#concert privé

[therealninahere]

[fatally-alive]

Chambre 503 - The Libertines en concert privé

[lepartidelamort]

L’État juif en France dispose d’une vaste structure para-étatique qui démultiplie sa capacité de contrôle de la société. Il y a ainsi 1,5 million d’associations subventionnées à hauteur de plus de 50 milliards d’euros par an.

Le domaine de la « culture » est enrégimenté par le ministère du même nom, lequel dispose d’un budget de 10 milliards d’euros pour corrompre ceux qui consentent à alimenter la propagande constante du régime, notamment à la télévision et au cinéma.

La presse quant à elle perçoit des milliards d’aides, faute de lecteurs.

Il y a aussi les syndicats, tous plus ou moins marxistes, pro-invasion et férocement enjuivés, qui perçoivent des montants inconnus, puisque l’État comme le CAC40 les arrosent de cash de manière discrétionnaire. La CGT a par exemple un château à Fontenay-lès-Briis dont vous assurez l’entretien avec vos impôts, bien entendu réservé à ses dirigeants.

À ces factions et cette machine de propagande s’ajoutent les structures de répression politique pure que sont la LICRA, l’UEJF SOS Racisme, le MRAP, la LDH, etc., appuyées à l’intérieur du ministère de la Justice par la maçonnerie ou les réseaux trotskistes du Syndicat de la Magistrature, en plus du gouvernement en tant que tel. Enfin, la DILCRAH coordonne la purge de l’internet, etc..

Tout ça vient en plus du lavage de cerveau obligatoire qui commence à l’école, sous la direction du ministère de « l’Éducation » du juif homosexuel Attal.

Ce vaste système n’a d’équivalent que dans les régimes communistes, quoique les régimes communistes n’ont pas besoin de dissimuler ce genre de contrôle sous un vernis para-étatique. D’autant qu’ils n’en ont généralement pas les moyens.

La France est effectivement un système communiste dirigé par des juifs, mais il ménage une part d’économie privée pour financer cet énorme appareil de contrôle et de surveillance des populations qui utilise la sous-traitance pour une plus grande efficacité. L’innovation de cette république, c’est de financer l’esclavage des goyim par leurs taxes.

Imaginez si demain l’État finançait à hauteur de 50 milliards d’euros des associations de droite et d’extrême-droite virulemment anti-républicaine, anti-démocratique, racistes et antisémites.

Imaginez une seconde.

Chaque semaine, nous aurions des conférences, des manifestations, des concerts, des foires, des projets sur des thèmes pro-blancs.

D’où le fait que la France soit un enfer marxiste, pourri de métèques, avec des crasseux de gauche absolument partout, payés à semer le chaos pour le compte de la juiverie. Dans un tel environnement, la police politique juive ne rencontre évidemment aucune opposition sérieuse.

Pourtant, le régime hurle constamment contre « l’ultra-droite » dans un pays où la chasse au Blanc est ouverte.

[inflammatory]

They took you can be the boss live at concert privé off Spotify. Hand me the gun man

[selidren]

Champs-les-Sims - Eté 1908

9/10

Les préparatifs de mariage vont donc bon train. Madame Eugénie partage depuis son temps entre les enfants et le trousseau de sa petite fille. Elle espère ainsi donner un très beau mariage à Juliette, et souhaite la voir heureuse. Clément la visite de temps à autre, et les fiançailles ont semble-t-il régulé leurs ardeurs. Juliette s'est lancée dans des manifestations plus calmes de son affection envers son fiancé. Elle lui propose des concerts privés au piano, ce qui nous profite ainsi à tous, et même aux enfants. Elle a aussi demandé à ce qu'on tire le portrait de Clément, et elle a donc mis sur sa table de nuit une photographie afin de pouvoir songer à lui avant de s'endormir.

[raisongardee]

“Le peuple est incapable d’entendre ses intérêts ; on doit, pour son bien, le tenir toujours en tutelle. N’est-ce pas à ceux qui ont des lumières de conduire ceux qui manquent de lumières ? Ainsi parlent une foule d’hypocrites qui veulent faire les affaires du peuple, afin de s’engraisser de la substance du peuple. Vous êtes incapables, disent-ils, d’entendre vos intérêts ; et sur cela, ils ne vous permettront pas même de disposer de ce qui est à vous pour un objet que vous jugerez utile ; et ils en disposeront, contre votre gré, pour un autre objet qui vous déplaît et vous répugne. Vous êtes incapables d’administrer une petite propriété commune, incapables de savoir ce qui vous est bon ou mauvais, de connaître vos besoins, et d’y pourvoir ; et sur cela, on vous enverra des hommes bien payés à vos dépens, qui gèreront vos biens à leur fantaisie, vous empêcheront de faire ce que vous voudrez, et vous forceront de faire ce que vous ne voudrez pas. Vous êtes incapables de discerner quelle éducation il est convenable de donner à vos enfants ; et par tendresse pour vos enfants, on les jettera dans des cloaques d’impiété et de mauvaises mœurs, à moins que vous n’aimiez mieux qu’ils demeurent privés de toute espèce d’instruction. Vous êtes incapables de juger si vous pouvez, vous et votre famille, subsister avec le salaire qu’on vous accorde pour votre travail ; et l’on vous défendra, sous des peines sévères, de vous concerter ensemble pour obtenir une augmentation de ce salaire, afin que vous puissiez vivre, vous, vos femmes et vos enfants.”

Félicité de Lamennais, Paroles d’un croyant, 1834.

[sofya-fanfics]

Ta mélodie dans mon cœur

Fandom : Fairy Tail

Relationship : Gray x Juvia

Voici ma participation pour le Tropetember 2023 pour le prompt : Rockstar / Actor / Model / Famous AU.

J’espère que ça vous plaira.

Résumé : Cela faisait un peu plus d’un an que Juvia avait découvert ce groupe d’idol composé de quatre garçons. Natsu, Laxus, Jellal et surtout Gray. Gray-sama, pensa-t-elle avec un regard rêveur.

