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#barbu de ville
barbudeville · 2 years
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La jasette du Barbu #361
Le Gummy bears show de Hélène Boudreau Pénurie de Tylenol et Advil au Québec Carey Price et la retraite + Sean Monahan Yellow Mellow et l'amertume BPM 91,9 sport
Le Gummy bears show de Hélène BoudreauPénurie de Tylenol et Advil au QuébecCarey Price et la retraite + Sean MonahanYellow Mellow et l’amertumeBPM 91,9 sport One-TimeMonthlyYearly Faire un don ponctuelFaire un don mensuelFaire un don annuel Choose an amount C$5.00C$15.00C$100.00C$5.00C$15.00C$100.00C$5.00C$15.00C$100.00 Or enter a custom amount C$ Votre contribution est appréciée.Votre…
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theodoreangelos · 1 year
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Detail of the town hall bay window in Olomouc, Czech Republic. Many observers will probably be attracted at first glance by the fact that the entire bay window seems to rest on the shoulders of a bearded man, who is often considered to be the author of the building. This cantilever is so strongly reminiscent of the St. Stephen's Cathedral in Vienna that the beautiful Olomouc bay window is sometimes attributed to Anton Pilgram. Officially, however, the architect of the building is still unknown. Detail radničního arkýře v Olomouci. Mnohé pozorovatele pravděpodobně na první pohled zaujme fakt, že celý arkýř jakoby spočívá na ramenou vousatého muže, který bývá považován za autora stavby. Tato konzola natolik silně připomíná svatoštěpánský chrám ve Vídni, že bývá i krásný olomoucký arkýř někdy připisován Antonu Pilgramovi. Oficiálně je však architekt stavby nadále neznámý. Detail des Erkers des Rathauses in Olmütz, Tschechische Republik. Viele Betrachter werden wahrscheinlich auf den ersten Blick von der Tatsache angezogen, dass der gesamte Erker auf den Schultern eines bärtigen Mannes zu ruhen scheint, der oft als Urheber des Gebäudes angesehen wird. Dieser Ausleger erinnert so stark an den Stephansdom in Wien, dass der schöne Olmützer Erker manchmal Anton Pilgram zugeschrieben wird. Offiziell ist der Architekt des Gebäudes jedoch immer noch unbekannt. Деталь эркера ратуши в Оломоуце, Чешская Республика. Многих наблюдателей, вероятно, с первого взгляда привлечет тот факт, что весь эркер как бы покоится на плечах бородатого мужчины, которого часто считают автором здания. Эта консоль так сильно напоминает собор Святого Стефана в Вене, что прекрасный оломоуцкий эркер иногда приписывают Антону Пильграму. Однако официально архитектор здания до сих пор неизвестен. Détail de la baie vitrée de l'hôtel de ville d'Olomouc, République tchèque. De nombreux observateurs seront probablement frappés au premier abord par le fait que l'ensemble de la baie vitrée semble reposer sur les épaules d'un homme barbu, qui est souvent considéré comme l'auteur du bâtiment. Ce porte-à-faux rappelle si fortement la cathédrale Saint-Étienne de Vienne que la belle baie vitrée d'Olomouc est parfois attribuée à Anton Pilgram. Officiellement, cependant, l'architecte de l'édifice reste inconnu.
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claudehenrion · 1 year
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Le calme avant la tempête ?
  Profitant de la trêve du 11 novembre (NDLR : mon père, né en 1891 --''de la classe 11'', comme on disait alors--, et étudiant en doctorat de Droit, avait été mobilisé dès le tout début, à 23 ans. Il a ''fait'' toute la guerre dans une unité de première ligne, le 6 ème BCA (et plus précisément : dans des tranchées épouvantables !) et a été blessé deux fois. Je voue donc une fidélité émue et sans limites à l'épopée de nos ''poilus''), je pensais à l'évolution logiquement prévisible du monde qui fut longtemps ''le nôtre'' (qui que soit le ''nous'' auquel on se réfère !) et dans lequel si peu arrivent à trouver une place qui leur convienne, aujourd'hui. Et j'ai beau tourner toutes les hypothèses de travail dans tous les sens, pas une seule ''bonne nouvelle'' en vue...
Dans le but de, peut-être, rendre compte de l'actualité aux lecteurs de ce Blog, je lis la presse du matin (celle du soir me débecte trop !), j'écoute les ''JT'' de l'entreprise de démolition et de crétinisation de masse qu'est devenue la merveilleuse invention qu'aurait pu être la télévision (Avez-vous regardé –vraiment REGARDÉ-- un seul épisode de ''Danse avec les stars'' ? Moi, oui, une fois, et pas longtemps. J'en ai presque pleuré, comparant cette pauvreté à la griserie des premières émissions en couleur, au début des années 1960 !)... Un affreux ''effet-miroir'' me renvoie l'image de ce que nous sommes devenus sans même nous en être rendu compte, sans même en voir, en ce moment-même, les conséquences dramatiques...
Dans un théâtre d’ombres massivement et volontairement enlaidi (dont les rues de Paris, les champs d'éoliennes ou les banlieues commerçantes des villes  sont des exemples vomitifs), ceux qui se croient encore vivants s'agitent en mouvements désordonnés, pitoyables, inutiles et dramatiques, comme dans une pièce de Ionesco, marquée par l'absurdité de tout, ou dans un cortège carnavalesque à la Rabelais, marqué, lui, par le grotesque. Des pantins désarticulés s'agitent dans tous les sens, espèrent trouver dans de ridicules gesticulations  ''convenues'' (à écrire, ici... en deux mots !) ce que leur refuse l'absence de qualité de leur nullité ''encyclopédique'', tout en parcourant la planète dans des jets qui brûlent 80 à 100 000 litres de kérosène par long voyage (comme le ''Cotam-Unité'' de l'Elysée), dans le but –affirment-ils sans en mourir de honte-- de diminuer de ‘‘έ ‰’’ l'empreinte carbone théorique (mais totalement indémontrable) de 3 ou 4 villages de Lozère.
Ici, un ministre en exercice ment effrontément pour la 20 ème fois, en le sachant... Là, un Président avoue adorer emmerder ceux au service exclusif desquels il doit d'être là où il est... Ailleurs encore, une pitoyable grande prêtresse auto-promue de Gaïa (et de Greta !) disserte componctueusement sur le sexe des barbecues... Des laïcs de combat ‘’poussent’’ un Dieu exogène et peu souhaitable dont ils ne savent rien, maltraitent le nôtre (dont ils ont oublié le peu qu'ils savaient !) mais interdisent pour leurs femmes les déguisements qu’ils prônent pour celles des autres... De grands enfants beaucoup trop gâtés (et très idiots !) s'imaginent qu'ils sauvent la planète en jetant des bidons de potage sur des œuvres d'art, au nom de peuples affamées prêts à donner leur vie pour quelques miettes de ce faux banquet de la honte... Un barbu, plus con qu’ illuminé se prend pour un ''toro'' combattant dans l'arène... Un vieillard oublieux rêve, dit-on, d'installer un beau bac à sable dans les jardins de la Maison Blanche...  Un despote au visage de très vieux bébé décline, en balançant son bras gauche dans le vide, les mille et une manières qu'il connaît de tous nous vitrifier... Un acteur de séries ''B'' promet une interdiction de pardon définitive, en lançant des missiles un peu partout au cri de ‘’c’est pas moi, c’est lui’’.. Un ado plein de morgue et de vide ouvre toutes grandes les passoires que sont nos frontières et insulte sa voisine de pallier parce qu’elle refuse de le suivre dans son suicide démographique...  C'est de toute part que notre pauvre esquif prend l'eau...
