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#ecole
lafemani · 2 months
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Workshop in the Ecole Boulle vocational school in Paris
French vintage postcard
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federer7 · 1 year
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L'école de filles (Girls' School), circa 1930
Photo: André Kertész
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lazycatie · 1 year
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s.e.s / ecole - january issue [2001]
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francoise-larouge · 8 months
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Quelques exemplaires de mon livre restent disponibles sur le site de l’éditeur.
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doolsandtoys · 4 months
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Tête pour école de coiffure.
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sergedehaes · 8 months
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Le jardin d'enfants N°15 de la ville de Bruxelle dans les Marolles.
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orphelinataveomonde · 5 months
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🥰𝙉𝙤𝙨 𝙑𝙞𝙛𝙨 𝙍𝙚𝙢𝙚𝙧𝙘𝙞𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩𝙨 À 𝙏𝙤𝙪𝙨 !✨🙏🏽✨📝Chers Papas, Mamans, Frères, Soeurs, Parrains, Marraines, Partenaires, Bienfaiteurs et Bienfaitrices!✨
Nous, tous les enfants d'Aveo Monde ainsi que nos frères et sœurs qui vivent à l'extérieur du centre, vous remercions du fond de nos cœurs pour votre profonde bonté et générosité à notre égard, car, grâce à vos dons, tous sans exception, avons pu obtenir des fournitures scolaires et bien débuter cette nouvelle rentrée académique 2023-2024. Ce premier trimestre se passe très bien et sans encombres pour chacun de nous. Nous avons été plus d'une centaine à recevoir ces presents et bénissons le nom du Seigneur. Une fois de plus, d'un commun accord, les cœurs joyeux , nous vous exprimons toute notre reconnaissance! Puisse Dieu vous bénir encore plus dans tous les domaines de votre vie, bien au-delà de toutes vos attentes.
Avec Amour & Reconnaissance❤️🙏🏼💕 🤍 ✨ Les Princes & Princesses🥰🥳🏫✨✨Orphelinat Aveo Monde🏫
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digi-dol · 1 year
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Question de la semaine !
Entre ta dernière année de primaire et celle de lycée, de laquelle gardes-tu les meilleurs souvenirs ?🌚
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Va falloir attendre pour avoir mon avis perso🥺
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ditesdonc · 7 months
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H.E.C.
Hautes Etudes Cozançardes
Texte écrit par Josiane GOUVERNAYRE
Notre institutrice était Mademoiselle Suzanne Perceval, arrivée à Cozance peut-être à la rentrée 1943. Elle habitait à l'étage avec sa maman et parfois son frère André. Elle bénéficiait d'un jardin avec sa cabane en guise de sanitaire. Entre les légumes on trouvait un griottier, des groseilliers, un cognassier. Parfois nous y faisions de menus travaux, désherbage cueillette et préparation des fruits pour confiture.
Mlle Perceval était très sévère, très exigeante, elle ne tolérait aucun écart en ce qui concernait la politesse, l'entraide, la solidarité, le respect des autres. La première leçon du lundi était la morale.
Je me souviens particulièrement d'une semonce que nous avions reçue pour avoir singé ces pauvres vieux qui traînaient de graves séquelles de leurs blessures de la Grande Guerre. Benoît qui marchait sur les talons, ses pieds gelés avaient été amputés ou le père Garde à la démarche saccadée et à l'élocution difficile car il avait été trépané...
Je me rappelle aussi avoir reçu une baffe bien appuyée car j'avais eu, paraît-il, un geste de mépris envers un camarade !
Mlle Perceval suivait le programme de l'éducation nationale auquel elle ajoutait quelques matières dont le solfège et l'algèbre, ce qui fut couronné d'échec. Elle dut déclarer forfait face à notre manque de motivation. Son but, disait-elle, était « de nous sortir la queue des vaches ».
Pendant la guerre il n'y avait ni gomme ni colle ni crayon de couleur. L'institutrice préparait l'encre en diluant de la poudre dans de l'eau chaude.
La maîtresse nous faisait faire des exercices d'évacuation au cas où. Un jour, je m'étais si bien cachée au fond d'un bosquet que l'on ne me retrouvait plus.
