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#client relou
ma-vie-de-serveuse · 2 years
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Quand une cliente vient vers moi pour me dire « je vous vois discuter avec vos collègues donc je viens chercher mon verre »
Alors déjà je suis entrain de préparé 30 boissons pour sa table et je suis pas entrain de discuter mais je demande de l’aide et donne des indications à mes collègues donc oui forcément on se parle.
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blauesonnenblume · 22 days
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je suis à l’aéroport, je pense que le contrôle automatique a galéré à me reconnaître dans mes larmes vu le temps que ça a pris. j’ai aidé une caissière en faisant la traduction entre elle et un client très relou et quand j’ai payé mon truc elle m’a dit de prendre un dessert gratuitement donc trop gentil. à l’enregistrement des bagages le mec n’avait jamais entendu parler de Hobart
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clhook · 2 years
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je passe vraiment une bonne semaine de m*rde on est en train d'organiser un gros événement et c'est moi qui fais presque tout pour la bibliothèque mais tous les gens extérieurs que je contacte me parlent comme à un iench, mardi soir il y avait pas de train j'ai dû attendre un car qui a mis 1h de plus (en plus j'attendais le car une meuf arrive elle me dit "vous attendez pas le train j'espère parce qu'il va pas passer" bah non connasse je suis à l'arrêt de bus j'attends pas le train) mercredi j'ai dû aider un vieux à faire des impressions et des captures d'écran il m'a tenu la jambe pendant 2h et après il y a eu le livreur qui voulait me pécho jeudi mon train était en retard de 30 min alors que j'avais un rendez-vous + je devais recevoir les croquettes de Bahia le suivi indiquait "livré" mais quand je suis rentrée il y avait aucun colis j'ai appelé le service client on m'a dit "vous avez regardé dans la boîte aux lettres ?" alors non mais c'est un sac de 6k de croquettes je suis pas sûre que ça entre !!! ce matin bah encore le train (cf post précédent) j'ai mis 3 heures à me réchauffer en arrivant au bureau et j'ai dû écourter ma pause dej pour rattraper le retard que j'avais eu + tous les gens relous de la ville se sont donné rdv à la bibliothèque stap alors tout à l'heure j'ai dit à mon keum que je méritais bien une pizza ce soir il a dit ok et là je viens de regarder l'appli sncf : mon train de ce soir est... supprimé donc en fait je mérite au moins 10 pizzas
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nanananerd · 9 months
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Enfin en week-end ! Et quel joie d'être en week-end en milieu de semaine, quand perso n'est dispo pour faire une petite soirée... Ça en viendrait presque à me frustrer alors que j'adore mon nouveau taff de vendeuse de whisky...
Même si ma boîte c'est du gros caca, et que ma supérieure fait plus office de plante verte qui essaye de développer son sens de l'organisation, mais qui à chaque fois se fait sauvé le cul par les vendeurs indépendants et autonomes. (dont je fais partie,mais bon trahzillet45/50h semaine, pour un contrat 39h, ça me donne doucement des envies de meurtre, ou plus sagement, de quitter cette entreprise).
Comme j'étais seule cette nuit et que je faisais une méga insomnie (j'en fait plus(pad) quand je travaille, juste quand je suis en repos, histoire de rester bien pénible à vivre, en plus des migraines), j'en ai profité pour réfléchir sur le sujet, et en vrai, je sur kiff vendre de l'alcool, trouvé LE truc qui plaît au client, même les plus difficiles .
Mais d'un autre côté, n'avoir qu'une seule marque à proposer, qui en plus ne propose que deux style de whisky (irlandais fruité et irlandais fumé) et des Liqueurs et eau de vie qui se ressemblent toute(même si Elles sont pas degeu, voir bonne pour certaines) bah c'est super frustrant pour moi qui préfère les écossais Tourbé avec une note atypique en fond (Laphroig Lore si un.e conaisseu. .se connaît), les eau de vie atypique (gentiane, Alisier, thym etc) et les liqueurs pas trop sucrés mais quand même goûtu. Et plus le temps passe dans ce job, plus je suis franche, à dire "non ça c'est degeu, essayé plutôt ça", "non, prenez pas ce produit super cher qui va me rapporter un bonus parce que c'est de la merde malgré l'étiquette médaille d'or, prenez plutôt celui-là qui paye pas de mine mais qui est meilleur". Ok, la plupart, pour pas dire la majorité des clients adorent ma franchise, mais pour la marque que je suis censé représenter, ça le fait moyen...
J'hésite à aller postuler auprès de "caviste" ayant des séléctions de spiritueux, au culot, en expliquant que c'est une passion mais que je suis encore relativement néophyte, sans aucun diplôme dans le domaine, et même dans la vente mais qu'à côté je suis extrêmement curieuse, que j'ai une mémoire vraiment pas degeu, mais que je VEUX poursuivre dans ce domaine et monté en compétence...
