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#crissement
isopode · 2 years
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jsais que jretombe en dépression quand jme met à écouter du pierre lapointe en boucle comme si j'étais encore au secondaire
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blastdamage · 6 months
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went to my first ever critical mass yesterday. it was fun but i can really feel the 5 month break i took from cycling x___x
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jade-curtiss · 1 year
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No wonder qui voulait po du marb, sa toffé 2 menutes zdmddmmddkxkx
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murderballadeer · 3 months
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y fait crissement chaud - my sister
y fait chaud en esti - my aunt
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ça va être crissement long
there's a mistake somewhere on that square and i will not frog it can you point where?
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cendres-et-volcans · 5 months
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Le compte a rebours du prochain métro, ce sont quatre minutes, cinq peut être. Quelques minutes pour apprivoiser la distance, jauger les possibles, paraître un minimum avant de s'oublier dans la contemplation de ton sourire.
Les chiffres en orange sur fond noir, la proximité des corps qui parlent pour nous, frôlements qui nous définissent.
La caresse d'un doigt sur le revers de la main, c'est a peine une caresse mais nos regards s'espionnent et nos sourires se rassurent.
Un baiser, le premier, bruits alentours et légère cohue, tes yeux, si proches, puis un deuxième ma main qui se perd parce que le mur, ta peau, ton sein ta langue.
Je ne sais plus de figures.
Mais le bruissement est maintenant un mouvement et un crissement. Je mords tes lèvres et nous nous levons dans la foule.
Tu es la bleue, je suis la rouge.
Ton odeur sur mes lèvres
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leparfumdesreves · 9 months
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L'HIVER
J'ai toujours aimé l'Hiver, la vie est au ralenti, la nature est enveloppée de givre.
Je suis grisée par cette sensation ouatée, d'où ne sort aucun bruit.
Seul le craquement des pas sur la neige, ou le crissement des patins sur la glace, entament en vain, un dialogue de sourd.
C'est comme un Rêve d'enfant dans lequel on m'aurait renvoyée, le temps que mon corps et mon âme se posent.
C'est un univers où s'entrelacent l'Amour, la bienveillance et la grâce divine.
Je suis une inconditionnelle de l'Hiver, car j'aime le froid, un luxe qu'il faut respecter car ses jours sont malheureusement comptés"
L.PDR 8/01/2020
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ascle · 4 months
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Aujourd'hui: les sacres!
Oh que oui! Nous allons aborder le très complexe sujet des sacres. Pourquoi? Parce que c'est la première chose que les étrangers tentent de faire et c'est très (trop) souvent ce qui est le plus raté.
Je n'entrerai pas ici dans la nomenclature, il y en a des centaines, mais plutôt dans leur composition et utilisation.
La prononciation
C'est la première erreur que font tous les Français et c'est ce qui horipile le plus les Québécois. Rare sont les sacres qui gardent leur prononciation biblique. C'est ainsi que:
Tabernacle devient tabarnak
Calice devient caliss
Vierge devient viarge
Christ devient Criss
Sacrement devient sacrament
Etc
Apprendre à bien les prononcer est crucial. Parce qu'en voulant vous fondre dans la masse vous ne ferez qu'attirer l'attention sur vous et risquez de voir le Québécois pourtant si accueillant monter aux barricades et crier "Au Bucher!"
Ma suggestion est donc de choisir votre préféré et d'apprendre à le maitriser. Parce qu'une fois qu'on arrive à bien prononcer, on peut l'utiliser à toutes les sauces :)
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Oui, cette phrase fait du sens. N'importe quel Québécois la comprendra très facilement. Le sacre au Québec est décliné de toutes manières:
La ponctuation
Que ce soit une virgule
Premièrement caliss ton char est mal parké.
Ou comme point d'interrogation
En as-tu assez sacrament
Voir même de point final
J'y ai dis d'aller dans sa chambre pis de refléchir esti
Même dans la joie exclamative
On s'en va à Disney tabarnak
Le sacre se faufile au gré de notre verve.
Le verbe
Presque tous les sacres peuvent aussi être conjugés. Pour ajouter une difficulté, la définition de chacun des verbes varie en fonction de l'intention. Le contexte de la phrase devient donc essentiel pour comprendre le verbe.
Par exemple:
"M'a t'en crisser un" signifie "je vais te frapper violemment"
"Je l'ai crissé aux vidanges" signifie "je l'ai jeté à la poubelle"
"Criss-moi la paix" signife "laisse-moi tranquille"
"Il m'a crissé-là" signifie "il m'a laissé tomber"
Ou encore:
"Décâliss!" signifie "va-t-en le plus rapidement possible"
"Mon char est toute décalissé" signifie "ma voiture est bonne pour la casse"
Il faut voir la conjugaison du sacre comme le "schtroumfer" des Schtroumfs!
