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#bon pasteur
philoursmars · 5 months
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Il y a une dizaine de jours, je suis parti retrouver Christine à Narbonne.
Le Musée Narbo Via, dédié à la Narbo romaine (cette ville fut la première ville romaine hors d'Italie et un des 3 plus grands ports de l'Empire romain)
. Ici des sarcophages paléochrétiens :
sarcophage de type aquitain, contemporain des Wisigoths - Vème s.
sarcophage : Jésus guérissant l'aveugle Bartimée, Saint Pierre avec son coq, Saint Paul, le pommier avec son serpent… - IVème s.
sarcophage "de l'Orante" (cette orante est la femme voilée en prière, au milieu)- IVème s.
idem
Fac-simile du sarcophage du "Lege Feliciter" : mélange de paganisme (les dieux Hélios et Séléné) et de symboles chrétiens. Une Victoire au milieu gravant "LEGE FELICITER" = "Que la lecture t'apporte le bonheur" - IVèm s.
sarcophage paléochrétien - IVème s.
sarcophage ''du Bon Pasteur'' - IV-Vème s.
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santologie · 5 months
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BON PASTEUR
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spockvarietyhour · 1 year
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The Monastère du Bon-Pasteur building caught fire on 5/25/2023 and remained out of control for 18 hours.
The heritage building was constructed in 1847. It housed a seniors’ residence, a housing co-operative, a daycare and condos.(via The Montreal Gazette, photos by Isabelle Douailly-Backman and John Kenney)
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sportsallover · 3 months
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Alexandre Pasteur : Les véhicules suiveurs ne sont pas autorisés dans ce chemin blanc, Thomas Voeckler n’a donc pas pu y pénétrer
Thomas Voeckler (au loin) : On y est ! On y est !
Alexandre Pasteur : Parfois on entend encore sa voix.
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ruemorinpointcom · 4 months
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Logement étudiant
Le bâtiment des Soeurs du Bon-Pasteur s’ajoute à l’offre de résidence du Cégep de Chicoutimi Continue reading Logement étudiant
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antonio-m · 8 months
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"Le batelier", c.1938 and "Le Bon Pasteur", c.1930 by Antoine Carte (1886–1954). Belgian painter. oil on canvas
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from-derry · 8 months
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Activités
(Il n'est pas possible de réserver de rôles pour l'instant, ceci est une liste non exhaustive à but informatif. Dans la liste, vous pourrez voir que certains rôles sont limités, car considérés comme "essentiels" mais ne nécessitant pas non plus d'être multipliés.). A Derry, le temps s’organise différemment qu’à l’extérieur. La coutume veut que l’on donne une partie de son temps à la communauté en générale dans une activité utile à la survie quotidienne. Il est ensuite possible d’occuper le reste de son temps à des activités jugées non essentielles à la survie, mais qui agrémentent la vie. Il n’est pas rare que la population de Derry occupe plusieurs rôles en fonction des saisons ou de l’absence de travail. 
Occupations : 
Artisanat : 
Apprenti·e : 
Couturier·e :      
Ébéniste : 
Forgeron·ne / maréchal ferrant (0/1) : 
Fromager·ère :
Homme / femme à tout faire :      
Maçon·ne : 
Menuisier·ère : 
Meunier·ère :
Potier·ère : 
Réparateur·ice :
Tanneur·euse : 
Vie quotidienne : 
Agriculteur·ice : 
Apprenti·e : 
Boucher·ère : 
Boulanger·e : 
Bucheron·ne : 
Eleveur·euse : staff
Employé·e à l’abattoir : staff
Maraîcher·ère :  
Soins : 
Herboriste : 
Médecin / infirmièr·e (0/3) : 
Croque-mort (1/1) : staff
Vie communautaire : 
Adjoint·es du shérif (0/2) : 
Employé·es du diner (1/2) : staff
Gérant·e de l’épicerie (0/1) :
Gérant·e du bar (0/1) :
Pasteur (1/1) : PNJ
Professeur·e d’école (0/1) : 
Shérif (1/1) : PNJ
Autres : 
Arpenteur·euse de la zone (0/2) (en forme physiquement, dotés d'un bon sens de l'orientation, qui disparaissent souvent sans qu'on sache s'ils n'ont pas réussi à rentrer avant la nuit ou qu'autre chose les a eus (on retrouve parfois leurs corps... ou des morceaux), ils tournent régulièrement avec d’autres personnes leur but est de chercher des objets, ferrailler, cartographier, peut-être aussi trouver des explications) :
 Parasite :
Activités en plus (pas des activités communautaires à plein temps mais qui sont utiles au quotidien) : 
Aide au culte : 
Apiculteur·ice : 
Brasseur·euse : 
Chasseur·euse / trappeur·euse : 
Fabriquant·e de talismans (0/2 - 1 par groupe) :
Pêcheur·euse : 
Activités non essentielles :
Artiste : 
Artisan·e bijoutier / accessoires : 
Ecrivain·e public : 
Coiffeur·euse :
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sieclesetcieux · 1 year
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This site compiled their addresses here though Barère's page is missing (here are some of his addresses), Lindet's address is different than the one give here, and though some mail was sent to Couthon where Robespierre lived, I think he had another address too? (Hérault is also just not listed but the site is centered around Thermidor.)
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Copy-pasted below for convenience. I added their birthdates and astrological signs (for those who care about that):
Jean-Baptiste Robert Lindet
Age : Né à Bernay (Eure), 48 ans en thermidor. [2 mai 1746 ♉]
Adresse : 68, rue de la Sourdière.
Métier : Avocat
Fonctions : Député de l’Eure, membre du Comité de salut public du 6 avril 1793 au 7 octobre 1794
Antoine Louis Léon de Saint-Just
Age: Né à Décize, 26 ans en Thermidor an II [25 août 1767 ♍]
Adresse: 3, rue Caumartin, 2ème étage (depuis mars 1794), à la même adresse que Thuillier. Il demeurait auparavant à l’hôtel des États-Unis, rue Gaillon.
Fonction(s): Député de l’Aisne à la Convention depuis le 5 septembre 1792, membre du Comité de Salut Public depuis le 10 juin 1793.
Georges-Auguste Couthon
Age : Né à Orcet, 38 ans en thermidor [22 décembre 1755 ♑]
Adresse : 366, rue Saint Honoré
Profession : Avocat
Fonction(s) : Elu député du Puy-de-Dôme à la Convention le 6 septembre 1792. Membre du Comité de salut public du 10 juin 1793 au 9 Thermidor an II.
André Jeanbon, dit JEAN BON SAINT-ANDRÉ
Age : Né à Montauban, 45 ans en thermidor [25 février 1749 ♓]
Adresse :  7 rue Gaillon
Profession : Marin, puis pasteur
Fonction(s) : Elu député du Lot à la Convention le 5 septembre 1792, membre du Comité de salut public depuis le 10 juin 1793. Fréquemment en mission pour superviser les opérations maritimes, il est absent de Paris le 9-Thermidor.