Et d'un autre côté, servir de l'alcool ça me fait kiffer et je dirais pas non à un poste de barman, si j'ai pas tout le temps des coupures : non parce que d'un côté, en week-end, avoir une coupure au milieu du rush, je suis ok si c'est dans ma ville : je sors mon chien, je vais dormir et je renquille sans problème. Mais en semaine, quand y'a pas des Masses de clients, une coupure c'est relou parce que j'ai à peine le temps de m'occuper de mon chien et de faire les choses de la vie (courses, linge, ménage, tout ces trucs energivores que tu fait déjà au boulot et que tu dois refaire chez toi, parce que sinon t'a pas de quoi t'habiller "normalement" au taff, et qu'un appart en bordel, ça donne pas envie de vivre dedans on va pas se mentir)
Voilà je vous lâche ce que j'ai sur le cœur parce que ça pèse de plus en plus lourd, et que si par hasard quelqu'un peut me conseiller, où à juste envie de parler je suis dispo, et même je le demande !
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automata-pi · 2 months
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Je t'offre ma méthode pour automatiser ton setting inbound (qualification + prise de rendez-vous) sur Instagram, Messenger, WhatsApp, Telegram et site web.
Tu n’as plus qu’à copier-coller mon template dans un seul outil multicanal, sans utiliser une ligne de code, et tu peux même faire tes tests sur le plan gratuit de 5 jours pour voir si ça te convient.
Tu auras ton assistant artificiel, qui fera barrage pour toi contre : les relous, les chelous et les grippe-sou.
Tout en ayant dans ton Calendly que des personnes qualifiées, qui ont déjà les informations de base sur tes services (ils peuvent poser toutes les questions à ton assistant).
Si le concept te plaît, il te suffira de tester et d’affiner les prompts pour avoir le setter* infatigable, et toujours au taquet pour répondre aux gens qui te contactent pour que tu ne perdes pas d’opportunités bêtement.
Plus tu pourras répondre rapidement aux questions des gens qui te contactent, plus tu pourras les convertir en clients. Ce n'est pas plus compliqué que ça.
Un setter est une personne dont l’un des rôles est de qualifier les gens qui te contactent.
C'est vraiment dommage de passer à côté de la puissance de l’IA dans son business alors que ça n'a jamais été plus accessible.
Note : ça n’a rien à voir avec les vieux chatbots rigides et médiocres d’il y a deux ans. C’est vraiment une discussion naturelle et intelligente basée sur le modèle GPT-4.
Ce qui veut dire en bonus que l’assistant peut répondre aux vocaux.
Enfin, tu auras un exemple concret pour protéger tes chatbots contre le hacking, car comme tu le verras par la suite, j’ai blindé la sécurité.
Pour recevoir ma méthode à copier / coller : https://paulirolla.substack.com/p/ma-methode-a-copier-coller-pour-automatiser
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lesjoiesducode · 2 years
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Quand je sors de ma toute dernière réunion avec un client ultra relou
Quand je sors de ma toute dernière réunion avec un client ultra relou
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cestmoiquand · 3 years
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Lea jours fériés partout, sauf chez toi :
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ladyniniane · 3 years
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Client : Vous avez les dimensions en pouces ?
Moi *intérieurement * : et la marmotte elle met le chocolat dans le papier alu ? On est en France ici, honhonhon baguette omelette du fromage mon ami.
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@ladywraith​
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a-room-of-my-own · 3 years
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Festival du client relou à qui j'envoie des textes à relire et qui me fait des corrections de virgules en mode "oui alors plutôt qu'innovant j'aurais plutôt dit disruptif et exceptionnel plutôt que remarquable" mais je...
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ma-vie-de-serveuse · 2 years
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Quand un client me dit avant de partir « à tout à l’heure ? Chambre 95 »
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architectnews · 3 years
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Elysion Congress Centre Eindhoven Brainport
Elysion Congress Centre Eindhoven Brainport, Dutch UNStudio Building, ECC Netherlands Project News
Elysion Congress Centre Eindhoven Brainport by UNStudio
12 May 2021
Elysion Congress Centre Eindhoven Brainport News
Design: UNStudio
UNStudio in the winning consortium for the design, build, finance and operation of a landmark Congress and Conference Centre in the Netherlands.
Brainport Eindhoven is currently one of the leading innovative technology regions in Europe. To enhance its international positioning as an inspiring region of technology, design and knowledge, the Dutch city of Eindhoven has the ambition to realise a clearly identifiable, new, state of the art congress and conference centre.
A competition was therefore organised in 2020 inviting proposals for the design of a highly visible building, in addition to finding a consortium that can build, finance and operate a congress and conference centre on an international level.
To form the Elysion Consortium, DVP (Diepenhorst de Vos and Partners) and UNStudio decided to join forces with Van der Valk as client/operator and Huybregts Relou as contractor. Together with the design team of Van der Valk, Tielemans for structure and Quant Architecture, the team was completed with additional specialists in theatre technology and acoustics (PBTA), MEP and BREEAM (DVP smart concepts), Cost consultancy (ISIS bouwadvies) and future congress (Sixfingers).