Un autre jour, à la sortie de l'école, dans un fossé près de la croix, nous avons trouvé une arme et son chargeur. Heureusement un grand, Marcel, s'est chargé de les rapporter à l'institutrice.
Nous allions tous à l'école à pied qu'il pleuve, qu'il neige ou qu'il vente. Malgré la période trouble que nous vivions, les parents ne nous accompagnaient pas. La maîtresse nous avait prévenus : « Si vous croisez des Allemands, inutile de m'en parler, ils feront partie du paysage tant qu'on ne les aura pas chassés. » Sous-entendu : «J'appréhende suffisamment lorsque je les aperçois dans les parages !» Et pour cause, elle et sa famille étaient très impliquées dans la Résistance. Alex, un juif, avait même trouvé refuge chez elle un certain temps. Ça, tout le hameau le savait mais personne n'en a jamais parlé.
Le long du mur de la route, dans le jardinet bordé de galets apportés par nos soins, poussaient lilas, rosier, spirée, pommiers du Japon. Nous en assurions l'entretien. C'est là que se dressait le mât qui aurait dû servir à hisser les couleurs pour le salut du matin, mais le drapeau tricolore dormait dans le placard car l'institutrice refusait de se plier aux ordres de Vichy.
En décembre 1943, dans l'après-midi, nous décorions une branche de sapin apportée par mon père : flocons de coton, étoiles en carton faites par nos soins, fils brillants de la tréfilerie et un petit agneau de plâtre trouvé chez nous. Pas de boules, pas de guirlandes. En raison du froid, la récréation a été supprimée, Renée et moi sortons pour soulager un besoin pressant. Soudain des ronflements nous glacent, des camions allemands s'arrêtent sur la place, une trentaine de « Boches » en descendent.
Nous courons prévenir la maîtresse. Craignant le pire, elle ordonne de fermer les volets, nous regroupe au centre de la classe et nous entonnons mon beau sapin. Plusieurs fois de suite nous chantons et rechantons jusqu'au départ des véhicules. Que voulaient-ils : simple détente, présence dissuasive ? En entendant des enfants interprétant un chant de chez eux, ont-ils oublié qu'ils étaient des soldats ? La maman de l'institutrice descend de son appartement, étreint sa fille, toutes deux éclatent en sanglots. Nous retournons à notre décoration sans un mot mais on a tout compris, respectant la consigne maintes fois répétée : même si on sait, on se tait ! J'avoue que maintenant, après tant d'années, les larmes emplissent mes yeux lorsque j'entends « Mon beau sapin ».
Pendant les hostilités des enfants de Lyon avaient été mis en sécurité dans leurs familles ou chez des amis et poursuivaient leur scolarité avec nous. Eugène, un grand, a appris très tardivement qu'il avait fait de la résistance sans le savoir. La maîtresse lui confiait des plis qu'il devait porter dans un endroit désert à un homme jeune qui repartait prestement sans un mot.
A la rentrée 1944, notre maîtresse, debout, les larmes aux yeux, nous a parlé de la libération de Bourgoin le 23 août et nous a appris la mort, près des silos, de son oncle Claude Rochas de Morestel et de Paul Lozitski (lieutenant François de Salagnon) combattants du secteur VII.
Après la guerre, Mlle Perceval s'est mariée avec M. Léon Bouvier, un ingénieur des mines qui nous rapportait de ses lointains déplacements des curiosités: minéraux, soufre du Vésuve, un scorpion séché... C'était quelqu'un de gentil et d'une grande érudition. En 1952, Mme Bouvier, à son grand regret, a dû quitter Cozance pour suivre son mari à St Beuil. Elle a enseigné ensuite à Arnouville-Les-Gonesses puis le couple s'est retiré dans le Loiret.
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lafemani · 2 months
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Workshop in the Ecole Boulle vocational school in Paris
French vintage postcard
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totalement70 · 8 months
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lazycatie · 1 year
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eugene / ecole magazine [2002]
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mabuh · 8 months
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Mikido ! 🌼
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