Tumgik
#ce mois-ci ma soeur est venue avec moi
christophe76460 · 8 months
Text
Tumblr media
⚠️⚠️🔥URGENT URGENT URGENT🔥⚠️⚠️
🔴MESSAGE DU SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST, REÇU CE MATIN 12 OCTOBRE 2023 PAR LA SOEUR SARAH DE ANGRÉ POUR SON ÉGLISE.
PRÊTEZ VRAIMENT ATTENTION À CE MESSAGE ET À LIRE DANS LE SILENCE
_Shalom papa
_Shalom ma fille que Dieu te bénisse !
_j'aimerais vous confier quelque chose afin que vous l'analysiez
_Ok vas y!
_depuis matin je l'ai reçu quand j'y reviens ,je sens mon cœur brûle,une grande crainte s'est emparé de moi
comme d'habitude je me réveille à 4h pour prier,ce matin quand je me suis réveillée je ne sais pas comment mais je me suis trouvée debout entrain de faire une prière de combat pour l'église, et quand j'ai fini cela j'ai entamé l'adoration et pendant ce moment je me suis rappelé du témoignage de la sœur Esther de soubre que papa apôtre Abraham a posté dans le groupe,j'ai vu les messages mais je n'ai pas écouté car quand on parle de l'enlèvement moi ça me fait peur et en plus j'étais pas bien disposée pour écouter,et je me disais qu'après j'allais écouter mais j'ai oublié et jusque-là je n'ai pas encore tout écouté.et quand ça m'est venu en tête j'ai commencé à dire au seigneur dans la prière : seigneur j'ai vraiment peur lorsqu'on parle de ton avènement car, jusque-là je sais que ma vie n'est pas conforme pour être enlevée et tu viens et personne ne sais quand.jai commencé à pleuré et je me suis mise en genou et voici ce que j'entends :
oui mon avènement est proche,et je viens avec ma vengeance et ma rétribution.je viens juger les vivants et les morts et nul ne sera épargné ce jour ci,il y aura des pleurs des grincements de dents,
Il y aura des grands regrets.en ce jour je ne regarderai le titre de qui que ce soit,que tu sois serviteur ou servante (apôtre,évangéliste, docteur, prophète, pasteur,intercesseuses,prophétesse, chantre) je ne regarderai pas en tout celà mais a ma PAROLE que je vous ai laissé afin de la lettre en pratique,c'est par et selon elle que je vous jugerai.je ne fais acception de personne,tout comme je fais pleuvoir sur les bons et les méchants je jugerai aussi pareillement.il n'y aura pas ce jour des choisis,des mis à part,des élus mais chacun sera jugé selon ses propres œuvres,le titre,le ministère,les dons de qui que ce soit ne pourront les sauver ce jour douloureux,regrettable,et ainsi vous saurez que je suis le véritable Dieu,rangez vos vies je vous le dit en vérité,en vérité,travaillez sur vous, faîtes l'effort sur vous,traitez durement vos corps,songez à faire vos restitutions ceux qui ont la capacité maintenant,pardonnez vous les uns les autres,aimez vous réciproquement,soutenez vous et ceux là sont différents de la haine,la rancoeur, l'orgueil,la colère,la médisance,les plaisenteries,les paroles vaines,des causeries qui n'edifient pas vos âmes,les temps sont finis,en ce moment vous devez être en deuil, qu'est ce que des gens qui sont en deuil,ou qui subissent les douleurs de l'enfantement ont a se dire de si marrant quand ils se réunissent,vous devez prier,adorer, exhorté quand vous vous réunissez,les réseaux sociaux vous occupent unitilement que moi.vous êtes trop négligeant,vous trainez les pas pour aller à l'église, à l'évangélisation, même au culte du soir vous n'y allez pas pendant que vous le pouvez, comment allez vous,vous justifiez devant moi en ce jour douloureux,pensez vous que je m'arrêterai pour écouter les versions de chacun,mais non vos œuvres seront tous devant vous,je suis un Dieu de vérité je ne jugerai personne sur ce qu'il n'a pas commis,l'accusateur c'est le diable, ouvrez moi vos cœurs lorsque vous êtes à ma présence,vous pouvez faire semblant devant les hommes et pas devant moi.que mes enfants mariés fassent très attention car plusieurs perdront leur salut à cause de ce mariage,je vous vois tous sous vos toits,mes regards sont fixés sur vous.
0 notes
lesombresdeschoses · 1 year
Text
THE WEIRD LIFE MAGAZINE
« Je me souviens de chaque instant vécu là-bas. Dans les limbes. Ce Nexus étrange créé par ma grand-mère. Un trou noir qui m'engloutit pour m'ouvrir les yeux sur ma vie. Cette existence de mort. J'étais morte. Je renais. J'avais parfois l'impression de vivre la vie d'une autre. De mon double dans un autre univers. »
Lawrina Mortensen, l'ex-inspectrice de la brigade criminelle de Londres est devenue romancière après son expérience insolite. Plongée, pendant trois mois, dans un profond coma, notre héroïne a expérimenté toute une existence.
L'Au-Delà. Dans cette sphère, personne n'était conscient d'être mort. Tout ce petit monde croyait vivre dans la réalité. La petite fille de l'ex-agent du MI6 Yvonne O'Donnell, belle, intelligente, mais butée, ne voulait pas comprendre que sa carrière dans la police la détruisait, entraînant son entourage dans cette funeste déchéance. Morgann Mortensen, sa soeur, assassinée lors d'une mission d'infiltration. Dell, l'adolescent témoin du meurtre de celle-ci. Deyn son époux a sombré dans la folie après qu'elle l'a quitté. L'inspecteur Chef Tyler Declan McKenzie, son collègue, décédé des suites de ses blessures en lui sauvant la vie. De l'autre côté du miroir, Lawrina Mortensen en a vu de toutes les couleurs, il fallait qu'elle comprenne qu'il est inutile de s'accrocher à une existence qui ne veut pas de vous. Une carrière qui détruit tout sur son sillage. Lawrina n'est pas responsable de tout les malheurs du monde, les gens font leurs propres choix. En aucune façon, elle n'a pu impacter ces choix. Et pourtant, sa culpabilité grandissant, l'inspectrice s'acharnait à vouloir corriger une trajectoire dont l'origine ne dépendait pas d'elle. Chacun est responsable de sa destinée. Personne d'autre. Lawrina ne pleure jamais. Elle ne pleure jamais les morts. Elle ne montre jamais ses sentiments. Elle ne s'attache jamais. Trop de fantômes dans sa vie. Être flic, c'est aussi porter le deuil des autres.
Aujourd'hui, l'Ecossaise - aux origine irlandaises - de trente-neuf ans a opéré un changement à trois-cent-soixante degrés. Romancière de talent, Le livre des rêves - son recueil de nouvelles fantastiques campé dans un univers de science fiction - est devenu un best-seller. Ses fans attendent la suite avec impatience. Inspiré par son expérience et le journal intime de sa grand-mère, le premier livre est la promesse d'une longue série de romans passionnants.
Les héros de ses récits sont un hommage à tous ceux qui ne peuvent plus témoigner de l'extraordinaire aventure qu'est la vie sur notre belle planète bleue. Tyler McKenzie et Yvonne O'Donnell vivent dans le coeur de Lawrina Mortensen. L'immortalité à portée de plume.
*
Etienne Leroy. J'ai aimé cet homme, mais je ne me suis jamais attachée à personne, pas même à lui. L'Univers est tellement plus grand qu'une simple histoire d'amour. J'ai parfois l'impression que c'est l'égo qui aime et que le cœur vit, tout simplement.
A chacun son puzzle. Tout est intriqué et c'est ce qui fait la beauté de cette toile universelle.
Ce journal de bord, je vous le dédie. A vous, mes petites filles. Chacune de vous deux aura son parcours, ses embuches, son enfer. N'ayez pas peur. Vivez. Ne craignez pas le changement, ne craignez pas l'existence. Elle vous donne les outils pour appréhender l'univers, quand l'heure sera venue. Mourir n'est pas la fin. C'est un changement d'état. N'ayez pas peur du changement. N'ayez pas peur de laisser mourir les choses. Ne laissez pas votre esprit s'étioler dans la médiocrité du dictat social. Vivez.
Je l'aimais et pour cela je l'ai laissé mourir. C'était son destin. Son chemin. Son expérience.
Yvonne Renée O'DONNELL
*
Une belle leçon existentielle.
Alisson MORIARTY pour THE WEIRD LIFE MAGAZINE. 
0 notes
miak19 · 2 years
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Toujours une bonne journée
7 notes · View notes
chaglt · 5 years
Text
Ma semaine sans réseau social
Article un peu plus perso, que je ne partagerai pas sur Facebook (hence the title, pas sûre que "hence" soit la préposition adaptée). J'ai effacé Facebook de mes applications ce matin et j'ai l'intention de ne pas y trainer d'ici samedi matin prochain (nous sommes le 15 novembre, dans 5 semaine je suis back en Belgique !! ☺️).
J'ai toujours voulu écrire un article du type "7 jours sans pester", "5 jours de gratitude".. qu'on peut voir dans certains magazines (féminins, I know. #sexism). Comme ce blog est à mwaa et qu'il contient beaucoup de "hihihi", "hahaha" comme dirait ma mummy chérie (maman, pas momie), mais aussi une "critique" littéraire que j'aime particulièrement et un article plus reposant relatant un voyage, pourquoi ne pas y ajouter ce type de contenu. De toute façon, personne ne me lit hahaha (Rire jaune, pas le youtubeur, l'autre).
Bon, l'idée de cette semaine : éviter de trainer sur Facebook (quand je suis fatiguée j'y passe beaucoup trop de temps, à regarder beaucoup de bêtises) et sur insta. Je n'ai pas insta et j'y vais quand même, la puissance ! Inutile de vous préciser que c'est souvent pour y regarder des choses peu intelligentes, même s'il y a parfois du contenu assez sympa (j'adore le compte insta "on s'en bat le clito" par exemple, belle dose de fraîcheur par rapport à la sexualité féminine - "par rapport" est-elle la préposition adaptée ?).
Bref, je pense que ça ne peut me faire que du bien, encore plus si j'y inclus YouTube, sur lequel je peux également passer un nombre d'heures effarant. Bon allez je l'inclus, mais c'est bien parce que c'est vous.
Je viendrai faire quelques petits comptes-rendus par ici de temps en temps :)
* Jour 2 (samedi) : prise de conscience, j'ai vraiment des réflexes à aller cliquer sur des applications (comme Facebook et insta sont virés de mes possibilités, je me retranche sur les E-Mails, WhatsApp et Messenger). Le positif c'est que les applications qui me restent sont beaucoup moins chronophages, du coup je laisse vite tomber une fois que j'ai répondu à mes quelques messages (qui ne sont pas si nombreux étant donné que je ne suis pas très message) et je m'occupe autrement ☺️ Autre point positif, ça ne me manque pas (elle est mignonne elle après 48h). J'ai passé une super soirée avec Javivi hier, mais de toute façon avec lui je n'utilise pas, ou très peu, mon phone-tele (wesh). Siesta time maintenant, sans craindre de passer plus de temps à scroller mon fil dactu Facebook qu'à me reposer per se. La bise ♥️
* Jour 3 (dimanche) : contextualisons d'abord quelque peu. Je suis dans mon lit, une légère barre de fatigue au front. Il est 14h30, la siesta time donc. J'ai eu une chouette matinée à appeler Mum et Arnaud, à écouter des podcasts en allemand sur les relations (j'adore : Paarologie, recommandé par une Allemande rencontrée à Séville, et Beste Freundinnen. La fille de Paarologie s'appelle Charlotte en plus, prononcé à l'allemande (= trop cute). Continuons) et à faire le ménage #proud. J'ai mangé des canellonis pas mauvais du tout, avec un petit dessert des familles en prime. J'ai même bavardé un petit peu avec Elsa qui est revenue d'un week-end dans une ville sympa dont je n'ai pas trop compris le nom. Ce soir j'ai une soirée danse de prévue, et avant je vais peut-être voir Jacob. Après ma sieste j'appelle ma cousine d'amour. Qu'attend-elle donc pour dormir me direz-vous! Et bien je suis gluée à mon téléphone, avec l'envie irrépressible (mais que je represse parce que je suis une WARRIOR - et parce que je me suis engagée ici) d'aller me perdre dans les méandres de Facebook et d'Instagram. Alors que j'ai Simone de Beauvoir qui me fait de l'oeil. Bon j'ai cette chance d'être plutôt venue faire un compte-rendu ici, je vais donc aller me reposer telle le princesse que je suis, pour ensuite passer un reste de journée doux et agréable ♥️ Saloperies de réseaux, mais jolie prise de conscience ☺️ I'm glad I started this. 🧜
* Jour 4 (lundi): contextualisation, dans le salon. Premier "craquage", je suis allée voir les nouvelles Google. Heureusement pour moi, comme c'est de la bonne shit des familles, je n'y suis pas restée longtemps. Je me rends compte que j'ai beaucoup de temps libre, que je vais essayer d'apprendre à mieux gérer. Je suis revenue de l'école (contente de moi en plus car j'ai bien avancé dans mes quelques prépas, et contente tout court parce que j'ai eu un we magique pour la confiance en moi) mais je ne savais que faire, je n'avais pas faim mais j'ai quand même dîné, je suis partie dans mes pensées et finalement je me suis retrouvée devant les nouvelles Google a grignoter des galettes de sésame-chia (y a pire comme grignotage me direz-vous 😂). Une conclusion qui pourrait être tirée ici, c'est que je suis davantage attirée par les bêtises sur mon téléphone quand je suis désoeuvrée. Setting an intention for the day would help me I think :) Mais je suis quand même contente, j'ai réussi à couper le cycle pas trop tard en mettant un podcast et en rangeant la cuisine. Bon autre mini contextualisation, je ne dors pas vraiment bien pour le moment, et j'ai fait une insomnie hier. Ce qui n'excuse rien, mais qui peut expliquer mon petit "dérapage". Programme du reste de la journée : mettre sécher, me reposer et aller chez l'ORL. Avec le bouquin de Deepak Chopra ☺️ La bise! (Bon finalement c'est sympa ce glissement, ça met un peu de piment dans mon article)
* Jour 6 (mercredi): petit point avant d’aller au théâtre (première fois que je me repose correctement avant d’y aller, sereinement). Au fait, je suis allée 2 minutes sur Youtube mais c’est parce que c’est Pauline qui m’a envoyé un lien donc ça compte pas <3
- Je suis beaucoup plus en contact avec mes proches. Ayant beaucoup plus de temps à disposition (bueno, mieux utilisé serait la palabra mas correcta), j’envoie plus de messages, je prends plus le temps de téléphoner... et ça fait beaucoup de bien <3
- J’ai découvert Spotify, beaucoup moins chronophage que Youtube. Je peux écouter ma musique, mes podcasts magiques.. ENFIN, me diront les plus techologiques d’entre-vous!
- Je suis de meilleure humeur, plus sereine. Même si j’ai des petits soucis de sommeil pour le moment, je prends le temps de me reposer, et je ne passe plus des heures à traîner sur des comptes Instagram / sur mon fil d’actualité Facebook sans beaucoup d’intérêt qui ne me faisaient pas de bien.
- Je médite plus (prononcer “plusse”) :) Est-ce nécessaire de vous dire que ça fait du bien?
- J’écoute les nouvelles (bon ça fait deux jours, mais quand même!). J’ai découvert l’assistant Google à qui je dis “bonjour” le matin et qui me dit les nouvelles du jour, ce qui est assez sympa :) Je vais essayer de le configurer pour avoir les nouvelles dans d’autres langues aussi.
- J’écoute beaucoup plus de podcasts, en allemand et en anglais :)
Et je n’invente rien, je vous jure que tout est vrai. C’est vraiment bizarre mais cool à la fois :) Time to go to the theater! Byyye <3
* Jour 7: Qu’est-ce que je m’ennuie bon sang! C’est le premier jour durant lequel je ne fais rien (je n’ai pas donné cours à Sheila aujourd’hui avec les examens) et je m’ennuie, je suis grave :) Du coup je suis ici. A 21h30 je vais chercher mon tout premier colis “too good too go”, WOUHOUU!
J’aimerais bien traîner un coup sur Youtube mais je ne peux pas. J’avoue j’y suis allée pour terminer la vidéo de 8 minutes envoyée par l’amour de ma vie (ma soeur me manque, oui). Et je suis aussi allée sur Facebook quelques minutes pour vérifier la durée d’un événement. Et j’ai aperçu 24 notifications je pense. Parce que oui, pour les événements Facebook est assez cool :) C’est d’ailleurs grâce à Facebook que je suis allée voir le Joker avec des Américaines bien sympas :)
Bon alors si on reprend mon défi de la semaine, je pense que ça me fait du bien (confer hier), et que je me rends maintenant compte que j’ai beaucoup, beaucoup de temps libre. Heureusement que je donne des cours particuliers et que j’ai théâtre le mercredi! Ce sont les soirées qui sont parfois longues. Ici je suis à l’appart depuis 16h (il est 19:52). J’ai essayé de faire une petite sieste, mais comme j’ai dormi 9h30 la nuit passée ça n’a pas marché. J’ai un peu exploré Spotify (purée j’adore cette application), entamé quelques audiobooks, quelques podcasts... Je pense qu’il y a juste des moments où ça fait du bien de se perdre sur Youtube, de couper son cerveau et de profiter. Je n’avais même pas envie de venir vous raconter ma vie ici, c’est vous dire!
