heures passées au téléphone aujourd'hui,  il est toujours de très bon conseil. 
Saltimbanque à ses heures perdues, c’est un grand nounours qui a toujours un sourire fixé aux lèvres. Le genre de Vibe dont on redemande. 
Il me connait par coeur et je lui voue, comme aux autres, une tendresse et un amour inconditionnels. 
Il passe sa vie à m’inviter à venir le voir en station alpine, et cette année c’est décidé j’irai! 
Elisa, l’une de mes plus vieilles amies, et meilleure amie bis. 
Sa grand-mère nous a élevés et je la connais donc depuis mon plus jeune âge. 
Quand j’étais petite, je n’étais pas très populaire, l’intello de la classe à la coupe de cheveux bizarre (ne laissez jamais votre mère s’approcher de vous avec des ciseaux!), et je me rappelle avoir toujours été d’un naturel possessif pour qu’on ne me pique pas “MON” amie. 
Calme, les cheveux châtains clair, lisses, j’étais son opposée, turbulente, brune, des bouclettes plein la tête. 
Elle a appris à parler en premier, quand moi je courais déjà. 
On se complète. 
Et j’ai l’honneur d’être la marraine de son premier né. 
D’origine italienne, toute sa “familial” est à proximité, toujours là les uns pour les autres, et je me sens toujours chez moi avec eux. Elle continue à partager ses traditions, en matrone de son propre clan à présent. 
Athlète aguerrie, elle m’a fait découvrir les joies de la pole dance, et vous n’aimeriez pas la prendre au bras de fer.
Féroce pour défendre ses êtres chers, je me souviens notamment d’un épisode où j’avais séduit deux meilleurs amis pompiers du côté de son homme, (l’un après l’autre hein), lors du baptême de mon filleul, Rafael, et forcément ça s’est terminé en carnage. Que voulez-vous, j’étais jeune et incertaine, et la bonté du deuxième avec les enfants m’a fait chaviré.
Le premier des deux jeunes hommes en questions s’est donc emporté et m’a manqué de respect devant elle, me traitant de tous les noms, furieux que je l’ai “lâché” pour son ami. 
Je n’ai jamais vu Elisa s’emporter comme ça. 
Imaginez-vous un ouragan croisé avec un tsunami et la fameuse “gueulante” d’Harry Potter. 
Croyez-moi, personne n’aurait aimé se faire déchainé de la sorte.
Elle l’a littéralement détruit sur place, en véritable louve qui défend sa meute, et interdit de visite au domicile conjugal.
Je savais déjà qu’entre nous ce serait toujours la famille, même si c’est quasi impossible de la faire quitter sa province pour s’aventurer sur Paris, mais à ce moment là j’ai su qu’elle serait toujours là pour me défendre. Et je lui en serai toujours reconnaissante. 
Comme quoi, méfiez-vous de l’eau qui dort!
Lulu, zoophile de mon coeur (comprenez hétérosexuelle) 
On s’est rencontrées au Poney Club, quand je venais de quitter la province parisienne pour la bordelaise, bien plus verte. 
Je suis tombée amoureuse des collines pleines de vignes, de sa région chaleureuse, et si je retiens bien une personne de mon adolescence c’est elle. 
Ici encore, nous sommes de deux natures totalement différentes. 
Posée, calme, quand moi j’ai longtemps été plus explosive que calme, elle est la beauté au naturel. 
Et son amour du cheval et de la voile la rapprochent encore plus de mère Nature.
On s’est aimées, on a ri à en pleurer, on s’est soutenues dans quelques unes des épreuves les plus difficiles de nos vies, et je me souviendrai toujours de nos premières aventures à scooter, tentant de pousser notre monture dans les descentes en criant “Petit oiseau si tu n’as pas d’ailes, eh bien tu ne peux pas voleeeeeer”. 
Ça fait bizarre aujourd’hui de se remémorer toutes nos aventures. Des premières soirées à dormir l’une chez l’autre en parlant toute la nuit, et dévorant les bons petits plats de sa mère, ou rire avec son père, à notre colocation bordelaise des années plus tard.
