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#cimetiere des rois
lacrimis · 6 years
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La Pieta, sculpture by Christian Gonzenbach
Aerial view
Cimetière des Rois, Genève - Switzerland
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readingloveswounds · 4 years
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My Great Big Reading List
Here it is! These are the books that I’m trying to read this summer - in the future, some of them could be part of an exam reading list, but that is to be fully and officially built at a later date. I do not necessarily anticipate finishing this list in its entirety, but it’s got a whole lot of fairly different works on it.
I made it along a couple themes, just to narrow down my choices - very generally they were violence, war, bodies, and identity. I also added some that I was just interested in (see a few in the 18th and 19th centuries).
Not all of these have been easy to find online or in paper!
A final warning because Saint-Cyr and de Sade are both on there - be careful with those two books and be sure you want to read them prior to doing so - looking at their descriptions and being aware of de Sade, they deal with a lot of brutality. These aren’t really the kind of thing you’d read on a whim.
***Note that while reading over the summer before grad school is great, there is no actual requirement for doing so in most cases (in the US, at least as far as I know).***
Medieval
La Chanson de Roland Lancelot (Charrette) - Chretien de Troyes La Folie d'Oxford - Béroul Erec et Enide - Chretien de Troyes La Mort le roi Artur - (from the Vulgate-Grail, I think?) Aucassin et Nicolette Le Livre du voir dit - Guillaume de Machaut La Prison amoureuse - Jehan Froissart Le Livre de la cité des dames - Christine de Pizan Le Petit Jehan de Saintré - Antoine de la Sale Les Cent Nouvelles Nouvelles Le Charroi de Nimes
16th Century
Les Tragiques - Agrippa d'Aubigné Discours des misères de ce temps - Pierre de Ronsard Histoires tragiques - Francois de Belleforest Abraham sacrifiant - Théodore de Bèze Lepante - Guillaume de Salluste du Bartas la "Monomachie de David et de Goliath" - Joachim du Bellay Porcie - Robert Garnier La Rochelleide - Jean de la Gessée Illustrations de Gaule et Singularitez de Troie - Jean Lemaire de Belges Discours de la servitude volontaire - Etienne de la Boétie Médée - Jean de La Péruse Pantagruel - Francois Rabelais
17th Century
Oeuvres poétiques - Theophile de Viau Le cid - Corneille Andromaque, Phèdre, et Britannicus - Racine Contes - Charles Perrault Les Aventures de Télémaque - Fénelon La Mort d’Achille, La Mort d'Alexandre, Coriolan - Alexandre Hardy Dom Juan - Molière
18th Century
Le Diable amoureux - Jacques Cazotte Le Paradox sur le comedien - Denis Diderot La dispute - Pierre de Marivaux L'Esprit des lois - Charles Louis de Secondat Montesquieu Pauliska, ou la Perversité moderne - Jacques-Antoine de Reveroni Saint-Cyr* Aline et Valcour - Donatien Alphonse Francois de Sade* L'emigré - Gabriel Senac de Meilhan Paul et Virginie - Bernardin de Saint-Pierre Memoires du Comte de Comminge - Claudine-Alexandrine Guerin Tencin Traité sur la tolerance - Voltaire
19th Century
Atala - Chateaubriand La Chartreuse de Parme - Stendhal La fille aux yeux d'or - Balzac Lorenzaccio - Musset Le Dernier Jour d'un condamné - Victor Hugo La Sorcière - Michelet Carmen - Merimée La Morte Amoureuse - Gautier Les fleurs du mal - Baudelaire Les Diaboliques - Barbey d'Aurevilly Boule-de-Suif / Mademoiselle Fifi - Maupassant Les Chants de Maldoror - Leautreamont Igitur - Mallarme
20th Century
Cahier d'un retour au pays natal - Césaire Traversée de la mangrove - Condé Les Bonnes - Jean Genet Antigone - Anouilh La femme de Job - Chedid Nedjma - Kateb Yacine Le Cimetiere marin - Valéry La route des Flandres - Simon Stèles - Segalen La condition humaine - Malraux La Guerre de Troie n'aura pas lieu - Giradoux Le dimanche de la vie - Queneau
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itslucycarter-blog · 4 years
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FUNERAILLES ANOMALES D'ART CONTEMPORAIN
A Morille, une ville de Salamanque avec 263 habitants, ils prennent tres au serieux la theorie de Theodor W. Adorno sur les musees et les mausolees: au lieu d'exposer des ?uvres d'art, ils les y enterrent. Parmi les pieces enterrees figurent des ?uvres d'Isidoro Valcárcel Medina et Esther Ferrer, Paul Naschy et Bernardí Roig, le Grand Prix Pontiac de Javier Utray, la pepite d'or du V vice-roi de Sicile et meme le Jabulani avec laquelle l'equipe espagnole a remporte la Coupe du monde en Afrique du Sud, gracieusete de Vicente del Bosque. C'est l'histoire d'un lieu rare.