Comment je me sens? Une petite barre au front. Il faut dire que mon sommeil a été pas mal perturbé ces derniers temps. Là j’ai une musique de guitare douce de Spotify en fond, ça fait plaisir :) Mais sinon je suis contente, je prends vraiment conscience de l’effet que les réseaux sociaux peuvent avoir sur moi (et sur d’autres gens je présume). Ce qui est cool, ce que je m’ennuie mais que je n’ai pas envie d’aller sur Facebook ou Insta. Juste de me matter une série ou des vidéos un peu con sur Youtube. 
- Découvertes so far:
* Spotify
* Le plaisir d’écrire (redécouverte dans ce cas-ci)
* L’assistant Google pour avoir un bref aperçu des nouvelles le matin
* La satisfaction (redécouverte dans ce cas-ci), je sens clairement les effets de la non-comparaison (inconsciente, mais d’actualité quand j’utilise les réseaux sociaux, surtout insta de mes deux. Bien contente d’avoir jamais créé de compte d’ailleurs).
* Que j’ai énormément de temps libre, et que je peux en faire ce que je veux :)
* Ce que c’est que de s’ennuyer. Ça faisait longtemps, vraiment longtemps que je n’avais pas reçu l’ennui comme ça. C’est bon pour la santé il paraît :) Allez, je vous mets un article sur “S’ennuyer c’est bon pour la santé” juste ici:
http://www.slate.fr/story/171981/ennuyer-bon-esprit
Oh. Wow. Je viens de tilter sur la citation suivante de l’article:
“Pour que ça marche, il est crucial de se déconnecter. Sandi Mann explique que nos smartphones détruisent notre capacité à nous ennuyer et empêchent un vrai divertissement: «Nous essayons de balayer et de faire défiler l'ennui, mais en faisant cela, nous nous rendons plus enclins à l'ennui, car chaque fois que nous sortons notre téléphone, nous ne laissons pas notre esprit vagabonder et résoudre notre problème». Ne reste peut-être plus qu'à créer une appli pour s'ennuyer...”
Je me reconnais beaucoup là-dedans. Et c’est vrai que ça fait deux nuits que je fais beaucoup de rêves, un peu guérisseurs comme ça. J’ai rêvé de bébé (maman ne lit pas cet article), j’ai rêvé de Javi, de pas mal d’autres choses aussi dont je ne me souviens pas tellement. Mais vous savez, cette sensation au réveil de “résolution” de certaines choses? Ça faisait bien longtemps que ça ne m’était pas arrivé, j’avais au contraire un sommeil assez peu réparateur ces derniers temps. Et quand ils disent “Nous essayons de balayer et de faire défiler l’ennui”, c’est tellement ça. Je me plonge/ plongeais dans ces réseaux en faisant défiler les fils d’actu. Oui, le temps passait. Mais je ne me sens/sentais pas bien après. Du tout.
Bon là je pense que mon corps se remet des émotions que j’ai eue depuis septembre, mais en ce qui concerne ma non-utilisation des réseaux sociaux depuis 7 jours (nous sommes le 21 et j’ai commencé le 15, plutôt 6 jours mais soit), ce n’est que du positif. Et s’ennuyer c’est assez sympa, ça me permet d’écrire, de découvrir des applications (et des artistes!) vraiment chouettes, d’écouter les nouvelles (qui l’eut crû!), de méditer un peu plus... Et puis je me sens reposée. Et ça c’est gai. Même si je ne dors pas bien.
Le jour qui m’a le plus marquée c’est hier. Insomnie la veille, je serais rentrée de ma grande journée à l’école de mauvaise humeur et je me serai plongée dans Facebook, sans vraiment me reposer avant d’aller au théâtre. Ici je suis rentrée, j’ai pris le temps de me poser, j’ai laissé les émotions couler (yes j’ai chialé bouuh), j’étais épuisée. Et j’ai fait une sieste de laquelle je n’ai pas réussi à me réveiller tout de suite. Et je suis allée sereinement au théâtre, car je me suis réveillée 1h30 avant, j’ai pu appeler ma Mutti (seuls les Allemands comprendront), me faire à manger... Un monde de différence. C’est chouette, il y a définitivement un mieux. Un bien mieux même :)
Je m’attendais à ce que l’expérience soit positive, mais à ce point-là! Et faire le point régulièrement me permet de voir tout ça, c’est vraiment gai :) Ça me donne envie de faire d’autres articles du genre, ça me donne une motivation héhé.
La semaine prochaine, je vous écris un article “ma semaine sans respirer”. On verra ce que ça donnera :D J’ai hâte!
Bisouus!
À samedi prochain ! (Oui je me vois déjà dans Flair ou autre 😎)
1 note · View note
fallenrazziel · 6 years
Text
Les Chroniques de Livaï #386 ~ POUR TE PROTEGER, J'IRAI EN ENFER (septembre 845) Livaï
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
Tumblr media
Les candidats s'enchaînent sans autre incident notable. Cependant, je remarque des tas de choses qui ne vont pas : des problèmes de postures, d'angle d'attaque, de plantés de grappin... Je sais que Erwin ne peut pas se permettre d'être très regardant sur la qualité des recrues, mais j'ai furieusement l'impression que ceux-là ont intégré le régiment faute de mieux. Ces bleus ne tiendraient pas plus de quelques minutes dans une mêlée. Je griffonne sur mon carnet des remarques notes qui feront leur effet.
Et voilà, je me disais... Y'en a un qui a failli percuter son copain... Je vais aller me poster par là-bas, Mike et Hanji couvrent déjà cette zone. Je m'élance de l'autre côté du terrain de vol et me pend à un arbre pas trop loin en attendant celle pour laquelle je suis venu. J'ai pas vraiment envie qu'elle me voit mais je me doute bien que les gars lui ont dit que je serais là.
Je retiens un bâillement mais je dois pas me relâcher si je veux éviter les accidents. Je suis des yeux un gamin a l'air particulièrement jeune, avec une grosse tignasse rousse, qui virevolte un moment autour du troisième mannequin. Il semble étudier la question, un peu trop longtemps à mon avis... Il aura jamais le temps de réfléchir comme ça en combat, il faut qu'il se bouge. Finalement, il prend une décision, se rapproche en cercles, et abat sa lame sur la nuque molle de sa cible. Un morceau de mousse vole dans les airs et le môme réprime difficilement sa joie.
Je continue de l'observer et tandis qu'il vole vers le prochain titan, je me rends compte qu'il a un problème ; il semble jouer avec ses gâchettes sans raison, et perd progressivement de l'allure. S'il touche le sol, c'est perdu pour lui. Son visage exprime l'ennui, puis la franche inquiétude, quand il reprend soudainement de la vitesse. Je me place à quelques mètres de lui pour voir ce qui cloche, mais il actionne une ultime fois ses gâchettes et file devant moi à une rapidité effrayante ! J'entends le bruit de sa bobine qui se détend, et ce son n'a rien de normal ! Merde ! Il file droit sur un arbre énorme ! Il faut que je l'arrête !
Je perçois son cri de terreur et essaie de le rattraper mais cette fois, je sais que je vais pas y arriver, il a trop d'avance et moi pas assez de temps ! Pourtant,tout semble se dérouler au ralenti, comme d'habitude, mais même ainsi sa vitesse est perceptible ; il a un pépin avec son matériel. Putain, il va finir en purée sur cet arbre, je veux pas voir ça...
Au moment où je détourne la tête, une silhouette sombre tournoie sur ma droite, jaillissant des arbres, et vient couper la trajectoire mortelle du gamin. Je manque de les percuter mais je redresse au dernier moment avant de me retourner en vol. Je m'agrippe à une branche et, la tête en bas, je regarde ce qui se passe. Une fille aux cheveux noirs a surgi tout d'un coup et sectionné le câble qui entraînait le môme à sa mort. A présent elle tient le corps évanoui de son camarade sous son bras et va se percher sur une branche de l'autre côté du parcours.
C'est elle. Je la reconnais. Il faut que je m'en mêle.
Je me pose à côté d'elle et elle me dévisage avec ses grands yeux noirs. Elle sait qui je suis, évidemment, mais elle ne se démonte pas. En un instant, c'est comme si on s'était compris. Je prends le gosse dans mes bras et lui ordonne de repartir afin de finir son test. Elle hoche la tête sans trembler et s'élance. J'observe un moment le pauvre miraculé et soupire de soulagement. Il est pas blessé, seulement choqué. J'aimerais examiner son dispositif mais je dois aussi l'observer, elle.
Elle trace son chemin vers chaque titans de la zone, et je remarque tout de suite chez elle une grâce particulière que je n'avais encore jamais notée chez les exploratrices. Pas même chez Greta. Elle sait se servir de sa taille supérieure à la moyenne pour trouver un équilibre parfait entre vitesse et puissance, et la bourre des titans de bois pleut au sol sous ses coups de lames précis. Ses bras fauchent avec régularité, presque avec indifférence, comme si tout ceci était trop facile pour elle.
Elle est très largement au-dessus du lot. Je me demande même si elle n'est pas meilleure que mes trois gars. C'est encore trop tôt pour le dire, mais... Comment ne l'ai-je pas remarquée plus tôt ? Qui l'a notée la dernière fois ? Faut vraiment être bourré ou con pour la saquer comme ça !...
Je dépose le gamin à terre près d'un bosquet, et retourne sur ses talons afin d'assister à la fin de sa performance. Je fais d'autres observations : elle n'effectue aucun mouvement inutile - le genre de truc que Erwin m'a souvent reproché -, chacun de ses gestes est calculé au centimètre pour faire mouche. Elle agit vite, dans l'instant, et à peine une cible éliminée, son regard porte déjà sur la suivante ; elle change ses lames seulement après les avoir usées jusqu'à la garde... Elle a toutes les qualités.
Bon sang, il me la faut.
Le test se termine. Il reste des candidats en arrière mais pour ma part, j'ai eu ce que je voulais. Je regrette pas, c'était magistral. Elle se pose près de ses camarades en attente et essuie son front en sueur. Ah, elle est bien humaine, tout de même. Mince, quand j'y pense... c'est tout à fait le genre de truc qu'on dit habituellement sur moi dans mon dos.
J'atterris auprès d'elle et elle me salue avec respect. Ca va, repos. Ton nom c'est Nadja, c'est ça ? Je peux enfin la détailler un peu plus. Elle est effectivement assez grande, et plus âgée que les autres. Son âge se voit un peu, mais pas trop. Elle a de longs cheveux noirs en queue de cheval, des yeux noirs aussi, un visage ovale, un front haut. Un physique assez passe-partout en fait. Quand elle se détend enfin, ses traits s'arrondissent et lui donnent un air plus bienveillant. Cette fille est capable de donner le change sur ce qu'elle ressent vraiment. Sa timidité s'exprime davantage quand je me mets à lui poser des questions ; plus pour la forme qu'autre chose, je sais pas mal de trucs déjà.
Elle me dit qu'elle s'était engagée à l'origine dans la garnison afin d'être médecin. Oui, je sais ça. Mais que les temps ayant changés, elle s'est sentie plus utile dans le bataillon. Sans indiscrétion, tu as fini combien à la promotion ? Seconde, qu'elle répond. C'est pas que j'y attache de l'importance, mais pourquoi avoir choisi la garnison si tu pouvais aller dans les brigades ? Elle répond que la corruption y est trop répandue et qu'elle aurait passé son temps à faire la police. Mouais, pas faux... Faut dire que Monsieur Moustache fait rien pour que ça change... Non, rien, oublie ça. Et donc c'est la seule raison qui t'a fait venir chez les explorateurs ?
Elle regarde ses pieds et vacille un peu, l'air indécis, avant de me donner une réponse claire. En vérité, c'est la décision de Erd et Gunther qui l'a décidée. Elle est la soeur de la fiancée de Erd et celle-ci lui a demandé de devenir exploratrice afin de veiller sur son petit ami. Elle me supplie de ne pas lui dire, il serait furieux. Je pense qu'il s'en doute déjà... C'est... très généreux de ta part d'avoir fait ce choix. Mais je suis étonné : tu es très forte pour déglinguer des titans. En tout cas ceux-là. C'est inné ou bien tu t'es entraînée toute seule plus souvent que les autres ?
Nadja répond qu'elle a toujours été plus douée que la moyenne mais que tuer des titans ne lui disait rien. Elle me révèle qu'elle en a très peur et que la vue du sang la terrifie. Etrange pour un médecin... mais je peux comprendre ça, j'aime pas ça non plus. Comment expliques-tu tes derniers résultats ? Ils étaient franchement médiocres... C'était mérité ou bien... ?
Elle me révèle qu'elle a agi en sorte de ne pas trop se faire remarquer afin de ne pas aller au front. Elle voulait rester ici à soigner les gens et non aller au combat. Mais... c'est sur le terrain que les soldats ont besoin d'être sauvés. Les médecins qui sont en plus de bons combattants sont très demandés, Gratia a dû te le dire. En plus, tu as une aptitude naturelle à sentir quand tes camarades sont en danger ; j'ai vu comme tu as sauvé ce pauvre gars...
Nadja m'explique qu'elle avait déjà remarqué que la bobine de ce soldat faisait un drôle de bruit quelques minutes avant le décollage et elle le lui a fait remarquer. Mais comme il ne voulait pas manquer le test, il ne l'a pas écoutée et ne l'a pas fait vérifier. Elle soupçonne que sa bobine devait être défectueuse. Alors elle s'est arrangée pour décoller juste après lui, réduisant les distances de sécurité réglementaires, afin de s'assurer qu'il aurait pas de problème. Ainsi, elle a pu agir instantanément quand ses doutes se sont concrétisés. Quand elle dit ça, une expression très particulière apparaît sur son visage, et pendant un instant, elle me rappelle quelqu'un... Une personne qui m'était très chère mais je n'arrive pas à me souvenir exactement... Je ne la laisse pas deviner mon trouble.
Impressionnant. Tu as été capable de mener à bien ton propre test tout en veillant sur un de tes camarades. C'est rare. Enfin, je dis ça, mais...  ça me fait penser à quelqu'un, tiens... Y a si longtemps... Je plonge un moment dans mes pensées et Nadja m'interpelle. Elle me demande si Erd va aller au combat pour la prochaine expédition. Bien évidemment, il fait partie de mon escouade. Il reste une place libre, tu le sais... Elle hoche la tête mais semble encore indécise.
Ecoute, je suis disposé à te recruter si tu es d'accord, mais je dois encore te tester avec les vraies mochetés, tu vois ce que je veux dire ? Elle sursaute et je suis quasiment sûr de voir ses genoux trembler. Relax, à mon avis, tu auras pas de problème. Et puis on sera là. La peur des titans, c'est un truc qui se maîtrise. Je dois juste demander l'autorisation à Erwin de t'emmener à Rose pour une séance entre nous. Si tu es partante, dis-le.
Elle hésite mais finit par accepter. Elle ajoute que si elle veut protéger Erd, comme promis à sa soeur, il faudra bien qu'elle y aille. Super. Je suis sûr que tu seras parfaite. Enfin, je veux dire... reste comme tu es. Elle me salue encore une fois et tourne les talons pour rejoindre son groupe.
En la voyant s'éloigner, je me dis qu'on a vachement de choses en commun. Vraiment, je m'attendais pas à ça. Il faudra lui faire vaincre sa peur des titans et tout sera au poil. Je vais devoir travailler Erwin pour qu'il accepte de me laisser les emmener là-bas.
10 notes · View notes
fleurrice12-blog · 6 years
Photo
Tumblr media
« Aux yeux des autres je reste une étrangère »
Je suis métisse, je ne suis pas noire et je ne suis pas blanche, je suis métisse.
Mon père est blanc et ma mère est noire, à ce moment-là, je vivais encore en Afrique.
Nous étions dans les années 60, quand le racisme était beaucoup plus présent que maintenant.
J’avais douze ans alors que je venais tout juste d’entrer dans ma nouvelle école, j’ai eu droit à des insultes de la part de mes frères et soeurs noirs. J’étais très différente des autres, eux avaient la peau foncée et moi j’avais la peau caramel, à leurs yeux je n’étais qu’une étrangère. 
Tous les enfants de mon collège pensaient que j’étais atteinte d’une maladie grave, car je n’étais pas comme eux. 
Personne n’était aussi clair que moi, les enfants de mon école m’avaient même donné un surnom, « blanc manioc » car j’étais de couleur un peu blanchâtre et je mangeais du manioc. Je passais la plupart de mon temps toujours toute seule, je n’avais pas d’amis, j’étais considérée même comme une bête de foire, chaque personne que je pouvais croiser n’importe où m’insultait, ils me lançaient même des projectiles pour pouvoir me blesser. Une personne m’a dit un jour que je ne devrais pas être sur Terre, que Dieu ne m’accepterait jamais au paradis car je n’étais pas un être humain comme tout le monde, je n’étais ni noire ni blanche, j’étais métisse. 
