Tumgik
luma-az · 3 months
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Bonjour ! Je fais mon mémoire de master sur la place du français au sein des tags d'Archive of our Own. Afin d'avoir la perspective des utilisateur.ices du site, j'ai créé un petit sondage, et ça m'aiderait grandement si certain.es (ou beaucoup) d'entre vous pouviez y participer.
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Hello! I'm doing my master's thesis on the French language is used in Archive of our Own's tagging system. I created a survey to collect users' perspectives and I would be very grateful if some (maybe many!) of you could take a few minutes and fill it in.
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luma-az · 3 months
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Just a timelapse.
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luma-az · 4 months
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luma-az · 4 months
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luma-az · 4 months
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“Mom’s gay friend from her thirties had a mental breakdown so he’s going to live in our backyard for awhile until his antidepressants start working” is the funniest ending any of us could’ve hoped for God bless
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luma-az · 4 months
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luma-az · 4 months
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Some say "Merry Christmas". From the world I come from, we say "Happy Hogswatch"!
. “IT'S THE EXPRESSION ON THEIR LITTLE FACES I LIKE, said the Hogfather. "You mean sort of fear and awe and not knowing whether to laugh or cry or wet their pants?" YES. NOW THAT IS WHAT I CALL BELIEF.” ― Terry Pratchett, Hogfather
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luma-az · 5 months
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The Bird Daughters. A comic about a bird woman and her dreams. made in the spring of 2023.
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luma-az · 6 months
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if you think about it, every time we tranquilize animals to transport them safely to another place, we are the sleep paralysis demon
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luma-az · 6 months
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Happy Halloween! Here's all my my Drawtober challenge for this month, "BONES"! Hope you liked it.
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luma-az · 6 months
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“Bottlecaps”
My submission for ArtOrder’s Tiny Dragons project! This was made with my usual mess of watercolor, ink, and colored pencil on 8x8″ hotpress watercolor paper…this time I really tried to pin down the value structure of the whole piece, and I’m feeling good about that aspect of it. :D 
Prints available here. 
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luma-az · 7 months
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mmm soob
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luma-az · 8 months
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Vigilance by Tony Sart
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luma-az · 8 months
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Des milliers de bouteilles à la mer
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 30 août 
Thème : au revoir/écrire
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Chaque jour, elle allait jeter une bouteille à la mer. Une bouteille en verre, soigneusement scellée, contenant une feuille de papier chargée de mots.
Personne n’était censé les lire.
Ecrire, pour elle, c’était une décharge. Un moyen de se défouler, de se sortir de la tête des idées qui y trainaient trop, des pensées qui sentaient le rance, des rancunes et des regrets. C’était aussi un moyen de parler sans être interrompue. Et même si au final elle les destinait au grand large, elle se sentait écoutée, en écrivant ses messages, comme jamais elle ne l’était dans sa vie de tous les jours.
Au quotidien, c’était une gentille fille. Toujours positive. Toujours prête à aider. Un soutien, une oreille, une main secourable, un pilier.
Et elle aimait ça. Elle n’avait pas envie de le gâcher. Elle parlait, oui, et elle était même sincère, parfois. Mais elle ne disait jamais tout. Le reste, elle le gardait pour elle, dans un coin de sa tête, au fond de son cœur, elle le ruminait, le ressassait, avant de le régurgiter sur la feuille. L’acte d’écrire lui a toujours paru salutaire, jamais élégant. Peu importe. Les vagues ne s’en sont jamais plaintes.
Aujourd’hui, elle n’a écrit que deux mots sur sa feuille : Au revoir.
Je sais que personne n’était censé lire. Sauf que depuis tout ce temps, moi j’ai lu. Et j’hésite. J’angoisse. Que faire ? En réalité, je n’ai aucune idée de ce qu’elle compte faire, de ce que veulent vraiment dire ces mots. Sauf qu’au fond de moi, après avoir dévoré tous ses messages, je sais très bien ce qu’ils veulent dire. Je sais ce que voulait dire le geste, depuis le début, de jeter une bouteille à la mer. Ça a toujours été un appel à l’aide désespéré.