Des hommes, des femmes, des enfants, tentent de survivre dans ce  capharnaüm, un peu comme des aveugles sans guide qui avanceraient en tâtonnant de droite et de gauche. Et pourtant, on ne sait ni comment ni pourquoi, tout se passe comme si ces survivants-avant-l'heure avaient, chevillé au corps, un immense amour pour l'Humanité –ce qui interdit de désespérer-- qui leur (et nous) permet de rester vivants dans un monde qui s'épuise dans un même hoquet sans espoir, depuis des lustres. Chacun de nous s'efforce de porter en soi la promesse d'une Arcadie, un refuge pour ne pas être en entier happés par les remous néfastes et les courants mortels du temps... Montaigne disait (Essais, I-38 ''De la solitude'', 1580) : ''il se faut réserver une arrière-boutique toute nôtre, en laquelle nous établissons notre vraie liberté et principale retraite et solitude''... Va pour ''chacun sa thébaïde'', si cette astuce doit nous protéger, tous et chacun, de la folie du monde et des hommes...
On va me dire que je suis un prototype à ''muséifier'' de conservateur nostalgique, rétrograde, de droite, et que sais-je encore : mélancolique, triste, cafardeux,... et la réponse est : ''Oui ! Oh ! Que oui, sauf les 3 derniers, puisque je passe des heures chaque jour à jouer avec mon piano et mon orgue, le plus souvent en chantant –en ce moment, des grands airs du Répertoire dit opératique ! Quelle plus noble tâche et quel plus beau ''métier'', que de se battre pour tenter de sauver ce qui valait et vaut toujours largement la peine de l'être... Jusqu'il y a peu, on sentait bien que dire ''c'était mieux avant'' avait un petit air de ''provoc'', l’invention de l'aspirine, de la pénicilline ou des antibiotiques suffisant à déclasser toutes les époques qui les avaient précédées. Mais ''le monde étant ce qu’il est, une telle affirmation ne serait plus incongrue, aujourd'hui, ne serait-ce qu'à cause de l'envahissement des trottoirs par des cadavres de trottinettes ou les faux travaux anti-auto de la mère hidalgo !
Confronté à une lutte permanente entre ''l'ancien et le nouveau'', notre esprit hésite à préférer les bâtisseurs de Cathédrales ou les créatifs de la Silicon Valley. Le bobard planétaire et histo(histé)rique du progrès tel que vu par les modernistes, ''Plus besoin de Dieu ni d'un autre monde : bientôt, tu seras parfaitement heureux sur cette Terre'' a fait long feu... en tout cas en partie : nous avons bien vu que la fin de la phrase était un vrai mensonge, mais nous avons oublié de ''corriger le tir'' sur la première partie, aussi. Qui sait de quel pourcentage de notre immense mal-être actuel ce ''léger'' (?) oubli est responsable ? Derrière tout le désordre --que certains appellent ''le monde d'après''... et qui est si laid, en plus-- que pouvons-nous espérer de Beau, de Juste, de Bon, de Vrai et même, plus simplement, de Souhaitable ? La théorie dit que le choix devrait être ''entre le calme et la tempête''. Mais... où et qui sont ceux qui peuvent imaginer le moindre moment de calme... ou pas de tempêtes à venir ? Je n'en ai pas croisé un seul, depuis des années...
H-Cl.
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philoursmars · 2 years
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A Douai, dans la cour de l’Hôtel de Ville, sous le beffroi, il y avait ce week-end un marché médiéval. Un Ork (?), des archers, des armures et des vendeurs barbus...
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lanuitlennuie · 2 months
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Du Triste tigre de Neige Sinno au récent divan sur lequel je flotte le regard accroché au portrait du prophète barbu, quelque chose de mai 68 est remonté dans un souffle invisible mais puissant, ouvrant des portes cochères et des trappes de grenier, m'échouant démantibulée sur un territoire familier mais reconfiguré. En parlant avec S, je retourne lire Kristin Ross qui permet de rendre justice et défaire l'usurpation historique par laquelle s'est refermé un immense, profond et large mouvement de contestation dans lequel s’étaient engagés des millions de personnes - aux conditions et activités disparates mais dont elles refusaient la séparation - , réduit par le récit officiel à une simple révolte de jeunesse n'ayant aboutit qu'à une transformation d'une bourgeoisie autoritaire en son clone libéral. Mes yeux brûlent mais il n'est pas trop tard ni pour le chagrin ni pour la joie de voir apparaître cette vérité dans toute sa spécificité historique et matérielle, ce qu'elle fait au monde d'où je viens, le réouvrant à froid, sans tri, sans hiérarchie.
« Mai 68 se limite donc au seul mois de mai - pas même à celui de juin, au cours duquel pourtant près de neuf millions de travailleurs, tous horizons géographiques ou sociaux confondus, poursuivent leur grève. La plus grande grève générale de l'histoire de France se trouve ainsi reléguée à l'arrière-plan, tout comme la genèse de l'insurrection, dont on peut déjà trouver les ferments à la fin de la guerre d'Algérie, soit au début des années 60. Ni la violente répression d'État qui mit un terme aux évènements de mai-juin, ni la violence gauchiste qui a perduré jusqu'au début des années 1970 ne sont évoquées. Ce ne sont pas moins de quinze à vingt ans de radicalisme politique qui sont ainsi occultés, dont les symptômes étaient déjà manifestes dans l'émergence progressive d'une opposition limitée mais significative à la guerre d'Algérie et dans l'adhésion de nombreux Français, dans la foulée de l'énorme secousse des révolutions anti-coloniales, à une analyse «tiers-mondiste» de la politique globale. Il était également manifeste dans la récurrence de troubles, vers le milieu des années 1960, parmi les ouvriers des usines françaises, ainsi que dans l'émergence d'un marxisme critique, antistalinien, exprimé dans les innombrables journaux qui fleurirent entre le milieu des années 1950 et celui des années 1970. La conjoncture politique en France était en fait dominée par un marxisme très dynamique, que ce soit à l'intérieur du mouvement ouvrier, à l'université par le biais des idées d'Althusser, dans les petits groupes maoïstes, trotskistes ou anarchistes, ou encore dans la recherche, en tant que cadre de pensée dominant en philosophie et en sciences humaines depuis la Seconde guerre mondiale. Tout cela s'évanouit pourtant au profit d'un récit dans lequel Mai 68 jaillit soudain de nulle part, de manière tout à fait spontanée. Cet oubli est sans doute le prix à payer pour «sauver» le joli mois de mai au cours duquel est né la «libre expression». Cette restriction des évènements au seul mois de mai a des répercussions importantes. La raccourci temporel non seulement fonde mais renforce la réduction géographique du théâtre d'activité à la seule ville de Paris et, plus spécifiquement encore, au Quartier Latin. Une fois de plus, le rideau tombe sur les travailleurs en grève dans les faubourgs de la capitale et dans tout le pays.» Kristin Ross, Mai 68 et ses vies ultérieures, p.20.
