Tumgik
#ce n'est pas le meilleur essaie sur tumblr
issialou · 2 months
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Alors ce post est un peu un espece de characters studies à propos de Gamebreakers et de lnévolution de leur relation entre l'arrivée des français sur le serveur et jusqy'à aujourd'hui. Et vu que je vais le poster pour le Language Day, ce poste sera écrite en français. Si j'ai vraiment la force je le tradurerai en anglais mais ce n'est pas du tout sûre. Aussi ce que je vais partager est juste mon opinion, donc ne prenez pas celà comme la vérité absolue. Aussi, je vais surtout parler du POV de q!Aypierre. Bref, après ce loooong intro allons au sujet qui intéresse aujourd'hui.
Alors l'évolution d'AyHalo peuvent être vu en trois étapes chronologique (pour l'instant).
La première va de l'arrivée des français sur l'île jusqu'au vol des meuble.
Et pour être plus précise ça a vraiment commencer lors de la deuxième connexion d'Aypierre sur le serveur où BadBoyHalo lui a fait une p'tite visite de l'île et lui a montrer sa ferme, lui a donner des quelques stuffs pour lui et pour Pomme, et l'a aider à avoir ses 20 cœurs. Tout cela a vraiment marquer dans une très bonne manière Pierre. Grâce à cela et dû qu'à l'époque où Aypierre se connectait durant la matinée (en France) et que Bébou était généralement la seule autre personne qui était connecter sur le serveur, il a était le premier dont Pierre lui a montrer sa ferme à XP et aussi le premier non FR, en remerciement pour l'aide qu'il a donner aux frenchies et à leurs œufs durant les premiers jours de leur arriver sur l'île, dont Aypierre a ajouter dans l'allowlist pour y accéder. En en retour, il a été un des premiers (si pas le premier mais je ne suis pas sûre à propos de ça) dont Bad lui montrer sa nouvelle base quand il était en construction.
Durant toute cette période il s'apprenaient à se connaître et ils n'étaient pas aussi proche comme ils vont l'être plus tard. Ca a surtout poser les bases de leurs relations.
Aussi c'était durant cette période là où Aypierre couchait à gauche et à droite (son but principal était d'avoir tout les gars de l'île dans son lit). Aussi, en même temps, côté il y avait sa relation entre lui et Maximus qui commençait à se développer (un p'tit truc amusant, c'est à grâce à Bébou ces deux là se sont vraiment rencontrer lorsqu'ils leur a proposer de faire des shenaningans dans le dragon de Foolish). Et BadBoy avait toute cette chose avec "l'Autre Gars" (je penses que certain.e. savent de qui je veux parler).
Bref, après cette p'tite interlude on va passer au live 24h d'Aypierre où il a passait beaucoup de temps avec Bébou. Et tout cela avec Bad demandant à Pierre de l'aider à interroger Foolish en construisant une machine pour le torturer et ce dernier accepta. Puis après avoir avoir le Lucky avec Foolish et "l'Autre Gars" il apprit que ce dernier et Pierre avait déjà coucher ensemble (même si ce dernier essaya de le nier) ce qui conduisit plus tard dans la nuit à Bébou jaloux envers Aypierre, lui demandant si beaucoup de personnes étaient passer dans son lit et Pierre lui répondit en lui citant les noms. Et ensuite, Bad lui demander sarcastiquement si Skeppy était passer dans son lit et il a profiter de l'occassion pour lui demander que si c'était le cas, est ce que il coucheraient avec eux aussi. Bébou a éviter de répondre même si Aypierre continuer à le taquiner avec notamment un photomontage de Skeppy dans le lit d'Aypierre. Et ensuite, ils commencèrent à construire la machine à torture pour Foolish. Puis ils emprisonna ce dernier.
Selon moi, cette live là marqua un moment important dans leur relation surtout, je penses, du côté de Bébou qui a pu voir que la boussole morale d'Aypierre était aussi fucked up que la sienne et que ça ne le dérangeait pas de construire une machine pour torturer quelqu'un et que ce dernier ne le jugerait pas pour ça.
L'autre moment qui une autre étape importante dans leurs relation est lors de l'affaire des vols des meubles où Pierre est le seule adultes qui été présent ce jour à penser que BadBoyHalo était innocent et devait être libérer. Ce qui fait qu'il a était avec Pomme et Dapper les premiers à avoir accès à la nouvelle waystone de chez Bébou. Aypierre lui avoua c'était qui avait trafiquer le système des votes pour un nouveau mod (ce qui va installer une habitude chez Pierre de ne pas lui cacher des choses importantes, que ce soit lorsqu'il avait voler les waystones pour détourner l'attention des gens de Bébou ou bien plus avec ses rêves et de son passé avec la Fédé). Puis les œufs disparurent et à partir de ce moment là Aypierre passèrent plus de temps ensemble. Ils essaient de faire que l'autre ne plonge pas complètement. Et par exemple, durant je crois le premier jour, Pierre a été celui qui a fait rire BadBoy. Et ils passèrent aussi de longues heures à discuter et à théoriser sur ce qu'ils se passaient avec les oeufs et certaines personnes. Aypierre a aussi été un des premiers à être témoin de la dégradation mentale et physique de Bébou et à s'inquiéter de cela. Aussi, il avait prit l'habitude d'aller chez Bad lorsqu'il le voyait se connecter sur le serveur.
