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#dix neuvième siècle
weissengel · 6 days
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oreilletendue · 4 months
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Accouplements 220
(Accouplements : une rubrique où l’Oreille tendue s’amuse à mettre en vis-à-vis deux œuvres, ou plus, d’horizons éloignés.) Michaud, Andrée A., Bondrée, Montréal, Québec Amérique, coll. «qa», 2020. Édition numérique. Édition originale : 2014. «Certains croyaient que Larue avait nommé sa fille Emma à cause de l’admiration qu’il portait à Flaubert et à Emma Bovary, mais ce n’était pas le cas. S’il…
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hamletauxherbes · 5 months
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When Enjolras said
"Citoyens, le dix-neuvième siècle est grand, mais le vingtième siècle sera heureux. Alors plus rien de semblable à la vieille histoire ; on n’aura plus à craindre, comme aujourd’hui, une conquête, une invasion, une usurpation, une rivalité de nations à main armée, une interruption de civilisation dépendant d’un mariage de rois, une naissance dans les tyrannies héréditaires, un partage de peuples par congrès, un démembrement par écroulement de dynastie, un combat de deux religions se rencontrant de front, comme deux boucs de l’ombre, sur le pont de l’infini ; on n’aura plus à craindre la famine, l’exploitation, la prostitution par détresse, la misère par chômage, et l’échafaud, et le glaive, et les batailles, et tous les brigandages du hasard dans la forêt des événements. On pourrait presque dire : il n’y aura plus d’événements. On sera heureux." (Citizens, the nineteenth century is great, but the twentieth century will be happy. Then, there will be nothing more like the history of old, we shall no longer, as to-day, have to fear a conquest, an invasion, a usurpation, a rivalry of nations, arms in hand, an interruption of civilization depending on a marriage of kings, on a birth in hereditary tyrannies, a partition of peoples by a congress, a dismemberment because of the failure of a dynasty, a combat of two religions meeting face to face, like two bucks in the dark, on the bridge of the infinite; we shall no longer have to fear famine, farming out, prostitution arising from distress, misery from the failure of work and the scaffold and the sword, and battles and the ruffianism of chance in the forest of events. One might almost say: There will be no more events. We shall be happy.)
He Didn't Know. That makes me so sad. The twenty-first century is still not happy. We still have to fight for this world.
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orageusealizarine · 5 months
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COMMENT être pleinement vivante ?
Vous m'avez dit laisse tomber les concours et les livres, sors des bibliothèques (s'il te plaît) et de l'amour du dix-neuvième siècle : ne te prostitue pas pour de l'argent (et je sais combien tu en aurais envie, d'épouser n'importe quel.le riche pour son argent seulement), abandonne l'idée du confort et ose, viens, rencontre-moi, allons où tu voudras
Vous m'avez dit d'écrire, de me mettre à nu, de sécher mes larmes et de continuer de rire et de danser, vous m'avez dit des silences qui furent comme des coups de poignard anonymes et des tremblements ; tu m'as dit VIS, JE T'EN PRIE, tu m'as dit à quel point la réalité était un courage et que mon écriture avait toute l'exigence de la violence,
Et vous m'avez dit et répété que mes mots déchiraient, déchiraient ce réel auquel j'en veux tant, étaient plus forts, plus forts - mes mots à moi ; vous m'avez nimbée de je ne sais quelle oracle ; je me suis désertée de ma propre enveloppe : je me suis faite à l'image de n'importe quel miracle.
Vous m'avez dit combien au mot "bonheur" je répondais "réalité", comme si, comme si cette réalité était la condition du bonheur (puisqu'il n'y a pas de bonheur imaginé - il n'y en a qu'un seul, grandiose, qui se vit à l'instant même), oui, tu m'as dit à quel point j'étais intransigeante et je tapais des pieds, à quel point mon propre ego me faisant mal : tu m'as dit sors de ta prison - est-ce que j'étais folle, enfermée ou si j'étais libre de mes mouvements, qu'est-ce qui m'empêchait de courir, partir ?