Aujourd’hui jeune maman, elle a trouvé sa moitié en Sebastien, et honnêtement je ne vois comment ils auraient pu mieux se trouver tous les deux. 
Ça fait plaisir à voir. 
Margaux, ma soeur de coeur toulousaine (d’ailleurs sa mère et sa soeur m’ont adoptée, c’est officiel).
Rencontrée en soirée dans la ville rose lorsque je bossais pour Corona, on ne n’est plus lâchés. Impulsive, parfois un peu extrême, un manque d’amour caractérisé qu’elle comblait en séduisant la gente masculine, elle fait partie de ceux qui ont su le plus évoluer ces dernières années. 
Son grand Amour, Julien, l’y a fortement aidé, je ne pourrais pas être plus heureuse pour elle. 
Généreuse, le coeur sur la main, elle sait aussi dire non et si elle n’a pas envie rien n’y fera. Son côté princesse. 
A côté de ça, elle peut te pousser un rot à t’en réveiller les morts, et c’est cette dualité girly/camionneur du dimanche qui nous fait rêver chez elle. 
Récemment éloignées par un conflit mineur - une dissonance cognitive entre ma perception de la loyauté et la sienne, et je suis triste de la distance qui s’est installée entre nous suite à ça. 
Mais on se retrouvera, (elle et moi), j’ai confiance. 
Nini, ma witch lyonnaise. 
Féroce, impitoyable, et en même temps adorable. Je sais qu’à première vue, ça ne va pas forcément ensemble, mais pourtant si. 
Très proche de sa mère, elle fait son bout de chemin dans le tattoo et je sais que peu importent les années qui nous séparent, nous pourrons toujours compter l’une sur l’autre. 
Quand je suis tombée enceinte de mon ex-copain violent sur Lyon, c’est la première personne que je suis allée voir. Et c’est elle qui m’a accompagnée dans cette épreuve, avec Aline, à l’époque notre trio du diable. 
Je les aime tous d’un amour incompressible par le temps. 
Ils sont mes vrais “amis”, ceux à qui je donnerais un rein sans réfléchir. 
Et si le lien social évite pres d’un tiers des AVC, c’est peut-être parce que l’amitié renforce le coeur. 
Nos points communs mais surtout nos différences et leur acceptation, nous élève et nous unie. 
Regardez autour de vous, et prenez le temps d’apprécier chaque personne qui constitue votre “famille de coeur”.  
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ana-mozqueda999 · 3 years
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15 de Abril de 1764 -- Fallece Jeanne-Antoinette Poisson, duquesa-marquesa de Pompadour y marquesa de Menars, con paridad francesa, conocida como Madame de Pompadour, fue una muy famosa cortesana francesa, la amante más célebre del rey Luis XV, además de una de las principales promotoras de la cultura durante el reinado de dicho rey. Apasionada de las artes y las letras, la marquesa de Pompadour favoreció el proyecto de la Encyclopédie de Diderot y protegió a los enciclopedistas (se puede ver en su retrato, detrás, algunos tomos de L'Enciclopedie). Dio trabajo a escultores y pintores como Boucher y a numerosos artesanos en la manufactura de porcelana de Sèvres por ella fundada. Organizó, en la corte, toda clase de espectáculos, protegió a los escritores, aprendió a grabar, sabía bailar y tocar el laúd (se la puede ver retratada en la pintura de arriba con una partitura en la mano y un laúd en el fondo). Supervisó la construcción de monumentos tales como la Plaza de la Concordia y el Pequeño Trianón. Poseía varios palacios y castillos, entre los cuales, como residencia parisina, el Hôtel d'Evreux, mucho más conocido ahora bajo el nombre de Palacio del Elíseo. Varias leyendas rodean el personaje de la marquesa de Pompadour. Se dice que tenía una verdadera pasión por la sopa de trufas y apio bañados en tazas de chocolate ambarino «calentando los espíritus y las pasiones». Además propició el consumo del champán el cual decía que aumentaba su belleza. Se dice que la forma de la primera copa de champán fue modelada basándose en la del pecho perfecto de la marquesa. En un ámbito diferente, Madame de Pompadour, tratando de consolar el rey después de la derrota de Rossbach, hubiera hecho esta observación quedada famosa : «Au reste, après nous, le déluge.» («Por lo demás..., después de nosotros, que caiga el Diluvio...»). El 15 de abril de 1764, agotada por veinte años de vida en la corte, se apagó en Versalles, a la edad de 42 años. Viendo la lluvia en el momento de la salida del ataúd de su amante de Versalles, Luis XV dijo esta cínica frase: «La marquise n'aura pas beau temps pour son voyage.» («La marquesa no tendrá buen tiempo para su viaje.»). #Pompadour https://www.instagram.com/p/CNs6TX8hQt4/?igshid=pdc0oehp106b
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blizjade · 3 years
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Félins pour l’autre...
