Tumgik
#c'est rien de fou
a-devious-route · 21 days
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Jacob Anderson
400*640
(( more ))
@ravel-ing
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chaotictomtom · 4 months
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LE "I THOUGHT THAT WAS NON-DIEGETIC"... MOANED. si sexy de ta part le doc omg je meurs
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tricycle-jaune · 1 year
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y'a des jeunes vraiment, je travaille en BU, une toute potite minuscule BU de 15 places assises, et parmi les personnes assises, t'as un groupe de trois filles qui déjà quand elles ont débarqué ont fait un bruit de ouf genre "bjr on est là remarquez-nous", et à peine dix min plus tard, j'viens les voir parce que faut pas déconner l'espace est pas à elles puis y'a d'autres gens (dont moi la bibliothécaire clichée reloue qui supporte plus le bruit) et je leur dit doucement et gentiment (c'est vrai en plus) que "s'il vous, merci de chuchoter parce que ça résonne bcp ici et on entend tout ce que vous dites" (notre bu est en sous-sol, y'a bcp d'écho, oui on est reléguée à la cave) et vlà-t-il pas que l'une des étudiantes me demande dans la foulée "ma copine peut pas assister au cours à distance parce qu'elle a un problème de connexion, ça dérange si je mets le son tout doucement ??" ptdrrr j'ai répondu dans un tac au tac de la mort "oui." mais allô quoi, genre la bu est pas à elles en fait, ok l'étudiante se rendait sûrement pas compte que même un tout p'tit peu de son, bah ça va déranger les gens ??? et le fait de devoir préciser ça à une jeune adulte (ok elle sort sûrement du lycée but still, c'est l'âge où faut apprendre à vivre i guess) que le son d'un homme qui va parler pendant 2h d'histoire politique européenne bah oui, ça va déranger, 'fin j'sais pas c'est genre du BON SENS ??? ou c'est moi qui suis folle ?? 'fin bref, la nana j'ai vu dans son visage la déception en mode "ah, bah on va aller ailleurs alors" mais meuf be my guest pour trouver un autre espace où taffer dans ce campus archi-bourré, bah résultat : elles sont restées MDR et on les entend même pas respirer, comme quoi des fois, ça paye de bouger son cul (et j'espère que l'autre étudiante a pu régler son problème de connexion tho, j'veux pas être responsable de l'échec scolaire d'une nana qui a rien demandé non plus)
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byunbaekhyunie · 16 days
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omfg FUCK OFF AND STOP STEALING MY SHIT
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rentoraanyan · 11 months
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Qui est le plus efficace pour préparer efficacement une immense salle en vue d'une fête qui accueille du public ?
une équipe entière de fonctionnaires de la mairie (et leurs techniciens) qui organisent ladite fête depuis plus de 5 ans, et la préparent depuis deux mois
ou
4 ptits scouts qui ont entre 8 et 13 ans
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chic-a-gigot · 2 months
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Les Modes : revue mensuelle illustrée des arts décoratifs appliqués à la femme, no. 163, juillet 1914, Paris. "Lettre sur la mode: La silhouette actuelle et l'attitude-tango." Francis de Miomandre. Bibliothèque nationale de France
English translation by Google Translate (and edited for relative clarity).
Ma chère amie,
Vous me demandez mon avis sur la mode actuelle, comme ça, simplement?… Voilà bien une idée de femme!… Comme si Fou pouvait professer une opinion sur un pareil sujet, si ondoyant! Tout ce que peut faire un homme de goût, c'est d'admirer ses contemporaines qui passent, et de respecter cet effort martyrisant qu'elles t'imposent pour diversifier à l'infini leur séduisante figure. Je sais que cet effort n'est pas toujours heureux. Mais n'allez pas en incriminer la mode, qui n'y est pour rien. Il y a deux sortes de femmes, celles qui ont du goût… et les autres. Ces dernières ont le génie d'élire parmi les accoutrements du jour celui précisément qui les rendra ridicules.
Il arrive un moment où nous ne remarquons plus combien sont gracieuses les femmes de goût qui portent encore les choses à la mode le mois dernier, mais nous n'avons plus d'yeux que pour leurs malheureuses imitatrices. C'est à ce moment-là qu'une mode est démodée. Il faut la changer.