Vous m'avez dit ose, vis, sois
Pleinement -
Et je suis
Plus grande que mes malheurs - une esthète, une œuvre d'art, délicate et généreuse - mieux : rayonnante
Et je serai - chaleureuse, altruiste, pleine de santé, tonique, je plongerai mes mains dans la terre - amicale - mes yeux ont la beauté des étoiles - magnifique la vie que je voudrais répandre sur tous ceux qui m'entourent
Tremblante, ma voix amoureuse, dans les parcs et les magasins, tant et trop de délicatesse - la feuille à peine détachée de l'arbre, légère, légère, tourbillonnante
Je voudrais m'offrir, je voudrais m'offrir - à toutes les belles âmes qui meurent de froid, donner toute ma beauté et la richesse de mon être - ça serait vivre !
Être encore autre chose qu'un soleil, et plus réelle qu'un astre - ma chaleur et mes enthousiasmes à donner - tout ce qui brille dans mon cœur, tout ce qui déborde, ce que mes bras ne peuvent contenir et encore toute mon âme
Je voudrais tout offrir, tout, tout donner, répandre des morceaux de moi, le meilleur de ma chair, le plus clair de mes mots, le plus pur de mes baisers et ma tendresse et ma sensibilité - j'ai tout et tant à embrasser et la largesse de mon cœur à contenter, à déverser, à ravir,
Mes yeux à ras bords de toutes les merveilles de la terre - que j'aime et que j'aime et que j'aime
Et vous - que je voudrais tant aimer
Pour oser, pour vivre, pour être - dans la clarté du jour, la majesté des soirs, toute la beauté qui m'étreint - pour vous dire mon ivresse d'être en vie, le bonheur qui est encore autre chose et qui n'a rien d'un mystère
Buvez-moi comme un alcool - si seulement, si seulement mon extase pulsante, vibrante, vivante vous prenait à vous aussi - vous parvenait de n'importe où et d'ailleurs...
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aurevoirmonty · 1 month
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"Il est nécessaire que la culture européenne se purifie des résidus des conceptions matérialistes, économistes, rationalistes et égalitaires du dix-neuvième siècle. Dans sa seconde étape, l'unité renouvelée de l'Europe en tant que civilisation ou culture devra trouver son expression dans une unité politique apparentée, à poursuivre même au prix de guerres civiles et de luttes contre les puissances qui veulent maintenir l'Europe sous leur propre contrôle."
Evola, Présuppositions spirituelles et structurelles de L'Union Européenne
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francepittoresque · 5 months
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3 décembre 1919 : mort du peintre Auguste Renoir ➽ http://bit.ly/Auguste-Renoir Au lendemain de la disparition de Pierre-Auguste Renoir, le critique d’art Arsène Alexandre rend un hommage appuyé à celui qu’il considère comme un des peintres impressionnistes « les plus suggestifs de sensations voluptueuses de l’École française au derniers tiers du dix-neuvième siècle »
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Rappel de l’histoire – vraie – des Xhosas lors de la colonisation de l’Afrique du Sud par les Britanniques dans la deuxième moitié du dix-neuvième siècle (d’après FG)
Les Xhosas étaient la seconde peuplade de la région après les Zoulous.
Ils résistèrent aux colonisateurs mais subirent plusieurs défaites.
Ils finirent par développer un sentiment d’infériorité.
Cette situation émotionnelle se révéla par la suite éminemment propice à la propagation d’une prophétie.
Une fille de quinze ans, Nongqawuse, prétendit avoir entendu une voix lui dire que les Xhosas devaient tuer tous leurs bovins, cesser de cultiver leurs champs, détruire leurs céréales et autres aliments, et même démolir leurs instruments agricoles.
Elle prétendait qu’une fois ce sacrifice accompli, la magie ferait naître une nouvelle ère d’abondance, plus prospère, et que l’ancienne gloire des Xhosas serait restaurée.
Les guerriers tués dans les combats se relèveraient de leurs cendres et rejetteraient les Britanniques à la mer.
En l’occurrence, Nongqawuse réussit à convaincre son oncle Mhlakaza, sorcier de son état.
D’autres versions prétendent que c’est le sorcier qui aurait influencé sa nièce.
