Tumgik
#et d'alcool aussi
myrmecomorphisme · 3 months
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Quand j'avais 10 ans ils nous ont fait chanter la Ballade nord irlandaise de Renaud pour la chorale de l'école et je trouve ça un peu drôle qu'ils nous fassent chanter ça sans aucun contexte genre je crois que la première fois que j'ai entendu parler du conflit nord irlandais c'était au lycée
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zialinart · 9 months
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Mon cadeau secret santa pour @saemi-the-dreamer ptit dessin et ptite fic même si bon, j'écris pas beaucoup donc c'est sûrement un peu bancal
Il était déjà la fin de l'après midi quand Arthur commença sérieusement à s'impatienter. Ca faisait au moins 3 bonnes heures que lui, une bonne partie des représentants les plus importants du monde breton et des délégations venues d'autres pays pour l'occasion attendaient. Et encore eux ils avaient la chance d'être assis, lui commençait à avoir sérieusement mal aux pieds. Et bon sang la couronne de fleur que Guenièvre avait insisté à lui faire porter lui grattait sérieusement le crâne. Il se tourna une fois de plus vers Perceval qui, tenant son rôle de témoin très sérieusement se tenait totalement immobile, les mains croisées :
Non mais bordel qu'est-ce qu'ils foutent ?
Vous voulez que j'aille me renseigner sire ?
Vous voulez dire comme les trois autres fois où vous êtes allés vous renseigner et vous êtes revenus bredouille ? Je sais pas vous vous sentez capables de trouver le chemin des vestiaires cette fois ou je vous colle un intendant pour vous accompagner ?
Non mais les autres fois je suis tombé sur Karadoc ça m'a perturbé, là c'est bon il est assis y'a pas de mouron à se faire sire.
Ok mais dépêchez vous, et dites leur de se bouger aussi ou je sens que l'église va se transformer en un champ de bataille romain-visigoth
De son point de vue il pouvait observer toute la salle et voyait clairement que des alliances commençaient à se défaire au fur et à mesure que les gens s'impatientaient. Les représentants des pays qui parlaient la même langue étaient très agités et parlaient de plus en plus fort, semblant ne pas s'entendre sur le goût du vin, dont ils avaient probablement déjà un peu abusé. D'un côté c'était la seule chose à faire en attendant. Perceval partit se renseigner et Arthur alla se chercher une coupe lui-même, histoire d'actionner un peu ses jambes. Il avait été plutôt fier de son idée de renouveller son mariage avec Guenièvre à la mode catholique, en invitant les plus grands noms du coin afin de montrer qu'il était revenu en tant que roi et que le royaume se portait bien désormais. Mais maintenant qu'il était là, face à tout ce monde qui s'impatientait, il se sentait plutôt nerveux. Bon sang qu'est-ce qu'elle foutait ? C'était pas si foutu compliqué d'enfiler une robe potable pour l'occasion, de se faire un peu tresser les cheveux et boum, mariage et on n'en parle plus.
Qu'est-ce que vous foutez retournez à votre place espèce de trou du fion !
La voix de sa belle mère resonna derrière lui tandis qu'il se servait un verre. Ah, au moins si elle était sortie du vestiaire c'est que c'était bientôt fini
En attendant que votre fille daigne se montrer faut bien que je m'occupe
Oui, bah c'est bon vous vous êtes occupés retournez à l'autel, là Elle le poussa vers le fond de l'église tandis qu'il protestait
Faites gaffe bordel c'est un costume spécial pour l'occasion j'ai pas envie de le tâcher en renversant du vin
Vous avez qu'à pas faire votre poivrot au moins pour une soirée. Pis toute façon croyez moi vous aurez pas besoin d'alcool quand vous la verrez.
Elle le laisse planté là, retourna s'asseoir auprès de Léodagan et secoua celui-ci qui s'était endormi sur son banc. Arthur prit une gorgée de vin en réfléchissant à ces dernières paroles étranges. Oui ok, il avait été assez peu discret ces derniers temps sur les regards qu'il lançait à Guenièvre mais enfin de là à ce que sa belle mère le remarque. Le goût acre du vin le fit hoqueter et il s'énerva mentalement sur les paysans qui n'étaient même pas capables de fournir un vin correct pour le mariage de leur roi. A ce moment là Perceval revint, accompagné de Bohort, l'un en bleu, l'autre en vert pour représenter les deux parties du mariage. Pourquoi Guenièvre avait choisi Bohort comme témoin ça le dépassait, après tout il ne les pensait pas si proches. Mais d'un autre côté il n'avait pas été tellement attentif aux passes temps et aux amis de sa femme durant le temps qu'il avaient passé ensemble. Il se promit mentalement de changer ça.