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Saint Valentin 2021 (à la maison) 
Saisissez l’occasion de lui faire plaisir…sans dépenser des fortunes !
Cette année, je vous propose de vous aimer sans quitter votre foyer, de réinventer des joutes amoureuses pour le plaisir et lui faire plaisir...7 idées pour 7 petits péchés délicieux…          
Aurez-vous la curiosité de lire jusqu’au bout ?
Avertissement : Oreilles « chastes», ce post n’est pas pour vous…merci de ne pas continuer cette lecture. 
        LA COLÈRE (Les messages de Carla)
Vous avez quelque chose à vous faire pardonner ? Vous vous êtes pris la tête ? Trouvez les mots pour lui dire...
Lui: Vous ne lui écrivez jamais…Parfait ! C’est l’occasion de la surprendre…Un petit mot au réveil sur la table sur un simple post-it avec une fleur du jardin (où du parc d’à côté), simple et efficace !
Elle: Un petit mot sur son pare-brise, sa moto, sa boîte à outils, son sac de sport ou dans son portefeuille (attention ! on dépose le mot ,on ne fouille pas !)
Question support, selon vos idées ou vos envies, vous pouvez opter pour un miroir, son agenda, votre corps, son parfum, tout est possible...
PS : Vous ne savez pas quoi écrire…Direction Pinterest « petits mots d’amour », vous n’aurez pas assez d’une vie pour tous les utiliser !
 L’ENVIE  d’Alina
Vous rêvez de quelque chose d’inédit, de surprenant, de joyeux …
Alina raconte… « Un soir ou nous étions sans les enfants. Un jour de la semaine comme les autres, j’ai préparé quelques toasts et une bouteille de vin. Quand il est arrivé du boulot, il m’a trouvé là, allongée sur la table de la salle à manger en portes jarretelles rouges et bas résilles (c’était la 1ère fois que j’en mettais)...Une soirée mémorable ! ». 
Un simple masque, une tenue légère, le corps recouvert de dessins au chocolat, tout est à inventer...
Note perso: Moi, j’aurai aimé être surprise par mon chéri, un soir, il sera là, nu, debout dans le salon…comme une statue grec, enroulé d’un simple drap, le torse huilé…Euh, comment dire…oui, j’aurai vraiment aimé rejouer « Gladiator » à ma façon…
L’ORGUEIL d’Alexandra
Il y a des moments dans la vie, où on a envie de s’accorder du temps, de penser à soi et rien qu’à soi…Ou de penser à lui…rien qu’à lui…
Elle: Ce soir c’est soirée foot, donc c’est sa soirée, (difficile de faire l’impasse), qu’à cela ne tienne, profiter de l’occasion pour lui faire plaisir et vous occuper l’esprit (heu…enfin pas que…)
Il est tranquille bien installé dans le canapé…Tant mieux, à vous de jouer ! Apportez-lui une bière. Puis assise près de lui, l’air de rien, caressez lui la cuisse, puis l’entrejambe et doucement glissez vers votre objectif... A partir de cet instant, deux cas de figure s’offre à vous selon vos goûts ou votre état d’esprit du jour.
* Soit une petite « caresse » dite communément « branlette », juste pour le plaisir, sans rien en retour.
* Soit une petite fellation, juste pour son plaisir, sans rien en retour.
Lui: Une petite « gâterie » qui peut s’inverser si Madame regarde sa série préférée sur Netflix.