Toujours est-il que Mhlakaza devint le chef du mouvement d’extermination du bétail. Il finit par persuader le roi Sarhili.
Dans un acte symbolique, le roi tua son bœuf favori.
L’hystérie s’étendit.
Certains prétendaient voir les ombres des guerriers morts surgir de la mer.
Les gens s’aveuglaient et se trouvaient des preuves à l’appui de ce qu’ils voulaient désespérément voir devenir la réalité.
Le bétail fut massacré à un rythme tel que même les vautours n’avaient plus le temps de le dévorer.
La résurrection des morts était prévue par la prophétie lors de la pleine lune de juin 1856.
Évidemment rien ne se produisit.
Qu’à cela ne tienne, elle fut de nouveau annoncée par le grand sorcier Mhlakaza comme devant se réaliser 2 mois plus tard.
Toujours rien n’advint.
On imputa donc l’échec de la prophétie à une extermination incomplète du bétail.
On avait gardé quelques vaches laitières.
Une petite minorité d’incroyants avait refusé de tuer son bétail.
Plusieurs fois reportée tout au long d’une année entière, la résurrection resta un fol espoir aux antipodes de la dure réalité.
L’échec répété ne pouvait que signifier le manque de foi des Xhosas qui n’avaient pas tué tout le bétail.
Non seulement on l’abattit jusqu’au dernier mais avec lui les poules et les chèvres pour faire bonne mesure.
Toute nourriture avait disparu au printemps 1857.
La disette s’installa.
Rendus fous par la faim, certains des Xhosas devinrent cannibales.
La population mourut de la famine ou, trop affaiblie, de la maladie.
Les croyants mouraient en accusant les incroyants d’être la cause de l’échec de la prophétie.
Ils accusaient aussi les rares missionnaires installés depuis peu.
Eux aussi avaient gardé leur bétail.
Un quart seulement de la population avait survécu un an plus tard.
Ce que cinquante ans de conquêtes armées et de guerres coloniales britanniques n’avaient pu réussir, seulement deux années d’une croyance religieuse mystique et fanatique l’offrirent aux colonisateurs sur un plateau d’argent.
Les Britanniques s’installèrent et trouvèrent chez les survivants Xhosas une main-d’œuvre docile et efficace...
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mask131 · 10 months
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Occult Paris (2-A)
In the spring of 1948, three sisters – Leah, Margaret and Kate Fox, living in a rural town near Rochester in the state of New-York – claimed to have communicated with the dead, thanks to a turning table. People became obsessed with this trio of mediums and their poltergeists, and this was the start of the “spiritism craze”. This passion for communicating with the spirits soon reached Europe – and nor France, nor its capital Paris escaped it. In the upper classes of the capital, or in the “avant-garde milieu”, everybody tried to invoke the souls of the deceased inside tables for a little chat. Turning tables became one of the main entertainments of the time – or rather, a “spiritual sport”. It was the “greatest phenomenon” of the century, for many. But for the Church of France, it was something quite different… To quote the Chevalier Gougenot des Mousseaux, in his “La magie au dix-neuvième siècle” (Magic in the 19th century), “Magic, magnetism, somnambulism, spiritism, hypnotism – they are all but Satanism!”. The situation was taken very seriously by the religious authorities, to the point that the abbot Mautain, vicar of the archdiocese of Paris and doctor in theology, published a text tiled “Avertissement aux Chrétiens sur les tables tournantes”, “Warning for Christians about turning tables”. In it he described his experience seeing one day a basket twist itself “like a snake” and flee by crawling in front of a Gospel. The abbot Chevrojon, vicar of Saint-Roch, rather confessed having to battle against a “possessed stool”. For all the men of God of the time, spiritism was the work of the devil. As for the scientists of the Académie des sciences, it was all just charlatanism. For these rational and rigorist scholars, these tables could only turn through magician tricks, or by the subconscious muscular impulsions of the participants. For them, it was all just collective hallucinations, or autosuggestions.