Disclaimer : Fairy Tail appartient à Hiro Mashima.

@tropetember

AO3 / FF.NET

Juvia posa son téléphone sur la table et un immense sourire illumina son visage. Elle avait réussi à acheter les dernières places pour le concert du groupe Fairy Tail. Si elle n’était pas dans un lieu publique, elle aurait sauté de joie.

Cela faisait un peu plus d’un an qu’elle avait découvert ce groupe d’idol composé de quatre garçons. Natsu, Laxus, Jellal et surtout Gray. Gray-sama, pensa Juvia avec un regard rêveur. À cette époque, Juvia vivait une période sombre où elle croyait ne jamais s’en sortir. Elle était dans sa dernière année de lycée. Son petit ami avait rompu avec elle et les élèves de sa classe la harcelaient. Ils la trouvaient trop lugubre, trop étrange et ils n’aimaient pas sa façon de parler à la troisième personne. Elle avait l’impression qu’il pleuvait en permanence sur son cœur et que cette pluie n’allait jamais s’arrêter.

Un jour, elle avait vu à la télévision le groupe Fairy Tail qui avait été invité à une émission pour présenter leur nouvelle chanson. C’était à ce moment qu’elle avait vu Gray pour la première fois et qu’elle avait entendu sa voix. En l’écoutant, la pluie s’était arrêtée pour la première fois depuis longtemps. Le soleil réapparaissait dans sa vie.

Depuis, elle ne loupait aucune émission dans laquelle le groupe était invité, elle les suivait sur les réseaux sociaux, elle collectionnait tous les goodies à leur image, elle avait même cousu une peluche à l’effigie de Gray qu’elle espérait pouvoir lui offrir au concert.

Ce serait la première fois qu’elle le verrait en vrai. Elle ne pouvait s’empêcher d’imaginer leur rencontre. Elle le rencontrerait par hasard avant le concert. Leur regard se croiserait et ce serait l’amour au premier regard. Elle lui donnerait la peluche et il la prendrait dans ses bras pour la remercier. Lors du concert, il chanterait pour elle, ne la quittant pas du regard et il lui dédicacerait une chanson. Ce serait le début de leur histoire d’amour.

Elle revint sur terre lorsqu’elle reçut un message de Gajeel qui lui disait qu’il allait bientôt arriver. Elle se trouvait dans un café où elle attendait son meilleur ami. Tous deux avaient passé leur enfance dans le même orphelinat. Ils étaient solitaires et avaient du mal à se lier aux autres. Ils étaient devenus amis lorsque des filles de l’école ennuyaient Juvia et que Gajeel l’avait défendu. Ce jour-là, Gajeel était devenu bien plus que son ami. Il était sa famille. Elle sourit lorsqu’elle le vit entrer dans le café. Elle lui fit un signe de la main pour signaler sa présence. Gajeel alla s’asseoir à sa table.

« Tu ne devais pas venir avec un ami ? Demanda Juvia.

-Il ne va pas tarder. »

Un de ses amis était en ville quelque temps et Gajeel avait insisté pour que Juvia le rencontre. Lorsqu’elle lui avait demandé pourquoi, il lui avait seulement répondu avec un grand sourire :

« Je suis sûr que tu seras très heureuse de le rencontrer. »

Quelques minutes plus tard, la porte du café s’ouvrit à nouveau et un garçon entra. Juvia fronça les sourcils. Il était grand et élancé, mais elle ne voyait pas son visage à cause de sa casquette, ses lunettes de soleil et du masque qu’il portait.

« On dirait une idol qui essaye de se cacher, commenta-t-elle.

-Tu ne crois pas si bien dire. »

Juvia lui lança un regard interrogateur. Gajeel fit signe au garçon pour qu’il s’approche de leur table.

« Content de te revoir, dit Gajeel.

-Tu aurais pu choisir un endroit plus privé.

-Désolé, je n’y avais pas pensé. »

Mais Gajeel était tout sauf désolé. Le garçon s’assit et Juvia eut une étrange impression. Comme si elle l’avait déjà vu quelque part, mais il lui était impossible de se souvenir où.

« G je te présente Juvia. Juvia, voici G. »

G regarda vers elle et elle rougit. Ses gestes, sa voix, tout en lui lui était familier. Elle discuta avec lui et rit. Elle se sentait à l’aise et c’était la première fois qu’elle se sentait ainsi avec un inconnu. Pourtant quelque chose en elle lui disait qu’elle le connaissait et elle ne put s’empêcher de l’observer. Elle détourna le regard lorsque G, se sentant observé, posa les yeux sur elle. Au bout d’un moment, G reçut un message de son travail et dû partir.

« Ton ami est vraiment très gentil, dit Juvia. »

Gajeel rit légèrement. Elle se demandait pourquoi il réagissait ainsi.

« Je n’en reviens pas que tu ne l’aies pas reconnu. »

Juvia fronça les sourcils. C’est vrai qu’il lui était familier et cela l’énervait de ne pas savoir où elle l’avait vu. Si seulement il ne portait pas ses lunettes de soleil, pensa-t-elle.

« Est-ce qu’il était à l’orphelinat ?

-Non, je l’ai rencontré lorsque je faisais du hockey au collège.

-Tu sais très bien que Juvia ne connaissait pas tes amis du hockey. »

Gajeel sourit malicieusement.

« Tu l’écoutes tous les jours, lui et ses trois amis. Tu as des photos de lui dans ta chambre. Tu as toute une collection de goodies sur lui. Tu as même cousu une peluche qui lui ressemble. »

Juvia écarquilla les yeux et porta ses mains à sa bouche. Son cœur battait de plus en plus vite, réalisant ce qu’il venait de se passer. Elle venait de rencontrer :

« Gray-sama ! »

Cela n’avait rien à voir avec la première rencontre qu’elle s’était imaginée. Soudain, tout devint noir.

