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#essai clinique
vapolitique · 7 months
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Une grande étude clinique suisse confirme l’efficacité du vapotage pour arrêter de fumer
Les résultats du plus grand essai clinique à ce jour montrent que le vapotage augmente par 1,77 fois les chances de réussir son arrêt tabagique. L’éditorial du New England Journal of Medicine, qui publie aujourd’hui l’étude, y voit un « tournant » pour la reconnaissance du moyen d’arrêter de fumer. Dans l’espoir d’arrêter de fumer, plus de 1200 personnes en Suisse se sont portées volontaires.…
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gulshanwhydonate · 4 months
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Qu’est-Ce Qu’un Essais Cliniques?
Les essais cliniques ou études cliniques sont des études conçues pour décider si une stratégie clinique, un médicament, un essai de traitement ou un outil est sûr et efficace pour l’homme. Il s’agit d’une partie essentielle de la popularité médicale et réglementaire des médicaments et des procédures chirurgicales.
Les médecins et les scientifiques mènent des essais cliniques pour déterminer si un traitement contre le cancer est efficace ou non, mais ils examinent également les effets secondaires et les différents risques sanitaires liés aux traitements. Généralement, un médicament ou une manière préparée pour les essais cliniques a déjà été examiné sur des cellules ou des animaux, avec des résultats prometteurs et peu d’effets secondaires, ce qui a causé un calvaire sur les humains.
Toutes les études cliniques ne sont pas des essais de médicaments. Beaucoup vérifient différents styles d’essais de traitement, ainsi que des thérapies expérimentales ou des techniques de radiation, en plus des médecines complémentaires et d’opportunité.
Besoin D’Argent Pour Des Essais Cliniques? Lancez Une Collecte De Fonds !
Vous découvrirez des essais cliniques rémunérés et non rémunérés. Les essais rémunérés couvrent le coût du traitement, y compris les frais de médicaments. Même avec des essais rémunérés, le patient supporte différents coûts, notamment le transport vers le centre clinique où se déroule l’essai, l’hébergement, la nourriture et les salaires perdus pour tous ceux qui accompagnent le patient.
De nombreux patients découvrent que leur famille et leurs amis sont ouverts à l’idée d’aider à couvrir ces coûts. Au lieu de demander individuellement aux gens, la collecte de fonds clinique offre aux patients un moyen efficace de solliciter de l’aide auprès d’un grand nombre de donateurs potentiels. Les pages de collecte de fonds pour le cancer constituent non seulement une source de soutien financier pour les patients, mais elles offrent également des mots d’amour et d’encouragement dans des moments difficiles.
Types D’Essais Cliniques Ou D’Études Cliniques
Jetons un coup d’œil aux différents types d’essais cliniques
Étude pilote et de faisabilité
Essais de prévention
Essais de traitement
Essais multi-bras multi-étapes (MAMS)
Étude observationnelle
Étude de cohorte
Étude de cas-contrôle
Étude transversale
WhyDonate Fundraising Stories
Aide Tom À Survivre À Ses Acouphènes
Tom, 34 ans, qui souffre d’acouphènes dus à l’exposition à des bruits forts et qui a finalement trouvé un traitement en Corée du Sud. Il a lancé une campagne de collecte de fonds pour les soins de santé sur WhyDonate pour la poursuite de son traitement et a réussi à récolter 42 212 €. Nous lui souhaitons une vie saine et heureuse !
WhyDonate Fundraising Stories
Fondation Sytske Pour Une Nouvelle Pompe À Insuline
La patiente diabétique Sytske Oosthoek est très préoccupée par son propre avenir et celui de dizaines d’autres malades. Sytske souffre de diabète de type 1 et dépend de la vie d’une pompe à insuline Medtronic, mais la société pharmaceutique américaine a arrêté la production. «Une situation très préoccupante», déclare Sytske. La Fondation Sytske a été créée pour récolter des fonds pour cette campagne de financement participatif des dépenses médicales.
4 543 donateurs ont collecté près de 200 000 € pour ces frais médicaux de Crowdfunding.
WhyDonate Fundraising Stories
Bébé Miguel Peut Revoir Après Un Traitement En Amérique
Un sourire de reconnaissance de bébé Miguel. Ses parents ont vu cela dans un hôpital américain. C’était le lendemain de l’opération de leur fils pour une maladie oculaire rare. « Quand les bandages sur son œil se sont détachés, il nous a souri. C’était tellement émouvant. » Un don important est venu du joueur de football professionnel Wesley Sneijder et de sa famille.
3 142 donateurs ont collecté plus de 110 000 € pour ces Crowdfunding Medical Care.
WhyDonate Fundraising Stories
Greffe De Cellules Souches Pour Kel
Pour moi, ma mission s’est terminée juste avant qu’elle n’ait été initialement prévue. Enfin, le diagnostic définitif de SEP a été posé. Dans les années qui ont suivi, j’ai eu plusieurs crises. La combinaison d’un travail à plein temps, devenir mère et tout le reste est devenue trop lourde. En suivant le traitement aHSCT, je peux être sûr de pouvoir vraiment garder mon emploi. En plus de gravir les « sommets du monde » avec ma famille, c’est aussi l’un de mes plus grands souhaits.
900 donateurs ont collecté plus de 65 000 € pour ces Crowdfunding Medical Care.
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Stichting Ushersyndroom
La Fondation du syndrome d’Usher est une organisation de et par des personnes atteintes du syndrome d’Usher, soutenues par leur famille, leurs amis et leurs partenaires. Ils ont réussi à collecter plus de 280000 € pour leur organisation grâce à WhyDonate.
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ONC201 Pour Aider Cheto
Cagnotte a lancé une cagnotte alors qu’il se battait contre une tumeur cérébrale très agressive. Il a récolté avec succès plus de 35 900 euros pour son traitement ONC201 grâce à WhyDonate.
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Soutiens Stichting STER (K) Et Aide Les Femmes Enceintes Atteintes D’un Cancer !
Lutter contre le cancer pendant la grossesse est le genre de combat que nous ne pouvons même pas comprendre. Stichting STER (k) a pour but d’être là pour les femmes qui ont reçu un diagnostic de cancer pendant leur grossesse ou au cours de la première année après leur naissance. Ils ont réussi à atteindre 100 % de leur objectif de cagnotte, et nous ne pouvions pas être plus heureux !
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Tom, 34 ans, qui souffre d’acouphènes dus à l’exposition à des bruits forts et qui a finalement trouvé un traitement en Corée du Sud. Il a lancé une campagne de collecte de fonds pour les soins de santé sur WhyDonate pour la poursuite de son traitement et a réussi à récolter 42 212 €. Nous lui souhaitons une vie saine et heureuse !
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Pour moi, ma mission s’est terminée juste avant qu’elle n’ait été initialement prévue. Enfin, le diagnostic définitif de SEP a été posé. Dans les années qui ont suivi, j’ai eu plusieurs crises. La combinaison d’un travail à plein temps, devenir mère et tout le reste est devenue trop lourde. En suivant le traitement aHSCT, je peux être sûr de pouvoir vraiment garder mon emploi. En plus de gravir les « sommets du monde » avec ma famille, c’est aussi l’un de mes plus grands souhaits.
