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#coeur de la mer
memoryisthemonster · 2 months
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✩┈┈∘*┈☽💙☾┈*∘┈┈✩
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abdlrimespotiques · 6 months
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Quand il y a le ciel, le soleil et la mer....une petite sieste s'impose avec bonheur !
Vive le farniente au cœur de la méditerranée ! 💙
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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lisaalmeida · 10 days
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L'espoir, c'est cette petite chose à plumes
Qui se perche dans l' âme
Chante sa chanson sans mots
Et qui n'arrête jamais son flot
Et dont s'entend dans la bourrasque le chant si beau
Il a dû s'érailler la voix, l'ouragan
En ayant assourdi le petit oiseau
Qui avait réchauffé le coeur de tant de gens
Je l'ai entendu sur des terres glacées
Ou sur les mers les plus insolites
Pourtant, même en dernière extrémité
Il ne m'a jamais demandé la moindre miette.
Emily Dickinson.
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prosedumonde · 8 months
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Depuis hier soir, je songe à vous, éperdument. Un désir insensé de vous revoir, de vous revoir tout de suite, là, devant moi, est entré soudain dans mon coeur. Et je voudrais passer la mer, franchir les montagnes, traverser les villes, rien que pour poser ma main sur votre épaule, pour respirer le parfum de vos cheveux.  Ne le sentez-vous pas, autour de vous, rôder, ce désir, ce désir venu de moi qui vous cherche, ce désir qui vous implore dans le silence de la nuit ? 
Lettre de Maupassant à Hermine Lecomte de Noüy (19 décembre 1887) in Maupassant, Frédéric Martinez
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corse2b · 1 year
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étang de Terrenzana,
Haute Corse.
à partir du bel étang de Terrenzana, le Conservatoire National du Littoral a créé un parcours pédestre vallonné qui vous mènera de surprises en émerveillements au beau milieu d’un maquis dense et préservé. Nous vous invitons à une immersion totale au coeur de la nature sauvage, qui vous offre sa sérénité, les fragrances subtiles de sa flore, ses vues somptueuses sur les étangs, la mer et la montagne et, au détour d’un chemin, une cabane de berger reconstituée selon les modes de construction d’autrefois en torchis et branchages.
Source : corse2b. Avril 2023.
Terrenzana pond,
Upper Corsica.
From the beautiful pond of Terrenzana, the Conservatoire National du Littoral has created a hilly pedestrian route that will take you from surprise to wonder in the middle of a dense and preserved maquis. We invite you to a total immersion in the heart of the wild nature, which offers you its serenity, the subtle fragrances of its flora, its sumptuous views of the ponds, the sea and the mountains and, at the bend of a path, a cabin of shepherd reconstituted according to the methods of construction of formerly in cob and branches.
Source: corsican2b. April 2023.
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flotterhase · 1 year
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Tu es là- encore
dans la mer
de mon coeur.
Tu es là - encore
et je n´ai pas peur.
Tu es la lumière 
pour toujours. 
Je ne peux pas t´oublié…
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satinea · 2 months
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Le soleil brûlant
Les fleurs qu’en allant
Tu cueilles,
Viens fuir son ardeur
Sous la profondeur
Des feuilles.
Cherchons les sentiers
A demi frayés
Où flotte,
Comme dans la mer,
Un demi-jour vert
De grotte.
Des halliers touffus
Un soupir confus
S’éléve
Si doux qu’on dirait
Que c’est la forêt
Qui rêve…
Chante doucement ;
Dans mon coeur d’amant
J’adore
Entendre ta voix
Au calme du bois
Sonore.
L’oiseau, d’un élan,
Courbe, en s’envolant,
La branche
Sous l’ombrage obscur
La source au flot pur
S’épanche.
Viens t’asseoir au bord
Où les boutons d’or
Foisonnent…
Le vent sur les eaux
Heurte les roseaux
Qui sonnent.
Et demeure ainsi
Toute au doux souci
De plaire,
Une rose aux dents,
Et ton pied nu dans
L’eau claire.
Albert Samain, Au jardin de l’infante
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les-cris-des-fendues · 2 months
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Ph. La bouquiniste
Paroles à la lune
La lune, dites-nous si c'est votre plaisir, Ô lune cajoleuse ! Que les hommes se plient au gré de vos désirs Comme la mer houleuse,
Est-ce votre vouloir que ceux qui tout le jour Furent doux et tranquilles, Succombent dans le soir au péché de l'amour Par les champs et les villes ?