Le saviez-vous ? On racontait dans les couloirs de Versailles que Mme de Pompadour avait séduit le roi Louis XV grâce à sa bouche délicieusement experte…On l’appelait Mme « P ».
 LA GOURMANDISE  de Carolina
La gourmandise est un vilain défaut…Pas sûr avec le « Coup du Pamplemousse !
Ce petit jeu d’amour et érotique demande un peu d’organisation mais aussi une préparation psychologique. (Car l’attente et l’inconnu participe à l’excitation).
Tout d’abord, quelques jours avant, préparez « le terrain », dites-lui que vous avez décidé de lui faire un petit jeu érotique avec un pamplemousse (sans donner les détails bien sûr). Le jour J, prenez un pamplemousse dans lequel vous creuserez un trou au niveau du pédoncule) au centre, d’environ 3/4 cm (c’est ici que vous introduirez « La Bête. »). Confortablement assis (prévoir une serviette de toilette sous ses fesses) et nu. Introduisez son « membre » dans le fruit et commencez un va et viens très lent. Votre chéri aura l’impression de se trouver dans votre intimité. Il ne devrait pas tarder à fermer les yeux et à se laisser aller…complètement.
Bon à savoir / Jeu initialement créé par Casanova et utilisé dans certaines alcôves royales avec différents fruits.
 LA PARESSE à Lisboa
Il ne veut rien faire et vous non plus…Offrez-lui un p’tit week-end en amoureux au soleil. Pour partir rapidement, pour pas trop cher et pas trop loin, je vous conseille Le Portugal, et plus précisément Lisbonne et très exactement l’établissement « La Vénus de Lisbonne ». Un endroit conçu pour les amoureux. Leurs chambres décorées sur la thématique des 7 péchés capitaux (justement), vont vous faire voyager par leur originalité et leurs extravagances parfois. Dans cet endroit, tout est fait pour paresser, s’aimer et se parler d’amour les yeux dans les yeux et rien d’autre.
Info : Au Portugal la Saint Valentin se dit « Dia dos Namorados » (Jour des amoureux)
 LA LUXURE avec Georgia et Patricia
La Saint-Valentin, c’est l’occasion de mettre du piment dans sa vie de couple. D’oser tester des expériences étonnantes. De tester ses fantasmes les plus fous… Non, non pas la petite love box avec son huile de massage et ses nippies impossibles à porter…
Mais plutôt tester des situations piquantes.
Georgia: « A l’occasion d’une sortie (amis ou resto), je mets une robe et …pas de culotte. Je ne le dis pas tout de suite à mon chéri. C’est seulement arrivée sur place que je lui confie la chose dans l’oreille…Il est seul à savoir…Il est seul face à ces fantasmes…Toute  la soirée nous sommes complices dans un jeu qui n’appartient qu’à nous ».
Patricia : « Pour l’occasion d’un voyage en voiture, j’avais mis une petite jupette sans culotte. En cours de route, l’air de rien, j’ai commencé à glisser discrètement ma main sous ma jupe et je me suis caressée jusqu’à l’orgasme. Au 1er péage on est sorti pour prendre les petites routes de campagne… ». (Une idée qui peut être aisément revisitée dans le canapé du salon)
Commentaires : Si il est vrai que la culotte est devenu un “accessoire” porté par toutes de nos jours, il faut savoir que pendant très longtemps les femmes ne portaient qu’un simple short fendu...et tout le monde trouvait cela normal !
 L’AVARICE
Et si je vous disais que ce ne sont pas les cadeaux les plus chers qui font le plus plaisir, je me souviens avec beaucoup de tendresse mon mari me rapporter un bouquet de fleur qu’il avait ramassé dans des petits chemins en promenant notre chien. De tous les cadeaux qu’il m’a fait au cours de notre vie commune, c’est celui-ci dont je me souviens le plus (bon ok avec un sac Louis Vuitton), je dois être honnête…)
Mais pour finir mes amis, et si votre plus beau cadeau, c’était d’être là près de lui ou d’elle? D’être son/sa complice dans vos joutes amoureuses?  De jouer le « jeu » avec elle et d’en rire, de lui préparer un petit repas quand elle est fatiguée ou malade…de lui montrer (sans oublier de lui dire de temps en temps) que vous l’aimez tout simplement…
Je vous souhaite une bonne lecture et n’oubliez pas de le/la surprendre encore et toujours c’est le meilleur ciment de l’AMOUR !