Après sa rupture avec Maximus, BadBoy a été la personne vers qui Aypierre s'est pour parler à propos de jambe infecté de Maxo.
En gros, durant cette période leur amitié, confiance et affection en l'un et l'autre s'est vraiment renforcé et c'est encore devenue plus forte avec le 1er Purgatory où il s'effectuaient souvent les missions et les assassinats des teams adverse en compagnie de l'un et l'autre (et il ne faut pas oublier Aypierre disant à Bad que c'est eux deux contre le reste du monde).
Puis on arrive à la troisième de Gamebreakers où les deux sont devenu plus souder que jamais, meilleures amies, étant toujours partant à participer qu'un faisant sur un des habitants de l'île (Tubbo) et aussi en faisant des pranks contre l'un et l'autre.
Et puis il y a aussi lors du dernier jour de "l'Autre Gars" lorsque Aypierre passa du temps pour replanter les graines dans la ferme de Bébou et Dapper alors qu'il n'était obliger de le faire et Bad le étant à le prévenir de ce qui se passait au même moment. Et c'était aussi le même soir où Pierre a dit à Bad qu'il savait qu'il pourrait compter sur lui pour ne pas disparaître comme Maximus avait fait.
Et il y a aussi ce moment lorsque Pomme et lui donnent les peintures qu'ils ont fait de lui comme CatBoyHalo et qu'il lui demande de miauler ce que Bad finit de faire.
Et puis arrive le Jail Event où Aypierre et BadBoy sont compagnons de cellules et cela est un grand moment pour Gamebreakers/Ayhalo. Avec Aypierre essaient de détourner l'attention des gardes de la prison lorsqu'ils les trouvèrent en train de chuchoter dans un coin, avec lui disant qu'il étaient de s'embrasser et Bébou riant à propos de ça. Pierre s'inquiétant lorsque Bad ne revient avant l'extinction des feux dans leur cellule et aussi Pierre disant lors de son entretien par les gardiens durant le dernier jour de l'évent, que la personne avec qui il quitterait l'île serait BadBoy
Puis vit le reboot et grâce à Bébou qui lui proposa de devenir partenaire d'affaire/de crime, ceci aida à le réveiller de son sommeil/dépression après avoir perdu son château. Puis il devinrent aussi voisins et ils commencèrent à développer une domesticité entre eux. Et Aypierre commença à utiliser un ton un peu flirteur avec Bad et qu'on ne l'avait seulement entendu utiliser qu'avec Maximus.
Ensuite Bad mourut et il et il revit à la vit mais en étant amnésie et essaya de l'aider à regagner sa mémoire par un prank, en lui disant que Richars et Dapper étaient ses parents.
Bref, tout cela pour dire que Gamebreakers est un de mes duos favoris sur QSMP car c'est une relation que l'on voit évoluer très naturellement et avec le temps et je presser de voir ce que le futur leur réserve. Pour ceux qui ont pris le temps de lire ce long pavée merci. Sur ce je vais aller me coucher car il est déjà 4h du mat'.
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merrilyenspensieve · 5 years
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Depuis dimanche avec Bebinous on est chez nous 🥰🥰. On a du avancer un peu le déménagement pour que Bebinous soit moins fatigué pour aller à l'école toute la journée. Eh Oui, il a un nouvel Emploi du temps avec une AVS individuelle 🥳🥳 . On essaie de trouver le meilleur EDT possible pour que je puisse prévoir un retour au travaille pour le 1er février. Je suis trop contente. Une nouvelle organisation, Bebinous va à l'école seul avec un chauffeur et d'autres enfants et les jours prevus je le rejoins pour l'emmener à ses rdv, pour une nouvelle vie, on est bien dans l'appart même si on campe beaucoup (mon frère n'est pas venu faire les travaux comme prévus et je ne sais pas quand il viendra) on fait avec et en amoureux on est bien.
Le chéri m'a beaucoup aidé Psychologiquement et physiquement (il a porter et monter pas mal de meuble 😂) a faire la transition. Il a même passé la première nuit avec moi a l'appart pour que je ne stresse pas trop. C'est un amour ce garçon.
Je pense donc être enfin de retour sur tumblr pour raconter mes petites misères et mes petits bonheurs.
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alicelacalisse · 5 years
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Donc en gros un joueur de tennis a mis en péril sa santé malgré une opération lourde à cause de la culture du succès et du cliché validiste selon lequel on est censé "repousser ses limites" aux dépens de son propre corps et tu trouves ça cool ?
