La plume fossilisée d’archéoptéryx découverte en Bavière en 1861. Museum fur Naturkunde
Serpent à sonnette
À plumes dans l’olivier
Parmi la distribution quotidienne de pollen
Un merle et quelques mésanges
Ont vu de loin passer un geai géant
Son ombre comme celle d’un cerf-volant
Était semblable à celle d’un milan
Le silence est rompu en mille éclats verts
Scintillement de voix…
La BD a été mon premier amour avant que je décide de raconter avec des mots des histoires trop longues à dessiner. Maîtresse des vents, 92 p., chez #Échofictions
La BD a été mon premier amour avant que je décide de raconter avec des mots des histoires trop longues à dessiner. Mais c’est un besoin de l’âme qui revient me frapper comme un boomerang alors que les années roulent sans s’arrêter.
Je peux annoncer fièrement la naissance de mon nouvel album de BD : Maîtresse des vents, une BD de 92 pages chez Échofictions, qui explore mon univers de science…
ANECDOTE | Charles VI adopte les cerfs ailés comme supports de ses armoiries ➽ https://bit.ly/CharlesVI-Armoiries-Cerfs Singulières furent les armoiries de Charles VI, qui fit du cerf ailé ou « cerf volant » son emblème de prédilection, non pas d’après l’histoire du cerf trouvé dans la forêt de Senlis qui a tout l’air d’une vision et d’un conte fait à plaisir, mais à la suite d’un songe, seuls Charles VII, Louis XII et François Ier semblant avoir adopté à sa suite ces mêmes supports #roi #Charles VI
Il y a longtemps que toute trace de haine pour les Allemands m'a quitté. Et si le nazisme n'était pas une monstruosité inhumaine ? S'il était humain ? S'il était un aveu, une vérité cachée, refoulée, camouflée, niée, tapie au fond de nous-mêmes, mais qui finit toujours par resurgir ? Les Allemands, bien sûr, oui, les Allemands... C'est leur tour, dans l'histoire, et voilà tout. On verra bien, après la guerre, une fois l'Allemagne vaincue et le nazisme enfui ou enfoui, si d'autres peuples, en Europe, en Asie, en Afrique, en Amérique, ne viendront pas prendre la relève.
Dans un pli du cœurEntre deux battementsDans le ressac du tempsSans autre repèreQue le flux du sangQui frappe mes artèresJ’attendsQue le destin délibèreL’espace d’un instantQu’il réduise en poussièreMes ailes de géantOmbres d’éphémèreDans les rayons brûlantsA moins qu’il ne libèreLes assauts du ventM’emporte là où j’espèreLéger cerf-volant