Ah bah c'est pas trop tôt c'est bon elle va venir ou il faut que je reporte à après-demain ?
C'est bon, c'est bon sire, dit Bohort avec un sourire jusqu'aux oreilles. Sauf votre respect vous allez être plutôt impressionné de ce qu'on a fait avec du simple tissu
Je m'en fous un peu de votre tissu Bohort j'aimerais bien commencer le processus pour que les gens finissent pas par s'étriper dans une église.
Bohort se rangea du côté de la mariée, toujours souriant, et Arthur remarqua que Léodagan s'était eclipsé, sans doute pour pouvoir accompagner la mariée jusqu'à l'autel, c'était bon signe. Même si bon, ils étaient déjà mariés depuis 30 piges techniquement il n'avait pas vraiment sa main à lui donner. Il sursauta alors qu'un orgue commença à résonner dans la salle. Ils avaient un orgue dans le coin ? Encore un détail qui luil avait échappé. Il déposa son verre de vin sur le côté tandis que les invités se levaient, certains de façon un peu vacillante. Deux petites filles apparurent du fond de la salle et dispersèrent des pétales de rose tout le long de l'allée. Et puis elle apparut au bras de son père. Sa machoire tomba et il oublia tout. Les trois heures d'attente, les invités qui s'engueulaient, le vin dégueu, même ses pieds. Elle était vêtue d'une robe en tulle blanche recouverte de fleurs bleues jusqu'à la taille. Ses cheveux lui tombaient sur les épaules en cascade, avec seulement une couronne de fleurs similaire à la sienne sur la tête. Elle était magnifique. Elle arriva à sa hauteur et Léodagan lui donna sa main et retourna s'asseoir. Elle lui sourit timidement tandis que le prêtre se mettait en position.
Vous dites rien ?
Je euh Pour une fois il était sans voix, tout juste capable de la parcourir du regard bouche bée.
C'est les fleurs c'est ça ? J'ai dit à Bohort que ça faisait trop mais il était sûr que c'était la mode et puis Merlin les a fait pousser exprès et du coup…
Il lui posa un doigt sur la bouche avant qu'elle ne s'emballe trop.
Vous êtes parfaite, réussit-il seulement à murmurer
Son visage s'illumina et elle rougit un peu.
Il sourit à son tour réalisant que la cérémonie lui tenait finalement plus à coeur qu'il ne le pensait. Leur premier mariage avait été un simulacre politique. Celui-ci était un mariage d'amour.
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olympic-paris · 26 days
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saga: Soumission & Domination 251
Nouvel an 2013
Le reste de la semaine s'est passé en préparatifs pour notre réception du 31. Comme tous les ans grosse teuf/touze pour le 31. Les amis arrivent de tous les cotés et ne manqueraient pour rien au monde ce grand moment de débauche sexuelle !
Les parisiens forment un bon contingent avec Kev que son boss/mari laisse libre ce soir là, Bo-gosse et Moitié. Alban sera des nôtres cette année, attiré par la présence de Ric ! Les potes de La Palmyre seront là aussi, Jérôme et son Frédéric, Manu et Théo. Bruno et Arnaud nos voisins de la campagne, Igor et ses jumeaux Tic et Tac collés du petit Théo, et donc aussi son frère Ed ne manqueraient cette fête sous aucun prétexte. Second et Julien, nos " manuels " arriveront dès la fermeture de la boutique de Julien. Nos architectes préférés, Olivier et Pierre nous ont répondu positif. Les motards, Eric et son petit Cédric, Phil et Luc, Daniel, Franck et donc Louis ont répondus présent. Nous attendons de Suisse Pablo le grand frère d'Ernesto qui a négocié de travailler à noël pour avoir son 31 et 1er. Absents, Jean coincé avec son client privilégié, nos amis du sud, Alex et Johan (mon sosie) qui sont en vacances au soleil.