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Keywords; Essais cliniques,Whydonate,médias sociaux, votre campagne,e-mail,Fundraising,Crowdfunding,Medical Care,financement participatif,collecte de fonds,frais de médicaments,traitement contre le cancer,récolter des fonds,coût d un essai clinique,test de médicaments rémunérés,types d essais cliniques
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fitnessmith · 1 year
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Alimentation et compléments alimentaires, peut-on se fier aux études scientifiques
NOUVEAU 👉 Alimentation et compléments alimentaires, peut-on se fier aux études scientifiques
Depuis quelques années, le domaine de l’alimentation et des compléments alimentaires connaît un boom sans précédent. Marché lucratif, il attire à la fois consommateurs en quête de bien-être et entreprises prêtes à investir dans la recherche. Mais à mesure que ce marché prospère, une question persiste : les études scientifiques sur lesquelles nous nous appuyons sont-elles vraiment fiables ?   Une…
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Alors que la fin des essais cliniques (cf. infra) vient de conclure à une efficacité NÉGATIVE (–30% au lieu des +95% promis) des "vaccins" Covid, que dire du pass nazitaire et autres joyeusetés infligés par le gouverne-ment sous la férule des cabinets de conseil américains? 🫶
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icariebzh · 7 months
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"../...Tu le sais je suis né d'un père et d'une mère humains. Mes soeurs, pas plus qu'eux, n'ont quatre pattes, une tête bête, ni des yeux rouges. Mes enfants non plus. De mon côté, j'ai aussi l'apparence d'un être humain, un peu sombre, peut-être. J'aime l'herbe, mais ne la broute pas, et j'habite un studio donnant sur les arbres à Montmartre, au pied du Sacré-Coeur. C'est là où je reprends conscience de ma vie. Il y a certainement eu en elle des choses qui m'ont totalement échappé...car je ne les cherchais pas.
Ces phrases que je transcris sont les premières d'un texte intitulé le mouton noir mélancolique. Près de deux cents pages rédigées à la main d'une écriture soignée, corrigées et annotées jusqu'à la fin. Sur la chemise bleue qui les renferme, mon père a écrit  "à romancer". Ce texte, il le destinait à d'autres. Ma soeur et moi pour commencer. Il a passé les derniers mois de sa vie à l'écrire, dans le petit appartement que nous lui avions aménagé: une pièce blanche et claire, au rez-de-chaussée d'un immeuble moderne précédée d'un couloir en coude , sur lequel ouvraient une cuisine, une salle de bain, une penderie, et dont la paroi du fond  était entièrement occupée par une baie vitrée qui donnait sur voie plantée d'arbres. Il y avait dans ce lieu comme dans certaines chambres d'hôtel, quelque chose d'impersonnel et de rassurant. Dès que nous l'avons vu nous avons su qu'il y serait bien, qu'il y échapperait à la peur. Nous y avons installé les meubles et les bibelots rescapés de la vente  à Drouot, une grande bibliothèque où tenaient ses livres de droit et les cartons remplis de ses cahiers, un divan et un bureau, des tapis usés, une console Empire, des tableaux de mon grand-père, une photographie en noir et blanc de la Malouinère de Saint-Méloir-des Ondes: les reliques d'une dynastie de notables qui recomposeraient autour de lui le décor d'une vie respectable, lente et feutrée. Les psychiatres l'ont autorisé à quitter la clinique où depuis un an il était enfermé. Il allait pouvoir recommencer à vivre. C'est dans cette chambre qu'il est mort, neuf mois après.Tout de suite, il s'est approprié cette nouvelle scène. Et durant ces neuf mois, le temps d'une gestation, il s'est inventé un nouveau rôle. Il avait été le Malade, il serait le Médecin; il avait été le Fou, il serait le Sage. Il s'est remis à lire; pas de romans mais des essais, saint Thomas et Hannah Arendt, Jung et Plotin ( ce sont les névrosés qui lisent des romans m'avait dit un psychiatre rencontré peu après sa mort, les psychotiques préfèrent la poésie et la philosophie, ils creusent plus loin dans le réel). Lui-même, dans sa chambre blanche, il se rêvait penseur, moine-savant. il était Abélard isolé et banni, ou l'un de ces mélancoliques de la Renaissance assis à son écritoire, entouré de livres, de globes, de vanités et de miroirs ternis. Ce texte qu'il écrivait, n'est pas l'histoire de sa vie mais celle de sa maladie. J'ignore qui est ce "Tu" auquel il s'adresse d'emblée, ce tu qui "sait"; un autre malade, compagnon d'armes, frère d'âme? Celui que la maladie avait, en lui, laissé invaincu, impassible? Ce "Procureur implacable" dont il dit que, sa vie entière, il l'a redouté et qu'il espérait fléchir enfin? Ou bien encore une femme, une compagne rêvée comme celle que s'inventent les enfants tristes et les adolescents solitaires, une Héloïse, dit-il: Que n'ai-je une Héloïse à qui écrire parfois dans ma solitude?" ../..." Citation et extrait de "Personne" un roman de Gwenaëlle Aubry-Editions Mercure de France-
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pierre-hector · 10 months
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Guide des 4000 médocs utiles, inutiles ou dangereux.
« Une nouvelle version [du] best-seller [de Philippe Even et Bernard Debré, Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux, éd. Le Cherche Midi] souligne qu'un tiers des médicaments proposés sont "inefficaces", un quart mal tolérés et 5 % potentiellement dangereux. [...] deuxième édition [...] [qui] inclut les 200 nouveaux médicaments apparus depuis 2012, date de la 1e édition de ce livre qui avait fait l'objet de polémiques. [...] selon les auteurs, 15 milliards de médicaments dépensés inutilement au détriment de "véritables priorités" : hôpitaux, infirmières, handicaps physiques et mentaux, vieillesse... [...] il y a "15.000 morts d'accidents thérapeutiques dus aux médicaments qui n'auraient pas dû avoir lieu". "C'est quand même cinq fois plus que les accidents de la route", dit [Philippe Even]
Le taux d'inefficacité noté dans l'ouvrage est très élevé pour l'ORL (78%) et en gastro-entérologie (62%) et reste loin d'être négligeable en pneumologie (59%, hors cancers et infections). Ainsi, 50 antitussifs sont "à retirer du marché" et "22 des 23" des mucolytiques aux noms imagés pour prétendument "fluidifier les sécrétions bronchiques" sont "inutiles". Même constat la "désensibilisation" allergique, qualifiée de "nulle". [...]
[Les auteurs] reviennent également sur les drames et controverses de ces dernières années (Mediator, Vioxx, Dépakine, la statine de Bayer, Diane 35, l'abus du recours aux pilules de 3e et 4e générations, essai clinique mortel à Rennes...). »
Dit autrement :
Médocs inefficaces : 1/3 Médocs mal tolérés : 1/4 Médocs potentiellement dangereux : 5 % Médocs dépensés inutilement : 15 milliards Accidents thérapeutiques ayant engendré la mort : 15.000, 5x plus que les accidents de la route.
taux d'inefficacité des médocs :
Médocs ORL : 78% Médocs gastro-entérologie : 62% Médocs pneumologie : 59% (hors cancers et infections)
Nombre de médocs à retirer du marché :
Antitussifs : 50 Mucolytiques : 22 inutiles / 23. Désensibilisation allergique : nulle.
‣ Le Progrès / Lifestyle (AFP), « Encore trop de médicaments inutiles en France, selon les professeurs Even et Debré », pub. 25 nov. 2016, http://www.leprogres.fr/lifestyle/2016/11/25/encore-trop-de-medicaments-inutiles-en-france-selon-les-professeurs-even-et-debre (cons. 28 nov. 2016).