In their proposal, the Elysion Consortium proposed extending the current Van der Valk Congress and Event location, which also houses hotel and restaurant facilities and is located at the border of a large parkland area that enjoys excellent connections to both Eindhoven Airport and the city centre. By so doing, the proposal facilitates the renovation and expansion of existing facilities, thereby limiting its impact on both the city centre and the environment.
On Thursday, April 29th, after careful assessment based on the award criteria, the members of the multidisciplinary assessment committee individually gave a positive opinion on the Elysion tender and the provisional award was granted to the Elysion consortium.
The consortium’s ambition is to expand the existing multifunctional space to a total area of 4,000 m2 and add a new 1,500 capacity flexible auditorium with a vertical foyer housing breakout spaces and catering areas.
The design
UNStudio’s Design Proposal for the Elysion Congress Centre (ECC) has been structured around 5 architectural interventions:
High impact landmark, low impact on surroundings The challenge for the city to create a landmark building, alongside the challenge for Van der Valk to maintain operations during the construction process, resulted in a unique design solution in which the extension of the congress centre is placed next to the existing building, while the auditorium is placed on top of the conference centre building.
This large cantilevered auditorium structure makes it possible to keep the existing hotel and conference centre fully operational during construction, while creating a clearly identifiable building with access to green parkland, excellent connections and space for logistics.
A foyer that connects people and programme
With its wooden staircases and vertical green gardens, the foyer functions as the main connector from the ground floor through the different levels of the building. This vertical foyer also houses multiple areas for relaxing, working and informal meeting for visitors. In addition, the foyer connects the entrances to the congress and conference areas, with multiple bars and access to outside spaces. It also functions as the connector for all the facilities and main logistics.
Green surroundings and a sustainable approach
The ECC is located at the border of the ‘Genneper Parken’, a large green space between the ring road (Brainport Avenue), the high-tech campus and the city centre.
The integration of the project into the Genneper Parken is visible on multiple levels. The park landscape flows onto the roof and under the elevated building. Visitors can relax on the roof or in the shade under the building and enjoy a healthy juice or a coffee before moving on. The Genneper Parken also houses large sport facilities, and as such acts as a driver for physical, mental and social health.
In the Elysion proposal, a part of the existing hotel building will also be demolished to strengthen the ecology of the adjoining ‘beekdal Tongelreep’ – an important waterway and brook valley with high scenic, ecological and cultural-historical value.
The facade of the congress centre is principally made from wood and glass. The ambition is to couple this with nitrogen dioxide absorbing surfaces – an innovative new nano-technology that can capture pollutants from its surroundings.
The new buildings will also be energy positive, generating more energy than they consume. By using innovative bromide flow batteries, energy can be stored for use during peak times. In addition, the location houses the largest regional charging station for electrical cars. The green ambition for the project is also expressed in the application for a BREEAM Outstanding rating for the design.
A new mobility hub for Brainport
The expansion of the congress facilities also necessitates an extension in the number of hotel rooms, parking spaces and leisure facilities. To accommodate this, the intention is to create a second hotel tower that manifests sport and leisure, while the parking area is a green extension, placed alongside Brainport Avenue.
By creating a sustainable mobility hub – with the existing park and ride and the new parking facilities – the location can not only become one of the main charging stations for electrical cars, it can also offer green alternatives for travel to Eindhoven city centre, such as the HOV connection, bicycles and other means of smart transportation.
A flexible solution for feasible exploitation
In order to ensure financial feasibility during exploitation, a proposal was developed to create a flexible and hybrid design for the 1,500-seat auditorium.
By creating different configurations within the conference space, the auditorium can be divided into four independent smaller auditoria, enabling smaller conferences to take place simultaneously within the building. When configured in this way, retractable seating also makes it possible for the lower auditorium to be used as a banquet hall while the other conference rooms are in use. In addition, a recording studio located in the conference centre will make it possible to host hybrid online and live events.
The main structure of the auditorium is built from a combination of wood and steel, while a large window provides visitors to the auditorium with a spectacular view to the skyline of Eindhoven.
The new congress centre has become part of the region-deal Brainport Eindhoven, within which 7 million euro has been made available towards its realisation. The ambition is for this new facility to be completed in 2025.
The Elysion Consortium comprises the following parties:
– Van der Valk: operator – UNStudio: architect – Quant architecture: architect – PBTA: theatre technology and acoustics – Adviesbureau Tielemans: structural engineer – DVP Smart Concepts: MEP and BREEAM – ISIS Bouwadvies: cost consultancy – Huybregts Relou: D&B contractor and BREEAM – DVP: Project management and tender management
UNStudio design team: Ben van Berkel, Gerard Loozekoot with Erwin Horstmanshof, Pietro Scarpa and Rebekah Tien, Yangkenan Li
Visualisations: Flying architecture
Elysion Congress Centre Eindhoven Brainport – Building Information
Title: ECC Eindhoven (Elysion Congress Centre), Netherlands, 2021
Client and Operator; Van der Valk Eindhoven (Luiten-van der Valk Beheer B.V.)Eindhoven Location: Aalsterweg Eindhoven, Netherlands Building surface: total 5,900 m2: 2,400 m2 extension of existing congress centre (1,600 m2) to a total of 4,000 m2) and auditorium 2,100m2 (1500 seats) Scope: Pre-concept design stage for design of Conference Centre and auditorium. On Masterplan level, vision for hotel facades, parking and landscape
Status: Competition 1st place, in progress
Credits for publication
UNStudio: Ben van Berkel, Gerard Loozekoot with Erwin Horstmanshof, Pietro Scarpa and Rebekah Tien, Yangkenan Li
Advisors for publication:
Client and Operator: Van der Valk, Eindhoven (Luiten-van der Valk Beheer B.V.)
