#dominique diron

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The "Decatur" and "Dominica" in moderate gale (port view) by Worden Wood (American, 1880–1943) (Yale Art Gallery)

Happy War of 1812 Wednesday to those who celebrate: here's a painting of a single ship action that is surprisingly overlooked in many accounts of the naval War of 1812, despite being an American victory. HMS Dominica was a small British schooner commanded by Lieutenant Barrett. In the summer of 1813, Dominica encountered the American privateer Decatur off Bermuda.

Rather than try to run, as most privateers would when chased by a Royal Navy vessel, Decatur's commander decided he would engage. He was Dominique Diron, an experienced French privateersman, as bold as he was cocky. The two engaged in a fierce, close-quarters action, and by the end 'not more than three men' in fighting shape were left on the British schooner. Her lieutenant was killed and the midshipman next in command, Nichols, was badly wounded. The losses on board were so horrific, and the command team so thoroughly destroyed, that the crew had not even managed to throw their secret signal code book overboard before capture. Charles Simpson, a British official who worked to secure parole for Nichols and the surviving crewmen, blamed Lieutenant Barrett's inexperience with schooners (coupled with Diron's long privateering experience) for the embarrassing defeat.

— Nicholas James Kaizer, Revenge in the Name of Honour: The Royal Navy’s Quest for Vengeance in the Single Ship Actions of the War of 1812

I have not been able to find much more information about Captain Diron, despite the wonderful description of him "as bold as he was cocky." The battle between Dominica and Decatur is also described in the 1907 book The Free Lances: Stories of the Sea Fighters of All Nations in Their Long Cruising and Desperate Battling for Honor and Treasure by Captain Jack Brand (Google Books), which confirms that Diron was basically a Freelance Professional British-Hater:

A French-American privateer captain was the hero of another fight which was one of the most ferocious actions on the high seas, the loss in killed and wounded being greater than in eight of the famous sloop-of-war duels in which the American navy was so successful in this war. [...] Captain Diron himself was a noted privateer who had enjoyed a brilliant and successful career as a French privateer during the long wars with England, and who found the American service extremely congenial.

Victory at Bermuda, the Capture of HMS Dominica by American Privateer Decatur, by Maarten Platje, 2018.

[yes-bernie-stuff]

Tous

Tous

octobre 23, 2022

Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ; et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ. Romains 3.23-24

Si l’humanité n’avait pas de problème, le discours de la Bible serait faux et le sacrifice de Jésus n’aurait aucun sens. Or l’humanité a de grands problèmes… Et nous aussi ! La Bible nomme ce problème « péché » ; ses conséquences habitent en nous et autour de nous. Quel que soit son nom d’ailleurs, notre conscience sait bien de quoi il s’agit… Notre premier réflexe serait de l’appréhender en terme d’éducation et de penser que les classes dites supérieures sont moralement meilleures que les autres. Faux, l’expérience confirme le verdict de Dieu : Tous ont péché… Le sacrifice de Jésus, moyen de la rédemption (rachat), est essentiel à tous. Son message, qu’on appelle « Évangile », n’est pas destiné à être seulement compris intellectuellement, il doit être reçu dans une conviction profonde du cœur. Il propose à celui qui prend humblement conscience de sa culpabilité, de se tourner vers Christ pour recevoir le pardon et le rétablissement de sa dignité. Ce qui nous sépare de Dieu, l’Évangile le dessine, le cerne, le vise et l’anéantit. Nous en recevons les effets dès lors que nous exprimons à Christ notre repentir. Dans l’Évangile, Dieu nous tend sa main secourable : saisissez-la pour qu’il vous reçoive dans ses bras !

Dominique Moreau

_________________ Lecture proposée : Lettre aux Romains 3

1Quel est donc l'avantage des Juifs, ou quelle est l'utilité de la circoncision?

2 Il est grand de toute manière, et tout d'abord en ce que les oracles de Dieu leur ont été confiés.

3 Eh quoi! si quelques-uns n'ont pas cru, leur incrédulité anéantira-t-elle la fidélité de Dieu?

4 Loin de là! Que Dieu, au contraire, soit reconnu pour vrai, et tout homme pour menteur, selon qu'il est écrit: Afin que tu sois trouvé juste dans tes paroles, Et que tu triomphes lorsqu'on te juge.

5 Mais si notre injustice établit la justice de Dieu, que dirons-nous? Dieu est-il injuste quand il déchaîne sa colère? (Je parle à la manière des hommes.)