Pierre-Louis Prieur, dit PRIEUR de la MARNE
Age : Né à Sommesous (Marne), 37 ans en thermidor [1er août 1756 ♌]
Surnom : Appelé Prieur de la Marne (pour le différencier de Prieur de la Côte-d’Or)
Adresse : 11, rue Helvetius
Métier : Avocat
Fonction(s) : Député de la Marne à la Convention depuis le 3 septembre 1792, membre du Comité de salut public du 10 juillet 1793 au 13 thermidor an II (31 juillet 1794), puis à nouveau du 15 vendémiaire au 15 pluviôse an III (6 octobre 1794-3 février 1795).
Absent de Paris au moment du 9-Thermidor.
Maximilien Marie Isidore de Robespierre
Age : Né à Arras, 36 ans en thermidor. [6 mai 1758 ♉]
Adresse : 366 rue Saint-Honoré (numérotation actuelle : 398)
Métier : Avocat
Fonction(s) : Député de Paris à la Convention nationale depuis le 5 septembre 1792 ; membre du Comité de salut public depuis le 27 juillet 1793
Claude-Antoine Prieur-Duvernois, dit PRIEUR de la CÔTE-d'OR
Age : Né à Auxonne, 30 ans en thermidor [22 décembre 1763 ♑]
Surnom : Appelé Prieur de la Côte-d’Or (pour le différencier de Prieur de la Marne)
Adresse :  5, rue Caumartin
Profession : Ingénieur militaire
Fonction(s) : Elu député de la Côte-d’Or à la Convention le 5 septembre 1792. Membre du Comité de salut public du 14 août 1793 au 16 vendémiaire an III (7 octobre 1794).
Lazare Nicolas Marguerite Carnot
Age : Né à Nolay, 41 ans en thermidor. [13 mai 1753 ♉]
Adresse : 2 rue Florentin
Métier : Mathématicien, physicien, militaire
Fonction(s) : Elu député du Pas-de-Calais à la Convention nationale le 5 septembre 1792 ; membre du Comité de salut public depuis le 14 août 1793, il le quitte le 7 octobre 1794 mais y siège à nouveau un mois plus tard, jusqu’au 6 mars 1795.
Jacques-Nicolas Billaud, dit BILLAUD-VARENNE
Age : Né à La Rochelle, 38 ans en Thermidor an II [23 avril 1756 ♉]
Adresse : 40 rue Saint-André-des-Arts
Métier : Avocat
Fonction(s) : Député de Paris à la Convention depuis le 7 septembre 1792, membre du Comité de Salut Public depuis le 5 septembre 1793
Jean-Marie Collot, dit COLLOT d'HERBOIS
Age : Né à Paris, 45 ans en Thermidor an II [19 juin 1749 ♊]
Adresse : 4 rue Favart (3ème étage)
Métier : Acteur, directeur de théâtre
Fonction(s) : Elu député de Paris à la Convention le 6 septembre 1792, membre du Comité de Salut Public depuis le 5 septembre 1793.
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pixdar · 9 months
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Rue du Bon Pasteur, Marseille 2e (Bouches-du-Rhône). Décembre 2023.
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jloisse · 6 months
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[🎙 CONFERENCE ABBÉ RAFFRAY]⠀
« Contempler Dieu c’est le contempler dans la nature puisque Dieu est l'auteur de la nature, c’est le contempler évidemment dans sa grâce; c’est-à-dire dans sa présence intérieure par ce chemin intérieur de l'âme vers la source de la beauté. Et c'est le contempler dans la présence réelle de Dieu, dans l’eucharistie, puisque c'est la manifestation la plus parfaite, la plus belle de Dieu dans Sa créature.»
👉 Academia Christiana reçoit l’Abbé Raffray, prêtre de l’Institut du Bon Pasteur, docteur en philosophie et théologie, enseignant et écrivain.
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memoire2cite · 11 months
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BANLIEUE SUISSE GENEVE LE LIGNON Grands Ensembles Les Cités-dortoirs https://www.rts.ch/.../8406972-vivre-au-lignon-une-cite... C'est en 1962 que l'Etat de Genève décide de construire, sur le domaine agricole du Lignon une nouvelle cité aux lignes futuristes. Avec ses deux tours de 26 et 30 étages, ainsi que la barre d'immeuble de 15 étages d'une longueur de plus d'un km comme le sillon de st Herblain, la cité du Lignon est le plus long bâtiment du monde. Petite ville en soi, la cité du Lignon a tout d'une grande. On y trouve une école, deux églises, un centre commercial offrant de nombreux services aux habitants. Un club de boxe, un centre médical ainsi que des installations sportives complètent les infrastructures. Deux centres de loisirs reçoivent les jeunes, La Carambole et le Jardin Robinson, un club accueille les aînés. Le projet sera confié à Georges Addor, Dominique Julliard, Louis Payot et Jacques Bolliger. Les travaux débutent en septembre 1963 et la première phase du chantier s'achève quatre ans plus tard. 1'846 appartements sont alors construits et les premiers locataires viennent s'y installer dès décembre 1965. Une seconde étape entre 1967 et 1971 porte le nombre de logements à 2'780. Conçue pour 10'000 habitants, la cité abrite actuellement environ 7'000 résidents de 120 nationalités différentes. Ponctuée par deux tours la barre du Lignon offrent à tous ses habitants des appartements traversant sans aucun vis-à-vis. Un soin particulier a également été porté aux équipements extérieurs. La plus haute tour est équipée sur son toit de deux piscines et l'aménagement des terrains de jeux, cheminement et autres espaces verts ont été élaborés par un paysagiste. En 1975, le Lignon fête ses 10 ans d'existence et accueille environ 8'000 personnes. L'émission Un jour une heure dresse un portrait touchant de la cité à travers le témoignage de ses habitants. Liberté, campagne, lieux de rencontres pour les jeunes comme pour les moins jeunes, le "village" du Lignon est une banlieue où il fait bon vivre. En 1995, la cité du Lignon a trente ans ! Mais dans la bouche de ses habitants, toujours le même propos, au Lignon règne une insoupçonnable douceur de vivre même si la cité n'échappe pas aux problèmes de son temps. En 1967, l'émission religieuse Présence protestante visite le Lignon. La première phase de construction de cette immense cité s'achève alors et les habitants prennent leurs marques. Pourvue de nombreux équipements communautaires, la cité du Lignon compte également un temple protestant. Pensé par son pasteur comme un lieu de rencontre, il est ouvert à tous. Niché dans un des immeubles du Lignon, le centre social se trouve au coeur de la cité. Regroupant plusieurs services, il vient en aide aux habitants du quartier. En 1967, Madame TV qui consacre son émission au métier d'assistant social, part à la rencontre de celui du Lignon. Désigné pour aider les familles, il a contribué à la mise en place du club du jeudi, un espace ouvert pour les enfants. Des appartements réservés aux personnes âgées, c'est la formule adoptée dans la cité du Lignon. En 1967, la cité du Lignon organise une course à pied dans sa plus grande tour qui compte 30 étages. Au départ, les courageux sportifs semblent peu impressionnés par la hauteur du bâtiment. Tranche de vie au Lignon. En 1972 dans l'émission Courrier romand, c'est en grande pompe que la fanfare du Lignon et ses majorettes offrent aux habitants de la cité-satellite un spectacle haut en couleur. Le mal de ville L’augmentation de la population, les contraintes de la mobilité entraînent une transformation rapide du paysage urbain. https://www.rts.ch/.../temps.../5704817-le-mal-de-ville.html
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philoursmars · 1 year
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Je reviens ENCORE une fois à mon projet de présenter la plupart de mes 55800 photos (environ).  On est en 2017 et comme ce blog est né en 2017, j’arriverai donc au bout de cette présentation.  