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jloisse · 1 year
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"On se demande comment on pouvait dire, "tous vaccinés, tous protégés" sur la base d'un résultat d'un essai clinique qui n'a jamais étudié la transmission."
Chrisine Cotton, biostatisticienne📚 "Tous vaccinés, tous protégés ?"
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thebusylilbee · 2 years
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Arte me déçoit jamais, je viens d'apprendre grâce à une de leur chaîne youtube qu'il va y avoir des essais cliniques bientôt pour voir si les humains peuvent respirer par les fesses. fascinant.
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claudehenrion · 2 years
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L'interminable cauchemar du covid, hyper-scandale d'Etat (suite)
   On me dit que certains pourraient s'étonner de mon édito de pub' pour ''Les Apprentis sorciers'' signé par ma fille –qui caracole en tête du hit parade, devant Musso, Lévy, Zemmour, etc... (source : La FNAC, ''5 sur 5'', ce matin : le mieux noté et le plus vendu.). Désolé (pas vraiment!) pour les rétrogrades : une page se tourne, la leur. Vive la vérité... et la justice immanente. Cela dit, je ne trouve pas ''choquant'' qu'un père parle de sa fille... mais je vais me racheter tout de même : avez-vous lu ''Covid 19 – Ce que révèlent les chiffres officiels'', de  Pierre Chaillot ? Si ''non'', allez vite l'acheter : c’est le complément utile à ''Les Apprentis sorciers'' !
Cette complémentarité a une explication : Alexandra Henrion-Caude a consacré 25 années à étudier l'ARN-messager, et elle n'a écrit ce livre que pour expliquer à tous les faux gourous-de-plateau, urologues ou oto-rhinos sans patientèle (qui sont donc hyper-compétents en génétique !) les risques que courrait l'humanité si les choses tournaient dans un mauvais sens...  Pierre Chaillot est compétent dans un autre domaine : la statistique... et il a aussi été entraîné par l'obligation de rétablir des vérités déformées par des donneurs de leçons peu scrupuleux. L'une explique la teneur du mensonge et l'autre la manière de l'imposer. Ils ont en commun que le système n'a à leur opposer qu'insultes, ostracisme, boycott et exclusion....
Qui n'a pas vu, sur les chaînes du ''Sévice Public'', Michel Cymès et Laurent Alexandre le visage déformé par la haine, ne peut pas comprendre ! Comme Alain Fischer dans le Figaro, ou Rohart sur Télématin, ils hurlent ''je ne parle pas à des gens qui ne pensent pas comme moi''. L'autodafé n'est pas loin : déjà, ils en sont à ''il faut priver les déviants de parole !'', au nom de la Science et de la Démocratie. Faut-il qu'ils n'aient rien à dire pour n’être que véhéments, bêtes et méchants ! Ces gens-là sont une énigme : le temps qui passe et tout ce qu’on apprend est sans effet sur eux. En fait, le reproche de ''complotiste'' n'est qu'une autre forme du ''c'est çui qui l'dit... qui l'est''  des cours d'école maternelle. Comme Macron, ils sont sourds. Résultat : les français, surpris par cette violence injustifiée et ce déni du réel, les écoutent... et se précipitent pour acheter le livre... qui bat  ainsi tous les records du genre, grâce à eux. Merci, les nuls ! Continuez surtout : ça fait avancer la vérité ! Contre vous. Et c'est très bien comme ça !
Revenons à nos moutons : personne n'a oublié cette pub (stupide et sans doute coûteuse !) : ''On peut discuter de tout, sauf des chiffres'' –bobard XXL s'il en est : les chiffres ont peu d'autre utilité que d'être discutés, comparés, expliqués, interrogés... Par exemple, si Pierre Chaillot dénonce le récit officiel cataclysmique, c'est ''chiffres et graphiques à l'appui''. Et s'il écrit ''Mortalité, tests, vaccins, essais cliniques, saturation des hôpitaux... les autorités ont tout utilisé pour jouer sur nos peurs et nous soumettre à l'inacceptable'', nous découvrons, stupéfaits, que ''Sitôt la pandémie déclarée, le 20 février 2020, le gouvernement a appliqué le plan Orsan REB qui habilitait 38 hôpitaux (sur 1500) à recevoir des patients étiquetés ‘’Covid''. 
Nous avons donc été saoulés d'images d'hôpitaux noyés sous les cas de covid... pendant que l'activité des autres, jamais montrés aux JT, baissait --parfois de 50 %... ce qui explique (1)- pourquoi on continuait à supprimer des lits, ailleurs, (2)- pourquoi il fallait transférer les malades à l'autre bout du pays, à grands frais, alors qu'il y avait, à un ou deux jets de pierre, tous les équipements privés ou publics nécessaires et (3)- pourquoi il n’y avait que ...38 ''Experts-du-20-heures'' qui venaient pleurnicher sur nos écrans, en espérant un vaccin, leur seul espoir de mettre la tête hors de l'eau... Les médias ont été ridiculisés et nous, pris pour des pommes pendant 3 ans (à ce jour), à ceci près que eux n'ont toujours pas compris !
Autre monstruosité : ''Les consignes officielles étaient très claires : ''En cas de maladie avérée, prenez de la Doliprane et restez chez vous. Si votre état empire, appelez le 15''. On a interdit aux médecins de ville de soigner... et ''les malades arrivaient à l'hôpital dans un état lamentable... tandis que les patients victimes de crises cardiaques, terrorisés, restaient chez eux et y mouraient...''. Plus horrible encore : ''le 23 mars 2020 a été signé le criminel ''décret Rivotril'' qui intimait aux médecins l'ordre d'injecter ce produit à toute personne âgée qui présentait des difficultés respiratoires, ‘’sans même en prévenir les proches’’... alors que la notice du ''Vidal'' précise que ce produit ne doit jamais être prescrit en cas d'insuffisance respiratoire, le risque étant mortel''. (NB : qui a crié ‘’tout ça n’est pas vrai‘’ ?) 
Un seul et ultime argument reste disponible aux ''patho-vax'' : une ''protection des cas graves''. (NDLR – ''Patho-vax'' est un mot que j'ai inventé : pourquoi ne pas les qualifier de ce qu'ils sont, eux, alors qu'ils ont affublé d'un ''anti-vax'' mensonger des gens qui ne sont anti-rien ?). Mais ce ''les cas graves'' est faux, comme tout le reste : ''aucun des essais cliniques reportés par Pfizer et Moderna n'a porté sur la protection des ''formes graves'', et nous avons tous connu des tri- ou des quadri-vaccinés qui sont morts de covid grave. Mais les labos, eux, ''ne cherchaient qu'à protéger d'un test positif'' (sic !). Donc...''on testait très peu les vaccinés et beaucoup les non-vaccinés... ce qui a fabriqué la légende du ''il y a plus de morts chez les non-vaccinés'', les chiffres actuels  disant au contraire qu’il y aurait un peu plus de morts chez les vaccinés –chez Pfizer, en tout cas.
Leur absurde ''pass-sanitaire'', tellement infantilisant, humiliant, liberticide et inconstitutionnel (voir Fabius, habillé pour l'hiver, ci-après) a considérablement aggravé cette situation : ''les vaccinés n'avaient plus besoin de rien, mais les non-vaccinés avaient besoin d'un test pour boire un café, aller aux toilettes ou traverser la rue'', et il y avait donc, arithmétiquement, plus de positifs chez les non-vaccinés. Au seul souvenir de la psychose qui avait été inoculée de force à tous les braves gens et des tsunamis de contre-vérités déversés ''H 24'', on ne doit plus jamais croire un seul mot proféré par un seul de ces ''serial-menteurs'' devenus, par la loi des nombres, des assassins... Et Chaillot de conclure : ''la seule chose dont ce vaccin protège, c'est de faire un test''. Bravo, les mecs ! Ca, c’est du costaud !