6 Loin de là! Autrement, comment Dieu jugerait-il le monde?

7 Et si, par mon mensonge, la vérité de Dieu éclate davantage pour sa gloire, pourquoi suis-je moi-même encore jugé comme pécheur?

8 Et pourquoi ne ferions-nous pas le mal afin qu'il en arrive du bien, comme quelques-uns, qui nous calomnient, prétendent que nous le disons? La condamnation de ces gens est juste.

9 Quoi donc! sommes-nous plus excellents? Nullement. Car nous avons déjà prouvé que tous, Juifs et Grecs, sont sous l'empire du péché,

10 selon qu'il est écrit: Il n'y a point de juste, Pas même un seul;

11 Nul n'est intelligent, Nul ne cherche Dieu; Tous sont égarés, tous sont pervertis;

12 Il n'en est aucun qui fasse le bien, Pas même un seul;

13 Leur gosier est un sépulcre ouvert; Ils se servent de leurs langues pour tromper; Ils ont sous leurs lèvres un venin d'aspic;

14 Leur bouche est pleine de malédiction et d'amertume;

15 Ils ont les pieds légers pour répandre le sang;

16 La destruction et le malheur sont sur leur route;

17 Ils ne connaissent pas le chemin de la paix;

18 La crainte de Dieu n'est pas devant leurs yeux.

19 Or, nous savons que tout ce que dit la loi, elle le dit à ceux qui sont sous la loi, afin que toute bouche soit fermée, et que tout le monde soit reconnu coupable devant Dieu.

20 Car nul ne sera justifié devant lui par les oeuvres de la loi, puisque c'est par la loi que vient la connaissance du péché.

21 Mais maintenant, sans la loi est manifestée la justice de Dieu, à laquelle rendent témoignage la loi et les prophètes,

22 justice de Dieu par la foi en Jésus Christ pour tous ceux qui croient. Il n'y a point de distinction.

23 Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu;

24 et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus Christ.

25 C'est lui que Dieu a destiné, par son sang, à être, pour ceux qui croiraient victime propitiatoire, afin de montrer sa justice, parce qu'il avait laissé impunis les péchés commis auparavant, au temps de sa patience, afin, dis-je,

26 de montrer sa justice dans le temps présent, de manière à être juste tout en justifiant celui qui a la foi en Jésus.

27 Où donc est le sujet de se glorifier? Il est exclu. Par quelle loi? Par la loi des oeuvres? Non, mais par la loi de la foi.

28 Car nous pensons que l'homme est justifié par la foi, sans les oeuvres de la loi.

29 Ou bien Dieu est-il seulement le Dieu des Juifs? Ne l'est-il pas aussi des païens? Oui, il l'est aussi des païens,

30 puisqu'il y a un seul Dieu, qui justifiera par la foi les circoncis, et par la foi les incirconcis.

31 Anéantissons-nous donc la loi par la foi? Loin de là! Au contraire, nous confirmons la loi.

[leblogdemarinaetjeanmarie]

SAMEDI 24 SEPTEMBRE 2022 (Billet 2 / 4)

Un certain nombre de lecteurs/abonnés, bien que nous en ayons donné la raison, nous ont reproché de n’avoir montré du mariage de notre nièce qu’une voiture de sport vintage et Marina.

Du coup, nous dédions les 3 derniers Billets à ce mariage, dans la campagne landaise (« le bonheur est dans le pré… »), qui nous a beaucoup plu et tout autant émus.

Mais tout de suite précisons une chose : JM n’a pas du tout le talent des 2 photographes (Dominique et Maria Cabrelli) qui ont été choisis pour « immortaliser » ce samedi 17 septembre 2022. Il n’a pas le même matériel non plus, quoique, au final, ce qui compte le plus dans une photo, ce n’est pas le nombre de pixels qu’elle contient mais ce qui s’en dégage… ce que JM appelait lorsqu’il travaillait avec les Cabrelli (du temps de J2M Vidéo) : « le supplément d’âme ». Nous avons filmé 10 ans des mariages et rencontré de fait de très nombreux photographes, Dominique et Maria que nous avions recommandés à Maïlys et Jérôme, sont de très, très loin les plus talentueux que nous ayons croisés.