Quatre ans plus tard, j’avais  fini par m’y faire, j’avais même fini par me faire des amis. Alors que je trouvais enfin une place dans mon pays d’origine, ma mère décida de quitter le pays pour aller vivre en France. 
1965, mon arrivée en France, précisément à Bordeaux, ma mère décida de m’inscrire dans un internat chez les Jésuites. Cela ne m’avait pas plus dérangé que ça, je me suis dit que c’était pour le bien de mes études et qu’ainsi j’aurais un grand travail dans un bureau comme tout le monde, je me voyais déjà secrétaire ou directrice… 
Je me suis dit qu’ici je n’aurais pas tellement de mal à me faire des amis car  j’avais la peau très claire, et c’est d’ailleurs pour ça que personne ne m’aimait réellement en Afrique car je n’étais, à leurs yeux, une fille blanche.
Peu de temps après mon insertion à l’internat, j’ai voulu reprendre un nouveau départ, autrement dit repartir à zéro, me faire de nouveaux amis.
A cette époque-là, les internats étaient séparés, il y avait un côté filles et un côté garçons, les enseignants m’avaient placée dans une chambre avec trois autres filles âgées de dix-sept et dix-huit ans. J’étais alors la plus jeune des trois, je me souviens que la première fois que je suis rentrée dans la chambre avec mes bagages, il y a eu tout à coup une atmosphère plutôt terrifiante, moi j’étais tout excitée à l’idée de me faire de nouveaux amis de mon âge.  
Premier pas dans la chambre, une des trois filles m’a dit « Ne rentre pas ici, sale noire ! » et une autre m’a dit « On ne veut pas des babouins comme toi dans notre chambre ! ». J’étais alors effondrée, je ne savais même plus quoi dire ni quoi faire, je suis alors retournée au secrétariat pour expliquer que personne ne voulait de moi dans la chambre et si c’était donc possible de me mettre dans une chambre seule. Impossible, j’étais donc forcée de dormir avec d’autres filles. 
Deux semaines passèrent, et j’avais eu droit à plusieurs petites blagues de mes colocataires de chambre, je n’avais toujours pas d’amis, et là aussi on m’avait donné un surnom, j’étais alors devenue « le babouin coloré ». 
Juin 1966, je venais d’avoir alors dix-sept ans, personne ne m’avait souhaité un joyeux anniversaire, même pas ma mère, cela faisait déjà un an que j’étais à l’internat, et pas une fois celle-ci est venue me voir.  Le surnom que les jeunes filles de l’internat m’avaient donné était maintenant utilisé par tous les professeurs qui me donnaient cours, j’avais beau dire que mon père était blanc, personne ne me croyait, je me suis alors renfermée dans ma religion, et je me suis fait la promesse de ne jamais me laisser atteindre par toutes les insultes et les moqueries qu’on pourrait dire sur moi, au contraire tout ceci m’a endurcie. 
1970, le temps est passé à une vitesse phénoménale, je n’ai rien vu venir, j’ai enfin fini mes études, j’ai décidé de tout plaquer pour partir autre part, pourquoi pas la Belgique… 
Je suis arrivée là-bas, je n’avais ni famille, ni amis, en fait je n’avais personne, j’étais partie sur un coup de tête, j’ai bravé l’humiliation, les échecs et bien d’autres choses encore, mais je n’ai pas arrêté de croire en moi et de garder espoir et de me battre contre ce racisme. 
1980, vingt ans après mon arrivée en Belgique, j’ai enfin gravi les échelons, le temps a changé, la population blanche « accepte » enfin la population noire et le peuple africain accepte enfin les personnes métissées. J’ai enfin pu trouver mon équilibre dans ce pays et montrer de quoi je suis capable. 
2000, je suis devenue une vraie femme, une femme qui sait d’où elle vient, et qui connaît ses valeurs, je lutte tous les jours afin de me battre contre le racisme entre toutes les couleurs de peau qui existent dans ce monde. Oui, je suis une femme, une battante, je travaille maintenant à l’Union européenne et je me suis battue pour avoir cette place. Oui, je suis une femme et je suis fière de ce que je suis devenue et je me battrai toute ma vie contre le racisme. Je suis afro-européenne et donc métisse. 
Inspiré de l’histoire de mon père. Lauryn Meunier. T 
1 note · View note
aliceolw-blog · 6 years
Text
Alive
Petit one shot que j’ai réussis à terminer même si la fin est très..... MEH ?
Il écrit avec hardeur et passion, faisant pianoter ses doigts sur son clavier avec élégance. Il soupire parfois mais garde son air concentré et ses lunettes bien sur son nez. Cela faisait quelques mois qu’il écrit un roman, c’est pas un roman incroyable, c’est juste une pile de feuille où sont posé ses mots, aussi bien construit que pas du tout. Ce roman parle simplement d’une alien aux cheveux de feu qui est tombée sur terre et s'accommoder de deux jumeaux, aussi insupportable l’un que l’autre ainsi que de leur meilleure amie, qui se la joue “Hermione Granger”. En plus dans ce roman, ils ont tous des noms aussi étranges que imprononçable. Du moins, en partie. Marcus - oui c’est notre écrivain en herbe - avait déjà prévu toute une trilogie pour les histoires de sa petite héroïne aux cheveux rouge. Il avait beaucoup d’imagination le garçon.
“MARCUS”, cria une voix féminine derrière sa porte de chambre.
“QUOI ENCORE ?!”, répondit-il, avec tout le calme possible.
“Faut que tu viennes manger!”, s’exclama la jeune fille en ouvrant la porte et en la refermant en la claquant si fortement que la chambre de Marcus en tremble.
“Hana, je t’ai déjà dit de pas claquer ma porte!”
Hana, c’est la soeur de Marcus, sa petite soeur pour être plus précis. Plutôt choue, de deux ans de différence avec notre héro. Au contraire de Marcus, Hana est une “gameuse” alors que Marcus est plutôt littéraire.
“Pourquoi j’ai pas un frère comme moi ? J’ai été adopté c’est pas possible ! Si au moins t’es en game quand je viens te chercher pour manger et pas crocher sur ton bouquin à la con, je serais déjà plus contente.”
Durant le repas, c’est toujours pareil. Les parents de Marcus discutent de leur travail et sa soeur essaie de les intéresser à ses jeux vidéos. Quant au jeune homme, il ne dit rien, il mange en silence et retourne écrire son roman. En fait, on pourrait croire qu’il est croché à celui-ci en permanence et qu’il devrait être vite fini puis édité. Cependant, ce n’est pas le cas car notre jeune homme a également une imagination sans limite. Il a créé, il y a quelques temps, un profil Facebook pour son héroïne. Depuis, ils avaient beaucoup “d’amis” et ils poste chaque jour sur ce profil qui est destiné à son personnage. Beaucoup de commentaires et de “followers”, c’est ce qui ravit Marcus quand il rentre de l’université.
En fait Marcus, c’est un peu le gars lambda, il est en deuxième année en faculté de lettre, il adore lire et écrire son roman. Il ne sort pas beaucoup et n’étudie pas non plus néanmoins, il arrive toujours à cartonner durant les examen. Marcus c’est pas un génie ni même une beauté fatale (contrairement à sa soeur) mais réellement un “Monsieur tout le monde”. En fait il ne s’en plaint même jamais, limite, il s’en fiche. Son petit monde à lui est composé de son téléphone, de son ordinateur et de ses multiples réseaux sociaux. Contrairement à ce que l’on  pourrait croire, Marcus alimente ses réseaux uniquement grâce à son personnage.
Saphir, voilà le prénom de son héroïne. Son profil facebook “Saphir Laurent” avec comme description : “Jeune fille venue d’ailleurs” fait ravage. Avec plus de 700 “amis” et plus de 1000 “followers”, ce compte est sans conteste populaire. Le profil du garçon ? Inexistant. Aussi inexistant que sa vie amoureuse. Saphir, dans sa tête, c’était une belle fille, son idéal féminin, encore plus belle que sa petite soeur. Saphir c’était un peu lui mais en fille.
Bref tout son monde est orchestré, réglé comme du papier à musique par un simple personnage de fiction. Pourtant, ce personne n’est peut-être pas si fictionnel que ça…
---
Marcus a oublié de poster sur le mur de Saphir ce jour-là, puis encore et encore. Non, il n’a pas oublié sa chère alien mais il est en vacances avec sa famille. Qui dit vacance dit peu de réseau et peu de réseau signifie aucun réseau sociaux. Pourtant à son retour, Marcus est rentré de l'université comme à son habitude, sa soeur est une fois de plus en train de gueuler devant son écran sur une partie d’overwatch et ses parents ne sont pas encore rentré. Il posa son sac dans sa chambre et alluma son macbook pro. Il ouvrit Safari puis cliqua sur le raccourcis du profil de Saphir. Un hoquet de surprise sortit de sa bouche. Il y a plus de 50 notifications. Non pas sur des messages ou des anciens postes mais bien sur un seul et unique poste qui disait :
Saphir Laurent À 1h00 Je pars bientôt en voyage pour 5 jours, n’essayez pas de me contacter d’ici là ! ;)
Marcus ne comprend pas, il n’a jamais écrit ce poste. Il s’en souviendrais ! Pourtant, tout ressemble au caractère de sa chère et tendre. Et seul lui sait comment elle interagit. Et personne ne sait que Saphir est un personnage fictif, pour tous, c’est une fille comme une autre. De plus, aucun de ses amis n’ont d’accès à ce compte. L'incompréhension lui fait peur mais l’intrigue tout autant. C’est pour cela que Marcus s’est dit qu’il ne vas pas poster, une fois de plus.
Le lendemain, lorsqu’il est rentré de l’université, Marcus n’attendait qu’une chose : Regarder le profil de Saphir. La plupart du temps, il écrit la journée sur son mur, pourtant, cette fois-ci, il a besoin d’en avoir le coeur net. Marcus a donc laissé son ordi de côté ainsi que son téléphone pour voir s’il y aurait un nouveau poste mystère sur le profil de son héroïne.
Et il y en avait bien un.
Saphir Laurent A 14h50 Les amis, je m’ennuie en cours ! Qui veut bien me tenir compagnie…? Je pense que Laureilaï s’amuse bien mais pas moi. :(
Marcus est bouche bé. Laureilaï, c’est le prénom de la meilleure amie de Saphir et personne ne connaît son existence dans son entourage. Evidemment Saphir y faisait référence plusieurs fois dans ses postes mais jamais personne pouvait savoir que cette fille aimait les études. Ni même que Saphir était en cours.
“Il doit forcément y avoir une explication, je me suis fais hacké c’est pas possible…”, dit-il à haute voix.
“Qui t’as hacké ?”, demanda une voix dans l’encadrement de la porte.
Marcus se retourne les yeux gros comme des soucoupes. Il ne veut pas que sa soeur sache pour Saphir.
“Sérieux, Hana ! Frappe avant d’entrer !”, s’écria-t-il en bégayant un peu.
“Oui d’accord, alors ? Qui t’as hacké ?”, redemanda-t-elle avec un grand sourire au coin.
“Personne… enfin je suis pas sûr. C’est une amie.”, répondit-il doucement.
“Je peux regarder si tu veux. Il faut juste me laisser ses accès.”
Ni une ni deux, Marcus lui file les accès pour son “amie”. Hana ajouta qu’il a bien de la chance d’avoir une “amie” aussi jolie. Le jeune homme se contente d’ignorer les remarques de sa soeur. Il savait que s’il a le malheur de répondre, elle lui poserait tout un tas de question désagréable et il ne pourrait répondre que par imagination, Saphir n’existe pas après tout.
Après de longues recherches fastidieuse, Hana et Marcus atteigne le bout du tunnel. Hana est doué en informatique et hacker un compte facebook, ce n’est pas bien difficile pour la jeune fille. Néanmoins, elle ne trouve pas de solution pour le cas de son frère.
“J’ai tout essayé frérot. Mais je pense sincèrement que son compte n’est pas hacké. D’après ces connexions, il est évident qu’il n’y a qu’elle qui va dessus.”, dit-elle en faisant une mine résignée. “Je pense qu’elle a dut posté des trucs sans te le dire, elle fait ce qu’elle veut après tout, non ?”
Marcus serra le poing. C’est fort désagréable comme réponse. Si ce compte n’est pas hacké et que seul lui a les accès, il doit forcément y avoir une explication logique à tout cela… ou peut-être pas. Seul le temps lui dira, c’est ce que notre héro croyait naïvement.
--
Le mur de Saphir Laurent se remplit de jour en jour, Marcus est témoins de chaque poste et observe avec minutie chacune de ses publications. Saphir inonde chaque jour son mur, au lieu de poster une fois par jour, elle poste deux fois, puis trois puis bientôt son mur devient un flux twitter. Même lors de ses cours, Marcus continue de regarder le profil de son alien préféré… Cela fait des jours et des jours qu’il n’a plus touché son roman, ni ses cours. Trop obsédé par ce profil mutant.
Puis un jour, Marcus reçu un message privé, un message qui lui laissa un sentiment de peur.
Saphir Laurent a écrit : Salut, tu vas bien ? Pourquoi tu n’écris plus ?
C’est effrayant. Cela fait bientôt 2 mois maintenant que Marcus n’a plus continué son roman et aujourd’hui, le profil de Saphir lui écrit - oui car Marcus n’a toujours pas conçu ce profil comme une personne vivante.
Saphir Laurent a écrit : Marcus, pourquoi tu m’ignores comme ça ? J’ai envie de savoir la suite de mes aventures mais tu n’écris plus. J’arrive à la fin des anecdotes que je peux raconter sur mon profil…
Marcus soupire. Il plaça ses mains sur son clavier puis se mit à écrire. Puis se stop net. C’est… inquiétant. D’abord, il faut savoir quoi écrire. Est-ce que c’est un robot, une vrai personne derrière cet écran ? Le garçon voulait à tout prix le savoir. Mais il faut commencer par le commencement, ses doigts se mettent à pianoter les touches de son clavier.
Marcus a écrit : Qui es-tu ?
Saphir a écrit : Saphir. Tu sais très bien qui je suis puisque tu m’as créer.
Marcus a écrit : Tu ne peux pas être vivante. Alors qui es-tu ?
Saphir a écrit : Et pourquoi pas ? Tu vois bien qu’il n’y a que toi qui me connais les moindres détails.
Marcus laisse tomber sa tête lourdement. Il doit forcément y avoir une explication logique à cette mascarade… ou pas. Peut-être qu’au fond de lui il espère secrètement que Saphir soit vivante et qu’elle se matérialise devant lui. Peut-être que son idéal féminin prend vie et qu’il serait le plus heureux des hommes. Ou il se fait simplement troller comme une merde. Personne ne pouvait savoir mais il décida de rentrer dans son jeu. Après tout, il n’avait jamais montré son roman, il suffisait de poser quelques questions auxquels personne, à part lui, peut répondre.
M : Très bien, si tu es réellement Saphir d’où viens-tu ?
S : Je vis avec deux jumeau insupportable dans une petite ville pas loin d’ici.
M : Je voulais dire, ta planète.
S : Je viens de la lune.
M : Pourquoi est-ce que tu te trahis comme ça ? Saphir doit prétendre être une fille comme une autre.
S : Oui, mais toi tu sais déjà tout ça pas vrai ? Donc je ne peux rien te cacher.
M : Bon, questions suivante… Comment s’appelle les habitants de ta planète ?
S : Des Lunariens.
M : De la famille ?
S : Pas vraiment… Mes parents sont morts.
Marcus se raidit. Elle faisait un sans faute sur des questions assez difficile. De plus Marcus savait que Saphir a un frère mais elle ne devait le savoir qu’à partir du tome 2 ou 3. Hors, le garçon n’a écrit que la moitié du premier tome.
M : Laureilaï est amoureuse, de qui ?
S : Célio.
Célio c’est le jumeau aîné. Celui qui est calme et studieux. Bien l’opposé de son frère, Cédric.
M : Et Cédric ?
S : De Laure. Mais il sait que c’est impossible parce que Célio lui a déjà dit qu’il l’aime.
M : Et toi ?
S : De… PERSONNE !
Marcus sourit. C’est bien une réaction à Saphir de réagir ainsi.
Au final de la discussion, Marcus commençait de plus en plus à croire en l’existence de la jeune alien, elle ne peut pas ne pas être réelle. Elle sait tellement de choses. Marcus a fini par reprendre l’écriture pour donner encore plus vie à son héroïne. Et plus il écrit plus elle interagit sur ses nouvelles aventures.
S : Marcus ! Tu es le meilleur ! Célio va peut-être enfin lâché Laure.