Petit calcul : nous seront 33 sans compter Samir et Ammed. Belle logistique !
Pour être certain que Maxou ne fera pas de connerie ce soir là, je l'ai confié/loué à André le père de Ric avec qui il avait déjà passé les dernières vacances.
Nous ne sommes pas trop de trois pour tout mettre en place (bien secondés par Samir et Ammed). Toutes les chambres sont préparées et équipées, pas seulement de draps et couettes, mais aussi en kpotes, gels divers... Les salles de bain sont remplies de produits pour le corps et de draps éponge.. En ce qui concerne la bouffe, j'ai commandé tout le salé chez Julien et le sucré dans la meilleure pâtisserie de la ville. Contingences matérielles, il a fallu augmenter nos capacités de froid et le 30 nous recevons deux énormes frigos qui trouvent place au ré de chaussée. Juste a temps pour recevoir les livraisons de bouffe. Pour éviter les mélanges d'alcool, nous optons pour du champagne avec deux variantes : brut et rosé. J'en avais fait rentrer 15 caisses toutes maintenues à 10° dans la cave.
Le 31 matin, je prête ma 300SLS à Ernesto pour qu'il aille chercher son frère à l'aéroport. Pendant ce temps là les invités commencent à arriver. Ric arrive avec Alban qu'il a pris à la gare. Contrairement à ses habitudes, il amène avec lui les esquisses et les photos de nos cariatides en cours de création. Ric est aussi pressé que nous de les voir car il en est le modèle. Ça avance bien et même " soviétisé ", nous reconnaissons son visage.
Avant que les autres arrivent, Ric me demande où nous comptions les loger afin qu'ils puissent s'installer. Je les accompagne et leur laisse libre choix, tout en leur disant de prendre leur temps. Nous ne les reverrons qu'une heure et demi plus tard deux sourires béats ornant leurs visages. Pas besoin d'avoir vu ce qu'ils avaient fait pour le savoir !
Nos deux Espagnols de frères sont arrivés. Pablo roule des pelles à tout le monde, content de nous revoir. Je le prends à part quelques minutes pour lui dire que je voulais lui faire une proposition avant qu'il ne reparte. Il me dit qu'on a qu'à en parler tout de suite avant que les autres invités n'arrivent.
Je lui transmets le désir de ma mère de le voir prendre la place de sa cuisinière vieillissante, à ses propres conditions si elles ne sont pas extravagantes. Il me demande s'il peut la rencontrer. Je téléphone direct à Emma et elle nous dit de venir en début d'après midi.
Nous déjeunons tous sur le pouce d'un brunch improvisé par Ammed.
Nous laissons les autres le temps de faire un saut chez ma mère. Elle nous reçoit dans le salon, explique à Pablo sa problématique et lui demande ses conditions. Le salaire expédié (elle s'aligne sans problème sur ses émoluments suisses), elle lui annonce le cadre de travail. Service des petit déjeuners, déjeuners et diners avec l'aide de sa vieille cuisinière dont il sera le chef, à lui de la prendre dans le sens du poil pour s'en faire une alliée, ce qui lui permettra de prendre du temps pour lui quand le service de la maison sera minimum. Logement T3 dans le pavillon d'entrée au dessus du garage avec entrée indépendante, utilisation possible des véhicules de la maison pour son service mais aussi pour ses déplacements personnels, selon leurs disponibilités, avec juste à prévenir le majordome. Il pourra aussi, s'il le désire, exercer à façon chez des amis et connaissances tant que cela n'entre pas en concurrence avec ses propres réceptions. Et bien sur les 5 semaines de vacances légales en France.
Ernesto demande un moment de réflexion. Emma le pousse dans son bureau et lui dit que s'il veut parler à Ernesto il n'a qu'à utiliser le téléphone. Avant que nous nous retirions, il me demande de rester. On discute un peu sur la charge de travail. Je lui dis qu'il aura le plus souvent une personne à servir, Emma, environ 1 fois par semaine un diner en petit comité et 6 à 7 fois par an une grande réception. Il me dit que les 5 semaines de vacances c'est génial par rapport à ses 3 semaines péniblement arrachées à ses suisses. Il me questionne sur ses possibilités de taf extérieur. Je lui parle des amis de ma mère qui, sans avoir de cuisinier à demeure seront très intéressés pas ses capacité dès qu'ils auront été conquis par sa cuisine chez Emma et je lui parle de mes " beaux parents ", qui ont parfois besoin de plus que leur cuisinière maison. Je le laisse pour qu'il téléphone à Ernesto. Quand il nous rejoint, il demande quelques précisions puis accepte mais avec un délai d'un mois pour se défaire de ses employeurs actuels.