Des fois je pense vraiment que je suis pas du tout assez "woke" pour tumblr et c'est pour ça que très souvent je me sens mal à l'aise ici, et ce moment en est un parfait exemple.
Je vois pas du tout en quoi c'est la "culture du succès" ou je sais pas quoi. Il s'est fait opérer de la hanche parce qu'il s'était blessé, parce qu'il souffrait énormément. C'était pas du tout une opération dans l'idée de forcément revenir pour jouer à son meilleur niveau. L'idée était de ne plus sentir de douleur dans sa vie quotidienne. Il n'était même pas sûr de pouvoir revenir jouer. Le truc, c'est que pour un.e joueur.se, le tennis c'est pas juste une occupation, un loisir. C'est toute leur vie, ça fait partie d'eux. C'est normal de continuer à s'entraîner, ils ne peuvent pas arrêter leur sport comme si c'était quelque chose d'anodin. Donc c'est normal d'essayer de revenir à la compétition, s'ils s'en sentent capables. En l'occurrence, il a lui même dit qu'il ne ressentait plus aucune douleur dans la hanche, et que revenir sur un court le rendait profondément heureux. Je veux dire.... je sais pas si on réalise ce que c'est pour eux le tennis mais ils y consacrent leur vie et... c'est fou ?
Franchement la culture du succès, j'ai même du mal à voir ce que tu dis par là, mais si c'est l'idée qu'il faut repousser ses limites et travailler dur et que c'est ça qui nous mènera au succès : je suis d'accord, c'est stupide. Ça ne marche pas pour tout le monde, c'est tout. Je suis d'accord que ça n'engendre que des problèmes encore plus grands : des problèmes physiques (puisqu'on parle de sport), des problèmes mentaux (le sentiment d'échec, la dépression etc.). Mais Andy Murray est littéralement le meilleur joueur britannique (et écossais) de l'histoire de ce sport, et l'un des meilleurs de ces 20 dernières années. Il n'est pas construit comme nous, aussi bien mentalement que physiquement. Les mecs (ou les meufs bien sûr) qui deviennent joueurs professionnels et qui atteignent un niveau aussi haut dans la compétition (il a été n°1 mondial, a gagné 3 titres du Grand Chelem, trois médailles olympiques, et 49 titres en tout), ces gens-là ont chacun leur mentalité, leur manière de penser souvent particulière mais ils ont en commun d'être tous des compétiteurs, d'adorer ça et oui, peut-être de correspondre à la culture du succès. Je ne dis pas que ça marche pour tout le monde, et je ne le pense pas, et c'est dangereux de croire que ça fonctionne pour tout le monde. Mais le fait est que pour certaines personnes, ça fonctionne, parce que les personnes dont je parle sont des athlètes de haut niveau qui sont amenés à connaître leur corps mieux que quiconque, à atteindre la limite mais à ne jamais la dépasser car ils disent eux-mêmes qu'il n'y a pas de retour en arrière.
Franchement, je pourrais écrire une dissertation sur les blessures dans le milieu du tennis : de Rafael Nadal qui s'est battu toute sa vie contre son propre corps à Thanasi Kokkinakis qui a vu sa carrière détruite par ses blessures, mais il est 23h passé et j'ai autre chose à faire honnêtement.
Je ne suis pas en train de dire que tous les athlètes peuvent se relever d'une blessure. Mais je suis heureuse pour lui. Je suis heureuse qu'il ait pu gagner ce titre, après avoir passé presque trois ans à souffrir. Je suis heureuse de le voir pleurer de joie sur le court, parce que j'ose à peine imaginer ce qu'il a dû traverser. Je ne suis pas du tout en train de dire que quand un athlète souffre, quand ce qu'il aime le plus au monde se transforme en enfer, il doit continuer à tout prix. En plus, le joueur en question n'a littéralement plus rien à prouver, personne ne peut dire qu'il a eu une carrière courte, que son potentiel a été gâché, parce que c'est faux. Il ne met pas sa santé en danger, pas du tout. L'unique chose qui le pousse à revenir jouer c'est son amour du jeu.
Peut-être que je passe totalement à côté de ta remarque. Je comprends tout à fait ce que tu dis par rapport au cliché qu'en travaillant dur on peut y arriver, parce que c'est pas vrai. Mais je pense que dans ce cas précis, c'est pas du tout ce qui s'est passé. Honnêtement, c'est une histoire de sport très typique, avec toute la dimension du dépassement de soi et de l'exploit physique (qui sont réels) qui peuvent des choses très agaçantes, mais le fait est que beaucoup d'athlètes ont cette mentalité et que c'est ce qui explique en partie leur succès, c'est-à-dire la tendance à ne jamais lâcher l'affaire.
