Tumgik
#bande de petits coquins
humeurs-des-plaisirs · 7 months
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Le cocu
Admire ta femme, Regarde la s’apprêter de ces lingeries coquines, Se faisant un devoir de se présenter, Dans ses plus beaux atours, Tu la sais espérer ce moment, Pleine d’appétit pour cet inconnu, Et déjà tu l’imagines en appétit, Mouillée de ses pensées vicieuses, Et toi prêt à combler cette ambition de plaisir.
Devant son invité, En hôte prévenant, Tu lui dévoiles son corps prêt à l’amour, Tu lui dis ce qui la fera succomber, Tu la fait se mettre à ses pieds, Et tu lui tend cette laisse de pouvoir, Pour qu’il lui donne ce qu’elle attend, Et tu t’installes sur le fauteuil, Au premières loges du spectacle, Qu’ils vont te donner.
Chorégraphie de ses envies, Regarde son regard gourmand, Face à cette queue qui s’offre Sa langue baveuse qui lèche. Sa bouche qui s’ouvre en Ô, Et se laisse envahir jusqu’à la garde, La gorge déformée par ce gland avalé Son souffle court après cette gorge profonde, Son regard pétillant de bonheur qui te fixe.
Quand tu fermes les yeux, C’est pour mieux entendre ses soupirs, Quand le coquin la pénètre, La petite chienne face à toi, Jappe son plaisir, Et appelle à l’outrance. Dans ce rut animal où les corps claquent Ecoute la crier, Jurer L’appeler à la saillie,
Putain, Regarde la baiser avec alégresse, Emportée par ce désir femelle d’être possédée, Saisie par ses mains fermes qui la tiennent Admire le balancé de ses seins, Cadencés par cette queue conquérante, Qui lui défonce le cul et le con, Savoure quand son regard se perd, Emportée par le tsunami de sa jouissance, Le corps secoué des spasmes libérateurs.
Qu'elle est belle après l’amour, Quand reconnaissante, Elle vient lover son corps nu contre toi, Caresse sa peau encore bouillante, Le con baveux et maculée de foutre, Constate maintenant qu’elle te revient, Tu bandes de désir pour elle, Toi, qu’elle reconnait comme unique,
… Son cocu !
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Texte original : PSganarel
Les humeurs du valet
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calpurnia612 · 4 months
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Les dames de Brassens
Sur l'air (approximativement) de la chanson Mélanie
Les coquines de l'ami Georges dans ses airs drôles autant qu'osés qu'il racontait à pleine gorge qu'il savait si bien composer,
s'appelaient Ninon ou Fernande sans perdre de vue Mélanie ces joyeuses filles en bande imaginons-les réunies
Quand c'est l'oreille que l'on rince ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
Avec leurs prénoms de grand-mères elles avaient des charmes infinis pour les soldats de toutes guerres qu'on voit sur les clichés jaunis
quand ils mouraient sous la mitraille en Algérie à Diên Biên Phu ils ne rêvaient pas de médaille mais à leur enchantement fou
Que les culs serrés se décoincent ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
Ces oiselles de bon augure qui narguaient un ordre établi héroïnes toutes en luxure ne tomberont pas dans l'oubli
car sous leurs manières peu sages les bidasses et les carabins imaginaient sous les corsages dont elles s'allégeaient pour le bain
Qu'elles soient de Paris de province ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
Ces ombres dans les cimetières font bander à coup sûr les morts qui se branlent tous dans leur bière devant ces jolis petits corps
Quelquefois elles ressuscitent sous la guitar' d'un vieux poète voici leurs appas d'Aphrodites quand ce gars leur chante fleurette
Elles sont pour les gueux pour les princes ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
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problematicseries · 1 year
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NEW FANFIC SERIE - PROBLEMATIC SEASON 2
18+ content, minors dni
/!\ MAJOR SMUT, +18 CONTENT /!\
NOTE : this is all for fun, please keep in mind that no hate is sent to any of the people mentioned, THIS IS A FANFIC FOR FUN 🩷
All of the people mentioned in the fanfic are adults
synopsis : Suite à un bal de promo plus que désastreux, tu va passer tes vacances avec tes amies dans un hôtel luxueux réservé uniquement à l’élite de la jeunesse de Los Angeles. Vous croyez que les vacances allaient être de tout repos ? vous vous trompez.
FR FANFIC
Mentions de Jang Wonyoung (IVE), Woonggi (Boys Planet), Jay (Enhypen), Ningning (Aespa), Rosé (Blackpink), Intak (P1H), Jake (Enhypen), Zhang Hao (ZB1), Natty (Kiss of life), Chaewon (Le Sserafim), Kazuha (Le Sserafim), Mingi (Ateez), Keeho (P1H), San (Ateez), Ricky (ZB1), Sangyeon (The Boyz), Juyeon (The Boyz), Sumin (Xikers), Fatou (Blackswan)
Episode 1 - Another round
Les doux rayons du soleil filtrent à travers les rideaux, caressant délicatement ton visage et te réveillant en douceur. Tu sens la chaleur du corps d'Intak près de toi, ses bras musclés t'enveloppant tendrement. Il murmure doucement, "Bonjour princesse."
Tu souris, reconnaissante pour ce tendre accueil matinal, te sentant choyée et aimée dans ce moment de grâce.
Tu te tourne doucement vers Intak, lui souris tendrement et réponds, "Bonjour Intak."
Puis, tu te rapproche doucement et l'embrasse avec douceur. C'est un moment tendre, empreint de la douceur de la matinée, qui renforce votre connexion et ravive les émotions de la nuit précédente.
Intak caresse tes hanches sous la couette avant d’attraper tes fesses.
“J’en ferais bien mon petit déjeuner” dit-il en fermant les yeux.
“Non pas maintenant Intak, je dois rejoindre Kazuha pour déjeuner, je ne veux pas être en retard” tu lui réponds, posant la main sur son torse.
“Fais moi plaisir princesse” insiste t’il, serrant ta fesse dans sa main, embrassant ton cou.
La poigne d'Intak se fait sentir de manière ferme et assurée, sa main enserrant ta fesse avec détermination. Chacun de ses doigts exerce une pression qui témoigne de sa possessivité. C'est un geste qui exprime son désir de ton corps, mais aussi une certaine volonté de marquer son territoire.
Ses doigts musclés révèlent une force qui ne laisse pas de place au doute. Dans ce contact, il y a quelque chose de primal, une affirmation de sa présence et de son désir. C'est un mélange troublant de passion et de possession qui imprègne l'atmosphère de tension électrique.
“Intak je dois vraiment aller me préparer, si t’es sage on peut arranger ça ce soir…” tu lui dis en lui faisant un clin d’œil.
Il lâche ta fesse, se couche sur le dos, soupire et ferme les yeux avant de te dire “Va rejoindre Kazuha et laisse moi mourrir de faim ici”
Il est joueur, tu aimes ça.
Tu te mets sur le ventre et lui dit “T’as le droit de mordre une seule fois”.
Tu le regardes avec un air coquin attendant sa réaction.
Ses yeux sont grand ouverts, il te voit sur le ventre, les fesses prêtent à être dévorées, il ne sait pas si il t’obeit ou s’il se laisse aller à ses dérives primales.
“Tu t’offres au grand méchant loup, tu le sais ?” murmure t’il, se rapprochant lentement mais dangereusement de tes fesses.
“Ne me mangez pas toute crue je vous en supplie” tu lui dis, la tête contre les coussins, tu sais ce que tu fais.
Tu joues avec la patience d’Intak.
Il est a quelques centimètres de ton corps mais à l’air de vouloir se contrôler.
Tu veux être celle qui contrôle Intak.
Quand soudain, étendue sur le ventre, la tête enfoncée dans les coussins moelleux, sous les rayons chaleureux du soleil, tu cambre doucement ton dos.
La cambrure accentue ta chute de reins, tes fesses se relevant à une certaines hauteur.
Le déjeuner était servi pour Intak mais il n’avait droit qu’à un seul croc.
“Tu peux pas me faire ça, je bande déjà” dit-il avant de se mettre derrière toi.
Tu sens son pénis en érection contre tes pieds, tu ne sais pas si il va tenir encore longtemps.
“Un seul croc j’ai dit” tu dis d’une voix joueuse.
Intak s’approche, tu ressens son souffle sur tes fesses, tu cambres le dos un peu plus.
Intak soupire “Oh ma princesse tu veux jouer ?”.
Tu gémis un “oui”.
Il agrippe tes fesses avec ses deux mains, il joue avec.
Tu commences “C’était pas le deal Int-“ avant qu’il ne t’interrompes en léchant ta fesse à pleine langue.
Le contact de la langue d’Intak semble réveiller chaque centimètre de ta peau. De ta nuque à ta chute de reins, une délicate onde de frissons parcourt ton dos, créant une sensation à la fois électrisante et agréable. C'est comme si Intak avait le pouvoir de réveiller chaque fibre de ton être.
Il commence à retirer ton string avant que tu ne l’arrêtes.
“Intak on av-“ tu lui dis avant qu’il ne t’interrompes encore une fois.
“Tais toi princesse, je te laisserais pas sortir d’ici tant que je t’aurai pas dévoré ton petit cul” te réponds t’il.
C’est exactement ce que tu voulais, mais tu voulais voir jusqu’où il pouvait aller.
Il déchire ton string en une fraction de seconde avant de caresser doucement ton trou.
Tu gémis le prénom d’Intak.
Il lèche et commence à mordre l’une de tes fesses, tu lâches un soupir.
“Putain ton cul est si beau, je pourrais le regarder pendant des heures” te dit-il, le regard posé sur tes fesses.
Tu ricanes dans les coussins.
“Oh donc tu te joues de moi ?” te répond t’il, le ton un peu plus ferme.
Tu sens le matelas s’enfoncer légèrement.
Intak s’était mit sur ses deux genoux, approche son bassin de tes fesses et commence à frotter son pénis en erection contre tes fesses.
“Princesse, tu va devoir dire à Kazuha que je m’occupe de toi” avant de cracher un filet de bave sur tes fesses.
“Intak, je suis pas encore à l’aise pour ce qui touche à la sodomie” tu lui dis en tournant la tête.
Il te répond sur un ton très bas “Qui a parlé de sodomie ?”.
Tu sens le gland d’Intak frotter ta fente, s’humidifiant de ta mouille.
“Je vais juste te montrer qui a le contrôle ici” dit-il en faisant rentrer toute la longueur de son pénis en toi.
Tu gémis fortement.
Il gémit également avant de te dire “Qu’est ce que t’es serrée bordel”.
Il prend en main tes hanches, faisant de doux va et viens dans ta chatte.
Les va et viens s’accélèrent, s’accordant en rythme à tes gémissements, cette matinée ressemblant à la nuit dernière.
A un détail près.
Intak rassemble tes cheveux en une queue de cheval avant de tirer brutalement dessus.
Ton dos se cambre encore plus.
Intak accélère ses coups de reins tout en tirant sur tes cheveux, des grognements de plaisir s’échappent de sa gorge.
Tu essaies de contenir tes gémissements, il est hors de question qu’Intak sache à quel point il est bon.
Ne tenant tes cheveux qu’à une seule main, il te donne une violente fessée avec sa deuxième main.
Tu n’arrives plus à contenir tes gémissements.
“Ah tu vois, t’aimes ça princesse” dit-il, fier de lui.
Sa respiration s’accélère, il gémit de plus en plus fort.
“Ça monte princesse” te dit-il.
Toujours joueuse, tu lui réponds “Non Intak, pas maintenant”.
“C’est moi qui décide, t’es ma chienne” te répond t’il avant d’écraser ta tête dans les coussins, prenant appui sur ta tête, donnant des coups de reins encore plus puissants.
Il se retire et éjacule sur ton dos.
Il soupire, se couchant sur le dos à côté de toi.
C’était plus brutal, plus violent, plus primal qu’hier soir, tu as adoré ça.
Intak possède donc plusieurs facettes, tu le savais romantique mais tu venais de découvrir son côté un peu plus violent, possessif au sujet de ton corps.
Tu le regardes, il ne bouge plus.
“Euh Intak ?” tu lui dit.
“Oui Princesse ?” te répond t’il
“Tu peux aller chercher des mouchoirs stp ?” tu lui réponds.
“OH OUI DÉSOLÉ PRINCESSE” il se lève et t’essuie le dos avec des mouchoirs.
Il te retourne et t’embrasse tendrement.
“Et penser qu’hier soir j’étais encore vierge” tu dis en rigolant.
“Ah oui c’est vrai, j’y ai pas été trop fort ? j’ai tendance à me laisser m’emporter…” te répond t’il.
Comment ça “tendance” ??? Tu savais qu’il n’était pas très clair avant votre relation mais tu ne t’attends pas à ce que tout Paradise sache comment Intak est au lit.
“Oui ça à été” tu lui réponds froidement.
“ça a ÉTÉ ?” te répond t’il en levant un sourcil, fier de sa performance.
Tu enfiles ton peignoir en lui disant “Je suis sûre que d’autres hommes à Paradise font exactement la même chose que toi, même peut être mieux” cherchant à le provoquer.
Intak te regarde fixement, son regard empreint de jalousie et de possession. D'une voix sérieuse et un poil agressive, il demande, "Qu'est-ce que tu viens de dire ?".
“Je dis juste que c’était pas exceptionnel, peut être que d’autres hommes font mieux quoi” toujours dans la provocation.
La tension dans l'air devient presque palpable lorsque Intak se rapproche de toi, son regard brûlant de colère. Il attrape ton menton, te fixant droit dans les yeux avec une intensité déconcertante. Ses paroles sont chargées de menace, résonnant dans l'espace entre vous.
"Couche avec un autre homme à Paradise et je te promets que tu ne pourras plus marcher", dit-il d'une voix dure et menaçante. Chaque mot résonne dans l'atmosphère, créant un sentiment de danger imminent. C'est un moment tendu, où les émotions semblent sur le point d'exploser, laissant planer une incertitude pesante dans l'air.
Tu souris, et lui dis “Excuse moi mais Kazuha m’attend”.
Il se décale, et te laisse entrer dans la salle de bain.
Tu prends ta douche.
Tu sors de la salle de bain et voit Intak devant la baie vitrée sur son téléphone.
“Je ne rigole pas, ne t’avise pas de donner ton corps à d’autres hommes” dit-il devant la baie vitrée, ne te regardant pas.
Tu apprécies le côté possessif d’Intak mais il va un peu trop loin.
“Mon corps ne t’appartient pas Intak” tu lui réponds.
Le souffle court, tu sens Intak s'approcher, la tension dans l'air devenant presque insoutenable. Ses pas résonnent lourdement, porteurs de colère. Il s'immobilise à quelques centimètres de ton visage, son regard brûlant d'intensité. Un silence pesant s'installe, chaque seconde semblant durer une éternité.
“Ta bouche est a moi, tes mains sont à moi, tes fesses sont à moi, ta petite chatte mouillée est a moi, ton corps est a moi”
dit-il, son regard intense et dénué de toute trace de légèreté.
“Je ne plaisante pas, ne t’avise pas de toucher un autre homme” conclues t’il.
Tu le fixes avant de répondre “Je ne te dois rien Intak”.
Il prend soudainement un air supérieur, te montre son téléphone et réponds “Très bien, je vais appeler Chaewon et la baiser pendant que tu va manger avec Kazuha ?”.
Tu prends une grande inspiration avant de répondre “Je me ferais un plaisir de me faire son frère” toujours dans la provocation, ne sachant pas comment votre discussion se terminera.
“Juyeon ?” te répond t’il en souriant.
Pourquoi cet abruti se met à sourire ?
“Oui Juyeon” tu réponds en fronçant les sourcils.
“T’as pas trouvé mieux ? Ce mec a aucune classe, tu savais juste pas qui citer après que je t’ai donné le nom de Chaewon” te répond t’il en ricanant.
“J’ai embrassé le mec qui a “aucune classe” l’été dernier” tu lui réponds avec un grand sourire.
Le léger sourire sur le visage d’Intak s’efface.
“Ose l’embrasser une nouvelle fois, tu le regretteras” dit-il en te fixant.
“Sors de ma chambre Intak.” tu lui réponds.
“Pas avant que tu me promettes que tu ne l’embrassera pas à nouveau” te répond il.
Tu lui dis une nouvelle fois “Sors”.
Peut être qu’il comprend qu’il n’est pas le seul à vouloir être menaçant.
Intak se dirige vers la porte de ta chambre, s’arrête un instant avant de te dire “Écoute moi bien, t’es à moi maintenant, amuse toi tant que tu veux mais ça aura toujours des répercussions”. avant de fermer la porte derrière lui.
S’il savait que tu le provoquais simplement à la base mais que c’est lui qui a envenimé la chose en parlant de Chae… pourquoi à t’il pensé à Chaewon tout de suite ? Pourquoi à t’il encore son numéro ? Tu ne sais plus si tu peux lui faire encore confiance.
Tu te brosses les cheveux devant le miroir, prends ton sac à main et va au déjeuner avec Kazuha.
Tu quittes ta chambre d'hôtel et rejoins la voiture où ton chauffeur t'attend. Il te conduit vers le lieu où Kazuha vous attend pour votre brunch. Le trajet est paisible, te permettant de te détendre vis à vis de ta dispute avec Intak.
Une fois arrivée, tu retrouves Kazuha, assise sur la terrasse. Kazuha se tient là, une vision de beauté et d'élégance décontractée. Ses cheveux longs et lisses encadrent délicatement son visage, retenus par des barrettes qui ajoutent une touche de grâce à son apparence. Elle semble dévouée à son téléphone, un air de tranquillité éclairant son visage.
Elle porte une brassière et un jean ample, alliant confort et style avec aisance. Sa tenue met en valeur sa silhouette gracieuse tout en soulignant son sens du confort. L'ensemble dégage une aura de détente et d'authenticité, reflétant la personnalité chaleureuse et accueillante de Kazuha. C'est un plaisir de la retrouver dans cet état d'esprit, prête à partager un moment agréable ensemble.
Elle te voit et sourit avant de t’inviter à t’asseoir.
« Je te rappelle qu’on devait se voir hier soir » te dit-elle avec un regard curieux avant de continuer « Tu étais avec Intak ? »
Grillée.
“On peut vraiment rien te cacher” tu réponds à Kazuha.