Pendant le trajet de retour, il me dit qu'il n'aura peut être pas autant de repas de gala à faire qu'avec ses suisses mais qu'il disposera d'une totale liberté de création en plus de conditions de travail plus généreuses. Je lui propose alors que s'il a besoin d'un cadre légal pour vendre ses services culinaires, il pourra utiliser les structures de ma société. J'aurais même peut être des clients " sexe " intéressés par ses facultés.
Je lui demande ce qu'en a pensé Ernesto. Il me dit qu'il était super content car ils se verraient plus mais qu'il ne comptait pas pour le moment émigrer lui aussi. Il avait trouvé un bon équilibre entre leur appart (à Hervé et lui), leur vie semi-commune et ses clients Barcelonais.
Quand nous rejoignons le Blockhaus, nous y trouvons tous nos invités arrivés (sauf Second et Julien). Le champagne est déjà débouché et tous se joignent à moi pour souhaiter à Pablo, une bonne venue en France. La fin d'après midi / début de soirée se passe en discussions diverses, prise ou reprise de contact pour certains. Pas encore de divergences vers le coté sexuel de nos retrouvailles, ils sont tous là jusqu'à demain soir ! Samir et Ammed ont toujours autant de succès dans leurs shortys en cuir noir que l'usure a moulés au plus près de leurs anatomies.  Quand second et Julien débarquent ça commence a devenir chaud. Faut dire qu'ils sont arrivés très " sex ", jeans slims moulant leurs cuisses musclées et leurs culs ronds et t-shirts exhibant leur travail en salle de muscu. Ils n'avaient pas fini de dire bonjour à tous que leurs t-shirt avaient quitté leurs torses ! Je crois bien que c'est Moitié qui a lancé les hostilités en renversant sa flute de champagne sur les pecs épilés de frais de Second et en se précipitant dessus pour récupérer le vin avec sa langue.
A partir de ce moment là, j'ai perdu le déroulé de la fête. Attrapé par Pablo qui voulait être le premier à me remercier pour l'invitation et ses conséquences. Et surtout être le premier à m'enculer. Je me laisse faire non sans lui avoir prodigué une pipe en mode gorge profonde comme je sais bien le faire. Je retrouve la même bite que celle d'Ernesto mais avec une façon d'opérer totalement différente. Il est plus viril dans sa possession de mon cul, et ce n'est pas désagréable (mon coté salope qui se réveille...comme s'il s'était jamais endormi !). Autour de nous les mecs se mélangent, se sucent, s'enculent, les " couples " se sont dissouts et les moitiés testent les autres mâles. Louis, pour qui c'est la première touze de ce genre, s'est vite mis au diapason après quelques instants de timidité, vite dissipés par les avances des mâles en mal de chairs fraiches et encore inconnues. Après mon intermède Hispano-suisse, je le trouve embroché par Bo-gosse et Igor. A l'occasion d'une prise d'air, il me dit que c'est trop fun cette touze. Franck, son " mari " est en train de se faire le cul de Théo. Les fauteuils sont partagés, les canapés servent de supports aux baises de groupe et la table basse (heureusement très solide) permet de mettre 4 culs à la bonne hauteur pour les faire défoncer par 4 mâles debout.