Project management and tender management: DVP
D&B Contractor and BREEAM: Huybregts Relou
Architect: UNStudio and Quant Architectuur
Structure: Tielemans
MEP, BREEAM : DVP Smart Concepts
Theater technology and acoustics: PBTA
Cost consultancy: ISIS bouwadvies
Future Congress: Sixfingers
Communication: Skillz
DTP: Bramendevlam
Visualizations: Flying architecture
UNStudio
Elysion Congress Centre Eindhoven Brainport images / information from UNStudio Architects
Location: Eindhoven, The Netherlands
Dutch Brainport Designs
Contemporary Dutch Brainport Architecture
1 Mar 2019 Stichting Brainport Smart District, Helmond, The Netherlands Design: UNStudio Stichting Brainport Smart District
21 Nov 2016 Dutch Mountains in Eindhoven Brainport Design: Studio Marco Vermeulen, BLOC (Dutch Windwheel, CO2 smart grid) and Urban XChange image from architect Dutch Mountains in Eindhoven Brainport
Architecture in The Netherlands
Contemporary Dutch Architecture
Netherlands Architecture Designs – chronological list
Dutch Architecture News
Amsterdam Architecture Walking Tours by e-architect
Dutch Buildings
Eindhoven Buildings
18 Septemberplein C&A Building Architects: UNStudio photo © Evabloem 18 Septemberplein C&A Building
Website: Dutch Mountains Netherlands – page by BLOC
Dutch Architecture
Eindhoven Architecture
Philips Lighting Headquarters in Eindhoven Design: LAVA, with INBO and JHK photograph : Jonathan Andrew Philips Lighting Headquarters in Eindhoven
Villa Fifty-Fifty, Strijp-R Architects: Studioninedots photo : Frans Parthesius Villa Fifty-Fifty Eindhoven
V Tower Design: Wiel Arets Architects Valid Tower Eindhoven
Fontys Sports College Building Design: Mecanoo Fontys Sports College Eindhoven
Dutch Architect
UNStudio Architects
Comments / photos for the Elysion Congress Centre Eindhoven Brainport Architecture page welcome
Website: Eindhoven Brainport
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to-the-pine · 5 years
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Bon, plus jamais être barman dans un festival. Puer la bière de la tête au pied, se taper des gros relous toutes les deux minutes et se taper son 600e client sans pause, merci mais non merci.
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cleme-bo · 5 years
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Les clients relous. 24.10.19
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automata-pi · 2 months
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Je t'offre ma méthode pour automatiser ton setting inbound (qualification + prise de rendez-vous) sur Instagram, Messenger, WhatsApp, Telegram et site web.
Tu n’as plus qu’à copier-coller mon template dans un seul outil multicanal, sans utiliser une ligne de code, et tu peux même faire tes tests sur le plan gratuit de 5 jours pour voir si ça te convient.
Tu auras ton assistant artificiel, qui fera barrage pour toi contre : les relous, les chelous et les grippe-sou.
Tout en ayant dans ton Calendly que des personnes qualifiées, qui ont déjà les informations de base sur tes services (ils peuvent poser toutes les questions à ton assistant).
Si le concept te plaît, il te suffira de tester et d’affiner les prompts pour avoir le setter* infatigable, et toujours au taquet pour répondre aux gens qui te contactent pour que tu ne perdes pas d’opportunités bêtement.
Plus tu pourras répondre rapidement aux questions des gens qui te contactent, plus tu pourras les convertir en clients. Ce n'est pas plus compliqué que ça.
* Un setter est une personne dont l’un des rôles est de qualifier les gens qui te contactent.
C'est vraiment dommage de passer à côté de la puissance de l’IA dans son business alors que ça n'a jamais été plus accessible.
Note : ça n’a rien à voir avec les vieux chatbots rigides et médiocres d’il y a deux ans. C’est vraiment une discussion naturelle et intelligente basée sur le modèle GPT-4.
Ce qui veut dire en bonus que l’assistant peut répondre aux vocaux.
Enfin, tu auras un exemple concret pour protéger tes chatbots contre le hacking, car comme tu le verras par la suite, j’ai blindé la sécurité.
Suis le guide. Let’s go.