Mais la terreur imposée et les menaces brandies étaient si violentes qu'il a fallu 2 ans pour qu'on ose commencer à dire ce qui était évident –car ceux qui ont ''ouvert leur gueule'' l'ont payé d'une ''mort sociale''... Pierre Chaillot confirme que le Conseil constitutionnel a validé la constitutionnalité de lois parfaitement liberticides (tout en rappelant que le job du fils de Fabius chez McKinsey ne serait pas étranger à cet autre scandale...)... ce qui fait aussitôt penser aux scandaleux ''feux verts'' du pseudo comité d'éthique (?), qui déclarait ''conforme'' tout ce qui venait d'en haut, fut-ce totalement amoral... et aussi au récent rachat de PornHub, le 1er site porno au monde, par le fonds d’investissement canadien Ethical Capital Partners, qui investit ‘’dans les secteurs exigeant des principes éthiques" (sic, dans ces 3 cas !).
La vérité, c'est qu'il n'y a pas eu de surmortalité et aucune des hécatombes annoncées en 2020, en 2021, si ce n'est, ''des hausses de mortalité suspectes, tombant pile au moment des campagnes de vaccination, dans tous les pays et pour toutes les tranches d'âge...'' ce qui est à l'exact opposé de tout le discours officiel des Philippulus qui prêchent l'apocalypse, aujourd'hui encore ! ''Le seul constat indiscutable, c'est que les courbes de mortalité et de vaccination se suivent''... dit Chaillot, ce qui est en faveur de l'abandon de toute vaccination. On n’en est pas là !
Mais ''il reste interdit de critiquer la vaccination : l’omertà est totale’’.. Dire une chose à contre-courant du discours officiel sur le covid vous étiquette ''complotiste'' et fait de vous un gibier pour l'engeance néfaste, inutile et mortifère des soi-disant ''fact-checkers''. (NB - ces gens-là sont des ignares absolus sur tout sujet, ce qui les autoriserait (?) à raconter n'importe quoi : leur méthode consiste à sélectionner un seul ''fait'' (un bruit de caniveau fera l'affaire, s'il va dans leur bon sens), à l'ériger en ''vérité incritiquable'', et à imposer cette vision réductrice, contre des gens qui ont passé toute leur vie à étudier les mille facettes, nuances et complexités de la chose en question. Mais comme ils ne sont pas complètement fous, il n'existe, dans leur univers pourri, ni droit de réponse, ni discussion, ni références. C'est la vengeance des nuls sur ''ceux qui savent vraiment''. Il y en a une, hier, qui expliquait doctement (?) que Sarkozy aurait menti devant le Sénat ! On en revient, toujours, à Michel Audiard : ''Les cons, ça ose tout... et c'est même à ça qu'on les reconnaît !''. 
Et ce n’est pas les lecteurs de l’Express qui vont ne pas reconnaître leur magazine dans cette jolie citation, cette semaine... encore que ses journalistes, totalement dépassés par ce qui se passe aux Etats-Unis, où la vérité éclate plus vite qu’en France (liberté oblige !) soient plutôt des adeptes du ‘’Quand on veut noyer son chien, on dit qu’il a la rage’’. Les chiens aboient, la caravane passe... Pauvres petits journaleux français qui n’ont pas vu que le confinement était terminé... Pour un Gérald Kierzec (Directeur médical de Doctissimo) combien de ces défenseurs d’époques révolues où la science se soumettait aux idioties du pouvoir politique ?
Résumé : aux Etats-Unis la vérité éclabousse peu à peu les mensonges et les peurs fabriquées de ces trois longues années, et on découvre... qu'il suffisait de ne rien faire de tout ce qui a été perpétré ! Il reste une question : a qui profitent ces crimes ? En France, on en est encore aux mensonges, aux interdits, et aux insultes  ! Une chose est certaine : ‘’c’est pas demain’’... que vont changer les discours et les pratiques... pour notre plus grand malheur ! Pauvre France !
H-Cl.
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dockcz · 2 years
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Chimiothérapie interstitielle 3
suite No 3: des essais concluants sur la souris. C'est efficace!!
Je reprends ici mes publications que personne ne lit sur la chimiothérapie sais-t-on jamais il suffirait d'un lecteur que çà intéresse et qui soit prêt à prendre le relais...
J'ai raconté précédemment comment m'est venue l'idée d'administrer la Chimio "localement", autour de la tumeur, en injectant le produit antimitotique dans les espaces intercellulaires dits espaces interstitiels afin d'avoir la concentration utile de produit actif autour des cellules ciblées, les cellules cancéreuses, et le moins possible de nocivité sur les autres cellules du corps, particulièrement celles qui font des divisions cellulaires pour produire les cellules du sang ou des parois digestives ou les cellules germinales chez l'homme. Chez l'homme, pas la femme! j'ai une anecdote à ce sujet que je raconterais plus tard.
Je parle de mon idée à un chirurgien de l'Institut Gustave-Roussy, L'IGR, le plus grand centre anti cancéreux d'Europe, paraît-il, et celui-ci me répond que çà a déjà été tenté et abandonné par ce que çà donne des nécroses. j'avais déjà cette notion et j'ai répliqué que c'est tout simplement parce que les dosages ont été trop élevés, on a tout simplement administré localement la dose entière donnée habituellement par voie générale. Voilà pourquoi il y a nécrose. En effet lorsque par accident une perfusion de chimiothérapie fuit autour du point d'entrée veineux, on a pu observer des nécroses. Ce n'est pas la dose totale administrée par voie générale qu'il faut utiliser localement, mais une dose calculée pour avoir localement la même concentration de molécules actives que lorsqu'elles atteignent leur cible par voie générale. Ce qui veut dire, chez un adulte de 70 Kg, pour 100 g de tissus que l'on voudrait inonder de chimiothérapie, une dose 700 fois moindre (70.000 g divisé par 100). Un peu incrédule, mon interlocuteur chirurgien de l'IGR, me dit qu'il va se documenter. A un rendez vous suivant, il convient que ce que je propose est logique, mais me dit qu'on ne peut en aucun cas en faire l'application clinique sans passer au préalable par un expérimentation animale. Je dis combien je suis surpris car il s'agit d'utiliser des médicament existants à des doses bien moins élevées que ce qui est fait quotidiennement à l'IGR, mais rien n'y fait. Bien, j'accepte, je veux bien, faisons!
Une réunion est organisée avec un têtu chenu chevronné chercheur du CNRS dont les laboratoires sont juxtaposés à l'IGR. Celui-ci accepte de faire des essais sur la souris. Je détaillerais plus tard comment il tenait têtu, mais très têtu, à y mêler ses propres recherches sur l'influence d'un courant électrique pour faciliter le passage des antimitotiques à travers la membrane cellulaire, ce qui aurait brouillé nos essais. Heureusement il accepte finalement un protocole qui compare, sur des souris toutes identiques, de vraies souris de laboratoire, des souris de la science, toutes avec les mêmes gênes, afin que les éléments de comparaison soient fiables, un lot de souris traitées par ma méthode à un lot traité conventionnellement.