Et vous ? C’est quoi vos plus belles idées de cadeaux pour la Saint Valentin ?
Bliz-Jade
Œuvre de Tatyana SAKHAROVA   -   @artiskh  pour la Vénus de Lisbonne 
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vincentdelaplage · 3 years
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"L'AMOUR À LA RECHERCHE D'UNE PROIE" Madame de Pompadour, maîtresse, amie et conseillère de Louis XV, resta auprès de lui jusqu’à sa mort en 1764. Introduite à la Cour par relations, elle est remarquée par le roi et devient rapidement sa favorite. Louis XV fait construire pour elle le Petit Trianon, véritable havre de paix. UNE CHANSON DE BÉCAUD https://youtu.be/F3Mm53XS-JI La marquise de Pompadour partage alors son temps entre la capitale et son château de Bellevue, à Meudon. Le château de Bellevue était un petit château conçu pour Madame de Pompadour, la puissante favorite du roi de France Louis XV, en 1750. Il fut construit sur un large plateau à Meudon, sur une pente dominant la Seine à l'est. En 1753, Louis XV lui achète l’hôtel d’Évreux, aujourd’hui palais de l’Élysée, pour ses séjours parisiens. Mais à 42 ans, en 1764, Madame Pompadour meurt d’une congestion pulmonaire à Versailles. Le roi regrettera cette « amie de vingt ans ». Ce tableau de Louis-Jean-François Lagrénée, (directeur de l'Académie de France à Rome, puis en 1762, nommé professeur de peinture à l'Académie royale à Paris) . représentant "l'Amour à la recherche d'une proie", de 1779, ornait la chambre du roi, au moment où, à la mort de Louis XV et de Pompadour, le château devint la propriété des filles du souverain. Le château a été démoli en 1823, son patrimoine artistique est largement dispersé aujourd'hui. #culturejaiflash #leslumièresdeversailles https://www.instagram.com/p/CKVm1ceFllo/?igshid=1idt3ahoh4da9
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chrislaguna1-blog · 5 years
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Assez piquant ... En ce jour de la Saint-Valentin naquit un écrivain qui n'évoquait pas l'amour mais le désir et le plaisir, le libertinage ... 14 février 1707, naissance de CREBILLON Fils, de son vrai nom Claude-Prosper Jolyot de Crais-Billon, mort en 1777 Il était le fils du poète tragique du même nom. Crébillon fils fut un époux aimant : il avait rencontré une noble Anglaise en 1744, en eut un fils en 1746, l'épousa en 1748, la perdit en 1756 et ne s'en consola pas. Après avoir écrit quelques vers et quelques chansons, il publia le Sylphe (1730), les Lettres de la marquise de M*** au comte de R*** (1732), Tanzaï et Néadarné ou l'Écumoire (1734) qui allie féerie et critique politique et religieuse, les Égarements du cœur et de l'esprit (1736), le Sopha (1742), les Heureux Orphelins (1754), la Nuit et le Moment (1755), le Hasard au coin du feu (1763), les Lettres de la duchesse de *** au duc de*** (1768), les Lettres athéniennes, extraites du portefeuille d'Alcibiade (1771). Après avoir été lui-même parfois victime de la censure, il obtint en 1759, comme son père, une charge de censeur royal, grâce à la protection de Mme de Pompadour. Les Égarements du cœur et de l'esprit, roman inachevé, sont le récit à la première personne d'une éducation sentimentale. Le récit parcourt tous les chemins qui mènent des maladresses stratégiques d'un jeune homme à l'émergence de la conscience et du sentiment amoureux, du désir à qui tout objet est bon, à la passion qui n'en élit qu'un. Les autres personnages jouent en contrepoint avec la voix de Meilcour, le narrateur : Versac, le libertin roué ; Hortense, la jeune fille passionnément aimée, qui découvre son cœur en même temps que Meilcour ; Madame de Lursay, fausse prude expérimentée, qui s'éprend du jeune homme dont elle voulait faire l'éducation et qui découvre les tourments et les délices de la pédagogie du libertinage. Le Sopha est un conte moral. Le narrateur, Amanzei, se trouve par les miracles de la réincarnation métamorphosé en sopha. Et si son âme erre de sopha en sopha, c'est pour raconter les divers exploits amoureux dont il est le théâtre. À travers les mésaventures d'un accessoire essentiel du libertinage https://www.instagram.com/p/Bt3-jj7FEXs/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1jofheugrjcs4
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charmemma · 5 years
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L’HÔTEL DE SAINT-ADAMASTOR
Nivoulas fut heureux trois semaines.