Peut-être que je passe totalement à côté de ce que tu essaies de me dire et dans ce cas j'en suis désolée mais ce post c'était plus sur ma joie sincère de le voir revenir, parce que c'est un joueur que j'adore, et j'adore le fait qu'il n'ait peut-être pas gagné son titre le plus prestigieux (franchement Anvers c'est pas le top de la classe, c'est pas Wimbledon ahah) mais qu'il puisse revenir à un certain niveau, certes pas son meilleur, mais qu'il soit heureux. (Et c'est le tennis qui le rend heureux).
Mais pour vraiment expliquer, il faudrait que je fasse tout un post sur les blessures dans le tennis et dans le milieu du sport en général et un autre sur Andy Murray.
Franchement je suis vraiment perplexe quant à cette remarque. J'ai l'impression d'être face à quelqu'un qui découvre le milieu du sport professionnel. Bien sûr que cette mentalité de toujours pousser plus loin est ancrée en eux. Sinon ils ne se battraient jamais, et dans ce cas autant supprimer le sport de haut niveau. Bien sûr que le sport reproduit énormément de choses toxiques dont je n'ai honnêtement pas la force de parler. Je ne suis pas une grosse débile, lu extrêmement naïve, juste heureuse pour quelqu'un qui a passé tellement de temps ces deux dernières années à souffrir (d'où, effectivement la "culture du succès" mais littéralement tous les sportifs sont comme ça) et qui ces derniers mois semble reprendre enfin du plaisir.
Et j'ai énormément d'opinions sur ce qui ne va pas dans le tennis, sur les blessures, sur le sexisme, sur certains joueurs. Je ne suis pas une fan béate.
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luma-az · 5 years
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La technique et le ??? de l’écriture
Honnêtement, je ne sais même pas quoi mettre en second mot de ce titre.
J'ai commencé ce billet en me disant que je lisais trop de trucs sur les techniques d'écriture, récemment. Sans doute parce que Tumblr a envahi ma vie et que j'ai trouvé plein de profils intéressants. Et je reste toujours très fan des gens qui prennent le temps de réfléchir et faire des recherches pour apporter des réponses sérieuses à des questions qui semblent random, et qui sont en fait passionnantes ("et si des fées vivaient à l'université avec les humains", "comment est-ce que la magie d'un univers de fantasy pourrait aider des personnes souffrant de maladie mentale", etc...). Loin de tuer le coté "magie de la magie", je trouve que ces problématiques et leurs différentes réponses, les différents angles pour y répondre, élargissent notre imaginaire et poussent toujours à de nouvelles questions. Aucun problème de ce coté là.
Non, ce qui me gêne en fait ce sont les aspects techniques de l'écriture en elle-même. Les conseils après lesquels j'ai couru avidement, on ne va pas se mentir. Comment faire une bonne scène d'introduction, un bon personnage, une bonne description, un bon enjeu. Le héros aux milles visages (oui, bon, je ne l'ai pas lu, mais comme tout le monde sur internet je connais le résumé du résumé). Et même des techniques pour se mettre dans l'ambiance pour écrire, avec des routines, etc...
Je n'adhère pas à tout ce que je lis ou entends. Après tout, j'écris des fictions depuis plus de vingt ans (oui, j'ai commencé très jeune, et oui j'ai mis des années avant d'écrire quelque chose qui tenait la route, je n'ai pas été un petit prodige ou quoi que ce soit), donc je sais ce qui fonctionne pour moi ou ne fonctionne pas. J'ai déjà écris quatre romans complets et une sacrée quantité de nouvelles, je sais de quoi je parle. Pourquoi je vais lire tout ça, maintenant, à trente ans passé ? Après avoir passé mon adolescence à vomir l'analyse de texte qui "détruit la magie", alors que je n'avais pas envisagé une seconde de faire des études de littérature (qui était la voie où à peu près tout le monde me voyait...), pourquoi maintenant que je me focalise là-dessus ?
Au départ, je voulais progresser un peu plus facilement. Oui, j'ai écris des histoires, mais elles auraient pu être meilleures. La preuve, si je les écrivais maintenant, elles seraient meilleures. J'ai progressé en passant des années à écrire à tâtons, en avançant par essai-erreur, en passant de l'imitation candide de mes auteurs préférés à l'utilisation de mes propres trucs préférés. Je vois devant moi des champs entiers de domaines d'écriture dans lesquels je ne me sens pas à l'aise, et si d'autres personnes peuvent me donner des moyens de progresser sans avoir besoin de faire tout ce chemin seule en partant de zéro, ça serait super.
Mais au final, trop d'analyses m'ont surtout ranimé un fort sentiment d'illégitimité.
C'est de ma faute. Je n'ai pas juste regardé vers l'avant et ce que je voulais mettre en place dans mes histoires. J'ai aussi regardé en arrière. Vers ce que j'ai déjà écris. Et... forcément, ce n'est pas toujours beau. Ou clair. Ou bien structuré. Qu'est-ce que je voulais dire, là ? Quel est le sens de cette scène ? De ce personnage ?