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poesieordinaire · 5 years
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I comme intuition (“Hey, fuck the people“)
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« La première impression est toujours la bonne. »
On s’est tous, un jour ou l’autre, fait cette réflexion. L’exemple le plus parlant et probablement le plus répandu, c’est certainement la première rencontre. On vous présente Machin.e et, là, en l’espace d’un très court instant, vous savez que Machin.e n’est pas digne de confiance. En fait non ; là, tout de suite, vous ne le savez pas, vous savez juste que sa tête et/ou son attitude ne vous revient pas. Vous en déduirez par la suite qu’il/elle n’est pas digne de confiance, dangereux et/ou toxique et donc, vous n’en faites pas un.e ami.e, vous ne travaillez pas avec, etc., etc. Ça s’appelle l’intuition. Et il n’y a rien de magique là-dedans. Il s’agit simplement d’une faculté que chacun possède, à un degré plus ou moins développé. Depuis que vous êtes en âge d’entretenir des relations sociales, vous avez déjà croisé un paquet de gens. Votre cerveau a tout enregistré, des premières interactions à la potentielle fin de votre histoire commune, en passant par tous les petits détails récurrents ou étonnants, même ceux qui paraissent de prime abord insignifiants. Il en a tiré des statistiques qui, pour une raison qui m’échappe (je suis pas une spécialiste, hein !), ne vous sont pas accessibles immédiatement, mais qui se manifestent de temps en temps — et forcément de plus en plus souvent avec l’âge — sous la forme d’une impression, d’un pressentiment. Vous pressentez que si vous interagissez avec cette personne, il se passera très probablement plus ou moins la même chose qu’avec telle autre personne similaire que vous avez déjà fréquentée.
Albert Einstein a dit « La folie est de toujours se comporter de la même manière et de s’attendre à un résultat différent ». Serait-on donc fou de ne pas suivre son intuition ?
À chaque fois que je suis en mesure de m’exclamer « Putain, je le savais », je me dis que oui, évidemment. Parce que, bien entendu, très souvent, quand on récite ce mantra, c’est qu’on regrette déjà nos choix ou nos actions amèrement. Ça m’arrive encore de temps en temps de ne pas écouter mon intuition. Pas uniquement, mais principalement parce que nécessité fait loi. Par exemple, après dix ans en agence de comm’, cinq en tant que freelance et des heures et des heures à répondre avec pédagogie à des demandes irréalistes, illégales, voire surréalistes, j’ai appris à détecter les mauvais clients. Ceux qui n’arriveront jamais à se décider parce qu’eux-mêmes ne savent pas ce qu’ils veulent, ceux qui, frustrés de ne pas être à la créa, penseront toujours qu’ils seraient capables de faire mieux que toi, ceux qui ne te paieront pas en temps, ceux qui vont te mentir éhontément, etc., etc. Mais bon, faut bien manger… Alors du coup, parfois, l’intuition, c’est un peu comme un don qui serait également une malédiction. En clair, on pourrait résumer ça à « savoir pertinemment que ça va être la merde, mais y aller quand même ». L’enfer.
L’autre grande question, c’est : est-ce qu’elle m’a déjà trompée ? Ce à quoi je répondrais volontiers : ça dépend de ce qu’on en attend…
Il y a peu de choses que je fais sans raison ; je ne suis pas une fille très spontanée ni très fun, j’en conviens volontiers. Mais il y a une chose irraisonnée que je fais avec passion depuis… euh, depuis tout le temps, c’est de ramasser certains objets perdus. Ou plutôt, de garder certains objets trouvés. Des objets sans intérêt, évidemment. Si le seul truc dénué de toute logique que je faisais, c’était de ramasser de l’argent que quelqu’un aurait laissé tomber, bien entendu que je ne viendrais pas vous emmerder ici avec ça. Et donc, ces objets sont sans intérêt, mais aussi en quelque sorte choisis. Non, je ne ramasse pas tout ce que je vois par terre (emoji de la fille qui lève les yeux au ciel)… Je ramasse et garde seulement ce qui m’interpelle. Sans réfléchir à ce que je fais ; en clair : le truc qui ne m’arrive jamais. Ou presque... Parce qu’en fait, y a un autre truc que je fais et que je peine à avouer : je collectionne les petites cuillères volées. Pareil, je n’ai pas la moindre idée de pourquoi je fais ça. Je sais juste que ce petit butin sans valeur me procure une étrange satisfaction. Et depuis que j’ai découvert que, dans mon entourage proche, je n’étais pas la seule à être atteinte de ce drôle de travers, je ne m’en fais plus, je vis avec, c’est tout. Mais bon, ça va, je n’en ai pas 150 à la maison, hein ; comme avec les objets trouvés, je ne vole pas toutes les cuillères qui croisent mon chemin… Je les choisis également à l’instinct.
Et à force de récurrence, de constance, effectivement, le cerveau fait ses devoirs et l’instinct creuse parfois ce qui devient une règle, une loi, comme gravée dans le bois (c’est plus joli que le marbre, je crois).