But despite all the condemnations, despite all the warnings, despite all the debunking, people never stopped being obsessed with spiritism. In 1856, the emperor Napoléon III himself received officially in the Tuileries the Scottish medium Daniel Dunglas Home. During the séance they organized, a tale, several chairs and several furniture pieces started to float, while a host of famous spirits were invoked: Hortense de Beauharnais, Napoléon Ier, Marie-Antoinette, Jean-Jacques Rousseau and Blaise Pascal! But Home wanted to impress his imperial hosts too much, and this was his downfall: he was proven a fake when the Imperial Court went with him to Biarritz. There, “ghost hands” caressed the face of the empress Eugénie – but it was revealed to be the foot of the medium, wearing a glove! As it turns out, Home wasn’t a medium but a talented illusionists and hypnotists. Home was asked to leave France immediately – but despite this disgrace at the highest level of the government, secret societies and occult organizations of all sorts kept flowering and multiplying throughout France: spiritualists, theosophists, martinists, Rosicrucians, kabbalists, gnostics, neo-pagans, luciferians, Satanists… But three men in particular became extremely famous.
1) Allan Kardec
Born in Lyon in 1804, Hippolyte Léon Rivail settled at a very young age in Paris, where he opened a school (35, rue de Sèvres) where he taught based on the modern methods of the Swiss pedagogue Jean-Henry Pestalozzi, himself a fervent follower of Rousseau’s theories. Unfortunately, Rivail’s schools barely hold for a few years before closing – Rivail switched to the writing of manuals of grammar, arithmetic, chemistry and biology. It is when he was writing a chapter about the magnetism of animals that a friend of his told him about his personal “table experience”. Rivail had reached his fifties when he first took part in a séance of turning tables. He soon regularly visited these mediumnic séances – one rue de la Grange-Batelière, another rue Tiquetonne, a third rue de Rochechouart… One medium claimed that Rivail was actually the reincarnation of an old Breton druid by the name of Allan Kardec – and so the former teacher took this pseudonym as his new name. In 1857, the “new” Allan Kardec published the first and the most famous of his books, “Le Livre des Esprits”, The Book of Spirits, that he claims to have written under the command of… spirits! On the first day of April 1858, he creates in his home (8, rue des Martyrs) la Société spirite de Paris (The Spiritualist Society of Paris), and a newspaper by the name of “La Revue spirite” (The Spiritualist Review). Since his apartment becomes too small to welcome his many friends and disciples, Allan Kardec starts hosting reunions at the Palais-Royal, first in the galerie de Valois, than in the galerie Montpensier, and finally at the rue Sainte-Anne. Kardec created a true religion, whose influenced reached all of Europe – and even Brazil! He wrote many, many books: Qu’est-ce que le spiritisme? (What is spiritism?), Instruction pratique sur les manifestations spirites (Pratical instructions about spiritualist manifestations), Le Livre des médiums (The Book of mediums), L’Evangile selon le spiritism (The Spiritism Gospel), Le Ciel et l’Enfer ou La Justice Divine (Heaven and Hell, or the Divin Justice), and finally, La Genèse, les Miracles et les Prédictions selon le spiritisme (The Genesis, the Miracles and the Predictions according to spiritualism). In 1869, Allan Kardec did not die – but rather was “disembodied”, and his empty body buried in the Père-Lachaise cemetery. His grave, in the shape of a dolmen, is still one of the most famous tombstones of the entire cemetery.
2) Éliphas Lévi
Eliphas Lévi was the man who invented in the French language the word “occultisme”, “occultism”. Born Alphonse-Louis Constant in 1810, in the Odéon neighborhood, son of a shoemaker, he soon enters the seminary of Saint-Sulpice and he could have become a priest… if only he could “keep it in his pants”, if you excuse the expression. Young Constant was sent to a young girl’s house to catechize her, only for him to seduce and flirt with her – which officially put an end to his possible priestly career. His mother, who was a very pious woman, was so despaired and heartbroken by this she killed herself. Gifted for drawing, the young Constant started to live and work in artists studios, while enjoying a very lustful and un-chaste life. He notably was the lover of Flora Tristan, a socialist and feminist activist who would later become famous for being the grandmother of Paul Gauguin. Constant then became part of the staff of the collège oratorien de Juilly – and it was during this time that he wrote his first book, La Bible de la liberté (The Bible of freedom).
