#darmanain

[bankstermarcon]

[blackrebelphotographyclub]

Listen, here’s the reality about Biden’s EO: he is losing. He is losing this election already, and he is also terrified of the ICJ order. So he gave crumbs (4 sanctions?) to pacify. It however is a significant shift in US policy, that is typically to just rubber stamp atrocity crimes.

This is the result of 4 months of protests, 4 months of boycotts, and 4 months of everyone saying no. We owe victims - all victims, all civilians, humanitarian staff, journalists, children - to continue the pressure. Because it’s working.

It took 30 years of boycotts, organized campaigns, and protests to make South Africa cave on apartheid. Look what you’ve done in 4 months. Starbucks is crying. McDonalds is desperate. The US acknowledges that the West Bank is occupied. We have an order saying genocide is plausible. You did this.

I remember a French minister of intérieur - it wasn’t Darmanain, it was under Hollande but it’s escaping me right now - who once said in response to protests, “c’est pas la rue qui gouverne” (“the streets are not in charge”). And boy did he learn he was wrong the hard way.

The collective power of your voices on and offline can and have already changed the world.

[ekman]

Le Rèchefuhrer Darmanain balance ses oukazes à tour de bras, dans l’espoir de ressembler un tant soit peu au Ortie-Sarközy haute époque. On se souvient du maire de Neuilly allant barrer de son torse de poulet la route infernale d’un pédoclaste armé. Quelques années plus tard, le même trimballera en banlieue ses airs de cheffaillon contrarié pour promettre – devant des dizaines d’objectifs (je parle des optiques, par des journalistes) – qu’il allait nettoyer “les quartiers” en kärchérisant la racaille. On a vraiment l’impression que Darmanain a fait de Sarközy sa référence absolue dans la course au pseudo-pouvoir élyséen. Beaucoup de coups de menton face caméra, beaucoup de grosse voix du haut des talonettes, beaucoup de bagout face aux chroniqueurs allongés et aux hyènes édentées de la très cubique “sphère audiovisuelle”. Et puis la recherche systématique des fausses confrontations, des ennemis rêvés, des dangers fabriqués de toute pièce, cette façon vulgaire de bander ses petits muscles comme il est souvent de mise lorsque l’on traine place Beauvau. Mais Darmanain, pas plus que Sarközy, ne se contente d’être un hâbleur. Derrière le personnage de Bonaparte aux petits pieds, il y a une vraie ambition, bien suintante de dégueulasssrie politicarde et de méchanceté fielleuse. Ce type est prêt à toutes les villénies pourvu d’intéresser les commanditaires du pouvoir réel. “Vous voulez du contrôle social ? Je sais faire !” ... “Vous souhaitez créer une pseudo situation insurectionnelle ? Je peux faire !” ... “Vous voulez continuer d’ostraciser les opinions identitaires ? Je veux faire !” ... “Vous voulez faire de l’anti-immigrationnisme un délit plutôt qu’une opinion ? Je rêve de faire !” Oui, il promet d’aller très loin dans l’ignominie, le petit furoncle. Sans crainte de flinguer le contestataire, prêt à s’appuyer sur ses potes encagoulés de l’ultra-gauche armée, soufflant le chaud et le froid sur le couscous de la cohabitation ethno-religieuse, aplati devant les forts et sans retenue face aux faibles, grand falsificateur de la réalité (et pas seulement footballistique), disposé à toutes les valses et trahisons politiciennes, il a décidément plus d’un atout en manche pour assomer la concurrence. Les veaux votants renifleront-ils la supercherie ou leurs narines demeureront-elles bouchées comme ce fut la cas avec le jockey magyar ? Je l’ignore, mais je suis certain que dans le théâtre d’ombre créé par la précarité économique et les embryons de révolte, le Gérald a toutes les raisons de s’accrocher. J.-M. M.

[thedarksideofmymoonhasmatches]

C'est un meurtre donc.

Honte à la préfecture de police. Honte à Darman(a)in le violeur, il devrait perdre ses droits civiques.

France ultra corrompue. La droite ment comme d'habitude.

[thedarksideofmymoonhasmatches]

Et après 11 ans de Macron, il s'en rend compte seulement maintenant? Parce que ses arguments sont valables pour toute la ligne politique depuis Macron (oui j'inclus sous Hollande, lui et l'autre petite salope, Valls).

[ekman]

Noël, donc. Noël laïc et républicain. Noël kurde, aussi. Pan ! Boum ! Noël avec Darmanain. Noël dans la joie des carcasses fumantes et des églises brisées, des croix retournées et des curés qui pardonnent tout, comme saint Connard de la pampa, cheville ouvrière du globalisme gerbatoire. Noël au balcon grâce aux réchauffement caricatural d’un monde vert qui tourne au charbon. “Atomkraft ? Nein, danke !”, qu’on pouvait lire au cul des minibus Volkswagen conduits par les pouilleux rouge-verts des années 70. Voilà le résultat, bande de glands. Noël accoudé à la balustrade, qui attend Pâques qui se fera à coups de tisonnier, à n’en pas douter. Noël dans les quartiers populaires al-jazeerisés jusqu’à la garde, champs de tir cocaïnés à la mode mexicaine. Visitez en famille le charnier du square Pablo Neruda ! Noël chez Macron, avec une belle grosse bûche au chocolat noir recouverte de poudre énergisante. Le rêve, quoi : onze footballeurs blacks qui fondent dans la bouche, pas dans la main. Noël à Bethlehem, avec ses gilets pare-balles et ses check-points. Pas de trève à Noël. Vos cadeaux sur Amazon, avec livraison par esclave bengalais offerte. Pas de trève pour Noël. On commente sur LCI, BFM et consorts. Trève des confiseurs, mon cul : ça bombarde encore et toujours à Donetsk. Ça fait plaisir à BHL qui continue de danser sous son chandelier. “Happy Hannouka !“, que ça gueule d’un bureau à l’autre, de Wall Street à la City. Noël incolore mais racisé, genre indéfini mais barbu.e. “Dis Parent 2, pour Noël je voudrais un vagin ! – On dit “Fêtes de fin d’année”, mon.a chériel.” Monde formidable qui tourne sur lui-même et perd l’équilibre. Monde qui dérape, monde qui s’étale, monde qui saigne. Noël rouge sang. Bon allez, on se dépêche, le sapin perd ses plumes, triste victime du génocide arboricole, extinction des feux, rébellion de salon. Joyeux Noël à tous – pardon, à toutes et à tous et aux autres aussi. Bref, joyeux Noël inclusif ! J.-M. M.