Le qualitatif:
Il est également possible d'exprimer la qualité de quelque chose par une prose liturgique. Des phrases comme:
Une viarge de belle fille -> une superbe fille
Une criss de grosse montagne -> une très grosse montagne
Un esti de bon vin -> un vin délicieux
L'adverbe:
Pour amplifier un adjectif, rien de mieux que de transformer un sacre en adverbe. Vous verrez donc des:
Il est crissement gros, j'ai crissement faim, il fait calissement chaud...
Le nom:
La boucle ne serait pas complète sans attribuer quelques noms à des sacres!
Mon tabarnak!
Je vais t'en donner un tabarnak.
Le p'tit criss m'a barré l'chemin.
Les expressions:
Certaines expressions sont très importantes dans le langage québécois parce qu'elles sont utilisées régulièrement. Il est donc important de vous familisariser avec les plus importantes et parfois les plus déroutantes.
Criss-moi/câlice-moi patience
Laisse-moi tranquille, fous-moi la paix
J'm'en caliss/criss/tabarnak
J'en ai rien à foutre
Quel calvaire / s't'un calvaire
Quelque chose de difficile
Décrisse!
Dégage!
Câlice/criss ton camp!
Va-t-en!
L'interjection:
Tout est une question de sentiment. Voici le plus bel exemple :D
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En terminant, il est important de noter que plus il y a de sacres qui se succèdent dans une phrase, plus l'intensité augmente. Donc, si un Québécois vous dit "Esti qu'y fait frette à matin", c'est qu'il fait vraiment froid, mais s'il vous dit "Esti criss de caliss de saint ciboire de tabarnak qui fait frette à matin"... vaut peut-être mieux rester au chaud à l'intérieur pcq vous risquez de perdre vos doigts tellement il fait froid.
Si vous désirez pousser un peu plus loin dans l'histoire des sacres au Québec, je vous invite à regarder cette capsule de Laurent Turcot dans "L'histoire nous le dira", qui est super intéressante et bien faite.
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latigrhess · 2 months
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J’ai jamais trop su ce que tu me trouvais. Certes, j’étais un peu belle, je suçais bien, j’avais des fesses rondes et pleines, mais une bouche veloutée et une apparence pas trop bâtarde, d’habitude, c’était pas assez pour gardez des gars comme toi. Les seuls hommes qui me voulaient toute entière c’était les hommes un peu laids, ceux qui miroitait le stéréotype que j’incarnait. Ils avaient les cheveux longs, les miens étaient courts, ils savaient jouer des instruments, et j’écrivais. Ils buvaient du bon café, connaissaient les refrains des tounes underground que je leur faisais écouter, ils avaient les mains pleine de cornes et portaient en tout temps des souliers de randonnés, ils avaient lâché le cegep après leur troisième session en travail social ou en art com lettre. C’était une harmonie des faux artistes. Toi, tu fittait pas là-dedans, tu la faussais, cette harmonie, avec ton linge neuf pas trouvé au Estrie aide pis ta petite coupe ben belle ben placée. J’était un orage sans contrôle, une fuckfriend controversée, mais toi t’étais à peu près normal, sauf quand t’entrais dans mon appart sale. T’étais pas comme les autres non plus, ça, j’ai jamais compris non plus. Tu me disais la vérité. Tu mentais, mais sur le futur, quand tu disais que t’allais pas t’en aller, que t’étais là pour rester, mais a pars ça, t’étais crissement honnête. C’est peut-être pour ça que jte croyais plus que les autres, quand tu me disais que j’étais belle, pis que quand, dans tes yeux, je voyais un reflet d’amour, je te faisais naïvement confiance. Tu m’as jamais dit je t’aime, mais tu l’as fait, avec ton corps, avec tes yeux, pis avec tes retours qui n’ont jamais cessé. Des fois, je faisais exprès d’être trop folle pour que t’aille pu envie de moi, comme ça, j’avais pas à faire d’effort pour avoir du self respect. Toute mes amies me disaient que j’méritait mieux, pis mes chums de gars voulaient te pèter en deux. Mais tu revenais tout le temps. Tu reviens encore tout le temps, t’es comme un frisbee perdu dans le vent, que je cherche sans cesse, et que je me résous à attendre, patiemment. J’ai espionné la page Instagram de toutes tes exs, et elles étaient toutes le genre de filles qui me regardent avec un mélange de peur et de dégout. Elles étaient toutes belles, par exemple, contrairement à moi. J’était un peu belle, mais le genre de beauté qui n’est qu’accompagné que d’amour, de passion. Des fois, j’étais jalouse, de ces filles pognées dans la male gaze, qui, malgré leurs manques de créativité, pouvaient, des gars comme toi, garder. En fait, j’ai jamais voulu de gars comme toi. Je voulais le gars que t’étais avec moi. Mais lui existais quasiment jamais, dès que de chez moi tu partais, vers les filles avec pas de poils sous les bras, tu repartais. Peut-être que tu m’aimais parce que j’étais tout le temps, au grand jour, celui que tu étais sous l’ombre de l’ingénieur accomplis. Peut-être que tu m’aimais parce que t’avais pas à avoir honte d’être paumé, d’être damnée, à une chute éternelle, qu’on ne sait comment arrêter. Peut-être que c’était not that deep aussi. Peut-être que ça a jamais voulu rien dire, que c’était du sexe c’est toute, peut-être qu’avec toute les filles tu te perdais dans leurs iris pis que c’était toi, le joker, pas moi. Peut-être que t’étais juste pas comme les autres pour moi, mais que moi, j’étais une copie carbone des autres.