La question de changer ne se pose pas pour la mode actuelle, puisque sa caractéristique est d'etre au contraire en perpétuelle évolution. Une évolution! que dis-je? un vertige… On n'a pas le temps s'y reconnaitre… Il semble que toutes les les pays soient conviés à nous fournir des motifs d'inspiration sans cesse renouvelés. Et c'est la Perse et bientôt l'Inde, et c'est la Grèce, la Grèce de M. Pierre Loüys, la Grèce à demi orientale d'Alexandrie, et c'est la Turquie et demain ce sera la Chine. Et puis après, on remontera dans le moyen âge. On pillera les musées. La mode actuelle? Ah! bien quinaud celui qui essaierait de s'en moquer! Car il n'aurait pas plutôt achevé sa petite diatribe, si vaine ! que déjà on pourrait lui répondre: « Mais, Monsieur, vous datez, vous vous raillez d'une très vieille chose. Ce que vous trouvez ridicule, il y a au moins quinze jours que nous en avons assez nous-mêmes… » Consultez les caricatures des journaux amusants, et vous serez édifiée. La mode actuelle, qui a le désavantage de coûter très cher à celles qui veulent la suivre, et de les ahurir un peu, a au moins la supériorité d'échapper au ridicule. Elle court si vite!…
Et cependant, me direz-vous, elle existe. On s'habille, que diable ! A vous d'extraire de tout cela la ligne générale, je ne sais pas moi, la synthèse…
Je veux bien. Voyons. Cherchons ensemble. Est-ce la tunique ? Mais non, puisque la bonne moitié des toilettes ne comporte pas de tunique. Est-ce la cape? La cape donne une jolie silhouette, mais que de femmes restent fidèles à des manteaux d'une tout autre forme, et cependant demeurent très dans le train! La note serait-elle donnée par le chapeau? Je veux bien, mais alors lequel? Le petit, le grand, le plat, le large, l'immense, le rond, le roulé en cornet, le lourd ou l'aérien?… Ne cherchez pas plus avant et reconnaissez avec moi que ce qui caractérise la mode actuelle n'est pas tant une ligne plus ou moins souple et gracieuse du vêtement qu'une attitude de la femme qui porte ce vêtement, cette attitude molle, hanchée, abandonnée, douce, passive, un peu veule et que, pour tout dire, j'appellerai l'attitude-tango.
On a souvent dit: « Le ventre s'est beaucoup porté cette année. » Quelle impropriété fâcheuse d'expression! Vous le savez bien, vous qui vous habillez à ravir et vous tenez de même, qu'il n'a jamais été question de ventre, mais qu'il a été énormément question de tango. Or, dans l'exercice de cette danse charmante, et qui, malgré de retentissantes interdictions ecclésiastiques, n'est pas près de disparaître, on se trouve fort souvent le bras en l'air et le talon relevé, portant tout le poids du corps sur un seul côté, ce qui donne aussitôt aux dames un petit air langoureux et vide, une attitude molle et déjetée.
A force de s'adonner à cette danse, nos élégantes ont pris l'habitude de se tenir ainsi dans toutes les autres circonstances de la vie. Et c'est en tanguant qu'elles entrent dans un salon, qu'elles y prennent le thé, qu'elles écoutent les hommes d'esprit, qu'elles regagnent leur automobile, qu'elles essaient leurs robes, qu'elles attendent la balle au tennis, enfin qu'elles vivent.
Rappelez-vous comment elles étaient il y a seulement trois ans. Droites, fières, faisant valoir le moindre pouce de leur taille, et minces, si minces ! C'étaient des Florentines, des reines, d'inaccessibles idoles. Le tango a changé tout cela. Le tango les a humanisées, assouplies, le tango les a brisées.