En général, la réponse est : ça paraissait cool sur le moment. Cette scène était badass, j'aime ce personnage et sa manière de réagir, j'avais envie de voir la suite. Basiquement, j'écris que ce j'ai envie de lire. Des nouvelles avec zéro description, qui t'embarquent pour un enjeu et le résolvent en dix pages, parce que pourquoi faire du background dans une nouvelle, on n'est pas là pour s'attacher. Des romans fleuves qui se la jouent "série" parce que j'aime avoir plein de détails et de point de vue sur les personnages qui évoluent, et que j'aime en avoir plein. Un roman idée, parce que j'étais sûre que c'était intéressant, et ok l'héroïne et l'intrigue sont moins importantes mais je me suis bien amusée à me balader là-dedans. Des fanfictions sur des "et si...", parce que c'est toujours intéressant de prendre les mêmes personnages, de changer un détail et de voir en quoi ça influence tout le reste. Et des fanfictions-essais pour travailler les styles où je suis mauvaise, mais avec du matériel de base que j'aime sinon je vais m'ennuyer.
Non, je ne pense pas beaucoup au lecteur quand j'écris.
Sauf que maintenant, des lecteurs, j'en ai. Sur Wattpad en gratuit, et même des gens qui payent mes histoires auto-édités.
Argh.
(ce argh est un mélange de ouais c'est génial ! et de putain mais du coup il va falloir que je fasse attention à ce que je fais !)
Je crois que je ne m'attendais pas à réussir, en fait. Même si on reste sur une réussite à petite échelle, ça fait du monde qui apprécie de lire mes histoires (j'ai toujours du mal à me représenter ça en fait) et qui a envie que la suite soit tout aussi bien. Et justement, c'est ce que j'écris en ce moment, la suite.
Autant vous dire que j'ai du mal.
Et tout les conseils que j'ai lu ne font que me freiner davantage.
Je sais ce que j'ai mis en place dans le premier tome. Je sais ce que je veux raconter dans le deuxième. J'ai caractérisé mes personnages et je sais quelle évolution je vais leur donner.
A partir de là, quand j'écrivais le premier tome avec la foi de celle qui tente d'écrire un roman pour la deuxième fois et n'est pas plus certaine de le finir que le premier, je me contentais de me poser devant l'ordinateur en me disant : "bon, j'en étais où ? Ah oui. Alors voilà ce qui se passe ensuite".  Pas de plan, pas de structure équilibrée, juste un bon vieux "Sauras-tu ?" comme dans Misery. Avec parfois des blocages assez tout ou rien (type "je suis nulle, personne n'aura jamais envie de lire ça"), parce que sinon c'est pas drôle.
Mais maintenant je sais que je suis capable de finir un roman. Et je me pose beaucoup trop de questions sur la réception des lecteurs. Est-ce que c'est assez prémâché, calibré, compréhensible ? Ou est-ce que ça l'est trop ? Qu'est-ce qu'ils vont penser de l'évolution de ce personnage ? Est-ce que c'est du déjà vu ? Est-ce que ça va surprendre ? Est-ce que les lecteurs vont avoir de l'empathie pour ce personnage ? Est-ce que je ne valide pas implicitement les mauvais comportements de ce personnages ?
Je crois que ce n'est pas le moment de me poser ces questions. Elles sont légitimes. Mais je n'ai pas de réponses, puisque pendant que je me prends la tête JE N'ECRIS RIEN.
Si certains arrivent à planifier tout ce qui va arriver dans leur histoire, bravo à eux. Moi, je ne peux pas analyser à l'avance. L'histoire ira là où mes centres d'intérêts/obsessions/problématiques inconscientes vont me porter. Si les lecteurs ne les voient pas, il faudra que je corrige, que je sois plus claire, plus incisive, ou autre chose, je verrai a bien en fonction du problème. Si les lecteurs ne sont pas d'accord, ben... on n'est pas d'accord. Voilà. Ça arrive.
Je pense que les analyses littéraires sont utiles pour élargir l'intérêt que peut avoir une histoire, en permettant de mettre à jour des sens cachés. C'est important pour les lecteurs. Les techniques d'écriture, quand à elles, sont des outils à manier avec précaution quand on est auteur. C'est important de ne pas se retrouver à essayer de réparer ce qui n'est pas cassé. L'expérience et le retour des autres sont toujours utiles pour s'améliorer, mais la surcorrection est aussi un ennemi de l'écriture.
J'ai l'impression d'être très arrogante en disant ça alors que je suis loin d'être estampillée "écrivain à succès", mais je pense que pour l'écriture de son histoire, il faut d'abord se faire confiance. Plus tard, des bêtas lecteurs vont aider à voir toutes les incohérences qu'on a pu rater. Mais déjà, il faut écrire une histoire qu'on peut lire soi-même avec plaisir, au premier degré, sans la passer à la moulinette de notre analyse. Le moment de se confronter au regard des lecteurs et de corriger vient toujours bien assez tôt.