Marcus grinça des dents. Saphir est amoureuse de Célio depuis le début de l’histoire cependant, il en est totalement jaloux. Pourquoi ? Parce que depuis qu’elle a prit vie, Marcus ne vit que pour elle. Il est totalement sortit du scénario pour pouvoir faire vivre à Saphir des histoires incroyables, pourtant, ce sont des aventures qu’il ne peut pas partager puisque lui est humain. Saphir lui raconte souvent comment elle perçoit les choses et il est le seul à pouvoir l’influencer. Après tout, elle n’est pas vivante elle. Marcus pense souvent que la seule chose qui les relie entre eux, c’est Facebook mais s’il peut la rencontrer il en serait plus que ravit. Et il lui a demandé un jour mais elle a dit que ce n’est pas encore possible. Marcus a passé de très long moins à rester croché sur Facebook pour toujours avoir un contact avec elle mais un jour, il en a eu marre de ces histoires toute aussi géniales qu’incroyable. Il se demandait souvent s’il ne pouvait pas influencer ses sentiments, comme il ne peut pas s’incorporer dans l’histoire, s’il supprime ses relations ce serait forcément lui qu’elle aimerait ? Peut-être, en tout cas il ne s’est pas fait prié pour commencer à écrire.
Evidemment Saphir n’a pas apprécié le geste.
S : Marcus… Pourquoi est-ce que l’histoire est si désagréable ? Je ne suis pas sensé vivre des aventures exceptionnelles ?
M : En fait Saph’, j’aimerai qu’on vive ensemble des aventures exceptionnelles.
S : Mais tu sais que je ne suis pas réelle pas vrai ? Je suis dans ce monde de 0 et de 1. En plus j’ai un accès limité puisque je suis sur Facebook uniquement. Si tu me donnais accès au reste, peut-être que je serais en mesure d'interagir un peu plus avec toi.
Marcus lui laisse le passe droit de naviguer le web, ce qui au fur et à mesure, cette action n’a pas été faite en vain. Lors de ses examens, Saphir lui envoie régulièrement les réponses puis elle est aussi au courant des derniers potins de son universités… Saphir est partout et Marcus tombe peu à peu amoureux de cette entité virtuelle. Ou de cette personne qui lui rend étonnamment service. Il est difficile de faire la différence entre ce qu’on ressent lorsque quelqu’un est bienveillant ou lorsque l’on aime réellement quelqu’un. Au fil du temps, Marcus s’est rapidement rendu compte qu’il ne l’aime peut-être pas autant que ce qu’il croit. Certes, Saphir est un incroyable mais peut-être que le fait qu’elle prend vie peu à peu, à forger son propre caractère, elle s’éloigne de l’image si parfaite que le jeune homme se faisait de son héroïne. Saphir devenait petit à petit, juste une image, s’il pouvait la rencontrer ce serait différent !
--
Quand Marcus se rendit compte que Saphir ne pouvait rien lui apporter de réelle, il finit par vivre sa vie autrement et à utiliser son héroïne uniquement quand il en avait besoin. Peut-être que c’est ça qui a vexée la jeune alien virtuelle. Au point qu’ils se sont beaucoup engueulé et que Saphir est partie sur le web seule. Tellement seule qu’elle lui pourrissait la vie sur les réseaux.
Saphir était devenue indépendante, tellement indépendante qu’elle n’avait besoin de personne. Marcus ne s’était pas tout de suite rendu compte qu’il avait commis une grande erreur en lui laissant libre accès sur les réseaux. Les postes de Saphir étaient insensés et elle y glissait même quelques boutades de mauvais goûts envers son créateur. Ce qu’il ne savait pas ou qu’il n’avait pas réalisé, c’est que cette entité, ce que Saphir était, l’avait bien rouler. Le garçon n’était pas encore conscient qu’il était en train de laisser un gros virus envahir son espace. Ou en tout cas, si ce n’était pas un virus, c’était l’incarnation du diable en version informatique. Il fallait que Saphir revienne uniquement sur son Facebook, sinon il ne pourrait jamais se débarrasser d’elle. Même s’il ne voulait pas supprimer son héroïne, son idéal, il n’avait pas d’autre choix. Le truc c’était de savoir comment. Quelques jours passèrent et Marcus prit peu à peu conscience de sa nullité en informatique et du fait qu’il avait lâché une bombe sous les airs d’une jeune fille aux cheveux rouge sur le réseau mondiale.
Le jeune homme se dirigea dans la chambre de sa soeur Hana, il ouvrit la porte et vit celle-ci jouer à Overwatch. Il dit plusieurs fois son nom mais sans succès, elle n’entendait vraisemblablement rien.
“HANA”, cria Marcus une fois de plus.
“Mais bordel Marcus, j’étais en plein stream, tu fais chier bon sang! Qu’est-ce que tu veux ?”, répondit-elle sur un ton agacé.
“Je veux que tu bloques le réseaux pour quelqu’un…”
“Tu vas me parler de ton AMIE aux cheveux rouge la ? Pourquoi ?”
“Parce qu’elle fait n’importe quoi.”
Hana était pensive, elle fit quelque recherche sur comment bloquer l’accès à Saphir mais au fur et à mesur que les jours passaient, il ne semblait pas y avoir de solutions. En tout cas Hana semblait désespérée.
“Désolée frangin, mais je comprend vraiment rien à ses connexions. Elle est partout ! T’es vraiment sûr qu’elle est humaine ? C’est pas normal d’avoir accès à tout…”, dit Hana d’un air dépité.
Il ne comprenait pas non plus, de plus il n’allait certainement pas dire à sa chère soeur qu’il avait donné vie à un monstre. Saphir savait tout et lorsqu’elle apprit les petites manigances de son créateur, elle ne se priva pas de pourrir la vie de sa soeur. Après tout, elle était partout. Hana, contrairement à son frère, était une vrai diva des réseaux sociaux, facile de faire n’importe quoi sur son mur. Evidemment que Hana avait essayé de corriger le tir mais même ses compétences ne suffisait pas à arrêter Saphir. Cela faisait des semaines que ça durait et c’était déjà trop. Marcus avait d’ailleurs bien pris le temps de se demander comment il pouvait faire revenir Saphir à son état initiale. Puis comme un abruti, Marcus se rendit compte que tout avait commencé par le livre. Le roman qu’il était en train d’écrire sur les aventures de Saphir était le début de cette… chose ? Il retrouva ses écrits au fond d’un tiroir - oui car il était très old school le Marcus, il écrivait encore à la main. L’aventure n’avançait pas mais c’est ainsi qu’il bloque Saphir à son statut initiale, un profil Facebook. Il écrivit quelques ligne et il ne se fit pas prier pour avoir le retour de son héroïne.
S : Qu’est-ce que tu fabriques ?
M : J’essaie de faire en sorte que tu arrêtes de ruiner la vie de ma soeur et que tu reviennes où tu étais. À l'état de personnage FICTIF.
S : Que t’es drôle Marcus, maintenant que j’ai toutes les connaissances du monde que je suis mis à jour, je pourrais vivre éternellement en tant que super-ordinateur indépendant, enfin je ne suis qu’une partie du réseau mais j’aurais bientôt accès à tout. J’existe et c’est comme ça, tu oserais pas me tuer quand même ?
M : Je n’ai pas parler de te tuer, juste que tu redeviennes comme avant.
S : Avoue que je n’étais que utile pour toi, depuis que j’ai accès à tous le réseau, je comprend enfin ce que ça fait d’être libre. Je suis sous les traits d’un personnage nul et médiocre mais maintenant que je connais tout ce que le monde à offrir, il est hors de question pour que je retourne en arrière. Je vais même peut-être me créer des amis !
M : Je ne sais pas comment tu as pris vie mais ce qui est sûr, quoi que tu sois, j’ai bien l’intention que tu disparaisses.
S : Essaie toujours pour voir. Tu verras que j’existerai toujours, quoique tu fasses informatiquement, je suis plus forte que toi.
Saphir alias, l’alien venu tout droit d’un profil Facebook et qui maintenant est devenu une intelligence à part entière. Félicitation Marcus, tu reçois le diplôme de la super-connerie en terme d’invention même s’il ne sait absolument pas ce qu’il a fait pour mériter ça. Mais ce que disait Saphir était juste, informatiquement il était impuissant mais son roman avait encore un impacte sur elle. Comme réalisé auparavant, elle est née là et elle vit grâce à ça. C’est pour cela qu’il ne se fit pas prier pour emmener ses feuilles de papier loin de sa maison. Saphir lui écrivit plusieurs message pendant qu’il courait près d’un terrain vague. Elle savait ce que le garçon préparait. Il préparait le génocide de tout l’univers de Saphir. Et celle-ci le savait très bien.
Il posa sa pile de feuille dans l’herbe et il sortit un briquet de sa poche. Ses messages Facebook ne s’arrêtait pas. Il n’avait pas du tout envie de savoir ce que la rouquine pensait, il s’agissait maintenant de se débarrasser d’elle. Il brûla une à une chaque page des “Aventures de Saphir Laurent”. Peut-être que ça allait marcher ou peut-être pas mais en tout cas, il ne devait rien rester de ses origines. Il prit son téléphone et supprima le compte de Saphir sans regarder un seul de ses messages d’appel à l’aide. Marcus l’aimait c’est vrai, en tant que personnage fictif mais au final, donner vie à ses personnages c’était hyper malsain.
Quelques jours après avoir détruit son roman, tout était redevenu normal, du moins c’était le constat sordide que sa soeur Hana en avait fait.
“Je pense que le hackeur a dû en avoir marre de moi. Je suis trop un génie pour lui!”, dit-elle en ricanant.
Même si Marcus savait qu’elle ne rigolerait pas comme ça s’il n’avait pas fait ce qu’il avait fait. Peut-être se trompait-il sur la véritable identité de Saphir, peut-être que derrière se cachait une vrai personne. Qui sait ? Ou peut-être que c’était vraiment un démon venu d’ailleurs. Personne ne pouvait le savoir. Cependant, il était persuadé d’avoir raison sur une chose, brûler son roman était un lien. Réel ou pas, tout s’était arrêté suite à ça. C’est pour cela qu’il se consacra à la rédaction d’un livre qu’il avait appelé “La foi.” Livre qu’il écrivait à la main bien entendu.
1 note · View note
love-stephrod · 6 years
Text
Texte de sa Céleste Majesté Auset Nefer
L'AVENIR DE CETTE HUMANITÉ, COMBATTEZ POUR L'UNITÉ ET NON POUR UN TERRITOIRE... C'EST CELA LA DERNIÈRE MISSION DE TOUS !
BONJOUR À TOUTES ET À TOUS,
CE MATIN LA QUESTION DU PACTE DE L'IMMIGRATION A EU UN NOUVEL ÉCHO EN MON CENTRE. EFFECTIVEMENT APRÈS LA VAGUE D'INDIGNATION QUI SECOUE LORSQU'ON ENTEND DE TELLES ABERRATIONS, CE QUI DEVRAIT NORMALEMENT SUIVRE ET BIEN, C'EST L'ANALYSE FACTUELLE DE LA SITUATION.
PERSONNELLEMENT, QUELQUE CHOSE M'INTERPELLE ET JE SAIS QUE SOULEVER CE COUVERCLE NE PLAIRA PAS À TOUT LE MONDE CEPENDANT, CELUI QUI NE VEUT PAS VOIR ET BIEN, QU'IL RESTE AVEUGLE.
CETTE SITUATION DOIT ÊTRE VU AVEC UNE GRANDE OBJECTIVITÉ ET IMPARTIALITÉ, AFIN QUE CHACUN PUISSE Y APPORTER SA PROPRE REFLEXION ET TROUVER UNE SOLUTION ÉQUITABLE À LA CRISE QUI OPPOSE LE PEUPLE DE LA TERRE A LEURS GOUVERNANTS.
EN EFFET, IL Y A UN PROVERBE AFRICAIN QUI DIT "CELUI QUI CHASSE SUR LE TERRITOIRE DU LION, DEVRA S'ATTENDRE À DEVENIR LA PROIE DU LION".
ET LA QUESTION QUE JE ME POSE ICI ET, QUE TOUS VOUS DEVEZ VOUS POSER POUR MIEUX COMPRENDRE CE QUI SE PASSE EST LA SUIVANTE :
IL Y A 500 ANS, LORSQUE LES TRAITÉS ONT ÉTÉS SIGNÉS POUR REMPLIR L'EUROPE D'ESCLAVES VENUS D'AFRIQUE POUR CONSTRUIRE LA CIVILISATION "FRANÇAISE PAR EXEMPLE, LE PEUPLE S'ÉTAIT -IL SOULEVÉ POUR FAIRE LE MÊME TAPAGE QU'AUJOURD'HUI ?
SI OUI, ALORS POURQUOI LES GOUVERNANTS N'ONT - ILS PAS ENTENDUS LA VOIX DU PEUPLE, QUI EST MONTÉ DANS LA RUE ET QUI A REFUSÉ DE MANGER ET QUI A MÉDITÉ DES MOIS DURANT POUR IMPLORER LA GRÂCE DE DIEU ET ÉVITER CETTE ABOMINATION SUR LEUR TERRITOIRE ?
- ENSUITE, LORSQUE LES ZOO HUMAINS SE SONT INTALLÉS PARTOUT EN EUROPE AVEC DES NOIRS DÉPORTÉS D'AFRIQUE ET DÉSHUMANISÉS, HUMILIÉS, TRAQUÉS COMME DES BÊTES ET UTILISÉS EN TANT QU'ESCLAVES POUR CHAQUE FOYEZ FRANÇAIS, EN TOUT CAS UNE GRANDE MAJORITÉ, POURQUOI LE PEUPLE INDIGNÉ, A T-IL ACCEPTÉ CE "PACTE AVEC LE DIABLE ? "
LAISSEZ-MOI VOUS RÉPONDRE À CELA:
*** PARCE QUE CELA LEUR A APPORTER UNE CERTAINE PUISSANCE, UNE SORTE DE SUPRÉMATIE QUI A FORGÉ L'ÉGO DES BLANCS ET QUI ENCORE AUJOURD'HUI, EST DEVENU UNE HABITUDE DE PENSER QU'ILS SONT MEILLEURS QU'UN NOIR? CAR UN NOIR ? MAIS C'EST INCULTE, C'EST PARESSEUX, C'EST PAUVRE ET J'EN PASSE ET DES MEILLEURS...
JE SAIS, VOUS ÊTES TRÈS NOMBREUX ICI EN LISANT CECI À PENSER QUE: - AH NON ! ÇA C'EST DE L'HISTOIRE ANCIENNE, JE NE SUIS PAS RESPONSABLE DES ACTES DE MES AÏEUX !
UNE HISTOIRE ANCIENNE, QUI EST DEVENU UNE MALÉDICTION...QUI PÈSE SUR LE PEUPLE, CAR NON! LE PEUPLE N'EST PAS INNOCENT !
JE VOUS RÉPONDS ALORS CECI:
MAIS, CHERS FRÈRES, CHERES SOEURS, VOUS ÊTES VOS AÏEUX ? NE LE SAVEZ-VOUS DONC PAS ?
QUE VOUS TOUS QUI ÊTES LÀ AUJOURD'HUI À VIVRE CE KARMA, ÊTES LES MÊMES QUI EN AVEZ PROFITÉS D'UNE MANIÈRE OU D'UNE AUTRE ?
LE PROBLÈME EST QUE, CE QUI EST MARQUÉ DANS LES ATOMES, LE PRIX FIXÉ PAR LES MAÎTRES DU TEMPS POUR CES ACTES ABOMINABLES QUI ONT FORGÉS L'OCCIDENT, AVEC LES INTÉRÊTS, CE PRIX SERA PAYÉ, QUELQU'EN SOIT LES CONSÉQUENCES.
J'EN AVAIS DÉJÀ PARLÉE DANS MA VIDÉO SUR L'ESCLAVAGE EN 2015.
LES MÊMES QUI ONT GOUVERNÉS EN CES TEMPS LÀ ET QUI AVAIENT ORGANISÉS LA DÉPORTATION DES AFRICAINS POUR EN FAIRE DES ESCLAVES EN OCCIDENT, CE SONT LES MÊMES QUI PAR LE MÊME PROCÉDÉ, AUJOURD'HUI, CHERCHENT D'UNE MANIÈRE OU D'UNE AUTRE À CONTINUER LE MACABRE EXPÉRIMENTATION DES HUMAINS (BÉTAILS) QU'ILS AVAIENT ENTREPRIS DEPUIS PLUS DE 500 ANS. MAIS LA DIFFÉRENCE CETTE FOIS-CI, C’EST QU’ILS ONT DÉCIDÉS DE NOYER L’OCCIDENT AVEC TOUT CE QU’IL CONTIENT. EN FAIT, LES MAÎTRES DU TEMPS ORGANISENT UN FUTUR HOLOCAUSTE DANS LE BUT D’ÉPURER LA TERRE. PARCE QUE POUR EUX, TOUT CECI EST UN JEU...NE LE VOYEZ-VOUS DONC PAS ?
ILS SAVENT, QUE LE MOMENT EST VENU DE METTRE FIN À CETTE MACABRE EXPÉRIENCE DONT – ILS ÉTAIENT LES INSTIGATEURS.