Il y a même là un profond mystère. Car, enfin, le corset, lui, n'a rien abdiqué de son inflexible nature. Il a beau porter des noms de nixes et d'ondines, de fées, de magiciennes ou de déesses, tout ce qu'on peut dire c'est qu'il commence un peu moins haut pour finir beaucoup plus bas. Et certains ressemblent davantage à des culottes baleinées qu'à des corsets proprement dits. Mais le fait est que cet instrument n'a de suave que le nom et qu'il se compose toujours d'un buse rigide comme un principe, d'agrafes solides comme des crampons et de fanons qui rompent parfois, mais ne plient sous aucun prétexte. Comment une femme aussi farouchement maintenue peut-elle trouver le moyen de se pencher avec une langueur si délicieuse? Comment arrive-t-elle à donner l'impression de n'être, en dessous, couverte que de linons impondérables et de souples batistes? Énigme, vous dis-je. Enigme de courage et d'héroïsme. La femme d'aujourd'hui est cent fois plus étonnante que le jeune Spartiate qui souriait tandis qu'il était dévoré par son renard. Cet adolescent, en effet, personne ne lui demandait dé remuer. Mais la femme à la mode, non seulement elle sourit, mais encore elle va et vient, elle penche le buste à droite et à gauche, elle marche, elle danse, cependant qu'un appareil ingénieux et terrible lui froisse les côtes, lui comprime le ventre, lui lacère les jambes, lui meurtrit les genoux. Que lui importe ? Un sourire d'extase illuminant sa figure enivrée, elle s'avance, désarticulée et engageante, suivant toutes les règles de l'attitude, qui lui donne son grand cachet de chic, de l'attitude-tango.
My dear friend,
You ask me my opinion on current fashion, just like that?… That's a woman's idea!… As if Fou could profess an opinion on such a subject, so undulating! All a man of taste can do is admire his passing contemporaries, and respect this tormenting effort that they impose on you to infinitely diversify their seductive figure. I know that this effort is not always successful. But don't blame fashion, which has nothing to do with it. There are two kinds of women, those who have taste… and those who don't. The latter have the genius to choose from among the outfits of the day precisely the one that will make them look ridiculous.
There comes a time when we no longer notice how graceful the women of taste are who still wear fashionable things last month, but we only have eyes for their unfortunate imitators. That’s when a fashion goes out of fashion. It needs to be changed.
The question of changing does not arise for current fashion, since its characteristic is, on the contrary, to be in perpetual evolution. An evolution! what did I say? a dizziness… We don't have time to relate… It seems that all countries are invited to provide us with constantly renewed sources of inspiration. And it is Persia and soon India, and it is Greece, the Greece of Mr. Pierre Loüys, the semi-eastern Greece of Alexandria, and it is Turkey and tomorrow it will be China. And then afterwards, we will go back to the Middle Ages. We will loot the museums. Current fashion? Ah! very stupid anyone who tries to make fun of it! Because he would not have sooner finished his little diatribe, so vain! that one could already reply to him: “But, Sir, you are dating, you are making fun of a very old thing. What you find ridiculous, we have had enough of it ourselves for at least a fortnight…" Look at the caricatures in the amusing newspapers, and you will be edified. Current fashion, which has the disadvantage of being very expensive for those who want to follow it, and of bewildering them a little, at least has the superiority of escaping ridicule. She runs so fast!…
And yet, you will tell me, it exists. Let's get dressed, damn it! It's up to you to extract the general line from all this, I don't know, the synthesis…
I don't mind. Let's see. Let's search together. Is it the tunic? But no, since a good half of the toilets do not have a tunic. Is it the cape? The cape gives a pretty silhouette, but how many women remain faithful to coats of a completely different shape, and yet remain very in tune! Would the score be given by the hat? I'm willing, but which one? The small, the large, the flat, the wide, the immense, the round, the rolled into a cone, the heavy or the airy?… Look no further and agree with me that what characterizes current fashion is not so much a more or less supple and graceful line of the garment as an attitude of the woman who wears this garment, this soft, hip, abandoned, gentle, passive, a little spineless attitude and which, to tell the truth, I'll call it attitude-tango.
It has often been said: “The stomach has worn a lot this year." What an unfortunate impropriety of expression! You know well, you who dress beautifully and carry yourself the same, that it was never a question of stomach, but that it was very much a question of tango. Now, in the exercise of this charming dance, which, despite resounding ecclesiastical prohibitions, is not about to disappear, one very often finds oneself with one's arm in the air and one's heel raised, carrying the entire weight of one's body, on one side only, which immediately gives the ladies a little languorous and empty air, a limp and lopsided attitude.
By devoting themselves to this dance, our elegant ladies have gotten into the habit of holding themselves like this in all other circumstances of life. And it is while swaying that they enter a salon, that they take tea there, that they listen to men of wit, that they return to their car, that they try on their dresses, that they wait the tennis ball, finally let them live.