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nougaytv · 3 years
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Nouveau #challenge quotidien et croyez moi ce n'est pas facile. Trouver trois raisons d'être reconnaissante à la vie, trois choses à minima qui me rendent heureuse tous les jours, ça galvanise un max😁. le but de ce jeu est d'arrêter de voir le verre à moitié vide, de se plaindre de ce qu'on n'a pas en éprouvant de la #gratitude pour ce qu'on a. je soutiens celles et ceux qui ont encore du mal à voir les belles choses dans les malheurs, on essaie d'être là meilleure version de soi tous les jours🙏#NougayLuv❤️ #motivation #ilyauratoujoursunsoiretunmatin #tantquilyalavieyalespoir #lemeilleurrestedisponible (à Sur La Garonne) https://www.instagram.com/p/CT2zFGcIw92/?utm_medium=tumblr
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christophe76460 · 3 years
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PENSÉE DU JOUR MERCREDI 07 Juillet 2021 _*Approchez-vous du trône avec assurance*_ _*Approchons-nous donc du trône du Dieu de grâce avec une pleine assurance. Là, Dieu nous accordera sa bonté et nous donnera sa grâce pour que nous soyons secourus au bon moment. Hébreux 4:16*_ Dieu veut que nous prenions l'habitude de courir vers Lui pour recevoir la grâce, car elle est pour nous une force intérieure surnaturelle. Il désire que nous nous appuyons entièrement et uniquement sur Lui. Mais l'ennemi essaie de nous mentir en nous disant que nous ne sommes pas assez bons pour entrer dans la présence de Dieu. Satan essaie de nous convaincre que nous avons fait trop d'erreurs pour que Dieu veuille encore s'intéresser à nous. Mais ce n'est pas ce que la Parole dit. Elle dit que Ses enfants rachetés et pardonnés peuvent s'approcher de Son trône avec assurance. Vous devez recevoir cette vérité aujourd'hui et prendre la décision de la vivre pleinement. Au lieu de dire: "Je ne ressens pas l'amour de Dieu", "Je ne me sens pas pardonné" ou "Je n'ai pas le sentiment que le meilleur soit à venir", dites plutôt : "Dieu m'aime et rien ne peut me séparer de Son amour. Il m'a pardonné et je peux m'approcher de Lui dès maintenant, avec l'assurance qu'Il m'accepte et me reçoit." A chaque fois que vous vous sentez indigne ou sans valeur, souvenez-vous de ce que dit la Parole de Dieu, puis allez vers votre Père Céleste d'un pas assuré. Il attend avec impatience de vous accueillir ! _*Ma prière pour aujourd'hui:*_ Seigneur, je viens vers Toi avec assurance parce que Ta Parole dit que je suis pardonné et que je peux sans cesse m'approcher de toi. Merci pour Ton pardon et pour Ta grâce disponible à chaque instant. Amen. Joyce Meyer https://www.instagram.com/p/CRCO4ZyMWOD/?utm_medium=tumblr
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Interview Chaviré
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Salut ! Pour commencer l’interview vous pourriez vous présenter et parler de ce que vous faites dans la vie hormis la musique ?
Salut, on s'appelle CHAVIRÉ, on est un groupe de punk hardcore constitué de personnes qui essaient tant bien que faire ce peu de lutter contre la résignation ambiante en essayant de faire des choses qui mettent du sens dans nos vies. Il y a des moments contraignants, des moments de joie, d'ennuis, de rage, de tristesse…
Comment s’est formé le groupe ? Je sais que vous aviez d’autres groupes avant. Selon vous en quoi Chaviré est différent de vos anciens projets ?
Nous sommes des amis qui voulions commencer un groupe dans un style qu'on apprécie particulièrement ainsi que profiter de l'occasion de jouer de la musique (et de la jouer devant des gens plus précisément) pour essayer de dire des trucs un peu moins bête que la moyenne (ce qui n'est pas forcément un exercice compliqué). Avoir l'occasion de tenir un micro pendant une vingtaine de minutes devant des gens et d'être écouté pendant ce laps de temps est une occasion plutôt rare, autant se saisir de cette chance pour essayer d'apporter autre chose qu'un énième numéro de clown. Pour le reste CHAVIRÉ n'est pas vraiment différent de nos anciens et actuels autres projets, c'est relativement les mêmes personnes essayant de mettre en place des stratégies pour esquiver les pièges du Vieux Monde dans nos vies. Peut-être que la forme diffère, on sait pas trop.
Vous vous y prenez comment pour composer ? Et toi Elyas tu as des sujets qui sont plus faciles ou difficiles à aborder dans les paroles ?
On s'y prend comme la majeur partie des groupes a priori, on cherche quelques accords et rythmes qui nous plaisent, on essaie d'écrire dessus des paroles qui nous parlent et puis on essaie de faire exister ça ensemble. Ensuite on répète cette formule à l'infini.
D’ailleurs en parlant de paroles j’ai vu sur votre tumblr que vous postiez des théories pour que l’on comprenne mieux les paroles. Pourquoi faire ça alors que très peu de groupes s’en donnent la peine ?