Elle rit avant de reprendre un visage sérieux.
“Attends t’étais vraiment avec Intak ? Vous avez couché ensemble ??” dit elle bouche bée.
“MOINS FORT KAZUHA” tu lui dis en mettant ton doigt sur sa bouche.
“Ça va, je suis juste surprise que t’ai fait ta première fois avec lui” dit elle en prenant la carte des menus.
“En l’occurrence… on l’a fait deux fois” tu lui réponds en regardant ailleurs.
Kazuha lache la carte des menus.
“MAIS QUELLE COQUINE” te répond elle en s’exclamant.
“KAZU” tu lui répond en faisant les gros yeux.
“AHAHAHA ça vaaaa tu vas pas faire la sainte maintenant” elle te répond en te donnant un petit regard coquin.
Heeseung s'approche de vous, vêtu de son tablier de travail, ajoutant une touche de professionnalisme à son charisme naturel. Les mèches de cheveux qui encadrent son visage ne font que renforcer son allure captivante.
Son regard se pose sur toi, illuminé par un sourire chaleureux et accueillant.
"Un martini pour débuter le repas ?" propose-t-il avec une voix empreinte de courtoisie et d'enthousiasme.
Il connaît ton cocktail favori.
Tu ne peux t'empêcher de sourire en retour, appréciant son attention et son professionnalisme.
« Heeseung ? tu travailles ici ? » tu lui demandes.
Kazuha répond « Oui, monsieur ne souhaite pas profiter de l’argent de papa donc il a décidé de gagner son propre argent en me préparant de bonnes petites salades ».
Heeseung lève les yeux au ciel.
Tu reprends « Tu connais mon cocktail favori ? » en souriant
« Je suis un homme attentif au plaisir des jolies femmes » répond t’il en s’inclinant.
Kazuha le frappe avec la carte des menus.
« Je vais appeler votre manager » répond t’elle.
Vous rigolez tous les trois et lui indiquez votre choix pour le menu.
« Bon, passons au choses sérieuses, Jang m’a dit qu’elle allait passer te voir hier soir, ça s’est fini comment ? » tu questionnes Kazuha.
« En fait… elle m’a fait beaucoup de peine à chouiner dans sa robe de créateur sur laquelle son mascara avait déjà bien coulé. Et suite à l’altercation qu’on a eu plus tôt dans son salon, je me suis rendue compte qu’elle avait raison à propos de Mingi.. ce n’est pas à moi de lui donner mon avis sur les filles qu’il fréquente si tu vois ce que je veux dire ». dit-elle en sirotant son jus de carotte.
Tu acquiesces et est heureuse que les tensions dans ton groupe d’amies se soient évaporées aussi rapidement, malgré le comportement impardonnable de Jang il y a quelques jours.
Le repas se déroule parfaitement bien.
« Reste assise, c’est moi qui t’invite pour cette fois, ce brunch m’a fait le plus grand bien » tu dit à Kazuha en te levant.
« Oh t’es adorable, c’est toujours un plaisir pour moi de te retrouver ici tu sais » elle te répond.
Tu te dirige vers la caisse pour régler et aperçois Heeseung derrière le comptoir, un sourire en coin éclairant son visage. Il te demande si le repas s'est bien passé.
Il n’en avait pas grand chose à faire, c’était juste les questions de base concernant son travail.
Puis, le regard coquin, il te tend le ticket de caisse, et tu découvre son numéro inscrit au dos. Il ajoute d'une voix joueuse, "Au cas où tu souhaites que je te fasse découvrir les vagues de Paradise."
Son geste et ses mots portent une pointe de subtilité et de charme, laissant entrevoir une invitation à partager un moment privilégié. C'est une proposition intrigante, et tu sens ton cœur battre un peu plus vite face à cette possibilité.
Tu sors ta carte de ton sac pour régler mais Heeseung te devance et paie avec sa propre carte.
« Nan en fait, tu dois venir ce soir faire du surf avec moi, tu me dois ça pour avoir payé ton repas » dit il en souriant, fier de son coup.
Amusée par son culot, tu lui réponds « D’accord, à ce soir Heeseung » en souriant.
Tu sors du restaurant et fais signe à Kazuha pour lui dire au revoir.
Cet après midi c’est activité Tennis a Paradise avec Jang.
Tu choisis ta tenue pour l'activité.
Tu portes un petit haut blanc moulant qui met en valeur ta silhouette, assorti d'une mini jupe blanche à volants. Pour compléter le look, tu porte une visière blanche transparente qui ajoute une touche de style tout en protégeant tes yeux du soleil éclatant de Paradise. C'est une tenue à la fois élégante et fonctionnelle, parfaite pour profiter de l'activité tout en restant confortable et bien habillée.
Tu es en avance et profite de ce moment pour jeter un œil à ton fil Instagram. Soudain, tu sens une présence à côté de toi et tourne instinctivement la tête. C'est Jay. Il s'assoit à côté de toi, sa présence imposante et intimidante. Sa main repose fermement sur ta cuisse, sa poigne puissante ne laissant aucun doute quant à sa détermination.
Un silence tendu s'installe, chaque seconde semblant durer une éternité. Son regard intense fixe le tiens, créant une tension palpable dans l'air. C'est un moment où les émotions semblent sur le point d'exploser, et tu reste là, attendant de voir ce qui va se passer ensuite.
« Jolie jupe » te dit-il
« Merci Jay, tu participes à l’activité cet après midi ? » tu lui réponds.
« En effet oui, je suis plutôt doué de mes mains » dit-il en remontant sa main sur ta cuisse, glissant sous ta jupe.
Tu regardes sa main remonter doucement, tu sens ses doigts, puissants mais doux, se faire leur chemin jusqu’à arriver à ta culotte.
Tu gémis en agrippant l’épaule de Jay.
« Arrête Jay, tu sais que tu peux pas faire ça » tu lui dis en reprenant ton souffle.
Il mets son indexe et son majeur à sa bouche, les suce, puis retourne à ta culotte, avant de la faire glisser sur le côté et enfiler ses deux doigts dans ta fente.
« Je fais ce que je veux tu sais, j’en ai rien a faire d’Intak » dit-il le regard insistant et plein de désir.
« Jay arrête s’il te plaît » tu lui demandes, tu ne le penses absolument pas. La sensation de ses doigts en toi est tellement agréable, la façon dont il fait tourner ses doigts en toi en même temps qu’il les enfonce est tel une violente caresse.
Quand soudain tu entends « Oh t’es déjà là ? »
C’était Jang qui arrivait derrière vous, de l’autre côté du terrain.
Jay retire ses doigts très vite avant de les lécher, il te rend folle à chaque fois qu’il fait ça, comme s’il raffolait de toi.
« Oh Jay, qu’est ce que tu fais là ? » demande-t-elle, curieuse de sa présence à tes côtés.
« Je participe à l’activité Tennis cet après midi » lui répond t’il, léchant encore le bout de ses doigts.
« Tu penseras à bien te laver les mains avant, je veux pas que ta salive se retrouve sur les balles et les raquettes » lui répond t’elle avec un air de dégoût.
Donc Jang n’a rien vu ?
« Oui je suis arrivée plus tôt ! Kazuha et moi avons déjeuné ensemble ce midi » tu dis à Jang, tentant de rendre l’atmosphère plus sereine.
Jang sourit « Faudrait qu’on se fasse une soirée filles ce soir, je pense qu’on a pas mal de choses à se raconter »
Si elle savait.
L'activité tennis se déroule, et malgré l'excitation du jeu, tu sens le regard insistant de Jay sur toi à plusieurs reprises. Chaque fois, son désir est palpable, créant une tension électrique entre vous. Tu réalises que si Jang découvrait son comportement, les conséquences pourraient être graves pour vous deux.
Une fois l'activité terminée, Jang t'invite à la soirée entre filles qui aura lieu ce soir. Tu réponds avec enthousiasme et remonte dans ta chambre pour enfiler un maillot de bain pour aller surfer avec Heeseung.
Tu choisis un bikini blanc, à la fois élégant et sexy, pour rejoindre Heeseung sur la plage. Le haut met en valeur ta silhouette avec une touche de séduction subtile, tandis que le bas complète parfaitement l'ensemble, il s’agit en fait d’un bas de bikini string blanc. Tu te sens d'humeur joueuse, prête à profiter de l'instant présent, tu repenses à ce qu’Intak t’a dit plus tôt dans la matinée.
Tu n’es la propriété de personne, et s’il faut jouer au jeu de la jalousie, vous y jouerez ensemble.
Chaque mouvement dans ce bikini blanc dégage une confiance tranquille, tandis que tu t'apprête à rejoindre Heeseung sur la plage baignée de la lumière tamisée du crépuscule. C'est un moment où tu te sens à l'aise dans ta propre peau, prête à partager un moment agréable avec lui. Tu retrouves ensuite Heeseung sur la plage, où le soleil commence à se coucher.
Heeseung te voit arriver sur la plage et un sourire éclaire son visage. Il sort de l'eau, sa planche à la main, et tu remarques les gouttes d'eau glisser le long de son torse musclé. Ses cheveux mouillés lui confèrent un air à la fois décontracté et sexy. Il s'approche de toi, l'océan semblant accentuer la lueur de détermination dans son regard.
Cet instant est empreint d'une aura séduisante, la plage baignée de la douce lumière du crépuscule, et Heeseung qui se rapproche, rayonnant de confiance et d'énergie. Le bruit des vagues en arrière-plan ajoute une touche apaisante à cette atmosphère chargée d'anticipation.
« Tu es donc venue… tu es magnifique » dit-il, admirant maladroitement ton corps dans ton petit bikini choisi pour l’occasion.
« Merci Heeseung » tu lui répond en remettant une mèche derrière ton oreille.
« Bon, je te fais surfer ? » dit-il en te tendant la main.
L’invitation est trop tentante.
Tu prends sa main avant de répondre « Avec plaisir Hee ».
Il sourit, serre ta main et vous courez tous les deux en direction de l’océan.
Heeseung prend le temps de t'apprendre à surfer, créant un moment de complicité et d'apprentissage que tu apprécies énormément. Ses instructions sont précises, et tu sens sa présence rassurante à tes côtés pendant que vous vous aventurez dans les vagues.
Ses mains guident délicatement ton dos, te procurant le soutien nécessaire pour trouver ton équilibre. Parfois, tu sens son contact sur tes fesses, te guidant avec assurance.
La sensation du surf et l'océan qui vous entoure créent une atmosphère d'aventure et d'évasion, renforçant votre connexion dans ce cadre idyllique.
Tu glisses soudainement de la planche et atterris dans les bras de Heeseung, qui était resté dans l'eau. Tu ressens la fermeté de ses pecs sous tes mains, un contact à la fois rassurant et électrisant. Vos regards se croisent, et il te demande avec un sourire bienveillant : "Tout va bien ?"
Sa voix empreinte d'inquiétude et de gentillesse te rassure, tandis que tu sens sa présence solide et rassurante. C'est un moment fugace mais significatif, où tu réalise à quel point tu te sens à l'aise avec lui, même dans des situations inattendues comme celle-ci.
« On ferait mieux de retourner sur la plage, tu commences à fatiguer » te dit-il.
Vous retournez ensemble sur la plage, les mains toujours soudées ensemble.
Tu décides que c'est le moment idéal pour rendre Intak jaloux et lui faire regretter ses paroles de ce matin. Alors que Heeseung est étendu sur le sable, tu pose ta main parfaitement manucurée sur ses abdos, créant un instant captivant. Tu saisis ton téléphone et prends une photo de cette scène.
Tu postes ensuite la photo dans ta story Instagram, suggérant que vous passez un agréable moment à la plage. C'est un petit jeu subtil, une façon de réaffirmer ta confiance en toi et de montrer à Intak que tu es capable de prendre les choses en main.
En postant la story avec ta main gauche, ta main droite, au préalable posée sur les abdos de Heeseung, descends doucement sur son short de bain, inconsciemment.
« Je ne savais pas que le surf te faisait autant d’effet » te dit-il, les yeux toujours fermés, couché sur le sable.
Gênée, tu retires rapidement ta main qui était au niveau du penis de Heeseung.
Cependant, tu as ressenti sous ta main qu’il était plutôt imposant, alors qu’il ne bandait pas.
Tu secoues la tête pour penser à autre chose.
« Excuse moi, ma main a glissée j’ai pas fait attention » tu lui réponds, toujours aussi gênée.
« C’est ce qu’on dit oui » dit-il en ricanant.
Tu te retournes sur le ventre pour commencer à regarder les réactions face à ta story.
Soudain, tu sens une main se glisser sur tes fesses, et la main en question, agrippe ta fesse droite.
Tu te retourne et vois Heeseung avec un petit sourire en coin te dire « Excuse moi, ma main a glissée ».
Vous riez tous les deux.
Tu regardes l’heure et te rends compte que tu dois partir sinon tu seras en retard pour la soirée filles.
« Merci Heeseung, c’était parfait » tu lui dis avant de lui faire un bisou sur la joue.
« Avec plaisir, n’hésite pas, si tu veux me voir, tu sais où me trouver » dit-il en faisant un clin d’œil.
Tu souris et te diriges vers le bâtiment principal de Paradise.
Tu montes dans l’ascenseur, les yeux rivés sur ton téléphone.
Les portes de l'ascenseur commencent à se refermer doucement lorsque soudain, Intak les arrête d'un geste rapide pour entrer dans l'ascenseur avec toi. Un frisson de surprise parcourt ton échine, sentant l'atmosphère changer brusquement.
« Me dis pas que t’étais habillée comme ça avec le gars de ta story » dit-il d’un ton furieux, te regardant de haut en bas.
« Nan, mon bikini était encore plus remonté » tu lui réponds avec un sourire insolent.
Soudainement, Intak t’attrape la gorge, te plaque contre la paroi de l’ascenseur avant de te dire « Tu te crois maligne ? »
Tu le regardes et souries, tu sais qu’il va péter un câble et ça t’amuses.
Il resserre sa main, ne te laissant que très peu d’oxygène « Tu ne me connais pas, tu sais pas de quoi je suis capable si tu me rends fou ».
Toujours dans la provocation tu lui réponds en souriant « T’es un petit toutou, tu va absolument rien faire, j’ai passé une super bonne soirée dans ce petit bikini très serré ».
Tu espères qu’il va réagir et être jaloux.
Tu ne vas pas être déçue.
Il relâche ta gorge.
Intak se retourne et appuie sur le bouton d’arrêt d’urgence.
« Qu’est ce que tu fous Intak ? » tu lui réponds, dans l’incompréhension.
Intak revient devant toi et t’arraches le bas de ton bikini.
« INT- » tu commences avant qu’il ne mette sa main sur ta bouche.
« Maintenant tu la fermes, je vais te montrer à qui tu appartiens petite chienne » te répond t’il avant de retirer sa ceinture et baisser son pantalon.
T’as peut être poussé Intak un peu trop loin.
« Et si quelqu’un- » tu réponds avant qu’il ne t’interrompes à nouveau.
« ferme la je t’ai dis » te répond t’il avant de cracher sur son pénis et te le rentrer d’un seul coup avant de te soulever, de manière à ce qu’il ait ta poitrine face à son visage et tes jambes autour de ses hanches.
Ses coups de reins reflètent la rage qu’il a en lui contre toi.
« Il te baise comme moi je te baise salope ? Ose me dire qu’il te fait ressentir la même chose que moi » dit-il en grognant, son pénis détruisant complètement ta chatte.
Il y va tellement fort que tu ne peux même pas lui répondre.
« Réponds moi sale chienne, est ce qu’il te baise aussi bien que je te baise ? » dit-il d’un ton furieux.
« Nan Intak » tu laisses échapper entre deux gémissements.
« T’es à moi, tu comprends maintenant ? » dit-il, ses coups de reins devenant de plus en plus brutal.
Ses va et viens ne s’épuisant pas, il lèche tes seins et te marque d’un suçon sur le sein.
Tu adores ça, Intak est tellement bon quand il est énervé.
Il se retire et te repose sur tes pieds avant de te dire « À genoux maintenant ».
Tu le regardes et lui réponds « Quoi ? »
« À genoux j’ai dit » dit-il en appuyant sur tes épaules.
Tu t’agenouilles devant Intak alors qu’il continue de se masturber.
« Tire la langue » dit-il, te regardant avec insistance.
Toujours joueuse, tu réponds « non » avec un signe de la tête.
Il te tire les cheveux en arrière, approche son visage du tiens, et te répond « tu ouvres la bouche et tu tires la langue, je vais marquer mon territoire ».
Tu t’exécutes et tire la langue.
La respiration d’Intak s’accélère, il te regarde et lève la tête en fermant les yeux avant de gémir.
Il éjacule sur ton visage, étale son sperme sur tout ton visage avec son pénis avant de dire « T’es fière de toi ? ».
Il appuie sur le bouton d’arrêt, l’ascenseur se remet en marche.
Il remet son caleçon et referme son pantalon pendant que tu remets ton bikini.
Aucun mot ne sort de vos bouches.
« Ne m’oblige plus à refaire ça » dit-il d’un ton plus que sérieux.
L’ascenseur s’arrête à ton étage, tu sors de l’ascenseur avant de dire « À plus tard Intak » en faisant signe de la main.
Tu te presses de rentrer à ta chambre, priant pour qu’elle soit vide.
Dieu merci Woonggi n’est pas là.
Tu va te doucher et enfiles une brassière avec un pantalon de jogging, tu t’attaches les cheveux en une queue de cheval et monte à l’appartement de Jang.
Tu envoies un message à Sangyeon en lui demandant si demain soir il est disponible pour le restaurant qu’il t’a promit.
Il te répond que oui et qu’il lui tarde qu’il t’y emmènes.
Tu souris.
Tu entres dans l’appartement de Jang quand soudain, Kazuha se retourne vers toi, te tendant son téléphone au visage en te montrant ta story instagram avant de te demander : « Est ce que je peux savoir pourquoi ta main est sur les abdos de mon petit frère ? ».
« Je- » tu réponds avant que Ning ne t’interrompes.
« Et c’est reparti » dit-elle en soupirant, prenant une gorgée de son cocktail rose/violet.
Tu vois Jang, adossée contre sa baie vitrée, les bras croisés.
Elles attendent une explication.