J'ai faim. Le comptoir de la cuisine sert de buffet avec la grande table à manger. Je grignote, je ne tiens pas à gerber au prochain gland qui passera de l'autre coté de ma luette ! Après m'être penché sur la queue bandée d'Hervé pour m'assurer qu'elle est bien dure et prête à défoncer le cul de Tac dont il vient de faire la connaissance, je m'aperçois qu'il manque une partie des invités. Le temps de voir des jambes s'agiter dans l'eau au dessus de la cuisine et de m'apercevoir qu'une partie à du émigrer sur la terrasse, je les rejoins. Ils sont bien partis et je vois Jérôme et Manu commencer un concours de pipes en apnée sur Olivier et Kev. Je rappel juste qu'il ne faut pas juter dans l'eau sous peine de voir le bassin fermer. De l'autre coté de la rambarde monte jusqu'à nous des halètements caractéristiques d'une sodomie bien menée. Je me penche et entre les feuillages tropicaux, je devine Eric en train d'enculer un cul plutôt étroit pour son gros calibre (26 x 7). A l'occasion d'un changement de position je vois qu'il s'agit de p'tit Théo (celui de Tic, frère d'Ed). le plus petit format de la touze se fait sodomiser par la plus grosse queue présente. Je descends voir ça.
Quand j'arrive, Eric lime toujours la rondelle de p'tit Théo. Je m'approche. Il est en train de l'enculer en levrette. Pour me montrer la rondelle éclatée, il écarte les fesses de Théo avec ses pouces. La vue est superbe ! Sa grosse et longue bite noire pistonne le trou un peu rougi séparant deux fesses d'une blancheur et douceur juvénile. P'tit Théo m'aperçoit. Il me fait un grand sourire et me dit que c'est trop bon ! Je lui avoue tout bas que je l'ai testé avant lui et que je sais tout le bien que sa queue peut provoquer.  Des soupirs vers le fond du " jardin " m'attirent. Derrière les bacs de palmiers et de rhododendrons je découvre un quatuor qui ne manque pas d'imagination. Cédric et Arnaud sont en train de se faire défoncer par Second et Julien. Les deux minets se roulent des pelles alors que nos deux " Musclors " les enculent tout en les portant. Je passe ma langue dans les bouches de mes deux sportifs et me place derrière second et kpoté m'enfonce dans la moiteur de son cul. Et dire que la première fois où je me le suis fait, il venait d'être mis à la bite par son Maçon de patron et que j'avais du lui apprendre à sucer correctement enfin profondément ! Il s'est méchamment développé question muscles et diversifié coté sexe. Mais sa rondelle est toujours aussi bonne à limer. Julien me voit faire et me demande comment je la retrouve (la rondelle de Second). Je lui dis que l'utilisation qu'il en fait la garde bien nerveuse et voluptueuse à souhait. Nous changeons de position, fatigue musculaire et équilibre précaire ! Arnaud dos sur un des bancs de notre jardin tropical supporte Cédric en 69 Julien et Second réinvestissent leurs rondelles en manque. Quand à moi, je passe du cul de Second à celui de Julien (qui est moins rodé à cette pratique) sans changer de kpote puisqu'entre eux, ils baisent sans (statuts sérologiques réalisés et similairement négatifs). L'anneau de Julien est un peu serré et ce n'est que meilleur ! J'ai du lubrifier un max avant de réussir à le pénétrer. Second me dit qu'il n'y va pas assez souvent car il préfère recevoir son mec dans le cul. Entre eux, nos deux jeunes se défoncent leurs bouches respectives. Ils jutent les premiers, se couvrant mutuellement de sperme. Je suis dans le cul de Julien au moment ou ce dernier jouit. Son sphincter me serre la queue délicieusement et je rempli ma kpote en trois coups de rein qui m'enfoncent au plus profond de son cul.
Nous nous désagrégeons. Les deux jeunes courent au monte-charge pour rejoindre les autres au 4ème, à la recherche de nouvelles bites à honorer. Avec Second et Julien, nous prenons un moment. Je félicite de dernier pour la finesse du buffet qu'il nous a réalisé.  Je demande à Samir au 4ème de nous envoyer une bouteille de champ. Elle nous arrive par le monte-plat. Je fais sauter le bouchon et nous buvons à la bouteille vu que j'avais oublié de demander des coupes ! le champagne coule sur nos bustes et tous les trois, nous nous léchons pour ne pas perdre. Ils sont vraiment bien musclés eux aussi. Quand je leur demande, ils me disent avoir investis dans du matériel car l'un comme l'autre n'a le temps d'aller dans une salle de sport. Ils s'entrainent et s'entraident tous les deux. Nous prenons des poses faisant ressortir nos muscles. J'avais déjà vu la fermeté de leurs fessiers, le reste est à l'avenant. Quand nous remontons, les autres sont en " pause " sauf nos deux voraces qui se sont trouvé les queues de Marc et Hervé à faire dégorger.