Marseille en juillet. Au MuCEM, il y a l’expo “Aventuriers des Mers” :
- “Le Bon Pasteur" en ivoire - Goa, XVIIe s.
- bézoard (concrétion animale) sur filigrane d'or - Goa, XVIIe s.
- les 2 suivantes : table de communion en bois de rose et ébène - Gujarat, 1600
- les 3 dernières : “Arrivée de Vasco de Gama à Calicut" - soie et laine - Tournai, XVIe s. (des chameaux, des autruches, une licorne ?!)
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Jessica Biel for Cosmopolitan France - August 2007 
ELLE A 25 ANS, UN CORPS DE REVE, LE COEUR DE JUgTIN TIMBERLAKE, UNE CARIERE EN PLEINE EXPANSION. VERIFIEZ-LE DES LE 29 AOUT DANS “QUAND CHUCK RENCONTRE LARRY ». Par Marie Henrio
EIle est belle, blonde, sportive, souvent en bikini et de plus en plus près de Justin Timberlake... Non, ce n'est pas Cameron Diaz, et Hollywood n'a pas attendu pour la repérer qu'on la voie dans les photos floues des paparazzi : Jessica Biel enchaine les films. L’an dernier, le magazine americain Esquire, l'a sacrée « Femme la plus sexy du monde», et ce mois-ci elle s'affiche en maillot de bain trés hot en couverture de GQ». Ce qui aurait ete difficile, Justin, c'etait de la louper. Justin? Juste un ami... Pendant cinq ans, on a bcaucoup vu Jessica avec l'acteur Chris Evans (les 4 Fantastiques »). Mais, depuis leur premiere rencontre, en decembre dernier, Justin et Jessica ne se quittent plus. Ils ont le même age, adorent le sport, les fiestas arrosées entre amis, et aucun d'eux ne rêve de mariage. D'ailleurs, ils tiennent à ce que les choses soient claires : Nous ne sommcs que de tres bon amis!» Excellents, même. Debut janvier on les a vus proches lors d'un concert du chanteur à San Diego. Une semaine plus tard, ils apparaissent colles-serres à la fete des Golden Globes. A la fin du mois, ils partagent la même suite au Festival de Sundance. Surement pour des questions d'organisation. Ou plutot un petit ami? C'est donc tout seul que Justin part en tournée en Europe. "Je n'ai pas le temps de jouer au joli cceur. " N'empêche que Jessica le rejoint en mai, à Manchester. Fin juin, les paparazzi les debusquent au grand hôtel The Dylan d'Amsterdam, ville romantique par excellence. Balades sur les canaux, restaurants gourmands, avant de partir pour Oslo, où Justin loue un yacht. Après le dejeuner à bord, enfin, les deux amoureux ne se cachent plus. Promenades main dans la main, baisers en public, plus personne ne peut l'ignorer, ces deux-la s'aiment. Mais qui es-tu, Jessica? Fille d'un conseiller en entreprise et d'une mère au foyer, la petite Jessica se destine à une carriere de chanteuse. A 9 ans, on la remarque dans des spectacles musicaux comme « Annie » ou « la Belle et la bete ». A 12 ans, elle gagne un concours de top models et commence a travailler comme mannequin. Quelques pubs suffisent attirer l'oeil du producteur Aaron Spelling, qui lui offre un rôle dans sa série tele «7 à la maison». Elle joue la fille ainée du bon pasteur Camden, une ado modèle qui defend les grandes valeurs morales americaines. Un tabac aux USA et une formidable opportunité pour la gamine de 14 ans qui, du fond de son Colorado, revait de cinema et de gloire. Mais, au bout de cinq ans, la jeune fille de 19 ans se sent etriquee dans le personnage trop lisse et trop previsible de Mary. Contrairement a elle, je ne suis pas un ange, j’étais devenue une jeune femme pleine de vie et on me faisait jouer une fille coincée. Si je l'avais croisee dans la rue, je lui aurais filé deux claques pour la faire reagir. Je voulais que le public comprenne que nous sommes deux personnel totalement differentes. J'avais envie de montrer mon cote sexy, sauvage... » Et, quand Jessica decide quelque chose, elle fonce. « Je ne baisse pas les bras facilement. Il faut parfois oser dépasser les limites pour obtenir ce qu'on veut vraiment. » Quitte a se mettre totalement à nu. En mars 2000, elle pose topless et sur des talons aiguilles pour le magazine « Gear ». Aaron Spelling demande à son actrice de revenir dans le droit chemin. Jessica ne veut rien entendre: «Il m'a dit : "Tu m'appartiens !” Mais je ne suis la propriete de personne!» Jessica fait son cinema. Elle quitte le petit écran pour le grand. Jessica sera une bimbo delurée dans « les Lois de l'attraction », puis la proie en tee-shirt mouille du tueur de « Massacre a la tronconneuse ». L'ex-teen-idol a gagne sa liberte et ne fera plus que quelques apparitions dans «7 a la maison. Au cinema, elle investit le creneau du « je suis belle mais je sais faire mal » avec un role de tueuse de vampires toute de cuir vetue dans « Blade 3 » (2004) et de pilote d'hélico en treillis sexy dans « Furtif». Par plaisir.« J'aime les roles physiques. Petite, j’étais un veritable garcon manqué. J'ai pratique beaucoup de sports et j'ai même été pendant six ans milieu de terrain dans une équipe de foot. Tout en faisant de la danse. » Aujourd'hui, Jessica dépose les armes et s'illustre dans un registre plus varié. Une comedie romantique, « Rencontres a Elizabethtown », aux cotes d'Orlando Bloom, un film en costumes, « l’illusionniste», avec Edward Norton, et pour la premiere fois une comedic, avec « Quand Chuck ren-contre Larry >>. Elle joue une avocate qui defend les droits des homosexuels et tombe amoureuse d'un de ses clients (Adam Sandler), qui feint de vivre en couple avec son meilleur ami, pour des raisons fiscales. « Cela correspond mieux a mon caractere. Je ne suis pas seulement la fille sexy des magazines.»  Que ce son Clair. •
=> Ses parents, ses amis et ses partenaires l'appellent Jessie. Elle a des originns allemandes, amerindiennes, anglaises et... francaises.