« On a fait du surf ensem- » tu commences avant que Jang ne t’interrompes.
« ET IL T’AS BAISÉ ? » dit-elle, se tenant droite.
Ning met sa main devant sa bouche, attestant de son choc.
« NON, on a fait du surf ensemble c’était sympathique, ça m’a changé les idées, j’ai juste pris cette photo pour rendre Intak jaloux » tu réponds dans la précipitation.
Kazuha baisse son téléphone avant de demander d’un air curieux « Pourquoi tu veux rendre Intak jaloux ? »
« Parce qu’en le taquinant ce matin, il m’a menacé d’aller coucher avec Chaewon » tu réponds en soupirant.
« QUOI ?! » s’exclame Ning, faisant tomber son verre par terre.
« PUTAIN TU FAIS CHIER NING, LE PARQUET EXOTIQUE ÇA SE LAVE PAS SI FACILEMENT » s’exclame Jang.
« Comme si c’était toi qui nettoyait » répond Ning en levant un sourcil.
« C’est absolument pas le sujet ? » répond Jang.
Kazuha prend le pic à glace situé dans le seau à champagne devant elle avant de te dire « Qu’il aille se refaire cette poufiasse, il sait pas à qui il a affaire ».
Tu repousses doucement la main de Kazuha.
« Non on blesse personne physiquement Kazuha » tu lui répond.
« Qu’il fasse attention à ce qu’il dit alors » te répond t’elle.
Jang se retourne avant de dire « Ça explique toujours pas pourquoi t’es allée surfer avec Heeseung »
« Ses abdos sont durs ? » demande Ning
« Je suis JUSTE LÀ » répond Kazuha en regardant Ning
« Hihi désolée ça va je suis curieuse » lui répond t’elle.
« Il m’a proposé d’aller faire du Surf avec lui et j’ai accepté ! c’était sympa » tu répond en regardant Jang
« Caresser ses abdos ça faisait partie de l’apprentissage ? » demande Jang en ricanant
Ce qui ne fait pas vraiment rire Kazuha.
« C’était pour rendre Intak jaloux, je l’ai déjà dit » tu lui réponds.
« Si tu le dis » dit elle en servant un autre verre à Ning pendant qu’un employé nettoie celui que Ning a fait tomber juste avant.
« Tu me saoules Jang » tu lui réponds.
Elle te regarde en souriant « Oui moi aussi je t’aime »
Vous discutez ensuite d’Hunter, Ning a vraiment flashé dessus.
« Tu essaieras de pas coucher avec lui cette fois ci, sauf si c’est déjà fait » tu dis en regardant Jang.
« Très drôle » dit-elle avant de prendre une gorgée de champagne.
Ning s’enfonce dans les coussins du canapé, enroulée dans son plaid, avant de continuer « Non plus sérieusement, il est doux, il est grand, il est gentil, il s’intéresse à ce que je fais et j’adore son sourire… »
« Et sois disant il est TRÈS BIEN MONTÉ » répond Jang.
« JANG ?? » vous vous exclamez Kazuha et toi.
« QUOI ÇA VA ON PEUT PLUS RIGOLER ICI » dit elle, détournant le regard.
« Tu lui as proposé de sortir ? » demande Kazuha
« Non, j’ai peur qu’il me dise qu’il n’est pas intéressé » répond Ning.
Jang pose son verre sur la table et empoigne le téléphone de Ning.
« Qu’est ce que tu fais ?? » demande Ning.
Jang tapote quelques secondes sur le portable de Ning avant de lui rendre et dire « Tu viens officiellement de lui demander s’il est libre pour sortir demain soir ».
« T’es genre, insupportable » dit Kazuha en regardant Jang et levant les yeux au ciel.
Soudain le portable de Ning se met à vibrer.
*1 NOUVEAU MESSAGE : HUNTER*
Ning hésite à l’ouvrir, puis le lit à haute voix.
« Ça me ferait très plaisir Ning, on se voit demain soir au restaurant de Paradise ? » dit Ning, la voix tremblante avant de crier.
« Merci qui ? » demande Jang en reprenant une gorgée de champagne.
Les douces caresses de Kazuha dans tes cheveux ont un effet apaisant sur toi. La sensation de ses doigts glissant à travers tes mèches te berce peu à peu dans un état de détente profonde. Ton corps se relâche, et finalement, tu t'endors sur le canapé, enveloppée dans cette douceur réconfortante.
FIN DE L’ÉPISODE 1
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double-croche1 · 2 years
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[CHRONIQUE CINÉ] SANS FILTRE de Ruben Östlund
Quatre ans après sa Palme d’Or obtenue pour ‘The Square’, le suédois Ruben Östlund a récidivé avec ‘Sans Filtre’, en salles aujourd’hui. Palme non méritée mais satire redoutable d’efficacité comique.
Après la Fashion Week, Carl et Yaya, couple de mannequins et influenceurs, sont invités sur un yacht pour une croisière de luxe. Tandis que l’équipage est aux petits soins avec les vacanciers, le capitaine refuse de sortir de sa cabine alors que le fameux dîner de gala approche. Les événements prennent une tournure inattendue et les rapports de force s'inversent lorsqu'une tempête se lève et met en danger le confort des passagers.
Très drôle, que ce soit via ses dialogues et via ses situations, et incarné par un casting au diapason (dont la récemment regrettée Charlbi Dean), le film est un rouleau compresseur du monde de la mode, des conventions hommes-femmes, des très riches et de la pyramide sociale. N’ayant pas peur de mettre les deux pieds dans le plat, Ruben Östlund tape sur tout ce qui bouge avec un malin plaisir. Le réalisateur ne joue certes pas la carte de la légèreté et les sujets traités sont bien évidemment « faciles », à part celui de la première partie qui tend brillamment une situation sociale anodine jusqu’au malaise comme il l’avait déjà fait dans ‘Snow Therapy’ (2014). Il n’empêche, le résultat est là et sans appel : si le film ne nous rendra pas meilleur ni moins bon, il a le mérite de nous avoir fait beaucoup rire !
Rempli de bonnes idées de mise en scène-aussi simplistes soient-elles parfois (du type « faisons tanguer un bateau et voyons ce qui se passe » ou encore « opposons un capitaine américain communiste à un client russe capitaliste ») et fort d’une belle photographie, le long-métrage suit un découpage en trois parties. Si les deux premières parties sont excellentes, avec une mention spéciale pour la partie centrale qui est tout bonnement hilarante, la dernière partie patine fortement en comparaison. Le coquin Ruben Östlund a été trop gourmand.
Quoi qu’on en dise, ‘Sans Filtre’ reste un bonheur de méchanceté bien huilée comme on les aime.
Bande-annonce : https://bit.ly/3ftxHKP Date de sortie française : Mercredi 28 septembre 2022 A&B
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muscle-teen · 3 years
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Ce mec c'est Jérémy un nerd dans un club d'échec, il a 15 et c'est le mec le plus gentil qu'il existe mais il n'a pas d'amis, et il est gay meme si personne ne le savait.
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Moi je m'appelle Maiko et j'ai le pouvoir de changer l'intellect, l'intégrité et la morphologie de chaque individu avec qui j'ai un contact visuel.
Et j'ai décidé d'user de ce pouvoir quand j'ai vus Jeremy ce faire taper par des brutes du lycée.
J'ai alors décidé par commencer a lui donner une silhouette sexy mais quand le faire? Il me faut un contact visuel avec lui.
Je luis ai donné un rendez vous anonyme dans les vestiaires du club de foot et je me suis caché. J'ai donc pus commencer la transformation.
J'ai commencé avec 30 kg de muscle en plus car c'est trop sexy. J'ai rendus ca mâchoire plus masculine et des plus grand yeux. Et je luis ais mis un paquet de poils sur ses petit pectoraux déjà si sexy.
Et je le voit déjà si beau il est magnifique, je me rend soudain compte sue je bande deja, je suis dur comme de la pierre il m'excite trop.
Et je commence ma meilleure partie les muscles.
Je luis ais mis des abdos en béton il n'auras jamais a les entraîner tellement ils sont fort et bien symétrique avec quelques poils mais pas trop juste ce qu'il fait. Ha première réaction de Jérémy je le voit se lever du banc sur lequel il est assis il cherche dans la pièce ce qu'il se passe.
Merde il arrive vers moi.
Il m'a trouvé et me demande des explications et je luis ais tout dit.
Il enlève son t short et flex un peu ses abdos et je voit qu'il adore grâce à son grand sourire mais aussi avec le bosse qui se forme entre ses jambes.
Il m'a pris la main avec un sourire coquin et les as mis sur ses abdos.
Il a fait monter ma main sur ses pectoraux et j'ai compris ce qu'il voulait.
J'ai donc fait bien gonfler ses pecs sexy en pecs d'hommes musclé d'au moins 20 ans avec les poils que j'ai mis plus tôt ça rend terriblement sexy et torride.
Tout le monde voudras coucher avec lui maintenant, je l'ai donc changer en conséquence et changer sa bite de 16 cm en un monstre droit et épais de 24 centimètre.
Je la voit gonfler toute seul dans son caleçon et il ma vite pris la main pour la plaquer contre son membre virile en pleine expansion.
L'expression du son visage montre bien qu'il ne se contrôle plus et que sa bite parle pour lui et c'est bien normale elle doit être puissantes.
Et c'est génial de le sentir prendre une telle t'aille dans le creux de ma main et il a apparemment aimé également car il m'a ejaculer dans la main 🍆💦 sans même le masturber.
J'ai également augmenter la taille de ses couilles et leur capacité de production de sperme, maintenant il devras prendre un verre pour ejaculer car il en met partout le coquin.
Ensuite j'ai décidé de lui augmenter la taille de ses biceps ainsi que de ses triceps il pourra dominer sans problème n'importe quel mec.
J'ai aussi gonfler son cul car il avait l'air un peu trop plat dans un jean et vus sa réaction il aime également beaucoup, tellement qu'il se frotte a ma queue, et apparament ça me fait aussi beaucoup d'effet.
J'ai ensuite grossit ses jambes avec des cuisses de quaterback et des gros mollets, il a un large sourire coquin qui montre bien qu'il aime ça être un monstre de muscles c'est génial.
Il a aimé que c'est sur lui que j'ai utilisé don pouvoir il m'envoie donc régulièrement des photos de son physique d'Apollon pour me remercier et peut être pour m'éxciter et ça marche.
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femme-de-cocu · 2 years
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histoire vécue : 
Nous sommes vendredi, j’ai fini journée et le frigo de la maison est vide. Il est presque 19h00 et je me précipite vers une grande surface pour faire quelques courses en me disant qu’il est heureux que le vendredi ce genre de magasin ferme à 20h00. Je descend au deuxième sous sol du parking et stationne ma voiture dans le fond pour avoir moins de manœuvre à effectuer puis me dirige vers l’ascenseur qui me mènera directement dans le magasin. Comme d’habite je suis habillée de manière très sexy, une jupe bien courte, des bas autoportants, des hauts talons et un chemisier bien provoquant. Cette tenue n’échappe d’ailleurs pas aux hommes qui se trouvent encore dans les allées. je sens très bien leurs regards se poser sur mon corps et je lis dans leurs yeux tout un tas de cochonneries qui leurs traversent l’esprit. Je n’hésite pas à me montrer provocante a chaque fois que j’en ai l’occasion. Je termine mes courses alors qu’une voix annonce la fermeture imminente. Je passe à la caisse assez rapidement car a cette heure et contrairement a mon arrivée, il n’y a maintenant presque plus personne. Je règle ma note et descend avec ma charrette dans le parking ou il n’y a plus que ma voiture. J’ouvre le coffre et commence a y placer les différentes marchandises que j’ai acheter. 
Quelques mètres plus loin, tapis dans l’ombre, un homme m’observe vicieusement. D’où il se trouve, il peut voir quand je me baisse dans son coffre, la limite de mes bas et même une partie de mon cul. Ce type qui m’a suivie discrètement dans les rayons du magasin puis ensuite jusqu'à ma voiture bande certainement comme un âne en m’observant. A pas de loup, il s’approche de moi et quand je me trouve a sa portée, il pose une main sur mon cul. Un peu surprise, je me redresse et me tourne d’un coup vers l’inconnu. Il est grand, plutôt costaud, de type magrébin, cheveux court, yeux noirs. Il me regarde avec insistance dans les yeux puis les baisse vers mes seins. 
Je ne panique pas le moins du monde en prenant la parole : 
-  « Je peux savoir ce que vous désirez ? »
-  « Je veux te baiser. »
-  « Comme ça, sans faire les présentation ? »
-  « Avec les tenues de pute que tu porte, c’est tout ce que tu cherche non ? » Je suis toujours très excitée par ce genre de discourt et de déclaration et cette fois ci, je ne déroge pas à la règle. Je sens mon sexe qui commence à mouiller de plus en plus quand cet homme pose une main sur mon sein droit. Le tissus est tellement léger que je sens très bien la chaleur de la paume de cet inconnu sur mon seins nu sous le chemisier comme souvent. - « Tu es à poil sous ta blouse salope. » 
- « Comme toujours. » - «Et sous ta jupe aussi?» Alliant le geste a la parole, il glisse sa main sous ma jupe 
- « Espèce de petite pute, tu n’as rien sous ta jupe. » Je lui souris et adopte un regard des plus coquin avant de m’abaissée et de dégagé la pine tendue de cet étranger qui me regarde médusé que les choses se passe ainsi. Lui qui imaginait devoir utilité la force pour me faire entendre raison, le voila bien surpris par ma réaction. A peine le sexe du gars est il sortit de son antre que je le prend dans ma bouche pour entamer une fellation dont j’ai le secret. Le mec n’en peut plus, il sent qu’il va jouir très vite mais il ne veut pas, il est là pour me baiser et il compte bien le faire même si je pensais pouvoir éviter ça en le faisant jouir avec ma bouche de suceuse. Soudain, il m’attrape par les cheveux et me redresse en disant : 
- « J’ai dit que je voulais te baisée sale pute. » Brutalement, il me retourne et m’enfonce la tête dans le coffre. Je repose maintenant avec le ventre sur le bord de celui-ci. L’inconnu gémis, souffle, grogne. Il remonte ma jupe pour découvrir mon cul qu’il touche et pétris avec fermeté. 
- « Tu vas voir ce que tu vas prendre espèce de salope. » Je ne répond pas mais je suis hyper excitée par ce traitement sans ménagement. je sens le sexe de l’inconnu se positionné à l’entrée de ma chatte, dans la position que j’adopte sans l’avoir nécessairement choisie, je sais que son sexe est à la hauteur idéal pour une bonne pénétration en profondeur. D’un coup sec ce mec m’enfonce la bite profondément en moi, je ne peux m’empêcher de gémir brouillemment. 
- « Tu aime ça salope ? » Il me prend par les cheveux tout en me posant la question et comme je ne répond pas , il répète : 
-  « Alors pouffiasse, je t’ai demandé si tu aimais ça ? »
-  « hummmmmm ouiiiiiiiiii c’est bon. » Quand il entend la manière dont je lui répond, il se sent encore plus excité, il se redresse un peu plus, empoigne mes hanches de et commence a me limé rapidement et brutalement. Ces coups de reins sont de plus en plus rapide, de plus en plus fort. Le rebord du coffre me fait mal au ventre mais mon excitation et ma jouissance est trop grande que pour m’en plaindre. Ca ne dure pas longtemps avant que je ne sente mon baiseur inconnu ressortir de ma chatte détrempée et que je ne sente ensuite des jets tièdes venir s’écraser contre mes fesses nue sous des râles et des grognements de jouissances. Quand je reprend un peu mes esprits que j’avait légèrement perdu suite a une pénétration et une jouissance aussi brutale et que je me redresse, le ventre rougis par le frottement contre le rebord du coffre de ma voiture, l’étranger n’était plus là. je suis seule, la jupe relevée sur les hanches et les fesses couvertes de foutre. Je m’ajuste doucement puis remonte dans ma voiture épuisée. De retours chez moi, je suis soulagée de voir que mon mari n’est pas encore rentré, je pourrai prendre une douche et enlevé toute trace de sperme de mon cul avant que mon homme n’y mette la main. 
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alexar60 · 4 years
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Sur le bureau
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Jusqu’à ce jour, elle n’était jamais venue chez moi. On se voyait à l’extérieur et finissions la nuit dans son appartement. Je n’avais pas honte, l’occasion ne s’était jamais présentée et c’était trop petit. Durant mes premières années universitaires, je vivais dans un studio de quinze mètres carré comprenant une salle d’eau, un placard et une kitchenette. Autant dire qu’il ne restait rien une fois le clic-clac déplié. Alors, pour gagner de la place, j’avais acheté deux bibliothèques et posé dessus une grande planche afin d’avoir un plan de travail. Il prenait assez de place puisqu’on pouvait même se cacher facilement dessous, cette partie me servait de rangement.
La première chose qu’elle remarqua fut donc mon bureau. Elle sourit avant de s’assoir dessus tout en signalant qu’il était trop haut pour baiser. En effet, je devais utiliser une chaise ergonomique afin d’écrire. Ses jambes se balançaient dans le vide pendant qu’elle scrutait les murs. Elle fut intriguée par une affiche, c’était une réplique d’une couverture de bande dessinée. Elle représentait une jeune femme rousse avec un pistolet dans la main. Elle ajouta : « C’est coquet, je ne voyais pas ton appart comme ça » avant de laisser planer un court silence au quel je mis fin en actionnant ma mini-chaîne.
Elle fut étonnée de découvrir mon attirance pour les vinyles. J’aime leur son, le petit crépitement dès qu’on pose le saphir sur le disque. Elle se laissa bercer par la voix de Chet Faker avant de demander si j’avais quelque-chose à boire. Dès lors, je lui tournai le dos, sortant une bouteille de vodka du freezer. En posant les deux verres sur la table basse, je découvris son petit jeu excitant.
Comme souvent, elle ne portait pas de culotte. Elle avait relevé sa jupe tout en écartant les cuisses. Son visage se fit coquin affichant un sourire malicieux au coin des lèvres. Je restai stupéfait par ce qu’elle faisait. Je savais qu’on ferait l’amour cette nuit seulement, elle avait pris la décision sur la façon de son déroulement. Enfin, elle improvisait.