Je me suis rendu à l'antenne du CNRS, régulièrement, suivre le travail délicat de mon collègue médecin chargé des manipulations. J'ai gardé les tableaux, les courbes, des photos, des vidéos en souvenir et preuves s'il le fallait!
Résultats inespérés!. Toutes les souris traitées par ma méthode sont guéries. Chez toutes les autres, la tumeur évolue et elles meurent.
Je suis sur un petit nuage. J'écris un mail très enthousiaste au chirurgien qui m'a permis de démontrer l'efficacité de ma méthode en me présentant à son collègue du CNRS. On peut passer à l'application chez l'homme!
Pas directement bien sûr! il faut faire des essais cliniques! Absurde! puisque je le répète les produits utilisés ne sont pas des molécules nouvelles et qu'on les utilise ici à des doses bien plus faibles.
Mais bon! va pour les essais cliniques! C'est un long protocole qu'il faut rédiger, très compliqué pour qui n'est pas habitué. Heureusement le chirurgien de l'IGR en a une grande habitude.
Ce protocole rédigé, il doit être soumis au "comité", sorte "d'organe des parties" pardon "organe du parti", qui se réunit à huis clos, en tous cas s'est réuni sans moi, sans me demander mon avis, et qui peut dire "oui" ou dire "non" et n'a aucune obligation de motiver sa décision. Et ce fut NON !!!
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duxvonzazer · 2 years
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Effets de la glucosamine chez les patients souffrant d’arthrose du genou: revue systématique et méta-analyse
Toru OgataYuki Rhumatologie clinique Septembre 2018, Volume 37, numéro 9 , pp 2479-2487
L'arthrose du genou est l'une des principales causes du déclin de la mobilité chez les personnes âgées. Les traitements non chirurgicaux, tels que l'administration de suppléments pour renforcer la matrice cartilagineuse articulaire, sont devenus populaires non seulement pour soulager la douleur, mais aussi pour préserver les articulations. La glucosamine a été utilisée dans de nombreux pays sur la base des preuves croissantes de son efficacité pour l'arthrose.
Bien qu'il existe de nombreuses études antérieures et revues systématiques, les résultats varient et des conclusions différentes ont été tirées. Nous avons cherché à passer en revue les essais contrôlés randomisés récents sur la glucosamine pour la gonarthrose afin de révéler les résultats les plus récents concernant ce supplément. Nous avons également effectué une méta-analyse de certains des résultats pour surmonter le biais non résolu dans chaque étude. Dix-huit articles écrits entre 2003 et 2016 ont été analysés. Bon nombre d'entre eux ont utilisé des scores de douleur à l'échelle de l'analogue visuel (EVA) et l'indice d'ostéoarthrite des universités de Western Ontario et de McMaster (WOMAC), qui ont été évalués dans notre méta-analyse. Nous avons trouvé un effet marginalement favorable de la glucosamine sur les scores de douleur VAS. L'effet sur la fonction du genou, tel que mesuré par le WOMAC, était faible et non significatif. Une échelle du genou nouvellement établie, la mesure de l'arthrose japonaise du genou (JKOM), est couramment utilisée au Japon. Bien que le nombre de sujets était petit, la méta-analyse de JKOM a indiqué que la glucosamine est supérieure à un placebo pour soulager les symptômes de gonarthrose. Compte tenu de ce qui précède, nous avons conclu que la glucosamine pouvait atténuer les douleurs arthrosiques du genou. D'autres études sont nécessaires pour évaluer l'effet de la glucosamine sur la fonction du genou et la préservation des articulations, ainsi que pour évaluer l'effet combiné avec d'autres composants.
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apothekedirekte · 2 days
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Profitez d'un soulagement avec Prégabaline 300 mg - Apotheke Direkte !
Embrassez le confort et la vitalité avec Prégabaline 300 mg, disponible chez Apotheke Direkte. La Prégabaline est réputée pour son efficacité dans la gestion des douleurs neuropathiques, de l'épilepsie et des troubles anxieux. Notre formulation de 300 mg garantit un dosage précis pour des résultats thérapeutiques optimaux. Que vous cherchiez un soulagement contre la douleur nerveuse, les crises ou l'anxiété, Prégabaline 300 mg offre une solution fiable soutenue par la recherche scientifique et les essais cliniques. Chez Apotheke Direkte, nous priorisons votre bien-être, offrant de la Prégabaline de qualité pharmaceutique pour soulager vos symptômes et améliorer votre qualité de vie. Faites confiance à notre engagement envers l'excellence et choisissez Prégabaline 300 mg pour un soulagement complet. Faites l'expérience de la différence avec Apotheke Direkte - votre source de confiance pour les produits pharmaceutiques haut de gamme.
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valentin10 · 9 days
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Les promesses de l’immunothérapie et des vaccins thérapeutiques pour vaincre le cancer - Charente Libre
Les meilleurs oncologues mondiaux rassemblés samedi à Barcelone. Pour un état des lieux des avancées sur le traitement des cancers. Plusieurs essais cliniques de vaccins, la plupart encore précoces, — À lire sur www.charentelibre.fr/sante/les-promesses-de-l-immunotherapie-et-des-vaccins-therapeutiques-pour-vaincre-certains-cancers-21396455.php
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huminno · 10 days
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Sclérose en plaques : la guérison grâce aux cellules souches ?
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En 2024, les premiers essais cliniques sur l'Homme donnent des résultats encourageants, ouvrant la voie à une nouvelle ère dans la prise en charge de cette maladie neurodégénérative. Lire l'article en intégralité: Pourquoi Docteur Read the full article
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Psychanalyse, enfance et sexualité …ou sexuation?
(Partie 1)
«Nous nous sommes détachés d’une origine qui ne nous lâche pas. Il faut rater, s’y remettre, et rater mieux.»
Samuel Beckett
1 - Comment aborder ce que depuis Freud on appelle — au risque des pires confusions et de leurs désastreuses conséquences — ladite "sexualité infantile"?
En faisant retour à Freud.
2 - Le lecteur attentif y découvrira que les traductions françaises (tout comme celle de la Standard Edition) sont laxistes, consternantes et même catastrophiques, ne faisant pas la différence entre les termes allemands Sexualtrieb – que Freud emploie pour désigner la pulsion sexuelle adulte (ou pulsion sexuelle devenue autonome)  – et Geschlechtstrieb, que Freud utilise dans ses propos sur la "sexualité infantile", ce dernier syntagme lui-même étant à manier avec précaution car dans tout l’enseignement freudien, il n’apparaît jamais comme signifiant directement "la sexualité des enfants" (ce qui laisserait croire que les enfants ont une sexualité effective, rapportable à celle des adultes), mais est toujours inclus dans une dimension à proprement parler psychique, répondant de l’ordre symbolique: théorie, rêve, rêverie, pensée, fantasme… comme par exemple dans les Trois essais sur la théorie sexuelle de 1905 (Drei Abhandlungen zur Sexualtheorie)... Car ce "sexuel" qui apparaît sous la plume de Freud ne vise pas tant "la sexualité" dans l’acception courante que lui donnent les adultes (à savoir la jouissance indépendamment de la procréation) mais est plutôt à entendre au sens de la sexuation (même étymologie que sectionner ou sécateur) c’est à dire la coupure qui logiquement débouche sur la question de l’origine, toujours au travail dans le psychisme des enfants, point d’origine du fantasme: «D’où est ce que je viens?», «Où étais-je avant d’être né?» « D’où viennent les enfants ? » (Woher die Kinder kommen ?)