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habibaaabdelhamed · 2 months
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L'énigmatique arbre barbu : un conte fascinant du jardin botanique d'Assouan
Pour une expérience inoubliable en Egypte, pensez à embarquer Circuits en Egypte qui incluent une visite au jardin botanique d'Assouan. Plongez-vous dans la beauté captivante de ce musée botanique ouvert, où vous pourrez rencontrer l'énigmatique arbre barbu.
Les forfaits touristiques en Égypte proposent des itinéraires complets qui englobent les attractions les plus renommées du pays, notamment le jardin botanique d'Assouan. Ces forfaits soigneusement sélectionnés vous permettent d'explorer les divers paysages, les merveilles anciennes et les merveilles naturelles de l'Égypte, tout en offrant également l'occasion d'assister aux phénomènes captivants de l'arbre-lézard.
Alternativement,Excursions d'une journée en Egypte proposez une exploration condensée de destinations spécifiques, vous permettant de profiter au maximum de votre temps et de découvrir la splendeur du jardin botanique d'Assouan. Plongez dans la verdure luxuriante, découvrez la gamme de plantes rares et d'arbres tropicaux et soyez témoin de l'effet fascinant des feuilles réactives de l'arbre barbu.
Que vous choisissiez les circuits en Egypte,Forfaits touristiques en Egypte, ou excursions d'une journée en Egypte, une visite au jardin botanique d'Assouan promet une rencontre enchanteresse avec le remarquable arbre-lézard. Découvrez le charme captivant de cette espèce unique et plongez dans les merveilles naturelles que l'Égypte a à offrir.
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Selon le directeur du Jardin botanique, la réponse intrigante de l’arbre barbu est un mécanisme de défense. L'explication scientifique de ce phénomène révèle que la plante puise l'eau de ses feuilles vers la tige comme mesure de protection lorsqu'elle détecte des menaces potentielles. Ce processus est le véritable secret du rétrécissement de ses feuilles, contrairement à l’idée fausse selon laquelle cela est dû à la timidité.
Pour approfondir vos connaissances sur les paysages fascinants et le patrimoine culturel égyptien, envisagez de prendre Excursions d'une journée à Louxor. Ces visites offrent l'occasion d'explorer la captivante ville de Louxor, souvent considérée comme le plus grand musée en plein air du monde. Émerveillez-vous devant les temples impressionnants de Karnak et de Louxor, admirez les hiéroglyphes complexes et la grande architecture et embarquez pour un voyage dans le passé glorieux de l'Égypte ancienne.
Pour une expérience sereine et pittoresque,Excursions d'une journée à Assouan sont un choix parfait. Explorez le majestueux temple de Philae, admirez la grandeur du haut barrage et plongez-vous dans la beauté tranquille de choses uniques à faire lors de l'excursion d'une journée en Nubie à Assouan. Découvrez les joyaux cachés d'Assouan et profitez du charme unique de cette ville remarquable.
Pour découvrir la vibrante capitale,Excursions d'une journée au Caire offre une opportunité incroyable. Explorez les magnifiques pyramides de Gizeh, notamment la Grande Pyramide de Khéops, le Sphinx et le Temple de la Vallée. Plongez dans la riche histoire du Caire islamique en visitant des mosquées historiques telles que la mosquée du Sultan Hassan et la mosquée Al-Rifa'i, et promenez-vous dans les rues animées remplies de marchés traditionnels.
En choisissant des voyagistes réputés et en suivant les directives et protocoles fournis, vous pourrez profiter de vos excursions en Excursions à Charm el-Cheikh et Excursion d'une journée à Hurghada en toute sérénité, sachant que votre santé et votre sécurité sont prioritaires tout au long de votre voyage.
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corydon8 · 6 months
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PÉTRONE
ROMANCIER
Il naquit en des jours où des baladins vêtus de robes vertes faisaient passer de jeunes porcs dressés à travers des cercles de feu, où des portiers barbus, à tunique cerise, écossaient des pois dans un plat d’argent, devant les mosaïques galantes à l’entrée des villas, où les affranchis, pleins de sesterces, briguaient dans les villes de province les fonctions municipales, où des récitateurs chantaient au dessert des poèmes épiques, où le langage était tout farci de mots d’ergastule et de redondances enflées venues d’Asie.
Son enfance passa entre de telles élégances. Il ne remettait point deux fois une laine de Tyr. On faisait balayer l’argenterie tombée dans l’atrium avec les ordures. Les repas étaient composés de choses délicates et inattendues, et les cuisiniers variaient sans cesse l’architecture des victuailles. Il ne fallait point s’étonner, en ouvrant un œuf, d’y trouver un bec-figue, ni craindre de trancher une statuette imitée de Praxitèle et sculptée dans du foie gras. Le gypse qui scellait les amphores était diligemment doré. Des petites boîtes d’ivoire indien renfermaient des parfums ardents destinés aux convives. Les aiguières étaient percées de diverses façons et remplies d’eaux colorées qui surprenaient en jaillissant. Toutes les verreries figuraient des monstruosités irisées. En saisissant certaines urnes, les anses se rompaient sous les doigts et les flancs s’épanouissaient pour laisser tomber des fleurs artificiellement peintes. Des oiseaux d’Afrique aux joues écarlates caquetaient dans des cages d’or. Derrière des grillages incrustés, aux riches parois des murailles, hurlaient beaucoup de singes d’Egypte qui avaient des faces de chien. Dans des réceptacles précieux rampaient des bêtes minces qui avaient de souples écailles rutilantes et des yeux rayonnés d’azur.
Ainsi Pétrone vécut mollement, pensant que l’air même qu’il aspirait fût parfumé pour son usage. Quand il fut parvenu à l’adolescence, après avoir enfermé sa première barbe dans un coffret orné, il commença de regarder autour de lui. Un esclave du nom de Syrus, qui avait servi dans l’arène, lui montra les choses inconnues. Pétrone était petit, noir, et louchait d’un œil. Il n’était point de race noble. Il avait des mains d’artisan et un esprit cultivé. De là vint qu’il prit plaisir à façonner les paroles et à les inscrire. Elles ne ressemblèrent à rien de ce que les poètes anciens avaient imaginé. Car elles s’efforçaient d’imiter tout ce qui entourait Pétrone. Et ce ne fut que plus tard qu’il eut la fâcheuse ambition de composer des vers.
Il connut donc des gladiateurs barbares et des hâbleurs de carrefour, des hommes aux regards obliques qui semblent épier les légumes et décrochent les pièces de viande, des enfants frisés que promenaient des sénateurs, de vieux babillards qui discouraient des affaires de la cité aux coins des rues, des valets lascifs et des filles parvenues, des marchandes de fruits et des patrons d’auberges, des poètes minables et des servantes friponnes, des prêtresses interlopes et des soldats errants. Il tenait sur eux son œil louche et saisissait exactement leurs manières et leurs intrigues. Syrus le conduisit dans les bains d’esclaves, les cellules de prostituées et les réduits souterrains où les figurants de cirque s’exerçaient avec leurs épées de bois. Aux portes de la ville, entre les tombes, il lui raconta les histoires des hommes qui changent de peau, que les noirs, les Syriens, les taverniers et les soldats gardiens des croix de supplice se repassaient de bouche en bouche.