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yemanja-mangea · 10 months
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Les Cowboys c'est probablement le groupe que j'ai le plus souvent vu en show.
C'est beacoup de mon adolescence, les shows, les cris, les rires, les inside jokes.
C'est du plaisir entre amis et en maudite grosse gang.
C'est de la beauté et de la compassion, de l'amour et crissement beacoup de fierté.
Une étoile filante de plus ce soir. Bye bye Karl.
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mauvais--sang · 4 months
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« À présent elle marche dans la forêt, l'eau affleure partout - la terre trop humide pour la contenir - et ses pieds s'enfoncent à chaque pas, bruit de succion sous les semelles, la boue s'accroche et alourdit les jambes qui menacent de s'enraciner, de devenir tout à fait végétales, d'entraîner le corps dans des métamorphoses imprévues. Si Fauvel se faisait arbuste, buisson, que verrait-elle de caché ? Elle secoue ses mains comme des branchettes dans un crissement articulaire de fagots qui résonne dans la forêt, contre l'air gris, transparent.
Il n'y a pas de traces au sol, juste les feuilles mortes, des mottes onduleuses laissées çà et là par des lombrics dans les zones moins imbibées, les flaques qui clapotent sous le souffle des foulées, elle ne suit pas une piste, elle ne suit pas quelqu'un ou quelque chose, elle avance dans le paysage qui avec la lenteur des choses secrètes et vieilles vient à sa rencontre, étend ses longs membres terreux, feuillus, ronds comme des pierres, comme les pelouses calcaires qui attendent plus loin, à flanc de coteau là-bas où le monde change.
Sa marche est patiente, elle élabore des hypothèses dans le paysage de ses rêves, elle se donne la capacité de se défaire dans le songe, de se résoudre dans l'expiration comme l'inspiration l'a dissoute. Dans les buissons ou dans ses mains qui s'ouvrent sous son regard, elle aperçoit des formes et des visages. Mais il faudrait qu'elle avance plus encore pour les distinguer car ils reculent sans cesse, juste hors d'atteinte, des échos encore et non la source. »
— Phœbe Hadjimarkos Clarke, Aliène, 2023
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jade-curtiss · 1 year
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J'ai envie de poster un pic de cosplay full cute, mais trop explicite 😑
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neant-blanc · 4 months
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Vienne (A) -> Sofia (BG) - 01.11.23
Le train pour Budapest a juste assez de retard pour me faire flipper. Je reste tout de même positif, c'est mon premier long voyage en solo ! Les immeubles de la capitale autrichienne laissent place à une campagne rase et monotone quand le crissement des freins retentit. Les wagons s'immobilisent au milieu de nulle part et une voix se met à débiter des choses en bulgare que j'aimerais bien comprendre. Un peu paniqué, j'imite les autres passagers et me lève. Dehors, des bus s'alignent pour prendre le relai. Je regarde ma montre, ça va être serré. Les minutes défilent de plus en plus vite jusqu'à ce qu'on arrive à la gare routière. Puis mon anxiété se mue en panique quand je vois le chemin qu'il me reste à parcourir pour arriver à la gare ferroviaire, qui était sensée être le terminus de mon train. Je rentre en mode survie et cours dans tous les sens pour chercher le métro. J'arrive enfin au portique que j'enjambe avant de me jeter entre les portes automatiques d'une rame bondée. Je ne décroche pas mes yeux de l'heure, mon temps se compte désormais en secondes. Je débarque dans un immense hall comme un fou avec mes yeux hagards et mon gros sac. Pas le temps pour les panneaux qui sont de toute façon indéchiffrables, encore moins pour un billet, ni même pour les tableaux d'affichage des départs. Je cours, sans savoir où je vais, à l'instinct, comme si je connaissais l'endroit par cœur. Quinze secondes. J'arrive à bout de souffle devant les quais où plusieurs trains sont alignés. Je fonce vers le premier en priant très fort que ce soit le