******

Deux jours était passés depuis la rencontre de Juvia avec Gray. Tout ce qu’elle espérait, c’était ne pas s’être ridiculisée devant lui. Elle arriva à l’appartement de Gajeel. L’anniversaire de sa petite-amie, Levy, arrivait à grand pas et Juvia avait promis à son ami de l’aider à trouver un cadeau. Elle adorait Levy et il était hors de question qu’elle et Gajeel se séparent à cause d’un cadeau mal choisi de la part du jeune homme. Juvia ouvrit la porte de l’appartement. Elle passait tellement de temps chez lui que Gajeel lui avait donné une clé.

« Gajeel, tu es là ? Appela-t-elle en fermant la porte derrière elle.

-Il est parti faire quelques courses. Il ne devrait pas tarder. »

Juvia sursauta, ne s’attendant pas à ce que quelqu’un d’autre se trouve dans l’appartement. Elle crut s’évanouir lorsqu’elle se tourna vers la personne.

« Gray-sama ! »

Elle rougit et détourna les yeux.

« Tu es en caleçon. »

Gray se regarda et émit un hoqueté de surprise.

« C’est pas vrai, marmonna-t-il. J’ai recommencé. »

Juvia l’entendit s’habiller et dû se retenir de toutes ses forces pour ne pas regarder. Elle se souvint qu’elle avait lu quelque part que Gray avait tendance à se déshabiller inconsciemment. Il avait passé une grande partie de son enfance dans les montagnes et le froid ne lui faisait rien.

« C’est bon, tu peux regarder. »

Juvia le regarda et vit qu’il portait désormais un jean et un t-shirt. Elle était presque déçue qu’il se soit habillé aussi vite. Elle secoua violemment la tête, se disant qu’elle ne devait pas se mettre à rêvasser.

« Est-ce que tout va bien ? Demanda Gray. »

Elle acquiesça timidement. Les images de leur première rencontre lui revint à l’esprit et elle se sentit gênée.

« Ju… Juvia est désolée si elle a fait ou dit quelque chose d’embarrassant la dernière fois. »

Gray secoua négativement la tête.

« Au contraire. Ça m’a fait plaisir de pouvoir parler et agir normalement devant quelqu’un qui ignorait qui j’étais. »

Juvia se rendit alors compte que la vie de Gray devait être bien différente de celle qu’elle imaginait. Il était une célébrité scruté par tout le monde et le moindre faux pas pouvait mettre fin à sa carrière. La porte d’entrée s’ouvrit brusquement et Gajeel entra.

******

Juvia se retourna de l’autre côté du lit, serrant contre elle la peluche qu’elle avait cousu à l’effigie de Gray. Elle n’arrivait pas à dormir et fixait le poster de Gray. Ils s’étaient revus plusieurs fois, généralement chez Gajeel. Lorsqu’ils étaient dehors, il portait toujours sa casquette, ses lunettes et son masque pour ne pas être reconnu.

Cela faisait deux semaines que le groupe voyageait dans le nord du pays pour une série de concerts qui annonçait le début de leur tournée. Gray devait revenir en ville dans trois jours. Pendant le temps qu’il était absent, Juvia eut tout le temps de réfléchir à ce qu’elle ressentait. Elle avait appris à le connaître et elle avait appris à faire la différence entre Gray Fullbuster et Gray l’idol.

Plus le temps passait, plus elle aimait le véritable Gray. Elle l’aimait quand il était heureux ou bougon. Quand il s’irritait lorsque Gajeel se moquait de lui. Lorsqu’il lui avait souri quand il l’avait entendu fredonner une de ses chansons. Elle aimait ses qualités et ses défauts. Jamais elle n’avait ressenti cela pour qui que se soit et depuis qu’il était parti, il lui manquait. Elle se demandait s’il ressentait la même chose. Probablement pas, pensa-t-elle tristement. Pour lui, elle ne devait être que l’amie de Gajeel et une fan de plus.

******

« Calme-toi, dit Gajeel. Tu vas finir par la déchirer à force de la serrer comme ça. »

Juvia desserra légèrement le sac contenant la peluche Gray qu'elle tenait contre elle et prit une profonde inspiration pour se calmer. Le groupe Fairy Tail était en ville pour donner leur concert. Grâce à Gray, Juvia et Gajeel avaient pu aller dans les coulisses. Juvia avait amené avec elle la peluche Gray qu’elle espérait pouvoir lui donner.

Elle était à la fois impatiente et anxieuse de le revoir. Des milliers de questions et de possibilités défilèrent dans sa tête. Comment allait se dérouler leur retrouvaille ? Est-ce qu’il avait pensé à elle ? Est-ce qu’elle lui avait manqué autant qu’il lui avait manqué ? Son cœur battait de plus en plus fort au fur et à mesure qu’ils s’approchaient des loges.

Juvia écarquilla les yeux, émerveillée. Tout était comme elle l’avait imaginé. Le groupe était présent avec les musiciens et le staff. Certains se concentraient, d’autres échauffaient leur voix ou se faisaient maquiller. Parmi tout ce monde, Juvia aperçut Gray. Il se trouvait au fond de la salle, assis sur une chaise et se concentrait sur une partition. Il leva les yeux et sourit lorsqu’il vit Juvia et Gajeel. La jeune femme lui fit un signe de la main, auquel il répondit.

« Tout le monde, dépêchez-vous, il est temps d’y aller, cria l’agent du groupe. »

La salle se vida peu à peu et Juvia avertit Gajeel qu’elle le rejoindrait dans la salle de concert. Le jeune homme lui sourit en lui souhaitant bonne chance. Il espérait sincèrement que Gray acceptera la peluche et les sentiments de Juvia. Il savait qu’ils pourraient être heureux ensemble. Juvia s’avança timidement vers Gray. Celui-ci sourit en rougissant et se gratta légèrement la joue, gêné.

« Je suis content de te revoir, dit-il.

-Juvia aussi. »

Elle sentit la peur qu’elle avait pour ces retrouvailles s’envoler. Elle eut le courage de lui donner la peluche.