=> Pour entretentr sa ligne, elle fait de la gym trois ou quatre fois par semaine, du yoga, et promene sa chienne, un pit-bull nomme Tina.
=> Elle a achete une cabane au Colorado, son lieu prefere.
=> Elle deteste se montrer nue a l'ecran et se fait doubler dans ses films.
=> Elle sera bientôt à l'affiche de Home of the Brave de Winkler, aux côtés de Samuel L. Jackson.
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franckdoutrery · 1 year
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Demain l’apocalypse
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Le ciel est barbouillé de cinquante nuances de gris. Une épaisse purée de pois a effacé la ligne d’horizon. Le soleil et la lune se sont éclipsés. Pour rentrer chez lui, l’homme perd son chemin et ses clés en coupant par l’intérieur. Les médias regorgent de meurtres, d’adultères, de beuveries, d’éruptions volcaniques, de séismes sur l’échelle de Richter et d’autres catastrophes. En Afrique du Sud, où il pleut rarement, les gens médusés ont vu une pluie de grenouilles ou de crapauds. En tout cas de batraciens anoures. En Westphalie, un pasteur allemand s’est fait mordre par un berger. Allemand lui aussi. En Arabie saoudite, la mise bas des chamelles est retardée, comme le prévoit le Coran en signe précurseur de la fin du monde. 
Tout porte donc à croire que cette fois c’est la fin. Les Juifs pensent que le Messie est sur le point de revenir. Il était déjà revenu plusieurs fois, notamment dans la personne de Sabbataï Tsevi en 1666, nombre de la Bête de l’Apocalypse. Cette année-là, les temps messianiques étant arrivés, les gens se mirent à vendre tous leurs biens et donnèrent le reste aux pauvres. Ce ne furent que brocantes, vide-greniers et marchés aux puces. Tout le monde comptait suivre le Messie en Palestine, où selon la prophétie les douze tribus d’Israël devaient se retrouver. Or l’échéance dut être reportée, parce que Monsieur Tsevi, menacé de la peine capitale par le sultan ottoman, renonça à son rôle messianique et sauva sa tête en se convertissant à l’islam. Ce ne fut donc que partie remise. 
Aujourd’hui le calcul est réamorcé. Et c’est plus sérieux. Avec les guerres, les pandémies, le dérèglement climatique, comment ne pas croire à l’apocalypse ? C’est donc pour un de ces jours. La seule question qui reste, c’est quel jour, quelle date sur l’almanach. Afin d’en avoir le cœur net, j’ai consulté un cartomancien émérite. Il a bien voulu me tirer les tarots, a caressé sa longue barbe et m’a regardé d’un air consterné, comme s’il hésitait à révéler ce qu’il lisait dans son brelan. Il m’a même demandé si je persistais à vouloir connaître l’avenir. Sinon, on pouvait s’arrêter là et se quitter bons amis. Il ferait payer la séance à un tarif préférentiel. Mais comme j’insistais, il a de nouveau regardé ses tarots, a hoché la tête comme pour refuser sa vision, et m’a dit d’une voix de confessionnal : « C’est pour bientôt ! » Et comme si cela faisait partie de la même prophétie, il a ajouté, avec le verbe au futur : « Ce sera cinquante euros ! »
Ravi de savoir que les tarots de Marseille confirmaient mon appréhension, j’ai pourtant voulu obtenir quelques précisions sur ce « bientôt ». Pris dans son sens habituel, le mot dénote un avenir proche, une date qui exclut en tout cas une remise aux calendes grecques. Je suis donc allé voir Madame Irma, qui est une pythonisse hors pair. Elle n’a pas son pareil pour lire dans les astres, le marc de café et les lignes de la main. Ne pouvait-elle me donner une date plus précise, pour que je puisse rédiger mon testament, régler mes affaires en suspens et embrasser une dernière fois les miens ? A ma question « Est-ce pour bientôt ? » les oscillations de son pendule répondirent par l’affirmative. Sa lecture dans le marc de café confirma ce délai rapproché, sans qu’elle permît de cocher une date sur l’agenda. En déployant ensuite un éventail de thèmes astraux, elle perçut une avalanche de cataclysmes ultimes dans un avenir relativement proche. Restait enfin sa boule de cristal. Lorsqu’elle l’ausculta en plissant les jeux, elle y discerna un spectacle affreux, qui fit apparaître l’épouvante sur sa figure. Une même épouvante me saisit en apprenant le coût de la séance divinatoire. A payer en espèces !
Ne connaissant toujours pas la date ni l’heure, j’interrogeai les passants dans la rue. Car on a beau faire, l’homme aime bien croire au changement définitif. Rien ne lui est plus ennuyeux que le train-train quotidien. Dites-lui que vous voulez changer la vie, il votera pour vous. Annoncez-lui la fin des temps, il est prêt à vous suivre. Il lui faut des prophéties, des quatrains de Nostradamus, des calendriers Maya. C’est pourquoi aujourd’hui encore, il n’en démord pas : cette fois la chose est certaine. Dès lors une question se pose : faudra-t-il se réfugier sur le mont Ararat, où accosta jadis l’arche de Noé ? Ou sur un col de troisième catégorie du Tour de France ?
En attendant cette heure funeste, préparons-nous comme Noé. Mais au lieu de construire une arche, fabriquons un bateau à pédales ! Ou, mieux, un pédalo ! Car comme l’avoue la réclame : « Depuis des années, le pédalo est l’embarcation la plus fun sur tous types de plans d’eau. » Et des plans d’eau, s’il faut en croire la météo, il y en pleuvra comme à Gravelotte. Un seule consolation néanmoins : si nous sommes parmi les élus, il nous sera donné, comme à Brassens dans sa supplique, « de faire du pédalo sur la vague en rêvant ». Et de passer notre mort en vacances ?
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claudehenrion · 1 year
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La pédagogie à toutes les sauces ( II ) : exemples vécus...