bon… Derrière moi, une contrôleuse est à mes trousses, quand j'entends le sifflet du départ. Je m'écroule entre les bagages entassés devant les portes qui se sont refermées au nez de ma poursuivante. Je ne suis pas encore relevé que les wagons se mettent en branle, me voilà parti. Par une chance dont je ne me savais pas affublé, c'est le bon train. Je m'écroule sur une banquette au hasard, vidé. La route est longue. La nuit est tombée et je sais déjà que je n'arriverais pas à dormir. Devant moi, la porte du compartiment est cassée ; elle s'ouvre et claque en continu, laissant passer l'infernal bruit du glissement des roues sur les rails, un cla-clack, cla-clack incessant qui finira de broyer les miettes de mon cerveau. Je débarque à Craiova, il fait encore nuit. Je passe quelques heures sur un banc dur, à l'intérieur de la gare déserte, essayant de me réchauffer en me roulant en boule dans mes affaires. Je repars alors que le soleil se lève sur des barres d'immeubles formidablement lugubres. J'arrive à Sofia dans l'après-midi, à bout de force après plus de vingt-quatre heures de trajet.
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cricxuss · 4 months
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Romantiques ... s'abstenir ⚠️
🌹🖤
Elle se cambre ,
dans la douceur de la soie , perd la vue ,
de toute sa chair pâle , tendue ...
En alerte, en attente dans cette chambre.
Elle se mouille ,
dans la perspective, écarte les cuisses,
jusqu'à son sexe lisse pour qu'il puisse ,
s'enfoncer profondément jusqu'aux couilles...
Dans la cécité provoquée
lâcher , abandonner
éclaboussant de mouille le coussin doré ,
sous les coups de boutoirs désirés .
Si la vue attise le désir , en être privée décuple les plaisirs ...
Deviner le souffle , la caresse subtile ;
Percevoir les mouvements au crissement des tissus, savoir qu'au final cela vaut d'être vécu .
Quand on dit qu'en amour les yeux parlent mieux que les mots ... quand il n'y a pas d'amour ... être aveugle c'est aussi beau !
L🌹R
Ah j'avais bien prévenu que ce n'était pas pour les romantiques ni les âmes fleurs bleues....
Bonne nuit 💋🌹🖤
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Ces descriptions... c'est incroyable
Cette manière de décrire, totalement à l'intérieur du monde de chacun, métronomes de crissement en musique
Chaque paragraphe!
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licoeur · 5 months
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Pupille rétractée par la température grise, filtrée par des tentures de chagrin; il fait froid. Je me répète inlassablement ce mantra : maintenant, il faut l'oublier. J'ai rien capté à cette histoire. Sentiment dégueulasse de devoir transporter dans le bide une vie sans amour, que je ne pourrai plus jamais ni donner ni recevoir ce don des démons qu'est l'ultime passion, destructrice. Un vide dans les entrailles.
Il est entré dans ma vie, il a tout aimé, tout saccagé, dévoré une partie des lumières de mon âme. Il l'a brûlée avec le bout de ses cigarettes. J'ai aspiré sa vitalité tout en offrant le souffle éternel d'un amour transcendant. J'ai réanimé dans son sang les blessures endormies de l'abandon infini.
A son contact je deviens une inconnue qui me fait peur. Il bourdonne dans mes tympans, il m'a rendue sale par sa vision acide de mes dents, morsures dont les plaies à vif ne cicatriseront pas. Je l'aime encore, chaque matin je suis dévorée par le chagrin et l'incompréhension de toujours aimer un connard pareil, qui se consumme dans mes souvenirs comme un feu de forêt. On n'entend plus que le crissement du charbon, après un orage immense. Le ciel est mort. Pas d'oiseau.
Magnétique, je réponds à ses appels dans ma tête brisée par un amour déraisonnable et impossible. Je hurle à l'intérieur qu'il me manque et que je ne veux plus jamais lui parler.
Même dans l'absence, il a encore le pouvoir de me briser. Je n'ai jamais reçu un amour pareil, ni une telle haine. Je suis addict à ce sentiment schizophrénique.
Je regrette la seconde où j'ai posé les yeux sur toi, qui a complètement niqué ma vie. A jamais.
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