« Juvia voulait te donner ceci. »

Elle lui tendit le sac qu’il accepta. Il en sortit la peluche et écarquilla les yeux. Il ne s’attendait pas à voir une peluche qui lui ressemblait et en la regardant de plus près, il vit qu’elle était faite-main. Cela l’aurait gêné si quelqu’un d’autre lui avait fait ce cadeau. Voir tous ces goodies à son effigie l’embarrassait. Mais venant de Juvia, cela le rendait heureux. Il leva les yeux vers elle. Il se retint de rire devant l’expression qu’elle avait. Elle était à la fois heureuse de lui donner son cadeau et anxieuse en attendant sa réaction.

« Je l’aime beaucoup. »

Un immense sourire illumina le visage de Juvia. Gray s’apprêtait à lui dire autre chose lorsque son agent arriva.

« Gray ! S’exclama-t-il. Qu’est-ce que tu fais encore là ? Dépêche-toi ! »

Il s’en alla aussi vite qu’il était arrivé.

« Juvia va rejoindre Gajeel. »

Elle se retourna pour partir, mais Gray la retint par la main.

« Attends, je voudrais te parler. »

Il prit une profonde inspiration pour se donner du courage. Il n’était pas du genre à parler facilement de ses sentiments, mais pour Juvia, il était prêt à s’ouvrir à elle.

« Ce temps passé loin de toi m’a fait réfléchir. Tu m’as énormément manqué. C’est la première fois que je ressens ça. C’est comme si tu étais dans mon cœur et dans ma tête et que tu refusais de partir. Ce que je veux dire, c’est que... »

Il se passa nerveusement la main dans les cheveux.

« Je t’aime. »

Sans à ce qu’il s’y attende, Juvia se jeta dans ses bras. Elle l’embrassa et Gray répondit avec autant de ferveur à son baiser. Plus rien ne comptait à part les lèvres de Juvia sur les siennes et son corps pressé contre le sien. Il avait l’impression d’être dans un autre monde et il ne voulait pas en sortir.

« Gray ! Hurla son agent. »

Juvia et Gray se séparèrent. Gray leva les yeux au ciel et Juvia rit légèrement.

« Je te retrouve après le concert, dit-il en lui embrassa la main. »

Juvia acquiesça et Gray s’en alla tandis que l’agent se mit à hurler à nouveau. Lorsque Juvia fut sûre qu’elle était seule, elle sauta en l’air et explosa de joie. Gray l’aimait. Il venait de lui avouer qu’il était amoureux d’elle et ils s’étaient embrassés. C’était un rêve devenu réalité et elle ne pouvait pas être plus heureuse. Elle entendit au loin la première chanson démarrer. Elle se précipita vers la salle de concert retrouver Gajeel, où Gray allait chanter rien que pour elle.

Fin

[dystopiakawa]

Sigur Rós 27/08/2016 Rock en Seine

 Une claque ! Que dis-je ?! Une putain de tarte qu'on oublie pas !

C'est l'apothéose ! C'est Jouissif 

Que dire de plus sur ce concert que j'attendais avec impatience  

 On commence par un préliminaire musical avec Óveður avec des basses qui te rentrent dans le corps, qui te transportent jusqu'au paroxysme du bonheur auditif et puis on continue à être envoûté par la voix de Jónsi et sa manière de jouer si particulière de la guitare. Avec un Archet qui nous rappel les années Led Zeppelin.

Festival et l'attente du record "tenir une note" qui est de 50 secondes et là tu te dit c'est un alien tu est admiratif, t'es époustouflé tu sens qu'il vit la musique et qu'il te transmet cette vie

 Et puis finir ce concert dans un orgasme, j'oublierais jamais ce concert qui était pour moi mon premier et je considère ça comme une dépucelage fait avec tellement de passion d'envie et d'amour pour le son de ce groupe que j'en redemande encore et encore !!

Article issus de mon skyblog privé Hrafntinna Varða

[darlaynaaa]

BGYO: Aces of P-pop

Who is BGYO?

BGYO is a five-member P-Pop boy group under ABS-CBN’s Star Magic consisting of Akira, JL, Mikki, Gelo, and Nate. The group’s name is not a shortened version of the Tagalog word "bagyo" which means storm or a tropical cyclone. BGYO is an acronym for "Becoming the Change, Going Further, You and I, Originally Filipino."

During their pre-debut, BGYO is also referred to as SHA Boys or Star Hunt Academy Boys. They trained for more than two years with Korean coaches before debuting on January 30, 2021, with their single "The Light." The members themselves wrote the Filipino lyrics to reflect their experiences in training.

You can watch the official music video of "The Light" below!

BGYO Members Profile

Angelo Troy Rivera, also known as Gelo, is the leader of BGYO. He was born on April 18, 2001. He was competing with his dance team, called A-Team, in the Philippines and other countries before making his debut as an idol.

Akira Morishita is the lead vocalist of BGYO. He was born on April 27, 2001. He is an Indie Filipino Actor in the Philippines and is known for starring in Sundalong Kanin (2014), Alienasyon (2014), All of Me (2015), and ‘Tol (2019). He recently co-starred with Francine Diaz in the teen comedy miniseries Bola-Bola. Also, he has appeared in a few commercials.

John Lloyd Toreliza, also known as JL, is the main vocalist of BGYO. He was born on September 17, 2001. In 2018, he joined "The Clash," a singing competition that aired on national television and had Regine Velasquez-Alcasid as one of the judges. He did not make it to the finals, unfortunately.

Michael Claver Jr., also known as Mikki, is the main rapper of BGYO. He was born on February 13, 2002. He was the last person to audition for Star Hunt Academy to get a scholarship.

Nathaniel Porcalla, also known as Nate, is the main dancer and the youngest of BGYO. He was born on June 06, 2003. He competed in World of Dance Philippines in 2019, but he did not advance to the finals.