Lorsque les mariés recevront leurs photos, nous vous dirons ce qu’ils en ont pensé, nous vous montrerons avec leur accord quelques-uns de leurs clichés et vous comprendrez alors ce que veut dire « un supplément d’âme ». De vrais artistes en tout cas !

Dans ce premier Billet, la mariée se fait maquiller puis revêt sa première robe (il y en aura une autre pour le cocktail et la soirée…). En dehors de la coiffeuse, de la maquilleuse, du vidéaste (qui est nous a-t-on dit, lui aussi, un véritable artiste dans son domaine), de Maria la photographe (Dominique, lui, était auprès de Jérôme), il n’y avait autour d’elle que sa meilleure amie et quelques proches, dont nous. Flattés nous étions… et tout pleins d’admiration lorsque nous l’avons découverte, rayonnante, dans sa belle robe de mariée.

[lupitovi]

Nous affirmons avec Cedric Herrou que "c'est le rôle d'un citoyen, en démocratie, d'agir lorsqu'il y a défaillance de l’État". Nous réaffirmons la primauté absolue de la conscience morale sur l'ordre politique. Nous dirons et redirons, quoi qu'il en coûte, que le devoir de solidarité est sans compromis et au-dessus des lois. Face à un jugement dont l'esprit et la teneur sont une sinistre première fois en France sous la République, jugement dont nulle argutie ne saurait masquer la visée répressive et dissuasive, nous déclarons notre soutien sans réserve à la démarche de Cedric Herrou et nous déclarons prêts le cas échéant à agir comme lui, malgré la loi, contre l'injuste.

Jean-Pierre Siméon et Dominique Lurcel - Non au délit de solidarité. Oui aux passeurs d'humanité !

Cet appel est ouvert à signatures sur Change.org ici.

[lettersofmarquequotes]

George Coggeshall, History of the American Privateers and Letters of Marque, 1856

Page vi: It has been the object of the author to vindicate their characters, as well as to record their triumphs. If he fails to prove that their purposes were elevated and patriotic, and that they were most efficient in weakening the arm of our powerful and inveterate adversary, he has failed to do justice to his theme, and to the truth of history. He could have wished that the subject had fallen into abler hands; but he can, at least, bring to it fidelity of statement, and knowledge drive from his personal intimacy and frequent communication, but at home and abroad, with many of the commanders of Privateers and Letters-of-Marque during the war, and since.

He has been aided much in his collection of facts by information received from the Captains and Officers of the United States Navy, especially from Commodores Hull and Stewart, as well as from other intelligent gentlemen who bore an active part in the great conflict between the two nations. He has also found in many of the newspapers and other periodicals of 1812, 1813, and 1814, valuable official and statistical documents, especially in the excellent and accurate Register of Mr. Niles, published at Baltimore. Many of the facts recorded in these pages will also be found verified by Cooper’s History of the United States Navy.

The author, himself, commanded, during the war, two Letters-of-Marque, the Schooners “David Porter” and “Leo,” and at this late day, recollects almost all the important incidents of the war as distinctly as though they had occurred within the last two years.

Page xxxviii: Be it enacted by the Senate and House of Representatives of the United States of America, in Congress assembled, That WAR be, and the same is hereby declared to exist between the United Kingdom of Great Britain and Ireland, and the dependencies thereof, and the United States of America and their territories; and that the President of the United States be, and he is hereby authorized to use the whole land and naval force of the United States, to carry the same into effect, and to issue to private-armed vessels of the United States commissions, or letters-of-marque, and general reprisals, in such form as he shall think proper, and under the seal of the United States, against the vessels, goods and effects of the government of the same United Kingdom of Great Britain and Ireland, and of the subjects thereof. JAMES MADISON. Approved, June 18th, 1812.

Page xlvi: In this age of traffic and moneymaking, when patriotism is measured by dollars and cents, remarks prejudicial to those who sailed in privateers and letters-of-marque are made by some, without much reflection or knowledge on the subject. Others assert that they were a mercenary set of desperadoes, only bent on enriching themselves with the spoils of their adversaries, possessing little honor, and less patriotism. Now if there be a single respectable individual possessed of this opinion, I shall be happy to disabuse his mind on the subject, for I can assure him, that there never was a viler slander imputed to such a noble class of men. I am happy to say I was personally acquainted with scores of the captains and officers, who sailed in privateers and letters-of-marque, during our war with England, and am confident, that a large proportion of those who commanded these vessels, as well as their officers and seamen, would favorably compare with the same class of military men in any army or navy in the world.