« Tu as l’intention de rester comme un con à me reluquer ? » déclara-t-elle. Dès lors, je sortis de mon étonnement et m’approchai commandé par sa voix qui m’ordonna de m’assoir face à elle. Sa chatte était à une coudée de mon visage. Elle était très baba-cool, très hippie, d’ailleurs elle était capable de se promener nue sur une plage ou d’aller en ville pieds nus et habillée uniquement d’un poncho. Elle était capable de ne pas se laver pendant trois jours mais, elle épatait sur deux choses : son hygiène dentaire et celui de son intimité. En effet, elle se lavait toujours les dents trois fois par jours et elle entretenait son pubis en l’épilant régulièrement.
Le spectacle de cette toison légère presque transparente émerveillait mes yeux. Ils pétillaient attendant je ne sais quel ordre car je me sentis obligé d’attendre contrairement à la fois précédente et justement, consciemment ou inconsciemment, j’avais le sentiment d’avoir été trop gauche. Elle se délectait de mon visage candide admirant son sexe comme une œuvre d’art. Puis, elle murmura : « Vas-y doucement, pas comme la dernière fois ».
Lentement, j’approchai la tête mais sa main m’arrêta tout-à-coup. « Non, laisse-moi diriger » dit-elle. Ses cuisses s’écartèrent encore plus montrant sa souplesse puis elle proposa que j’embrasse autour de son sexe, laissant mes lèvres gouter sa peau douce. Elle frémit dès que j’osasse avancer le bout de la langue.
Soudain, j’arrêtai regardant sa fente m’appeler. Elle était rose ressemblant à la fleur du même nom. Elle soupira pour signaler son agacement d’attendre. J’humectai mes lèvres et retournai dans ce travail délicat. Ses mains agrippèrent ma tête alternant ensuite entre caresses et grattements d’ongles. De mon côté, je commençai à glisser ma langue d’abord sur ses lèvres intimes. Je m’amusai à les séparer tout en écoutant ces conseils. Puis, je dessinai un ovale formant les bords de son délicieux abricot. Je sentis que son jus émergea de plus en plus, alors, j’ouvris la bouche et aspirai cette substance au goût chaud de fer. Mon effet ventouse la surprit au point de laisser jaillir un petit cri. Elle pencha la tête en arrière puis s’allongea sur le bureau sans porter attention à mes affaires.
Pris par son breuvage naturel, je ne sentis pas ses mains lâcher ma tête pour s’engouffrer sous son pull. Elle caressa sa poitrine, tantôt elle malaxa fermement ses seins tantôt elle titillait ou pinçait leur pointe devenue dure. Elle soufflait de plus en plus cherchant à retenir un cri trop vif. De mon côté, je continuai à lécher son sexe inondé de salive et de mouille. D’ailleurs, mon menton commençait à être couvert de cette mixture aphrodisiaque. Parfois, elle me guidait, me demandant de m’occuper de ses zones érogènes, en particulier d’émoustiller son clitoris. Le petit bouton devenait ma cible privilégiée car à ma grande surprise, elle ne voulait pas que je pénètre un doigt dans sa chatte luisante. Alors, je m’exerçai au son de ses petits gémissements d’approbation, je léchai, suçai, avalai en faisant le plus attention possible. Sa main venait quelquefois m’offrir une caresse en guise de remerciement ou plutôt en signe que je suis sur la bonne voie.
Ma langue  contournait son pubis. Soudain, elle me demanda de focaliser sur la partie entre son sexe et son anus. Aussi, j’acceptai, léchant à coups rapides cette partie sensible. Mais sans prévenir, l’entendant gémir plus souvent, je décidai de frotter son sphincter anal sans le forcer. Elle ne réagit pas, continuant à râler doucement. Alors, je décidai d’aller contre sa décision en enfonçant un doigt puis deux dans son vagin. Détendue, elle répliqua par quelques roucoulements soufflés pendant qu’elle se mordait les lèvres.
Je stabilisai mon majeur et mon annulaire avant de plier leur première phalange afin de les accrocher au sommet de son pubis. J’avais vu ça dans une vidéo. Soudain, je remuai mon bras d’avant en arrière sans m’arrêter, obligeant ainsi mes doigts à frotter son bas-ventre. Elle fut surprise au point de plier ses genoux, ses mains se rétractèrent comme pour protéger son bas-ventre. Elle hurla de plaisir limite à supplier lorsque je vis des éclaboussures souiller ma chemise ou s’éclater le long de mon avant-bras et sur le bord du bureau. Je n’en revenais pas de voir qu’elle pouvait éjaculer.
Juste après avoir retiré mes doigts, elle souffla se demandant ce qui venait de se passer. Elle s’excusa, persuadée avoir pissé mais non, c’était bien un liquide translucide qui jaillit hors de son corps. Elle reprit ses esprits en se relevant tout en m’observant et en se demandant comment j’avais pu avoir cette idée. Je n’ai pas su réellement répondre.
La sensation la troubla si bien qu’elle ne put dire exactement si elle avait joui ou pas. « C’est comme si des centaines de papillons venaient de quitter mon ventre » expliqua-t-elle vaguement. J’essuyai mes doigts trempés sur mon pull taché, il était bon pour une machine. Ensuite, elle partit se nettoyer dans la salle de bain avant de revenir et boire un verre de vodka. Nous discutâmes. Elle proposa quelques idées de déco et après avoir fait l’amour, nous nous endormîmes en rêvant de bêtises insignifiantes qu’on aime rêver quand on est amoureux.
Alex@r60 – janvier 2021
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claudehenrion · 4 years
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Masques… et autres joyeusetés épouvantables...
  Hier soir, samedi, donc, une bombe nucléaire a dévasté le triste microcosme partiellement confiné (charité bien ordonnée commence par… les autres !) de nos nuls officiels : l'Académie de Médecine  a fait une “conversion à 180°. Bien sûr, sans reconnaître qu'elle s'est trompée du tout au tout sur tout… et nous a trompés, par la même occasion– depuis le début de cette crise. Elle a le culot de sortir du chapeau du prestidigitateur que "le port généralisé d'un masque devrait être rendu obligatoire”, y compris les “masques alternatifs” (= ceux bricolés à la maison). Et ce, osent préciser ces hiérophantes mandarinisés, “afin de limiter la propagation du coronavirus pendant le confinement et après sa levée”. Mais quelle horreur, et quelle impudence ! Il faut les “sédater” tous, et le plus rapidement possible !
  Pendant des semaines, les mêmes badernes et ce Gouvernement qui n'en rate pas une (qui d'autre que lui a décidé du choix de ces bouffons ?) nous avaient expliqué le contraire exact de ce qu'ils racontent aujourd'hui, en “experts” que croient être les nuls choisis par Macron dont on sait la difficulté à s'entourer de gens compétents ! Mais ces lumignons étiques sans éthique sont les seules fausses excuses qu'a trouvées un pouvoir vacillant –mais menteur– pour prendre à sa place toutes les décisions graves, celles sur lesquelles il n'a rien à dire d'autre que “c'est pas moi qui l'a dit, c'est çui-là, le petit chauve juste derrière moi !” Ce n'est même plus une cour de récréation (elles sont vides, depuis le confinement), c'est un face à face tragique entre une troupe de clowns tristes et une bande de rigolos sinistres.
  Bref… les mêmes masques qui ne servaient à rien jusqu'à hier midi inclus (NDLR - je précise : ce “billet” a été écrit dimanche matin, sous le coup d'une colère noire…), ont choisi ce week-end  printanier pour nous révéler…  qu'ils sont, en réalité, non seulement utiles à quelque chose,  mais que plus une seule des victimes du “confinement” ne pourrait bientôt sortir “sans”. Traduction en jargon macronien : tout “con trevenant” (autrement dit, vous et moi !) s'expose à une amende de 135€ s'il ne fait pas expressément ce qu'on lui défendait violemment jusque là.  Et pourtant… qu'est-ce qu'ils avaient l'air d'y croire, à la fantasmagorie qu'ils nous serinaient : les masques, tous les masques, étaient génétiquement programmés pour ne filtrer que dans un sens… C'est-y pas beau, ça, Madame ?
  D'accord, personne n'y croyait –comme toujours : on a été à bonne école ! Oh ! Pas parce que c’était une stupidité : il y a longtemps que les français ne se révoltent plus devant les “foutages de gueule”, accablés qu'ils ont été sous les mensonges de la Gauche pendant 40 ans de magistère intellectuel ravageur et 5 longues années de hollandisme imbécile, puis sous ceux du “progressisme” En Marche (sic !), depuis trois ans. Ils ont appris que leur révolte ne sert à rien devant les certitudes contre nature des crétins triomphants : dans un régime “progressiste”, toute velléité de vérité est condamnée, avant même d'avoir été exprimée…
  Tout le monde la connaissait, cette vérité sur les “masques à sens unique” : la Fontaine, ce génie (qui a donc été retiré des programmes), l'avait imagé à sa jolie manière dans le ‘Renard et les raisins’ : “ils sont trop verts, et bons pour des goujats”.  La pénurie de masques étant exclusivement due à l'incurie de la machine étatique (par ailleurs si coûteuse !), il était de la plus grande importance de protéger les petits copains-grands coquins responsables de ce drame. Vite… inventer un bobard ! Et comme plus c'est gros, plus ça passe, on a osé cette monstruosité des masques intelligents et sélectifs : dans le méga-bordel ambiant, ça avait une chance de passer inaperçu !  Mais  la ficelle était trop grosse ! Tout a explosé !
  En écrivant ces mots, on met le doigt sur un autre scandale d'Etat, tout aussi révoltant : où sont passés les 5 ou 600 millions de masques envolés, et pourquoi ce gouvernement n'en a-t-il commandé aucun non seulement avant, mais encore pendant la crise sanitaire actuelle ? Réponse : le macronisme est rigoureusement incapable d'envisager de reconnaître ses torts : c’est, croit-il, synonyme de ‘’perdre la face’’. Au départ de Xavier Bertrand du ministère de la Santé, en 2007, il y avait 773 millions de masques dans les stocks stratégiques. Au déclenchement de la crise “Covid 19”, il en restait, nous a-t-on raconté, 135 millions. En réalité (de l'aveu du nouveau ministre socialiste Olivier Véran, la semaine dernière), moins de 100 millions… On frémit, en pensant à quoi doit ressembler le chiffre exact ! Cet autre scandale, qui s'ajoute au précédent dont il est indépendant, démontre le manque absolu de “vista” de nos dirigeants qui sont aussi peu préparés à diriger un pays que moi à être… je ne sais pas quoi ! Protonotaire apostolique, par exemple !
  Le tout se résume à une seule idée : le “je m'en foutisme” incommensurable de nos “élites-sic” en ce qui concerne la “gestion en bon père de famille” des deniers de l'Etat… qui est l'argent ponctionné,  parfois, mais le plus souvent volé (cf. la CSG version Macron, à + 25,45 % d'augmentation mensongèrement dite “1,7” !) aux pauvres contribuables, bien à plaindre. Il est vrai que la Gauche ayant décrété, contre toute évidence, toute intelligence, toute expérience et toute sagesse, que la fonction de “Père” se résumait à celle de “donneur de gamètes” (Ah ! Les cons !), comment s'inspirer de lui pour ‘’gérer”” quoi que ce soit ?
  “The devil hides in details”, dit un proverbe anglais qui se traduit par : le diable se cache dans les détails. Un petit virus même pas haut comme 3 pommes (il s'en faut de beaucoup !) a sans même chercher à le faire, ouvert toutes grandes les portes de tous les manquements, mensonges, fautes (certains disent “crimes” et ont porté plainte !) de notre caste politique. Un espoir : que “le jour d'après” incite les électeurs à chasser à jamais les brebis galeuses, les cuistres, les nuls… et quelques autres. Ce serait, au moins, une bonne conséquence du drame sanitaire, fabriqué et tellement mal géré, que subit l’humanité, en ce moment-même.
H-Cl.
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Augustin: I love you.
Alan: what ? why ? I mean... Of course you do! Who wouldn't want a piece of this? I'm awesome.
Alan: ...But seriously, why?
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violettedarval · 5 years
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Dans le miroir
Troisième lettre de Violette à Louise
La Chapelle-près-Sées, le 4 Juillet 1927
Louise, ma tendre branleuse.
Je t'écris sans attendre ta réponse à mon dernier courrier, car il me faut confier le trouble dans lequel les mœurs d'ici me plongent. Surtout, ne va pas te faire de mauvais sang : rien n'a démenti depuis mon arrivée l'aménité de ma nouvelle famille et de tous ceux qui m'entourent ici. C'est au contraire leur câlinerie — tu vas me croire folle ! — qui est en partie la cause de ma confusion.
D'abord, sache que mes nouvelles petites sœurs, sous leurs airs de tendrons, sont en réalité d'authentiques coquines. Lorsque nous sommes seules, ou bien, comme samedi dernier, en compagnie des jeunes paysannes avec lesquelles nous partageons nos moments d'oisiveté, elles ne cessent de parler chatteries, de volupté, et d'évoquer mille façons de se toucher ou de foutre. De leurs délicates bouches de poupées tombent des mots qui auraient fait rougir nombre de nos camarades de Sainte Anne. Et les autres filles ne sont pas en reste ! J'en ris mais les choses deviennent troublantes quand elles se tournent vers moi, me demandent quelles gentillesses je me fais, ou bien avec laquelle d'entre-elles j'aimerais en faire, et comment, puis me chambrent quand je reste muette. Je passe ainsi, auprès de la petite bande, pour une fille prude — moi ma Louise ! Mais ce n'est pas tout.
Car ces deux diablesses ne font pas que causer, et je peux t'assurer que de ma chambre, j'entends bien le soir leurs petits gémissements. Pis, je suis certaine que Lorette, et même Mère, quand il leur arrive de passer tardivement dans le couloir, les entendent aussi, bien que rien ne m'indique qu'elle en soient troublées. Tu imagines bien, car tu me connais ma petite gougnotte, dans quel état tout cela me met, et comment il faut que je paluche mon petit poireau avant de pouvoir m'endormir.
~
Puis il y eut cet épisode troublant, jeudi dernier. De retour de promenade, Agnès, Agathe et moi nous installions à l'office pour y prendre notre goûter. Ne trouvant pas Marthe, j'interpellai Lorette, qui me dit qu'elle était « descendue à la cave pour y chercher du vin, avec l’aide d'Émile». Cela fut dit avec un sourire entendu, mais sans sarcasme, et je vis les jumelles sourire de la même façon. Nous nous mîmes à table et rien ne semblait troubler mes sœurs, à en juger par leur appétit. Pis encore était l'absence de trouble de Lorette, qui semblait ne rien trouver à redire à ce jeu entre son époux et madame Darval ! Je décidai de chasser ces questions de mon esprit quand la porte de la cave s'ouvrit. Nous vîmes apparaître Émile, suivi de Mère, la robe et les cheveux tout saupoudrés de poussière. Tout en refaisant son chignon, elle nous salua, annonça qu'elle montait prendre un bain et dit simplement « À plus tard. » à Émile, qui lui rendit la politesse, puis se tourna vers sa femme qui s'était levée, l'embrassa tendrement et lui dit : « À ce soir, ma chérie ! ».
~
Mais surtout, c'est la brûlante aventure que je vécus avant-hier qui me troubla profondément, et me convainquit de la bizarrerie des mœurs de la maisonnée. Il pleuvait fort samedi, aussi restâmes-nous à l'intérieur après le déjeuner. Les jumelles étaient remontées dans leur chambre. J'étais au salon, tentant de m'intéresser à une pièce de Claudel, près de Mère qui lisait ses journaux, quand Lorette passa dans le couloir et lui annonça qu'elle allait faire les chambres, avec dans la voix comme l'attente d'une réponse de sa part. Cette façon me sembla bien curieuse mais maman Marthe se leva en déclarant qu'elle allait l'aider. Ma curiosité fut aussitôt attisée, tu t'en doutes. Tu sais bien comme je hais les sournoiseries et la duplicité. Mais là je ne pouvais plus y tenir ! Comme une voleuse, je me déchaussai avant de monter l'escalier en silence, passai devant ma chambre et celle des jumelles, et me dirigeai vers celle des parents d'où provenaient de petites rumeurs. J'approchai, le cœur battant. La porte étant juste poussée, je plaquai ma main au montant, et l'entrouvris lentement. J'arrêtai mon geste quand je vis, dans le miroir de l'armoire des parents, le plus délicieux des tableaux.
J'avais une vue somptueuse sur le large et émouvant postérieur de Mère. Elle se tenait à genoux et cette position ouvrait bien grand la faille de ses fesses rondes et pleines, m'exposant l'anneau de son fignard bien dégagé à la bague lilas, et sous ses broussailles brunes et denses, les larges et longs rideaux rosés qui bordent son sillon d'amour et s'évasent sur les teintes rouge vif de son joli puits à pines. Seule sa fraise m'était cachée par son majeur qui la massait avec lenteur. Je ne distinguais de Lorette que le compas de ses jambes blanches et grand ouvertes, son entrecuisse m'étant dissimulé par la tête de Marthe qui s'activait à la gougnotter en émettant de petits gloussement étouffés et des murmures de délectation !
Je restai bouche bée. Sans même y penser, je me touchais déjà à l'entrejambe. Regrettant pour le coup que ma petite pine ne fût pas libre, j'écartai les cuisses, et commençai de faire glisser ma main au travers de ma jupe et de mes dessous, sur toute la longueur de mon petit compagnon tout courbé et emmailloté. Je le sentais gonfler, et tel un petit serpent, croître en s'étirant sous les tissus, pointant bientôt jusqu'à l'entrée du sillon de mes fesses. La vue de Mère me chauffait les sangs, avec son cul large et rond, son doigt qui s'affolait de plus en plus sur sa fève dans des bruits mouillés, ses hochements de tête et ses suçons, le tout ondulant au rythme où elle paissait le gazon de la bonne. N'y tenant plus, je baissai un peu ma culotte, et laissai se dégager ma chandelle pour la flatter d'une main sous ma jupe. Je me la polissais lentement, tendant à fond sa gaine, tirant ainsi à chaque fois un peu plus fort sur mon frein qui me fendait délicieusement le gland. Puis, les petits soupirs de Lorette entrèrent dans la danse, de plus en plus aigus tandis que Mère accélérait ses hochements de tête.