Ça me terrifie, mais j’ai pris ma décision. Tant pis pour elle, je suis trop inquiet pour ne pas m’en mêler.
Par contre, me rencontrer risque de lui faire un sacré choc.
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luma-az · 8 months
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Pour bien commencer, ma petite journée...
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 29 août 
Thème : café/dernières fois
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C’est fini, j’arrête le café.
C’est mauvais pour la santé, ça me stresse, ça gêne mon sommeil. Sans oublier que c’est dégueulasse. Je ne peux pas le boire sans rajouter du lait ou du sucre – ou encore mieux, les deux, voir même de la chantilly. Je ne l’aime même pas, le café. Ça va être très simple. Sevrage sec. De toutes manières, je n’en buvais pas tant que ça. Je ne suis même pas sûre que je verrai une différence.
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J’ai envie de mourir.
Le mal de crâne est une horreur. Mes pensées ne sont plus qu’un petit tas de boue vaseuse mollement agitées par le bâton d’un gamin à moitié endormi. Et j’ai moins d’énergie qu’un combat de pokémon entre un coconfort et un chrysacier.
Pitié, que quelqu’un m’achève.
Tant pis, je vais reprendre un café. Il faut que je survive à cette journée, et que je sois opérationnelle pour la réunion. C’est important, c’est pour mon travail ! Et ce sera la dernière fois.
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Bon. Ça n’a pas été la dernière fois, mais je me contrôle maintenant. Pas plus d’une tasse par jour, le matin, histoire de dormir malgré tout. Oui, tant qu’à me limiter à une tasse, on est plutôt sur un mug, voir un bol, mais après tout c’est un classique, le bol de café le matin, et ça n’a jamais empêché personne de dormir, non ? Ça suffira bien.
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Ça n’a pas suffit. Ça n’a pas suffit du tout. Il faut vraiment que j’arrête. Il faut absolument, définitivement que j’arrête. Cette nuit, j’ai dormi trois heures. Celle d’avant, quatre. Celle d’encore avant, quatre et demi. Et la précédente, deux.
J’ai tenu un certain temps, et là je m’écroule.
Ce que je compense avec plus de café.
Donc maintenant c’est bon, j’ai compris ma leçon. C’est triste, il y a des milliards de gens qui vivent très bien sous caféine, ce n’est pas mon cas, il faut que je me fasse une raison. Cette fois, c’est la dernière fois. Promis, juré, craché, j’arrête.
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Je suis une loque essorée jusqu’à la moelle de la dernière goutte d’énergie qui lui restait.
Que quelqu’un m’achève.
Comment fonctionnait mon cerveau, avant ? Il y a bien eu une époque où ce cerveau marchait sans caféine. Je m’en souviens. A peu près.
Plus envie de rien. Tout s’accumule.  Et s’accumule. Et s’accumule…
. Ok, j’ai repris, mais j’étais très stressée ! Et puis une tasse ça ne va pas me tuer. Ce n’est pas de la cigarette non plus !
Cette fois, c’est dit, c’est décidé, c’est la dernière fois.
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luma-az · 8 months
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La guerre éternelle
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 28 août 
Thème : un œil fermé/il reste des batailles à mener
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Un œil fermé, un œil ouvert, c’est comme ça qu’on dort quand on est en mission. C’est tout un entrainement. Mais on sait tous le faire. Après tout, on est des vieux de la vieille. On en a connu, des batailles ! Même si on a toujours connu qu’une seule guerre.
Oui, l’armistice, on en a tous entendu parler. Mais c’est un mirage. Un truc pour faire rêver les petits jeunes et les convaincre de s’engager. La guerre, elle a commencé bien avant notre naissance, et elle continuera bien après notre mort. C’est comme ça. C’est une bête insatiable qui réclame sa cargaison de chair fraiche tous les jours. Un jour, toi comme moi, on en fera forcément parti.