Par exemple et pour en revenir au commencement (de ce texte, pas de l’humanité, évidemment), s’il y a bien une catégorie de personnes que je fuis comme la peste maintenant, c’est ceux qui estiment que je devrais penser ou me comporter comme eux, ceux qui n’acceptent pas d’emblée qu’on soit tous différents, que la vérité soit multiple ou le plaisir protéiforme. Et donc, entre autre, pas la peine de me faire remarquer que je « devrais » beugler comme une poissonnière et me trémousser sur les tubes des années 1980 après deux bières ; ça n’arrivera jamais, ni après quatre ni six ni douze. Pas la peine de me dire que je « ferais mieux » de m’en foutre, de laisser pisser, de tout faire à l’arrache… Ça n’arrivera jamais parce que ça ne me ressemble simplement pas. Et le pire, c’est que je suis parfaitement heureuse comme ça ! Comme (attention, breaking news) plein de gens, j’ai d’autres façon de m’exprimer, de m’amuser ou de travailler que n’importe qui d’autre aimant bien se placer (souvent) en point ultime de comparaison. Et j’ai peut-être mis (trop) longtemps à le comprendre, mais j’ai arrêté de battre ma coulpe pour ça : je n’ai pas besoin de ressembler à la majorité de la population ni à l’exception pour bien vivre avec moi ! Parce que c’est bien de cela dont il s’agit, au fond : les poissonnières et poissonniers faiseurs-de-chenilles-ah-bah-pourquoi-tu-danses-pas ne changeront fort probablement pas, et avec un peu de chance (ou de volonté acharnée), ils finiront pas disparaître de vos vies et peut-être même oublier que vous avez jamais existé ; en revanche, j’imagine que l’existence doit paraître bien longue quand on ne s’accepte pas…
Ils sont difficiles à choisir ou à trouver, les vrais amis (confidents, psy ou tout autres soignants) ; ceux qui sont uniquement bienveillants, ceux qui conseillent plus qu’ils n’imposent, ceux qui écoutent plus qu’ils ne s’opposent ou s’exposent. Ils sont difficiles à garder aussi… Mais en aucun cas ils ne devraient être subis.
Quand quelqu’un me fait me sentir moins que rien ou en a l’intention, quand je sens que je vais servir de valet, de porte-crachoir ou de faire-valoir, j’évite scrupuleusement, je trace mon chemin. Et ce n’est en rien un signe de faiblesse. Au contraire, c’est une preuve d’amour ! Je m’aime donc je m’évite les relous ! Et sinon, quel est le rapport avec les objets trouvés ou les petites cuillères volées, me direz-vous ? Euh…
Je suis la gardienne toute-puissante du respect de mon moi profond et mon intuition est mon arme de prédilection. Et d’une manière générale, j’essaye de n’être qu’amour pour mon prochain, mais si vraiment tu me cherches, fais gaffe, ça peut aussi être la baston.
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navisseli · 6 years
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Succubus Blues
Georgina Kincaid, tome 1
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Auteurice : Richelle Mead
Maison d’édition : Milady
Date de publication : 2007
Nombre de pages : 512
Genre : Bit-lit
Ce qu’en pense Seli :
Je suis ressortie de ce roman avec une impression similaire à celle qu’avait provoqué L’amour par petite annonce : extrêmement déçue. Mais en même temps, j’ai eu du mal à comprendre où l’autrice voulait en venir, comme si ce roman ressemblait à une ébauche. Les idées principales sont là, mais il manque clairement de développement et d’ambition. A croire que ce roman au contexte d’urban fantasy était une excuse pour y coller des stéréotypes moisis afin d’y réaliser une espèce de fantasme un peu étrange. 
Tout d’abord parlons de l’univers de ce roman : réellement bancal. On nous présente deux camps : le Bien contre le Mal. La binarité n’est pas gênante en soi, pour un peu qu’on prenne le temps de définir ce que cela signifie dans le contexte du roman et qu’on s’y tienne. Aucune de ces conditions n’est remplie. Je m’explique. Georgina est un succube, mandatée par ses supérieurs pour corrompre des âmes humaines et les vendre au Diable (en gros), donc elle fait partie du mauvais camps : une potentielle parfaite anti-héroïne. Sauf que non, elle veut le bien et fait son taf de temps en temps quand elle n’a pas le choix. Elle sympathise avec des Anges (du camp adverse donc), qui ne trouvent rien à redire à ses activités, voir trouvent ça normal. Tout cela aurait pu marcher si on avait dès le début défini ce que signifiait être du bon ou du mauvais côté. De même, les hiérarchies ne sont pas clairement définies, les pouvoirs des personnages ont des fonctionnements au mieux aléatoires, s’adaptant allègrement aux besoins de l’intrigue. On navigue à vue. A ce stade, ce n’est plus du flou artistique, c’est du brouillard !