J'étais déjà bien près de lâcher mon jus quand je levai le regard et me figeai en croisant celui de la bonne dans le miroir. Elle s'était hissée sur les coudes et je ne sais depuis combien de temps elle m'observait ainsi.Sous le masque de la jouissance, elle affichait un large sourire. Ses yeux allaient des miens à la bosse qui déformait ma jupe et sous laquelle je me branlais. Je crois bien que cette vision contribua à son plaisir. Bien vite, son cri indiqua que celui-ci atteignait son apogée, et le mien me surprit alors, vif comme la foudre. Mon vit, tel un pi gonflé que l'on trait, juta dans les étoffes de longs traits de lait abondants et tièdes, tandis que j'étouffais du dos de la main les cris qui me montaient du ventre en cadence avec la sortie de mon foutre. Lorette y alla de son chant, et Mère n'allait pas tarder à venir aussi. Plusieurs doigts avaient rejoint son médius, et sonnaient le tocsin sur le battant de sa cloche à une allure affolée. Elle se mit à pousser de longs râles, à moitié étouffés par le con de la bonne. Je lâchai encore trois ou quatre jets de sirop chaud et épais, puis avec regret, sans attendre la fin de leur récital, courus à ma chambre et derrière la porte close, retrouvai mon souffle et un peu de calme.
Je ne descendis que pour le souper, après avoir fait une toilette et m'être plusieurs fois bien branlée dans mon bain, car la seule idée de me retrouver à table avec Marthe tout en étant servie par Lorette me rendait déjà bien raide. Le dîner se déroula sans incident notable et je me mis à croire que le spectacle de l'après-midi ne serait jamais plus évoqué. Ce n'est qu'après la lecture du soir, que Lorette me fit signe depuis le couloir avant que je ne monte me coucher. Je la rejoignis. Elle m'entraîna à l'office et me dit tout bas : « Alors, es-tu heureuse ? » Je ne compris pas la question. « De nous avoir vues ! » Je ne savais que dire. Et elle, levant les yeux au ciel : « Je sais bien, va que tu reluques ma croupe ou mes cuisses quand je m'active à l'office pendant que tu rêvasses. Et puis ta maman hein ! — elle me donna un petit coup de coude — tu la guignes aussi, petite souillon ! » Je restai interdite et j'allais m'empourprer. Alors au lieu de répondre, j'ai passé ma main sous son jupon. Tout en me fixant droit dans les yeux, elle me rendit la pareille, et je vis une lueur dans son regard quand sa main lui confirma ce qu'elle avait deviné lorsqu'elle m'avait vue me toucher un peu plus tôt. Tandis que mon dard montait le long de sa paume, son conin doux et chaud s'ouvrait sous mes doigts. Je le caressai un peu, juste assez pour que sa mouille les imprègne, puis je m'enfuis en courant, poursuivie par son rire. Sitôt la porte de ma chambre fermée je m'y adossai, et en respirant son parfum au bout de mes phalanges, je me fis venir en moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire.
~
Est-il possible qu'ici rien ne soit interdit ? Jusqu'où va l'esprit libéral des Darval en matière de sexe ? Si j'ai toujours trouvé les interdits moraux stupides et pesants, l'idée qu'ils n'en aient aucun — du moins de ce que j'en ai vu pour l'instant —, me donne le vertige. Voilà comment je me trouve, deux jours après cette comédie : à la fois perdue, désorientée par tous ces jeux, mais pleine d'une envie encore plus grande de goûter à de nouveaux plaisirs. Et surtout, je suis impatiente de l'arrivée de Père. Non seulement parce que je l'aime beaucoup, mais aussi parce qu'à de nombreuses questions que je pose à Mère sur les autres aspects surprenants de la vie aux Tertres, elle me demande d'attendre que ce soit lui qui y réponde. « Il y tient beaucoup. » m'a-t-elle dit.Je te laisse, ma petite Louise. Sache que j'ai toujours gravé au cœur, l'éclat de ton sourire, que j'entends encore en m'endormant ta voix gouailleuse de marlou, et qu'en fermant les yeux, c'est toujours le parfum de ta petite chatte qui colle sur mes lèvres un sourire d'aise, qui m'accompagne bien souvent jusqu'au réveil.
Ta gougnotte d'amour,
Violette
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cequilaimait · 6 years
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Knut – 7. Samedi – Sensualité bleu pastel – 7.1 La nuit (1/2)
« C’est bon, Kisse est là ? Vous êtes sûr qu’ils sont rentrés ? »
8h30 le samedi matin, dans le salon du petit appartement des Eklund se tint une sorte de mélange entre un conseil des sages et un conseil de guerre. Hakon, Viktor, Sabina… tout le monde s’était donné rendez-vous par SMS, officiellement pour dire aurevoir aux deux invités dont le vol pour la Suisse était censé décoller en fin de matinée, officieusement pour vérifier que leur petit chaton Suédois avait bien passé la nuit au chaud et n’avait fait aucune bêtise. Et vu la gravité des bêtises dont était capable quand il allait mal, il y avait de quoi être anxieux. Heureusement, Claude s’était tout de suite montrée rassurante :
« Oui. Comme je vous l’ai dit alors que vous courriez dans toute la ville hier soir, Justin l’a retrouvé et nous l’a ramené, en plein milieu de la nuit. Franciska et moi les avons sermonnés, puis tout le monde a filé au lit. Là, ils doivent être dans leur chambre en train de dormir ! »
Scrutant la réaction de Lillemor, Hakon trembla, autant de soulagement que de colère. Ils avaient passés des heures à arpenter Stockholm en vain avant de recevoir un message tardif des adultes disant qu’ils avaient mis la main sur les fuyards. D’un signe de la tête, la jeune Suédoise confirma timidement l’information. Il y avait bien du bruit dans la salle de bain quand elle était rentrée. Mais elle n’avait pas pu vérifier si son frère allait bien. Les adultes lui avaient interdit de créer un accident à une heure si tardive, remettant au lendemain les nécessaires explications. Et là, comme ses trois camarades, elle était furieuse comme rarement et n’avait qu’une envie : régler ses comptes à cet enfoiré de Justin, cause de tout ce merdier et de l’horrible crise de son frère. Angélique de prime abord, il avait le démon au corps. Son influence sur Knut était détestable, et il avait fallu une semaine à la jeune femme pour le comprendre. D’ailleurs, là, il était largement temps de tirer hors du lit les deux foireux, un pour le serrer contre ses bras en lui interdisant de recommencer une telle fugue, l’autre pour lui faire la tête au carré et le renvoyer fissa dans son pays élever des chèvres et cultiver des édelweiss.
La porte de la chambre de Knut ne fermant plus à clé depuis un mois et demi, les jeunes n’eurent qu’à la pousser pour entrer en trombe dans la piaule, allumant d’un coup la lumière et criant « Debout » pour que les monstres se réveillent. Ce qui leur fut donner d’observer leur coupa la voix.
*****
« Juju… Tu crois qu’on a raté le dernier bus ? »
Après plus d’une heure blottis l’un contre l’autre à attendre dans le froid, en effet, il y avait de quoi arriver à cette conclusion. Un « Putain » plus tard grommelé par Justin, les deux garçons se décidèrent de rentrer à pieds. En temps normal, il y en avait pour maximum une demi-heure et deux ponts à traverser pour rejoindre Gamla Stan à partir du sud-ouest de Djurgården. Avec la neige qui était tombée et qui ralentissait les mouvements des mal chaussés, il fallait compter dix bonnes minutes de plus et un risque d’engelure aux orteils. C’était encore acceptable.
Machinalement, Justin prévint sa professeure par texto.
« Kisse ok, retour dans trois quarts d’heure. Pas d’engueulade, merci. Pas envie d’avoir mal au crâne pour une question de forme. Déjà que j’ai bu une virgin pina-colada… C’est vachement fort, les jus de fruits, n’empêche… »
Main dans la main pour se la réchauffer et se soutenir en cas de glissade, les deux garçons longèrent donc les quais où d’ailleurs dormait le bateau sur lequel ils étaient montés le mardi précédent, coupèrent entre les immeubles, passèrent devant le Grand Palais et finirent enfin par arriver à destination. Là, devant l’immeuble dans le froid, les attendait Claude, qui les enlaça tous deux dès qu’ils furent à sa portée. Et pour la forme, tout de même, elle les sermonna, mais avec un sourire qui semblait signifier le contraire de ce qu’elle disait :
« Je suis furieuse. Après votre cinéma hier, vous avez osé recommencer aujourd’hui. On était tous morts d’inquiétude. Allez, montez et allez vite vous coucher ! »
Frigorifiés, les deux adolescents montèrent les marches quatre à quatre. Arrivés dans l’appartement, rebelotte, avec un nouveau câlin de la part de Franciska, suivi d’une logique remontrance. Il était tard. Les adultes allèrent immédiatement se coucher. Justin tira Knut vers la salle de bain. Il fallait absolument qu’ils se réchauffent, et pour cela, rien de mieux qu’une bonne douche bouillante. Partagée. Pour économiser l’eau et profiter au maximum d’un peu de chaleur.
D’abord hésitant, Knut ne résista pas lorsque Justin lui déboutonna sa chemise bariolée de violet, de blanc et de prune, puis son body résille. Tout juste grogna-t-il lorsque son collier chocker rejoignit ses chaussettes sur le sol. Mais lorsque son homologue félin lui défit la ceinture et fit tomber son pantalon aux chevilles, puis tira son caleçon pour qu’il termine sa course au même endroit, il ne prononça qu’un seul son gêné :
« Mjau… »
Plaqué contre l’entrée de la douche, il ne pouvait pas faire grand-chose d’autre que de laisser Justin lui caresser les bras, le flanc et les cuisses, entre deux légers baisers sur le torse. Ce foutu chaton aux cheveux roses, il savait y faire pour mettre les autres dans l’embarra…
« Tu bandes déjà ? Attends que je me déshabille aussi ! »
Gêné comme jamais, Knut plongea son visage dans ses mains, assumant du coup cette horrible excitation que rien ne pouvait cacher. Ce qui lui faisait le plus honte ? Son absence totale de pilosité sur tout le corps. La cire était nécessaire à son look. La résille et les poils faisaient mauvais ménage. Et comme il essaya vainement de se justifier, il avait aussi des slips en résille. D’où l’intégrale. Amusé, Justin éclata de rire, puis jeta ses propres vêtements sur le sol. Lui avait une toute petite toison presque duveteuse dans le slip et il l’assumait complètement. Pour le reste, ses quelques poils étaient tellement rares et fins que jamais il n’avait eu besoin de s’en débarrasser. Et vu comment grandissait son corps – avec lenteur, comme pour le coincer indéfiniment à un stade particulier entre l’enfance et l’adolescence –, ce n’était pas près d’arriver. Enfin, là, il n’était pas question de parler beauté, mais simplement de se réchauffer. Poussant Knut sous la douche, Justin ouvrit le robinet. Le premier jet frais les fit sursauter tout deux. Mais très vite, une douce chaleur les enveloppa. L’eau qui leur tombait dessus et ruisselait sur leurs corps était à plus de quarante degrés. Elle était presque brulante. Mais moins que la tendresse du jeune Français qui se serrait à son camarade sans la moindre peur des équivoques. Même si c’était gratuit, il adorait l’embrasser. Partout. Du nombril jusqu’aux lèvres.
Knut se laissa bouffer. À quoi bon résister ? Il n’était qu’un petit chat qui venait de se faire capturer. Les doigts fins de son homologue étaient sa cage. La plus douce et libératrice qu’il n’avait jamais connue. Qu’est-ce qu’il aimait percevoir les lèvres de Justin sur les siennes. Qu’est-ce qu’il appréciait sentir ses coussinets se balader sur son flanc, ses cuisses, sa verge. Qu’est-ce qu’il aimait ce contact des langues, qui s’enlaçaient. Qu’est-ce qu’il aimait lui aussi toucher, tout ce qui était à portée de ses paumes. Qu’est-ce qu’il adorait qu’on s’occupe de lui sous un jet chaud, ce qu’il découvrait à peine, non sans embarra. Mais là, alors que ses cheveux trempés lui masquaient en partie les yeux, qu’est-ce qu’il n’en avait rien à foutre… Les paupières closes, il se laissait guider, et c’était très bien comme ça.
La coquine embrassade dura bien dix bonnes minutes, le temps que la morsure du froid se dissipe. Quand Justin ne lui bouffait pas les lèvres, il lui picorait le cou et les tétons, avant de toujours se rejeter sur son goûter préféré dont s’échappait à chaque fois des miaulements qui voulaient dire « déguste-moi encore ». Puis vint l’heure de passer au shampoing. Le jeune Français avait une idée précise derrière la tête. Son rose n’allait pas bien avec cette soirée. Il voulait passer à autre chose pour la nuit, à sa couleur préférée. Et il fallait bien que Knut goute un jour lui aussi à ce moyen d’expression libératoire. Un peu hésitant, le Suédois finit par accepter. Son camarade pouvait bien lui faire ce qu’il voulait. De toute façon, il n’avait pas la force ni l’envie de résister, à quoi que ce soit. Il s’en remettait complètement à lui. Même si cela voulait dire se laisser manipuler et sacrifier sa couleur naturelle. Après, avec Lilly, il avait l’habitude d’être traité comme une poupée. Pour ce que ça changeait…
Une fois la douche terminée, Knut se retrouva donc assis sur un tabouret, une serviette nouée autour de la taille. Ses gants transparents sur les mains, Justin le coiffa et lui proposa plusieurs teintes. Le temps leur manquait. Le chaton avait dans sa besace des colorations fugaces, rapides à appliquer mais ne tenant que jusqu’au prochain bain.
« J’peux te faire un truc comme le rose que j’avais jusqu’à tout à l’heure ! Il t’irait bien ! Après, je pourrais t’appeler Pinki ! Ou sinon, un beau violet. Moi, j’vais me mettre ma préférée ! Mais toi, faudrait p’têt un truc plus clair ! Je sais ! J’vais te faire ma spéciale « ciel ». Ça ira à merveille avec tes yeux ! Sur ta tête, ça va être top ! »
Complètement paniqué, Knut ne moufta pas pour autant. Il aimait tellement qu’on s’occupe de lui. Et Justin le faisait à la perfection, en prenant bien le temps de le démaquiller et de lui poser un verni dégradé de la base bleu foncé à la pointe bleu ciel pendant que sa nouvelle couleur accrochait à ses crins. Enfin, après quelques minutes d’attente, il put observer le résultat de leurs deux transformations. Justin portait sur ses griffes et ses tifs un profond bleu électrique envoutant. Quant à lui, il se découvrit avec surprise et ravissement dans la glace. Avec au milieu de son visage, ces deux saphirs brillants qui lui servaient à voir. Sans maquillage, il avait les lèvres roses et douces et le teint uniforme. Il était naturellement beau, avec son petit grain de beauté sous la paupière. Son cou était libre. Sa tête, en effet, ressemblait au ciel, avec un bleu très pâle qui, par endroit, tirait vert un blanc fait à la craie et proche de celui des plus beaux nuages. Il faisait ressortir de ses traits une pure innocence, presque irréelle. Le chaton nordique n’avait plus qu’à miauler pour faire fondre n’importe quel cœur. Et pour la première fois de sa vie, il en avait pleinement conscience. Comme ça, torse nu, il ne lui manquait plus qu’un seul accessoire pour qu’il devienne irrésistible. Laissant sa serviette tomber à ses pieds, il alla le chercher en courant dans sa chambre, avant de se représenter à Justin, presque nu, habillé seulement de cette paire de mitaines blanches en résille qui le prenait du creux des doigts jusqu’aux coudes. Les bras lâches contre le corps, il se laissa admirer par son camarade, sans gêne et sans honte. Il souriait et se sentait bien. C’était comme si un léger bruit de violon guidait son âme. Il était beau et se savait beau. Justin l’était tout autant. Même si son organisme s’était bien calmé depuis tout à l’heure, comme le prouvait ce qui pendouillait entre ses cuisses, Knut avait aussi gardé le souvenir de cette soudaine excitation. Là, il se sentait prêt. Il l’était complètement.
« Mjau ! »
« Oui ! Miaou ! »
Dix secondes plus tard, les deux garçons se retrouvèrent dans leur chambre. Pas question de dormir séparés. Comme issus d’une même portée, ils se collèrent l’un à l’autre sous la couette, sur le matelas au sol. Après quelques minutes de flottement, Knut ronronna. Il avait tout à découvrir. Il voulait se faire dévorer jusqu’à la dernière goute de sueur. Comprenant son envie, Justin se plaça à califourchon au-dessus de lui. Une toute petite lueur les éclairait et leur permettait de se voir. C’était largement suffisant pour se sourire et s’embrasser. Et cette fois-ci, Justin ne s’arrêta pas au nombril. Même si cela restait difficile pour lui, il avait depuis l’été clairement passé un cap. Il n’avait plus peur. Ni qu’on lui donne, ni de donner. Knut était tellement doux et lisse à cet endroit-là que tout était plus facile. Il lui suffisait de laisser courir sa langue et ses lèvres, sans ne penser à rien d’autres qu’à ces petits gémissements qui avaient tous la sonorité de légers miaulement aigus. Et pour le coup, le jeune Suédois miaula. Énormément, de plus en plus vite et fort, en s’accrochant du bout des ongles aux draps, tremblant et gigotant de toute part à chaque petit baiser.
« Mi… Mja… Mjiiiiiii… Mjiiiauuuu… Mjauuuuuuuuuuu… Mjau… »
La bouche de Justin était chaude et rassurante. Sa manière de ne rien laisser au hasard et de tout combler dans cette zone, du bas des cuisse au pli de l’aine, incroyablement excitante. Sa salive généreuse avait le même effet que du miel. Elle réparait et soignait les cœurs et les métabolismes. Knut n’arrivait pas à y croire. C’était donc ça, le plaisir ? C’était de ça, dont tout le monde parlait, et que lui avait toujours souhaité ignorer ? Il s’en voulait. Autant de commettre l’irréparable et de rompre son vœu qui lui était si cher que d’avoir été stupidement innocent aussi longtemps. Justin lapait comme un Dieu avec l’innocence d’un ange et la perversité d’un jeune prince romain. Ses doigts qui se baladaient, aussi, et chatouillaient et chatouillaient encore… Knut n’en pouvait plus. Il transpirait. Il se sentait mal, ce qui lui faisait un bien incroyable. Son pouls s’affola. Sa température monta. Son visage se teinta de rouge.