Les baisers montent-ils vers vous comme de l'eau Qui se volatilise, Pour faire, à votre front vaniteux, ce halo Dont sa pâleur s'irise ?
Est-ce pour vous séduire ou vous désennuyer, Quand vous faites la moue, Que les hommes s'en vont se pendre ou se noyer, La lune aux belles joues ?
Brillez-vous pour que ceux qui marchent sans souliers, Sans joie et sans pécune, Aient, sur les durs chemins, des rayons à leurs pieds Pendant vos clairs de lune ?
Dans les coeurs délaissés, dans les coeurs indigents Qui battent par le monde, Vous laissez-vous tomber comme un écu d'argent, Parfois, ô lune ronde ?
Ô lune qui le soir venez boire aux étangs Et vous coucher dans l'herbe, Quel mal a pu troubler, d'un désir haletant, Votre langueur superbe ?
C'est d'avoir vu le bouc irrévérencieux Et la chèvre amoureuse S'unir dans la nuit claire, et réveiller les cieux De leur clameur heureuse ;
C'est d'avoir vu Daphnis s'approcher sans détour De Chloé favorable… C'est de sentir monter cette odeur de l'amour, Ô lune inviolable !
Anna de Noailles
Pleine lune dans le capricorne cette nuit justement on en profite pour y voir clair... ;-) *
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lesdamesmures · 6 months
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Scène 1 "Une femme mure sur la plage"
Déjà presque une année écoulée depuis ces vacances passées chez mes parents dans le sud-ouest de la France. C’était en pleine saison au mois d'août, je me souviens encore des senteurs et sensations d’aller courir chaque matin avant d’aller piquer une tête dans l’océan pour conclure cette activité de remise en forme. Ces sensations qui restent dans la mémoire comme des moments marquants de la vie où tout est calme, où on ressent la sérénité du présent, où la vie semble sans contraintes. 
J’avais passé l’âge de passer des vacances chez mes parents mais cette année là les voyages étaient encore limités et j’avais à coeur de voir mes parents après cette période surréaliste où la moitié de la planète avait passé plusieurs mois confinée. Ce virus COVID-19 qui a touché tous les pays du monde et cette mise en quarantaine qui nous a coupé de nos proches pendant plusieurs semaines et tant de victimes. Comme la plupart des gens, les vacances d’été se réduisaient à des distances accessibles en train ou en voiture, les vols à l’autre bout de bout monde encore déconseillés.
J'aimais me lever tôt pour aller courir, profiter de la fraîcheur matinale et du calme avant le trafic des vacanciers qui abondaient sur les plages et les coins touristiques. 
Depuis quelques jours j’avais remarqué cette femme venant profiter de la plage, comme moi elle semblait préférer la tranquillité avant l'arrivée de la foule. La 1ère fois que je l’avais aperçu, étant seul sur la plage avec elle, je me disais qu’elle m'avait obligatoirement remarqué. Je me souviens comme si c’était hier, je voulais me rafraichir après mon footing matinal, je n’avais pas résisté à l'envie de rester sur la plage alors que je n'avais ni serviette ni affaires de rechange. J'étais étonné de voir cette femme seule à cette heure, comme si elle commençait sa journée de plage, installée sur sa serviette, en maillot de bain avec un petit haut couvrant son buste de la fraîcheur
Elle lisait et avait tourné la tête en me voyant passer pour aller me baigner. J'avais posé mes runing, mon short et mon tee-shirt au bord de l'eau avant de plonger dans la mer encore fraîche. Je lui tournais le dos, elle était installé à une 20aine de mètre plus haut sur la plage, je n'avais pas osé me retourner mais bien qu'étant allongée sur le ventre, tournant le dos à la mer, j’avais imaginé qu’elle avait tourné la tête pour me regarder me dévêtir avant de plonger en boxer dans l’eau calme comme si la mer accueillait son 1er baigneur de la journée. Quand je revenais vers le bord, elle avait changé de position, assise sur sa serviette, le regard plongé dans son livre mais elle s'était retournée, peut-être pour profiter de l'océan et me regarder nager. Je trouvais cet instant troublant et la situation presque intime.