Vers la trentième année, Pétrone, avide de cette liberté diverse, commença d’écrire l’histoire d’esclaves errants et débauchés. Il reconnut leurs mœurs parmi les transformations du luxe ; il reconnut leurs idées et leur langage parmi les conversations polies des festins. Seul, devant son parchemin, appuyé sur une table odorante en bois de cèdre, il dessina à la pointe de son calame les aventures d’une populace ignorée. À la lumière de ses hautes fenêtres, sous les peintures des lambris, il s’imagina les torches fumeuses des hôtelleries, et de ridicules combats nocturnes, des moulinets de candélabres de bois, des serrures forcées à coups de hache par des esclaves de justice, des sangles grasses parcourues de punaises, et des objurgations de procurateurs d’îlot au milieu d’attroupements de pauvres gens vêtus de rideaux déchirés et de torchons sales.
On dit que lorsqu’il eut achevé les seize livres de son invention, il fit venir Syrus pour les lui lire, et que l’esclave riait et criait à haute voix en frappant dans ses mains. Dans ce moment, ils formèrent le projet de mettre à exécution les aventures composées par Pétrone. Tacite rapporte faussement qu’il fut arbitre des élégances à la cour de Néron, et que Tigellin, jaloux, lui fit envoyer l’ordre de mort. Pétrone ne s’évanouit pas délicatement dans une baignoire de marbre, en murmurant de petits vers lascifs. Il s’enfuit avec Syrus et termina sa vie en parcourant les routes.
L’apparence qu’il avait lui rendit son déguisement facile. Syrus et Pétrone portèrent tour à tour le petit sac de cuir qui contenait leurs hardes et leurs deniers. Ils couchèrent en plein air, près des tertres de croix. Ils virent luire tristement dans la nuit les petites lampes des monuments funèbres. Ils mangèrent du pain aigre et des olives amollies. On ne sait pas s’ils volèrent. Ils furent magiciens ambulants, charlatans de campagne, et compagnons de soldats vagabonds. Pétrone désapprit entièrement l’art d’écrire, sitôt qu’il vécut de la vie qu’il avait imaginée. Ils eurent de jeunes amis traîtres, qu’ils aimèrent, et qui les quittèrent aux portes des municipes en leur prenant jusqu’à leur dernier as. Ils firent toutes les débauches avec des gladiateurs évadés. Ils furent barbiers et garçons d’étuves. Pendant plusieurs mois, ils vécurent de pains funéraires qu’ils dérobaient dans les sépulcres. Pétrone terrifiait les voyageurs par son œil terne et sa noirceur qui paraissait malicieuse. Il disparut un soir. Syrus pensa le retrouver dans une cellule crasseuse où ils avaient connu une fille à chevelure emmêlée. Mais un grassateur ivre lui avait enfoncé une large lame dans le cou, tandis qu’ils gisaient ensemble, en rase campagne, sur les dalles d’un caveau abandonné.
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Tiens, voici 50 ans aujourd'hui que l'écrivain aristocratique (ou néo-antique) Henry de Montherlant se suicidait, ne voulant plus vivre aveugle. En bon " jeune-cultivé-de-droite " (ou aspirant à se faire une culture de droite) j'ai dû lire 3 ou 4 livres de l'écrivain. Je ne me souviens, à vrai dire, que des Célibataires, fascinante plongée dans l'univers confiné et parisien de deux assez vieux garçons (l'un étant l'oncle de l'autre), aristos et ruinés. J'ai lu le livre bien après en avoir vu une adaptation télévisée due à Jean Prat (celui qui venait de réaliser cette flamboyante adaptation des Perses d'Eschyle, temps fort de la télé de de Gaulle), laquelle m'avait marqué, bien que j'eus à peine 7 ans en 1962. Montherlant y montrait crûment la misère, morale et sociale, de deux individus largués par l'évolution des temps - il se moquait aussi au passage de la fatuité et de l'américanôlatrie d'un autre membre de cette famille, celui qui a réussi. Je me souviens vaguement d'un Fernand Ledoux barbu, et parfait comme à son habitude, en vieux marginal.
Et puis j'ai vu aussi une adaptation télévisée de La Ville dont le prince est un enfant, mais qu'en ai-je compris étant alors encore assez enfant ? J'ai aussi retenu cette excellente réplique de La Reine morte, qui sonne plus fort que jamais aujourd'hui : " En prison, pour médiocrité ! ". Sinon Montherlant a été un moment présent dans ma famille : un mien cousin, diplômé de Sciences Po en attendant de l'être de l'ENA, et un temps membre de l'AF, avait préparé une thèse sur cet écrivain et avait été donc reçu par lui - dans des mémoires, HdM parle d'ailleurs, sur le mode ironique, d'un gros garçon venu lui poser des question, et c'est vrai que ce cousin était un peu " fort ". Je l'entends encore commenter le suicide subit de Montherlant, et évoquer les répercussions que ça avait sur son travail (qu'on se rassure, le cousin a bien survécu à la disparition de son héros : il occupe une très importante fonction dans l'administration de Monaco et s'exprime couramment en langue de bois macronienne)...
Bon, en ce cinquantième anniversaire (on devrait plutôt parler de " demi-siècle ") de sa disparition, on se demande (ou plutôt on ne se demande pas) ce qu'il aurait pensé de tout s'il était parvenu jusqu'à aujourd'hui, c.a.d. à la brillante civilisation du rap, du féminisme de gouvernement et de la bourgeoisie " bohème " - et de la littérature à la Virginie Despentes. Peut-être se serait-il encore suicidé. C'est vrai que pour cet admirateur des vertus de l'ancienne Rome, des Caton et des Cicéron (il ne s'est néanmoins pas tranché les veines à la romaine), le décalage - déjà patent de son vivant - entre ses modèles esthétiques sinon politiques et la réalité n'a fait que s'accroître vertigineusement depuis sa mort, au point que tout ce qui précède ce nouveau millénaire semble participer d'un monde antique ! Et c'est peut dire que Montherlant est d'un autre temps : il est d'une autre planète, comme pas mal d'écrivains classiques d'ailleurs...
Pour conclure sur le sujet, une citation de cet auteur, d'une amusante radicalité, voire d'une certaine actualité :
« Une seule nation parvient à faire baisser l’intelligence, la moralité, la qualité de l’homme sur presque toute la surface de la terre, cela ne s’est jamais vu depuis que le globe existe. J’accuse les Etats-Unis d’être en état constant de crime contre l’humanité. »
Pierre Robin
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christophe76460 · 7 months
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🇫🇷 Un pasteur a été blessé par balle par des musulmans radicaux dimanche soir (3 septembre) à Jaranwala, au Pakistan, une semaine après que des slogans islamistes aient été écrits sur les murs de son église, ont indiqué des sources.
Le révérend Eleazar Sidhu, pasteur d'une église presbytérienne du village de Kukranwala dans la région de Khanuwana de Jaranwala tehsil, district de Faisalabad, a déclaré que les assaillants lui avaient ordonné de réciter le credo islamique avant de lui tirer dessus. Il rentrait chez lui dans la ville de Rehmat avec un assistant après des visites pastorales aux membres de l'église lorsque deux hommes barbus ont arrêté sa moto près de l'arrêt de bus de Khanuwana, a-t-il déclaré.