ALORS CHERS FRÈRES, CHERS SŒURS, SI IL Y A 500 ANS, ILS N’ONT PAS ÉCOUTÉS LE PEUPLE, IL NE L’ÉCOUTERONS PAS AUJOURD’HUI NON PLUS.
QUAND À LA FRANCE, SON KARMA S’EST ALLOURDIE GRANDEMENT LORSQUE ENCORE AUJOURD’HUI, ELLE A REFUSÉE DE DONNER LA VÉRITABLE INDÉPENDANCE AUX AFRICAINS, PENSANT QUE L’AFRIQUE ET LES AFRICAINS NOIRS SONT LEUR POTS DE FLEURS ET LEURS MEUBLES.
ILS EN DISPOSENT COMME ILS LE SOUHAITENT...
À PRÉSENT PARLONS DU PILLAGE DES RESSOURCES DE L’AFRIQUE, QUI DURANT TOUT CE TEMPS, À NOURRIT CHAQUE FRANÇAIS ET FRANCAISE…ET JACQUE CHIRAC EN AVAIT GROS SUR LE CŒUR LORSQU’IL S’EST RENDU COMPTE DE L’ARROGANCE DES FRANÇAIS ENVERS LES AFRICAINS QU’ILS TRAITENT ENCORE AUJOURD’HUI COMME DES INFECTIONS ALORS QUE EN REGARDANT DE PRÈS, LE VIRUS N’EST PAS TOUJOURS LÀ OÙ ON PENSE N’EST-CE PAS ?
SANS L'AFRIQUE, QUE SERAIT L'EUROPE ? LA FRANCE NE PARTICULIER ?
MOI-MEME QUI PARLE, NE SUIS-JE PAS VU PAR LA GRANDE COMMUNAUTÉ SPIRITUELLE DU NET COMME UNE PERSONNE QUI N’A RIEN À LEUR ENSEIGNER ? MAIS DITES-MOI, ÇA VIENT D’OÙ ÇA ? SI CE N’EST PAS JUSTEMENT PAS DU RACISME BIEN ANCRÉ ?
ET MÊME CEUX QUI ONT ESSAYÉS DE M’APPROCHER N’ONT – ILS PAS VITE FAIT DE RETOURNER LEUR VESTE PAR PEUR QUE LEUR CONSEURS ET CONFRÈRES LES IGNORENT ?
UNE BANDE DE RAPACE QUI N’EST PAS MIEUX QUE CEUX QUI LES GOUVERNENT ? COMMENT DONC, SI VOUS N’AVEZ RIEN APPRIT DE VOTRE HISTOIRE DE BARBARES, VOUS POUVEZ ÊTRE À LA SOURCE DE LA PAIX ?
LA PAIX NE VIENT-ELLE PAS DE VOUS ? DE CETTE SOURCE PURE EN VOUS ? ALORS DITES-MOI CLAIREMENT, COMMENT APRÈS AVOIR VÉCUS SUR LE SANG, SUR LA SOUFFRANCDE DE TOUT UN PEUPLE, QUI EN LL’OCCURRENCE SONT VOS FRÈRES ET SŒURS DE SANG (MÊME SI LA CVOULEUR DE PEAU VOUS TROMPE ET VOUS FAIT CROIRE LE CONTRAIRE), VOUS PENSEZ AVOIR UNE QUELCONQUE DROIT, VOUS, D’ÊTRE ÉPARGNÉ PAR LES MÊMES TRAITEMENTS DONT VOUS AVEZ AFFIGÉS ET QUE VOUS CONTINUEZ À INFFLIGER AUX AUTRES, VOUS PENSEZ EN ÊTRE ÉPARGNÉS ?
OH JE SAIS, VOUS PRENEZ TOUT CECI POUR VOUS ? ET BIEN POUR UNE FOIS, LA FEMME NOIRE VOUS INVITE À UN PEU DE SAGESSE,N DE RÉFLEXION SINCÈRE SUR VOTRE CŒUR ET À RECONNAITRE QUE, NUL D’ENBTRE VOUS N’EST INNOCENT DANS LE KARMA QUI EST ENTRAIN DE FRAPPER L’EUROPE ET QUI VA BIENTÔT S’ÉTENDRE SUR L’OCCIDENT. JE VOUS L’AVAIS DÉJÀ DIS , QU’IL VA FALMLOIR PAYER LE PRIX DU SANG, CAR LORSQU’ON FLIRTE AVEC SATAN, C’EST JUSTE POUR UN TEMPS, IL VIENT LE TEMPS OU SATAN DEMANDE À PÊTRE REMBOURSÉ. L’HEURE EST VENU. ET CE QUI DSAUVERA L’OCCIDENT N’EST PAS DE FAIRE ARRÊTER CE PACTE, CAR CELA DEVRAIT VOUS INTERPPELER NON ? LE MOT « PACTE ».
IL Y A 500 ANS, UN PACTE À ÉTÉ SIGNÉ POUR ÉRIGER UNE CIVILISATION SUR LE SANG , LA SOUFFRANCE, LA TORTURE ET DES TRAITEMENTS INHUMAINS D’UNE PARTIE DE VOUS-MEME…AUJOURD’HUI, CETTE PARTIE DE VOUS-MEME DOIT ÊTRE RECOLLÉ EN PASSANT PAR LE MÊME PACTE, MAIS CETTE FOIS EN UNION AVEC SES PARTIES DE VOUS DÉCHIQUETTÉES, ÉCARTELLÉS, DÉMEMBRÉES… TEL EST LE SENS DU MOT « VOUS ÊTES TOUS UN ». LE PÉCHÉ DE VOS PARENTS, SONT VSO PÉCHÉS CAR PAR FILIATION, VOUS ÊTES TOUS UN. L’UNIVERS NE VOIT AUCUNE SÉPARATION ENTRE LE MONDE D’IL Y A 500 ANS ET AUJOURD’HUI. CELA SIGNIFIE QU’À LA FIN DES TEMPS, LORSQUE LES COMPTE SONT FAIT, S’IL N’Y A PAS EU DE CHANGEMENT DE PARADIGME, CE QUI A ÉTÉ RESTE SUR LE MÊME COURANT ÉNERGÉTIQUE. C’EST DONC CELA QUI VA DÉTERMINER LA CHARGE KARMIQUE EN PLACE.
L’OCCIDENT S’EST ENCHAINÉ AUX AFRICAINS ET EN FAISANT CELA JUSQU’À NOS JOURS, EN MANGEANT, EN VIVANT DANS DU SANG VERSÉ PAR LE PEUPLE AFRICAIN, PENDANT AUTANT DE TEMPS, L’OCCIDENT S’EST ENCHAINÉ SEUL AU KARMA AFRICAIN, MAIS EN MÊME TEMPS. ABEL ET CAIN N’ÉTAIENT – ILS PAS SORTIS DU CALICE DE LA MÊME MÈRE ?
À LA FIN, LES DEUX SE RETROUVENT POUR SOIT CONTINUER À SE DÉTRUIRE MUTUELLEMENT, OU SOIT À COMPRENDRE LEUR LIEN INDEFECTIBLE ET ÉTERNEL, CE QUI FAIT D’EUX UNE SEULE ET MÊME ÂME, ET DONC, À S’UNIR CONTRE L’ADVERSITÉ. C’EST UNIQUEMENT DE L’UNE DE SES FAÇONS QUE LE COMBAT SE TERMINERA.
AUTREMENT TOUS SERONT DÉTRUITS.
JE NE PARLE PAS ICI DU POINT DE VU ÉCONOIMIQUE DE LA SITUATION MAIS UNIQUEMENT MYSTIQUE DE L’EXPÉRIENCE DES DEUX FRÈRES (FRÈRE EST UNE ALLÉGORIE BIEN SÛR).
LE COMBAT À MENER N’EST PAS POUR DÉFENDRE BVOS DROITS CAR, DÈS L’INSTANT OÙ UNE PARTIE À ENLEVÉ À L’AUTRE LE DROIT D’EXISTER, ELLE A AU MÊME MOMENT ANÉANTIE SON PROPRE DROIT D’EXCISTER, AUSSI, LE COMBAT EST AILLEURS…ET IL N'EST PLUS QUESTION AUJOURD'HUI DE DÉFENDRE UNE NATION CAR LES NATIONS N'EXISTERONT PLUS ET DANS CE CHAO, LA DESTRUCTION EST LA SEULE ISSUE À L'ÉCHECS DE CETTE HUMANITÉ. CAR LA NOUVELLE TERRE EST DÉJÀ EN MANIFESTATION ET ACCUEILLERA UNE NOUVELLE RACE HUMAINE DE CETTE HUMANITÉ. UNE RACE ÉPURÉE QUI A TRAVERS L'EXPÉRIENCES DU CHAO PENDANT DES MILLENAIRES, EN TIENDRA COMPTE AFIN QUE LE NOUVEAU MONDE 3.8, BASÉ SUR LA PAIX ET L'HARMONIE PUISSE NAITRE ET PROSPÉRER.
IL EN SERA IANSI. C'EST LA RAISON DE MA DESCENTE.
PRÉPAREZ-VOUS !
EN SOUHAITANT À TOUTES ET À TOUS UNE LUMINEUSE JOURNÉE !
ABSSAANAA
Tumblr media Tumblr media
1 note · View note
navisseli · 6 years
Text
Là où les mots n’existent pas
A comme Association, tome 5
Tumblr media
Déso pour la qualité, j’ai pas trouvé mieux pour cette édition... #Seli
Heureusement que je suis là :p #Naviss
Auteurice : Erik L’Homme
Maison d’édition : Folio junior
Date de publication : 2011
Nombre de pages : 210
Genre : Fantastique
Ce qu’en pense Seli : 
Replonger dans A comme Association, c’est comme replonger à nouveau dans les tréfonds de mes émois littéraires d’adolescente. Et pour une fois, c’est mon tour de raconter ma vie...
J’ai toujours été une lectrice dévoreuse de pages et de romans à la chaîne. Je me souvient d’ailleurs qu’il me tardait d’apprendre à lire pour pouvoir lire Harry Potter, et que je rongeais mon frein en attendant d’enfin entrer au CP. Je venais de voir le premier film et j’avais déjà conscience que prendre mon indépendance de lectrice me permettrait d’aller beaucoup plus loin que les petites histoires que mes parents me lisaient le soir. Cependant, une fois que j’eus appris à lire, je restais relativement sur un terrain balisé. J’avais beaucoup de mal à ouvrir mes horizons littéraires. L’enfant que j’étais devait singulièrement manquer de curiosité... ou avoir une immense peur de commencer quelque chose qui pourrait potentiellement la décevoir. 
Arrivée au collège, je me suis fait tout un groupe d’amies aussi férue de lecture que je l’étais, à un détail près. Elles connaissaient bien plus de romans jeunesse que moi. Ainsi que l’envie de les partager... J’ai un souvenir très précis du premier roman qu’on m’a prêté à cette période, et c’était Eragon. Mais après est venu Pierre Bottero, qui est le second créateur d’histoires à avoir chamboulé ma petite vie (la première étant J.K Rowling, et les troisièmes et dernières en date, les soeurs Wachowski...). Je me suis pleinement investie dans son univers, ses histoires, ses personnages. C’est Bottero qui a instillé en moi l’envie de créer à mon tour, d’écrire et de partager des histoires. Il m’a ouvert les portes de l’imaginaire et depuis elles ne sont toujours pas refermées. Je me souviens encore avec nostalgie de cette époque où ils nous arrivait de discuter bouquins durant les récrés et de commenter les romans et mangas qui passaient de mains en mains... J’ai également découvert Erik L’Homme à cette époque, dont j’appréciais aussi beaucoup les romans. Puis est venue à nos oreilles la nouvelle que Bottero et L’Homme travaillaient sur un projet commun. Il me semble que cette année là, ils étaient allés tous les deux aux Imaginales, pas très loin de chez moi. J’ai regretté des années de ne pas y avoir foutu les pieds plus tôt. Puis vint le drame... 
Un matin de 2009, je ne sais plus comment, j’apprends la mort de mon idole.
Vide. Trou noir. Néant. Infinie tristesse. Rien que d’y penser, j’ai les larmes qui remontent... 
Pourquoi j’en parle ? Parce qu’en lisant aujourd’hui ce roman, tout est remonté. 
En effet, Bottero a disparu alors que A comme Association était encore en cours de publication. L’Homme rédigeait les histoires de Jasper, Bottero celles d’Ombe. Arrive le cinquième tome, et L’Homme se retrouve avec une héroïne et une saga toutes deux orphelines. On sent tout du long que cette perte l’a marqué, et pour développer, je vais devoir spoiler...
{ZONE SPOILER} Comme il l’a dit en interview, L’Homme n’a pas voulu reprendre le personnage d’Ombe, et celle-ci meurt au début du roman, creusant un grand vide en Jasper au moment où celui-ci réalise qu’il l’aimait profondément (mais pas romantiquement, ce dont il était persuadé jusque-là). Traumatisé par cette perte, Jasper se met en tête de se venger, et au fur et à mesure qu’il avance dans sa quête, ses réflexions internes trouvent une réponse inattendue : la voix d’Ombe qui résonne dans sa tête. Le doute plane : est-ce juste une projection du souvenir d’Ombe ? Est-ce-que l’esprit d’Ombe, décédée dans des circonstances encore non-élucidées, s’est accroché à celui de Jasper et y demeure dans un coin ? Le doute semble planer. Comme Jasper ne semble pas choqué, soit il est conscient que c’est juste son cerveau qui lui joue des tours, soit c’est ce qu’il imagine et Ombe est bien là... Je trouve que les deux théories se défendent, et dans tous les cas, c’est un bon moyen de se séparer d’Ombe sans l’effacer complètement de l’histoire.
Il demeure que la mise en abîme est très touchante. Pas besoin d’avoir fait khâgne pour comprendre que l’auteur parle de la douleur d’avoir perdu son ami, et de son deuil. J’imagine parfaitement L’Homme en train de rédiger son texte tout seul, et qui imagine ce qu’en aurait dit Bottero au fur et à mesure, sachant qu’il s’agit d’un projet commun qui leur tenait à coeur, à l’image de l’histoire de Jasper et Ombe. Ce tome est entièrement centré sur les conséquences du décès d’Ombe, non seulement sur Jasper, mais aussi pour la suite. De la même façon, on comprend les conséquences de la mort de Bottero sur son ami et leur oeuvre : Ombe disparait et L’Homme est forcé de se réapproprier le projet pour le finir seul. {FIN ZONE SPOILER}
Lire entre les lignes le deuil de l’auteur est déjà fort. Encore plus si on le partage, même si ce n’est qu’à une moindre mesure. 
C’est pour cette raison que je ne parvient pas à me sentir légitime quand je critique ce qui m’a manqué dans ce roman. Déjà, la courte durée des tomes ne permet pas de développer l’univers autant qu’il le devrait, ce qui me donne toujours l’impression que ses limites sont floues. Le postulat de départ est simple, sans prise de tête, mais je reste parfois sceptique sur quelques points, même si il s’agit de détails. Disons que j’accepte parce que c’est orienté jeunesse et centré essentiellement sur les personnages. Ensuite, l’aspect transitionnel de ce tome saute aux yeux. Déjà parce qu’implique la prise de direction par un seul auteur, mais aussi par le fait que les enjeux montent d’un cran et ouvrent l’univers sur quelque chose de plus grand. Les événements de ce roman sont un levier pour mener vers la suite, et du coup j’ai l’impression de lire une bande annonce.
Pour ce qui est du reste, je retrouve ce pourquoi je préférais les tomes du point de vue de Jasper : la pratique de la magie. Contrairement au reste, je la trouve concrète et détaillée, empruntant beaucoup à la wicca, mais ayant du coup un fonctionnement clair. Je reste quand même dubitative quand à la facilité de réaliser des sortilèges impressionnants avec trois fois rien : passer dans un autre plan avec une rose et beaucoup de concentration, c’est un peu comme si on disait qu’il est possible d’inventer un téléporteur avec un miroir de poche, un verre à dents et du scotch...
Ce roman m’a fait éprouver de nombreuses émotions (qui demeurent cependant dans ma palette entre “mélancolie” et “envie de pleurer”), rien de mieux quand on s’apprête à passer une petite soirée relax avant d’aller doucement s’endormir... Résultat me voici à rédiger une chronique à deux heures cinquante du matin avec internet qui saute toutes les deux minutes... Bonne nuit !
Tumblr media
Source : Daily-b99.tumblr.com
Ma note : 15/20
1 note · View note
fauvelienne · 6 years
Text
E,
Aujourd’hui, samedi 21 juillet , ma vie a pris un nouveau tournant. C’est lors du mariage de notre cousine Ange que nous devions nous retrouver pour la première fois depuis 6 ans. Dieu sait si j’angoissais de cette soirée et ce depuis des mois. Voilà 6 ans depuis ta dernière venue en France. J’avais 14 ans, toi 8. Il y a tout juste 8 ans, tes parents ont divorcé. S et P mon cousin. Je ne pouvais pas me douter que leur divorce allait changer notre relation à jamais. Nous étions comme deux soeurs. Bien que cousines, notre relation était tellement plus forte, tellement plus intense. J’ai commencé la danse et toi aussi. Notre relation était indescriptible. Si forte. Tu m’admirais et faisait tout comme moi. Et je te protégeais.