peut-etre ce que Holbein nous a laisse dans son extraordinaire Danse macabre c'est la certitude que l'on est perdu meme si on rit. Nous savons que les fous et les bouffons ont un acces privilegie au monde des morts, que ce Vallee sans retour(le double ou l'investissement de notre monde) est "passable" par ceux qui sont litteralement hors de propos. Les bouffonneries, farces et danses dans l'espace sacre ou dans l'enceinte des morts ont ete, d'une part, encouragees et, d'autre part, radicalement interdites, ne les considerant ni plus ni moins que des actes diaboliques. Le fou suit le chemin de la mort que joue la cornemuse, bien que le geste de l'index sur la levre revele un rare moment de lucidite, un soupcon devant sa joyeuse compagnie qui a quelque chose d'un miroir indesirable. Entre le doute et cette invocation au silence, la danse continue qui pourrait etre decrite comme inapproprie. La musique, on le sait, ne s'arrete pas meme lorsque le naufrage est inevitable (amere conscience du "hommes posthumes" qui voulait sauvez leurs amesquand l'orgueil de la technique, le Titanic, est tombe dans les egouts) et meme a la fete, tandis que certains boivent du vin en grande quantite et un autre vomit (je me souviens, opportun comme je pense, de la grandeur sinistre, familiere et refoulee de Brueghel) la mort deguisee continue de remplir son horrible tache. Chaque danse est une pantomime de metamorphose qui doit transformer le danseur en un dieu, un demon ou une forme existentielle qui aspire a quelque chose de different de la lourdeur erodee du monde. Nous avons besoin des masques pour faciliter cette transformation; Cet acte peut favoriser un retour du refoule, surtout quand on continue au pire , en cette periode folle ou la destruction genere un plaisir esthetique de premier ordre et le mode de vie est litteralement menace par expulsion.d'une societe soumise a l'imperatif pre-nietzscheen de dette et de mauvaise conscience. La danse (presque epileptique) en a marre, surtout quand les choses sont tres sommaires. On revient, inconsciemment, a cette lassitude (baroque) du spectacle. La choregraphie epigonique voudrait revenir a l'esprit grotesque du carnaval, cet extraordinaire "monde a l'envers" dans lequel le bouffon etait roi.
Le gang en route vers le musee du mausolee
Un philosophe serieux comme un bloc de granit (Adorno, pour plus de details) a suggere que le Musee et le Mausolee partagent plus que nous ne l'imaginons et peuvent meme etre embrasses dans une passion etymologique franche. La verite est que les ?uvres d'art sont rigides et a temperature constante, quelque chose de suspect ou de derangeant. De plus, le silence rituel et les visages circonspects de ceux qui frequentent ces andurriales suggerent que la mort est dans ce paradis des muses. Domingo Sánchez Blanco (charro et artiste bizarre, capable d'assumer le role de boxeur, acteur porno ou conferencier qui endoctrine des champignons) et Fabio Rodríguez de la Flor (ecrivain et editeur qui ose publier des livres avec le label Delirio) m'a implique il y a une decennie dans la tache perverse de fonder le Musee-Mausolee Morille; dans cette petite ville de 260 habitants, situee a une vingtaine de kilometres de Salamanque, se deroulent depuis des annees des celebrations poetiques «paniques», c'est-a-dire autour du pain, dans lesquelles «Los Torreznos» ou «Ajo» ont «joue». Non content de ces folies, Manuel Ambrosio, maire-universitaire de cette ville, a soutenu l'illusion funeraire en offrant 90 000 metres carres a proximite du terrain de football. Le 17 decembre 2005, lematiere avec une parade pathetique en ordre: un cocher dans une cape castillane et un chapeau avec des toiles d'araignees, une voiture tiree par un magnifique cheval noir, deux fanfares jouant le pairo