Remember how they were just three years ago. Straight, proud, showing off every inch of their waist, and thin, so thin! They were Florentines, queens, inaccessible idols. Tango changed all that. Tango humanized them, softened them, tango broke them.
There is even a deep mystery there. Because, finally, the corset has not abdicated any of its inflexible nature. It may bear the names of nixes and undines, fairies, magicians or goddesses, all we can say is that it starts a little lower and ends much lower. And some look more like boned panties than actual corsets. But the fact is that this instrument is sweet only in name and that it always consists of a nozzle as rigid as a principle, of solid staples like crampons and of baleen which sometimes break, but do not bend under any circumstances. Pretext. How can such a fiercely held woman find a way to bend over with such delicious languor? How does it manage to give the impression of being, underneath, covered only with imponderable lawns and soft cambric? Enigma, I tell you. Riddle of courage and heroism. The woman of today is a hundred times more astonishing than the young Spartan who smiled as he was devoured by his fox. This teenager, in fact, no one asked him to move. But the fashionable woman not only smiles, but also comes and goes, she leans her bust to the right and to the left, she walks, she dances, while an ingenious and terrible device crumples her ribs, compresses her stomach, lacerates his legs, bruises his knees. What does it matter to him? A smile of ecstasy illuminating her intoxicated face, she advances, disjointed and engaging, following all the rules of attitude, which gives her her great stamp of chic, of the tango attitude.
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nemosisworld · 2 months
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Je pense que l'unique raison pour laquelle une vie vaut d'être vécue c'est l'amour, c'est une évidence soudain, la seule certitude possible, une vie sans amour ça n'est rien, ça n'a aucun sens, ça ressemble à la mort, au temps inutile et perdu, c'est la misère du corps et la misère de l'âme.
Laurence Tardieu, Un temps fou
Ph. Florian Rieder
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rollinginthedeep-swan · 6 months
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En ajout au texte important de @crococookie juste ici
Je voulais reblog et poster à la suite mais mon texte est vraiment trop long.
Poster ça, ça m'angoisse énormément. J'ai toujours peur qu'on m'interprète de travers. J'ai donc hésité longuement mais j'ai envie de rebloguer parce que même si j'ai pas été diag de troubles dys liés à la lecture et l'écriture (ce qui ne veut pas dire que je n'en ai pas, l'errance médicale, tout ça) je suis terriblement étourdie. Et si je me décide à l'écrire, c'est parce que l'an dernier, une personne a osé me demander de me relire et de corriger mes fautes, sur un paragraphe que j'ai écris rapidement en étant au téléphone un jour où j'étais sollicitée toutes les deux minutes. Avec les troubles qui me sont propres, mon vécu et j'en passe, j'ai mis du temps à me réconcilier avec l'orthographe et la grammaire. Le scolaire ne m'a pas aidé (du tout).
C'est le RP qui l'a fait.
Attention, il n'y a aucune agressivité dans ce poste (je pense que maintenant vous avez assez pigé mon mood de meuf pacifiste qui lève le drapeau blanc et veut qu'une chose : LA PAIX BORDEL.) , je partage juste mon expérience et mes conseils sur le sujet des fautes et du rapport à L'orthographe dans la commu RP. C'est aussi un petit appel à la bienveillance et à une direction vers un comportement plus chill envers vos partenaires qui font des fautes.
L'autre raison qui me pousse à poster, c'est parce qu'à la minute où j'écris je n'arrête pas de me relire. Et ça montre bien que je suis encore marquée par mes débuts dans la sphère du RP.
J'aimerais beaucoup vous dire que c'est exclusivement grâce à la bienveillance d’autrui, mais ce serait mentir. En quinze ans et surtout au début, j'ai eu le droit à des commentaires assez (trop) désagréables. C'est la capacité des autres à ne rien laisser passer qui a heurté ma confiance en moi et qui m'a donné l'impulsion de ne plus leur donner aucuns prétextes pour me reprendre. Et vous savez, je ne leur en veux même pas, à ces personnes. Je leur pardonne même assez facilement et je suis persuadée qu'iels ne sont pas tous-tes malveillant-e-s. L'humain est plus complexe que ça.
