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#dépens
malibuzz · 1 year
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RASSEMBLEMENT POUR LE MALI : Tréta s’est-il offert la prime de la légalité et de la légitimité aux dépens de Baber Gano et compagnie ?
A l’issue du congrès extraordinaire du Rassemblement pour le Mali (RPM, fondé par l’ancien et défunt président Ibrahim Boubacar Kéita en juin 2001) organisé du 26 au 27 août 2023 au Centre international des conférence de Bamako (CICB), Bocary Tréta a été confirmé à la tête du Bureau politique national (BPN) qui voit son mandat passé de 3 à 5 ans. Le président sortant s’est-il ainsi offert une…
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docpresseesj · 2 years
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dépens (=ce que l'on dépense, frais à la charge de quelqu'un), nom masculin pluriel, se prononce [depɑ ̃] (pas de s final).
aux dépens de: aux frais de, au détriment de quelqu'un ou de quelque chose
aux dépens des Américains.
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exhaled-spirals · 11 months
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« Imaginez les remarques que pourrait faire un observateur. . . de notre espèce, . . . comment elle se transforme, comment elle se consume depuis un siècle environ. Il aurait grand sujet de se divertir à nos dépens en constatant le curieux retournement de nos efforts inventifs contre nous-mêmes. Tandis que nous croyons nous soumettre les forces et les choses, il n'est pas un seul de ces attentats savants contre la nature qui, par voie directe ou indirecte, ne nous soumette, au contraire, un peu plus à elle et ne fasse de nous des esclaves de notre puissance, des êtres d'autant plus incomplets qu'ils sont mieux équipés.
. . . Et ne parlons pas des odeurs, des bruits que vous endurez, des trépidations, des courants de toute fréquence, des nourritures synthétiques, que sais-je ! Et quant à l'intellect, mes amis, quant à la sensibilité. . . on vous soumet l'esprit à une merveilleuse quantité de nouvelles incohérentes par vingt-quatre heures ; vos sens doivent absorber, sans un jour de repos, autant de musique, de peinture, de drogues, de boissons bizarres, de spectacles, de déplacements, de brusques changements d'altitude, de température, d'anxiété politique et économique. . . que toute l'humanité ensemble, au cours de trois siècles, en pouvait absorber jadis !. . . Cependant que la politique aligne nos multitudes, leur fait donner la main ou dresser le poing, les fait marcher au pas, voter, haïr ou aimer ou mourir en cadence, indistinctement, statistiquement.
La machine économique est, au fond, une exagération, une amplification colossale de l'organisme. . . et nous pouvons suspecter. . . qu'il se produira, dans l'âge qui vient, une dépression des valeurs intellectuelles, un abaissement, une décadence comparables à ceux qui se sont produits à la fin de l'antiquité ; la culture à peu près abandonnée, les œuvres devenues incompréhensibles ou détruites. . . toutes choses malheureusement très possibles [si] les moyens de possession et de jouissance, l'incohérence imposée par la fréquence et la facilité des impressions, la vulgarisation immédiate et l'application aux productions, aux évaluations et à la consommation, des fruits de l'esprit, de méthodes industrielles, finissent par altérer les vertus intellectuelles les plus élevées et les plus importantes : l'attention, la puissance méditative et critique, et ce qu'on peut nommer la pensée de grand style. . .
Nous vivons sous le régime perpétuel de la perturbation de nos intelligences. L'intensité, la nouveauté, dans notre époque, sont devenues des qualités, ce qui est un symptôme assez remarquable. Je ne puis croire que ce système soit excellent pour la culture. Sa première conséquence sera de rendre ou inintelligibles ou insupportables toutes les oeuvres du passé qui ont été composées dans les conditions toutes contraires et qui exigent des esprits tout différemment formés. »
— Paul Valéry, "Notre destin et les lettres", conférence donnée le 17 février 1937
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vicnormansstuff · 3 months
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« Avec la meilleure volonté du monde, l’homme politique devient, en régime démocratique, l’esclave de ses partisans. Ou il s’occupe de satisfaire leurs appétits personnels ; ou son groupe se désagrège. L’homme politique vit sous la tyrannie, sous les menaces permanentes de ses agents électoraux.
Mis dans l’alternative de choisir entre l’anéantissement du parti, œuvre de toute sa vie, et les réclamations de sa clientèle, l’homme politique choisit de satisfaire ses partisans. Seulement ce n’est pas de sa poche qu’il paie ; c’est de celle du pays. Il crée des postes, des fonctions, des missions, des sinécures, aux dépens du budget de l’État qui pèse sans cesse plus lourdement sur les épaules du peuple, de plus en plus épuisé. »
— Corneliu Zelea Codreanu, La Garde de fer
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aurevoirmonty · 2 months
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"Parasite : c'est un ver, un ver qui rampe, qui se courbe, qui veut grossir aux dépens de vos recoins malades et blessés. Et son art consiste en cela, à deviner quel est l'endroit où les âmes ascendantes sont fatiguées : dans votre dégoût et votre mauvaise humeur, dans votre délicate pudeur, le parasite construit son nid nauséabond. Là où le fort est faible, et le noble, trop bienveillant, c'est là qu'il a construit son nid nauséabond : le parasite habite là où le grand a de petits recoins blessés."