de la situation, une voiture accordee et meme quelques gars qui ont fait des cascades de forme, tout doit etre dit, tout a fait patatera. De la ville, a travers une ruelle pleine de flaques d'eau, nous sommes arrives au cimetiere ou les deux tombes etaient deja preparees: une immense pour le Pontiac de Javier Utray, l'autre minuscule pour les cendres de Pierre Klossowski, le theologien pornographique, collecte par Domingo Sánchez White apres un ineffable Road-movie parisien.Grace a l'etat de plomb des discours, qui ont ete lances du haut d'une plateforme precaire au milieu du terrain decouvert, on lui a laisse assez de temps pour arriver, habille de facon etrange (le chapeau bleu, le chapeau de chasseur, une hache gainee au dos, une main avec une sorte de cape d'hermine), le maitre Utray, qui est venu nous dire que "l'art fait avec ce qu'il y a ce qu'il n'y a pas." Sans aucun doute, le moment le plus impressionnant de cette acte fondateur etait celle de la voiture suspendue par la grue, entrant juste dans sa tombe en beton arme. La masse grimpa sur la pierre tombale inamovible avec un immense desir de verifier que quoi que ce soit, il etait la pour toujours.
Esther Ferrer lors de sa performance a differentes vitesses (08/01/09)
Depuis lors, de nombreux enterrements ont ete faites , parmi lesquels je vais mettre en evidence celui avec 169 lots de jetons qui ont «laisse» Isidoro Valcárcel Medina de son Va et viens projet ,a presenter au TàFondation tartes en 2002 pour visiter Murcie et Grenade. Un jour de chiens, juste l'annee 2008 au cours de laquelle il a recu le prix national des arts plastiques, avec une grande solennite, a l'interieur d'un cercueil en zinc (les porteurs se sont presque effondres), deux metres sous terre etaient, pour les restes, des textes que les archeologues ont peut-etre lus un avenir improbable. Selon ce qu'ils disent, une femme est apparue qui jouait du dulzaina et du tamboril, juste au moment ou Valcárcel a assure que le travail etait "ou il devait etre". Avelino Sala a enterre, avec l'aide du malheureux Orson San Pedro et de quelques amis, ses chiens faits avec du papier adhesif zele. Le soi-disant «V vice-roi de Sicile» a enterre une pepite d'or qui a malheureusement ete «profanee» quelques jours plus tard par certains criminels. L'acteur Paul Naschy's passeportscertains "fetiches" qu'il avait utilise dans son gothique et des films terrifiants (dans tous les sens). Germeán Coppini a donne au royaume de l'invisibilite definitive un petit piano se souvenant de ses succes qu'il se souvenait "litanies" qui a fini "mourir d'ennui". En fevrier 2009, Fernando Arrabal est apparu, enveloppe dans des tapis, a Morille, et apres avoir approche le mausolee perche sur une pelle de tracteur, a rendu hommage a Baruch Spinoza, retournant dans les entrailles de la terre son memorable Ethique plus de demonstrations geometriques. Peu de temps apres, la valise d'Alberto Greco est apparue, disparaissant soudainement, cet etrange gars qui a cree l'art vivant-ditoet il est alle illustrer la chose a Piedralaves, c'est-a-dire a la profondeur rurale, ou il a reussi a etre emmene par un proto-geek (avant que la rarete ne devienne le denominateur le moins commun du succes dans la realite dechiquetee sous forme de spectacle enlisee) avec plus de moral qu'Alcoyano. En plein «agosteños "chauffe, Esther Ferrer l'a terminee Performance a differentes vitesses qu'elle avait commence en 1987. Un autre des fondateurs de Zaj, Juan Hidalgo a enterre un piano a l'ete 2010 dans une action intitulee Deces de Claude Monet de Ayacata, placer la phrase "Sans epitaphe" comme juste une epitaphe. Dans un acte de justice poetique absolue, le 11 juillet 2011, quatre bobines du tournage du film Enterre par Rodrigo Cortés ont ete enterres.