Ce qui m'a poussé à ne plus vouloir faire de fautes, c'est mon foutu caractère et ma tendance à vouloir contredire les personnes qui ne laissent rien passer. (Parfois ça peut être un problème, d'autre, un vrai coup de pied aux fesses pour faire face aux détracteurs. Et là, notez toujours qu'on parle de mon expérience personnelle avec mon profil à moi. Je ne parle pas pour tout le monde. Pitié, ne demandez pas à une personne dys de 'faire un effort', c'est validiste et grossier. Et si vous avez du mal, on a beaucoup de personnes concernées qui sont là pour donner des sources et aider à comprendre.)
Je fais encore des fautes d'étourderie aujourd'hui. Je vous raconte pas le nombre de fois où j'édite des postes parce que j'ai vu une boulette d'étourderie. (Rien que ce matin j'ai dû éditer un petit poste d'intrigue parce que j'ai réalisé que j'avais oublié un fuc$$ng mot pour que ma phrase fasse sens.) Y a un truc que je peux conseiller pour les gens maniaques de l'orthographe (dont je fais partie, faut pas croire) : S'il-vous-plaît (vraiment, je demande gentiment) attendez qu'on vous demande ? (En supposant que ça puisse arriver.) C'est frustrant et même blessant. Et si on vous demande : Ne pas jouer les profs avec des formules telles que : 'Ceci ne s'écrit pas comme ça, mais comme ci'. Vous partez ainsi du principe qu'on ne sait pas. Et même si c'est le cas, n'oubliez pas que les troubles dys existent et que vous ne connaissez ni la personne ni son vécu. Derrière l'écran, c'est toujours un être humain.
J'rp par exemple avec une personne Dys qui me pond les textes les plus élaborés et qui passe un temps fou à se relire. Chaque profil est différent. N'oubliez pas qu'on est aussi souvent crevé-e-s de nos semaines et que même s'il y a des gens qui pondent des textes sans fautes hyper facilement, c'est pas le cas de tout le monde et derrière, on peut se retrouver à être nombreux-ses à complexer, à vouloir poster des trucs parfaits parce qu'on a encore le souvenirs de ces remarques qu'on ne veut plus affronter. Même si derrière, on a les partenaires les plus adorables et les moins regardants de la sphère. Ça peut gâcher le plaisir d'écrire, alors que le RP est un loisir. Pas un job. On ne va pas publier nos écrits, on le fait pour se changer les idées et s'amuser. Un rappel constant de nos étourderie ne va rien arranger, ça ne va rien changer. Même si vous pensez sincèrement bien faire, et quand c'est le cas - parce qu'on ne peut pas espérer que ça le sera toujours malheureusement - merci de vouloir aider, même si c'est maladroitement. (Mais écoutez les conseils svp)
Bref, restons indulgent-e-s et humain-e-s, on a une passion commune vraiment géniale. <3
Si vous avez tout lu, merci d'avoir pris le temps pour ce pavé qui complète un poste à lire absolument !
Des bises,
Swan (qui va lutter contre l'envie de relire et éditer ce texte pour la cinquantième fois.)
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bubblymooon · 2 months
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Je viens de regarder le reportage arte sur les nouveaux votants RN (lien )et je comprends pas. Je comprends pas ces jeunes, je comprends pas qu'iels votent un parti aux origines fascistes et rasciste et je comprends pas comment c'est possible d'être autant à côté de la plaque ????
Y'a une des jeunes femmes qui dit qu'elle vote RN pour lutter contre les inégalités ??? Et son premier exemple d'inégalités c'est les personnes issues de l'immigration qui ont des aides sociales ???? Genre meuf. Toi aussi tu peux avoir des aides sociales, tu crois pas que le vrai problème c'est les MILLIARDAIRES genre ???
Un des gars quand on lui parle des origines du FN il dit que le parti a changé de nom depuis 2017 et que "il était pas au FN à l'époque". Donc changer de nom ça suffit pour changer d'histoire ??? Donc ne pas avoir été dans un parti c'est une raison valable pour en avoir rien à faire de son histoire ???
Y'a aussi une jeune qui dit qu'elle s'est fait arracher sa croix, traiter de sale blanche, et genre. Ça me fait de la peine, la meuf elle a que 15 ans, mais mademoiselle si tu penses que le racisme c'est mal qu'est ce que tu fous au RN genre ???
Bref. Autre monde.