As soon as it was published, the book was pulled out of libraries, forbidden from being published, and both the author and edtor were summoned in the assize court of Paris for “attack against the public and religious property and moral”. Constant was locked up in the Sainte-Pélagie prison for eleven months, and when he got out he married Marie-Noémie Cadiot, an eighteen year old woman (he was over thirty!). He wrote a pamphlet called “La Voix de la famine” (The Voice of famine), and he was once again condemned to one year of prison. He however only did half of his time in prison – which allowed him to participate in the revolution of February 1848. He was now a wanted man – in fact, a revolutionary who happened to look like him was shot dead rue Saint-Martin! A few years later, in the 120 boulevard du Montparnasse, he wrote the book that truly started his legend: Dogme et rituel de la haute magie (Dogma and ritual of the high magic). To publish this book he took the pseudonym of Éliphas Lévi, which was the Hebraic translation of Alphonse-Louis. In this book, the author created the portrait of a fantastical creature that was then copy-pasted and spread through the press: Baphomet, the so-called idol worshiped by the Templar Knights. Lévi described the creature as having the head of a goat, the breast of a woman, hooves, wings, and a pentagram on the forehead – sitting cross-legged while flames burn over its head. After this first success, Lévi kept producing best-sellers: Histoire de la magie (History of magic), La Clef des grands mystères (The Key of great mysteries), La Science des esprits (The Science of spirits), Le Grand Arcane (The Great Arcana)… Admired by the occultists of his time, he regularly gave tarot readings or chiromancy readings, and he started practicing alchemical experiments. He became friend with Alexandre Dumas, wrote several songs, became a guest in several literary salons, and he even was presented to Victor Hugo throughout the daughter of Théophile Gautier, Judith Gautier. He died in 1875 and was buried in the cemetery of Ivry.
3) Papus
Born in Spain of a French father and Spanish mother, Gérard Encausse was just a child when his parents settled in Montmartre. He had a pretty normal childhood at the Rollin school (today’s Jacques-Decour highschool), where he had already created an esoteric journal and a secret society with other teenagers. Becoming a medicine student, he actually spends most of his time studying divinatory arts, the tarot, the Kabbalah, and the arts of chiromancy, numerology and hypnosis. He takes the pseudonym of “Papus”, the name of a genius doctor of Antiquity. Papus was a “bon vivant”, as we say in France, a man who enjoyed all the pleasures of life and hanged out with the bohème of Montmartre – he notably spent a lot of time in Le Chat noir cabaret. Papus was for a time part of the Theosophical Society created in the United-States by Helena Petrovna Blavatsky, but he soon decided to stay independent and create his own organization. Or rather, re-crate, as he resurrected l’Ordre martiniste (The Martinist Order), inspired by the mage of the 18th century, Martinès de Pasqually. The first Martinist loge was in the 24, rue Pigalle. Papus had a clear sense of hierarchy and of mise en scène: as the leader of the Order, he goes by the title “The Unknown Philosopher”, while his right hands take titles such as “The Unknown Brother”, “The Initiated Brother”, “The Associated Brother”. During their ceremonies, the members of the Order wear a red dress, a black silk mask and Egyptian cloth-strips similar to the one wrapping up mummies, while holding a sword. In its peak, the Order had twenty thousand members spread across Europe, Russia and the United-States.
Papus worked however outside of his personal organization: he also worked to rebuild the ancient brotherhood of the Kabbalistic Rose Cross. In 1889, he participates to the first International Spiritualist Congress, that takes place in Paris, rue Cadet, while also founding the GIEE – the Groupe indépendant d’études ésotériques (The Independent Group of Esoteric Studies), which is opened by a conference at the 44, rue Turbigo, and which gathers all of the spiritualists of Paris. All the disciples participating to this opening conference notably obtain a diploma. The next yar, Papus creates with the poet Lucien Chamuel “la librairie du Merveilleux”, the book-shop of the Marvelous, 29 rue de Trévise. In the back-room, Papus and his friend work on creating their journal “L’Initiation”, that Rome itself blacklisted, their monthly publication L’Union occulte (The Occult Union), as well as their weekly “Le Voile d’Isis” (The Veil of Isis), and various almanacs. It was also in the backroom of the bookshop that you could find the seat of La Faculté libre des sciences hermétiques (The Free Faculty of Hermetic Sciences).