Accomplishments of BGYO

BGYO has taken the world by storm since making its debut in 2021. They are renowned for notable vocals, synchronized dance moves, commanding stage presence, and undeniable visuals. With that, the group is regarded as "P-Pop's Breakout Act of 2021" and has earned their so-called "Aces of P-Pop" in just a year.

In the first two years of their career, BGYO released thirteen singles, seven B-sides, nine soundtrack singles, two promotional singles, two remix singles, and eleven music videos. In addition, they have been holding concerts both locally and globally, making them the proud flag bearers of P-pop worldwide. The group was featured by Privé Alliance, an upscale streetwear line that lists Baekhyun, a Korean singer, as its co-creative director. They have also been nominated for and won several awards locally and internationally. The members keep their feet on the ground despite the achievements they have been receiving. They always honor their ACEs, or their fans, for their unending love and support since the beginning. 

BGYO continues to dominate the world, representing P-pop on the scene.

Why did I choose this topic for my blog?

I chose this topic to feature BGYO. What their background is, how they overcame challenges, and who are the persons behind the title, "Aces of P-Pop?" I have been their fan since before their debut. I saw how much effort and time they invested in their preparation for their performances. They almost couldn't debut because of the ABS-CBN shutdown. But thankfully, the management didn’t disappoint them. 

P-pop groups used to be made fun of because people thought they were copying K-pop. This is why many groups have disbanded. Nevertheless, the biggest thanks go to highly trained Filipino talents like SB19, who revived P-pop on the mainstream scene. Upon BGYO's debut, P-pop and other P-pop groups like BINI, Alamat, and VXON get more opportunities to gain international recognition. They prove that P-pop is Filipino pop music rather than a K-pop copycat. Therefore, P-pop—the embarrassing subgenre of OPM or Original Pilipino Music we previously knew—became an instant sensation, the reason why new P-pop groups are constantly making their debut nowadays.

Many people have found reason in BGYO, especially the ACEs. Akira frequently reminds the fans to treat themselves with the same love that they give to their members. Hopefully, with the help of this blog, I can make you understand the journey of BGYO. Remember that you can become whoever you want to be.

Stay updated with BGYO by following their social media accounts! We will be glad to welcome you to our fandom.

Twitter: @bgyo_ph Instagram: @bgyo_ph Tiktok: @officialbgyo Facebook: BGYO PH YouTube: BGYO Official

[droitsdesfemmes]

Hayman Seleg Mendelssohn - Portrait de Cécile Chaminade au piano, 1890.

Paris, 1870. En cette paisible fin d'après-midi, le compositeur Georges Bizet est tranquillement installé dans le salon de ses amis, les Chaminade. Soudain, la fille de la famille, Cécile, s'installe au piano et se met à jouer. Bizet est sous le choc. Quel talent ! Le compositeur décide de l'encourager à intégrer le Conservatoire, mais se heurte à un obstacle de taille : le père de la jeune Cécile qui destine sa fille à la très conventionnelle carrière d’épouse et de mère. Georges Bizet obtient néanmoins que Cécile suive des cours privés avec les professeurs du Conservatoire. La jeune musicienne y prend goût. Elle profite d’une absence de son père pour donner son premier concert public, alors qu’elle n’a que dix-huit ans. Comme Bizet, ses contemporains sont subjugués par son talent. Au grand dam de son père, la carrière de Cécile Chaminade est lancée. Déjà brillante pianiste, elle se prend de passion pour la composition. Des mélodies à la musique de chambre ou d'orchestre en passant par des pièces vocales, rien de l'arrête. Elle produit plus de 400 œuvres ! Lorsque son père décède, Cécile Chaminade plie bagage et part conquérir le monde. De l'Angleterre à la Turquie, elle fait salle comble. Les grands de ce monde se l'arrachent : le président américain invite la musicienne à déjeuner et Victoria, la reine d'Angleterre, la reçoit régulièrement dans son château. Georges Bizet a bien fait d'y croire : celle qu'il surnommait « mon petit Mozart » est devenue une star. Quand la guerre éclate, à cinquante-sept ans, elle accepte de prendre la direction d'un hôpital londonien, abandonnant complètement la musique. Après la guerre, elle ne se produit plus en public, mais compose encore de loin en loin. « Épuisée par des courses incessantes, décalcifiée par les excès d'un régime alimentaire végétarien mal conçu, elle doit être amputée d'un pied en 1936. » Elle se retire du monde à Monte-Carlo, où elle meurt, presque oubliée, le 13 avril 1944. Cécile Chaminade est décorée de l'ordre national de la Légion d'honneur avec le grade de chevalier, le 14 juillet 1913. Elle est la première musicienne à recevoir cette distinction.

[toutletemps]

bon les gens, c’est un acte un peu désespéré que je fais là, et je le fais ici car je crois bien qu’aucun de mes proches irl me lisent ici car iels ne connaissent pas ce compte, mais c’est la première fois de ma vie, et ce depuis quelques mois, où je me sens si misérable, si peu confiante, beaucoup trop sensible et idéaliste pour ce monde, beaucoup trop emplie de souffrance, beaucoup trop remplie d’espoirs et ces espoirs se brisent face à la réalité, de remises en questions, de comparaisons, de jugement, de pessimisme, de rancoeur envers moi-même, j’arrive plus à dormir sereinement et sans médicament (et même avec je galère tellement mon mental est fort), ça me rend folle et tout mon monde s’écroule

je voulais savoir comment vous faites pour rester en vie quand c’est un calvaire comme ça dans la tête, ce qui vous fait tenir, ce qui vous a aidé si vous avez traverser ce truc de vous haïr à un moment, comment vous vous apportez du doux

je suis mega jeune j’ai une vie devant, tout peut changer et il y a plein d’espoir je crois, mais je me sens bloquée dans mon malheur et je sais pas comment en sortir, je suis entourée un peu mais je me sens si seule si seule si seule