Et puis, ta mère que pourtant j’aimais bien à l’époque a fait les 400 coups à ton père, t’a éloignée de notre famille. Pendant ce temps moi ? Moi je suis tombée malade. Tu sais on appelle ça les Troubles du Comportement Alimentaire. Moi ? Moi j’ai été hyperphagique mais boulimique...ça fait moins peur à dire...moi ? Moi je mangeais comme un porc pendant des heures jusqu’à en être presque ivre morte. Et toi ? Toi tu as grandi avec ta mère qui avait ta garde. Toi ? Toi tu as continué la danse jusqu’à en faire presque ton métier. Et pendant 6 ans, plus rien. Alors que nous avons notre parain en commun...Alors qu’il y a 8 ans quand j’étais repartie de notre île on avait pleuré toutes les deux, jurant de se revoir toi me promettant qu’avec tous tes centimes tu viendrai en métropole.
Ton père a rencontré une nouvelle femme ta merveilleuse belle mère, A. J’ai mis tellement de temps à lui faire confiance alors qu’elle est si gentille. Problème ? Un peu trop...perspicace...avant même que je puisse avoir conscience de mes TCA. Elle le savait. Me mettait en garde « tout va bien chérie ? » et moi je disais « oui bien sûr » alors que je mentais.
Très vite, tout bascule. Tout change. S apprend je ne sais comment, que oui « j’ai un problème » elle ne sait pas quoi mais elle bloque. Et ce jour là, ce jour là E elle ne comprends pas que ma relation avec toi ne changera jamais et qu’au contraire, à ce moment de ma vie...j’avais besoin de toi, de cette petite fille souriante, de mon petit soleil. Alors on ne se voit plus parce que je suis sans doute à ses yeux la personne complètement dingue que je ne suis en réalité pas. Elle t’arrache à moi. Et tu deviens froide et distante car tu la crains. Un esprit de compétition se crée. Excellente élève que tu es, tu fais ton chemin...et elle te pousse à devenir meilleure que moi. Tu deviens celle que tu n’es pas tu n’es plus naturelle tu n’es plus toi tu es mini-S, et moi, à petit feu je suis détruite de l’intérieur. Je peine à me relever en ton absence mais je le fais. Espérant en secret que S apprendra un beau jour que je ne suis plus folle et qu’elle pourra enfin nous autoriser à nous revoir. Cela ne se passe pas. Mais j’espère dans mon coin, et j’ai hâte et à la fois peur du jour où nous nous reverrons j’ai peur de mini S surtout.
En Février 2018 je viens une semaine et demi à la réunion. Ta mère refuse qu’on se voie. Je revois A et ton père pour la première fois depuis un moment. Avec A on s’entend bien. Je commence à ce moment là à être certaine à 80% que sa relation avec P est sincère pour preuve ! Ils se marient le mois suivant !
Je comprends que l’histoire entre S toi et moi fait du mal à ton père. Qu’il en parle beaucoup à ta belle mère. Je comprends alors qu’A ne me veut aucun mal. Un jour où nous ne nous voyons que toutes les deux , je lui explique tout. Tout depuis le début. Et je lui dit une chose : « putain A...tu ne te trompais pas... »
Elle, me jure que ce n’est pas de ma faute, que je n’ai rien demandé. Elle me raconte des trucs pendant des heures pour me faire rire. Elle me dit de ne jamais perdre espoir.
À peine rentrée...un faire part dans ma boîte aux lettres. J et Ange vont se dire oui pour la vie. Et Patrice décide de venir. Avec toi A et tes frères et demis frères
J’angoisse pendant des mois et des mois. Je sais ce que ta mère t’a mis dans la tête. Je sais quelles horreurs elle t’a hurlé à mon sujet. À ce moment là j’ai vraiment peur. J’essaye de trouver quelqu’un chez qui découcher le jour du mariage...je pense à mon oncle et ma tante paternelle de Chevreuse manque de bol !! Ils sont barrés en Corse. Alors j’assume et j’y vais.
Ton père insiste ! Il veut la veille du mariage faire un romazav (un plat de riz de viande et de breds) chez nous ! Je prie pour que ça ne se fasse pas. Misère ça se fait.
C’était avant hier. Me voilà dehors avec Dollar mon chien. De loin en rentrant j’aperçois ton chignon je cours me cacher derrière un muret deux rues plus loin. J’inspire un coup et je rentre chez moi vous êtes tous là.
Entre nous c’était si glacial. Si froid. Je monte me redonner un coup de maquillage. Je tourne je vire pas un mot. Notre parain est présent il n’espère qu’une chose...qu’on se parle ! Mais c’est impossible pour toi d’aller vers moi impossible pour moi d’aller vers toi. Tu discutes avec A moi avec ton père et R mon grand cousin. G la copine de JP m’offre des fleurs pour le bac. Mais je tourne je vire je suis très mal à l’aise. Alors que je vais chercher un verre dans la cuisine, A m’attrape au vol
« Je vais fumer ma clope dehors chérie tu viens un peu ? »
« Ah ? Ouais pourquoi pas... »
Et on discute.
« C...vous pouvez pas rester comme ça avec E...tu peux pas t’imposer des barrières comme ça...si tu savais comme ça me fait mal de te voir ainsi...je sais que tu l’aimes toujours autant... »
« oh...A, gentille et naïve A..oui je l’aime toujours autant mais c’est au dessus de mes forces d’avoir une vraie discussion...  je ne peux pas... »
« Et si je reste avec toi ? »
Cette proposition a tout changé. Je prends le temps. De me poser face à toi sur mes chaises de bar. A à ma gauche me tenant la main fort insistant pour ne pas me lâcher. La conversation est brève. « tu fais quoi maintenant ? Ah ok ! Oui mh non bof... » on rigole quand tout le monde rigole pas de délire à nous deux comme avant.
Ça s’arrête là mais le pas est franchi. Le reste de la soirée se passe bien je suis rassurée de ne pas être seule face à toi.
Et nous voici aujourd’hui. 21 juillet. On se retrouve à la mairie j’ai hâte de te voir arriver finalement. La glace est brisée. On retrouve cette complicité. On est 2 au milieu de 160 personnes dont 125 inconnus. Alors on fait le duo des paumées. On rigole ensemble. À la salle tu me dis « je veux être à ta table » manque de chance nous ne sommes pas à la même table. Il manque une personne à ta table tu insistes pour que je vienne, et voici comment la soirée la plus stresssante de ma vie devient une des meilleures soirées de ma vie.
On danse, on fait des photos on discute. Je comprends enfin que sans l’influence de ta mère tu es toujours aussi mignonne et gentille. On ne se lâche pas d’une semelle. Pour la première fois depuis 8 ans, on est triste de se quitter. Et surtout je me rends compte que ce n’est pas à traverz tes yeux que je suis « la meuf malade » mais à travers ceux de ta mère. Pour toi je suis toujours ta cousine et ta grande soeur,tu insistes pour qu’on fasse encore une photo une toute dernière. Et tu me jures qu’on se reverra et cette fois ci je sais que c’est vrai.
Je remercie A mille fois pour son calme sa patience et pour tout...Elle me prend dans ses bras me dit « ce n’est rien chérie enfin...tu vois...c’était possible...je suis fière de toi ma petite C... » ton père est super heureux le mien aussi ma mère est tellement surprise mais contente, et notre parain...soulagé de voir enfin ses deux fieules unies.
Et moi si tu savais mon petit coeur...si tu savais comme je suis heureuse à cet instant...ça y est, je t’ai retrouvée. Ça y est je me sens plus vivante que jamais. Ça y est, j’ai eu la revanche que j’ai toujours voulue sur les TCA...ça y est je me le suis prouvé. Rien n’était perdu. Ça y est j’ai obtenu ma plus belle victoire, je me suis battue pour ça pour vivre ça pour qu’on puisse être ensemble comme avant.
Je t’aime E. Tu as une belle mère exceptionnelle et un papa génial. J’ai beaucoup de chance d’avoir le même parain que toi. On s’est retrouvées. Je ne veux plus jamais te perdre. On sera toujours ensemble, merci d’avoir accepté de comprendre. Je sais que ton père et ta belle mère t’ont tout expliqué et que tu as compris et entendu. Je t’aime ma p’tite gueule. Je ne te le dirai jamais assez, j’ai hâte de te revoir en août. C’était si bon de te serrer dans mes bras. Et c’était si émouvant de t’entendre dire « C...on est cousines pour la vie ? Soeurs de coeur pour la vie ? »
Oui ma puce. On est tout ça pour la vie soies en sûre.
Je t’aime, pour toujours.
C.
4 notes · View notes
jmecherche · 3 years
Text
De malaise en malaise
Déjà Lundi. Une nouvelle semaine qui s’annonce. Une nouvelle semaine à remplir. De quoi? Je ne sais pas… Dans mon cas, je penche pour des avancées du type indépendence et un peu de répit en allant à la plage avec mon fils. Sinon, peut-être une petite folie dans un magasin pour me faire plaisir… J’en ai marre de faire ça. Déjà 1 an que je fais ça et ça me saoule. Avant quand j’étais fauchée et que j’étais toujours avec Ijklmnop, je rêvais d’aller faire les magasins pour me faire plaisir. Eh bien, inutile de mentionner combien je m’adonne aux virées shopping depuis sa mort. Que ce soit en ligne ou en présentiel. C’est le seul plaisir qui me reste. C’est devenu une addiction. (Faut que je change cela) Pourtant, je me demande bien ce que je vais faire de toutes ces fringues si je ne vais nulle part et si je ne vais à aucune petite fête… Les parfums et accessoires et chaussures… Les produits de beauté de marque avec des ingrédients qu’on ne trouve pas dans les supermarchés… Voilà ce qui m’anime et suscite mon intérêt… ça devient un peu déprimant tous ces excès… (non???)
Bon, sinon je dois mentionner que mon beau-frère a emmené sa nouvelle copine à la maison. Cette fois-ci, elle est venue rester. Qu’est-ce que ça peut bien me faire? Bein, ça accentue mon malaise de voir les autres couples. Non pas que je veux voir les autres couples se désunir juste pour m’épargner.
En même temps, il y a mon envie d’indépendence, d’éloignement, de déménagement…  De changer de vie, d’aller vers mon épanouissement… De juste m’en aller d’ici. Si je vais continuer d’être aussi triste comme ça, j’ai envie de l’être dans mon coin. Seule dans mon coin. Sans avoir à porter de masque devant les autres pour leur prouver qu’ils ont tort, que je vais bien mieux qu’eux, qu’ils devraient se mêler de leurs affaires, me laisser réussir à ma façon.
Bon, sinon, c’est quoi la réussite à ma façon? Je n’ai pas de définition précise encore. Tout ce que je sais (peut-être que si et que je me mens alors? … bon, on verra…)  bref, tout ce que je sais, c’est que ce sera différent. Il y aura plus de connections (amitiés et fraternités) plus vraies, en vue de se guérir intérieurement. Passer des moments ensemble, à jouer de la musique, apprécier le temps qui passe, de la bonne bouffe, rigoler, papoter, se confier, faire la fête, ne pas se prendre la tête. Pour une fois, exister et en être fière… Puis, il y aura aussi des randonnées, des expériences shamaniques, des découvertes spirituelles d’un autre monde… De L’ABONDANCE!!! Oui, de l’abondance (j’adore ce mot, je viens de m’en rendre compte). D’espace, de verdure, d’animaux, de finances, de moyens, de liberté, d’opportunités, de gens à rencontrer, de talents à découvrir, d’histoires magnifiques à écouter, de bonne musique à savourer, de recettes à apprendre et à apprécier. Tout cela, ENSEMBLE!! Cette fois, il n’y aura plus besoin de se détacher pour aller mieux ni d’avoir peur de décevoir ou d’être trahie. Juste exister et s’apprécier mutuellement!
Je rêve de m’en aller d’ici et d’aller habiter à Pointe d’Esny. Il y a pleins de belles baraques là-bas. L’atmosphère a l’air plus épanouie, pleine de possibilités. C’est assez chagrinant quand c’est le moment de rentrer. Il faut avoir l’air plus épanouie, avoir une histoire à raconter qui vaille la peine qu’on y soit allés. (comme pour prouver, tiens, voilà pourquoi on tient tant à aller à cette plage) Comme si c’était obligé que ça soit mieux qu’ici pour qu’on préfère là-bas.
Bon, pour ce qui est de ma “belle-soeur” (je mets les guillets parce que je ne suis plus la belle-fille depuis la mort de mon salaud de mari. Oui, c’était un salaud au fond, j’y reviendrai une autre fois). Voilà, pour ce qui est de ma belle-soeur: je lui ai dit bonjour puis c’est tout. Pour moi, c’est pas comme si je devais lui tenir compagnie alors que moi, elle n’est pas venu me tenir compagnie ni m’aider ni même pour papoter. D’habitude, quand elle vient, c’est juste pour voir mon beau-frère. Je ne sais même pas quand elle était là. Comme si j’étais pas importante. Bein, du coup, je fais pareil. Aussi, je ne me vois pas aller m’asseoir avec eux pour parler et faire semblant de m’intéresser à tout cela. Ma belle-mère, elle, a besoin d’enquêter sur cette fille. Analyser ses manies. Aussi, c’est un jeu de semblant, que maintenant je connais. La belle-mère se fait douce et gentille et très tolérante pour ne pas effrayer la fille. Puis, elle me scrute pour y déceler la moindre haine. (signe de sa propre satisfaction) mais oui, quoi de plus satifaisant pour elle que d’enrager celle qui l’enrage. Voilà un peu l’utilité de cette pauvre fille. Elle, qui fait tout pour s’intégrer. Pour paraître la plus douce, prête à rentrer dans le moule. J’étais comme ça avant. Croyant que c’était mes plus belles rencontres. J’étais loin de m’imaginer que je me mettais en prison toute seule et avec un énorme sourire, en plus de cela.
Mon sourire: est-il si effrayant et décevant que ça? On dirait qu’il y a des personnes qui ne peuvent supporter la vue de mon sourire. Comme certains ne peuvent supporter la lumière trop perçante du soleil. Il faut se restreindre à montrer de la joie… Mais dès qu’on souffre, on devient plus approchable, plus tolérable. More relatable.
Est-ce que je suis en train de souffrir de dépression ou est-ce que je suis simplement triste et seule et donc plus sensible à la négativité? Est-ce que ces découvertes accablantes m’empêchent d’avancer et de profiter de la vie? Faut-il que je ferme les yeux sur ces évidences pour que je sois heureuse? Ai-je vraiment besoin d’avoir un mec pour aller mieux? Est-ce le manque de sexe qui me rend si aigrie et triste? Est-ce parce que je suis en période pré-menstruelle? Est-ce parce que je me nourris de cochonneries? Pourquoi vais-je si mal? Limite, je ne fais les choses que parce qu’il le faut bien. Pour ne pas être reprochés. Pour bien paraître. Pour me sauver la face. Puis, ça m’épuise tout ça… La malbouffe, le surmenage, les tâches à accomplir, en même temps, cette quête d’éveil et de spiritualité, les changements que j’apporte. Qlqn d’autre pourrait facilement s’y perdre.
Pourquoi c’est si difficile en ce moment? De voyager, de juste lancer ma chaîne YouTube, de faire fi de l’opinion désastreuse qu’ont les autres de moi, de juste créer mon monde de fantaisies et y vivre tranquillement. J’ai peur. Voilà mon problème. J’analyse pour mieux préparer. Parce que j’ai peur de ce que les autres vont dire de moi. Mais si je me lançais, c’est sûr que je vais être bien accueillie. Vue différemment aussi.
0 notes
pxlove1111 · 3 years
Text
Mon amour ... c'est très dur pour moi de faire ça, de cette façon. Moi qui suis tellement pudique avec mes émotions. J'ai horreur de montrer quoi que ce soit en public. Mais je t'aime tellement que je vais le faire.
Je vais reprendre depuis le début. Je n'avais jamais ressenti ça. Pour personne. Et quand tu es venu chez moi et que tu m'as quittée, mon corps, mon monde, ma vie s'est effrondrée. Je n'ai pas compris pourquoi, car la douleur était insupportable ... Et pourtant je ne te connaissais pas. Je n'avais eu quasiment que des histoires "longues", avec des ruptures qui, je pensais à l'époque, auraient du être bien + difficiles que ça.
J'ai vécu ton départ comme un décès, un effondrement ... sans comprendre pourquoi. Ça a été le point culminant de ma NNA, qui avait démarré en 2012 ;)
Et c'était tellement dur que ... pour la 1ère fois de ma vie, j'ai prié. J'ai prié fort, j'ai prié Dieu, je me suis excusée pour tout ce que j'avais fait de mal dans ma vie, j'ai demandé un sens à mon existence. J'ai demandé si quelqu'un m'entendait. J'ai demandé à trouver la foi, j'ai supplié.