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Il y a des fous tellement fous que rien ne pourra jamais leur enlever des yeux la jolie fièvre d'amour. Qu'ils soient bénis. C'est grâce à eux que la terre est ronde et que l'aube chaque fois se lève, se lève, se lève.
Christian Bobin
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chaotictomtom · 5 months
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MAIS C'EST SPARKS LE FT AVEC RITA MITSOUKO SUR SINGING IN THE SHOWER!!!???-(_!-(€!:?€(!&)€
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girafeduvexin · 28 days
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C'est trop marrant parce qu'autant je peux dire que je m'y connais un peu en littérature (master de lettres + master d'écriture créative + prof depuis 4 ans), autant j'y connais RIEN en cinéma, je suis vraiment très inculte et j'ai vu très peu de classiques, mais j'aime bien écouter des podcasts sur le cinéma et parfois ça taille des films comme moi je peux tailler des bouquins et je suis en mode "ah j'ai bien aimé ce film pourtant" et c'est pas grave hein !! Je m'en fous que les gens aiment pas un film que j'aime et quand ils ont des bons arguments, c'est intéressant ! Mais autant en littérature, je suis niveau fac, autant en ciné quand j'entends des critiques, je suis vraiment niveau collège, honnêtement, c'est assez rafraîchissant.
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je-suis-ronflex · 2 months
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1 an d'à peu près sobriété, le bilan.
Pour vous donner le contexte, le 28 juillet 2023, je décide d'arrêter de boire et d'observer une sobriété non stricte, c'est-à-dire que je ne bois plus d'alcool mais je n'exclus pas de boire un peu pour certaines occasions, si et seulement si l'envie s'en fait ressentir. Au final, ma sobriété aura tenue 5 mois jusqu'à Noël, où je me suis laissé tenté par un peu de vin et de champagne mais sans aucun excès. Plusieurs fois après ça, il m'est arrivé de boire un peu, une bière ici, un peu de vin par là mais jamais rien d'extravagant. Je n'étais pas particulièrement (en tout cas, pas que je sache) alcoolique mais mon rapport à l'alcool n'était pas forcément très sain non plus. Je pense avoir trouvé un bon équilibre et ma vie (et mon compte en banque) s'en portent beaucoup mieux maintenant ainsi que ma santé mentale qui fait moins le yoyo. Par contre je crois que j'ai compensé avec la nourriture et du coup j'ai quand même grossi un peu mais rien de fou donc le bilan reste positif
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clhook · 5 months
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hyper complexée en ce moment de mes capacités sociales parce que j'ai zéro amis là où je vis mon cercle social c'est mes collègues et les amis de mon keum, des fois je m'en fous un peu mais en ce moment c'est difficile à vivre... on est allés au resto hier soir il y avait un groupe de 7 filles et franchement ça m'a brisé le cœur de les voir trop s'amuser alors que moi j'ai pas de copines. Le pire c'est que mon keum est lui hyper sociable tout le monde l'adore et moi je complexe beaucoup à côté de lui quand je suis avec lui je dis rien les gens doivent penser que je suis un petit gremlin méchant hautain et muet, l'autre jour il donnait un cour dans un iut et les étudiants se sont littéralement battus pour l'emmener au resto le soir, nos voisins le kiffent alors que moi c'est à peine s'ils me disent bonjour, on a invité chacun quelques amis au mariage les siens viennent tous et de mon côté j'ai qu'une seule amie d'enfance qui a dit oui, les autres ont dit non et je sais que c'est pas contre moi que c'est un concours de circonstances mais j'ai personne d'autre à inviter alors que mon keum a dû faire une sélection pour qu'on ait le même nombre d'amis invités. Mes collègues sont hyper potes entre eux et j'aimerais bien m'intégrer mais j'ose pas et ils m'invitent jamais non plus, genre le vendredi soir ils vont toujours boire un verre et jamais on m'a proposé et pareil c'est pas qu'on m'aime pas je pense mais juste je suis un peu invisible et sans intérêt.