In 1902, Papus and Lucien Chamuel sell the book-shop of the Marvelous to open a new bookshop, this one called “librairie d’Hermétisme” (Bookshop of Hermetism), at the 3 and 5 rue de Savoie – plus an annex rue Séguier. By now, the personal office of the occult master looked like an Egyptian temple: he notably wrote there many of the 160 various texts that were attributed to him. In 1905, the tsar Nicolas II invites him to Saint-Petersburg for a spiritism séance: it was said that during this meeting, the French wizard managed to invoke the ghost of Alexandre III (which, according to the rumors, made Rasputin very jealous). In June of 1908, Papus gathers at Paris the Spiritualist Congress, gathering thirty thousand members from all of Europe – it took place in the salle des Sociétés savants, in the 8th of rue Danton. During the Great War, Papus was named chief-physician paramedic, but he did not survive the war, dying of tuberculosis before the end of the conflict. Some whispered that he might have been cursed by an envious Rasputin…
 Some additional notes, to understand the Papus article:
# Helena Petrovna Blavatsky, born in Russia, founded in New-York in 1875 the Theosophical Society, which soon spread world-wide. Her teachings were a syncretism of Buddhism, Hinduism, Christianism and esoteric thinking. In Paris, the theosophy received its first disciples in 1883. A journal, Le Lotus Bleu (The Blue Lotus) was founded. The seat of the French Theosophical Society was at the 4, square Rapp, in the seventh arrondissement.
# Jacques Martinès de Pasqually, a Portuguese Jew that converted himself to Catholicism, travelled in France in 1750 and founded there the society of the Order of the Mason Knights elected Cohen (Cohen, in Hebrew, meaning “priests”). Louis Claude de Saint-Martin, nicknamed “The Unknown Philosopher”, was his secretary. The Martinist Order, or Martinism, offered to its adepts to become “beings of God” by mixing spirituality and magic.
# The Rose Cross is a secret and mystic brotherhood created by Christian Rosenkreutz in Germany in the 17th century. Very soon, it became a phenomenon in Paris. The Rosicrucian Order preaches justice and truth.
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raisongardee · 2 years
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“L’esprit du dix-huitième siècle a saisi les trois premières générations du dix-neuvième. La sirène moderne nous a tous plus ou moins enlacés de ses bras amollissants qui ne laissent retomber que des cadavres : cadavres de cœur, cadavres de volonté, cadavres de la pensée. La flamme divine de l’enthousiasme s’est éteinte dans les jeunes âmes et spectacle inouï ! depuis quatre-vingts ans on voit en France s’avancer dans les affaires publiques des hommes sans Dieu, sans patrie, sans traditions, sans foi, sans espérance, et ces hommes-là sont trouvés fort !”
Léon Bloy, « Erreurs et mensonges historiques, par Charles Barthélémy », 1874.
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titou-nz · 2 years
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Pétra - Jordanie
Période romaine
En l'an 64 av. J.-C., les Romains établissent une province romaine en Syrie. Ils créent une confédération de dix cités-États : la Décapole. Celle-ci entrave toute future expansion des Nabatéens. En 106, sans doute après la mort du dernier roi nabatéen Rabbel II le royaume est annexé, puisqu'il n'y a eu apparemment aucun combat, sur l'ordre de l'empereur romain Trajan par Cornelius Palma, gouverneur de Syrie. Celui-ci fait de Bosra, qui devient rapidement la deuxième ville nabatéenne en importance, la capitale de la nouvelle province romaine d'Arabie (provencia Arabia). L'empereur Trajan renomme Bosra (alors appelée Bostra) en Nea Traiane Bostra, ou « Nouvelle Bostra de Trajan », et Pétra reçoit le titre honorifique de métropole (metropolis). Un peu plus tard, en 114 Pétra devient la base de départ pour les attaques romaines contre l'empire des Parthes en Iran, à l'est. L'ouverture des routes maritimes à l'époque romaine détourne les flux commerciaux de la ville et porte un coup fatal à Pétra et aux Nabatéens. À partir de l'occupation romaine, quelques caravanes s'arrêtent encore à Pétra, mais au fil du temps elles deviennent de plus en plus rares malgré la construction d'une route romaine de 400 km reliant Bosra, Pétra et le golfe d'Aqaba. En 131, l'empereur Hadrien se rend sur le site et lui donne son nom : Pétra Hadriana. Durant la « Pax Romana », la multiplication des constructions révèle que la ville connaît malgré tout une période prospère. Lors de la réorganisation de l'Empire commencée par l'empereur Dioclétien, elle devient la capitale de la « Palaestina taertia » ou « Palaestina salutaris ».