Et je me dis que si je galère autant maintenant à 22 ans et bien quand je vais me frotter à la vraie réalité de la vie active et tout et les impôts et tout bah super, déjà que là je peine avec l’admin mais c’est surtout parce que je suis épuisée. J’arrive même plus à lire et à me plonger dans la vie des autres tellement je suis trop dans la mienne, j’arrive plus à respirer enfin j’essaie de m’y remettre

J’ai l’impression de me fracasser la tête contre le réel alors que je me berce de poésie et d’espoirs depuis bébé, et le choc me fait si mal et je crois qu’on pourrait vivre dans un monde sans ce choc ce serait + beau non? J’en vois qui y arrivent, d’être libre, et c’est beau ça me donne envie et m’irrite en même temps car je crois que je les jalouse

Je me sens tellement en décalage avec le monde entier, j’en ai marre d’être triste et de le dire à haute voix, j’hésite à faire une retraite spirituelle de mille ans, j’ai envie d’être amoureuse et qu’on m’aime en retour, j’ai envie de crier dans la forêt et d’aller dans les montagnes mais j’ai pas le temps à cause des cours et je sais même pas avec qui j’irai

Je suis tellement dramatique, c’est midi, je vais prendre une douche et essayer de faire du yoga, si vous voulez m’envoyer des messages d’espoir en une vie plus douce par message privé c’est avec plaisir (on en est là oui), ce soir je vais voir pomme en concert, peut-être que ce sera beau dedans moi quand je l’écouterai

petit mantra qu’on m’a dit de me répéter

Je m’aime et je m’accepte telle que je suis

Je m’aime et je m’accepte telle que je suis

Je m’aime et je m’accepte telle que je suis

[joubliemapromesse]

> ZAD KOKAR (Strasbourg): Lorsqu'il n'est pas en train de travailler sur ses bandes-dessinées, Zad Kokar développe depuis plusieurs années (en solo ou accompagné par les Combi Beyaz) un univers musical spécifique et extra-terrestre. Sorte de mélange cathartique du minimalisme de Devo, de l'étrangeté des Residents, et de beats hip-hop 80’s. Le tout sous l'influence des dissonances et de la nervosité no-wave. Ses concerts sont définis par une grande énergie dansante, forte, et libératrice qui remonte le moral ! Il a déjà sorti plusieurs vidéos, cassettes et disque vinyles dont le dernier « Mold Grows » a été masterisé par le punk weirdo Geza X. Voici quelques captations live ainsi que des clips : https://www.youtube.com/watch?v=qAJIQsIOYgU https://www.youtube.com/watch?v=gVZ1pjX1fCU https://www.youtube.com/watch?v=SHllqb4E-tM https://www.youtube.com/watch?v=qKl_i8Ej7x4 Vous trouverez ici des liens pour écouter sa musique : https://petite-nature.bandcamp.com/ / HOUSE OF DIAMONDS (Strasbourg): La House of diamonds n'est pas un collectif de joaillerie. C'est un collectif de drag artists de Strasbourg. Et pourtant, des diamants, il y en aura mais ils seront dans vos yeux (attention ça pique). Vous allez en voir des clowns, des fées, des aliens et autres créatures. C'est 100% faux mais c'est plus vrai que nature. Pour vous iels chanteront, danseront, se déshabilleront. Pour vous certes, mais contre le cisteme ! Pour vous oui, mais sans le patriarcat ! Pour vous ok, mais au-delà des normes ! Pour donner une idée du drag qu’on fait, on a par exemple fait deux shows en vidéo pendant le confinement : https://www.youtube.com/watch?v=yDmUJ31FYvE https://www.youtube.com/watch?v=L0OvtnXPLME Ces vidéos sont assez à part de ce que nous faisons en général. En effet, durant les crises sanitaires nous voulions continuer à faire perdurer notre lien avec le public malgré les restrictions gouvernementales, néanmoins nos shows prennent tout leur sens et leur substance dans le lien avec le public. Afin de vous faire une idée de nos performances avec un public, voici des captations faites en live cette fois-ci :https://www.instagram.com/reel/CfI8XOQDBXz/... https://www.instagram.com/tv/CX3R8VahMf3/... / FEARLESS ALFREDO (Strasbourg): Mixs éclectiques de ses morceaux préférés pour danser. De l'électronique plus ou moins expérimentale, des boîtes à rythmes vénères ou mignonnes, des synthés tantôt sombres et tantôt rigolos, des percussions dans tous les sens, de la grosse pop... Tout pourra y passer suivant l'humeur, même du reggaeton queer, attention attention. Pour vous faire une idée des genres qu'elle mixe, en vrac il peut y avoir : electronic, experimental, avant-garde, hip hop, no wave, techno, world, EBM, post-punk, new-wave, dub, synth-pop... Vous pouvez entendre certains de ses sets pour des radios sur son soundcloud (du coup y'a certains sets super calmes ou expérimentaux, mais en live ce sera plutôt dansant ! Parfois weirdo dansant mais dansant pour sûr : https://soundcloud.com/earlesslfredo Et sinon voilà son instagram : https://www.instagram.com/fearless.alfredo PAF 4E Portes 20h30 ACCUEIL FROID NUKE 21 rue Sully, Amiens Événement associatif privé réservé aux adhérents Adhésion possible les soirs de concerts (2E sept/ sept) > http://accueilfroidnuke.blogspot.com/

[secteurcgtstrasbourg]

TRACT AUX CHEMINOTS : PROTOCOLE CONGÉS DLA/DLPA : LA MOBILISATION PAYE !