Rien n’est clairement défini, au point que s’en est fatiguant. Enfin si, il y a une chose qui fonctionne car bien établie : la sexualisation des personnages. Georgina a même droit à une scène d’introduction d’anthologie pour nous présenter ses pouvoirs. Elle doit coucher avec un type pour récolter son âme et faire plaisir à son boss. Ledit bonhomme est un puceau de trente ans passés, comprenez qui vit dans le sous-sol de sa mère, est sale, très laid, joue toute la journée à des MMORPG sans jamais sortir et a bien sûr un fantasme sur les nanas bien roulées avec des seins comme des pastèques (sinon le cliché ne serait pas complet). Du coup, pour s’adapter aux désirs de ce “client”, notre héroïne se métamorphose en cliché ambulant dans une description un brin gênante s’attardant sur son tour de poitrine. On veut faire fantasmer qui au juste ? Tous les autres personnages, à de rares exceptions, sont d’abord décrits en fonction de leur sex-appeal, ça aussi c’est fatiguant. Oui, en terme de développement d’univers, l’autrice se fiche de nous expliquer quels sont les origines et les pouvoirs de ses créatures exactement, par contre nous présenter une galerie de fantasmes sur pattes, c’est quand même plus important. L’histoire de Georgina ? Comment elle est devenue ce qu’elle est ? Pffff, secondaire ! On a droit à quelques teasing au fur et à mesure, mais au final, la résolution est paresseuse et semble tout faire pour nous démontrer qu’elle est complètement idiote. Nos fantasmes sur pattes sont tous immortels, mais n’y connaissent rien, ce qui est un soucis en soi en plus d’un incohérence, montrant très bien que tout ça n’a pas été travaillé comme il le faudrait...
Parce que oui, Georgina est loin d’être une lumière, presque aussi charismatique qu’une moule, et se comporte comme une ado de treize ans, la moitié du temps à jouer les gourdes (elle est censée être pluri-millénaire, mais avec quelques points de QI et de XP en plus, l’intrigue n’aurait malheureusement pas survécu, on va y revenir). Ses points forts : elle est bien roulée, elle s’habille comme une bombe. Le reste ? Elle aime lire, bosse dans une librairie et passe 99% de son temps à se plaindre que sa nature l’empêche d’avoir une vie amoureuse stable, ce qui la rend profondément malheureuse. C’est censé lui donner de la profondeur et nous donner matière à compatir pour nous impliquer dans la romance, mais comme nous le révèlent ses origines, sa bêtise nous fait plus lever les yeux au ciel qu’autre chose. 
SPOILER
Elle est née à l’époque de la Grèce Antique si on se fit aux noms de ses proches, et a été mariée à une homme qu’elle aimait, mais qui l’a délaissée. Elle est malheureuse, rencontre un autre type dont elle tombe amoureuse. Ils couchent ensemble, le mari les surprend et ne lui pardonne pas. Elle ne veut qu’une seule chose : réparer ses erreurs et se refaire aimer de lui. La solution ? Ecouter sans se renseigner une voix chelou qui te propose ton âme en échange d’effacer tous les souvenirs de toi qu’on tes proches (c’est pas ça qu’elle voulait je le rapelle...). Georgina accepte presque immédiatement et est transformée en succube, ce qui la condamne en fait à exactement ce qu’elle voulait éviter : une vie sans amour avec qui tout partager (les secrets et le lit). Mais bon, quand on te propose un contrat payant contre quelque chose dont tu ne veux pas, quel intérêt de se renseigner ? De poser des questions ? De s’assurer que c’est bien ce qu’on veut car vu qu’on devient immortel, ça va durer toujours ? Pfff, bah non voyons ! C’est quand même plus sympa d’accepter sans réfléchir pour pouvoir s’en plaindre pendant des siècles !
SPOILER
Le personnage même de Georgina aurait pu être intéressant ou au moins sympathique si sa personnalité et ses choix ne faisaient pas un doigt d’honneur à la cohérence la plus simple. Elle réagit presque uniquement en fonction de ce que veut l’intrigue, pour s’y adapter, surtout dans ses relations avec les autres personnages. 
SPOILER
Georgina humilie et traite comme de la merde la patronne d’une librairie voisine. Nous sommes donc légitimes de nous demander ses raisons. On nous dit que c’est une bonne femme insupportable qui enfume les gens avec ses théories ésotériques. Pourquoi pas, mais rien dans ce qu’on voit ne nous montre que cette femme est détestable : Georgina méprise ses pratiques alors qu’elle ne fait de mal à personne et débauche une de ses employées sous son nez, comme ça, au calme. Forcément, la pauvre femme est furieuse. On apprend plus tard qu’elle utilise l’ésotérisme pour aider les gens et leur apporter des réponses qui les réconforte, c’est même quelqu’un de bien donc ! Mais du coup, pourquoi Georgina agit-elle comme cela ? Parce qu’il faut que les deux femmes soient antagonistes, sinon le twist final ne peut pas fonctionner...