Je m'aperçois que la soirée est bien entamée et qu'il ne manque que quelques minutes pour terminer l'année. Bien que nous soyons tous à poil, les discutions reprennent. Alban est félicité par ceux qui ne le connaissaient pas pour la sculpture qui occupe le centre de la terrasse. Quand Ric dit qu'il lui sert de modèle pour la réalisation de deux cariatides, il se fait huer et arroser de champagne. Minuit est là. Embrassade générale, qui dure ! Je crois bien que le roulage de pelle général nous a pris une bonne demi-heure. Les deux heures qui ont suivies ont permis les dernières permutations possibles. A la suite de quoi, bien fatigués nous avons rejoints les étages de nuits (3ème et premier). Avant de tomber dans les bras de Morphée, j'ai lancé les enregistrements des vidéosurveillances des chambres. Je me joins à mes espagnols trop heureux de se retrouver. Je me coule entre eux et m'endors dans les bras de Pablo serrant Ernesto dans les miens. Avant de tomber de sommeil, je m'aperçois que PH s'est enroulé dans ceux d'Ernesto.
Au réveil le premier janvier, j'entends gémir. C'est PH qui se prend Ernesto alors qu'il est encore dans mes bras. Je sens contre ma rondelle le gland enkpoté de son frère tenter de me pénétrer. Je me suis détendu et lentement je l'ai senti progresser en moi. Mes gémissements se sont joints à ceux de mon PH. Et c'est ensemble que nous avons jouis sous les coups des deux bites espagnoles.
Au petit déjeuner / brunch vu l'heure avancée de la matinée, certains sont déjà en train de pomper. Quand ils ne se font pas enculer, comme Cédric empalé sur sa bite préférée, les 26cm de chair noire d'Eric. Cela ne l'empêche pas de savourer son café entre deux périodes de limage.
Ayant eu notre dose pour quelques 10aines de minutes au moins, PH et moi nous nous restaurons en compagnie de Pablo et Ernesto. Marc nous rejoint et nous demande comment s'est passée la nuit. Je lui réponds que la nuit fut calme contrairement au réveil. Il éclate de rire et nous dit qu'il en a été de même pour lui avec le cul de Louis comme réceptacle de sa bandaison matinale. Les exemples sous nos yeux réveillent les libidos encore somnolentes et les croissants ne sont pas finis que le séjour ressemble au bordel de la veille. Ça nique dans tous les coins. Après Cédric, c'est le cul de Kev qui s'embroche sur le barreau noir. Le gel coule à flot et les vapeurs de poppers envahissent l'air ambiant.  J'encule Franck devant les yeux de son Louis lui-même sodomisé par Igor. Les couilles sont sèches et les montées en jouissances longues. Mais à l'heure du café, toutes sont de nouveau vides !
Le reste de l'après midi se passe en douches et barbotages dans les piscines. Ernesto me redemande la 300SLS pour reconduire Pablo à l'aéroport.
Quand il revient, il me saute au cou pour me remercier du taf que j'ai trouvé à Pablo. Ne le voir que trois fois par an, l'avait peiné plus qu'il ne l'avait pensé au premier abord.
Jardinier
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perfekt bar
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leparfumdesreves · 4 months
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🍋 LE LIMONCELLO 🍋
C’est une liqueur délicieuse à boire en digestif après un repas, mais aussi parfaite pour être utilisée en cuisine dans des desserts. Le Limoncello est fait à partir d’écorces de Citron macérées dans l’alcool.
C’est une spécialité Italienne, de la péninsule de Sorrento pour être plus précise.
Avant de se lancer dans le Limoncello maison, essayez par tous les moyens de vous procurer de l’alcool pur à 95°.
❗️Attention, n’utilisez pas de l’alcool à 90° MODIFIÉ que l’on trouve à la Pharmacie, celui-ci n’est pas consommable ❗️
C’est ce degré d’alcool qui va vous donner le meilleur rendu pour la liqueur maison.
Si vous n’en trouvez vraiment pas, prenez de l’alcool de fruit, mais en gardant à l’esprit que cela sera moins bon.