Page xlvii: The following captions of privateers and letters-of-marque I knew personally, both at home and abroad, and some of them I was proud to acknowledge as intimate friends: ….. I cannot at this moment, call to mind many other captains of privateers and letters-of-marque, who figured conspicuously in the trying conflict for the liberty of the seas.

Page xlviii: Contrast the relative inducements of the officers of the United States navy and of the captains of private-armed ships and vessels. The former are cherished and supported by the whole nation; have fame and honor netted out for every meritorious act. If wounded, they receive pensions, and are provided for in sickness and old age. Now look at the other side of the picture: What had the captains and offers of privateers and letters-of-marque to expect from their country? Nothing; and from the enemy, nothing but hard knocks, prison ships, and free lodgings in Dartmoor. Notwithstanding the disadvantages here enumerated, we have often seen them engaging the enemy’s ships-of-war, where they had nothing to hope for but revenge for past injuries, or for the honor of the flag under which they sailed, and their ardent attachment to their beloved country.

Page xlix: In many instances we have known their prospects of a cruise broken up and ruined because they would not fly from their haughty foe until they had infllcted a severe punishment on his boasted superiority. It is well known to those Americans who lived through the war of 1812, and to all the reading portion of our extensive country, that the privateers and letters-of-marque were the great thorn in the side of our inveterate enemy, that they harassed and annoyed their adversaries in every quarter of the globe, yes, and even at the entrance of their own ports, in old England itself.  

Page 2: The Merchants were, of course, anxious to get home their ships and vessels from every quarter of the globe before they should become a prey to the enemy. Very soon, a small dispatch pilot boat was sent out in haste to Gottenburg, with news o the war, and with directions to all our commercial marine in the harbors of Sweden, Denmark, Prussia, and Russia, to remain in port until the war should cease. This enterprise fortunately succeeded, so that the greatest part of our ships and vessels in the north of Europe were saved from capture. When the war was declared, we had but a few sharp, fast sailing clipper vessels suited for privateers and letters of marque. There were, however, a few in the most of our Atlantic ports, namely, at Boston, New York, Philadelphia, and Baltimore, and these were brigs and schooners which had been employed in a sort of forced running trade to France, and to the islands in the West indies: for even before the war, such vessels were preferred, on account of their speed, to avoid the British cruisers, for in numberless instances it happened, that when our merchant vessels had made a distant voyage, and were returning home with the fruits of their enterprising industry, they were often detained, and sometimes captured and sent into British ports for adjudication, and if permitted to escape condemnation, their voyages were broken up, and ruined by the exorbitant expenses in what were falsely called their courts of justice.

Page 5: I will now proceed to quote from a Baltimore paper of the same date, the number of privateers and letters of marque belonging to that place. The list is as follows :—

Page 6: Notwithstanding the numerous British ships of war on our coast and off the entrance of our harbors, a great portion of our merchant ships and vessels were fortunate enough to evade capture by the enemy, and get safe into port, where they were generally dismantled and laid up during the war. This circumstance enabled the commanders of privateers and letters-of-marque to obtain seamen to man them, and together with a sufficient number of landsmen for marines, they were soon ready for a cruise.

In addition to the privateers, there were at sea twenty-fivebfast sailing letter-of-marque schooners, carrying from six to ten guns, and from thirty to fifty men each, exclusive of officers. Besides what has been already enumerated, there were ten large schooners, on the pilot boat construction, three of which were from three hundred and thirty to three hundred and fifty tons burden. They were probably the largest vessels ever built of this description. Baltimore had sent to sea since the declaration of war forty-two armed vessels, carrying about three hundred and thirty guns, and from 2,800 to 3,000 men. It is worthy of remark that up to this date not one of our privateers had been captured, though frequently chased by British vessels of war. And here I would observe, that although Baltimore took the lead in fitting out privateers and letters of marque, and was more active and patriotic in annoying the enemy than most other cities in the United States, still I add with pleasure that the same spirit was evinced in most of our Atlantic ports, for even the small commercial cities furnished more or less of these enterprising, mischievous privateers. Witness the famous privateer Yankee and several others from Bristol, Rhode Island, and the notorious little schooner Saucy Jack from Charleston, S. C, beside the large and famous privateer schooner Decatur, Captain Dominique Diron of the same port; both of which vessels I shall take occasion to notice in their proper place.