Pepite d'or du V vice-roi de Sicile (enterre le 13/11/08)
Les exhumations de masse ne manquent pas, qu'il s'agisse de sculptures de la Faculte des Beaux-Arts du Pays Basque, de textes de poetes de Cuenca qui, en Equateur, n'auraient jamais pu rever d'un destin aussi etrange ou de la documentation enregistree au Chili par Miguel Herberg en 1973. -74 apres le coup d'Etat de Pinochet. Quelques-unes des «funerailles» du Musee-Mausolee. Certaines actions n'ont ete que des hommages a des amis recemment decedes, comme mon compatriote le ceramiste Jaime Rontomé (dont ses cendres ont ete enterrees, le cas echeant), le brillant critique et ecrivain Quico Rivas qui, comme sa belle epitaphe, «n'a miraculeusement pas bu. […] Il a essaye diverses affaires / Ruinous toujours / presume se conformer / bien qu'il ne se conforme pas toujours. […] Ce qu'il avait depense », qui, a travers sa fille, nous a ete legue par ses chaussures, le jeune artiste Orson San Pedro, decede subitement alors qu'il usinait litteralement des pieces qui avaient meme a voir avec la musculation, de dont nous gardons, sous terre, une cle USB avec certaines de ses oeuvres, ou l'architecte Fernando Higueras dont la documentation sur l'eglise de Santa Mª de Caná a Pozuelo de Alarcón a ete mis sous terre. La, toute gloire et honneur restent, a la fois, livres a la memoire la plus sombre et, peut-etre, a l'inevitable inoubliable. Certains executaient d'etranges rites avec une joie digne des chroniques psychopathologiques, d'autres comprenaient que c'etait un moment grotesque au sommet ou a la profondeur du macabre. L'etrange ou l'inexplicable n'a jamais manque, comme lorsque Vicente del Bosque a accepte d'enterrer un maillot de l'equipe espagnole et un ballon prete par Adidas lors du succes planetaire de la soi-disant reussite "rouge" empeche les masses de penser a autre chose que le but d'Iniesta. Avec le "funerailles mediatiques" ont brille leanormal comme celle d'un Junkyard, en octobre 2014, qui a prepare un cercueil avec 2000 watts de haut-parleurs de puissance, laissant une epitaphe revelatrice visible a tous: «Les dechets sont recuperes. Serieux total ». Il y a une croyance populaire au Moyen Age que les morts se levent a minuit de leurs tombes et executent une danse au cimetiere avant de partir a la recherche de nouvelles victimes parmi les vivants. La morale est evidente: foutre tout ce qui tombe sur les murs des galeries et des musees, de peur qu'ils ne prennent le raccourci et n'arrivent vertigineusement a la derniere demeure sombre. La, dans les champs de Morille, ils ont leur posseder endroit ,un endroit tres serieux (un cimetiere a part entiere pour les ?uvres d'art contemporain), avec des tombes de differents formats, des pierres funeraires et des epitaphes delirantes. Pas de niches ou de maisons en rangee.
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docscribble · 7 years
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«On n’ouvre pas une boîte de nuit dans un cimetière...» — Larry Page
«Si les morts pouvaient parler, je serais le premier à en ouvrir un...» — Michel A. Di Iorio
«On n’ouvre pas une boîte de nuit dans un cimetière...»
https://lacoulisse.ca/cimetiere/
Une réflexion empirique à l’intention de travailleurs autonomes actuels et en devenir signée Michel A. Di Iorio
On n’ouvre pas une boîte de nuit dans un cimetière... il risque d’avoir peu de preneurs payants. À quoi bon lancer une idée «géniale» si personne n’ose, ou ne peut s’offrir le bénéfice de votre idée? Vous aurez beau vous installer entre deux dunes de sable situées au milieu d’un désert, votre kiosque de limonade risque de voir son offre, comme son produit, s’évaporer avant d’étancher la soif d'un premier client...
Vous pourriez être assis sur une idée géniale, mais si vous la proposez au mauvais client, au mauvais moment ou au mauvais endroit, elle ne se vendra pas. Votre client ne s’y intéressera pas. Vous courrez même le risque de voir votre client préférer la solution d’un compétiteur à la vôtre, persuadé d’avoir conclu une meilleure affaire. Votre idée «géniale» sera, à toutes fins pratiques, sans valeur pour lui, et vous perdrez la vente.