Mon cousin (de corse) m'a rendu visite quelques jours après. Je lui ai parlé de toi. Nous sommes sortis en boîte et je dois dire que chaque fois qu'il est là, il me fait rire et passer de bons moments. Je me suis dit dans la soirée qu'en fait c'était rien du tout, que c'était juste un coup de blues et qu'au final je ne te connaissais pas donc ... que c'était rien. Je rigolais, j'étais bien ... je suis allée au comptoir. Un type m'a parlé, on a rigolé. Il venait d'une autre ville, je ne sais plus où. Puis il m'a dit son prénom ... c'était ton prénom. Et là, sans comprendre, je me suis effondrée. En larmes. Sur le comptoir. Mon cousin m'a prise pour une folle, il m'a dit que j'étais trop sentimentale, il s'est énervé. Donc je n'ai plus rien osé montrer.
Nous sommes partis en corse tous les deux quelques jours après. Tout s'est bien passé ... Enfin, le jour ;) car la nuit j'avais des paralysies du sommeil, des rêves lucides hallucinants et ... tous les matins la main gauche sans plus aucune sensation, comme si ce n'était pas ma main (!). J'ai consulté plusieurs médecins pour ça et ils n'ont jamais rien trouvé. (Pas le canal carpien ...) Ça a cessé au fil des semaines et ça n'est jamais revenu.
Dans la même période, j'ai fait un rêve lucide où j'ai vu ma mère. Qui m'a dit ... "je sépare le couple à la naissance". Et ce fût tellement réel que j'ai appelé ma soeur en pleurs le matin en lui disant que je lui avais vraiment parlé. Nous avons cherché pendant des semaines ce que voulait dire cette phrase. (J'ai une petite idée à l'heure actuelle).
Je suis ensuite rentrée seule en avion. Aucun problème pour moi qui ait toujours pris l'avion des milliards de fois depuis que je suis toute petite. Seule ou non.
Sauf que cette fois-ci ... Le temps n'était vraiment pas au beau fixe. Beaucoup de perturbations. A l'heure actuelle quand j'y repense ça ne me semble plus aussi traumatisant. Mais sur le coup ... Les gens criaient. Je me sentais seule. J'ai eu peur de mourir ... seule. Moi qui n'en ai jamais rien eu à foutre de personne.
Cet incident est important dans l'histoire. Car c'est grâce à lui que je suis enfin revenue à la raison. Que j'ai fini par me réveiller :)
De nombreuses années plus tard je te l'accorde.
0 notes
andrewrossiter1 · 4 years
Text
Veillée de Noël 2020
Ce culte est aussi disponible en directe sur FaceBook et plus tard cet après-midi sur la chaîne “Andrew Rossiter” en YouTube
20 décembre 2020 à 10h30 Célébration de Noël pour les enfants de l’École Biblique et les jeunes du KT 2020 Préparation: Il faut un narrateur avec un micro. Un micro portatif pour les enfants qui parlent.. Il faut préparer la « musique de la fête » en scène 2 et le PowerPoint (scène 4). Joseph et Marie auront besoin de sacs de voyage et peut-être un baton. Ils se trouvent dans la chaire avant que le culte commence.
Tumblr media
Musique
Allumer la quatrième bougie de l’Avent
Chant 14-03. 1 et 8
Scène 1 Narrateur Voici nos deux amis en route en ce temps d’hiver. Ils doivent quitter leur maison, leur village et partir loin. Dans ce temps-là les autorités n’avaient pas la possibilité de pister tout le monde par l’usage des réseaux sociaux ou par la géolocalisation du téléphone portable (ce n’était pas encore inventé), le gouvernement a donc décidé de décréter le recensement de toute la population.
Joseph et Marie arrivent et tournent un peu en rond.
Narrateur Tout homme doit se rendre dans sa ville de naissance. Donc Joseph part de Nazareth où il s’est installé comme charpentier, avec sa toute jeune femme, Marie, pour aller à Bethléem. Ils comptent passer trois jours et deux nuits pour parcourir les 160 kilomètres avant d’y arriver. Deux nuits à la belle étoile, comme on dit, sauf qu’en cette saison les étoiles sont plutôt voilées, quand il ne pleut pas. En plus Marie arrive au terme de sa grossesse. Mais une fois arrivée sur place, Joseph peut compter sur sa famille pour les loger et prendre soin d’eux. Donc c’est presque des vacances, des retrouvailles et de la joie qui les attendent à Bethléem. Nous les quittons sur la route. Ne vous inquiétez pas, rien de méchant leur arrivera, pas de bandit, si nombreux dans les montagnes, ni d’accidents. Ils vont bientôt arriver et nous les retrouverons là-bas.
Lecture: Luc 2. 1-5 Chant 32-13 Nuit Lumineuse (musique: Nos cœurs te chantent)
Scène 2 Narrateur Joseph est fatigué mais soulagé, et Marie est épuisée, quand ils arrivent à Bethléem. Ça fait tellement longtemps que Joseph n’a pas mis les pieds à Bethléem, et avec toutes les nouvelles constructions, les sens-uniques et les changements il a du mal a repérer où se trouve la maison de sa famille. Enfin ce n’est pas tout à fait de la famille proche, c’est plutôt la demie-soeur de son oncle par alliance. Comment trouver la rue? Il va demander à quelqu’un:
Joseph: Excusez-moi je cherche la maison de la famille Kileab de la famille de David? Passant: Je viens d’arriver moi-même. C’est à cause du recensement, je viens de Hébron et je cherche aussi la maison de ma famille. Mais si je me souviens bien, elle doit se trouver dans la rue Droite qui est la première à gauche juste après la rue des Enfants, là devant vous. Bonne chance! Joseph: Merci mon ami et bonne chance aussi.
Narrateur Ils trouvent la maison, et elle est exactement comme il se souvient, même la couleur de la porte n’a pas changé.  Narrateur Mais en entrant, la maison est pleine, vraiment pleine. Il y a des gens partout, même là où les animaux dorment. Evidemment il n’y a pas de place pour eux. Sa « presque tante » lui conseille d’essayer de trouver de la place chez son frère quelques rues plus loin. Mais là encore tout le monde a eu la même idée. Pas de place. Et encore et encore, le pauvre Joseph fait le tour de sa famille, et les familles de sa famille, mais c’est toujours la même réponse. Que vont-ils devenir? Joseph et Marie s’installe autour d’une mangeoire
Narrateur Enfin quelqu’un veut bien pousser un peu le foin d’un coin et les laisser passer quelques nuits chez eux. Ce n’est pas l’idéal pour Marie, mais que faire d’autre? Nous allons les laisser s’installer aussi confortablement qu’ils le peuvent, au moins ils ont un toit au-dessus de leurs têtes et la chaleur des animaux pour compagnie, et un coin pour préparer leurs repas. C’est là que Marie va donner naissance à son enfant, Jésus.
Lecture: Luc 2.6-7  Annonces Offrande Chant 32-27 Les anges dans nos campagnes
Scène 3 Narrateur Le monde est sens dessus dessous en ces temps. D’abord le printemps était très sec, l’été long et chaud et puis à l’automne nous avons eu des orages, des vents violents et des inondations. Vous avez sûrement entendu parler de ces 18 personnes écrasées quand la tour de Siloé leur ait tombé dessus? Ou encore de ces attentats sur les marches du temple quand les prêtres ont été égorgés par quelques fous-fanatiques? En effet nous vivons un drôle de moment ce temps-ci. Personne ne peut se sentir en sécurité aujourd’hui. On m’a parlé aussi des manifestations sur les carrefours et sur les places à Rome, ils se font appelés les « toges jaunes », je ne sais pas ce que cela va devenir. Maintenant que l’hiver arrive, nous ne savons pas quoi penser, même les bergers parlent de descendre leurs troupeaux des collines plus tôt que d’habitude cette année.
Quelques bergers arrivent
Narrateur Tiens, les voilà. Déjà, mais ils sont fous, ils sont en ville et ils n’ont pas leurs animaux. S’ils arrivent en courant comme ça il faut barricader les portes des maisons, je connais la réputation ils ont de tout voler. On dit dans notre pays, « Faire confiance à un berger, c’est comme mettre ta main dans la gueule d’un lion ».
Les bergers crient, tous en même temps. «Les anges, j’ai vu des anges», «As-tu entendu leurs chants».  «Quelle beauté et quel éclat dans le ciel».  «Et où est-il?» «Qui aurait pensé voir un tel spectacle».  «J’en ai compté une centaine facilement». «Je veux savoir où il est»  «J’ai soif». «Il faut le trouver avant le couvre-feu».
Narrateur Mais, qu’est-ce qu’ils disent, ils crient tous en même temps. Je n’arrive pas à comprendre. Attend, je vais lui demander, il a l’air un peu moins excité que les autres. Narrateur: Hey-hoola, oui toi, viens par ici un moment. Quoi? Tu n’as pas le temps. Mais c’est juste pour savoir pourquoi vous êtes tous si excités? Berger: Alors si je vous le dis, vous me croiriez pas. Narrateur: Non, non essayez toujours, allez-y. Berger: Nous étions avec les troupeaux bien protégés du vent. Il a commencé à neiger, donc au commencement je pensais que c’était la neige qui a fait que le ciel est devenu blanc. Mais non, des voix, des hommes, ou comme des hommes, des chants. Narrateur: Quoi? Je vous connais, vous les bergers… trop de calva c’est ça votre problème… Berger: Non, non, non je n’ai pas bu, ou pas beaucoup en tout cas. Et tout d’un coup nous avons compris qu’il fallait venir à Bethléem pour voir la naissance d’un nouveau roi. Narrateur: Alors là, vous déjantez complètement, il n’y a pas de roi ici. Et attention à ce que vous dites… les murs ont des oreilles, vous savez. Quelqu’un peut vous entendre et vous dénoncer. Berger: Je m’en fiche. Je vous ai dit que vous ne me croirez pas. Narrateur: Mais çà alors!
Musique Lecture: Luc 2.8-20 Chant 32-14 Oh! Quel éclat sur nos matins Prières
Jésus mon frère et mon maître tu es venu jusqu’à nous.  Tu as habité une vraie maison, avec une famille des bêtes, des instruments de travail et peut-être dans le désordre d’une maison ordinaire. Puisque tu es venu jusqu’à nous je te demande de venir aussi habiter ma maison. Jésus mon frère et mon maître tu es né dans une famille humaine une famille ordinaire avec les joies et les difficultés avec des frères et des sœurs à partager ta vie d’enfant. Puisque tu es venu dans une famille je te prie pour ma famille pour ceux et celles qui sont loin et aussi pour ceux et celles qui sont proches je te dis merci pour ceux et celles qui m’ont précédé et pour toutes ces personnes qui partagent ma vie. Jésus mon frère et mon maître tu as marché sur notre terre, tu as guéri et tu as enseigné aux gens. Je te prie pour toutes les personnes qui sont malades ou isolées en ce temps de Noël. Je te prie pour toutes les personnes qui souffrent de la guerre et qui sont loin de chez elles, toutes ces personnes qui errent sur la route en recherche d’un foyer ou d’un pays d’accueil. Jésus mon frère et mon maître tu es venu jusqu’à moi ouvre mes yeux pour que je découvre ta présence dans ma vie. Toi, qui nous a enseigné ta prière:  Notre Père
Scène 4 Narrateur C’est exactement comme je vous ai dit, ces bergers ont fait entrer le loup dans la bergerie, ha ha c’est pas mal pour les bergers! Bref les choses se sont empirées depuis cette naissance. D’abord il y avaient ces gens étranges venus de loin. Tout vêtu de soie, avec leurs chameaux, serviteurs, le grand train. J’imagine d’ici peu ils feront fortune avec leurs petro-dollars et vont revenir tout acheter, des stades, des hotels… et tout. On verra, mais souvenez bien de ce que je dis. Ces guignols qui pensent tout se permettre ont crié sur les toits qu’ils étaient venus pour rendre hommage à un roi. Encore une histoire de roi. Et je vous le dis, il n’y a qu’un roi dans ce pays, et il habite Jérusalem et il sait tout ce qu’il se passe dans le pays. Il a des espions partout. Donc chuchotes après le couvre-feu chez toi si tu veux, mais ne crie pas sur les toits qu’il y a un nouveau roi. Et c’est justement ce qu’ils ont fait. Et puis ce qui devait arriver, est arrivé. Mais oui un massacre. C’est terrible, toutes ces femmes et ces hommes qui pleuraient. Les mères qui serraient leurs enfants contre elles. Et les soldats partout, du sang sur leurs épées, sur leurs mains et sur leurs uniformes. A cause de ces « sages ». Et eux? Ils sont partis tranquillement comme si rien ne s’est passé. Quand je pense de cette nuit j’ai des cauchemars, j’en ai régulièrement. Je ne veux pas en dire plus, c’est trop dure. 
Et alors je sais ce que tu penses. Je sais ce que tu veux demander. Et ce roi, qu’est-ce qu’il est devenu après tout ça? Et c’est ça le plus extraordinaire. Ce bébé, un miraculé, on dirait aujourd’hui. Né dans des conditions pas trop hygiéniques, élevé en fuyant vers un autre pays, obligé de passer son enfance loin de chez lui dans un pays étranger. Et quand il était grand il a été mis à mort, crucifié. Oui crucifié, encore ces Romains qui ont fait ça. Enterré, comme il est né, loin de chez lui dans une tombe que quelqu’un lui a prêté. Et puis, ses amis, les disciples, l’ont rencontré un peu partout. Lui, il est devenu le plus grand roi de tous les temps.
Voix 1:  Il est devenu roi sans jamais siéger sur un trône.
Voix 2: Il est devenu roi sans jamais commander une armée, sans jamais avoir fait la guerre.
Vois 3: Il est devenu roi sans jamais avoir eu une cour, une capitale ou même un pays à lui.
Narrateur Il est roi dans les cœurs de tout le monde. Il règne sur un royaume de paix, d’amour, de pardon et de générosité. Il est le roi de ma vie, et il ne demande qu’une seule chose, de devenir roi de ta vie. Musique Chant 32-22 O peuple fidèle Envoi  Merci, mon Dieu, d’être venu et me chercher. Merci d’être ici avec nous ce matin. Merci pour ta présence à mes côtés tous les jours de ma vie. Je te bénis car maintenant tu m’attends dehors. Là où je vis ma vie: à l’école, en famille dans mon village. Merci, parce tu es toujours là pour moi.
Bénédiction Musique
1 note · View note
chaglt · 6 years
Text
Ça continue!
En référence à mon premier titre du 18 septembre (nous sommes le 18 novembre, je vous laisse faire le calcul) :-)
Je n’ai pas grand chose à raconter, mais chose promise, chose due: Voici mon article bilan post 2 mois #expérience #nostalgie (en vrai comme je viens de le dire au Pulcino, alias ma belle-soeur wesh, j’ai un peu le temps long hihi)!
Au niveau de l’espagnol: compréhension, de mieux en mieux :) Je comprends énormément (sauf quand ça crie dans les bars, et encore, je m’habitue), donc ça c’est top! Pour parler c’est plus facile aussi (j’espère bien!), c’est toujours la grammaire qui me fait défaut. Mais j’ai acheté une grammaire et je m’y tiens, et je sens que quelques formes verbales rentrent tout de même dans ma cabeza. Je vais essayer d’avancer là-dedans (dans la grammaire, pas dans ma cabeza) d’ici le 23 décembre, date à laquelle je rentre en Belgique (vol à 6h du matin, et oui je n’ai pas réfléchi en prenant mon billet. Coïncidence? Je ne pense pas. --> Ceci n’a rien à voir avec ce qui précède, même si tout es lié dans l’univers, n’est-ce pas G? --> Je ne parle pas du point). Ce serait chouettos, chouette objectif :)
Au niveau du chinois: toujours pas de progrès, je ne comprends pas. (Pas contre au niveau des blagues de mieux en mieux, n’est-ce pas?)
Au niveau de la fatigue: il y a un mieux! Et oui mes amis, scoop de scoop: j’ai réussi à me reposer ce week-end! J’ai passé trois jours à lire, écrire et méditer (<3 Petit Bambou).. et dormir! Et cuisiner mes bons légumes au four :) (On dirait une petite vieille haha, mais j’en avais besoin). Et à faire mon sport également, beaucoup de marche, salle de sport.. ça aide pour le sommeil (non sans blague, disons que la théorie on la connaît tous, c’est mettre les choses en pratique qui s’avère parfois compliqué. Bref on s’en fout) Du coup je suis appaisée, c’est sympa :) Je compte bien continuer sur cette lancée :)
Au niveau des cours (que je donne): je m’habitue :) On a trouvé notre rythme avec Mercedes, et ça se passe bien. J’adore l’école, c’est un petit bonheur d’arriver le matin. Je m’attache aux élèves (qui sont juste trop mignons), les collègues sont super sympas.. Le 6 décembre on retourne au théâtre :) Franchement j’aime bien l’atmosphère, je me sens bien en classe.. Que demander de plus?