3 - Les termes Sexualtrieb et Geschlechtstrieb sont donc restés indistinctement traduits par «pulsion sexuelle» (ou «sexual instinct» en anglais) jusqu’à la traduction des Œuvres complètes de Freud aux PUF, première édition à différencier les deux types de pulsion, mais où malheureusement Geschlechtstrieb est traduit par «pulsion sexuée», ce qui est encore une erreur, la pulsion dite Geschlechtstrieb n’étant ni sexuelle ni sexuée…
En effet le terme Geschlecht étant traduit par "genre" au sens de "l’espèce humaine" (qui n’a rien à voir avec l’usage anglo-saxon du mot "gender" qui désigne la façon dont seraient vécus "l’être homme" ou "l’être femme"), Geschlechtstrieb la "pulsion de genre" ou "pulsion identitaire" est à considérer comme visant l’image du corps humain unifié, antérieurement à la différence des sexes et à l’apparition des objets, renvoyant à la seule dimension du fantasme, et donc du sujet, réalisé seulement au plan symbolique, à savoir du langage (les "pensées" au sens freudien), tandis que "Sexualtrieb" désigne l’expérience sexuelle réelle…
4 - Traduire Geschlechtstrieb par «pulsion sexuelle» ou «pulsion sexuée», trahit donc une profonde méconnaissance de la lettre comme de l’esprit de Freud, en particulier la découverte freudienne que cette pulsion prend racine dans le psychisme enfantin qui n’est pas embarrassé de la division sexuelle, ni des objets, et encore moins de la sexualité adulte…
5 - Essayons dans un premier temps de nous rapprocher de la forme de la pensée de Freud, puis nous tenterons de retrouver la logique qui prévaut à l’apparition de cette Geschlechtstrieb…
La démarche de Freud n’est pas de l’ordre d’une spéculation abstraite, la psychanalyse est toujours et en premier lieu une praxis, une cure par la parole (une clinique du discours et un discours pourra-t-on en déduire de l’enseignement de Lacan) d’où peut être extraite, après-coup, une théorie…
Freud s’appuie toujours d’abord sur ce qu’il a pu et peut observer lui-même, ce qu’il en tire en termes conceptuels reste parcellaire, non-définitif, soumis à réexamen et réinterprétation constante dans une démarche d’expérimentation et de recherche logique permanentes, comme en témoigne sa lettre à Lou Andreas-Salomé: «L’élaboration systématique d’une matière m’est impossible, la nature fragmentaire de mes expériences et le caractère sporadique de mon inspiration ne le permettent pas. Mais si je vis encore dix ans, que durant cette période, je reste capable de travailler, ne meurs pas de faim, ne suis pas tué ni trop fortement étreint par la détresse des miens ou de ceux qui m’entourent – trop de conditions peut-être – je peux vous promettre d’y ajouter d’autres contributions. (Une des premières de ce genre sera contenue dans Au-delà du principe de plaisir sur lequel je m’attends de votre part à une appréciation synthético-critique).»
La précautions de Freud, son souci de précision lexicale placent délibérément son travail de recherche sous le signe du "symbolique", à savoir la dimension psychique à proprement parler, comme en témoigne son invention de la Geschlechtstrieb: approximativement traduite par "pulsion de genre".
6 - La "pulsion de genre" que je préfère traduire par "pulsion d’espèce" est en tant que telle a-sexuée, c’est à dire qu’à la différence de la pulsion sexuelle, elle ne se définit pas en rapport à des objets externes et donc déjà ex-(s)istants, elle va au contraire permettre de constituer des objets dans un souci d’adéquation imaginaire au sujet en cours de construction…
Nous voilà dès lors en mesure de lever une autre erreur de traduction et de lecture: on lit un peu partout que pour Freud l’enfant est un "pervers polymorphe", mais Freud constatant que chez l’enfant la pulsion (Geschlechtstrieb) antécède les objets, cela a pour conséquence que les modalités de sa jouissance n’étant pas fixées, l’enfant est dit «polymorphiquement pervers», à savoir pas encore déterminé par des choix d’objet, ce qui le situe à l’opposé du pervers tel qu’il apparaît dans le langage courant, notamment ce qui se couvre des noms de "sadisme", "masochisme", "fétichisme", "transvestisme", etc. qui définissent une palette d’attitudes et de comportements par rapport à un objet sexuel extérieur…
7 - Pour saisir quelque chose de la genèse de la (mal nommée et mal traduite) "sexualité infantile", à laquelle il serait nécessaire de substituer "pulsions corrélatives de la sexuation chez l’enfant" pour nommer mieux les choses, encore convient-il de revenir aux premières observations freudiennes selon lesquelles c’est à partir de l’expérience de la séparation du corps maternel que l’image du corps propre peut commencer à s’élaborer chez l’enfant, notamment au travers de ce que Freud appelle les "théories sexuelles infantiles" que l’enfant élucubre en secret pour arriver à penser la séparation (Scheidung) du corps maternel, et grâce auxquelles il fait l’expérience de son corps séparé comme unité signifiante…
8 - Il est ici nécessaire d’ouvrir une parenthèse pour rappeler que si la fin d’une analyse menée jusqu’à son terme logique amène le sujet à assumer la castration symbolique — à savoir que ce n’est pas seulement la castration qui est symbolique mais bien le symbolique qui est castration, l’Autre lui-même étant castré — cela suppose qu’il aura dû dépasser, selon les mots de Freud, «le refus de la position féminine (l’action qui constitue à adopter une attitude passive) pour les deux sexes» (que Lacan traduira par: "se faire la dupe du Discours Analytique"), compte tenu qu’au départ, la mère aura été considérée comme le premier objet libidinal des enfants des deux sexes, qui auront donc — qu’ils soient fille ou garçon! — commencé par occuper une position phallique-active vis à vis de leur mère, et que cela n’avait pour autant rien avoir avec la "sexualité" dans son acception courante puisqu’il ne s’agissait pas du tout d’une quête de jouissance indépendamment de la procréation, mais simplement la continuation des effets de la pulsation propre aux contractions maternelles qui ayant expulsé l’enfant hors d’elle, l’erre du mouvement lui-même aura porté l’enfant à retourner d’où il vient… Ne pouvant "rentrer" dans la mère d’où il est sorti, son recours est de la faire littéralement entrer en lui en tétant et en avalant son lait, par une de ces inversions logiques (transposition) qui caractérise, avec le déplacement et la condensation, le mouvement propre aux rapports substitutifs du fantasme (pensées) au réel (être)…
9 - Cette séparation progressive du corps originel, du corps de la mère [« l’enfant ne connaît qu’à partir de son propre corps » (der Knabe von eigenen Körper kennt), écrit Freud dans « Les théories sexuelles infantiles»] ne saurait être opérée sans une séparation des pensées. Un autre corps implique une autre pensée… et c’est là que l’enseignement lacanien, s’inscrivant dans le strict prolongement de la découverte freudienne, en dégage les perspectives induites et inédites: si la mère en tant que corps parlant incarne le premier Autre pour l’enfant (l’Autre avec un grand A en tant que lieu des signifiants), ce qui est corroboré par l’expérience, c’est que cela se sera passé dans un moment inaugural que nous pouvons considérer comme la véritable naissance du sujet, celui où l’enfant s’aperçoit que sa mère ne connaît pas ses pensées: en effet, jusqu’à ce moment là — les mots appartenant à l’Autre! — l’enfant ne pouvait pas dissocier ses pensées de celles de l’autre, et ne pouvait pas ne pas croire que l’Autre savait ce qu’il pensait, mais l’expérience lui ayant montré qu’elle ne sait pas (ce qu’il pense), il sait désormais qu’elle n’en sait rien! Les adultes ne savent pas! Et apparemment, ils ne savent pas qu’ils ne savent pas… (l’inconscient – das Unbewußte – restant toujours corrélé à un "ne-pas-savoir" qui le précède partout comme son ombre)
10 - Cette émergence du sujet, corrélative de l’élaboration de l’image du corps, passe donc par plusieurs étapes, l’enfant aura commencé par se sentir en osmose avec des bouts du corps maternel qui lui procurent apaisement et satisfaction après qu’un certain manque se sera fait sentir, avec la désagréable sensation d’avoir subi une perte initiale qui heureusement peut se trouver compensée par l’autre maternel secourable dont les soins viennent colmater son corps vécu comme incomplet, fragmenté, troué. Ainsi la première rencontre du plaisir chez le nourrisson apparaît-elle non pas sous la forme d’une recherche active de plaisir, mais bien plutôt sous la forme de l’expérience plaisante d’une cessation du déplaisir. Raison pour laquelle Freud l’évoque en terme de satisfaction (Befriedigung), et non pas de plaisir (Lust) ni de jouissance (Genuss)…
11 - Cette expérience vécue de satisfaction (satisfaire signifie étymologiquement: faire assez, indiquant une "juste mesure") du nourrisson passe par l’action maternante d’un apaisement psychique et physique des tensions internes.