— « Je ne sais pas, me disait-il, ce qui se passe dans l’âme de Roset depuis la mi-carême. Capricieuse et sauvage comme elle était, la voilà devenue tout à coup la plus douce, la plus caressante du monde. Un vrai petit faucon changé en tourterelle !
Et Nivoulas radieux me serrait la main.
C’est à l’hôtel de Saint-Adamastor que Nivoulas logea nos communes amours ; franchement je n’aurais pas fait un choix plus à mon goût si j’avais choisi moi-même.
La réputation de l’hôtel datait de loin, il était célèbre déjà du temps de Louis le Bien-Aimé pour l’obligeante hospitalité qu’y offrait alors à la belle jeunesse des deux sexes madame Aurore de Saint-Adamastor, veuve d’un colonel des armées du roi, tué au siège de Berg-op-Zoom ; et dans le grand salon jaune qu’on montrait encore, Jeanne Vaubernier, en compagnie des jeunes débauchés du temps, avait taillé le pharaon de la main gauche, de cette main gauche plébéienne et charmante qui, plus tard, devait si galamment porter son sceptre royal de folle avoine.
La révolution passa sur l’hôtel sans trop en changer le caractère. La fille, puis la petite-fille de madame Aurore reprirent, il est vrai, le nom bourgeois de mademoiselle Ouff, qui d’ailleurs convenait on ne peut mieux à leur taille en boule et à leur asthme héréditaire ; le nom d’Hostel de Saint-Adamastor, aristocratiquement inscrit autrefois, autour d’un écusson, sur une étroite plaque d’ardoise, s’étala désormais en lettres d’or d’un pied, le long d’une interminable enseigne ; les boudoirs, les salons et les cabinets de jeu se transformèrent insensiblement en chambres garnies et en salons de table d’hôte ; mais ils gardèrent leurs boiseries gris-perle et blanc, leurs trumeaux de Watteau, leurs plafonds à moulures ; et maintenant, comme au temps jadis, les mignonnes émules de Manon et de Jeanne Vaubernier remplissaient le vieil hôtel de disputes et d’éclats de rire, se faisant tout le jour des visites de voisine, traînant leurs pantoufles par les corridors et passant le temps à s’essayer des bijoux faux devant les glaces.
Ce bizarre séjour me séduisit avec son vague parfum d’ambre, qui semblait une odeur restée d’autrefois dans les rideaux, et son petit jardin plein de buis taillés et de merles, qui me rappelait, malgré l’hiver, les charmilles de madame de Pompadour et le paravent de M. Antoine. Seulement, madame de Pompadour ce n’était plus mademoiselle Reine essuyant ses beaux yeux au clair de lune ; madame de Pompadour s’appelait Roset, portait des bas à jour et fumait des cigarettes. Jean-des-Figues, vous le voyez, avait fait des progrès sensibles dans sa façon de comprendre le xviiie siècle et l’amour !
Nivoulas ne soupçonnait rien. Il oubliait son roman et s’énervait dans cette Capoue. Cependant quelques nuages, la chose me chagrina pour lui, apparaissaient dans notre ciel trop bleu : Roset s’ennuyait.
En arrivant, Roset s’était trouvée très heureuse. Les amusements du cénacle, un peu de champagne à la table d’hôte, Robinson, les spectacles, quelques bals d’étudiants et d’artistes, l’entrée au café surtout, cette fameuse entrée qui préoccupe chaque fois les ingénues de la vie galante autant qu’une actrice son rôle nouveau, tout cela, et moi un peu aussi, j’imagine, parut d’abord à la pauvre enfant le comble du bonheur et de la grande vie.