Page 7: The reader will observe by these preliminary observations that a portion of the small privateers and letters-of-marque were sent to sea to cruise for British merchantmen a few weeks after the declaration of war, and that numerous larger ones were preparing to follow in the same pursuit.

They were all, of course, commissioned by the United States Government to take, burn, sink and destroy the enemy wherever he could be found, either on the high seas or in British ports.

Page 35: Sixty-five privateers and letters-of-marque at sea on the 16th of July, 1812 ….. When I commenced writing the history of the privateers and letters-of-marque, it was not my intention to enter deeply into the exploits and achievements of our gallant little navy, either on the board ocean or on our extensive lakes, but merely to intersperse my book with a few of the most brilliant combats between single ships. But, as I advance, I find the two subjects so intimately connected, that it is with great difficulty I am able to proceed without giving a sketch, or short outline of the war.

Page 76: Notwithstanding the reiterated proclamations by Admiral Warren (Commander-in-chief of his Majesty’s naval forces on the coast of North America), declaring the greatest part of our sea coast under a strict and rigid blockade; and though numerous line-of-battle ships and frigates were stationed at the entrance of our principal ports, striving to intercept and annihilate our trade and commerce; still, with all their force and vigilance, they could not prevent our privateers and letters-of-marque from entering and leaving our ports almost daily.

Page 91: By the 4th section of the act concerning letters-of-marque, prizes, and prize-goods, it is provided “That all captures and prizes of vessels and property shall be forfeited, and shall accrue to the owners, officers and crews of the vessels by whom such captures and prizes shall be made, and on due condemnation had, shall be distributed according to any agreement which shall be written between them, and if there be no such agreement, then one moiety to the owners, the other to the officer and crew, as nearly as may be, according to the rules prescribed for the distribution of prize money, by the act entitled ‘An act for the better government of the Navy of the United States.’ To this section no other construction can, in the opinion of your memorialists, reasonably be given, than that the capture, when ascertained to be a lawful prize, is to be at the disposal of the captors, to be by them distributed according to the provisions of the law.

Page 130: During the whole struggle against an inveterate foe, they did all they could to aid and strengthen the hands of the general government, and generally took the lead in fitting out efficient privateers and letters-of-marque to annoy and distress the enemy, and even to “beard the old lion in his den,” for it is well known that their privateers captured many English vessels at the very mouths of their own ports in the British channel.

Page 164: Prizes Captured by Privateers. Hermaphrodite brig Cossack, from Martinique for Bermuda, laden with 133 hhds., 2 tierces, and 68 barrels of sugar, sent into Georgetown, S.C., by the letter-of-marque schooner General Stark, of 2 guns and 12 men, on her passage to St. Domingo. The General Stark had previously recaptured an American vessel, and ordered her into port, and at the time of capturing the Cossack, had only eight men on board, three of whom ,with a boy, brought in the prize and her crew (12 in number), all safe. This is truly “Yankee enterprise.” The Gen. Stark belongs to Salem. The bounty allowed to our letters-of-marque and privateers, (on the reduction of duties,) on the cargo of this vessel, is equal to nearly $4,000.

Page 178: The merchantmen and letters-of-marque, at this period, when ready for sea, were generally obliged to wait for bad weather or dark nights to leave port. This was my case. After lying a few days at Newport, I sailed towards evening, on the 14th of November, in a thick NE snowstorm, and passed through the British fleet in darkness and obscurity, and fortunately, without molestation. I made the best of my way towards Charleston. During the passage I was chased several times by British ships of war, for our cost at that time was line with these unwelcome visitors. I however was fortunate enough to escape therm all.

Page 394: Concluding remarks on the history of the American privateers and letters-of-marque; also on the late war and its consequences.

Page 395: To this number may be added two hundred more, which were either destroyed or considered too insignificant to be reported; making an aggregate of two thousand sail of British shipping captured by our little navy, with the aid of privateers and letters-of marque.

Page 396: I have recorded a long list of prizes made by our privateers and letters-of-marque, that were cruising in distant seas, and had not heard of the peace.

Page 415: An Alphabetical list of privateers and letters-of-marque, with the names of the captains, and where belonging, in the years 1812, ’13, and ’14.

[jc-martin]

[Paris 11ème arrondissement] Discours du Rassemblement pour Paris 11 - 16 Novembre 2017

Seul le prononcé fait foi.