  Deux traumatismes récents, le covid et les retraites, ont avec ''la pédagogie'', un point commun : le premier a été ''traité'' par une stratégie de la terreur, de ces peurs reptiliennes, paralysantes, que la civilisation avait réussi à calmer en nous. Il a réussi au delà de tout cauchemar... alors que le second –qui correspond, lui, à un véritable besoin-- a fait appel à l'intelligence et à la réflexion-- et il a complètement ''foiré'' ce qui est inquiétant : les gouvernants savent, désormais, sur quel sentiment s'appuyer pour imposer leurs lubies destructrices et leurs caprices mortifères...
1- Le covid, d'abord. C'était une nouveauté : jamais un fait aussi ''in-important'' et quasi-rituel (''une maladie'', plutôt moins mortelle que bon nombre d’autres) n'avait entraîné une débauche de folies indéfendables, et qui pourtant ont été suivies et acceptées...  au point que les preuves de la perversité des mesures injustifiables imposées s'accumulant jour après jour, n’ont rien changé, en surface : des gens, parfaitement normaux par ailleurs, continuent de réciter des mantras démontrées fausses et de croire à leur bien-fondé, ce qui est inexplicable ! Nul doute que ce coup de folie sera étudié par les générations futures comme un cas d'école de la bêtise et de la crédulité de l'espèce humaine... s'il reste quelques humains pour se pencher sur les causes de ce ballon d'essai du suicide assisté de l'humanité...
Constat terrible : il ne se passe pratiquement pas de jour sans qu'on n'apprenne (parents ou amis), un décès, un accident imprévisible (?), ou le réveil d'une maladie jusque là calme... Aucun signe précurseur et un ciel sans nuage qui, soudain, tombe sur la tête, et comme par hasard dans les jours qui suivent une 5 ème ou une 6 ème injection de ce produit qu'une grosse entourloupe sémantique permet désormais de désigner par ''vaccin'' (NB - C'est simple : il suffit de décider que le mot ''vaccin'' va désigner autre chose que ce qu'il voulait dire depuis Pasteur ( = ne pas attraper, ne pas transmettre, protéger le récepteur et le donateur dans tous les cas possibles, sans la moindre exception possible)... et le tour --de con-- est joué !). De plus en plus de gens se demandent ''in petto'' s’il pourrait exister un lien de cause à effet entre les deux membres de cette même séquence, mais refusent de l'évoquer tout haut : ils ne veulent pas voir... ce qu'ils voient !
Le processus dit ''pédagogique'' (en fait : la terreur) a réussi à faire croire que le fait d'enfermer des malades et des ‘’bien portants’’ dans une pièce close allait sauver les uns et protéger les autres... Au nom d'une anti ''science'' anthropophage portée par des pontifes aussi nuls que galonnés (qui rappelait parfois la ''science'' de Mengele, de Lissenko... ou Mister Hyde), on nous a privés des libertés les plus élémentaires (aller et venir, acheter, échanger, avoir un visage, se parler, sourire, embrasser sa vieille maman de 96 ans)... On nous a convaincus (dur, dur, de ne pas écrire ça en 2 mots !) que le virus attaquait toute personne assise sur le sable de la plage, mais pas ''debout''... qu'il était moins dangereux de faire la queue dehors, sous la pluie, dans le froid, que d'être plus de 2 dans une boutique... que pour soigner une détresse respiratoire, il fallait ''intuber'' les patients, ainsi devenus ''des condamnés''... que, pour aller jeter un Kleenex dans la poubelle à 20 mètres ou ''faire pisser Mirza'', il fallait s'écrire à soi-même une ''Autorisation dérogatoire'' rigoureusement inutile... qu'il était obligatoire d'assassiner ''les plus vulnérables'' au Rivotril (après quoi ils n'étaient de fait, plus vulnérables, puisque tout-à-fait morts !)   Cette éclipse de toute raison et cette interdiction de toute intelligence ont contraint les français à endurer un ‘’Concours Lépine’’ d'idées imbéciles et inutiles, souvent mortifères... Et pourtant, la majorité a obéi à ces folies... voire milité en leur faveur... avant de tout oublier, très vite ! Je ne sais pas  comment une seule personne a pu croire, une seule seconde, à tant d'absurdités !
Pire encore : nos ''savants'' –malfaisants et pervers-- nous ont interdit de visiter nos vieux parents de 90 ans et plus, qui en sont morts de désespoir (ce qui est moins grave que de mourir du covid)... Vingt fois par jour, des médecins dits ''chefs de...'' –donc des praticiens, pas des chercheurs sauf rares exceptions-- perdaient leur temps en paradant à la ''télé'', ressassant les mêmes âneries  majuscules et nous saoulant de conseils débiles (se laver entre les doigts (de pied ?), n'éternuer que... dans son genou,  porter un masque dont les mailles de 300µ bloqueraient un virus de 15µ, etc...). Que ne nous ont-ils dit, comme conneries absurdes, superfétatoires et sans objet ! Et un Pouvoir dépourvu de la moindre culture scientifique et de tout bon sens a couvert ces imbécillités de mots qu'il croyait valorisants : ''la science'', ''les expert'', ''la médecine'', ''les spécialistes''... puis a décoré les responsables de tous ces malheurs (mais il a ''black-listé'' ceux qui disaient des paroles sensées !).
In cauda venenum : depuis que tous ces scandales éclatent, nos Nuls-bâtés continuent à ânonner les mêmes contre-vérités, maintenant démontrées fausses. Le monde entier intente des procès aux menteurs et aux falsificateurs... pendant que nos ''responsables-coupables'' à nous persistent ''à emmerder'' ceux qui ont eu raison sur à peu près tout...  Et pour pouvoir accuser ces visionnaires d'être des ''complotistes-sic'', ils fomentent des complots énormes, mais vrais, eux. Hier encore, par exemple, sur plainte du Parisien, la justice a contraint et forcé le gouvernement à rendre public un rapport (RETEX) de l'IGAS  (Inspection Générale des Affaires Sociales) qui étrille la gestion macronienne de la soi-disant crise du covid, pendant que des hyènes et des charognards qui se disent journalistes continuent de fouiller les poubelles, puantes de ne plus être ramassées, pour tenter en vain de salir la belle image de ceux qui ont vu clair dès le début et ont osé le dire... Comme ils ne trouvent rien, ils fabriquent des bobards énormes. Pédagogie, dites-vous ? Les mots, décidément, ont vraiment changé de sens...
Comment, en cette ''Octave de Pâques'', ne pas penser à Saint Luc  : ''Comme votre cœur est lent à croire !'' (Lc 24-25) et, plus encore, à la Parole de Jésus à Thomas : ''Cesse d'être incrédule, et sois croyant !'' (Jn 20-27). Tout est dit, en une phrase : on savait, dès le début... mais certains, devant les preuves, continuent à préférer un faux légalisme mensonger à la ''vérité vraie'', et à condamner les messagers (c'est bien le cas de le dire !) qui en sont porteurs !