Nietzsche
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raisongardee · 2 months
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"Nous faisons bien les sots à nos dépens : les difficultez ne s’apperçoivent en chasque chose que par ceux qui s’y cognoissent ; car encore faut-il quelque degré d’intelligence à pouvoir remarquer son ignorance : il faut pousser à une porte pour sçavoir qu’elle nous est close. Ainsi de ce que chascun se voit si résolu et satisfaict, et que chascun pense estre suffisamment entendu, signifie que chascun n’y entend rien du tout : car si nous nous cognoissions bien, nous pourvoyrions bien mieux à nos affaires ; nous aurions honte de nous et nostre estat, et nous rendrions bien autres que ne sommes. Qui ne cognoist ses défauts ne se soucie de les amender ; qui ignore ses necessitez ne se soucie d’y pourvoir ; qui ne sent son mal et sa misère, n'advise point aux réparations, et ne court aux remèdes."
Pierre Charron, De la sagesse, 1601.
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prosedumonde · 1 year
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Lorsque d’aucun espoir notre ardeur n’est suivie, Doit-on être fidèle aux dépens de sa vie ?
Pierre Corneille, Suréna
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chantssecrets · 4 months
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Sans mention d'éditeur ni de lieu, 1948. Page de titre lithographiée et dessinée par Jean Cocteau. Deuxième édition de cet ouvrage publié la première fois en 1947 aux dépens de quelques amateurs à 525 exemplaires et dont la première édition publique ne paraîtra qu'en 1953 chez Gallimard, dans le troisième volume des " Œuvres complètes " de Jean Genet.
Without mention of publisher or place, 1948. Title page lithographed and drawn by Jean Cocteau. Second edition of this work, first published in 1947 at the expense of some amateurs in 525 copies and the first public edition of which did not appear until 1953 by Gallimard, in the third volume of the "Complete Works" of Jean Genet.
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leonlafricain · 3 months
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Rufin, tout droit sorti de la cuisse de Jupiter...il se plante royalement et il le comprendra à ses dépens...
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1cassis · 3 months
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Vandrèdi sé vyann an vyann samedi swa sa ka dépen 😤🔞
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amerrante · 3 months
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Comment tu as pu me FAIRE ça, après tant de temps, tant de sacrifices, tant d'émotions, tant de fatalités, je pourrais t'en vouloir à vie mais je t'en veux pas.
Je ne comprends juste pas comment, je ne sais juste pas qui tu es, dans quels bras je dors chaque soir, contre quel corps je m'abandonne, mais toi, tu as pu choisir de m'abandonner. Si facilement.
Mais j'ai appris il y a longtemps à mes dépens que l'amour n'est pas une chose facile. J'ai appris il y a longtemps qu'au nom de l'amour, la haine pouvait surgir, que la guerre pouvait éclater, qu'on pouvait se détruire.
Mais je ne comprends pas.
Toi qui dis m'aimer comme tu as jamais aimé, toi qui dit que tu as jamais ressenti ça.
Comment ? Tu as. Pu. Faire. Ça.
Et qu'est-ce que tu pourrais faire d'autres ?