Il miaula une dernière fois
« Mjauuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu… »
Quelque chose s’était d’un seul coup échappé de son corps. Son cerveau avait explosé, victime d’une décharge d’endorphine qu’il n’avait jamais connue jusqu’alors. Il venait de vivre son premier orgasme. Sa toute première éjaculation qui sortit de son corps en trois spasmes successifs à le rendre fou, et dont Justin, souriant, ne manqua pas une goute, bien trop heureux de ce qu’il venait de réaliser et de provoquer. Pour lui aussi, cela avait été le pied. Entendre les petits cris de son partenaire l’avait encouragé et complètement désinhibé. Devant autant d’innocence, pour la première fois de sa vie, il avait eu l’impression de tout maîtriser. Il avait été le maître du jeu, jusqu’au bout de ses petits mordillements qui à chaque fois avait provoqué la réaction voulue. Knut avait complètement été à sa merci. Il le contrôlait. Les deux l’acceptaient pleinement, sans la moindre remise en cause possible. En en ayant pleinement conscience, Justin se redressa sur ses deux genoux, se lécha les lèvres et attrapa la chevelure de son jeune camarade.
Immédiatement, le petit Suédois comprit ce qu’il avait à faire. Il ne prit même pas le temps de se sécher les larmes qui avaient naturellement coulé sur ses joues au moment où son existence avait basculé. Ouvrant naturellement la bouche, il se positionna à quatre pattes et goba ce que Justin lui présentait. Tout simplement. Être guidé l’aidait. Il voulait rendre ce qu’il venait de recevoir, recevoir ce qu’il avait offert. L’intimité de Justin était fine et douce. Il s’en délecta, suivant le rythme imposé. Novice, il acceptait celle leçon. Il voulait tout apprendre. Il adorait. Embrasser lui semblait au moins aussi bon que de l’être. Il s’appliquait et voulait être récompensé, en goutant à son tour à cette fertilité. Son souhait fut comblé lorsque Justin s’accrocha à sa tête et poussa un ronronnement félin.
Cela avait donc ce goût, l’amour ? Tombé à la renverse, les doigts pliés dans sa main couverte de sa mitaine et posée à côté de son visage, Knut attendit quelques secondes avant d’avaler sa propre salive, à la saveur particulièrement marquée parce qu’il venait de vivre. Il avait tout adoré. Les caresses, être choyé, s’offrir à son tour, et même ce baiser que Justin lui déposa sur les lèvres à la toute fin, comme pour le féliciter d’avoir bien travaillé et d’avoir été si généreux dans sa manière d’obéir. L’adolescent le prit de cette manière. Il était parfaitement bien. Heureux. Apaisé. Et la nuit ne faisait que commencer.
Knut ne compta pas le nombre de fois où ils remirent le couvert. À chacune, cela se passa de la même manière. Après un moment un peu fou, le jeune Suédois quémandait un câlin pour pouvoir s’endormir. Puis profitant de la proximité, les mains se faisaient baladeuses, autant celles de Justin que les siennes. Parfois, cela déboucha sur de légers accidents qui tapissèrent le torse de l’un ou de l’autre ainsi que les draps. À d’autres, les baisers remplacèrent les paumes. L’adolescent adora se retrouver tête bêche, dans une position connue entre autres par son numéro, le triple d’un nombre premier. Jamais il n’avait fait des maths en s’amusant autant. Et quel plaisir cela était de donner et de recevoir en même temps. Déjà un peu plus habitué à la chose, il profita de cette liberté pour s’appliquer à copier chaque geste que son partenaire réalisait à l’instant, pour le combler autant qu’il ne l’était. Et Dieu que deux chatons qui usaient tendrement de leur langue, cela l’avait fait miauler, toujours avec des petites pointes aigues à peine audibles.
Enfin, après trois ou quatre fois de ce petit manège qui vers la fin ne débouchait plus sur rien, les deux garçons s’endormirent comme des masses, enlacés l’un à l’autre, front contre front avec leurs cheveux bleus décoiffés décorant leurs oreillers comme une toile de Picasso, datant de sa plus belle période.
Jusqu’au petit matin, donc, où bien malgré eux, après bien trop peu de sommeil pour avoir récupéré de cette nuit, quatre lycéens suédois décidèrent de défoncer la porte de leur chambre et de les sortir des bras de Morphée, sans doute pour les engueuler.
Complètement déboussolé, Knut dégagea la couette qui lui tenait horriblement chaud, puis s’assit sur le bord du matelas en baillant et en s’essuyant l’œil droit du bout de son index décoré. Son intimité parfaitement visible, tout autant que son corps nu totalement imberbe et finement musclé qui manqua de faire tomber Hakon dans les pommes, il était complètement à l’ouest. Tout comme Justin qui, fesses à l’air et sur le ventre, grommelait à ses côtés en se plaquant la tête sous l’oreiller et en cherchant du bout du bras son caleçon qui ne devait pas être loin.
Enfin, encaissant la nuit qu’il venait de vivre et réalisant pleinement où et dans quelle situation il était. Knut trembla, devint écrevisse, plaqua ses deux mains entre ses cuisses, fronça les yeux et hurla de toutes ses forces :
« MAIS BORDEL ! ON PEUT PAS DORMIR TRANQUILLE ? »
Au moins, chose rassurante, il allait parfaitement bien.
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valeriehervo · 6 years
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Des accessoires sexuels pour pimenter ses préliminaires
Il a rangé ses mains et sorti sa plume. Avec laquelle il effleure longuement mon corps de haut en bas et de bas en haut en s'attardant sur mes zones sensibles.
Je suis épuisée par ma journée de boulot ? Il ne se jette pas sur moi comme un mort de faim. Il me masse tendrement la nuque, les épaules, le dos, et plus car affinités, avec une huile subtilement parfumée.
Le lit a des barreaux. Lui, un long ruban tout doux. Il m'attache, je suis tout entière à sa merci.
Il me bande les yeux. Et assouvit ses moindres désirs.
J'entre dans la chambre : la couette est parsemée de pétales de roses.
Il a fait le plein de préservatifs. Entre plusieurs formes, textures et arômes, il me demande de choisir.
Des corps à corps sensuels pour vos préliminaires
Quand il me voit, mon homme a les crocs. Il me mordille le lobe de l'oreille, les lèvres, le bout des seins...
Il me masse les pieds puis me lèche les doigts de pieds, longuement et un par un. Promis, il n'y aura pas de jaloux.
Il n'a peut-être pas fait latin première langue, mais il sait parfaitement ce que cunnilingusveut dire.
Je lui fais un effet dingue. Tellement dingue qu'il ne peut pas attendre. On est toujours dans l'ascenseur, sa main droite glisse sous ma jupe, la gauche sous mon pull.
Il me masse le cuir chevelu, me caresse les cheveux tout doucement.
On est au restaurant, je sens son pied de plus en plus haut sur ma jambe. On zappe le dessert.
Il trouve que je sens bon ; d'ailleurs, il goûte.
Il sait ce qui me fait plaisir, où, quand, comment, combien de temps. Deux, trois baisers sensuels, une main qui m'effleure doucement les seins... Il a sa feuille de route et ne s'en éloigne jamais.
Faire des préliminaires sans les mains ou déguisés
Je suis nue et alanguie devant lui, ses yeux me détaillent sous toutes les coutures comme s'il révisait son cours d'anatomie.
Devant moi nue, il a l'œil qui frise comme un petit garçon devant la vitrine d'une pâtisserie.
Je sens son souffle dans mon cou alors que nos amis n'ont pas franchi la porte.
Ce qu'il propose : je me caresse, il regarde. Après, on fera l'inverse.
Pour ne rien rater des événements, il tient absolument à garder la lumière allumée.
Son œil brille, il a une idée derrière la tête ? On va jouer au docteur. Il a sorti un stéthoscope et une mini-blouse blanche pour moi. Il sera chirurgien. Je serai l'infirmière naïve et... pas farouche.
Place aux jeux coquins... J'ai été une vilaine petite fille, je mérite une fessée, il se dévoue (mais petite, la fessée, hein, on est là pour se faire du bien)...
Il me demande de me déshabiller façon Dita von Teese. Il s'installe dans un fauteuil, confortablement, et m'observe en silence.
Des accessoires mode pour faire monter la température
J'ai glissé mes pieds dans une sublime paire de stilettos, talons douze centimètres. Lui aussi les adore. Tellement qu'il ne veut plus que je les enlève. Oui, même au lit.
Sur le lit, un cadeau m'attend. J'ouvre. C'est une nuisette en mousseline de soie noire.
C'est plus fort que lui, dès qu'il m'aperçoit, il perd le contrôle, ses mains m'arrachent mes vêtements.
C'est lui qui me déshabille et il aime prendre son temps. D'abord les chaussures, puis la jupe, puis le tee-shirt, il dit qu'il aime mon soutien-gorge, etc.
J'ai mis ma plus jolie lingerie. Il le remarque et apprécie. Il me l'enlève quand même. Mais à regret.
Il me supplie de le déshabiller. Il a quand même enlevé chaussures et chaussettes tout seul.
Sous son jean, il n'a pas mis de caleçon. Il me le dit.
Préliminaires sexuels : comme dans un film
Posée sur la table de nuit, une anthologie de la littérature érotique. Il me demande de lui lire lentement la page 127, celle où il a glissé un marque-page.
Il enclenche "The Sea" de Morcheeba et m'invite pour un slow. Plus le morceau avance, plus il me serre. Encore une ou deux mesures, et ses mains remontent ma jupe.
Il place dans le lecteur DVD un film à ne pas mettre entre toutes les mains... Je ne baisse pas les yeux.
Les draps sentent délicieusement le frais, la lumière est tamisée, il y a Portishead en fond sonore, et la pièce sent la rose musquée...
Il s'est offert une caméra. Il aimerait bien filmer les ébats qui vont suivre. On regardera tout ça ensemble après.
Des mots doux pour des préliminaires hot
Il me dit des mots bleus, des mots qu'on dit avec les yeux...
Il me glisse un "Je t'aime" au creux de l'oreille. Et pas seulement au moment où je m'occupe de lui.
Il a du vocabulaire. Et dans la catégorie "mots crus", il est drôlement inspiré.
Il me raconte tout ce qu'il compte me faire. Du début jusqu'à la fin, avec tout plein de détails.
Entre deux caresses et autres délices, il s'interrompt pour savoir si j'aime ce qu'il est en train de me faire.
Mon homme est un garçon très bien élevé. Avant de me faire quoi que ce soit, il me demande la permission.
Il me dicte ce que je dois lui faire. Il commande, et moi j'exécute.
Il a fait couler un bain, avec plein de mousse dedans, ni tiède ni bouillant, parfait. Il y a de la place pour deux.
J'arrive, il sort tout juste de la douche. Sa peau est encore chaude, il se colle à moi.
Préliminaires sexuels : dans la cuisine
Une bombe de chantilly, un pot de Nutella... Hum, qui va se régaler ce soir ?
Sur la table de nuit attendent deux coupes et un seau à champagne avec une bouteille fraîche dedans.
Soudain, la fièvre monte ; il me passe un glaçon partout sur le corps.
J'ouvre le sac des courses : entre la bouteille de vin et les moelleux au chocolat, il y a un tube de lubrifiant.
Si vous manquez d'idées pour les préliminaires...
Un dîner aux Chandelles est aussi une excellente idée !
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juliarecits · 6 years
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                          Nos expériences (suite)
   De tout ce que nous vivons depuis un moment, entre nous, Agnès et moi, et maintenant nos complices, les petites anecdotes portant sur nos jeux en vacances ont une place très particulière. Ceci depuis déjà un moment, c'est-à-dire depuis qu’avec Agnès nous avons commencé à nous aimer, et à prendre du plaisir ensemble. Nos petits jeux, nos moments complices avec les parents en Espagne, et à la maison également, et ce encore aujourd’hui.
 L’été en général, mais l’Espagne en particulier, nous annonce toujours des instants privilégiés. Déjà parce que le soleil et la chaleur sont des facteurs qui nous poussent à être plus libre, à vivre des moments plus érotique, nous incitent à être plus sensuelles, plus sexys. Et ensuite parce que c’est un peu un endroit fait pour s’amuser. Evidement cela passe par nos tenues, accentué par notre habitude rituelle du sans dessous-dessous. Habitude prise aussi par chez nous, mais beaucoup plus facile à vivre ici. L’ambiance générale de cette période, l’ambiance électrique, et partagée par tous dans notre maison. Tous les jours, il y a un instant, même plusieurs, ou il se passe quelque chose qui déclenche un petit plaisir, une émotion, une envie. Instants érotiques. Des instants provoqués aussi.
 Déjà les plages. Et les tenues pour ces plages.
 Nous avons le choix, à chaque fois que nous partons pour la plage, et cela se décide en fonction du temps que l’on a, et du temps que l’on souhaite y rester. La plage classique, la grande, qui donne sur la ville, quand nous savons qu’après nous devons aller en ville, ou partir en visite, ou simplement envie de rester plus longuement au jardin. La plage nudiste, quand nous avons un peu plus de temps, même si celle-ci est en prolongement de la 1ère, elle est malgré tout un peu plus loin du centre ville. Et puis « notre » crique, nudiste en grande partie, et coquine à ces heures, quand nous décidons d’y passer la journée. Plus loin, elle oblige à prendre la voiture. Les 2 autres c’est en vélo.
 Le vélo, nous le prenons soit en maillot et jupe pour la plage classique, soit nue sous nos jupes quand nous partons pour la plage nudiste. Tenue de rigueur pour les 3 nanas de la maison. Et sur la route, le père circule tout autour de sa troupe, et jette un œil, rarement discret, à chacune d’entre nous pour vérifier, comme si cela était encore utile, que nous n’avons pas dérogé. C’est avec malice que quand il se retourne, un petit écart des cuisses, lui prouve qu’il a tort de s’inquiéter. Il part alors en faisant le fou sur son vélo, debout sur les pédales, à se faire remarquer des passants, et revient pour vérifier encore et encore. Il a beau nous voir nues toute la journée, mais ces instants sont des instants savoureux pour lui. Et pour nous, ils le sont tout autant. Nous jouons. Et jouer à êtres nues sur nos vélos et aussi pour toutes nos sorties en ville, pour les courses, les balades, les restaurants etc.… nous procure toujours une sensation très particulière. Sensation partagée par tous, ce qui instaure en permanence une ambiance plutôt électrique et proche du plaisir quasi permanent.
 Sur la grande plage, maillot obligatoire. Mais mono pour nous toutes. Nous nous installons généralement face à l’avenue par laquelle nous arrivons, une avenue large, de parking d’un coté et de bars et restaus, de l’autre. Evidement les boutiques avec tout ce qu’il faut pour la plage. Y compris les crèmes et huiles de toutes sortes.
 Normalement le haut du maillot est dans le sac. Mais c’est très fréquent qu’il soit resté à la maison. A cet endroit de la plage, il y a un bar, à la fois coté plage et aussi sur l’avenue. Il fait dancing le soir, et en dessous, une petite boite avec danseuses, où se retrouvent les couples en recherche de nouveaux plaisirs, et qui viennent également draguer, au bar et au dancing, pour trouver des complices bien plus jeunes. Je m’y suis faite draguer plus d’une fois, par des couples de tous âges, dont certains me donnent il est vrai, envie de les suivre. Par contre souvent des gens sans scrupules qui n’hésitent pas à sortir de gros billets pour acheter un couple de jeunes ou un duo de filles, comme nous. Il y a toujours un petit groupe de filles, sexy mais vulgaires, maquillées à outrance, et perchées sur des chaussures qui me semblent inadéquates pour un lieu de vacances. Elles viennent ici pour ca et se font de l’argent avec ces rencontres. C’est leur droit. Certaines sont superbes et j’ai quelques fois discuté avec elles. L’attrait de l’argent dans un cadre de vacances. Pourquoi pas.
 Ce qui ne nous a pas empêchées de jouer et de provoquer quelques uns de ces messieurs trop seuls, ou accompagnés, qui nous offraient un verre et à qui nous autorisions des regards intimes sous nos jupes trop courtes. A condition qu’ils soient sympathiques. Ils viennent nous voir, en espérant que nous accepterons de les suivre, mais il n’en est pas question. Même si parfois…
 Donc ce coin de plage avec son bar et sa terrasse sur le sable est un coin sympa. Musique, volley, etc.… L’endroit où se retrouve pas mal de « d’jeunes » comme dit papa. Ce qui n’est pas pour lui déplaire. Défilé permanent de jeunes filles et de maillot très sexys. De beaux mecs aussi, qui étalent un peu leurs musculatures. Endroit sympa pour tester les nouveaux maillots. Comme dit le père, le succès se compte au nombre de serviettes qui viennent s’étaler en cercle autour de la fille qui va arriver avec un string hyper sexe ou un maillot affolant. Pas faux. Et assez drôle. Cela m’est arrivé un bon nombre de fois, ce qui fait rire les parents installés à quelques mètres de là.
 Un jour dont je me souviens bien, seule avec mes parents, car Agnès arrivait seulement en fin de semaine, c’est le jour où je suis arrivée avec ma jupe blanche, un teeshirt blanc très court, un ensemble plutôt sexy. Ce jour la je suis partie avec en tête l’idée de plaire, de me faire désirer. Déjà en me préparant ce matin, sur la terrasse, j'ai compris que ma tenue faisait de l'effet. J’aime jouer de ces tenues qui me font penser comme on va me regarder et me désirer. Et cette fois j’ai sentie une émotion supplémentaire en faisant des essayages devant la glace puis sur la terrasse.
 J’ai déjà posé ma serviette, retourné pas mal de « salut » au petit groupe de personnes de mon âge que je connaissais déjà un peu. Puis, déjà en quittant le haut pour apparaître les seins nus, j’ai attiré un peu le regard des garçons présents. Mine de rien, laissant courir ces yeux sur moi avec un certain plaisir, j’ai sorti mes affaires, lunettes, huile, bouquin. La star d’un instant. Des commentaires en espagnol surtout, qui, selon ma mère qui le parle très bien, portaient sur la beauté de mes seins et la couleur de ma peau, en passant pas la longueur de mes jambes. De quoi être ravie.