2- La réforme des retraites : ce second ''cas'' va aller plus vite, d'abord parce que il est encore loin de son dénouement, la décision du Conseil constitutionnel présidé par Fabius –con-fraternité oblige-- n'étant qu'une étape dans la lutte que le peuple français mène, avec le désespoir des ''dernières chances'', contre un pouvoir qui se fout pas mal de lui, dans sa poursuite de dystopies sinistres (et on ne rappellera jamais assez que ''sinistre'' veut dire ''de Gauche'' !), et ensuite parce que c'est sans doute la dernière fois qu'on va voir l'appel à l'intelligence être utilisé dans ce genre de techniques de viol des foules, cette forme de ''pédagogie--sic'' ne fonctionnant ostensiblement pas... alors que la trouille basique a été démontrée si efficace !
Le soi-disant Grand-œuvre des progressistes, modernistes, mondialistes, et autres ''serial-killers'' dystopistes, est en vérité un cauchemar : couper l'homme de toute structure ''à taille humaine'', au profit --pour personne-- d'une impossibilité de rattachement, ce qui le laisse désarmé, à la portée des prédateurs transhumanistes qui rêvent de le voir réduit à... ce qu'il n'est pas. Et une poignée de vampires ultra puissants, ultra riches, ultra pervers et ultra inhumains régneraient alors sur le milliard et demi d'humains (contre 8 aujourd'hui !) à qui ils laisseraient un droit de vivre... (NB - Leur rêve fou s'appelle ''the great reset'', la grande réinitialisation, et il est en vente partout, au prix de 18€50 –ce qui n’est, au fond, pas cher, pour savoir quand est la fin d'un monde et ce que des dingos envisagent, pour le remplacer)..
Mais là... il n'est plus question de ''pédagogie'' : le ''top-départ'' de la phase qui va organiser l'étape finale de la fin de l’Homme avec un grand H doit être tenu secret. Et n'était quelques ''complotistes'', personne n'en aurait rien su. Pas grave ! Ceux-là, on va les museler : leur voix résonnera dans un désert médiatique : l'homme, une fois privé de son âme, se vend aussi facilement qu'il s'achète. Triste époque !
H-Cl.
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              samedi 17 juin 2023 : ¤
Emmanuel
   Il faut que fasse ce post aujourd’hui, ce soir. Je viens d’être touchée, en plein cœur. J’ai pleuré, de reconnaissance.
   Il fallait que je fasse ce post sur ce que j’ai vécu durant la campagne du pasteur Dag Heward-Mills à Libreville, jeudi et vendredi. Je repoussais l’écriture de ce post, pour prendre le temps de le faire, au moment venu. Cette campagne s’intitulait “Jésus qui guérit”.
   Je bénis tellement le Seigneur. Je le bénis pour tout ce qu’il fait dans ma vie, pour les endroits dans lesquels il m’amène, je lui rends grâce, parce qu’à chaque prière que je fais, chaque demande que je fais, il répond, à sa manière, avec le temps qui lui correspond. Son plan est parfait. Si je lui demande de me fortifier, il le fait. Si je lui demande de me rassurer, il le fait. Si je lui demande de me confirmer une pensée, il ne se fait pas attendre, il me montre, il m’enseigne, il me guide, je loue le Seigneur, je loue son nom, je rends grâce pour la façon dont il me transforme, et me fait miroiter la joie d’être dans ses commandements.
   Le week-end dernier, je parlais à mon homme de cette campagne. J’avais trouvé la biographie du pasteur sur EMCI, pour moi, ça attestait d’une certaine crédibilité. J’envoyais à No, je lui en parlais, je lui proposais de regarder une vidéo. Il me dit “Non”, assez catégoriquement. Bon. Moi ça m’intriguait quand même. Lundi, alors que j’étais au travail, je demandai à mon chéri les plans de sa soirée car j’avais invité un ami qui venait d’être quitté par sa copine, il me répondit qu’il irait en fait au stade de Nzeng Ayong pour la campagne du pasteur. What. Je lui en parlais depuis des jours ! Je ressentis une certaine irritation. Je lui en fis part. Je lui dis que j’aimerais y aller dans la semaine. Je ne crois pas avoir pensé à y aller en fait auparavant. Je ne sais pas pourquoi je lui ai dit cela. C’est comme si le fait que lui voulait finalement y aller m’avait motivée. Mais j’étais dans l’amertume, seule dans ma salle de classe. J’ai demandé au Saint-Esprit d’apaiser mon cœur, ce qu’il fit. Calmée, je demandai à mon homme s’il avait reçu qu’il devait y seul. Il me dit qu’il le pensait peut-être, que l’idée lui était venue ce jour, après avoir prié et lu la Bible. Avec douceur, je lui fis cette fois part de ma compréhension. Je sais qu’il faut écouter les commandements de Dieu, ce sont les plus importants. Alors je n’eus rien à redire à cela. Je dis à No que j’irais certainement avec mon ami Wilson dans la semaine, que je lui proposerai. Il me dit de venir ce soir, que ça lui serait sûrement profitable. Mais ce soir j’avais envie d’être au calme à discuter. C’était ok pour moi. Mon chéri partit donc pour le stade, tandis que moi je retrouvai chez moi mon ami pour manger et discuter. A 22h mon homme rentra, nous précisant qu’en fait il était arrivé à la fin, mais qu’il y avait de la force là-bas. Il avait cependant marché depuis le stade jusqu’à la maison, faute de taxis disponibles, il était très fatigué, mais il semblait touché aussi. Wilson partit, et je parlai un peu à No. Wilson ne pouvait pas se libérer jeudi, jour durant lequel j’aurais aimé aller écouter le pasteur. Mais je n’ai confiance qu’en Wilson et lui pour faire attention à moi dans le quartier un peu chaud de Nzeng Ayong, avec la foule. “Alors nous irons jeudi.”
   Le lendemain et le surlendemain, trop occupé, il ne put partir. Le mardi soir, il me parla de ce qu’il avait reçu, ce qu’on peut retrouver dans mon post “Abba, Père”.
   Le jeudi après-midi, donc, il vint me chercher au travail, et nous allâmes ensemble au stade. Je ne savais pas trop dans quel esprit j’allais là-bas. C’était la première fois pour moi que j’allais assister à un tel événement, une véritable croisade africaine, campagne d’évangélisation. Le genre d’événement que l’Occident voit d’un très mauvais œil, qui nuit à l’Afrique selon un très grand nombre d’Européens, de Français, même de mon entourage. C’est aussi ce que je pensais je crois, avant. Je n’y allais pas dans cet esprit. Mais j’avais comme une sorte de curiosité. Cependant, j’espérais trouver quelque chose. Quoi ? Je ne savais pas. Je n’allais pas chercher une onction spécifique. J’allais pour constater. Quelque chose.