Depuis ce jour là, je revenais tous les matins, à la même heure, espérant retrouver cette femme qui lisait sur la plage. Avait-elle remarqué que je la regardais ? Pensait-elle que je venais dans l'espoir de l'aborder, la draguer ? Raisonnablement je n'y croyais pas trop, j'étais beaucoup plus jeune qu'elle, et visiblement ce n'était pas le genre de femme qu’on aborde facilement. C'était l'impression qu'elle me donnait. 
Une belle femme mure, qui devait avoir 55 ans bien sonnés, des formes matures, des cuisses charnues, un belle peau soignée. Malgré le soleil estival, sa peau à peine hâlée, encore assez blanche me laissait imaginer qu'elle avait dû arriver depuis peu. Un détail avait capté mon attention plus particulièrement, cette femme aux airs et attitudes un peu « bourgeoises » semblait prendre soin d’elle, elle n’était pas grosse mais des formes qui s’arrondissent avec les années de manière plus ou moins harmonieuses mais pleines de charme. Un visage assez fin encore mais quand elle s’était levée pour aller se baigner, son fessier m’avait captivé, il était large, charnu et marqué par les années tout en étant très agréable au regard. Un cul assez gros pour dire les choses de manière trivial mais un cul comme je les aimais et qui me faisait rêver surtout chez une femme mure. J'avais remarqué cette femme il y a 3 jours, depuis je suis repassé le matin à la même heure, elle était là au même endroit. Depuis je m'étais calé sur son horaire pour venir profiter de la plage et de sa présence qui agrémentait mes sorties footing et ma baignade matinale
Est-ce qu'elle se demandait ou se doutait qu'elle me faisait fantasmer ? moi un jeune homme de 27 ans qui venait tous les matins en même temps qu'elle, toujours au même endroit, un peu en retrait à quelques 10aines de mètre d'elle. Suffisamment en retrait pour ne pas l'agresser, comme si je voulais faire parti de son décors, l'habituer à ma présence pour me donner le droit de lui dire « bonjour ! », de lui parler comme un habitué de la même plage, à la même heure. Comme pour partager cette discrète complicité et la rassurer de ma présence à quelques mètres d'elle. Pour vivre ce moment, à la surprise de mes parents, j’avais pris cette habitude de me lever tôt tous les matins, pour profiter de ce moment privilégié qui devenait onirique et alimentait mon fantasme pour les femmes mures.
Chaque matins elle allait se baigner, faire quelques brasses et revenait sur sa serviette en profitant de l’océan calme avant de se replonger dans son livre le temps que les 1er touristes arrivent bruyamment sur la plage. Je n'avais pas encore osé aller me baigner en même temps, lui parler ne serait-ce que lui dire bonjour comme si elle devait forcement me reconnaitre. Je ne savais pas combien de temps elle resterait mais elle était en vacances et j'avais la sensation que j'avais le temps, qu'elle resterait indéfiniment le temps de mes vacances. Je sentais qu'elle s'habituait à ma présence, que je faisais parti de ce moment qu'elle s'octroyait tous les matins, avant que les vacanciers viennent encombrer la plage.
Depuis 3 matins elle était là, entre 7h30 et 7h45, l'heure où les gens dormaient encore, où l'eau est encore froide et chaque matin depuis 3 jours j'étais là en espérant la retrouver à la même place sans personnes aux alentours. Je ne savais pas comment l'aborder à part un simple bonjour mais elle était trop loin pour lui parler et je n’osais pas aller l’aborder et pour quelle raison d’ailleurs ! je voulais pas qu'elle se sente agressée. Je m’encourageais en me disant que je devrais aller me baigner en même temps qu'elle, ça serait plus facile de discuter, lui parler de la température de l'eau, du calme, de l'heure matinale ... des choses banales, anodines qui me permettraient de créer un contact, d'entendre sa voix et sentir si elle était ouverte à la discussion. "Demain je le ferai" me disais-je ! comme un défi à relever mais ça faisait 2 jours que j'essayais d'imaginer un moyen de l'aborder et que je finissais par me convaincre que ce serait mieux le lendemain. Comme si j'espérais que l’initiative vienne d’elle, considérant que mon âge ne me permettait pas d’aborder cette femme devenant de plus en plus inaccessible.