Lors des derniers comités locaux des représentant-e-s de proximité (RPX), la direction de Lignes Alsace est revenue à la charge avec sa volonté de mettre en place des protocoles congés aux Trains, à l’Escale et à la Vente. Cette organisation des congés est un projet qu’elle essaye de mettre en place depuis près de 20 ans, la CGT avec les cheminots s’y est toujours fermement opposée, partant du principe que les congés appartiennent aux salariés, qui doivent pouvoir en bénéficier quand ils le souhaitent. Concernant la continuité de service, la direction de l’entreprise ne peut pas se targuer de supprimer le statut pour tous les cheminots et revendiquer la continuité du service public pour faire vibrer la corde sensible « tous cheminots ». Pour la CGT, la mise en place de protocoles de congés n’a qu’un objectif : Exploiter toujours plus les cheminot-e-s tout au long de l’année pour en tirer un maximum de productivité et favoriser un contexte de mise en concurrence permanent entre les salarié-e-s. La direction occulte par sa stratégie de communication :

Une réserve de personnel insuffisamment proportionnée pour couvrir les différentes absences : congés, repos, formations, maladies, visites d’aptitudes ou règlementaires, représentation du personnel ;

Une politique d’embauche, de formation, de gestion prévisionnelle des emplois et compétences insuffisante pour faire face à la charge de travail, dans une société où pourtant de nombreux salariés et jeunes sont privés d’emplois ; La direction refuse ainsi aux cheminot-e-s : Le droit de bénéficier de ses congés au moment voulu alors que tout au long de l’année les sacrifices pour l’entreprise sont nombreux. Elle refuse, le droit de s’émanciper, de participer à des activités sportives, culturelles, loisirs, de voyage, à tisser du lien social, associatif, à profiter de sa famille et de ses proches … Lire, télécharger (PDF) : https://drive.google.com/file/d/1KkPDZt5FQsnayeSlFy7P7JDKaFiani0X/view ----------- MISE A JOUR DU 23/09/2024 - 15h30 : suite à la demande de concertation immédiate déposée par la CGT ainsi que la signature par plus de 175 cheminot-e-s ayant affirmé leur opposition à la mise en place de protocoles de congés, la direction annonce renoncer à son projet. Plus d'informations à venir.

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GLENN, NAISSANCE D'UN PRODIGE

Du 20 septembre au 22 décembre

Au Théâtre Montparnasse

Sous l’impulsion de sa mère qui rêvait d’être concertiste, Glenn Gould commence le piano dès l’âge de deux ans et demi, et s’y révèle aussitôt très doué. Devenu adulte, il va totalement révolutionner la façon de jouer du piano, et vendre autant de disques que les plus grandes rock star. Mais plus le public l’acclame, plus Glenn en souffre, car sa personnalité Asperger et hypocondriaque lui rend chaque concert extrêmement pénible et douloureux. Sans parler de sa vie privée, totalement sacrifiée…

C’est l’histoire du destin extraordinaire et tragique d’un des plus grands artistes du 20ème siècle.

N’hésitez plus, vous pourrez vous aussi dire, J’ai un ticket :

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Hoffmann E. T. A. - Nouvelles musicales

Hoffmann E. T. A. - Nouvelles musicales: Ces cinq histoires d’E.T.A. Hoffmann (1776-1822), traduites en 1829 et réunies à cette occasion sous le titre de Nouvelles musicales, sont l’œuvre d’un auteur considéré en France comme l’initiateur post hoc du genre fantastique . Elles nous plongent dans un univers étrange, à la frontière de la réalité et du rêve, de la raison et de la folie . Les lieux du récit sont généralement clos, sombres et mystérieux, comme hors du temps et du monde, telle la demeure surannée du chevalier Gluck, ou celle, farfelue, du conseiller Krespel. Les intrigues se déroulent dans la demi-obscurité des salles de concert, la pénombre enfumée des cafés, dans une curieuse loge de théâtre attenante à une chambre d’hôtel, ou encore dans un cabinet privé où se produisent des automates qui ressemblent à s’y méprendre à des musiciens en chair et os Les personnages sont tous des musiciens, ou du moins des mélomanes avertis, à commencer par les multiples narrateurs qui sont souvent compositeurs ou critiques musicaux (à l’image d’Hoffmann lui-même). Issus de la bourgeoise professionnelle, ces hommes respectables et dignes de foi se sentent toutefois un peu étrangers parmi leurs semblables. Pour eux en effet, contrairement à ces Philistins qu’ils méprisent, la musique n’est pas qu’un simple divertissement ; elle est un phénomène envoûtant et perturbateur, « un inépuisable sujet de controverses » par le biais duquel l’auteur, à peine dissimulé derrière des narrateurs qui lui ressemblent comme des frères, s’interroge, non sans humour, sur la relation de l’artiste au monde et à lui-même. Tous les personnages féminins possèdent des voix d’une grande beauté qui les place au-dessus du commun des mortels. Leurs prénoms à résonance étrangère (Donna Anna, Antonie, Lauretta & Térésina) contribuent à faire d’elles des êtres exotiques, idéalisés et, jusqu’à un certain point, interchangeables. Ces figures féminines ne vivent que pour et par la musique, ce qui mène deux d’entre elles (Donna Anna et Antonie) à leur perte. Mais mortes ou vivantes, c’est à elles que leurs admirateurs doivent « l’éveil de chant intérieur ». Les autres personnages sont des êtres marginaux entourés d’un mystère impénétrable. Le vieillard chenu qui se fait passer pour Christoff Willibald Gluck est-il un imposteur de génie, ou, comme il le prétend, le compositeur d’Armide, décédé deux décennies auparavant ? De prime abord, le conseiller Krespel apparaît comme un doux original fasciné par la puissance sonore des violons de Crémone, au point qu’il n’hésite pas à les démanteler pour débusquer leur secret. Mais cet excentrique parfois brusque et colérique ne serait-il pas aussi l’assassin de sa fille Antonie, qu’il empêche de chanter en la retenant prisonnière ? Et que penser de l’énigmatique Professeur X dans Les Automates, qui viole les lois de la nature et marie le mécanique et le vivant ? Nul ne le sait au juste, et c’est précisément cette hésitation entre l’incroyable et l’indubitable qui fonde le fantastique hoffmannien. Figure majeure du Romantisme allemand, E.T.A. Hoffmann inspira à Freud son concept d’« inquiétante étrangeté » (1919) et laissa une trace indélébile dans la culture littéraire, musicale et psychanalytique des 19e et 20e siècles. Né à Königsberg en 1776, il ne devint écrivain que sur le tard, dans les treize dernières années de sa vie. Après une formation de juriste, le jeune Hoffmann s’essaya au dessin et à la peinture, travailla comme pianiste et accompagnateur, fut nommé chef d’orchestre, directeur de théâtre et critique musical, avant de se tourner vers la littérature, tout en occupant avec conscience son poste de haut fonctionnaire dans l’administration prussienne berlinoise. Passionné de Gluck, Beethoven et Mozart (en l’honneur de qui il adopta le prénom Amadeus), il fut également un compositeur de talent (son opéra Ondine fut créé à Berlin en 1816). Ses contes et nouvelles, appréciés par Heine et Schumann mais dédaignés par Goethe, furent relativement peu connus de son vivant mais rencontrèrent un succès posthume considérable. Traduits en plusieurs langues à partir des années 1830, ils exercèrent une profonde influence sur le développement de la nouvelle au 19e siècle, tant en France qu’en Amérique et en Russie . Téléchargements : ePUB - PDF - HTML - DOC/ODT Read the full article