Mais l’esprit n’est pas long à venir aux filles, surtout, quand on les loge à l’hôtel Adamastor, et les voisines de Roset, quoique jeunes, n’avaient plus, tant s’en faut, sa charmante naïveté.
Encore assez près des années de candeur pour aimer un peu les honnêtes garçons, peintres ou premiers clercs qui habitaient l’hôtel avec elles, mais travaillées déjà d’ambitions secrètes, corrompues par les sottes lectures, rêvant d’être à leur tour une de ces grandes courtisanes perverses qu’elles avaient vu de loin passer au bois ou aux courses et dont le roman et le théâtre leur présentaient sans cesse l’idéal, elles affectaient l’air positif et froid des filles à la mode, adoraient le fiacre par envie du huit ressorts, parlaient couramment louis, obligations et parures quoiqu’elles n’en eussent aperçu jamais qu’à la vitrine des joailliers et derrière les grilles des changeurs, et prenaient des airs à la Marco pour se draper, avec le plus beau sang-froid du monde, dans un châle quadrillé de quatorze francs.
Ces demoiselles eurent bientôt fait d’entreprendre l’éducation de Roset ; Mario surtout, une Parisienne petite et pâle, éclose, par je ne sais quel miracle, comme une violette blanche sans parfum, entre deux pavés du faubourg. Roset ne pouvait plus se passer de Mario, mademoiselle Mario me jetait des regards qui me faisaient songer au petit Turc et à ses bizarres jalousies… je sentais venir un malheur.
— « Que dirais-tu, Jean-des-Figues, si je te quittais ? » me demanda Roset un beau jour.
Jean-des-Figues répond par je ne sais quelle impertinence cavalière, bien loin, certes, de sa pensée ; mais son rôle de sceptique le voulait ainsi.
— « Oh ! j’en étais sûre que tu ne me pleurerais seulement pas » fait Roset moitié avec dépit et moitié avec joie, puis d’un ton de voix attristé :
— « C’est ce pauvre Nivoulas qui serait malheureux ! »
Le soir, Roset vint me trouver au café, en grande toilette. Elle ne voulut pas s’arrêter, Mario l’attendait dans une voiture. Elle avait l’air ému, indécis ; elle me prit la main, balbutia quelques mots ; puis, en fin de compte, m’embrassa ; et, comme ma mine étonnée semblait lui demander raison de ce public élan de tendresse :
— « Va consoler Nivoulas, imbécile ! » me dit-elle à l’oreille en s’enfuyant.
Paul Arène
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needle-and-a-thread · 7 years
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Reproduction d’une robe à la française, robe historique française typique du 18e siècle.
Petite histoire de la robe à la française au 18e siècle
             La robe à la française reflète l’extravagance et la grandeur mais aussi la beauté et la grande élégance du 18e siècle. Emblème de l’époque Rococo, la robe à la française était composée de trois sections; la jupe, la robe et la pièce d’estomac. La robe à la française était toujours portée au-dessus de paniers et d’un corset bien ajusté. La robe était ouverte à l’avant et laissait apparaître la jupe placée au-dessous.
           La pièce d’estomac venait refermer la robe et cacher l’avant du corset en s’attachant au haut de la robe. Il fallait épingler cette dernière à chaque fois qu’une personne enfilait la robe ce qui nécessitait souvent de l’aide et beaucoup de temps. La pièce d’estomac était de forme triangulaire en V ou en U et la pointe de celle-ci reposait au-dessus de la jupe. La pièce d’estomac était richement décorée tout comme le reste de la robe. Les boucles et les rubans, les fausses ou vraies fleurs, les broderies, les franges, les volants, les bijoux et la dentelle étaient couramment utilisés pour embellir les robes à la française. Un col de dentelle était souvent présent au-dessus du décolleté et autour de l’encolure de la robe. Il était très commun de porter des accessoires notamment pour orner les cheveux et le cou.
           Le brocart, le taffetas de soie imprimé et le tissu à rayures étaient très souvent utilisés dans la confection de ce type de robe.