Vous vous demandez sans doute où je m’en vais avec ça, et je vais vous répondre en vous disant d’où j’arrive avec tout ça. J’ai appris cette leçon aux puces de Saint-Eustache. Je me cherchais à l’époque. Je venais de me remettre d’un accident de travail, mais l’industrie préhospitalière n’avait pas les infrastructures en place à l’époque pour recycler ses éclopés, et une occasion m’est tombée des cieux pour vendre des «cache-oreilles unisexes».
J’avais besoin d’argent, alors j’ai loué un emplacement au marché de Saint-Eustache, quelque part entre les lunettes de soleil et les outils anciens... euh, pardon? Ah oui, des cache-oreilles unisexes (des brassières). Au fait, je ne réussissais pas à en vendre beaucoup de la manière traditionnelle, et les clientes qui déambulaient dans ma rangée ne semblaient pas trop intéressées à les essayer dans ma cabine d’essayage de fortune (une histoire de pudeur, je crois). Je me suis donc enfilé une brassière sur la tête, passant les bretelles derrière mes oreilles, et je me démenais comme un bonimenteur pour convaincre les compagnons de ces dames qu’il s’agissait d’une pierre à deux coups, et ça a marché, enfin, un peu...
J’en ai effectivement vendu, mais ce que j’ai retenu de cette expérience, c’est que l’emplacement physique y était pour beaucoup. J’ai changé de rangée la fin de semaine suivante, et j’ai changé de produit. J’ai opté pour des t-shirts en remplacement des cache-oreilles unisexes, et j’ai légué les soutiens-gorges à notre boutique de lingerie fine (j’ai touché à divers domaines avant de trouver ma vocation).
J’en ai donc tiré quelques leçons, comme l’importance d’offrir la bonne solution au bon client, au bon moment et au bon endroit. Il m’arrive encore de commettre des erreurs, bien que moins fréquemment; c’est ce que nous apporte l’expérience. J’ai aussi appris que le ridicule ne tue pas. Il met les gens plus à l’aise, leur ouvrant l’esprit à l’inattendu, et par la platebande à l’opportunité.
Mais, la leçon qui m’a le plus marqué dans ce contexte fut que l’emplacement est roi pour le succès d’un commerce au détail, contrairement aux commerces de service... mais savez-vous quoi? Bien qu’en apparence le tout soit en train de s’adapter pour accommoder les nouvelles tendances à la consommation... l’emplacement, même si elle ne se réfère qu’au cyberespace, est aussi déterminant pour le succès du travailleur autonome qu’il l’a toujours été pour le commerce traditionnel.
Lisez la gaffe et la solution dans LA COULISSE... https://lacoulisse.ca/cimetiere/
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Je me souviens encore de ma premiere femme Elle s'appellait Nina une vraie putain dans l'âme La reine des morues de la plaine saint denis Elle faisait le tapin près d'la rue rivoli
Refrain: Mort aux vaches, mort aux condés Vive les enfants d'cayenne à bat ceux d'la sureté
Elle aguichait l'clients quand mon destin d'bagnard Vint frapper a sa porte sous forme d'un richard Il lui cracha dessus rempli de son dedain Lui mis la main au cul et la traita d'putain
Refrain
Moi qui etais son homme et pas une peau de vaches Aquis dans ma jeunesse les principes d'un apache sorti mon 6-35 et d'une balle en plein coeur Je l'etendit raide mort et fut serré sur l'heure
Refrain
Une seule solution...la revolution! Ca fait 1 2 1 2 3 4
Aussitôt arreté j'fut mener a cayenne C'est la que jai purger la force de ma peine Jeunesse d'aujourdui ne faites plus les cons Car pour une seule connerie on vous jette en zonzon
Refrain
Si je viens a mourir je veux que l'on m'enterre Dans un tout p'tit cimetiere Pres d'la porte saint martin 400 putains a poils viens donc crier tres haut C'est le roi des julots que lon mene au tombeau
Refrain
Sur mon tombeau y aura cette glorieuse phrase Ecrit par les truants d'une tres haute classe Honneur a la putain qui ma donnée sa main Si je n'etais pas mort je te baiserai encore
Refrain2: Pas de grace pas de pitié Pour toute ces bandes de laches Et ces band' d'enculers
Refrain Refrain2 Refrain Refrain2 Refrain
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lacrimis · 6 years
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Old photographs of the cemetery.