Période byzantine
En l'an 330 le premier empereur chrétien, Constantin Ier, fait de Byzance sa nouvelle capitale et la renomme Constantinople. Pétra fait désormais partie de l'Empire romain d'Orient et l'empire y encourage comme sur tout son territoire la diffusion de la foi chrétienne en construisant des églises. Les habitants de la ville restent d'abord fidèles à leurs croyances, mais en 350 un évêque est nommé à Pétra, et un siècle plus tard de grandes églises sont édifiées dans la ville. Athanase d'Alexandrie mentionne un évêque de Pétra nommé « Asterius ». Le Deir sera même utilisé comme église durant cette période, des croix peintes sur ses murs, et trois autres églises seront découvertes lors de recherches. La vaste « Tombe de l'urne » de l'époque nabatéenne, qui correspond à la tombe de Malichos II ou d'Arétas IV, devient une sorte de cathédrale en l'an 446. Au nord de Pétra, on trouve plusieurs tombes avec des croix gravées, indiquant que les chrétiens y enterraient leurs morts. Un violent tremblement de terre frappe Pétra le 19 mai 363, endommageant des monuments, dont le théâtre, et les aqueducs. D'après Cyrille, évêque de Jérusalem, « presque la moitié » de la ville est détruite quand le tremblement de terre frappe « à la troisième heure, et particulièrement à la neuvième heure de la nuit ». La ville déjà affaiblie depuis le début de la domination romaine par la diminution de ses activités commerciales, n'est pas reconstruite et se vide lentement de ses habitants.
Moyen Âge
La dernière mention de Pétra se trouve dans un texte écrit par Anthenogenes, évêque de la ville, vers la fin du Ve siècle ou le début du VIe. La conquête islamique de 629 - 632 passe par la région et semble avoir ignoré Pétra. Conquise par les Arabes, dont l'impact sur la ville n'est pas connu, Pétra, qui s'est progressivement vidée de ses habitants, est devenue un simple village vers 700. Cependant, l'historien Dan Gibson soutient dans son livre Qur'anic Geography que la ville sainte du Coran serait Pétra et que la relocalisation de la pierre noire par Abd Allah ibn az-Zubayr à l'emplacement actuel de La Mecque aurait fait sombrer la ville dans l'oubli. Au cours de la Première croisade, la ville est occupée par Baudouin Ier, du Royaume de Jérusalem, et forme le deuxième fief de la baronnie d'Al-Karak dans la Seigneurie d'Outre-Jourdain. Durant la domination franque, plusieurs fortifications croisées seront construites, dont les forteresses Al-Wu'ayrah et Al-Habis. La ville reste entre les mains des Francs jusqu'en 1187, année où Saladin les repousse lors de la bataille de Hattin et à Al-Karak, et prend possession de la région. Un pèlerin allemand nommé Thetmar révèle être passé près de Pétra en 1217, et le sultan Az-Zâhir Rukn ad-Dîn Baybars al-Bunduqdari traverse la ville en 1276. La ville tombe ensuite dans l'oubli.