           Les plis Watteau ornaient le dos des robes à la française. Nommé après le peintre Jean-Antoine Watteau qui a su si bien peindre cette section de la robe à la française, les plis Watteau sont une longue pièce de tissu identique à celui de la robe cousue serrée en plusieurs plis au haut du dos et tombant en une somptueuse traîne à l’arrière de la robe tout en se mélangeant avec le bas de celle-ci.
           Les manches étaient droites jusqu’aux coudes où elles s’élargissaient en volants faits de tissu identique à celui de la robe et de dentelle. Ces volants recouvraient le coude et une partie de l’avant-bras.
           La robe à la française était notamment portée par Madame de Pompadour et Marie-Antoinette, toutes deux grandes adeptes de celle-ci. La robe à la française sera portée à la Cour jusqu’à la révolution française. À l’approche de la révolution, les tenues deviennent de plus en plus extravagantes et vont prendre des proportions encore plus grandes que jamais auparavant tant au niveau des robes que des coiffures.
Ma reproduction
           Pour fabriquer ma reproduction, j’ai utilisé un patron de marque Burda dans le model #2447. J’ai utilisé le patron B puisqu’il était le plus similaire à une robe à la française entre les deux options à ma disposition. Cependant, j’ai assemblé  plusieurs sections différemment que ce que me suggérais le patron. En effet, afin d’être le plus fidèle possible historiquement, j’ai décidé de fabriquer la pièce d’estomac de façon à ce qu’elle soit indépendante du haut de la robe. Afin de pouvoir refermer convenablement la robe, j’ai opté pour la couture de boutons à pression sur la pièce d’estomac et à l’intérieur de la robe. Par choix esthétique, j’ai décidé de fabriquer une robe avec deux sortes de tissus différents; un brocard doré pour la robe et un satin rose pour la jupe, la pièce d’estomac et le collier. Bien que les robes à deux tons fussent moins communes à l’époque, je trouvais ce modèle très joli et ai décidé de l’inclure dans ma reproduction.
           Pour des raisons de temps, j’ai malheureusement dû abandonner la fabrication de plis Watteau pour ma reproduction. Ceci fait en sorte que ma reproduction n’est pas exacte puisque, tel que mentionné précédemment, il s’agit d’un élément très caractéristique de la robe à la française. J’aurais beaucoup aimé pouvoir les fabriquer cependant la création de plis Watteau aurais nécessité beaucoup plus de temps que je ne pouvais y consacrer dans le cadre de ce projet scolaire. En effet, il s’agit d’un élément qui n’a pas été pris en compte dans le patron acheté et aurait donc nécessité la fabrication d’un patron sur mesure.
Sources
AGRON, Suzanne. Le costume féminin, Paris, Librairie Jacques Lanore, Collection Précis d’histoire du costume, tome 1, s.d., 162 p.
BORD, Pauline. «La Robe à la Française, l’indémodable du XVIIIe siècle», rochefortenhistoire.wordpress.com, 15 mai 2015, consulté le 4 mars 2017.
https://rochefortenhistoire.wordpress.com/2015/05/15/la-robe-a-la-francaise-lindemodable-du-xviiie-siecle/
CULLEN, Oriole. «Eighteenth-Century European Dress», metmuseum.org, octobre 2003, consulté le 4 mars 2017.
http://www.metmuseum.org/toah/hd/eudr/hd_eudr.htm
«Détail d’une robe à la française», tempsdelegance.com, 27 février 2012, consulté le 4 mars 2017.
http://tempsdelegance.com/2012/02/detail-dune-robe-a-la-francaise.html
FUKAI, Akiko; IWAGAMI, Miki; KOGA, Reiko; NII, Rie et SUOH, Tumami.
FASHION une histoire de la mode du XVIIIe au XXe siècle, Paris, Éd. Taschen, Les collections du Kyoto Costume Institute, Volume I : XVIIIe et XIXe siècle, 2012, 287 p.
HERBENOVÁ, Olga; KYBALOVÁ, Ludmila et LAMAROVÁ, Milena. Encyclopédie illustrée du costume et de la mode, Paris, Gründ, Collection Encyclopédies, 1980, 600 p.
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