 Puis, debout, innocente, je descends ma jupe en la laissant doucement glisser le long de mes jambes, pour me retrouver avec un nouveau string, acheté avant le départ mais jamais porté, si ce n’est dans le jardin la veille, où il a déjà eu un effet plutôt affolant et où il fut qualifié de « magnifiquement scandaleux » par le père. Blanc, petit cœur de métal au dessous des reins, cordon blanc perdu entre les fesses, et devant, petit rectangle blanc, très étroit, qu’il a fallu que je ressorte discrètement de mon minou avant de baisser la jupe. Et là ! Silence au départ, puis chuchotements, et quelques soupirs admiratifs. Me voila à nouveau comblée de faire autant d’effet. Comblée et surtout excitée. Succès confirmé. La pointe de mes seins confirme mon état intérieur.
 Je m’allonge en regardant tour à tour mes admirateurs, et certains, qui me connaissent, n’hésitent pas à se déplacer pour s’installer au plus près. Me voila « La Star » du moment. Deux plus malins, ou plus coquins, sont derrière moi. Vue directe sur mon entre-jambe, et je sais, pour le sentir, que mon string trop étroit, ne leur cache quasi rien de mon intimité. Je resserre ou relâche mes cuisses pour jouer à cache-cache avec eux. Un jeu formidable. Surtout que ce string à tendance à se resserrer jusqu’à disparaître entre mes lèvres gourmandes. Ce qui m’oblige a glisser un doigt pour le ressortir et ce qui du coup donne aux 2 garçons du dessous de sacré rougeurs aux joues. Et nous partons dans des discussions, mi-français, mi-espagnoles, sur des banalités, sur la musique, la plage, pendant lesquelles, je ne cesse d’être scrutée des yeux. Du coup, les filles de cette petite bande, n’hésitent pas à quitter les hauts, et se montrer sexys à leurs tours, pour retrouver leurs copains ou du moins ceux qui étaient déjà à les draguer avant mon arrivée. Certaines sont très jolies en plus. Plus timides au départ, elles sont contentes que j’aie pu donner un signe, et jouent elles aussi à se montrer sexys. Les hauts sautent et les bas des maillots se font de plus en plus étroits. Une d’elles est partie et revenue des toilettes du bar en ayant changé de bas. Elle est revenue avec un string du même style que le mien. Tout aussi sexy. Aussi provocant. Un string brillant sur sa peau très mate, qui lui cache à peine les lèvres d’un sexe tout aussi lisse que le mien. Elle s’est installée à mes cotés et m’a fait comprendre qu’elle n’osait pas le mettre, en étant la seule ainsi, les autres filles de leur groupe étant un peu moins « joueuses ». Elle a une poitrine généreuse, avec des tétons superbes, foncées, gonflés. Elle me fait envie…
 Du coup notre petit groupe devient le point de mire du reste de la plage alentour. Les parents sont écroulés sur leurs serviettes, et le père ravi du spectacle.
 Ces petits moments là sont très forts. Se lever pour aller à l’eau, et être accompagnée par les plus osés, qui font tout pour profiter de ce que je peux offrir à cet instant. Je traverse la plage sous les regards chaleureux de la plupart des messieurs présents. Malgré quelques commentaires en rapport avec mon jeune âge et ma tenue. Sans intérêt. Mes compagnons du moment, en jouant dans l’eau, tentent quelques attouchements. Je joue, j’aime, et je ne repousse que les gestes trop audacieux comme cette main qui s’est retrouvée entre mes cuisses le temps de laisser passer une vague. Je profite d’être dans l’eau pour réajuster ce string provocateur et glisser un doigt entre mes lèvres comme un petit soulagement furtif. Je sens combien mes « amis » du jour ont une envie folle de me prendre la, dans l’eau, et je suis presque tentée de me donner aussi. J’y pense et j’en coule de désir. Un moment sublime quand au milieu de cette petite bande, ma complice du jour, ose s’approcher au plus près, m’enlace et nous restons quelques instants, seins contre seins, ventre contre ventre, sous le regard envieux des autres et  surtout le regard de son compagnon du moment, à la fois un peu surpris, dérangé, et comme la plupart des garçons devant ce genre d’attitude, excité par la situation.
 Dans ce genre de situation, un moment intense également : aller sous la douche de la plage, pour se rafraichir ou se rincer. Une de ces douches se trouve juste à proximité de la terrasse du bar. Alors, arriver dans cette tenue, se doucher à 2 pas des tables occupées par des messieurs qui ne perdent rien du spectacle, et qui se posent ici pour ca d’ailleurs, est excitant au possible. Et ce jour là, deux de mes compagnons de plage, me suivent et m’offrent un verre. Me voila donc nue, ou tout comme, rejointe par le reste de la petite bande, au milieu de la terrasse à pavaner et faire ma belle. La plupart des filles qui viennent à ce bar en venant de la plage, ont l’habitude de se recouvrir, au moins d’un paréo, le temps de se désaltérer. Quand une ose s’y installer seins nus, elle est le point de mire du bar entier. Alors, seins nus, et en string, surtout de cette taille… Je suis élue la « miss du bar » pour au moins la semaine. Je scrute derrière mes lunettes le regard des mecs présents, et tous sont posés sur mes seins ou le petit bout de tissus qui ne cache rien de mon minou. Le tissu, trempé de la douche, dessine au mieux le contour de mon abricot. Ma vulve gonflée de désir semble être en attente d’un contact. Je frémis de me donner de la sorte. J’en vois frémir aussi. Délicieux !
 Et de ce jour, mon moment magique fut mon départ. Après avoir fait quelques bises à la plupart de cette petite bande d’admirateurs, et admiratrices, dont un baiser insistant à ma belle copine du jour, rangé mes affaires, assise sur ma serviette, je m’habille. J’enfile ma jupette, qui me couvre en fait très peu vu sa taille. Assise, seins nus, je me recoiffe en chignon, et fait ressortir un peu plus ma poitrine comme un au revoir, puis avant de passer mon teeshirt, je glisse mes mains sous ma jupe, m’arrête, regarde les deux compères qui sont allongés face à moi et qui scrutent  derrière leurs lunettes le moindre de mes gestes avec un sourire heureux, me tourne légèrement, faussement pudique, et je fais glisser mon string sur mes jambes. Je le roule en boule dans mon sac. Ceci n’a pas échappé non plus à un autre couple ainsi que deux autres garçons, encore à me regarder partir. Scotchés ! Me voici nue, sous ma jupe, sous les yeux ébahis de mon petit comité d’admirateurs. Je suis aux anges. Presque une jouissance. Je sens mon plaisir couler entre les lèvres de ma petite chatte, plein de désir retenu comme à chaque fois que je joue de cette façon.
 Je leur adresse mon plus beau sourire, en enfilant mon teeshirt sur mes seins dont le bout est depuis ce matin déjà bien dur et sensible. Ca aussi ils l’ont vu. Et le teeshirt moulant accentue encore plus la vision de mon excitation. S’ils savaient combien je suis trempée… j’en rajoute encore en leur tournant le dos pour rejoindre mes parents et prendre mon vélo. Un déhanchement appuyé pour faire jouer mes fesses nues sous ma jupette. Je suis convaincue que mes « copains » commentent mon départ et y vont d’une belle érection en mon honneur. Ravie !
 Ce genre de situation, affolante, nous l’avons revécue souvent avec Agnès. Et chaque fois, nous repartons avec une chaleur humide entre les cuisses, sur notre vélo. Parfois, en repartant de la plage, nous en profitons pour aller en ville, faire quelques courses, ou prendre un verre dans un bar de l’avenue, excitées au mieux. Souvent le papounet nous gratifie d’un de ses plus beaux clins d’œil complices. Et l’excitation ne diminue pas le temps que nous restons ici, ou a faire les magasins pour le manger du midi. Et arrivées à la maison, c’est au plus vite que nous nous retrouvons nues, au jardin ou à table après être passé un moment au studio ou sous la douche du jardin pour nous calmer. On s’enlace et on se câline en imaginant tous ces yeux gourmands posés sur nous. Oubliant un moment que nous ne sommes pas seules et que tous profitent de nos éclats de rire et gémissements…
 ***
 Ces moments magiques, nous les vivons également quand nous arrivons et repartons de la plage nudiste. Car même si le fait d’être nues, est logique sur cette plage, nous voir arriver et repartir sans rien sous nos jupes, qui plus est, en reprenant nos vélos, en laisse plus d’un interloqué. Et comme nous sommes toutes les trois à faire de la sorte, ils semblent bien se demander comment nous vivons en dehors de la plage. Il se demande aussi comment le seul homme de la troupe peut vivre ces situations. S’ils savaient…
 Sur cette plage, les moments de plaisirs de cette sorte, sont plutôt dus aux attitudes qu’aux vêtements. Les nudistes, les vrais, ne font que très peu attention aux autres. Par contre, les nudistes occasionnels, les « testeurs » comme dit papa, eux sont plus à l’affut du moindre petit geste sensuel, de la fille un peu plus sexy que les autres. Ils ne viennent pas si souvent, alors ils sont la pour ca. Ils ont au moins le courage d’être nus, à l’inverse de quelques baigneurs, qui eux ne viennent ici que pour regarder. Les « voyeurs ». Et ils ne s’en cachent pas. La plage est uniquement tolérée aux nudistes, mais pas réservée. Donc chacun y est dans son droit. Après tout, si nous venons la c’est que nous le voulons, et de plus, avoir des admirateurs… Il faut reconnaître que tous ces corps, nus, ont un charme, et pas seulement les plus sexys et les plus beaux. Certains papys ou des mamys, ont un charme puissant, de la sensualité, du au fait d’être bien, à l’aise. Il se dégage parfois de ces personnes âgées quelque chose de fort. Une tendresse aussi. Et tant mieux.
 Le plaisir principal sur cette plage, même si ce n’est pas le but, c’est de pouvoir se dévoiler sans complexe. Etre nue, parmi un tas de gens nus. Et il faut l’avouer, et ce peut être plus à mon âge, qu’avant ou après, c’est de se sentir fière de son corps au point d’être heureuse de se faire admirer.
 Et, même si cela est peu modeste de ma part, je sais que mon allure, mes formes, mon style, plaisent. On me dit jolie, plutôt bien faite, et je suis consciente depuis un moment déjà, ado et un peu avant encore, que j’attire les regards, et que l’on me trouve désirable. Je sais que mes seins, bien ronds, fermes, biens dessinés me donnent une allure très sexy. Mon ventre plat, mes hanches assez droites, mes longues jambes fuselées, sont des atouts importants. J’entends et on me le dit souvent. Ma façon d’être aussi, libre, sans artifices, mes cheveux un peu roux, mes yeux verts, et si j’ajoute ma cambrure naturelle et des fesses biens rondes et fermes… tout cela me classe dans une catégorie dite de « jolie fille ». Alors j’en suis heureuse, et j’en profite, j’en joue. Pourquoi ne pas être contente de ce que la nature m’a offert. C’est aussi parce que je suis ainsi que je suis modèle pour les photos, y compris maintenant, des photos sexys. Même si Alain, mon photographe, me connait de tout petite, et qu’il m’a demandé de poser, je vois bien sur les lieux de tournage que je suis très sollicitée par les autres photographes présents. Et puis, un atout très important en fait, c’est que je suis très à l’aise avec mon corps.
 De ce que me dit Alain, et d’autres aussi, c’est qu’ils ont des modèles parfois superbes, mais pas assez libres de leurs corps, et du coup elles perdent le charme, et deviennent juste des images, sans vie. Et, ils me disent, que j’ai, moi, ce côté très naturelle, que mes formes et mon charme en sont décuplées. Ce coté libre, naturel, doit en partie venir justement de cette habitude que j’ai depuis toute petite de me promener nue, sur ces plages et ailleurs, et d’avoir compris, ado, comment ce charme était agréable a voir dans le regard des autres. Education très libre aussi.
 Donc me dévoiler ainsi ne me dérange pas et au contraire je suis énormément heureuse de me retrouvée nue et admirée sur une plage comme celle-ci. Je peux ici, me montrer comme je suis, et je pense que d’en être consciente et fière ajoute encore plus de charme à l’ensemble.
 Et puis quand il s’agit de se faire plaisir, de jouer, j’ai appris et je sais maintenant quels détails simples peuvent ajouter à une nudité. Comme de se relever les cheveux en chignon mal fait, pour libérer la nuque… Sexy ! Ou debout, sur le sable, bien droite avec les jambes quelques peu écartées, le temps de se désaltérer ou de regarder au loin. Irrésistible ! Je vois dans le regard de mon admirateur « n° 1 », combien mes gestes, mes poses, ou ma façon de me tenir, sont appréciés.
 Le plaisir vient aussi de se montrer plus sexy et plus désirable que de simples baigneuses nues. Pour jouer, il suffit d’une position offrant son intimité de façon plus provocante que la normale, pour un spectateur choisi. Comme de dos, en écartant volontairement les jambes, sans trop, juste pour que le minou s’ouvre un peu et brille au soleil. Ou bien, assise en tailleur, le buste bien droit, le nez au soleil. Position presque « zen ». Mon sexe est alors ouvert au mieux qu’il peut, et en plus des regards qui l’observent, le soleil apporte une sensation de caresse intime et intense. J’aime ces moments. Ou bien encore, se passer de l’huile de façon très suggestive. Au point de faire monter en pression les observateurs. J’essaye aussi le plus souvent, pour ne pas trop passer pour une simple « allumeuse », d’ajouter à ces moments la, un regard et un sourire complice. Une façon de partager l’instant. Je m’offre d’accord, mais merci d’apprécier. Et du coup le partage devient plus fort. Une forme de complicité.
 Se montrer et regarder aussi.
 Voir un bel athlète musclé, fière de son corps, et faire ce que nous faisons nous-mêmes, est également un véritable plaisir. Et parfois, certains de ces messieurs, savent prendre les poses et les allures qui mettent en valeur leurs corps, et aussi leurs attributs. Et de toutes les trois, il est rare qu’un de ces beaux messieurs, passe inaperçu. Celle d’entre nous qui le voit la première, en avertit les autres. Complicité féminine oblige. Même le père, nous prévient, si un détour en descendant à l’eau vaut la peine. Et il est vrai que parfois, il nous est permis de voir de très beaux spécimens. Des corps somptueux, sexys, attirants. Et des outils fabuleux. Des sexes que nos regards insistants font quelques fois réagir, le tout avec un sourire entendu, un clin d’œil, jusqu’à un point où il est préférable pour lui de se retourner sur sa serviette, en attendant d’être plus présentable. Souvent dans ces moments là, il se passe quelque chose de fort. C’est un regard, un sourire, qui fait des uns et des autres des complices d’un instant.
 Souvent, nous profitons d’une marche sur le bord de l’eau, pour faire, par jeu, un petit inventaire, et nous notons, comme des gamines, les mâles que la plage nous offre. Sans oublier les jolies filles aussi. Normal. Mais ici, l’inventaire porte sur les messieurs. On en trouve souvent, parce qu’ils s’en amusent aussi, des beaux, assis dans l’eau, bien exposés, laissant leurs sexes, négligemment flotter au gré des petites vagues. On en frissonne. Et de nous voir passer, et repasser, coquines, en nous tenant par la main, ils ont parfois de jolies réactions. Ces apollons sont un peu là pour ca aussi. Profiter de cette plage, le soleil, pour se laisser admirer. En couple aussi, et parfois de superbes couples heureux du succès qu’ils ont en paradant au bord de l’eau.
 Il n’est pas rare de se retrouver à l’eau ensembles, et que l’on puisse profiter, plus à l’abri des regards, d’une magnifique érection irrésistible. Parfois, il est même arrivé de profiter d’être loin des regards pour caresser un beau membre, dans l’eau, pour le plaisir du monsieur et pour le notre aussi. L’envie de le prendre en bouche ou plus est si forte, que c’est presque en jouissant que je lâche ce jouet. Moment intenses…
 Une des fois où cela est arrivé, le monsieur était si beau que c’est nous qui l’avons suivi au bain. Il était fier de nous montrer depuis le matin un corps sublime et un sexe magnifique sur la plage, allongé à coté de nous, en se passant régulièrement de la crème, et insistant dessus en nous regardant. Visiblement, il était venu sur la plage avec le but de se faire admirer, et l’envie d’en tirer un plaisir. Il a rodé un moment dans le coin, en arrivant, serviette sur l’épaule et sac de plage à la main, scrutant les serviettes féminines, jusqu'à choisir de s’installer à côté de nous. Peut être avait il remarqué que nous le suivions de regard. Il cherchait des admiratrices. Et comme les trois n’en loupaient rien… Il était ravi.
 Un homme de 50/55 ans environs, grisonnant, grand, musclé, juste un peu de poils gris sur le torse, une peau dorée, des cuisses et des bras de rugbyman, ventre plat et abdos magnifiques, fesses musclées… Un monsieur très bien entretenu qu’on imaginait bien fréquenté instituts et salle de sport, et qui ne laissait rien au hasard pour bien paraître, et surement aussi dans sa façon de s’habiller, mais à l’instant… Un régal. L’apollon de la plage. Il le savait d’ailleurs. Très sur de son effet. Il posait plus qu’il ne bronzait. Et un sexe ! Long, large, lisse, de la couleur de sa peau, des boules à peine plus sombres, et un peu ridées. Debout, il pendait comme un beau bijou entre ses jambes, et assis, il se posait naturellement sur la serviette comme un petit animal qui attend sa caresse.
 A peine posé, il s’est installé comme une complicité sous-entendue entre lui et nous. Et quand, sous nos regards insistants, il prenait du volume, il s’en amusait, et il s’amusait surtout de voir les trois filles s’échanger des commentaires qu’il savait à son encontre, et surtout à son corps et à son sexe enviable. Le fait aussi de comprendre que sur les trois, une était surement la mère de l’une des deux autres. Cette complicité ajoutait encore un peu de piment agréable. Il se calmait en se reposant sur le ventre, et nous dans un sourire malicieux, nous lui faisions comprendre que l’on attendait de revoir. Je me suis un moment assise en tailleur face à lui, pour lui rendre la pareille, et c’est en fixant mon minou, tout aussi lisse que lui et très humide, qu’il m’a fait comprendre, par mimique, qu’il ne pouvait plus se retourner. Clin d’œil appuyé de ma part pour lui faire comprendre que ce n’était pas innocent. Clin d’œil en retour pour dire qu’il en était conscient. Il observait également avec plaisir notre façon de nous passer de l’huile avec Agnès, dans des gestes volontairement provocants, en le regardant dans les yeux. Coquines.