Mais le plus tard possible ! C’est ça le truc. Survit à tes premiers jours, gamin, ensuite tu seras un vrai bleusaille. Encore quelques années sous les drapeaux et tu deviendras un combattant, puis un aguerri, et pour finir un vétéran. Rien n’est plus vénérable qu’un vétéran : c’est quelqu’un qui a su survivre à tout, dans la guerre. Il a tout vu, tout fait, et plusieurs fois. Ecoute toujours tous les conseils et tous les ordres des vétérans, c’est ça qui te gardera en vie un peu plus longtemps que si tu comptais seulement sur ta jolie petite tête et les bases qu’ils t’ont appris au camp de formation.
C’est bien beau de t’apprendre à tuer, mais ici, on va t’apprendre à survivre. On va t’apprendre à éviter les rats et les maladies, à rendre comestible ce que les cantiniers mettent dans ta gamelle, à prendre soin de toi et de tes affaires. Et la première leçon, pour ne pas se faire trancher la gorge bêtement pendant ton sommeil, c’est ça : dorénavant, tu vas dormir un œil fermé, un œil ouvert. Au début ça va faire bizarre, et au bout d’un moment tu vas te réveiller en pleine forme ! Et on en a besoin. Il nous reste un sacré paquet de batailles à mener, alors t’as intérêt à t’y mettre tout de suite !
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luma-az · 8 months
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Le trou
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 27 août 
Thème : soleil/repartir de zéro
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Le soleil brûle ma peau et cuit tout le paysage à l’étouffée, transformant le monde en four.
Je veux rentrer chez moi.
Ah, oui. Je n’ai plus de chez moi.
C’est doucement ironique, non ? Moi qui ai coupé tous les ponts avec ma famille, qui ai rejeté mon héritage et mes responsabilités, moi qui suis parti à fond la caisse en n’ayant que ma voiture et les vêtements que j’avais sur le dos… Moi qui ai tout fait, tout sacrifié pour être certain d’enfin pouvoir faire absolument tout ce que je voulais. Repartir de zéro, selon mes propres termes cette fois, mes propres règles du jeu. Je me retrouve en train de mourir à petit feu dans le seul endroit au monde où je n’avais aucune envie de mettre les pieds un jour.
Comment j’en suis arrivé là ? Je le sais, bien sûr, je l’ai vécu, c’est mon histoire, mais en même temps je n’arrive pas à le comprendre. J’allais bien. Tout allait bien. A quel moment ça a merdé ? Pourquoi tout ce que j’ai fait pour corriger le tir n’a fait qu’empirer les choses ?
Je suis épuisé, mais mes muscles peu habitués me font moins mal que mon dos. Brûlure au troisième degré, bientôt cuit à point. Bien sûr, personne ne se soucie assez de mon bien-être pour me donner de la crème solaire. Ni un chapeau. Si je m’effondre d’une insolation, qui creusera leur trou ?
Ils s’en foutent. J’imagine que si je m’évanouis, ils le finiront eux-mêmes, le trou. Pour l’instant, ils économisent leur énergie et leur sueur. Ils se contentent de me regarder, au-delà de leurs lunettes de soleil qui reflètent tout le paysage. Le doigt sur la gâchette, ils me surveillent.
Je leur demande de l’eau. A ma grande surprise, ils m’en donnent. Peut-être que ça ne va pas si mal finir que ça, après tout. Peut-être que…
Le chef me demande :
« Il a l’air assez profond, ce trou, non ?
Ce n’est pas la première fois qu’il me pose la question. Jusqu’à présent, j’ai voulu gagner du temps, et à chaque fois je lui ai répondu « non, non, il n’est pas assez profond, je dois creuser encore ».
J’espérais. Je ne sais plus trop quoi. Mais j’espérais.
Maintenant, je n’en peux plus.
Je savoure l’eau. Chaque gorgée est un instant de bonheur.
Puis je réponds :
— Oui. Il est assez profond. »
Le chef hoche la tête. Il tire.
Les bras en croix, je m’écroule en arrière dans ma tombe.
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