Tumgik
#dunoyerdesegonzac
Charles Dufresne (1876-1939)
" At the beginning of 1925, Dr. Tzanck decided to decongest his strong collection of a thousand works. The sale determines the rating of contemporary artists: FF5,000 for Derain and Dufresne, a little less for Dufy and Marquet, FF1,500 for Modigliani and Van Dongen" (Michel Charzat, La Jeune Peinture Française)
Tumblr media
Biography Charles Dufresne is one of the major painters of the early 20th century in France. Born November 23, 1876 in a family of sailors and fishermen from Granville and Chausey Islands, he leaves school in 1887 and doesnot an apprenticeship with an engraver. He receives an academic training at the Ecole des Beaux-Arts in Paris in the engraving medal class of Hubert Ponscarme, then becomes the assistant of the medalist and sculptor Alexandre Charpentier. More attracted by painting, he begins to paint in Paris pastel scenes of café-concert, circus and guinguette a little in the spirit of Toulouse-Lautrec. Some of these works are kept in Paris at the Carnavalet museum. He exhibits at the Salon of the National Society of Fine Arts of which he becomes a member in 1903, and then befriended André Dunoyer de Segonzac, Jean Frelaut and Charles Despiau. Between 1900 and 1908, he becomes very close to a young American engraver Herbert Lespinasse, whom he accompanies to Italy on a long journey in 1903. During this stay, they spend a few days at the Villa Medici in Rome. During the summer of 1908, he will be invited by Jean Frélaut in Brittany and meets Henry de Waroquier.
You can read much more about Charles Dufrene (biography, newspaper articles, book excerpts, public sale results, etc) at http://montmartre-montparnasse.artdecoceramicglasslight.com/english-version-1/artists/dufresne-charles
1 note · View note
yourfredericstuff · 4 years
Photo
Tumblr media
Tu es en vrai ?
    “ – Madame Colette, mon amie vous a reconnue… Nous voyons que vous avez bonne mine, et nous en sommes très heureuses. Voudriez-vous signer pour nous sur ce carnet ? – Mais bien sûr, avec plaisir… Merci… C’est vous qui avez bonne mine, Mesdames ! Vous n’avez pas trop souffert de l’hiver ? 
    – Madame Colette, nous vous avons aperçue alors que vous regardiez la vitrine du nouveau couturier. Ma sœur s’est permis d’acheter ce foulard, parce que nous savons que vous craignez beaucoup le froid… – Mais c’est trop d’attention, jeune homme, et de dépense ! Veux-tu nouer le foulard autour de mon cou ? Comme tu as bien choisi, fillette ! Je ne le quitterai plus !
    Un chien, deux chiens… un chat, deux, trois, quatre chats… Eux-aussi sont neufs… Et les enfants… Je m’assieds pour les observer, mais ce sont eux qui viennent me voir…
    – Madame, Madame ! Madame la bisaïeule, trisaïeule, tri-arrière-grand-mère !
    – Voilà… Bonjour !
    – Tu es en vrai ? 
    – Tu as l’air d’être en papier…
    – En céramique !
    – En cuir !
    – Touche, pour voir.
    – Ta peau c’est comme du papier…
    – Doucement…
    – Tes habits, c’est en soie ? Tu as des gros doigts de pieds !
    – Tu es belle, petite.
    – Tu ne sens rien du tout… Reniflez les gars, elle ne sent vraiment rien ! 
    – Quels beaux yeux…
    – Tu es grosse, grosse… plus grosse que la tata à Fifi !
    – C’est gentil…
    Après cette adorable rencontre, je me suis mise à maigrir. Considérablement. Et à dormir aussi, comme une marmotte. Je l’interprète ainsi : les enfants ont tout pris. Donc : c’est parfait… ” 
Je t’aime, Colette © Frédéric Le Roux, 2020
eau-forte de Dunoyer de Segonzac
0 notes
benvolioworld · 4 years
Photo
Tumblr media Tumblr media
     “ Alors, chaque jour, chaque nuit, ils suivirent à peu près le même programme. Luc-Albert peint la maison à l’huile. André eut droit à ses heures de pose de la part de la propriétaire, qui cessait rarement de travailler si ce n’était pendant les heures de « vraies » vacances – les heures « Maurice ». Une des plus connues parmi les nombreuses eaux-fortes que Segonzac grava cette année-là représente Colette en train d’écrire. Ce n’était pas une pose. Elle écrivait vraiment, quasi immobile à une petite table, dans un coin du salon ; le travail du graveur en était facilité, et tout était naturel, authentique.
     Après l’écriture, Colette retournait à ses poivrons, à sa glycine dont elle déplaçait régulièrement le pied, afin qu’elle « prît », qu’elle trouvât sa veine… “
© Frédéric Le Roux, 2020
0 notes
smoreu · 8 years
Photo
Tumblr media
Caractère Noël était un ouvrage édité chaque année sous les auspices des syndicats patronaux de l'imprimerie française et des industries graphiques dans les années 50 - 60. Chaque page était produite par un membre de ce syndicat ... typographe, papetier, imprimeur, producteur d'encre, graphiste, éditeur, mais aussi des galeries et des institutions. Des artistes intervenaient pour leur permettre de faire la démonstration de leurs savoirs faire et de leurs innovations techniques. Ici dans l'exemplaire de 1960, une double page dépliante des imprimeries Berger-Levrault. Typons Bussiere-Nouel. Papier Velin blanc des papeteries de Lana, Lecole à Docelles. La reproduction d'une œuvre d'André Dunoyer de Segonzac, représentant sa terrasse tropézienne... on distingue Le Figaro parmi les journaux sous le chapeau de l'artiste. En hommage à l'exposition de l'artiste la même année à la galerie Charpentier. #dunoyerdesegonzac #figaro #caractèrenoel #printer #publisher #graphicdesign #50s #60s #sainttropez (à Rue Fabert)
0 notes
Photo
Tumblr media
FLORE ET POMONE
“ Tiède le fruit, froide l’eau dans le verre : ainsi l’eau et le. fruit semblent meilleurs. Que penser d’un fruit qui s’éloigne, comme se refroidit une planète, de la chaleur qui l’a formé ? Un abricot cueilli et mangé au soleil est sublime. ”
Colette
1 note · View note
yourfredericstuff · 4 years
Photo
Tumblr media
Paysage près de Saint-Tropez par André Dunoyer de Segonzac (1884-1974), aquarelliste et graveur d’exception français.
0 notes