[adalidda]

Autonomisation des agriculteurs d'Afrique de l'Ouest : Libérer le potentiel de la culture du café pour l'exportation

L'Afrique de l'Ouest, riche de ses traditions agricoles séculaires, demeure un acteur modeste sur le marché mondial du café. Pourtant, son potentiel est considérable. En misant sur la culture du café, notamment dans les zones propices aux variétés Robusta et Arabica, les agriculteurs et coopératives agricoles ouest-africains peuvent accéder à des marchés d'exportation lucratifs, renforcer leur résilience économique et élever le niveau de vie de communautés entières. Face à une demande mondiale croissante, l'Afrique de l'Ouest a l'opportunité de s'imposer comme un acteur majeur de cette industrie.

Le potentiel du café en Afrique de l'Ouest

Bien que l'Afrique de l'Est et l'Amérique latine dominent la production mondiale de café, l'Afrique de l'Ouest possède les atouts nécessaires pour accroître significativement sa production. La Côte d'Ivoire, leader régional avec une production annuelle de 1 à 2 millions de sacs, n'est que la partie émergée de l'iceberg. La région, qui produit actuellement 2 à 3 millions de sacs par an, ne représente qu'une infime part de la production mondiale, laissant entrevoir un immense potentiel de croissance.

Les succès à travers l'Afrique

Les réussites d'autres pays africains dans le secteur du café offrent des modèles inspirants pour l'Afrique de l'Ouest.

Éthiopie : Le berceau du café

L'Éthiopie, berceau du café, a su tirer parti de ses variétés uniques d'Arabica, prisées sur les marchés internationaux pour leurs saveurs distinctives. Les coopératives éthiopiennes jouent un rôle crucial dans la préservation de la qualité et du patrimoine caféier du pays, tout en garantissant des pratiques de commerce équitable. Cette approche a non seulement dynamisé l'économie nationale, mais a également amélioré les conditions de vie de nombreux petits exploitants.

Rwanda : Une renaissance économique par le café

Le Rwanda illustre parfaitement comment le café peut catalyser une reprise économique. Après le génocide de 1994, le pays a misé sur le café pour reconstruire son économie. Grâce à des investissements stratégiques dans l'amélioration de la qualité et le développement des coopératives, le Rwanda produit aujourd'hui des cafés Arabica parmi les plus réputés au monde. L'accent mis sur la qualité et la traçabilité a permis aux agriculteurs d'obtenir de meilleurs prix, contribuant ainsi au renforcement de l'économie nationale.

Ouganda : L'essor du Robusta

L'Ouganda a bâti son succès principalement sur le café Robusta. Le gouvernement et le secteur privé ont œuvré de concert pour fournir aux agriculteurs les outils, la formation et les infrastructures nécessaires à l'augmentation de la production et de la qualité. Le secteur caféier ougandais a ainsi créé des emplois, augmenté les revenus des agriculteurs et contribué significativement au PIB du pays, démontrant le potentiel économique de la culture du Robusta.

Les opportunités pour l'Afrique de l'Ouest

L'Afrique de l'Ouest peut s'inspirer de ces succès en adaptant des stratégies similaires à son contexte spécifique. L'expérience de la Côte d'Ivoire avec le Robusta démontre le potentiel de la région, particulièrement dans les zones de basse altitude. En se concentrant sur l'amélioration de la qualité, l'investissement dans les structures coopératives et l'adoption de pratiques agricoles durables, les pays ouest-africains peuvent augmenter leurs rendements et la qualité de leur café, ouvrant ainsi la voie à de meilleurs prix sur le marché mondial.

Les régions montagneuses de Guinée et de Sierra Leone offrent des opportunités de diversification vers la culture de l'Arabica, permettant aux agriculteurs d'accéder à des marchés premium valorisant les saveurs uniques du café de haute altitude. Le développement de chaînes de valeur solides et l'investissement dans des installations de transformation locales garantiront que la valeur ajoutée bénéficie directement aux communautés productrices.

Conclusion

L'Afrique de l'Ouest se trouve à l'aube d'une renaissance caféière. En embrassant la culture du Robusta et de l'Arabica, et en s'inspirant des réussites continentales, la région peut considérablement accroître sa part du marché mondial du café. Cette transformation nécessitera collaboration, innovation et investissements, mais les bénéfices potentiels sont immenses. Le café peut devenir bien plus qu'une simple culture pour l'Afrique de l'Ouest : un véritable vecteur d'autonomisation économique et de développement durable pour des millions d'agriculteurs.

Le moment est venu pour les acteurs du secteur caféier ouest-africain de saisir cette opportunité et de marquer de leur empreinte la scène mondiale du café. Ensemble, nous pouvons cultiver le succès, grain par grain.

Photo: Cerises de café (crédit : Pixabay / Domaine public)

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