Au niveau de mon rythme: la règle “je prends le dernier métro grand max” a porté ses fruits :) je me sens plus reposée (la fatigue est toujours là, elle va pas partir du jour au lendemain, mais je peux faire les choses plus à mon rythme, c’est cool). Je ne sors plus jusqu’aux petites heures - hier j’étais au lit à 3h, oups, en tout cas beaucoup moins. Je m’adapte, je m’adapte. J’adapte mes repas aussi, je prends mes petits tupperwares à l’école pour ne pas revenir affamée comme jamais à l’appart’ vers 16h (diner à 16h c’est bofi). #adaptation
Au niveau de mes amis: Pri, Elise (qui s’en retourne en France cette semaine :(), et je commence à voir les gens du théâtre en dehors des cours :) J’ai passé la soirée de vendredi avec Blanca (une madrilène pure souche), on a parlé toute la soirée en espagnol (bien gossipé ouais!) et c’était ma foi bien cool, Jacob of course (<3), Elsa :), Josué (que je n’ai plus vu depuis 1000 ans, j’ai hésité à le mentionner). Disons que c’est mon cocon. Les autres personnes, je les croise de temps à autre à la danse (même si je n’y vais plus beaucoup), à l’école (j’adore Stephanie, l’auxiliaire de conversation d’anglais qui vient de New-York) et Sarah et Sandra, deux autres collègues de langue (espagnoles), trop trop sympas. Je n’ai pas vraiment fait de “grosse” rencontre ce mois-ci (la fatigue n’a pas aidé, c’est fatigant de rencontrer de nouvelles personnes mine de rien), même si je suis allée à l’anniversaire d’Alessandra il y a une ou deux semaines d’ici, une nana italienne de la danse ultra sympa.
Au niveau du moral: des hauts (très hauts) et des bas (qui sont tombés un peu bas dernièrement, mais tout va bien no worries), comme le commun des mortels :) Le sentiment général que j’ai en ce moment même? Je vais bien, mais ma famille et mes amis me manquent. Mon cocon belge <3 Mais je ne suis pas démoralisée pour la cause héhé, surtout avec mon adaptation rythmique (j’ai un rythme plus sain qui me correspond mieux --> Je suis plus reposée --> ça va mieux).
Au niveau du théâtre (et des mes hobbys en général): full love as usual. Hier j’ai rencontré une espagnole qui avait étudié pour être actrice et qui fait maintenant la psycho car c’est trop galère de vivre du théâtre. Elle a étudié 4 ans dans une école très connue (et très chère) de Madrid (Cristina Rota je pense), elle a même eu un agent qui lui proposait les castings.. tous pour des publicités. Et elle a même suivi des cours d’interprétation devant caméra. J’adore les artistes <3
- Je vais à la salle plus régulièrement, j’adore ça :) Ça m’aide à dormir et je m’y sens bien (mais qu’est-ce qu’on s’en fout Carlota - version espagnole - Carlotta - version italienne.. C’EST MON BLOG JE FAIS CE QUE JE VEUX, OK?! - beaucoup trop violent les majuscules). Par contre la danse, beaucoup moins. J’y retournerai à l’occasion (comme l’anniversaire d’Alessandra par exemple), mais ce n’est plus mon dada (pas le cheval, vous m’avez compris).
- Et je vais voir des expos, des pièces de théâtre.. et je lis énormément aussi. Ma culture va exploser ici! J’ai les musées Prado et Reina Sofia à 15 minutes de chez moi (je suis passée devant comme une reine seulement hier, après deux mois haha!) J’irai y faire un tour un de ces 4 :)
Au niveau de mon ouverture d’esprit: émancipation X2000. Tous les gens que j’ai rencontré jusqu’à présent m’ont ouvert l’esprit, avec leur vision du monde complètement différente de la mienne. C’est extrêmement enrichissant, du coup je me pose pas mal de questions sur pas mal de sujets. Je suis également de plus en plus sensibilisée aux problèmes du plastique, notamment grâce à Elise, Pri et Elsa. Le bio j’adhérais déjà, mais il y a un énorme travail à faire au niveau du plastique, j’en ai encore parlé avec Elise hier en me promenant à Casa de Campo.
Allez maintenant je blablate un peu sur ce que j’ai fait vendredi, samedi et aujourd’hui (si je compte bien) :-) J’ai même quelques photos, vous avez de la chance!
Mais j’ai déjà raconté jeudi et une partie de vendredi, non? Vendredi soir du coup, j’ai passé la soirée à Lavapies avec Blanca :) Trop trop chouette <3 On avait proposé (j’avais proposé) à tout le groupe de théâtre mais il n’y a qu’elle qui a répondu à l’appel haha, ça nous a bien fait rire!
Samediiiii qu’ai-je fait? C’était hier ça. Le matin j’avais envie de marcher, du coup je suis allée chez Veritas (supermarché bio) à pied, en passant devant tous les fameux musées, grand soleil.. Le pied :) J’adore Madrid <3 J’ai fait quelques photos sur le chemin, mira:
Tumblr media
Le musée du Prado si je ne m’abuse :)
Tumblr media
Une inconnue (je vous mets tout, comme dans mon billet précédent il n’y avait quasi aucune photo - COMPENSATION)
Tumblr media
Un monument dédiés aux morts du 2 mai pienso.
Tumblr media Tumblr media
Je ne sais pas ce que c’est, mais c’était joli (même pas honte, mais je vais tout de même me renseigner)
Tumblr media
Juste avant d’arriver au magasin bio :) Je trouvais la ruelle jolie (oui, vous aurez tout)
Tumblr media
Alors là.. Il y a une histoire trop drôle à raconter, il y a même eu un rebondissement à l’instant même où je vous parle (où je vous écris serait plus correct).. Ce magasin se trouve juste à côté du supermarché où je suis allée. Je l’avais déjà repéré (je vous laisse deviner pourquoi) et j’avais promis une photo à la copine de mon fratello (coucou Pulcino). Du coup cette fois-ci, ni une, ni deux, je prends la petite photo. Et petite comique que je suis, je la poste sur Facebook avec en légende “Ça y est, je me suis lancée à Madrid! Wish me luck!”
Croyez-le ou non, mais il y a des gens qui pensent vraiment que c’est vrai (au risque de répéter le mot “vrai”), ça me fait trop rire! C’est trop gentil en même temps, ils commentent cette fameuse photo (qui, à l’heure d’écrire ce billet, compte 57 “j’aime”) “Félicitations”, ce à quoi je réponds “Merci!”. Quelle marade, j’en ai encore parlé avec la famiglia il y a quelques minutes (skype  familial oblige, coucou Pulcino), qu’est-ce qu’on a ri. Et voilà ti pas que je raccroche mon skype et qu’une amie m’envoie la photo suivante avec le message suivant “Fallait que je te partage ça”:
Tumblr media
Le coup du siècle je vous dis! Qu’est-ce que je me marre! :D J’adore les gens <3
Alooors, après cette petite escapade, je suis retournée à l’appart’ tranquille faire une sieste je pense (et sans doute un peu méditer aussi, je vous mets une photo du logo de PetitBambou:)
Tumblr media
Promis, j’ai pas d’actions là bas.. Je devrais peut-être haha :-) Ah oui et j’ai appelé mon ancien colloc aussi (Coucou Gab!) :)
Ensuite j’ai rejoins Elise à Casa de Campo à 17h45 pour une promenade nocturne dans la forêt:
Tumblr media Tumblr media
J’ai enlacé longuement cet arbre.. C’était puissant, il s’est vraiment passé un truc :) (et NON JE NE SUIS PAS CINGLEE #PetitBambou #faitesdescalinsauxarbres #abasleplastique) Je suis sûre que les échanges d’énergie et autres existent, qu’il y a plein de choses dont on ne connait pas la force et la portée (bon allez, je me tais.)
Tumblr media
Après cette jolie promenade, je suis allée boire un verre avec l’ami Jacob, Amel (une des ses amies françaises rencontrée a Tenerife), Aurore et une espagnole (dont j’ai oublié le nom) qui a étudié pour faire actrice (j’ai l’impression que j’en ai déjà parlé plus haut, je me trompe?). On s’est retrouvés dans une boite de hip hop (totalement mon style de musique!) avec les deux françaises (trop sympas), Jacob (américain donc) et les deux collocs espagnols de Jacob, petit mélange cosmopolite des familles comme on aime :-) A las tres, estaba en mi cama.
Today, réveil à 10h30 pour aller au yoga de la risa, dont je vous ai déjà parlé ultérieurement (si je ne m’abuse encore, même si j’aime bien m’abuser. J’arrête.) Pri est venue avec, c’était chouette! Le thème était “Abrazo”, (pas sûre que ça s’écrive comme ça, mais soit, les câlins quoi!). Et bien mazette, c’est puissant ce truc! Un peu comme avec l’arbre hihi :-)
J’ai fait une petite photo d’une affiche de la Tabacalera avant de partir:
Tumblr media
Elle me faisait un peu penser à Cuba, je trouvais ça joli :)
Allez les petits lous, je vous laisse, que d’émotions que d’émotions tout ça! Et surtout, je dois appeler les fournisseurs de vin pour la commande de demain (mais quelle rigolade, je m’en remettrai jamais :P Les gens sont trop chou <3)
Grosses bètches!
Charloute!
PS: Je me rends compte, 30 minutes environ après avoir bouclé ce billet, que j’ai oublié un point essentiel: l’écriture. Au fil de mes lectures (dernièrement, “La Vérité sur l’Affaire Harry Quebert” qui m’a fait pas mal réfléchir sur le sujet) et de mes billets ici même, je me rends compte qu’écrire peut devenir une passion. J’adore blablater par ici, et je pense que ça me plairait énormément d’écrire des choses plus sérieuses, plus structurées. Une piste à creuser? :) A ver! En tout cas, ça me fait un bien fou et ça m’éclate (comme disent les petits jeunes, dont je fais toujours partie oui oui!) (-:
1 note · View note
bydi2 · 4 years
Text
1 week
Ça fait 1 semaine, 
Je suis une pro fuck the police mais cette fois ci la police m’a bien aidé..
Aujourd’hui ils pleurent, alors que hier c’était moi.Aujourd’hui tout le monde voit leurs vraies visages, le visages de ses monstres qui m’ont détruit.Il est déjà en prison.Est-ce que je me sens déjà mieux? Oui énormément.
Là je penses à toutes celles et ceux qui n’ont pas eu(e)s de justice, toutes celles et ceux qui voient aujourd’hui leur violeur, leur criminel vivre sa vie comme si de rien n’était.Et je me demande comment font-ils pour supporter ça.
Aujourd'hui sa famille est venu s’agenouiller devant moi pour que je retire ma plainte afin qu’ils retrouvent leur père, frère, mari tout en sachant que c’est un violeur.
Je suis désolé pour eux mais ça n’arrivera pas, ils ont trop confondu ma gentillesse avec de la cupidité.Oui j’ai de la peine pour ma petite Faith mais je sais que en tant que femme elle grandira et comprendra que ce que j’ai fait c’était aussi pour elle.
Aujourd'hui la seule chose qui me permets de dormir c’est de savoir qu’il va payer.
Quand je leur ai annoncés que je comptais prendre Eric Dupont Moretti comme avocat mon oncle s’est mis à genoux pour me supplier de renoncer et que la honte est déjà le meilleur des châtiments et de pardonner car Dieu est miséricordieux mais je ne suis pas Dieu , d'ailleurs je ne peux même pas me comparer à lui ou même citer mon prénom à côté du sien.
Me demander de pardonner mon violeur à 1 semaine de mon viol .... quel audace.
Aujourd’hui ma soeur Nao ne me parle plus même si elle me comprend, elle ne l’a pas vécu donc inconsciemment elle doit m’en vouloir mais bon je la comprends juste j’espère qu’un jour elle trouvera la force de me pardonner parce que la perdre me fait énormément souffrir.
0 notes
Text
Enquête sur le lac salé de Novaya – Première partie
Première année à Durmstrang. Mois de mars.
Pourquoi l’eau du lac est-elle salée et pas douce ? C’est un sorcier qui l’a salée avec un tour de magie ?
Voilà les questions qui me sont venu à l’esprit lorsque j’ai lu le Veilleur du Nord pour la première fois à la libraire de Novaya et que j’ai posées à l’éditorialiste.
C’est dans l’article sur le bal de Noël organisé par la Noblesse et son fameux banquet auxquels le Pingouin et son ami Caliban ont été conviés que j’ai vu ce fait curieux. Mais avant que nous allions plus loin, vous vous demandez peut-être qui est le Pingouin dans cette affaire. Le Pingouin, c’est le nom que je donnerai ici à Oryx, un jeune homme que j’ai rencontré quand j’ai débarqué dans la petite ville portuaire et dont nous reparlerons lorsque je vous présenterai le cas du tatoueur maudit. (note : voir page 4)
La lecture du dernier exemplaire du journal avait suscité en moi de nombreuses interrogations auxquelles je n’ai pas obtenu de réponses de la part de la magnétique femme blonde aussi belle que pale qui tient la boutique. Ces questionnements étaient surtout au sujet des noms relatifs à la faune et la flore magiques. Et j’ai compris finalement que j’apprendrais ce que désignait la majorité de ces mots en suivant les cours de créatures magiques et en lisant sur le sujet. tout vient à point à qui sait attendre. Tout vient à point qui sait attendre, comme dirait le proverbe. Je le lui ferai bien bouffer par les trous de nez à celui qui a dit ça !
Enfin bon, l’éditorialiste a tout de même rebondi au sujet du lac et m’a proposé d’enquêter et d’écrire un article sur le sujet. Peut-être y a-t-il un mystère se cachant derrière cela et qui n’attend que moi pour être éclairci. Vous croyez au destin ? Moi j’y crois dur comme fer. C’est gravé dans le marbre, c’est sûr : je serai une grande reporter. Et une styliste de renommée mondiale. Non, de renommée interplanétaire. Voire intergalactique ! Si les sorciers existent après tout, je vois pas pourquoi les extraterrestres non. Je suis sûre que les sorciers ont déjà trouver le moyen eux de voyager à travers les galaxies et même le temps. Il faudra que j’enquête là-dessus d’ailleurs. S’il y a des sorciers qui voyagent de l’espace ou du temps, je veux en être !
Cependant, cette carrière brillante doit bien commencer quelque part et voilà qu’on m’offrait ma chance de débuter ma toute première enquête officielle en interviewant des gens, prélevant et analysant les indices pour remonter la piste qui mènerait à la découverte de la vérité… Je ne pouvais pas passer à côté d’une proposition comme celle-ci !
C’est donc tout naturellement que j’ai accepté de relever le défi. Bien sûr, j’ai conscience que cette quête ne sera pas sans danger. Le lac est une énorme étendue d’eau située à proximité du château, qui même si elle donne envie d’aller s’y baigner pendant l’été, est peuplée de créatures qui peuvent se sentir menacées par l’homme et attaquer les sorciers peu prudents. Déjà les verlieu que j’ai pu étudier en cours aujourd’hui, les strangulots ou encore les mystérieux Êtres de l’eau dont j’ai pu entendre parler sont toutes des créatures aquatiques aussi fascinantes et dangereuses. Mais le lac peut héberger de véritables créatures de légende… Comme des krakens ! Samuel, mon préfet, et ses camarades ont en effet été amenés à en rencontrer un, il y a trois ans. Mais ce n’est pas le seul poulpe magique géant qu’ils eurent à affronter, puisqu’ils en ont trouvé un autre l’an dernier. Enfin, tout ça pour dire que je ne m’étonnerai même pas de croiser le cousin de Nessie lors d’une de mes excursions au lac.
Je colle ici le bout de parchemin avec la liste de personnes à interroger que l’éditorialiste du Veilleur du Nord m’a faite avant la rentrée scolaire pour en apprendre plus sur l’histoire des krakens.
- Wes Ferguson
- Anastasia Koroliov (note : la soeur jumelle de Samuel et la préfète de la maison Uzem)
- Viktor Azalahem
- Samuel Koroliov (note : le préfet de ma maison, Kostein)
- Alix Sheol
- Prof. Charly Watson
Mais je vais pour le moment dissocier le rapport de mes recherches pour mon futur article et l’histoire des deux krakens que devrait me raconter Samuel demain soir après le prochain couvre-feu. Essayons de ne pas tout mélanger. Bon, je vous avertis tout de suite, mon enquête a peu avancé… Pour ma défense, les pauses propices à se concentrer là-dessus ont été très peu nombreuses et ça ne fait qu’une journée que je suis arrivée à l’école. Je dois aller voir à la bibliothèque pour lire ce qui a déjà été découvert au sujet du lac et pouvoir m'y préparer. Ce sera aussi l’occasion d’apprendre de nouveaux sorts utiles et complémentaires à ceux appris en classe.
Là il se fait tard. Même si le dortoir est vide, mon premier cours avec Souhaila – la gérante de l’animalerie qui donne aussi les cours de soin aux créatures magiques à l’institut – s’est éternisé et je ferai mieux de ne pas trop tarder à étendre la lumière pour être en forme demain.
0 notes