 Puis un peu plus tard, calmé, il s’est relevé, fixant à tour de rôle, chacune de nous, et est venu demander l’heure à maman. Heureux de voir comme nous étions admiratives. Il a échangé quelques mots avec elle. Il nous regardait de plus près. Il nous détaillait plutôt. Nous aussi. A genou devant nous, comme pour encore mieux s’exposer, il nous a expliqué qu’il repartait sur Lyon en fin d’après midi et qu’il profitait de sa dernière journée de plage. Il à même ajouté, qu’il était ravi de passer la matinée en notre compagnie. Il nous scrutait chacune notre tour, félicitant papa pour ses « charmantes filles ». Il est resté un moment entre sa serviette, et les nôtres, à marcher avec son téléphone à l’oreille. Chaque fois qu’il le pouvait, il trouvait une pose pour montrer à qui voulait bien regarder, comment il était superbement bâti. Et joliment équipé.
 Puis il s’est dirigé vers l’eau. On s’est marré un peu de notre jeu. Mais en le regardant, sur son petit matelas dans l’eau, à faire de son mieux pour prendre des poses de catalogue et se faire admirer des baigneuses, Agnès et moi, avons eu envie de le voir de plus près. Arrivées dans l’eau, nous avons continué de le regarder et lui nous détaillait sans gène. Normal. Echange. Et moins de monde donc moins de retenues. On a bavardé un moment, lui sur son matelas et nous à nous baigner, de l’eau à la taille.
 Petit à petit, en nous éloignant des autres baigneurs, il se rapprochait sur son matelas, assis, face à nous. Et au bout d’un moment, étant loin des regards, et voyant nos regards de joueuses, il a commencé à se caresser, de façon très sensuelle, juste des caresses du bout des doigts, sur la longueur de son sexe. Comme pour passer de l’eau et le câliner. Puis en nous regardant fixement, son geste s’est précisé. Caresses appuyées, jusqu'à ce qu’il soit bien droit. Magnifique ! Un rêve ! Il prenait une forme et une allure surprenante. Son petit sourire pour nous faire comprendre qu’il était content que l’on vienne l’admirer. Il passait sa main, à plat, de bas en haut de son sexe qui grossissait encore, doucement.
 Il regardait alentour pour s’assurer de ne pas être remarqué, et nous profitions de son membre sublime, pour nous, à demi dans l’eau. Image de magasine. Emouvant ! Dans cette position, il semblait énorme, un peu tordu, et d’une jolie couleur dorée. Et son corps musclé pour finir le tableau. Un apollon, nu, bandant, et tout ca pour nous.
 Puis sur son invitation silencieuse, nous nous sommes approchées. Il avait le dos à la plage, et les vagues nous poussaient vers lui. Pour rester ensembles, nous avons attrapé le matelas. Chacune une main de chaque coté, pour que les vagues ne l’éloignent plus et nous fixions ce sexe à portée de nous. De l’autre main, je me caressais aussi, et parfois j’allais câliner Agnès. On riait de la situation. Lui aussi. Il bandait de plus en plus, sans se toucher, juste sous l’effet de nos regards.
 Alors, en prenant de l’eau dans ma main, je l’aspergeais doucement et laissais couler l’eau sur son bel engin. Il sursautait et se dressait encore plus, juste de recevoir de l’eau. Le jeu lui convenait et lui procurait un immense plaisir, comme a nous. Agnès jouait a son tour, et nous admirions ce beau jouet, le beau corps musclé, et étions ravies de voir tressauter ce sexe chaque fois que l’une laissait couler de l’eau sur le bout du gland et que cette eau agissait comme une caresse.
 Et puis je l’ai attrapé, pris en main, avec un gémissement de bonheur. La situation, encore une fois, autant que la beauté de ce membre, apportait un gros plus à notre excitation.
 Et j’ai commencé de le branler. En jouant. Un moment inoubliable que ce superbe sexe dans ma main. L’eau, ajoutait à l’érotisme du moment. Lui a juste un instant caressé nos poitrines, puis s’est a nouveau agrippé à son matelas. Il nous offrait son sexe. C’est tout. Et il s’offrait un moment intense.
 Alors j’ai continué, et Agnès m’a rejoint. Et nous l’avons branlé, toutes les deux, ou parfois l’une de nous seule pour en profiter au mieux. On arrêtait par moment pour juste le caresser, jouer de ses boules, dessiner le contour de son gland avec nos doigts. Je prenais de l’eau et lui passait dessus pour le rafraîchir et il sursautait de plaisir. Tout le temps de nos caresses, nous n’avons pas échangé un mot. Juste des sourires. Lui heureux de se laisser masturber pas deux filles comme ca, et nous émerveillées de pouvoir toucher un membre aussi magnifique et dans une situation peu banale. Voir nos mains courir sur toute sa queue. J’ai quelques instants passé ma langue sur toute la longueur. Englouti furtivement dans ma bouche, pour sentir combien il brulait d’envie et comme elle était soyeuse sous ma langue. Difficile de le sucer sans se faire remarquer. Il a à peine retenu un petit cri. Mais pour moi le lécher de cette façon m’a fait chavirer. Superbe queue sur ma langue. Superbe souvenir.
 Il s’est crispé un moment, a regardé une dernière fois autour, puis s’est tendu, immense, face à nous, et il a jouit d’un seul jet, interminable, avec un cri retenu en se mordant les lèvres. Agnès à gémit aussi. Elle a pratiquement jouis aussi. Je sentais mon jus chaud dans l’eau froide entre mes cuisses. On ne lâchait plus notre jouet. Et avec un petit rire, il nous a fait comprendre qu’il devait le reprendre. Avec une main, je prenais de l’eau, et lavais cette queue brulante encore. Il se laissait faire. Heureux.
 On a reprit nos esprits, en discutant, mais à peine, dans l’eau. Je regardais toujours son sexe reprendre progressivement une taille normale. Il nous a caressés furtivement les fesses dans l’eau, en reprenant la direction de la plage. Et nous sommes revenus sur nos serviettes respectives. Avant de partir il est venu nous dire au revoir. Nous ne l’avons jamais revu.
 Une matinée inoubliable.
  Et  puis il y a notre crique.
 Là, c’est un endroit où l’on va si c’est pour y rester la journée. Vingt minutes de voiture. Route de montagne presque. Pour arriver sur un chemin de terre, qui sert de parking. Et ensuite la crique. Ce n’est pas très grand. Il y en a plusieurs sur cette côte, mais celle-ci est nudiste pour la plupart du temps. Ce n’est pas la seule, mais les autres sont encore plus loin et il faut marcher longtemps dans des broussailles avec d’y arriver. Là, on est vite installés. Plage étroite, un peu de verdure, pour s’abriter, et sur les cotés, pas mal de rochers. Sur la gauche, après les rochers, une autre petite plage, mais très petite, et la baignade impossible à cause des rochers dans l’eau. Nous y allons en se promenant. Ou pour s’isoler car les câlins y sont très faciles. On peut s’y allonger sans trop de risque d’être surpris. Le temps de traverser les rochers pour les « visiteurs », fait qu’on a le temps de se reprendre, de les voir arriver. Et comme il n’est pas utile de se rhabiller… Mais ceux qui sont sur la plage, connaissent le coin, et connaissent aussi l’utilité de cette 2eme plage. Alors si parfois certains s’y isolent, et que d’autres arrivent, selon les envies, les premiers continuent les câlins, sous les yeux des autres. Partage et connivence. Plaisir de voir, pour le plaisir de montrer. Cette petite plage m’était « interdite » avant. Depuis quelques temps, j’ai le droit et j’en profite.
 Avec Agnès, nous y avons déjà assisté à quelques moments d’intimité, de couples, et une fois d’un couple accompagné de 2 compères que la femme se régalait de sucer à tour de rôle, et ravie encore plus que nous assistions à son plaisir. Elle s’est fait prendre ensuite par les deux compères, pendant que son mari, entre deux photos, se masturbait énergiquement, soit en nous regardant, soit en glissant sa queue dans la bouche de son épouse. Spectacle assez sympa, même si un peu trop vulgaire dans la façon d’être de cette femme qui n’arrêtait pas de sortir des mots inutiles comme pour exciter ses mâles. Avis personnel. Un manque d’érotisme et de sensualité.
 Avec Agnès, nous avons nous aussi laissé un couple nous regarder faire l’amour à cet endroit. Un autre spectateur était là aussi. Un homme seul, qui était la à chaque fois que nous sommes passées. Son poste. Il ne bougeait pas. Nu sur son rocher. Un sexe droit qu’il caressait tranquillement, mais que je n’ai jamais vu jouir. Le couple lui, s’était mis à coté de nous, sans un mot. Un sourire pour que l’on comprenne que regarder était leur seule attente, et nous avions continué de nous caresser. Elle, assise à coté de lui, le tenait fermement, sans le branler et lui ne nous lâchait pas des yeux. Nous n’avons pas vraiment fait l’amour ce jour la, mais caressé longuement, jambes emmêlées, en s’embrassant avec fougue. Mais la situation manquait de « chaleur » à notre gout, et nous sommes reparties sur l’autre plage pour leur laisser la place. Elle, s’est installée sur lui juste avant que nous disparaissions de l’autre côté. Ils sont repassés peu de temps après. Visiblement contents. Tant mieux.
 Sinon sur la plage, on retrouve une ambiance très sympa, car pas mal de gens que l’on fini, d’années en années, par connaître un peu. Ma mère y retrouve fréquemment une copine de lecture. Les jours où il y a peu de monde et si il n’y a pas d’enfants, certains ne se déplacent pas sur la deuxième plage pour se laisser aller. Les habitués parfois, organisent un petit barbecue. Ambiance chaleureuse. Une ambiance assez érotique, de bonne humeur, et comme nous grandissons d’années en années, nous avons rapidement fait partie des « complices ». Au début protégées des regards et des moments chauds, nous avons progressivement basculé dans la complicité de ces instants, au fur et à mesure de notre curiosité, pour enfin être joueuses à part entière, sans retenues. Averties et accompagnées aussi. Education…
 Ce n’est pas non plus un endroit « orgiaque », mais plus ou moins discrètement, dans l’eau ou sur la plage, ou à l’écart sur des rochers, on peut facilement voir des couples, se laisser aller à des caresses, quelques fellations offertes aux voyeurs proches, et même partages entre certains. Il y règne une ambiance érotique, très coquine, sauf en présence de familles venues la sans penser à ce genre d’ambiance. Mais surtout les gens s’amusent. Un superbe couple, presque installé au même endroit, à peine caché d’un petit parasol posé en paravent, ont l’habitude de rester allongés, sur le coté, lui derrière et prenant sa femme, comme ca. Elle continue de bouquiner, tout en gémissant assez fort. Ses seins, refaits, s’agitent sous les secousses de son mec. Quand quelqu’un les regarde, elle pose son livre, se caresse les seins, et fait comprendre que son plaisir monte. On devine plus qu’on le voit. Ils terminent toujours avec un petit cri. Et ils vont à l’eau se laver. Jamais rien de très méchant et surtout rien la journée tant qu’il y a des enfants.
 Le soir, par contre, il peut s’y passer des choses très coquines. Sur la plage. Mais aussi sur les bateaux qui viennent se poser dans la crique. La journée ces plaisanciers, nus sur leurs bateaux, des habitués aussi, passent souvent de longs moments à bronzer, et aussi, en se baignant, à discuter avec les couples de la plage. Et le soir, ils invitent pour des diners sur l’eau, qui finissent par des soirées beaucoup plus intimes.
 Mes parents ont connu un de ces couples, propriétaire d’un superbe voilier en bois. Ils partent dés les beaux jours, d’un village du côté de la Camargue et font la côte jusqu'à Alicante, pour ne rentrer qu’au début du mois d’octobre. Ils vivent de leurs rentes malgré qu’il n’ait que 50 ans. Il gère des affaires à partir de son bateau. Sur leur route, ils ont un tas d’amis, et ils s’arrêtent souvent pour quelques jours, avant de repartir. Et cette crique, ils s’y arrêtent pour y retrouver des complices pour des soirées intimes. Ici et à d’autres endroits. Du coup, il nous est arrivé, de passer 2 jours avec eux, à vivre nus, sur le bateau le temps de descendre et de remonter dans un superbe village plus haut sur la cote, dîner au port, puis dodo et retour ici. Agnès et moi avons notre petite cabine, et le soir, soit nous restons avec eux, le temps de la soirée, soit nous descendons et les laissons tranquilles, soit l’inverse, eux en bas et nous sur le pont. Nous ne nous mêlons pas à leurs moments intimes, du moins les 1eres années. Depuis nous faisons partie de ce monde libertin et en profitons sans compter.  Par contre au début, vivre nus, tous ensemble sur un bateau, du matin au soir, avec dans l’esprit, qu’ils partagent les cabines et que nous le savons, que nous l’apercevons aussi, donne une petite ambiance électrique plutôt agréable.
 Une année, Fabien est venu nous rejoindre une semaine. Il est venu avec nous sur le voilier. Et cette fois nous aussi avons nos moments intimes. La journée nous avons fait l’amour tous les trois en cabine, et le soir, sur le pont du voilier, les parents et le couple en bas. Sur les 2 jours de la ballade, il était rare qu’il n’y ait pas un moment sensible.
 Le couple nous regardait avec gourmandise, sans trop cacher parfois leur envie de nous inviter, mais ils n’ont rien osé demander. Malgré la complicité très visible entre mes parents et moi, et parfois presque ambigüe, ils n’imaginaient pas me voir mêler à leurs jeux, même si ils voyaient que je jouais aussi de mon côté, sans complexes. A regret surement, à sentir son regard courir sur moi, pendant ce court séjour. Ce dont je ne me plaignais pas et dont je jouais avec toujours le même plaisir. Encore une fois, une complicité installée, et un respect mutuel. Je pense que sans la présence des parents, ils m’auraient invité à jouer avec eux. Agnès et Fabien aussi évidement.
 Cette année, mes parents ont découvert, avec un peu de surprise, la nudité de Fabien, le premier jour, dans le jardin, et sur le pont du voilier, quand nous l’embêtions un peu au point de l’obliger à plonger pour se calmer, maman regardait les débuts de réaction de son sexe avec des yeux gourmands. Ou bien quand nous étions dans l’eau, à nager autour du bateau, et que par moment l’une ou l’autre s’amusait à le câliner, et qu’elle regardait par-dessus bord, alors qu’il était « en main » et en forme…
 Jusqu’au moment, cet après-midi, où il dormait sur un transat, et qu’Agnès, à ses cotés, dormait avec une main posé sur la cuisse, presqu’a toucher le beau membre bronzé. Ce qu’elle faisait avant de dormir d’ailleurs. Elle m’a dit en riant que nous ne devions pas nous ennuyer avec lui, les yeux fixés sur son superbe membre tout lisse, et tout doré. Un gros bisou complice pour lui répondre… Elle m’avoue en riant qu’elle se laisserait bien tenter, et moi de lui répondre qu’il en serait surement ravi. Il est vrai qu’ils s’entendaient à merveille depuis qu’ils étaient arrivés et qu’une vraie complicité, saine, s’était installée entre eux. Elle jouait avec lui et il lui rendait bien. Et moi de les voir ainsi me faisait plaisir.  
 Il est vrai que de regarder ce corps musclé, lisse, doré, nu au soleil, et ce sexe sublime, pouvait donner des envies. Le couple, sur des transats également, le regardait. Elle fixait elle aussi notre « amant », et comme elle savait qu’on le partageait toutes les deux, elle regardait Agnès et me regardait, avec une envie évidente de le gouter à son tour. Mais des deux jours, même si l’ambiance était très « sexuelle », et qu’aux repas les conversations portaient généralement sur les joies du libertinage, ils n’ont rien tenté ni même demandé, juste suggéré. On savait tous, on en parlait, que nous faisions tous l’amour entre nous, et eux entre eux, mais la filiation nous interdisait d’aller au delà. L’ambiance était de toute façon bien assez électrique, et bien plus chaude qu’on ne pourrait déjà imaginer dans cette situation. Et c’était déjà très agréable à vivre.
 Voila l’ambiance de notre crique. Un endroit à la fois très calme, avec une tendance un peu sexy la journée, et parfois torride en soirée. Sexy la journée, car par rapport aux plages, même nudistes, de la ville, on peut se permettre des attitudes bien plus intimes, comme s’embrasser chaleureusement avec Agnès, laissant nos mains courir sur nos corps. Il arrive qu’en reprenant nos esprits et une attitude plus normale, on s’aperçoive que les voisins de plages nous regardent, profitant simplement du spectacle, même si ce n’est pas très méchant. Et que nous remarquons parfois un sexe tendu grâce à nous. Cela se termine généralement par un rire et une boutade.
 J’irai encore souvent « chez moi », là-bas…
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espritelephant · 3 years
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Quoi de nouveau concernant nos amis éléphants en plein voyage au Sud de la Chine ? Eh bien, le petit solitaire de la bande a été renvoyé dans sa réserve naturelle d'origine ! Va-t-il être assez coquinou pour retenter le même voyage, totalement seul cette fois-ci ?
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petitesrencontres · 7 years
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Julie, fille sexy 19ans cherche un plan cul facile à Nîmes
Coucou, Julie 19ans, j’habite à Nîmes.. je suis une fille assez timide en apparence mais très coquine en réalité. je vis dans la région de Nimes depuis mes 5ans. Brunettes, plutôt jolie et sexy. Je cherche donc un mec pour des soirées coquines. J’en ai marre des petites bites de ma région.. il me faut un mec, un vrai qui bande dur pour me faire jouir! Je cherche seulement un plan cul facile, pas…
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frenchsissies · 7 years
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Venez discuter bande de petit coquin/coquine vous ne serez surment pas déçu 😉
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