The Cimetière des Rois or Cimetière des Plainpalais, is a cemetery in Genève, Switzerland.
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lacrimis · 6 years
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Autoportrait de Fabrice Gygi.
The Cimetière des Rois or Cimetière des Plainpalais, is a cemetery in Genève, Switzerland. 
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lacrimis · 6 years
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Sculpture_de_Vincent_Du_Bois
Tombe_Calvin
The Cimetière des Rois or Cimetière des Plainpalais, is a cemetery in Genève, Switzerland.
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lacrimis · 6 years
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The Cimetière des Rois or Cimetière des Plainpalais, is a cemetery in Genève, Switzerland.
Writer's Phrases:
Only fools never change their minds.
When you reach my age, you will have lost your sight almost completely. You will see the yellow color and shadows and lights. Do not be worried. Gradual blindness is not a tragic thing. It's like a slow summer evening.
We publish so that we do not spend our lives correcting what we write. The truth is that it is published to free itself from the book and think of another. As for me, I reread very little of what I wrote. Although from time to time I reread passages of what I wrote and sometimes they please me. And I say: where did I get all this? Surely it must be plagiarism, because it's good.
I do not reread, I forget easily, but everything I publish supposes ten or twelve versions, the last one adding an obvious oversight to make it appear spontaneous.
Prisons seem abhorrent to me ... Certain men should be killed instead of directly imprisoned. Neither my enemies can I desire imprisonment, but death.
A blind man is a prisoner. I've been blind for a long time. I started to go blind when I started to see ...
I think taking a test is a lot less painful than going to a cocktail party. Cocktails are a boring organization.
How is it that God who became man, who is in favor of the poor in spirit, the humble, the disinherited of the earth, will be self-conscious as a beautiful being? It would be an unjust act of God. It would be a racist act of God, impossible. Therefore, Christ must have been downright ugly, and all the paintings that show him handsome are pure laziness.
In memory, everything is grateful, even misery.
War is horrible, but life is terrible. Maybe it's better to die on a battlefield.
Now there is a human science called computer science. What an ugly name for a science. It is a disgrace that information replaces culture.
Life is nothing but death that is shining.
To write poems one has to be naive and not very intelligent.
I thought of a labyrinth of labyrinths, of a winding labyrinth that encompassed the past and the future and that somehow involved the stars.
In the dream of the man who dreamed, the dreamer awoke.
The true story is not what happened; is what we think happened.
I do not like what I write; however, regrettably I can not write anything else. As a young man, I wanted to be Chesterton, Lugones, Quevedo, I wanted to be Hugo, but evidently I was not, or I was in a defective way. So I resigned myself to being Borges, and the people were very lenient towards me.
I wrote too much. I would be satisfied if, after my death, I was left with a couple of short stories, a short story, a book of poems, a poem.
I'm not modest, I'm just amazed to be known. I ceased to be a man invisible at fifty, and one can at any moment discover that I am an impostor.
I'm skeptical, but I do not congratulate myself on that. I want young people to have the right to hope.
Greed is another folly, for I know rich people and poor people, and I have not noticed that a rich man is happier than the poor. Meanwhile kidnappings, robberies are done by naive people who believe that if they get rich, they will be happier, which is a serious mistake. Although indigence is not a virtue or an extraordinarily advantageous thing.
A monetary crisis is not the cause, but the consequence of a poor political-economic administration of a country. Saying well ... our economic crisis - which is also ethical - originates, fundamentally, from the money that was stolen.
The writer must be submissive and should not try to understand too much what he is doing, because any conscious act can lead to losing the work.
We are a dreamless dream. This dream is called universal history, and each of us is a symbol of that dream.
Hate is more terrible than violence.
Organizing a library is a silent way of exercising the art of criticism.
In a newspaper, news is often written. Of course, silly. The news that the newspapers give refer to topics that do not interest me.
On several occasions, I tried to smoke marijuana, but I always failed; I finally opted for mints.