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« Le bourgeoisisme lui-même, en tant qu'état humain qui subsiste à perpétuité, n'est pas autre chose qu'une aspiration à la moyenne entre les innombrables extrêmes et antipodes de l'humanité. Prenons pour exemple une de ces paires de contrastes telle que le saint et le débauché, et notre comparaison deviendra immédiatement intelligible. L'homme a la possibilité de s'abandonner entièrement à l'esprit, à la tentative de pénétration du divin, à l'idéal de la sainteté. Il a également la possibilité inverse de s'abandonner entièrement à la vie de l'instinct, aux convoitises de ses sens, et de concentrer tout son désir sur le gain de la jouissance immédiate. La première voie mène à la sainteté, au martyre de l'esprit, à l'absorption en Dieu. La seconde mène à la débauche, au martyre des sens, à l'absorption en la putrescence. Le bourgeois, lui, cherche à garder le milieu modéré entre ces deux extrêmes. Jamais il ne s'absorbera, de s'abandonnera ni à la luxure ni à l'ascétisme ; jamais il de sera un martyr, jamais il ne consentira à son abolition : son idéal, tout opposé, est la conservation du moi ; il n'aspire ni à la sainteté, ni à son contraire, il ne supporte pas l'absolu, il veut bien servir Dieu, mais aussi le plaisir ; il tient à être vertueux, mais en même temps à avoir ses aises. Bref, il cherche à s'installer entre les extrêmes, dans la zone tempérée, sans orage ni tempêtes violentes, et il y réussit, mais au dépens de cette intensité de vie et de sentiment que donne une existence orientée vers l'extrême et l'absolu. On ne peut vivre intensément qu'aux dépens du moi. Le bourgeois, précisément, n'apprécie rien autant que le moi (un moi qui n'existe, il est vrai, qu'à l'état rudimentaire). Ainsi, au détriment de l'intensité, il obtient la conservation et la sécurité ; au lieu de la folie en Dieu, il récolte la tranquillité de la conscience ; au lieu de la volupté, le confort ; au lieu de la liberté, l'aisance ; au lieu de l'ardeur mortelle, une température agréable. Le bourgeois, de par sa nature, est un être doué d'une faible vitalité, craintif, effrayé de tout abandon, facile à gouverner. C'est pourquoi, à la place de la puissance, il a mis la majorité ; à la place de la force, la loi ; à la place de la responsabilité, le droit de vote. »
Herman Hesse, Le Loup des Steppes.
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icariebzh · 5 months
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".../...
Tu sais combien d'entre-eux s'intéressent à ce que nous faisons? demanda-t-il.
 Je dirais un pour cent pour être large. La vraie force de nos adversaires, elle est là. Ils jouent à craindre nos révélations, mais au fond ils savent que la majorité des citoyens n'a rien à faire qu'Untel ou Untel se serve effrontément ou leur cache la vérité. La seule vérité qui compte pour eux, c'est celle de leur niveau de vie, la satisfaction de leur aspiration bourgeoise.
"Son idéal n'est en effet aucunement le sacrifice, mais la préservation de sa personne. Il n'aspire ni à la sainteté ni à son opposé, et ne supporte pas l'absolu...Il essaie de trouver sa place entre les extrêmes, dans une zone médiane, tempérée et saine où n'éclatent ni tempêtes ni orages violents...On ne peut vivre intensément qu'aux dépens de soi-même...Ainsi assure-t-il sa préservation et sa sécurité au détriment de la ferveur."
Tu peux rester assise ici la journée entière, sur les milliers de gens que tu verras défiler, la quasi-totalité sera conforme  à cette description du bourgeois selon Le loup des steppes.
Je nous vois comme des loups solitaires qui procèdent par attaques fulgurantes contre la meute, laquelle nous le rend avec toute la violence qu'elle s'autorise. Ce qui nous sauve? C'est que, parfois, un individu caché dans la meute se sent maltraité ou, plus rarement, prend conscience que sa vie selon ce"s règles ne mène à rien. Sans ce type de défection, on ne pourrait rien faire, rien savoir, rien prouver. Le plus curieux, c'est que cette grande masse protège des hommes qui ne lui ressemblent pas. Leur avidité, leur détermination à mentir, à voler, à confisquer, à s'approprier le pouvoir. "L'abandon de la voie moyen ne" les rend à priori marginaux. Mais ils ont compris que cette marginalité est tolérable à condition qu'ils préservent au moins l'apparence des équilibres fondamentaux. ils donnent le change en légiférant.
Rien ne rassure plus l'opinion qu'une avalanche de textes qui régissent les rapports entre des gens qui n'ont plus d'ambition collective si ce n'est que la loi tienne l'autre à distance. Ils ne sont même plus éduqués à vivre ensemble et ne voient plus dans la relation à l'autre qu'une alchimie d'intérêts.
Réglementer, légiférer pour mieux encore détourner à son avantage l'essence de la règle, la contourner avec l'aide de myriades de juristes dévoués et coûteux.
Ceux qui font la loi et ceux qui la bafouent font cause commune contre l'individu, encadré, enfermé, asservi à l'Etat et au marché qui jouent depuis des lustres la comédie du désamour et amusent la galerie par leurs prétendues antinomies.
.../..."