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weissengel · 2 months
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oreilletendue · 5 months
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Accouplements 219
(Accouplements : une rubrique où l’Oreille tendue s’amuse à mettre en vis-à-vis deux œuvres, ou plus, d’horizons éloignés.) Flaubert, Gustave, Madame Bovary, Paris, Garnier-Flammarion, coll. «GF», 86, 1966, 441 p. Chronologie et préface par Jacques Suffel. Édition originale : 1857. «Une fois, au milieu du jour, en pleine campagne, au moment où le soleil dardait le plus fort contre les vieilles…
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(…) nous parlerons aussi, bien en détail, en la ruinant par les raisonnements et par les faits, de cette censure dramatique qui est le seul obstacle à la liberté du théâtre, maintenant qu’il n’y en a plus dans le public. Nous essaierons, à nos risques et périls et par dévouement aux choses de l’art, de caractériser les mille abus de cette petite inquisition de l’esprit, qui a, comme l’autre saint office, ses juges secrets, ses bourreaux masqués, ses tortures, ses mutilations, et sa peine de mort. Nous déchirerons, s’il se peut, ces langes de police dont il est honteux que le théâtre soit encore emmailloté au dix-neuvième siècle.
(…) we will also talk in great detail, and ruin it by way of reason and facts, of this literary censorship which is the only obstacle of Liberty in the theatre, given that there is none anymore among the public. We will attempt, at our own risk and peril and by our devotion to artistic matters, to characterize the thousands of abuses this little Inquisition of the Spirit, that has like the other holy office, its secret judges, its masked hangmen, its tortures, its mutilations, its executions and its death penalty. We will hurt as much as possible these policemen’s nappies that embarrassingly still constraint the theatre in the Nineteenth century.
Victor Hugo, Hernani preface
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basilepesso · 1 year
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Voici, comme dit dans le texte précédent, l’article de l’Agence Anadolu sur les dix pires séismes recensés. Je corrige l’erreur : pas Amérique du Nord mais Haïti donc entre USA et Amérique Latine. >>>>> "Les dix séismes les plus meurtriers de l'histoire ont tué plus de 2,5 millions de personnes dans le monde. Selon les données du centre américain de la recherche géologique, 9 de ces 10 tremblements de terre se sont produits en Asie, tandis que le dixième s’est produit en Amérique du Nord. La Chine est le premier pays du continent à avoir subi trois séismes meurtriers, causant environ 1,3 million de victimes. L'Iran a également été témoin de deux tremblements de terre dévastateurs au neuvième siècle après JC, tuant près de 350 000 personnes. On trouvera dans ce qui suit les détails des dix tremblements de terre les plus dévastateurs à travers l'histoire : 1. Le tremblement de terre de 1556 en Chine est le plus important en termes de pertes humaines dans l'histoire de Chine. Probablement de magnitude 8 sur l'échelle de Richter, il a fait plus de 830000 morts. Le séisme a également dévasté une zone de 840 kilomètres carrés dans le nord-ouest de la Chine, et près de 60% de sa population a été tuée selon les estimations." (...)
Article de l’Agence Anadolu (2 018) : “Les dix séismes les plus meurtriers de l’Histoire”
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helyiios · 2 years
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A chaque fois que je vois la façon dont tu dessines les grains de beauté bien en exergue là, ça me fait penser à ma cheffe et à ses chevilles et je freeze comme un vieil ordinateur
À TA CHEFFE ET À SES QUOI?😭😭ON EST AU DIX NEUVIÈME SIÈCLE OU QUOI😭😭
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aurevoirmonty · 2 months
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« Le ventre de Paris était tout près, le pouvoir gaulliste avait décidé en 1960 de transférer les Halles à La Villette et Rungis, mais le déménagement ne devait se faire qu’en 1969. On disait adieu au vieux Paris. Tout un peuple de vivandiers venus des banlieues et des provinces approvisionnait la capitale depuis le XIIe siècle dans un décor que le dix-neuvième avait rationalisé sans le changer en profondeur. Ce peuple qui avait fait naguère un triomphe à Poujade allait se trouver remplacé par un mélange de petits-bourgeois consuméristes le jour et de zonards la nuit. Les mots disent tout : un Forum remplacerait les Halles, des bobos multicolores à prétention intello en prendraient possession. »
Jean-Marie Le Pen
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