À ce stade (et bien que le corps maternel, rappelons-le, soit originellement à considérer comme le premier objet libidinal pour le nourrisson) il ne saurait être question du fantasme d’un "objet sexuel" externe qui viendrait combler les sensations de vide éprouvées de son corps, c’est l’amour de la mère, ses paroles aimantes, le fait qu’elle le nourrisse avec attention, qu’elle prodigue des soins affectueux au corps du bébé vécu comme inachevé… que se calme l’excès de tensions traversant l’enfant, ses états d’hyperexcitation faisant écho à une séparation de corps assimilable à un déchirement, le soin maternel transforme ses trous en orifices, lui ménageant ainsi la possibilité d’apprendre à distinguer progressivement extérieur et intérieur. «Je suis né troué» note Henri Michaux dans un saisissant raccourci.
12 - Pour pousser un peu plus loin la précision, remarquons que Freud évoque cette «expérience vécue de satisfaction» mettant en scène l’action spécifique maternelle comme introduisant une modification dans le monde extérieur qui consiste en l’introduction de nourriture, produisant le double apaisement, physique et psychique, action qui sera une fois de plus trahie dans la transcription: Freud écrit d’abord Nahrungseinfuhr (introduction de nourriture), qui sera curieusement "corrigé" dans les deux éditions allemandes (Anf. et NB) par Nahrungzufuhr (apport de nourriture), terme plus courant qui passe sous silence la dimension de l’intrusion (du sein ou de la tétine) susceptible de provoquer chez le nourrisson une première différenciation entre son corps propre et les fragments du corps maternel qui jusqu’alors ne pouvait avoir lieu. Cette différenciation trouve sa correspondance dans l’écart entre son état corporel et son vécu psychique que sera venu corroborer l’écart progressivement instauré entre extérieur et intérieur…
13 - C’est ainsi que commence à se mettre en place pour le nourrisson le passage de la chair (der Körper) au corps animé (der Leib) et c’est aussi ici que die Lust (le plaisir) fait son apparition en tant que terme complexe puisqu’il désigne à la fois les excitations, sources de tension et l’apaisement de ces tensions dans l’expérience de la satisfaction.
Pour Freud, en effet, le plaisir du petit enfant ne fait pas d’emblée l’objet d’une recherche orientée vers l’extérieur, il arrive toujours d’abord comme cessation des tensions ayant provoqué le déplaisir, la satisfaction se manifestant de prime abord comme abolition du déplaisir.
14 - Il n’y a donc pas a priori dans la perspective freudienne de quête active du plaisir, et c’est seulement après avoir pu établir une première différence entre les bouts du corps maternel et les fragments du corps propre qu’entre en jeu la première possibilité du plaisir (Lust) à proprement parler, avec l’apaisement des tensions dans le fait de sucer, téter ou aspirer (saugen) que l’enfant peut désormais provoquer pour lui-même par l’action de suçoter (lutschen) son pouce ou un objet extérieur.
Il sera dès lors entré de plain-pied dans ce qui a été annoncé plus haut comme pulsion de genre (der Geschlechtstrieb) qu’il est encore tout à fait fautif de traduire par "pulsion sexuée" pour la bonne raison que que le genre que signifie Geschlecht n’est rien d’autre que le genre humain, l’espèce humaine en tant qu’elle est corrélée à l’image d’un corps humain unifié (Françoise Dolto parlera d’"image inconsciente du corps"), qui antécède la division sexuelle, non-encore intervenue à ce stade des possibilités de conceptions et représentations infantiles.
15 - La Geschlechtstrieb constitue donc une découverte décisive de Freud dans la saisie de la construction de l’enfant: « Aucun auteur à ma connaissance n’a clairement reconnu la régularité d’une pulsion de genre (der Geschlechtstrieb) durant l’enfance. […] Une fois adulte, nous ne savons rien de tout cela par nous-mêmes» remarque-t-il dans ses Trois essais sur la sexualité infantile.
Or cette "pulsion de genre" freudienne reste encore à ce jour non seulement négligée dans les traductions mais encore pratiquement jamais prise en compte par la littérature psychanalytique.
Or Freud insiste pour différencier la Geschlechtstrieb et la Sexualtrieb, la "pulsion de genre" lui apparaissant à proprement parler comme anobjectale, non marquée à priori par des objets extérieurs, comme c’est le cas dans la culture grecque antique où la pulsion antécède les objets et prévaut donc sur eux, à la différence de la pensée judéo-chrétienne pour qui l’objet extérieur est valorisé aux dépens de la pulsion en la surdéterminant au point de faire oublier que la pulsion tourne toujours autour d’un trou…
16 - Ouvrons ici une autre parenthèse: pour observer, à travers une illustration empruntée à Slavoj Zizek, combien l’apparition du boomerang peut illustrer le premier moment d'émergence de la subjectivité, son "invention" marquant la division élémentaire entre désir et pulsion. Le maniement particulier du boomerang, qui consiste à savoir rattraper l'arme lorsque j'ai raté la cible, annonce le temps de la culture, le passage "impossible" d’un instinct (animal) à la pulsion (mythique).
Le simple fait de lancer le boomerang met en scène la division entre le but et la cible; le vrai but n'est plus d'atteindre la cible mais de perpétuer le mouvement circulaire répétitif qui consiste à la manquer.
Voilà comment la pulsion, qui consiste à tourner sans fin autour d’un objet — ou de sa place vide – sans jamais l'atteindre, génère par ce mouvement même une jouissance dont il devient impossible de se défaire.
Le désir vise un objet impossible à atteindre (l'objet petit a de Lacan qui "n'existe pas" dans la réalité) et ne renonce jamais à réussir - ce qui fait que le désir est tragique ; tandis que la pulsion, qui trouve sa jouissance dans l'échec même à atteindre l'objet, ne renonce jamais à échouer, ce en quoi la pulsion ouvre à la dimension comique. La vie est donc, dans sa dimension la plus fondamentale, de l'ordre d'une expérience comique.