Ulysses: it was not written to be read, it was written for something far superior, it was written for the author to become famous, to be analyzed, to figure in the history of literature.
If I do not repeat the others, I repeat myself and maybe I will not go beyond a repetition.
A person's face is moving and difficult to be fixed in a memory.
Everyone talks about the supposed benefits that health brings to the individual, but I think health is a precarious state that does not presage anything good.
Life is a conjecture.
The grossest temptation of an artist is to be a genius.
Irony: something that I appreciate and recognize, and that I am totally incapable of.
Simplicity - Poem by Jorge Luis Borges :
It opens, the gate to the garden with the docility of a page that frequent devotion questions and inside, my gaze has no need to fix on objects that already exist, exact, in memory. I know the customs and souls and that dialect of allusions that every human gathering goes weaving. I've no need to speak nor claim false privilege; they know me well who surround me here, know well my afflictions and weakness. This is to reach the highest thing, that Heaven perhaps will grant us: not admiration or victory but simply to be accepted as part of an undeniable Reality, like stones and trees.
Jorge Francisco Isidoro Luis Borges Acevedo (Buenos Aires, August 24, 1899 - Geneva, June 14, 1986) was a writer, poet, translator, literary critic and Argentine essayist.
In 1914, his family moved to Switzerland, where he studied and from where he traveled to Spain. When he returned to Argentina in 1921, Borges began publishing his poems and essays in surrealist literary magazines. He also worked as a librarian and public university professor. In 1955, he was appointed director of the National Library of the Argentine Republic and professor of literature at the University of Buenos Aires. In 1961, he was distinguished in the international scene when he received the first international award of editors, the International Formentor Prize, shared with the playwright Samuel Beckett. In the same year, he received from the then president of Italy, Giovanni Gronchi, the decoration of the Order of the Commander.
His works cover the "chaos that rules the world and the character of unreality in all literature." His most famous books, Ficciones (1944) and O Aleph (1949), are collections of short stories intertwined by common themes: dreams, labyrinths, libraries, fictional writers and fictional books, religion, God. His works have contributed significantly to the genre of fantastic literature. Scholars have noted that Borges' progressive blindness has helped him to create new literary symbols through imagination, since "poets, like the blind, can see in the dark." The poems of his last period talk with cultural figures such as Spinoza, Luís de Camões and Virgílio.
His work has been widely translated and published in the United States and Europe. His international fame was consolidated in the 1960s, aided by the "Latin American Boom" and the success of Cem Anos de Solitude, by Gabriel García Márquez. To honor Borges, in his novel The Name of the Rose, Umberto Eco created the character "Jorge de Burgos", which in addition to the similarity in the name, is blind - just as Borges was staying throughout life. Besides the character, the library that serves as the background of the book is inspired by Borges's short story "The Library of Babel" (a universal and infinite library that covers all the books in the world). The writer and essayist J.M. Coetzee said that "Borges, more than anyone else, renewed the language of fiction and thus paved the way for a remarkable generation of Spanish-American novelists"
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lacrimis · 6 years
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The Cimetière des Rois or Cimetière des Plainpalais, is a cemetery in Genève, Switzerland.
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lacrimis · 6 years
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Graveyard Main Entrance
Tomb - François Diday (1802-1871).
Hugues Bovy, Monument to François Diday (1885) in the Jardin Anglais in Geneva
Interior passage in the Colosseum - painting by Francois Diday (1825).
François Diday (1802–1877), a Swiss landscape painter, was born at Geneva. He studied in Paris and travelled in Italy, but chiefly lived in his native country. He, however, frequently exhibited in the Paris Salon, where he obtained medals in 1840 and 1841. He died in 1877, at Geneva, to which city he bequeathed his property, valued at 400,000 francs. The following are among his best works:
Path from Grimsel to Handeck, 1855, now in the Museum of Fine Arts of
Sion, Switzerland
Glacier of Rosenthal. {Lausanne Museum.)
The Oak and the Reed. {Geneva Museum.)
The Faulhorn in Switzerland. {Neue Pinakothek, Munich.)
Mont Saleve and Storm in a Forest. {London International Exhibition, 1862.)
The Cimetière des Rois or Cimetière des Plainpalais, is a cemetery in Genève, Switzerland.
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