« L'un des assaillants a sorti un pistolet et m'a demandé de réciter le Kalima islamique, [profession de foi] », a déclaré le pasteur Sidhu dans le premier rapport déposé au poste de police de Saddar à Jaranwala. « Lorsque j’ai refusé et que j’ai commencé à réciter la profession de la foi chrétienne, l’homme a ouvert le feu, ce qui m’a blessé par balle dans la moitié supérieure de la poitrine [sur l’épaule]. Les assaillants ont pris la fuite après l’attaque.
"Nous remercions Dieu d'avoir sauvé la vie du pasteur", a déclaré Bhatti à Morning Star News.
« Vous serez haïs de tous, à cause de mon nom ; mais celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé » | Matthieu 10 :22 🔥
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tma-du-taomapa · 10 months
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VISITE DU RESTE DE L'ÎLE DE LA GOMERA (III)
Nous avons encore fait deux incursions dans l'île ce qui a permis de rapporter quelques clichés supplémentaires. Celui présenté ci-dessus montre bien la montée de l'humidité en fin de journée, humidité qui sera captée par les arbres barbus de la forêt centrale, où on passe de 39° à 19° au même endroit...
Nous sommes d'abord allés à l'ouest de l'île, à VALLE GRAN REY.
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En passant, depuis un belvédère élaboré par le célèbre César Manrique (de Lanzarote), nous avons pu admirer, de loin, les cultures en espaliers et les palmeraies
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Après avoir roulé jusqu'en bas de la vallée, nous avons découvert le petit port local
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avec une statue caractéristique
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Nous sommes ensuite allés nous baigner sur une plage de galets gris avec des rouleaux, et ce ne fut pas facile !
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Le lendemain, nous sommes descendus au sud, à PLAYA DE SANTIAGO, où il y avait un petit port sympa
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aux abords duquel on pouvait découvrir cette petite chapelle encastrée dans la roche et dédiée à la patronne des pêcheurs, Ste Carmen
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qui allait être fêtée le dimanche suivant
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On a croisé quelques oeuvres décoratives
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avant de rentrer par une route intérieure de laquelle on pouvait voir ça
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puis ça
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et enfin ça depuis la route GM2
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Toutes ces beautés naturelles ne doivent pas faire oublier que dans la ville de SAN SEBASTIAN DE LA GOMERA on peut aussi croiser d'autres types de construction, comme
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ou encore
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Tout n'est pas parfait dans le meilleur des mondes...
Avant de quitter LA GOMERA ce mardi qui vient, et pour terminer sur une note plus légère, je dois vous parler des "guaguas", qui n'ont rien à voir avec les Stéphanois, ni avec les chiens, du fait que ça se prononce ouah ouah : il s'agit simplement du nom donné aux autobus dans tout l'archipel !
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barbudeville · 2 years
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La jasette du Barbu #356
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news24fr · 1 year
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The Last of Us : épisode par épisodeTélévisionThe Last of Us récapitule l'épisode quatre – pourquoi diable le sol tourne-t-il comme ça? Joel et Ellie se lancent dans un voyage gigantesque dans lequel, évidemment, rien ne se passe comme prévu. Photo : HBO/Warner MediaJoel et Ellie se lancent dans un voyage gigantesque dans lequel, évidemment, rien ne se passe comme prévu. Photo : HBO/Warner MediaEllie s'empare d'une arme à feu, Joel a un réveil brutal - et voici Melanie Lynskey dans le rôle de l'impitoyable révolutionnaire Kathleen. Mais un sol qui gronde n'augure rien de bon... surtout pas dans un survival-horrorAndy Welchlun. 6 févr. 2023 17 h 00 HNEDernière modification le lundi 6 février 2023 à 17 h 02 HNECet article contient des spoilers pour la série télévisée The Last of Us. Ne lisez pas à moins d'avoir vu les épisodes un à quatre...Après le spectacle déchirant du double de Bill et Frank, nous avons vu Joel (Pedro Pascal) et Ellie (Bella Ramsey) revenir sur le devant de la scène alors qu'ils se lançaient dans un road trip épique et s'adaptaient à la vie après Tess.Tout se passait à merveille jusqu'à ce qu'ils arrivent à Kansas City, où les autoroutes étaient bloquées et où ils devaient trouver un détour. Bien sûr, ceci étant The Last of Us, rien ne peut se dérouler comme prévu. Après une fusillade rapide, au cours de laquelle Joel a rapidement éliminé deux de leurs agresseurs, un troisième a profité de la mauvaise audition de Joel pour ramper et prendre le dessus sur lui. Heureusement, Ellie, qui avait plaidé pour une arme à feu, en avait récupéré une en fouinant chez Bill et l'avait utilisée, sauvant Joel. Je suis sûr qu'il voulait être déçu, mais comment pourrait-il être autre chose que satisfait. Plus tard, il a donné à sa pupille quelques conseils sur la position et la prise pour ses problèmes.Ellie, quant à elle, a déclaré qu'elle avait déjà tué. De qui pouvait-elle parler ? (Je ne pense pas qu'elle faisait référence à cet infecté piégé qu'elle a poignardé à la tête dans le bunker.)Nous avons ensuite rencontré Kathleen (la star des Yellowjackets Melanie Lynskey), chef d'un groupe local de révolutionnaires qui s'est apparemment soulevé pour renverser l'Agence fédérale de réponse aux catastrophes (Fedra), qui contrôle la ville, et démanteler la zone de quarantaine. La règle du groupe est tout aussi terrifiante que celle de Fedra, avec Kathleen déterminée à retrouver Henry (Lamar Johnson) et son petit frère, Sam (Keivonn Woodard). La raison n'est pas claire (quelque chose à propos de donner des informations à Fedra), mais elle parle au médecin du fait que son frère a été battu à mort, et déroule une liste de noms de personnes qu'elle recherche - des "collaborateurs" - se précipitant plus tard retour à la cellule pour abattre calmement le médecin. Elle a peut-être une voix totalement inoffensive, mais ne vous y trompez pas, c'est une personne impitoyable.Alors que la milice cherchait haut et bas les garçons et les étrangers mystérieux que nous savons être Joel et Ellie, nous avons vu une étrange ondulation dans le sol. Jamais bon signe, surtout dans le genre survival-horror... "Quand on le dit aux autres ?" dit le bras droit barbu de Kathleen, Perry (Jeffrey Pierce). "Pas encore", a déclaré Kathleen. « Gérons ce que nous avons à gérer. Nous pourrons nous en occuper après. Cela ressemble définitivement à une suggestion sensée qui ne reviendra pas vous mordre.Perry ( Jeffrey Pierce ), bras droit de Kathleen, chef des révolutionnaires. Photo : HBO/Warner MediaLimites de la ville en embuscadeAlors que Joel et Ellie se dirigeaient vers le haut de cet escalier terrifiant - je m'attendais à ce que quelque chose les attende pendant leur ascension - Ellie a semblé choquée d'en apprendre un peu plus sur son compagnon de voyage. Joel a été si rapide à repérer l'embuscade précédente parce qu'il avait fait des choses similaires avec Tommy et Tess dans le passé. Il a également 56 ans et son ouïe est probablement encore pire qu'il ne l'a laissé entendre, à la suite d'avoir tiré trop de coups de feu.