On parlait un peu plus tôt de la résignation générale, on va enfoncer des portes ouvertes mais le milieu punk comme le reste de la vie n'échappe pas à la règle. Alors on essaie de faire preuve de rigueur, de rendre plus transparentes nos pratiques et nos réflexions, parce que peut-être que ça permettra à des ami.e.s de se retrouver là-dedans, à d'autres de se demander ce qu'ils et elles attendent du microcosme punk. Que le microcosme punk se complaise de son vernis de provocation pour avoir l'air sulfureux c'est pas vraiment notre problème, on est loin d'être les premiers à choisir de faire autrement, sûrement pas les derniers non plus, on préfère trouver des camarades dans celles et ceux qui questionnent leurs manières de faire.
Tumblr est le seul réseau social où vous êtes présent. Pourquoi ne pas avoir créer de page Facebook comme l’énorme majorité des groupes ?
Pour une raison évidente de manque d'intérêt. Notre priorité était d'avoir un groupe de musique avec quelque chose à raconter et on trouvait ça plus intéressant de le faire vivre en vrai plutôt que sur un réseau social.
En parcourant votre Tumblr pour préparer l’interview j’ai vu que vous étiez engagé hors de la musique en soutenant certains militants emprisonnés. Vous pourriez expliqué quelles causes vous défendez ?
On ne fera pas de liste de causes nobles à défendre comme on écrit une liste de courses. Disons que nous nous sentons proches de celles et ceux qui luttent dans leur quotidien, individuellement et collectivement contre l'apathie généralisée et qui mettent en place, par différents stratagèmes, des pièges pour détruire ce monde merdique.
J’ai vu que vous aviez déjà tournée dans des pays étrangers et non francophones. Le message de vos chansons passe quand même ? Les gens comprennent votre démarche là-bas ?
Nous avons presque à chaque fois pris la peine de diffuser les paroles, accompagnées de commentaires traduits. Cependant il est évident que la majeure partie des gens qui ont pu chercher à comprendre ce que nous racontions ont fait la démarche de traduire nos paroles dans des langues qui les rendaient compréhensibles pour elles et eux. Un concert c'est aussi un lieu d'échange et l'on profite (comme lorsque l'on joue dans nos frontières, devant des gens qui parlent la même langue que nous) de ces quelques minutes d'écoute pour justifier notre existence et nos motivations. Des fois ça prend, des fois non… Il est parfois frustrant de se retrouver dans des cadres qui ne permettent pas toujours l'échange facile, simple. Même si il ne faut pas tomber dans un déterminisme idiot, les bars et café-concert, lieux de consommation et de la fête, ne sont pas toujours adéquats pour établir des échanges profonds avec les gens.
En tournant vous avez remarqué des différences entre la scène punk française et étrangères ? Des choses qui vous ont surprises ou choqués ? Des endroits préférés ?
En tournant on a surtout remarqué des différences entre la VIE en France et celle ailleurs. Le chanteur d'un célèbre groupe de hardcore américain, amateur de spoken word, disait assez justement que la meilleure façon de comprendre le pays où tu vis étais de le quitter. Dans une certaine mesure, le fait de pouvoir tourner en Europe à plusieurs reprises nous a permis de comprendre que ce territoire avait finalement une « unité » bien artificielle. Il y a assez peu à voir entre le quotidien tel qu'on le connaît en Europe de l'Ouest et celui de la Macédoine par exemple.
C'est toujours délicat de parler de « scène » en revanche ; française ou étrangère. On a pas de relation avec « la scène », seulement des rencontres, des solidarités, des amitiés. Nos endroits préférés c'est ceux où l'on a rencontré des ami.e.s, où l'on a eu le sentiment de construire des choses collectivement, avec des personnes qui voulaient autant que nous mettre ce monde à genoux.
J'ai vu que vous aviez joué au fluff fest cet été. Comment vous avez réussi à booker une date là bas ? L'ambiance avait l'air aussi super cool. Vous pourriez nous parler de votre ressenti sur le fest ?
On parlait juste au dessus de lieux de rencontre avec des ami.e.s, avec des camarades qui partagent les mêmes constats que nous sur l'époque misérable dans laquelle nous vivons ; le Fluff Fest aura été un de ces lieux. C'est un festival qui a lieu tous les étés depuis 17 ans en République Tchèque, qui essaie de croiser la musique et les alternatives politiques. On a pas vraiment booké de date là-bas, le festival nous a contacté pour nous proposer de jouer, on voulait pas manquer ça et c'est parti de là.
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Pour rester sur le thème de la scène punk, vous avez développé votre vision de la scène dans un billet sur tumblr. Vous pourriez expliquer pour vous ce que c’est que faire du punk rock à l’heure actuelle ? C’est quoi la scène punk/DIY pour vous ?