Marc Dugain- extrait de: "Quinquennat"
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  illustration source: Lundimatin
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aurevoirmonty · 1 month
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« Le bourgeoisisme lui-même, en tant qu'état humain qui subsiste à perpétuité, n'est pas autre chose qu'une aspiration à la moyenne entre les innombrables extrêmes et antipodes de l'humanité. Prenons pour exemple une de ces paires de contrastes telle que le saint et le débauché, et notre comparaison deviendra immédiatement intelligible. L'homme a la possibilité de s'abandonner entièrement à l'esprit, à la tentative de pénétration du divin, à l'idéal de la sainteté. Il a également la possibilité inverse de s'abandonner entièrement à la vie de l'instinct, aux convoitises de ses sens, et de concentrer tout son désir sur le gain de la jouissance immédiate. La première voie mène à la sainteté, au martyre de l'esprit, à l'absorption en Dieu. La seconde mène à la débauche, au martyre des sens, à l'absorption en la putrescence. Le bourgeois, lui, cherche à garder le milieu modéré entre ces deux extrêmes. Jamais il ne s'absorbera, de s'abandonnera ni à la luxure ni à l'ascétisme ; jamais il de sera un martyr, jamais il ne consentira à son abolition : son idéal, tout opposé, est la conservation du moi ; il n'aspire ni à la sainteté, ni à son contraire, il ne supporte pas l'absolu, il veut bien servir Dieu, mais aussi le plaisir ; il tient à être vertueux, mais en même temps à avoir ses aises. Bref, il cherche à s'installer entre les extrêmes, dans la zone tempérée, sans orage ni tempêtes violentes, et il y réussit, mais au dépens de cette intensité de vie et de sentiment que donne une existence orientée vers l'extrême et l'absolu. On ne peut vivre intensément qu'aux dépens du moi. Le bourgeois, précisément, n'apprécie rien autant que le moi (un moi qui n'existe, il est vrai, qu'à l'état rudimentaire). Ainsi, au détriment de l'intensité, il obtient la conservation et la sécurité ; au lieu de la folie en Dieu, il récolte la tranquillité de la conscience ; au lieu de la volupté, le confort ; au lieu de la liberté, l'aisance ; au lieu de l'ardeur mortelle, une température agréable. Le bourgeois, de par sa nature, est un être doué d'une faible vitalité, craintif, effrayé de tout abandon, facile à gouverner. C'est pourquoi, à la place de la puissance, il a mis la majorité ; à la place de la force, la loi ; à la place de la responsabilité, le droit de vote. »
Herman Hesse, Le Loup des Steppes.
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raisongardee · 1 year
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“Le peuple est incapable d’entendre ses intérêts ; on doit, pour son bien, le tenir toujours en tutelle. N’est-ce pas à ceux qui ont des lumières de conduire ceux qui manquent de lumières ? Ainsi parlent une foule d’hypocrites qui veulent faire les affaires du peuple, afin de s’engraisser de la substance du peuple. Vous êtes incapables, disent-ils, d’entendre vos intérêts ; et sur cela, ils ne vous permettront pas même de disposer de ce qui est à vous pour un objet que vous jugerez utile ; et ils en disposeront, contre votre gré, pour un autre objet qui vous déplaît et vous répugne. Vous êtes incapables d’administrer une petite propriété commune, incapables de savoir ce qui vous est bon ou mauvais, de connaître vos besoins, et d’y pourvoir ; et sur cela, on vous enverra des hommes bien payés à vos dépens, qui gèreront vos biens à leur fantaisie, vous empêcheront de faire ce que vous voudrez, et vous forceront de faire ce que vous ne voudrez pas. Vous êtes incapables de discerner quelle éducation il est convenable de donner à vos enfants ; et par tendresse pour vos enfants, on les jettera dans des cloaques d’impiété et de mauvaises mœurs, à moins que vous n’aimiez mieux qu’ils demeurent privés de toute espèce d’instruction. Vous êtes incapables de juger si vous pouvez, vous et votre famille, subsister avec le salaire qu’on vous accorde pour votre travail ; et l’on vous défendra, sous des peines sévères, de vous concerter ensemble pour obtenir une augmentation de ce salaire, afin que vous puissiez vivre, vous, vos femmes et vos enfants.”
Félicité de Lamennais, Paroles d’un croyant, 1834.
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browneyes242 · 1 year
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XOXO
Depuis ma séparation, j’ai commencé à nourrir un amour pour les Kdrama. Ils m’aident dans une certaine mesure a échapper à ma peine, à ne pas passer mes journées à pleurer mais surtout à prendre du recul sur les évements.
Parmis ces derniers deux m’ont particulierement aidé. Il y’a Tomorrow qui traite du s*icide.Il m’a appris a prendre du recul sur ma peine, à me faire comprendre que qu’importe à quel point je peux me sentir seule, mal. Recourir à ça n’aidera certainement pas. Ceux qui tiennent à moi souffrirons et j’irai certainement dans un endroit ou la douleur que j’ai connu sera plus terrible.
Il y’a ensuite ‘true to love’ qui traite de la deception amoureuse. Il m’a permis de comprendre que mon ressentie etait normal.Que c’etait ok de souffir un moment, de ne pas savoir comment vivre à nouveau sans l’autre. Que ca arrive à beaucoup de personne.
C’est okay de ne pas être okay, il faut juste prendre conscience que notre etat dépens de nous majoritairement. Apres la pluie vient le beau temps!
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