   Lorsque nous avons posé le pied sur la pelouse, j’ai senti. Le Saint-Esprit. C’était fort, vraiment très fort. Il y avait étrangement peu de monde. En fait, l’horaire avait changé, nous ne le savions pas mais nous avions deux heures d’attente devant nous. Mais comme tout arrive pour une raison, c’est ainsi que nous nous sommes retrouvés assez près de la scène, sur la pelouse. Nous avons pu nous reposer un peu avant le début. Je sentais, je ressentais la présence de Dieu ! Et pourtant, je ne me sentais pas très bien non plus. Je compris qu’il se passait quelque chose à l’intérieur, comme si des démons, le Diable, tentaient désespérément de me dissuader d’être ici, ou à défaut, de croire, de conserver ma foi. C’était très déroutant. 
   Les chants ont commencé. Je me suis placée devant No. Je ne le voyais pas derrière moi. J’avais mis du coton dans mes oreilles car le son était très fort et me faisait mal aux oreilles, encore fragiles de ma dernière otite. Les louanges ont pris de plus en plus d’ampleur, sur scène, dans la foule, et dans mon cœur. La joie a commencé à m’envahir, les doutes et appréhensions, à me quitter. Je dansais un peu, je chantais un peu aussi, puis un peu plus. La joie montait. Je commençais à comprendre que je devais être ici. Soudain, je reçus une forte pensée, je l’entendis clairement, elle n’était pas de moi : “Crois seulement. Le reste, à Dieu. Crois seulement, tu seras sauvée.” Cette pensée m’a atteinte durant toute le temps que nous avons passé sur cette pelouse, parmi ce peuple de Dieu, envahi de grâce, touché par l’Esprit, en communion totale. J’ai senti cette force. 
   Les prières ont commencé, j’ai levé malgré moi les deux mains au-dessus de ma tête, je sais ce que suis venue chercher, je comprends, je vois, je reçois. Le Seigneur m’a déjà annoncé ma guérison, maintenant il est là pour me montrer, il va me guérir, et pas seulement mon corps. En fait, tu peux être rassurée du fait que tu es guérie. Le Seigneur ne te dit pas forcément sur le moment quand tu pourras observer les effets. Mais il t’assure que tu es guérie, parce que tu es en lui, parce que ses promesses sont irrévocables ! Je reçois c’est fort ! Le pasteur Dag Heward-Mills a alors commencé sa prédication.
   Ici j’aimerais à nouveau bénir le Seigneur, me prosterner devant lui pour lui rendre grâce, louer sa grandeur éternelle. Le Seigneur est vivant. Et il était présent au milieu de nous, des milliers de ses disciples.
   Le pasteur nous demande de poser nos mains sur les parties de notre corps qui nous font souffrir. Sans même y penser, je prends mes mains l’une dans l’autre, je ferme les yeux, et je reçois cette onction de guérison vers mon eczéma. Je lève les mains au-dessus de ma tête, je sens comme une vibration à leur niveau, je sens que ça me traverse le corps. Des pensées parasites veulent me faire croire que c’est l’ambiance du lieu, les chants, l’éloquence du pasteur, mon esprit qui est troublé... Mais la brise légère qui traverse le stade, contrastant avec la chaleur qui me remplit le cœur me conforte. Je reçois !
   “La maladie de ton père ne t’atteindra pas”. Oh comme je reçois cette parole. Moi qui parfois vivait dans la crainte des prédispositions à la dépression que mon père pourrait me léguer. Mais non ! Quelle crainte inutile. Jésus a pris cela à la croix. Elle ne me touchera jamais. Jamais !
   Jésus a fait sortir le démon de l’enfant, dans Matthieu, dit le pasteur, mais c’est bien dans Marc 9:18 que la Bible précise que l’enfant grinçait des dents. Il grinçait des dents, le pasteur a rappelé cela. En allant chercher tout de suite la référence de la Bible, je tombe aujourd’hui sur plein de versets de la Bible qui précise ceci : ce sont des démons qui grincent des dents, qui font grincer des dents. Je reçois, même si peut-être ça ne m’était pas destiné, je reçois. Je grince des dents, jour et nuit, et c’est ce qui a prolongé mes inflammations aux oreilles. Je suis stressée, crispée, tendue, et je serre les dents. Depuis que je ne serre plus autant mes dents, cela a bien diminué mais j’avais conservé l’hyperacousie, qui est une forte sensibilité aux sons aigus. D’où le fait que je mette jeudi des cotons dans mes oreilles. Mais je reçois, je reçois qu’un démon en moi me tourmente depuis un moment, je reconnais sa marque.
   On amène des gens qui se roulent par terre, crient, serrent leurs mains, devant le pasteur. Je les vois passer dans les allées, portés par la sécurité. J’entends la pensée “Crois seulement”. Je me rappelle qu’en Afrique plus qu’ailleurs les démons sont présents, la sorcellerie. Je crois. Je commence à prier pour eux, pour tous ceux qui, présents ici, cherchent l’onction de guérison. Les anges de Dieu sont là, ils sont présents, il y en a tellement ! Le Saint-Esprit s’étend sur nous.
   Le pasteur continue, avec foi, et force. “Jésus, restaure et sauve mon âme !” Ah. La guérison n’est pas seulement celle du corps, et c’est fort, Jésus vient toucher notre âme, vient panser nos blessures, et surtout, il vient prendre nos péchés. Nous sortirons justifiés. J’entends, je comprends, et je crois les paroles inspirées du pasteur qui assure que nous n’allons peut-être pas voir de suite les bénédictions du Seigneur ce soir, mais que nous allons être transformés. Je ressens que Jésus touche mon âme de son amour.
   J’entends les “Amen” de No derrière moi. Parfois, je suis tellement concentrée dans ma prière, que j’oublie qu’il est là. Nous sommes venus pour notre bénédiction individuelle. Cependant, le savoir derrière moi me remplit aussi de joie. Nous vivons enfin cela à deux, pour la première fois, nous qui allons vivre toute notre vie ensemble. J’en profite pour rendre grâce d’être là, en couple ce soir. 