L'idée générale que l'on développe dans ces quelques textes c'est qu'il n'existe pas une scène (unique et monolithique) mais une multitude de scènes qui constituent ce microcosme qu'est le punk. Qu'une partie de ces scènes nous ennuie au plus haut point tant elle n'est focalisée que sur la musique.
Si le punk doit servir à quelque chose, c'est d'être la bande-son de nos tentatives de changer ce monde radicalement, de servir de lieu de rencontre entre celles et ceux qui partagent l'envie d'en découdre et de commencer à vivre quelque chose de nouveau.
J’ai cherché sur internet des interviews de Chaviré pour éviter de poser des questions autour des thèmes déjà abordés mais j’en ai trouvé peu. C’est une volonté de votre part ?
On est assez lent à répondre à ce genre de sollicitations en général, même si l'exercice de clarifier nos motivations ne nous déplaît pas. La raison première c'est néanmoins que la majorité des interviews auxquelles on a répondu ont été publiées dans des fanzines papier (et qu'elles n'ont pas été rapportées sur internet), voilà tout.
Pour le futur vous avez des projets ? Tournée, splits, etc
Nous allons partir d'ici quelques jours en tournée dans le Sud de la France, en Espagne et au Portugal, nous serons accompagnés par nos amis de KROKODIL, groupe d'emo crust que l'on ne peut que vous conseiller dès que ces derniers auront mis leur démo en ligne.
Pour le reste on va très probablement continuer à faire des concerts et enregistrer des titres mais toujours pas de plans sur la comète, les morceaux d'Interstices sont encore tout récents, on va probablement commencer par les jouer un peu.
On termine avec  la question rituelle du zine. En quoi c’est important pour vous de faire de la musique, se taper toutes ces distances collés les unas aux autres, investir ses économies dans du matos et des enregistrements ? Comment vous expliqueriez ça à un non musicien ?
On a essayé de répondre à cette question du sens que nous mettions là dedans au travers des questions précédentes, ça doit être relativement clair maintenant. La vérité c'est aussi que ça demeure un privilège que nous pouvons nous permettre de part les places privilégiées qui sont les nôtres dans ce système. CHAVIRÉ ça demeure un moyen de faire passer des idées, un moyen au travers duquel on s'épanouit mais juste un moyen, jamais une fin en soi.
Interview par Lucas. 
Edito :
“Il n’y a rien de pire que les gens qui se prennent au sérieux dans la musique” disait Jean Baptiste Guillot, fondateur de Born Bad Records au micro de France Inter il y a quelques temps, le jour même où j’ai lu cette interview.
Je lis tout ce qui se publie ou non sur ce webzine. Tout d’abord par intérêt, et enfin pour tenter de continuer à publier un contenu que je juge intéressant.
Et donc voilà les faits : Lucas a gentiment décidé de donner la parole à Chaviré un groupe français, comme on aime le faire ici. C'était même ma première motivation en créant Feel Like : donner la parole à ceux qui ne l'ont pas. A la lecture de l’interview de Chaviré, j’étais tout d’abord enthousiaste puisque je ne connais peu ou pas le groupe. Je suis curieux de nature. A la fin de l’interview j’avais un sale goût dans la bouche. J’ai interviewé des dizaines de groupes, parlé à beaucoup de musiciens, observé encore plus, j’ai rarement eu  à être témoin d’un tel mépris intellectuel,( interview de Finkielkraut comprise).
Si je publie aujourd’hui cette interview sur mon webzine, et si je la publie en donnant mon avis dessus au préalable ( chose que je n’ai jamais faite en deux ans) c’est tout simplement pour me dédouaner de leur attitude donneuse de leçon.
Je suis surement d’accord avec Chaviré sur la plupart de leur points de vue, c’est bien ça le pire de cette histoire. Le militantisme et la défense de sujets qui nous tiennent à cœur comme l’accueil des réfugiés, l’anticapitalisme, l’anti-racisme, l’anti sexisme ou que sais-je encore.
Mais quel rapport avec la musique ? Pourquoi vouloir faire une telle différence entre ceux qui joue de la musique pour l’amour de la musique et ceux qui le font de manière militante ? Nous avons récemment reçu Glen Football et Les Mauvais Jours, qui sont aussi, en tant que groupe ou qu’individu, investis dans les causes militantes, mais qui ont su expliquer leur démarche sans faire passer cela comme la seule, unique et la plus sérieuse des manières de faire de la musique.
Du coup me voilà à lire cette interview, heureux de faire de la musique pour m’amuser, passer du temps et créer avec des amis qui me sont cher, à apprendre que je fais partie des gens qui “ennuient au plus haut point” Chaviré, que l’on fait les “clowns sur scène” puisque l’on crée et joue une musique uniquement pour les sentiments qu’elle nous procure ou peut procurer.
Je suis fier d’être un clown ennuyant pour l’élite du microcosme punk français, et comme disait Camus “ Le mépris des hommes est souvent la marque d’un cœur vulgaire”.
Mathieu
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