Je la regardais du coin de l'oeil, elle se levait pour aller se baigner, j'hésitais à me lever, attendre un moment pour la rejoindre mais je craignais de casser la magie de ce moment matinal qui agrémentait mes vacances et j'avoue aussi mes soirées. J’étais troublé en pensant à elle le soir en me couchant. J'imaginais des situations qui finissaient par réveiller mon sexe au point de me caresser en échafaudent des plans que je savais pertinemment irréalisables mais ces rêves érotiques étaient des plus agréables. J’essayais de l’imaginer, telle que je l’avais vu, je me remémorais régulièrement ce moment qui m’avait marqué et ému : son cul qui ondulait quand elle se dirigeait vers la mer pour aller nager. 
Ce matin encore en la voyant nager, je me résignais, me promettant que demain j'irai me baigner en même temps qu'elle, que je l'aborderai. Je me détendais en gagnant ce nouveau délais. Elle nageait à quelques mètres du bord, je la regardais, elle avait l'air sereine, douce, sensuelle, comme si elle savourait l'instant, je me réjouissais et me consolait en me disant que je faisais parti de ce moment, de ce décors qu'elle garderait en tête comme ses bons moments de vacances.
Ces moments matinaux alimentaient de plus en plus mes fantasmes nocturnes et mes pensées en journée. Je retournais parfois sur la plage pour tenter de la retrouver mais depuis que j’étais arrivé je n'avais pas encore eu l'occasion de la voir ou la croiser ailleurs que sur la plage le matin tôt. Il m'arrivait de parcourir les lieux où les touristes se promenaient, j’avais même fait le tour du marché en matinée, espérant la croiser, me demandant qui elle était, si elle était seule, en couple, avec sa famille, des amis mais étant seule chaque matin je l’imaginais seule. 
Toutes ces questions occupaient maintenant mon esprit et une bonne partie de mon temps. J'avais envie de savoir, de découvrir cette femme qui nourrissait mes fantasmes depuis que je l’avais vu ce 1er matin sur la plage.
Qui était cette femme mure sur la plage, venant seule tous les matins vers 7h30 et repartait avant l'arrivée des touristes. Jusque là, je n’avais pas osé quitter la plage en même temps qu'elle, je ne voulais pas lui paraitre entreprenant ou passer à ses yeux pour un dragueur de plage en quête d’aventure sans lendemain. Je ne savais pas si elle venait à pied, à vélo ou  en voiture mais je commençais à échafauder des plans pour en savoir plus.
Peut-être venir un peu avant 7h30 pour voir d'où elle venait ? peut-être attendre d'être hors de vu et la suivre de loin pour en savoir plus, savoir ou elle habitait. Ces plans tenaient en haleine mon esprit une partie de la journée mais je ne faisais que repousser la moindre initiative pour l'aborder. D'abord en savoir plus et aller me baigner en même temps qu'elle. Je me sentais presque rassuré d’obtenir ce délais tout en redoutant qu’elle ne vienne plus et disparaisse à jamais sans avoir rien tenté ni entendu le son de sa voix.
Le lendemain était un samedi, un jour de turn-over pour les touristes. J’angoissais presque en imaginant qu'elle risquait de disparaitre, que je n'en saurai pas plus sur elle et que j'aurai raté l'occasion de l'aborder. Je m'arrêtais un moment, j'hésitais entre me changer les idées en allant voir un copain et continuer à errer dans les alentours de la plage en espérant la croiser. Je me sentais comme un détective privé à la recherche d'informations sur une femme sur laquelle je menais une enquête.
Ces moments excitaient ma curiosité, je finissais par décider de retourner sur la plage en scrutant les environs mais il y avait tellement de monde à cette heure que mon espoir de la retrouver dans cette foule s'estompait vite. Pourtant je restais un moment à scruter du regard la foule peuplant cette plage si tranquille le matin. Je décidais d'aller voir un copain en projetant de repasser en début de soirée quand la foule aurait quitté les lieux.
A suivre ... (Scène 2 le 21 mars 2024 à 06h00)
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pompadourpink · 10 months
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Mr Grinch!
You're a mean one, Mr. Grinch You really are a heel You're as cuddly as a cactus, you're as charming as an eel, Mr. Grinch You're a bad banana with a greasy black peel!
Tu es un méchant, M. Grinch, Tu es vraiment une crapule Tu es aussi câlin qu’un cactus, tu es aussi charmant qu’une anguille, M. Grinch Tu es une brebis galeuse avec un pelage gras et noir!