Chers Amis,

  Je voudrais vous souhaiter la bienvenue dans cet espace pour la soirée de lancement de notre collectif, le rassemblement pour Paris 11. Je n’ai pas l’intention de faire de la politique politicienne ou de la politique partisane ce soir. Pour parler vrai, nous qui sommes dans cette pièce, nous sommes tous un groupe de citoyens qui s’intéressent à leur arrondissement. Nous avons nos idées, nos sensibilités, mais nous restons avant tout des citoyens du 11ème. Et je ne sais pas vous, mais personnellement je ne suis pas satisfait par mon arrondissement. Je trouve le 11ème extrêmement sale, pas toujours sûr, et surtout très mal géré. Résultat, notre arrondissement périclite alors qu’il pourrait être tellement mieux.

  Doit-on pour autant se résigner ? Doit-on se dire que d’autre devront toujours décider à notre place ? Je ne suis pas spécialement partisan de l’attentisme, je préfère prendre les choses en main plutôt que de laisser à d’autres le soin d’agir à ma place. C’est l’approche que je vous propose : prenons la destinée de notre arrondissement en main. Voilà pourquoi j’ai fondé le Rassemblement pour Paris 11 avec Manuel, Aurore, Dominique, Oriane, Antoine et Aude. Nous voulons rompre avec les vieilles recettes qui se sont avérées perdantes à chaque fois et faire le pari du renversement des codes et de la nouveauté. C’est cette idée qui a d’ailleurs guidé le choix du lieu ans lequel nous nous réunissons ce soir. Nous nous réunissons toujours dans des cafés, et il est vrai que c’est pratique, et moins cher ! Pas cette fois. Nous avons sélectionné un espace nouveau, moderne, créé à l’initiative de trois jeunes entrepreneurs du coin. C’est cette idée d’innovation qui a guidé notre volonté. Au sein du rassemblement, nous voulons réunir toutes celles et tous ceux qui veulent apporter leur pierre au sein d’un travail qui soit collaboratif. Nous voulons offrir à chacun de ceux qui le souhaiteraient l’opportunité de contribuer au rassemblement et surtout de s’y épanouir : certains préfèreront la réflexion, d’autre la diffusion, quelques un des deux… Le travail ne manque pas, et il y aura une place pour chacun en fonction de ce qu’il veut et peut faire, sur un pied d’égalité. Il n’est pas question de faire de différence entre nous. Quelle que soit notre sensibilité, que nous soyons résident ou commerçant ou étudiant etc, seuls comptent l’engagement et le travail.

Notre 11ème a besoin d’un nouvel élan, c’est certain. Mais quel futur exactement voulons-nous pour notre arrondissement ? Notre arrondissement mérite une vision d’avenir, qui sache faire preuve d’audace. C’est ce nouveau chapitre de l’histoire du 11ème que je souhaite nous voir écrire ensemble. Avec ambition, mais avec rigueur et pragmatisme, il s’agit ni plus ni moins de construire un programme structuré et argumenté pour notre cher 11ème qui réponde véritablement aux problèmes qui se posent à nous. Pour cela, nous avons catégorisé les thématiques selon plusieurs axes, et cela définira notre méthodologie :

Les relations institutionnelles : pour tout ce qui concerne les liens avec les partis politiques et administrations, piloté par Aurore Mouysset.

Le cadre de vie : pour tout ce qui touche à l’espace public, la propreté, le vert, le partage des espaces et les transports. Il y aurait beaucoup à dire et à faire sur ces sujets.

La sécurité et tranquillité publique : même si cette compétence relève plus de la préfecture de police, un arrondissement peut agir sur ces sujets et contribuer à ramener la quiétude dans les rues. La réflexion sur ces sujets sera pilotée par Dominique Ozenne.

Le logement et l’urbanisme : Paris a besoin de plus de logements que ne peut en contenir son espace, il faut donc trouver de nouvelles pistes d’actions en termes de construction, de logement social ou de logement à la carte, par exemple.

La jeunesse : Notre arrondissement est un arrondissement qui compte beaucoup de jeunes. Comment pouvons-nous agir concrètement en faveur d’une jeunesse que l’on veut citoyenne ?

Le développement économique : il n’y a pas que l’Etat ou la Région qui peuvent agir sur ces sujets. Notre arrondissement doit aussi promouvoir un développement économique, touristique ou axé sur l’innovation. Nous avons un tissu de petites entreprises ou d’artisans qu’il nous faut aider. La réflexion sera pilotée par Antoine Isambert.