Ellie n'était pas la seule à avoir des questions, cependant, Joel reprenant quelque chose qu'Ellie avait dit plus tôt à propos de blesser les gens. « Qu'est-ce que tu voulais dire par le fait que ce n'était pas ta première fois ? » Il a demandé. "Je ne veux pas en parler", a-t-elle répondu, tandis que sa tentative de réconfort a échoué lorsqu'il a admis que cette vie ne devient pas plus facile avec l'âge. C'est le plus proche d'une conversation normale et, finalement, d'un lien. Grâce au script minimal et aux excellentes performances de Pascal et Ramsey, c'est tout à fait crédible.Ils se sont endormis, mais l'ouïe de Joel est totalement mauvaise - même son tour de verre sur le sol n'a pas empêché Henry et Sam de se faufiler vers eux. Quel spectacle pour se réveiller ; deux garçons tenant des pistolets. Espérons qu'ils ne soient pas aussi dangereux que Kathleen le croit. J'ai l'impression qu'ils ne sont pas...Remarques et observationsJoel (Pedro Pascal) et Ellie (Bella Ramsey) doivent s'adapter à la vie après Tess. Photo : HBO/Warner Media Une personne commentant le récapitulatif du premier épisode a suggéré qu'il était ridicule que les voitures à essence fonctionnent encore dans un monde sans production d'essence, déclarant correctement que le carburant a une durée de vie. C'était bien que cela soit abordé ici, avec Joel expliquant pourquoi lui et Ellie devaient s'arrêter si souvent pour siphonner de l'essence. "C'est essentiellement de l'eau." Bleak_T_W, j'espère que vous avez apprécié celui-là. J'ai aimé la tentative de Joel d'expliquer le fonctionnement des siphons. Quelque chose, quelque chose, la gravité concerne aussi l'étendue de ma compréhension. Le livre d'Ellie, No Pun Intended: Volume Too, est directement issu du jeu vidéo. C'était un artefact vu pour la première fois comme un objet de collection dans The Last of Us Pt I et plus tard dans le spin-off d'extension The Last of Us: Left Behind. Il a été écrit par Will Livingston. La chanson de Hank Williams qui jouait dans le camion était bien intitulée Alone and Forsaken. Lincoln, Massachusetts, où Joel et Ellie ont récupéré le camion de Bill, se trouve à environ 2 500 milles de Jackson, Wyoming, où ils se dirigent. Sur un bon parcours, avec un carburant efficace et sans barrages routiers de la milice, il faudrait environ 39 heures pour conduire. Si vous pensez que manger des raviolis en conserve de 20 ans d'âge est mauvais, voici une vidéo de quelqu'un qui mange une soupe en conserve de 90 ans. Jeffrey Pierce, qui joue Perry, a fourni la voix de Tommy dans les jeux vidéo. Il a été choisi comme le frère de Joel après avoir initialement auditionné pour le rôle de Joel. La chanson de clôture était une reprise de New Order's La vraie foi par Lotte Kestner. (Ce lien est sûr, mais un mot d'avertissement pour tous ceux qui espèrent en savoir plus sur cette version de couverture : les spoilers abondent et la section des commentaires YouTube n'est pas votre amie !) Qu'avez-vous pensé de l'épisode 4 ? Vous appréciez les choses jusqu'à présent ? Qui sont Henry et Sam ? C'est quoi ce sous-sol ? Exprimez-vous ci-dessous…Les sujetsTélévisionThe Last of Us : épisode par épisodeJeuxcaractéristiquesRéutiliser ce contenuLe plus regardéLe plus regardéCet article contient des spoilers pour la série télévisée The Last of Us. Ne lisez pas à moins d'avoir vu les épisodes un à quatre...Après le spectacle déchirant du double de Bill et Frank, nous avons vu Joel (Pedro Pascal) et Ellie (Bella Ramsey) revenir sur le devant de la scène alors qu'ils se lançaient dans un road trip épique et s'adaptaient à la vie après Tess.Tout se passait à merveille jusqu'à ce qu'ils arrivent à Kansas City, où les autoroutes étaient bloquées et où ils devaient trouver un détour. Bien sûr, ceci étant The Last of Us, rien ne peut se dérouler comme prévu. Après une fusillade rapide, au cours de laquelle Joel a rapidement éliminé deux de leurs agresseurs, un troisième a profité de la mauvaise audition de Joel pour ramper et prendre le dessus sur lui.
Heureusement, Ellie, qui avait plaidé pour une arme à feu, en avait récupéré une en fouinant chez Bill et l'avait utilisée, sauvant Joel. Je suis sûr qu'il voulait être déçu, mais comment pourrait-il être autre chose que satisfait. Plus tard, il a donné à sa pupille quelques conseils sur la position et la prise pour ses problèmes.Ellie, quant à elle, a déclaré qu'elle avait déjà tué. De qui pouvait-elle parler ? (Je ne pense pas qu'elle faisait référence à cet infecté piégé qu'elle a poignardé à la tête dans le bunker.)Nous avons ensuite rencontré Kathleen (la star des Yellowjackets Melanie Lynskey), chef d'un groupe local de révolutionnaires qui s'est apparemment soulevé pour renverser l'Agence fédérale de réponse aux catastrophes (Fedra), qui contrôle la ville, et démanteler la zone de quarantaine. La règle du groupe est tout aussi terrifiante que celle de Fedra, avec Kathleen déterminée à retrouver Henry (Lamar Johnson) et son petit frère, Sam (Keivonn Woodard). La raison n'est pas claire (quelque chose à propos de donner des informations à Fedra), mais elle parle au médecin du fait que son frère a été battu à mort, et déroule une liste de noms de personnes qu'elle recherche - des "collaborateurs" - se précipitant plus tard retour à la cellule pour abattre calmement le médecin. Elle a peut-être une voix totalement inoffensive, mais ne vous y trompez pas, c'est une personne impitoyable.Alors que la milice cherchait haut et bas les garçons et les étrangers mystérieux que nous savons être Joel et Ellie, nous avons vu une étrange ondulation dans le sol. Jamais bon signe, surtout dans le genre survival-horror... "Quand on le dit aux autres ?" dit le bras droit barbu de Kathleen, Perry (Jeffrey Pierce). "Pas encore", a déclaré Kathleen. « Gérons ce que nous avons à gérer. Nous pourrons nous en occuper après. Cela ressemble définitivement à une suggestion sensée qui ne reviendra pas vous mordre.Perry ( Jeffrey Pierce ), bras droit de Kathleen, chef des révolutionnaires. Photo : HBO/Warner MediaLimites de la ville en embuscadeAlors que Joel et Ellie se dirigeaient vers le haut de cet escalier terrifiant - je m'attendais à ce que quelque chose les attende pendant leur ascension - Ellie a semblé choquée d'en apprendre un peu plus sur son compagnon de voyage. Joel a été si rapide à repérer l'embuscade précédente parce qu'il avait fait des choses similaires avec Tommy et Tess dans le passé. Il a également 56 ans et son ouïe est probablement encore pire qu'il ne l'a laissé entendre, à la suite d'avoir tiré trop de coups de feu.Ellie n'était pas la seule à avoir des questions, cependant, Joel reprenant quelque chose qu'Ellie avait dit plus tôt à propos de blesser les gens. « Qu'est-ce que tu voulais dire par le fait que ce n'était pas ta première fois ? » Il a demandé. "Je ne veux pas en parler", a-t-elle répondu, tandis que sa tentative de réconfort a échoué lorsqu'il a admis que cette vie ne devient pas plus facile avec l'âge. C'est le plus proche d'une conversation normale et, finalement, d'un lien. Grâce au script minimal et aux excellentes performances de Pascal et Ramsey, c'est tout à fait crédible.Ils se sont endormis, mais l'ouïe de Joel est totalement mauvaise - même son tour de verre sur le sol n'a pas empêché Henry et Sam de se faufiler vers eux. Quel spectacle pour se réveiller ; deux garçons tenant des pistolets. Espérons qu'ils ne soient pas aussi dangereux que Kathleen le croit. J'ai l'impression qu'ils ne sont pas...Remarques et observationsJoel (Pedro Pascal) et Ellie (Bella Ramsey) doivent s'adapter à la vie après Tess. Photo : HBO/Warner Media Une personne commentant le récapitulatif du premier épisode a suggéré qu'il était ridicule que les voitures à essence fonctionnent encore dans un monde sans production d'essence, déclarant correctement que le carburant a une durée de vie. C'était bien que cela soit abordé ici, avec Joel expliquant pourquoi lui et Ellie devaient s'arrêter si souvent pour siphonner de l'essence.