J'ai une collègue qui s'est fait larguer elle doit trouver un autre appart et tout et je me suis dit si ça m'arrive si mon mec me quitte ben j'ai plus personne plus rien à part mon boulot c'est hyper triste
J'en parlais à une autre collègue un midi elle m'a dit que sa fille était pareille mais qu'elle s'était fait un groupe d'amies quand son enfant est entré à l'école ok donc la seule solution c'est de faire un bb apparemment lol
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lisaalmeida · 2 months
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J'veux des problèmes
J'veux qu'tes galères deviennent les miennes
J'veux qu'tu m'balances au visage tes orages, tes peines
Pour des nuits diluviennes
J'veux qu'on s'apprenne
J'veux partager tes joies, tes migraines...
Ton corps me donne le vertige et tes mains me mènent
Où rien ne nous gêne...
J'pourrais m'tatouer notre histoire sur le bras...
Me mettre dans de beaux draps si t'es avec moi...
C'est toi dans ce monde de fous
Je l'sais c'est tout...
Et j'voudrais qu'ça dure longtemps
User ma peau sur la tienne...
Un jour j'oublierai tout jusqu'à mon nom, je saurai simplement
Que t'es là, que t'es belle, que t'es mienne...
J'voudrais qu'ça dure cent ans
Que jamais la raison n'atteigne
Cet aveu, cette envie de rêver tous les deux quand même...
Jusqu'à ce qu'un jour nos deux yeux s'éteignent
Mon évidence
T'es mon sourire et ma carte chance
J'veux qu'on déconne, qu'on décolle, qu'on délire, qu'on danse
Jusqu'au dernier silence...
J'irai dans la rue si t'as besoin d'un toit
J'pourrais vivre nu pour qu't'aies un peu moins froid...
C'est toi dans ce monde de fous
Je l'sais c'est tout
Et j'voudrais qu'ça dure longtemps...
User ma peau sur la tienne
Un jour j'oublierai tout jusqu'à mon nom, je saurai simplement
Que t'es là, que t'es belle, que t'es mienne
J'voudrais qu'ça dure cent ans
Que jamais la raison n'atteigne
Cet aveu, cette envie de rêver tous les deux quand même
Jusqu'à ce qu'un jour nos deux yeux s'éteignent
Et j'voudrais qu'ça dure longtemps
User ma peau sur la tienne
Un jour j'oublierai tout jusqu'à mon nom, je saurai simplement
Que t'es là, que t'es belle, que t'es mienne....
Amir
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jamie-007 · 3 months
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Le cafard sifflant dit au tigre :
- L'herbe est bleue.
Le tigre rétorque :
- Non, l'herbe est verte.
La dispute s'envenime, et tous deux décident de la soumettre à l'arbitrage du lion, "le roi" de la jungle.
Bien avant d'atteindre la clairière, où le lion se reposait, le cafard sifflant se met à crier :
- Votre Altesse, n'est-ce pas que l'herbe est bleue ?.
Le lion lui répond:
- Effectivement, l'herbe est bleue.
Le cafard siffleur se précipite et insiste :
- Le tigre n'est pas d'accord avec moi, il me contredit et cela m'ennuie, s'il vous plaît, punissez-le.
Le lion déclare alors :
- Le tigre sera puni de 5 ans de silence.
Le cafard sifflant sauta joyeusement et continua son chemin, heureux et répétant :
- L'herbe est bleue...
Le tigre accepta sa punition, mais demanda une explication au lion :
- Votre Altesse, pourquoi m'avoir puni, après tout l'herbe est verte.
Le lion lui dit :
- En effet, l'herbe est verte.
Le tigre surprit, demande :
- Alors pourquoi me punissez-vous?
Le lion lui explique alors :
- Cela n'a rien à voir avec la question de savoir si l'herbe est bleue ou verte. La punition arrive parce qu'il n'est pas possible qu'une créature courageuse et intelligente comme toi perde son temps à discuter avec un cafard.
La pire perte de temps est de discuter avec un fou et un fanatique qui ne se soucie pas de la vérité ou de la réalité, mais seulement de la victoire de ses croyances et de ses illusions.
Ne perdez jamais de temps dans des arguments qui n'ont aucun sens...
Il y a des gens qui, quelles que soient les preuves que nous leur présentons, ne sont pas en mesure de comprendre, et d'autres sont aveuglés par leur ego, leur haine et leur ressentiment, et la seule chose qu'ils souhaitent, c'est d'avoir raison même s'ils ont tort.
Quand l'ignorance crie, l'intelligence se tait.
Notre paix et notre tranquillité n'ont pas de prix.
( Auteur inconnu )
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