L’enfance et les affaires scolaires : Nous touchons là à un point important de la vie familiale. Entre les places en crèche qui manquent, les fermetures de classes ou le mauvais état de certaines écoles, notre arrondissement doit ouvrir de nouvelles portes. La réflexion sera pilotée par Aude Guinard.

Les affaires sociales : La politique sociale municipale est désastreuse. Il y a quasiment chaque rue du 11ème des sujets de solidarité et d’intégration. Nous avons besoin de nouveaux schémas pragmatiques et efficaces pour faire reculer durablement la misère. De même, notre arrondissement n’est pas du tout à la hauteur en ce qui concerne le handicap et l’accessibilité, ou la dépendance. Il est inconcevable, mais pourtant réel, de voir les défauts d’accessibilité de la voie public par exemple. Il y aura, là aussi, beaucoup de travail à abattre.

L’animation locale : Dans le 11ème, et plus généralement à Paris, c’est un échec. Les conseils de quartiers sont moribonds, la vie associative est parasitée par les copinages et les jeux d’intérêts, le lien intergénérationnel ne se fait pas. Comment pouvons-nous rendre notre arrondissement dynamique, autour d’associations porteuses de véritables projets, de conseils de quartiers productifs et efficaces, et impliquer à la fois les jeunes et les moins jeunes ? Cette réflexion sera pilotée par Oriane Renouard.

La culture et le sport : Je trouve le 11ème très en retard sur le sujet culturel. Je ne comprends pas que personne n’ait pu développer une offre culturelle municipale ouverte au plus grand nombre. C’est pourtant la culture qui cimente la France et qui lutte contre la sclérose intellectuelle. Sur le plan sportif, si nous luttons aussi contre la disparition programmée du stade de Ménilmontant, comment pouvons-nous rendre beaucoup plus largement la culture du sport accessible aux habitants du coin, dans de bonnes conditions, alors que nous n’avons que peu d’équipements ?

  Chers amis, tout cela est bien joli, mais j’ai besoin de vous, le Rassemblement a besoin de vous. Comment me direz-vous ? Je vois beaucoup de manières de répondre à cette question.

Tout d’abord soyez des relais. Notre mouvement est tout jeune et a besoin de grandir. Vous avez tous des voisins, des amis, un boucher, un boulanger etc. Si vous sentez chez eux une envie de faire bouger les lignes, parlez-leur de nous, invitez les à visiter notre site internet, à s’inscrire sur notre newsletter, à nous contacter. De la même manière, faites nous remonter les sujets pour lesquels une action, immédiate ou plus lointaine, est nécessaire.

Ensuite, Impliquez-vous au sein des groupes de réflexion. Vous avez tous un cerveau, et des sujets qui vous intéressent. N’hésitez pas à nous envoyer un mail (pour des questions de suivi, les mails sont plus faciles à gérer) nous indiquant les sujets qui vous intéressent et nous ferons vivre ces groupes avec vous. Vous avez d’ailleurs du remarquer que je n’ai cité personne pour piloter certains des groupes thématiques. Donc si le sujet vous intéresse et que vous vous sentez les épaules d’un leader, n’hésitez pas à le rajouter dans le mail.

Enfin il y a la communication. Il y a bien sur les moyens classiques dirons-nous : visitez notre site internet, notre twitter, notre Facebook, notre Instagram, et si vous y voyez des choses qui vous parlent, n’hésitez pas à partager. Mais nous devons voir plus loin et inventer de nouvelles façons de communiquer de façon percutante avec les habitants de l’arrondissement. J’ai demandé à Oriane de réfléchir à ce sujet, mais chacune de vos idées sera, bien évidemment, la bienvenue.

  Cher amis, pour conclure, disons-nous les choses. L’aventure dans laquelle nous nous embarquons ce soir dans une aventure qui sera longue, riche, mais je pense passionnante. Nous nous embarquons dans un travail sérieux qui aboutira à la création d’un projet municipal pour le 11ème de 2020, ou 2021 il y a débat. Car ce n’est rien de moins que cela l’objectif : proposer lors des prochaines élections municipales un programme abouti, sérieux, pertinent et pragmatique, par le 11ème pour le 11ème, et qui soit porté par une équipe soudée que nous serons – je n’en doute pas – et représentative de ce qui fait la richesse de notre arrondissement.

  Je vous remercie.