"C'est essentiellement de l'eau." Bleak_T_W, j'espère que vous avez apprécié celui-là. J'ai aimé la tentative de Joel d'expliquer le fonctionnement des siphons. Quelque chose, quelque chose, la gravité concerne aussi l'étendue de ma compréhension. Le livre d'Ellie, No Pun Intended: Volume Too, est directement issu du jeu vidéo. C'était un artefact vu pour la première fois comme un objet de collection dans The Last of Us Pt I et plus tard dans le spin-off d'extension The Last of Us: Left Behind. Il a été écrit par Will Livingston. La chanson de Hank Williams qui jouait dans le camion était bien intitulée Alone and Forsaken. Lincoln, Massachusetts, où Joel et Ellie ont récupéré le camion de Bill, se trouve à environ 2 500 milles de Jackson, Wyoming, où ils se dirigent. Sur un bon parcours, avec un carburant efficace et sans barrages routiers de la milice, il faudrait environ 39 heures pour conduire. Si vous pensez que manger des raviolis en conserve de 20 ans d'âge est mauvais, voici une vidéo de quelqu'un qui mange une soupe en conserve de 90 ans. Jeffrey Pierce, qui joue Perry, a fourni la voix de Tommy dans les jeux vidéo. Il a été choisi comme le frère de Joel après avoir initialement auditionné pour le rôle de Joel. La chanson de clôture était une reprise de New Order's La vraie foi par Lotte Kestner. (Ce lien est sûr, mais un mot d'avertissement pour tous ceux qui espèrent en savoir plus sur cette version de couverture : les spoilers abondent et la section des commentaires YouTube n'est pas votre amie !) Qu'avez-vous pensé de l'épisode 4 ? Vous appréciez les choses jusqu'à présent ? Qui sont Henry et Sam ? C'est quoi ce sous-sol ? Exprimez-vous ci-dessous…
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devoirat · 2 years
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Devoir de Synthèse 2 Français 2ème éco & serv
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  Stentor, à la voix puissante, fait naufrage et se retrouve dans un pays inconnu. Dès qu’il parle, les gens s’évanouissent de douleur... Le tonnerre de sa voix se répercuta le long des rues vides et fit trembler les édifices sur leurs bases. Une corniche se détacha d’un temple voisin et s’écroula silencieusement. Stentor s’attarda à considérer les dégâts. Il ne vit pas sortir d’une rue adjacente un groupe d’hommes armés qui avançaient comme des ombres et sans le moindre bruit. Sur un signal silencieux ils s’élancèrent tous ensemble vers lui et eurent tôt fait de le maîtriser. Leur premier soin fut de lui fixer sur la bouche un solide bandeau qui l’empêchait d’émettre le moindre son. Stentor se défendit comme un beau diable, mais que faire contre le nombre ? Il ne pouvait même pas crier. Le bandeau, l’étouffant à moitié, retenait sa voix au fond de sa gorge. On le mena vers une porte de prison où on le jeta dans un cachot sous terre. La porte du cachot s’ouvrit sans le moindre grincement sur ses gonds bien huilés. Un vieil homme barbu parut sur le seuil. Il considéra longuement le prisonnier. D’une voix à peine audible*, il murmura*: - Je vois à ton costume que tu viens d’Argos. J’y suis allé autrefois et je parle ta Mon nom est Olibrius. Si tu me promets de parler doucement, très doucement, je déferai ton bâillon et nous pourrons causer*. - Où suis-je ? - Moins fort, s’il te plaît. Nous avons l’oreille fine et nous entendons le moindre Tu es ici en Cathiminie. - En catimini* ? - La Cathiminie est le nom de ce pays où règne le roi Motus. C’est un pays prospère et riche, mais, comme tu as pu t’en rendre compte, le bruit en est banni*. Le silence est la loi. - Mais comment peut-on vivre sans faire du bruit? - On y arrive très Il y a très longtemps la Cathiminie avait atteint un tel degré de puissance et d’activité qu’on n’y entendait plus nuit et jour dans les rues que le roulement des chariots, le martèlement des forgerons, les cris des marchands, les fanfares des trompettes de l’armée qui s’exerçait et l’incessante rumeur de la foule. Les habitants ne connaissaient plus de repos. Ils devenaient nerveux, irritables, moroses, grincheux. La ville était secouée de constantes querelles. C’est alors qu’un roi sage édicta la loi du silence. Les hommes furent les premiers à s’y soumettre, puis on y habitua les animaux, les objets, les éléments* même. - Pourtant, catimini ou pas, il faut bien - Dans la mesure du possible on parle par signes, mais quand il devient indispensable d’user de la parole, on le fait à voix basse, très basse, comme nous parlons maintenant. - Je ne pourrai jamais m’y - Il faudra bien pourtant, sans quoi tu risques de rester longtemps dans ce cachot. Je suis chargé de te donner des leçons puisque je parle ta Tu verras, c’est une question de volonté. Nous allons commencer tout de suite. Et Stentor prit sa première leçon de silence. Il y en eut beaucoup d’autres. Ce n’est qu’au bout de plusieurs semaines qu’on l’autorisa à sortir de sa prison. Ses sandales de cuir avaient été remplacées par des chaussons de feutre et il avait appris à marcher comme tout le monde sur la pointe des pieds. - Souviens-toi, lui rappela Olibrius, les gens d’ici ne supportent pas le moindre bruit. Ils en souffrent atrocement au point de s’évanouir et parfois même d’en mourir. Un jour on l’admit* à se promener dans les rues. Plus personne ne fuyait devant lui. Les gens l’accueillaient avec des sourires avenants*, mais silencieux. Quelquefois une furieuse envie* de parler lui montait à la gorge, mais il se répétait à lui-même « Catimini, je suis en catimini», comme un mot magique et sa bouche restait close. Il avait souvent avec Olibrius de longues conversations chuchotées et il en apprenait toujours davantage sur les moeurs du pays. Il parlait maintenant couramment la langue cathiminienne, ce qui était facile, car elle contenait peu de mots. Peu à peu, il avait pris lui aussi le goût du silence et souffrait quand d’aventure un bruit frappait son oreille. Robert ESCART, Les contes de la Saint-Glinglin       1- Quelles furent les conséquences de l’arrivée de Stentor dans la ville de Cathiminie ? (2 points) 2- Pourquoi a-t-on mis Stentor en prison ? (2 points)   3- Comment jugez vous l’attitude des habitants de Cathiminie à l’égard de Stentor ? (2 points)   - Construit une phrase exprimant la conséquence dans laquelle tu décris les dégâts causés par la voix de Stentor dans la ville de Cathiminie (2 points) - (a) Relève les termes appartenant au champ sémantique du silence dans le (1 points) (b) Relève les termes appartenant au champ lexical du silence dans le texte. (1 points) 3- Conjugue les verbes dans les phrases suivantes au subjonctif présent (2 points) - Les gens l’accueillaient avec des sourires avenants, mais - Il avait souvent avec Olibrius de longues conversations chuchotées.       De nouveaux voisins sont venus s’installer dans votre quartier. L’un de tes frères leur a dit qu’ils n’ont pas de place dans ce quartier et qu’ils auraient bien fait de rester dans leur région d’origine.   Tu vas lui expliquer que ce qu’il a fait est mal en apportant les arguments nécessaires pour lui faire changer d’avis.       Bon travail Read the full article