You're a monster, Mr. Grinch Your heart's an empty hole Your brain is full of spiders, you've got garlic in your soul, Mr. Grinch I wouldn't touch you with a thirty-nine-and-a-half-foot pole!
Tu es un monstre, M. Grinch, Ton coeur est un trou vide Ton cerveau est plein d’araignées Tu as de l’ail dans l’âme, M. Grinch Je ne te toucherais pas avec un poteau de trente-neuf pieds et demi de long
You're a vile one, Mr. Grinch You have termites in your smile You have all the tender sweetness of a seasick crocodile, Mr. Grinch Given a choice between the two of you, I'd take the seasick crocodile!
Tu es un vilain, M Grinch Il y a des termites dans ton sourire Tu as toute la tendre douceur d’un crocodile avec le mal de mer, M Grinch Si je devais choisir entre vous deux Je prendrais le crocodile qui a le mal de mer!
You're a foul one, Mr. Grinch You're a nasty-wasty skunk Your heart is full of unwashed socks, Your soul is full of gunk, Mr. Grinch
Tu es un odieux personnage, M Grinch Tu es une mouffette qui pue Ton coeur est plein de chaussettes sales Ton âme est pleine de saletés, M. Grinch
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memoryisthemonster · 2 months
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I watch d'Artagnan's videos for the plot. The plot:
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D'amour danse ma délivrance
à la cadence des ailes et des voyelles
.
Au solfège du Rêve mon coeur ruisselle
d'un refrain qui m'improvise
.
Je ne m'appartiens plus
Il me semble ouïr toutes les ruches de l'île
.
de connivence chanter
--------
... Car toute nostalgie n'est que collier de lianes
au cou des chimères de l'âme ...
---------
... ici il n'est fragment qui ne me donne jour
.
Louis-Axel Montlouis Elmin, A l'aquarelle des mers, extraits, édition Aux Cailloux des chemins
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Face à la mer, prenez le temps d'une respiration et.....
Rêvez comme si vous n'aviez rien à perdre, croyez comme si tout était possible, aimez comme si votre coeur ne connaissait pas de limite et surtout.... vivez comme s'il n'y avait qu'aujourd'hui !
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lisaalmeida · 1 year
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L'espoir, c'est cette petite chose à plumes
Qui se perche dans l' âme
Chante sa chanson sans mots
Et qui n'arrête jamais son flot
Et dont s'entend dans la bourrasque le chant si beau
Il a dû s'érailler la voix, l'ouragan
En ayant assourdi le petit oiseau
Qui avait réchauffé le coeur de tant de gens
Je l'ai entendu sur des terres glacées
Ou sur les mers les plus insolites
Pourtant, même en dernière extrémité
Il ne m'a jamais demandé la moindre miette.
Emily Dickinson.
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satinea · 6 months
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“Très cher René,
Par gros temps en mer je pense toujours à ce peintre dont je ne sais plus le nom qui se faisait attacher au mât de misaine pendant la tempête pour voir et garder la vision de tous ces déchaînements d’écume.
Terre-Neuve. Un froid de loup, j’ai le visage comme une tomate picoté d’aiguilles salines. Quel temps, mais l’essentiel est qu’on avance sans se contenter de ne pas dériver.
Seize heures de sommeil sur vingt-quatre, le reste à deviner le paysage.
Si le coeur t’y porte, tu trouveras autant de variétés, d’aspects différents sur ce long parcours, que la terre nous en donne sur le sien.
Il n’y a pas que cette immense ébullition où l’on se contente de quelques tracés monotones. C’est extraordinairement mesuré l’océan, bien bâti, alerte, différent à chaque instant heureux et quelles trouées au couchant avec ces petits nuages pâles qui semblent rire du poids des vagues, bleues, vertes, serpents, miroirs superbes, que cela s’organise bien ce débordement.
Quel tempérament équilibré. Je n’en ai jamais tant vu de couleurs fugitives, certaines impossibles, éclatantes, calmes. Quelle joie René, quel ordre.
Tu vois, je suis heureux en diable, je pense à toi, mon amour dort un peu plus que moi mais supporte très bien ce vacarme, intérieurement serein.
Je t’embrasse.
Nicolas
Te peindrai des tempêtes en rentrant.”
Nicolas de Staël “Lettres”
***
Tableau : Mer et nuages (1953)
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