   Soudain, quelque chose se passe en moi, physiquement. Je ne me sens pas de l’expliquer dans un post, mais quelque chose m’arrive. Un peu comme des larmes que je n’avais toujours pas versées jusqu’ici, mais de manière différente. J’avais une telle foi à ce moment. Et j’eus une révélation. Jésus a guéri mon corps, a restauré mon âme, à présent, il m’envoyait et me confirmait une promesse. J’en parle dans le post d’aujourd’hui que j’ai écrit tantôt. Une telle promesse. J’entendis aussi que ma place était ici, cette place qui était encore si indécise il y a trois ans ! Il y a trois ans j’ai dit à mon entourage qui me questionnait à ce sujet, que je ne saurais dire à quoi j’aspirerais à trente ans, après mes trois ans au Gabon. Dieu m’envoya que ma place, celle à laquelle il m’avait destinée, aujourd’hui (car selon son plan je serai peut-être amenée plus tard à être ailleurs), ma place était bel et bien ici, auprès de ces gens qui croient, auprès de mon homme, qui a la foi, et qui m’aide spirituellement à faire grandir la mienne, et surtout, auprès de Jésus, qui guérit. Quelques larmes ont coulé, je les ai accueillies avec joie. Jésus n’est pas ému par tes larmes, il est ému par ta foi obéissante, et j’ai senti que véritablement il l’était.
   Nous sommes partis, bénis, remplis, nous sommes montés en voiture, et pendant un certain moment nous n’avons pas trop parlé. Puis, mon homme m’a parlé de certaines choses, des choses saines, saintes, selon l’Esprit. Pas selon certaines conceptions que j’avais pu évoquer dans le passé, par rapport à des relations. J’avais une telle douceur dans le cœur, j’ai reçu ses paroles avec beaucoup de calme, et j’ai expliqué que j’étais en train de changer. Oui. Je change, mais cela ne me fait plus peur car le Saint-Esprit m’indique avec beaucoup de paix la direction. Je l’ai rassuré comme j’ai pu. Il a raison de profiter de ces moments pour me parler, parce que, touchée par l’Esprit, j’entends beaucoup mieux sa parole, plus clairement.
   Vendredi, je suis retournée au stade avec Wilson. J’avais une telle joie d’y retourner. D’abord, le Diable a tenté de m’en empêcher, j’étais épuisée par la semaine de travail. Mais en parlant de l’onction incroyable que j’avais reçue la veille, et de la puissance avec laquelle la communion se fait là-bas, avec le Saint-Esprit, je me suis fortifiée, j’ai donné le goût à Wilson, et nous sommes partis. Les louanges nous ont remplis de joie, la prière nous a touchés, parfois je voyais Wilson qui levait ses mains, priait, il cherchait Jésus. Cela m’a touchée. J’ai vu une amie, puis un autre ami qui vient les dimanches à l’orphelinat. Dieu me montre mes frères et sœurs en Christ. Nous avons dansé sur les louanges, puis, comme j’avais mal aux pieds, nous sommes allés plus loin mais sur la pelouse, car auparavant nous étions sur le béton. Le pasteur a commencé sa prédication. Pour moi, c’était différent d’hier. Comme si je n’étais plus là pour l’onction de guérison, parce que j’avais reçu, j’avais la ferme assurance que j’étais guérie. Cette confirmation m’a remplie de joie. Le pasteur nous a à nouveau demandé de fermer les yeux, de placer nos mains sur une partie du corps qui souffre, et il a prié. Il a commencé par dire “Je sens que quelqu’un qui souffre, au niveau des yeux, va être touché !”, et moi, j’ai ouvert les yeux. A dix mètres, il y avait un homme, en bleu, il avait la main gauche levée, et le pouce et l’index de sa main droite sur les yeux. Quand mon regard s’est posé sur lui, j’ai pleuré. J’ai senti qu’il était guéri, j’ai reçu qu’il était guéri ! Alléluia. J’avais envie d’aller lui dire ! Je n’avais pas besoin. Il est guéri ! Alors je me suis mise à prier pour les autres dans le stade, à prier pour mes proches aussi. Je sentais la paix, la grâce du Seigneur, je me sentais baignée dans le sang du Christ. Inatteignable. J’aurais aimé rester encore, mais Wilson me pressa. L’heure. Il avait raison, il y avait beaucoup de monde qui allait sortir après. En sortant, il me dit qu’il comprenait ce que je disais tout à l’heure, la puissance du lieu, l’onction ! Mais il me demanda presque dans la minute si nous pouvions aller boire une bière. Je n’étais pas du tout disposée à la fête, mais alors pas du tout. Cependant, j’étais aussi dans un état de douceur relatif au Saint-Esprit en moi, alors je lui expliquai donc gentiment. Nous prîmes un taxi, et il continua à parler de choses... du monde. Sauf qu’une femme monta dans le taxi, et alors que nous étions en train de parler de Jésus et de la campagne au stade, elle entama une véritable évangélisation ! Sur la véritable identité des églises, comme au stade, sur Jésus, qui est le Christ pour tous, sans distinction, c’était fort ! Nous sommes descendus et avons marché avec Wilson. Au moment de se quitter, je lui dis : “Essaie quand même de prier sur ce que tu as reçu en rentrant.” Il me répondit “Toujours ! Et le plus important, c’est même de lire la Bible. J’ai dans le sac là un petit ouvrage du Nouveau Testament, et à la maison, la Bible ouverte dans la chambre. C’est important.” Sa parole m’a fortifiée. Il m’a aussi écrit en rentrant “Vraiment merci pour cette sortie vers la voix du Christ”. Je ne sais pas s’il voulait écrire “voix” ou “voie”, peu importe. J’ai alors compris l’importance d’élever vers Christ ses amis, il n’y a pas de plus belle preuve d’amitié que de les sauver, en les aidant à se placer sur son chemin, sa voie, sa vérité. Cela m’a aussi fortifiée.
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“Il faut que fasse ce post aujourd’hui, ce soir. Je viens d’être touchée, en plein cœur. J’ai pleuré, de reconnaissance.”
   C’est ce que j’ai écrit pour commencer ce post. Je suis devant mon ordinateur, j’étais en train de passer des commandes pour mon retour en France. Dans mon téléphone, j’ai un album, dans mes photos, avec des captures d’écran de certains produits. Un des albums s’appelle “Eczéma”. J’ai cherché certains produits, et, machinalement, j’ai passé toutes les photos de l’album. Je suis tombée sur des photos très dures de ma peau à vif, il y a quelques mois. J’ai regardé mes mains aujourd’hui. J’étais en train d’écouter des louanges, et passait le chant “Emmanuel”. J’avais mis la musique quand même forte. 
La musique.
Forte.
Mais,
Aucune douleur aux oreilles.
Ma peau est presque unie sur mes mains, à peine un peu sèche.
   Je ne dis pas que les épreuves ne reviendront pas, je ne dis pas que le plan de Dieu, si je me refuse encore à lui obéir, ne sera pas à nouveau, par mes péchés, de laisser le Diable agir pour m’éprouver. 
   Mais ce soir, je n’ai aucune crainte, aucune peur, j’ai l’assurance, la joie, la confiance, la foi, que Dieu m’a guérie, je témoigne de ses bienfaits, je rends grâce de sa grandeur, de sa miséricorde, je prouve au monde que je suis guérie. Et si je le suis physiquement, imaginez un peu à l’intérieur !
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