De la même façon, elle découvre que le grand méchant est l’un des types qu’elle veut se taper. Au début, elle le rejette (évidemment), mais là le type nous ressort le trope du méchant qui perd son temps à expliquer TOUT son plan à tel point que ça en devient ridicule. Du coup, attendrie par le laïus du pauvre petit orphelin abandonné par son démon de père et qui tue des personnes innocentes pour se venger, elle ... couche avec lui. Mais oui bien sûr ! Pourquoi faire ça plutôt que d’appeler ses potes pour le défoncer ? Bah y a déjà son petit coeur chamallow, mais aussi parce que sinon elle ne peut pas jouer un double jeu, se faire griller et laisser l’autre appeler son complice... Et du coup l’intrigue ne pourrait pas tout boucler... 
SPOILER
L’intrigue en elle-même est inintéressante et tellement prévisible que ça en devient navrant. Il ne faut pas plus de deux meurtres pour réduire la liste des suspects à deux, et l’un est tellement bizarre que ça revient presque à deviner qui est le méchant entre Hitler et Mary Poppins... Sinon en dehors de ça, on a le développement de la relation Georgina/Seth, qui est prévisible aussi mais pas chiante, voir même mignonne à certains moments quand l’écrivain décide de communiquer avec elle par des petits billets attendrissants, car il ne parvient pas à exprimer verbalement ses émotions, intimidé qu’il est par la demoiselle. Donc oui, les romances sont ce qui me gênent la plupart du temps, mais dans ce roman, la relation de ces deux personnages est presque tout ce qu’il y a à sauver...
Il y a bien les autres personnages qui sont de l’entourage de Georgina, comme ses collègues de la librairie ou ses comparses démons, mais ils sont tellement survolés qu’on a rien à en dire, à part qu’on s’en branle... Bon, sauf son protecteur ange dont j’ai oublié le nom, qui pourrait être bien plus intéressant si on le voyait un peu plus.
Mais malheureusement, pour enfoncer encore un clou au cercueil, débarque Roman. Sa relation avec Georgina est clairement la description d’un lien abusif, tant le mec est collant et relou. Plantons le décor. Georgina, lors d’une soirée professionnelle, se fait emmerder par un type qui veut un rendez-vous. Pour s’en débarrasser, elle attrape le premier mec qui passe (Roman) et prétend avoir un rendez-vous avec lui afin de faire fuir de lourdaud. Roman joue le jeu et la raccompagne à l’extérieur. Georgina le remercie et s’apprête à rentrer chez elle quand ... le bougre lui rétorque qu’avec ce qu’il vient de faire pour elle, il mérite bien un rendez-vous réel... Georgina refuse, se barre, mais le mec la suit. Au final, arrivée devant chez lui, elle lui explique qu’ils ne se reverront plus car elle n’a plus besoin de lui, étant arrivée à destination. Notre “Roméo”, beau joueur, le lui accorde, mais ne manque pas de faire remarquer que rien n’est moins sûr, car il sait maintenant où elle habite... Charmant n’est-ce pas ? Bon, c’est un gros stalker, mais comme il est sexy, Georgina va oublier ça et entamer une relation avec lui... On finit en beauté ?
Tumblr media
- “J’ai du travail, j’ai des choses à faire” = j’ai pas le temps et pas envie = non = absence de consentement.
- ”...mais mes excuses manquaient de conviction...” = j’ai besoin de convaincre en insistant pour dire non = je n’ai pas assez insisté = je me suis laissée faire. 
- “...passant la main sur ma cuisse” = touchée après avoir donné un refus verbal = agression sexuelle.
- “...me parut presque plus sensuel que la peau nue...” = en fait j’aime bien donc c’est pas grave = toujours agression sexuelle.
- “Malgré mes velléités de résistance...” = je dis non, mais mon corps dis oui = donc en fait j’ai envie même si je dis non = non ne veut pas forcément dire non = culture du viol.
Cette scène se termine sur une relation sexuelle.
Besoin d’autres chose pour aller plus loin ?
Finissons en une bonne fois pour toute... Le style est fluctuant. Quand on passe aux scène érotiques, on y a va avec un fourmillement de détails et un style soigné qui les font bien passer, mais le reste semble délaissé. A plusieurs reprises, il m’a semblé que les petits mots de Seth étaient bien plus travaillés que la plume de l’autrice. De même, quand Seth parle des personnages de ses propres romans, il nous donne une foule de détails : il parle de leur personnalité, de leur histoire, de la façon dont ils fonctionnent ensembles, etc... Les personnages du roman dans le roman sont plus intéressants que ceux du roman que je suis en train de lire ! C’est presque du troll à ce niveau !
Je n’ai spécialement envie d’épiloguer sur cette chose, si ce n’est que j’ai été considérablement déçue, et au vu de la bibliographie très prolifique de l’autrice, cette expérience ne me motive pas des masses à continuer sur aucune de ses oeuvres, même si on m’a dit que les autres étaient de meilleure qualité. J’ai vraiment eu l’impression de lire le brouillon d’une autrice en panne d’inspiration qui a besoin de se relancer entre deux grosses sorties sans se prendre la tête et rajoute du cul pâtiné d’urban fantasy pour vendre. Je n’ai pas envie de dire que c’est un travail bâclé, car je ne sais pas ce qu’elle y a investi, mais c’est vraiment l’effet que ça m’a fait...
Ma note : 5/20
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