Ce comique qui s’articule au tragique tient à la substitution de la chose par le mot, ou du "monde extérieur" par la pensée, du réel en tant qu’inaccessible à l’imaginaire qui vient sur un mode compensatoire y simuler un accès, à l’image du nourrisson qui s’imagine en train de téter un sein absent et jouit du mouvement pulsatile de ses lèvres qu’il associe à un certain type de pensées…
17 - Ces pensées qui apparaissent comme compensatoires représentent pour l’enfant les premiers moments de la formation de son psychisme, où se conçoit l’image du corps en construction, un corps ressenti comme manquant, troué, incomplet, à réparer après la séparation du corps maternel, dans une élaboration fantasmatique à partir de la façon dont ce corps aura été affecté, apaisé, érotisé par les attentions maternantes (ses substituts dans le soin).
Dans ses Trois essais sur la théorie sexuelle (1905), et Les théories sexuelles infantiles (1908), Freud met en évidence que «L’enfant ne connaît qu’à partir de son propre corps » (der Knabe von eigenen Körper kennt), soulignant ainsi que l’enfant ne cherche ni ne reconnaît aucun objet sexuel extérieur à lui. C’est là qu’il convient encore d’insister sur le fait que cette décidément mal nommée "sexualité infantile", qui pourrait être plus justement décrite par "la compensation psychique — à savoir imaginaire et destinée à rester au strict plan du fantasme — des effets réels de la sexuation" ouvre à l’enfant l’espace psychique pour des élaborations fantasmagoriques qui lui permettent de se donner une image du corps propre, antérieure à toute division sexuelle, avant l’apparition des objets…
18 - Voilà comment il convient d’entendre le "sexuel" lorsque Freud parle de l’enfant. «Le but sexuel, écrit Freud, est soumis d’abord à la domination d’une zone érogène qui sera comblée par un fragment du corps maternel», à savoir le pouvoir de colmatage et d’apaisement des sein, bouche, peau, main, etc. Les pulsions dites "sexuelles" sont partielles et se mettent en place indépendamment de tout objet sexuel externe pour permettre à l’enfant de produire les "théories sexuelles infantiles" qu’il s’invente à partir des stimulations symboliques lui permettant de compenser la séparation (die Scheidung) d’avec le corps de la mère.
Dans Les théories sexuelles infantiles, Freud avance: «Il me semble découler de nombreuses informations que les enfants refusent de croire à la théorie de la cigogne, mais après avoir été ainsi une première fois trompés et repoussés, ils en viennent à soupçonner qu’il y a quelque chose d’interdit que les “grandes personnes” gardent pour elles, et, pour cette raison, ils enveloppent de secret leurs recherches ultérieures.»
19 - Freud repère trois types de scénarios dans lesquels s’inscrivent les "théories sexuelles infantiles" élaborées par l’enfant, hors les propos lénifiants des adultes, à des fins d’élucidation du mystère d’où viennent les bébés:
-la mère dotée d’un pénis (déni de la division sexuelle)
-l’enfant comme bout du corps excrété de sa mère (représentation cloacale de la naissance)
-un coït sadique mettant en scène une tension fort-faible (le fort ex-siste, le faible n’est rien)…
20 - Ce que démontre à l’évidence la survenue précoce de ces "théories sexuelles infantiles" c’est que l’activité symbolique, le fait même de penser, de s’imaginer par devers soi, indépendamment des parents, comment viennent les enfants, est cruciale dans la construction du corps propre en tant que séparé du corps maternel, et que si ces pensées s’élaborent en secret (Geheimnis), à l’abri du regard parental tout en produisant une mise en scène intérieure, c’est que les premiers scénarios fantasmatiques apparaissent comme une défense contre le «corps étranger» (Fremdkörper) qui vient de l’extérieur, les parents, les autres et «préviennent le retour d’événements redoutés» en fantasmant un corps déjà consolidé, unifié.
Ses élaborations secrètes ne vont pas sans engendrer chez l’enfant un conflit psychique entre ce qu’il considère comme un savoir issu de son corps propre et le savoir des grandes personnes, cette tension générant un clivage (Spaltung) chez l’enfant qui navigue entre l’obligation de faire plaisir aux adultes en leur obéissant (ce qui dispense de l’effort de réflexion), et se laisser porter par ses imaginations (tout en dissimulant ses recherches).
Ainsi s’élaborent les "théories sexuelles infantiles" qui tentent de percer le mystère de la venue des bébés tout en permettant à l’enfant d’élaborer une image du corps par le fantasme, afin de prévenir et anticiper les rencontres avec d’autres corps.
21 - Ces élucubrations infantiles participent de la construction du corps propre par élaboration d’une image qui vient en compensation de la sexuation, de la coupure, de la césure d’avec le corps maternel.
Pour Freud ces "théories" comportent, selon ses propres termes, un «fragment de pure vérité». Examinons de plus près les trois scénarios:
1/ La mère dotée d’un pénis ou le fantasme qui consiste à attribuer un pénis à tous les êtres humains, y compris féminins, préserve l’enfant de la question de la différence des genres (Geschletsunterschiede) en figurant un corps plein, entier, sans trous, sans vide…
2/ La représentation cloacale de la naissance marque une continuité avec ce qui précède. En niant l’existence de la cavité vaginale, il n’y a qu’un orifice par lequel  l’enfant doit être évacué comme un excrément, une selle. Freud cite la formule latine abusivement attribuée à Saint Augustin : «Inter urinas et faeces nascimur» (nous naissons entre l’urine et les fèces). Cette représentation élude la différence entre le corps maternel et celui de l’enfant en modulant la séparation par l’idée que l’enfant serait un bout détaché du corps de la mère excrété. Que l’enfant se considère comme un fragment du corps de sa mère indique que la séparation entre sa pensée et celle de sa mère n’a pas encore eu lieu. L’unité corporelle mise en scène dans la première "théorie sexuelle infantile" s’est déplacée au niveau psychique: il n’y pas de séparation des psychés, l’enfant en est au stade d’un appareil psychique pour deux corps…
3/ La troisième "théorie" poursuit la logique compensatoire des deux premières, en préservant l’idée du "un", de la place unique. Cette conception plus tardive est étiquetée de "sadique", le coït est perçu comme une violence dont l’enfant trouve témoignage par les cris et gémissements qu’il aura cru entendre, les traces suspectes sur la couche des parents… Cette représentation met en scène ce qui semble une opposition ou le faible-passif disparaît sous la domination du corps fort-actif. La poursuite de l’idée d’unité du corps propre se soutient du déni de la différence sexuelle car il n’est question ici que d’affirmer une position identitaire répondant de la pulsion identitaire (Geschleschtstrieb) mise à jour par Freud et traduite par pulsion de genre, qui ne saurait être confondue avec la pulsion sexuelle puisqu’elle antécède, et de fait dénie la différence des sexes. Cette pulsion qui permet à l’homme-en-devenir – au sens générique du terme – de s’imaginer un corps à partir d’une image.
(à suivre…)
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oreilletendue · 16 days
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La clinique des phrases (121)
(À l’occasion, tout à fait bénévolement, l’Oreille tendue essaie de soigner des phrases malades. C’est cela, la «Clinique des phrases».) Soit la phrase suivante : Tous ces délicats enjeux sont au cœur du vaste projet de transition énergétique qui attend le Québec. Au lieu de faire de l’aveuglement volontaire, il est temps de se parler dans le blanc des yeux, en conviant le grand public à un…
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