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Lettre signée d'un gynécologue connu de Toulouse :Moment de grand bonheur en salle de naissance Accouchement de rêve. Refus de péridurale. Patiente voilée, le mari ne souhaite pas qu’un homme" s’en occupe (bien que largement prévenu à l’avance. Document en cours de grossesse, explications orales. De garde, j’y vais quand même et m’impose. Accouchement dans les hurlements et les contorsions, dans la panique maternelle et le père barbu qui donne les ordres à tout le monde. L’enfant se prénomme joyeusement Oussama ; juste à sa sortie, le père s'est prosterné et a fait sur le sol de la salle de naissance la prière, en direction de la Mecque (direction qu’il avait préalablement repérée). Puis des chants religieux aux oreilles de l’enfant, à droite, à gauche. Et la mère, il ne la regarde plus, elle a bien servi, et je suppose que le voile va vite être remis sur son visage tentateur. Ras le bol de cela. La tolérance a des limites, qui se franchissent chaque jour plus loin. Dans la ville de Mohamed Merah, je m’interroge sur le devenir de la société dans laquelle je vis et je suis inquiet. Mes propos ne sont ni racistes, ni discriminatoires ; ils sont ceux d’un praticien inquiet de voir la religion entrer en salle de naissance et dans mon cabinet médical, ceux d’un citoyen inquiet des incivilités qui se multiplient, ceux d’un homme qui a toujours récusé le racisme ordinaire mais qui est troublé par des dérives de plus en plus quotidiennes. Même si mes propos ne sont sans doute pas politiquement corrects, je voulais vous faire partager ce moment, traumatisant pour toute notre équipe médicale, et mes craintes pour l’avenir de mes enfants dans un pays qui ne sait pas fixer de vraies limites. Amicalement Dr Jean Thévenot Gynécologue obstétricien Clinique Ambroise Paré 31082 Toulouse cedex 1 Je transmets, la vision est claire, pourtant les yeux des Français ne voient rien, ou ne veulent rien voir : Ne pas se prendre la tête ? Ne pas troubler son confort ? Peur de la diabolisation ? Angélisme catholique ? Être réaliste n'est pas être raciste.
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philoursmars · 2 years
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Je reprends mon projet de présenter la plupart de mes 52377 photos.
2000. Le Château impérial de Compiègne avec Christine, les jardins et l’Hôtel de Ville et ses jaquemarts barbus...
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ekman · 3 years
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Elle est magnifique, cette ministre. Magnifique. Emmanuelle Wargon est chargée du Logement, mais elle pourrait tout aussi bien s’occuper de Transport, de Santé ou de Défense par la magie de la cooptation élitaire. Éprise de bienfaisance et convaincue que l’égalitarisme est une panacée républicaine, elle défend avec vigueur la loi SRU qui impose aux communes françaises, à un certain seuil de densité démographique, la folie de construire 25 % de logements sociaux à chaque fois que s’érige un immeuble. Fantastique logement social ! Concept-valise de la gauche dispendieuse et démagogue… Lèpre bétonneuse qui ravage les centre-villes et les campagnes, qui couche les derniers arbres urbains, qui anéantit la lumière le jour et l’obscurité la nuit. Clapiers nauséabonds pour misérables sans espoir, plèbe du RER, du TER et du métro réunis, pseudos nounous et livreurs brutaux, mélopées rappeuses et cris d’enfants fous, cameurs/tueurs, camés/cramés, crétins à capuche trainant leurs Nike mondialisées du collège au MacDo… Madame Wargon reprend ainsi à son compte le mensonge éhonté du manque de mixité sociale pour justifier le pourrissement des villes et des provinces françaises par une immigration inassimilable. Car on trouve surtout ça, dans ces logements. Pas que, mais beaucoup quand même. Qu’importe à Madame Wargon si on lui fait remarquer que cette population d’étrangers régularisés et de fraîchement naturalisés ne veut même pas savoir comment vivent les Français. Elle répond que ces gens sont maintenant des concitoyens et souligne qu’elle n’est pas du genre à juger son voisin sur ses origines. Elle affirme qu’est réputé Français un Pakistanais musulman détenteur d’une carte d’identité, qui voile sa femme et ses filles et prône l’application de la charia en toute circonstance. En même temps, nous savons tous qu’elle n’aura jamais un Paki comme voisin, sauf peut-être l’ambassadeur du Pakistan en France. Venue au monde dans la difficile banlieue de Neuilly-sur-Seine, fille de l’inénarrable Lionel Stoléru (secrétaire d'État giscardien chargé de la condition des travailleurs manuels sans jamais avoir approché une fraiseuse de son existence), elle a hérité une vision angélique de l’immigration de ce père surdiplômé, grand architecte du regroupement familial. Eh oui, on est comme ça chez les Stoléru : imposer aux Français de la classe ouvrière de se retrouver, en une génération, étrangers sur leur propre territoire, chassés par des légions de nouveaux indigènes. C’est ça le progrès, mon pote. Et c’est tellement ça, tellement inexorablement cela, qu’Emmanuelle Wargon – elle-même diplômée de HEC et de l’ENA – pense que ça doit encore se prolonger, la loi SRU. Toujours plus de béton pour accueillir toujours plus d’Islam, “rénover” toujours plus de quartiers ayant quitté le droit commun et, accessoirement, bâtir toujours plus de mosquées, d’écoles clandestines, et laisser prospérer toujours plus les trafiquants et la dope. Partout, dans chaque recoin de cette France ectoplasmique qui recycle son identité en curiosités netflixiennes, dans chaque classe où l’on désapprend à aimer ce drapeau qui devrait vous aider à grandir, où les profs rebelles se voient décapités ou fatwahisés par le premier barbu venu, on vous dit “toujours plus de logements sociaux”. C’est qu’il faut bien le loger, l’Envahisseur.
J.-M. M.
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