🍋 Dilution de l’alcool
Pour 1 litre d’alcool pur à 95°, on compte généralement 1 à 1.3 litres d’eau en fonction de vos goûts en sachant qu’ 1.2 litres d’eau pour 1 litre d’alcool à 95°C vous donnera un alcool à 45°, pour moi la dilution idéale pour une liqueur.
Si vous utilisez de l’alcool de fruits, donc un alcool à 40°, pas besoin de le diluer dans de l’eau car vous n’avez pas besoin de le rendre moins fort. Il vous faudra cela dit, une toute petite quantité d’eau pour dissoudre le sucre, qui ne se dissout pas seul dans l’alcool. Je conseille un demi verre d’eau pour cela, pas plus.
Selon les goûts, je recommande donc 400 g de sucre pour 1 litre d’alcool à 95° et seulement 250 à 300 pour 1 litre d’alcool à 45°.
🍋 RECETTE DU LIMONCELLO avec de l'alcool pur ou avec de l'alcool de fruits
• Temps de Préparation 30 minutes
• Temps de Cuisson 5 minutes
• Portions 2 litres
🍋 Ingrédients
• 1 litre d'alcool à 95° ou à défaut, d'alcool de fruits à 40°
• 400 g de sucre ou 225 g si vous utilisez de l'alcool de fruits
• 6 gros citrons bios non traités
• 1.2 litres d'eau de source ou un demi verre d'eau si vous utilisez de l'alcool de fruits
🍋 Instructions
• Lavez les Citrons et prélevez l'écorce avec un économe en essayant de ne pas prélever le blanc du citron, qui est amer, et juste la partie jaune.
• Faites les macérer pendant un mois dans l'alcool dans un endroit frais et sec, à l'abri de la lumière. Remuez la bouteille régulièrement pour que les arômes se développent bien.
• Après un mois de macération, filtrez l'alcool. Préparez un sirop de sucre en faisant bouillir le sucre et l'eau jusqu'à ce que le sucre soit dissout. Laissez bien refroidir avant de mélanger ce sirop à l'alcool.
• Mettez en bouteille et laissez reposer la bouteille une dizaine de jours de préférence avant de la consommer. Conservez-la au congélateur.
Le limoncello se déguste très froid, il ne gèlera pas à cause de la forte concentration en alcool.
🍋 Un autre conseil ?
J’ai pu voir dans quelques recettes que certaines personnes rajoutaient un peu de jus de citron pour réhausser le goût.
Bonne idée ou pas ?
Pour avoir essayé les deux, clairement, ma réponse est non. Le jus de citron ne va pas réhausser le goût de votre liqueur, elle va juste lui donner un côté plus amer que l’on ne veut pas retrouver dans du limoncello. Si vous voulez réhausser le goût, si par exemple vous ne le trouvez pas assez citronné, rajoutez des zestes et attendez qu’ils macèrent à nouveau, ou faites macérer votre prochaine liqueur plus longtemps mais ne rajoutez pas du jus, cela fausserait les proportions et altèrerait le goût.
Bonne dégustation ! 🍋 Avec modération, bien sûr !
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mister-snake · 5 months
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Je suis incapable de supporter plus d'une semaine de servage, comment est-ce que j'ai fait pour tenir 6 mois sans une goutte d'alcool quand j'étais plus jeune?? Et sans me défoncer pour compenser qui plus est?!
On m'a répété que le premier mois était le plus difficile, qu'après, les symptômes étaient gérables, mais les gens ne comprennent pas que c'est pas juste la dépendance physique ni même psychologique. C'est un mode de coping, et si tu dépends de l'alcool pour gérer tes émotions et t'automédicamenter depuis une dizaine d'années, c'est pas un petit mois qui va tout régler comme par magie!
L'alcool sera toujours là pour apaiser toutes les émotions qui me submergent. C'est une habitude, un besoin profond, irrépressible et systématique. C'est aussi ce qui a rendu ma relation avec mon partenaire d'alcoolisme si intime.
J'ai peur de ne pas être capable de gérer les émotions négatives, les ruminations, l'anxiété, la dépression, toutes ces difficultés. J'ai peur de me sentir étouffé et que ça laisse place à mon impulsivité qui était si prédominante quand j'étais jeune. J'ai peur de perdre le contrôle, de perdre mes repères, de perdre mon réconfort. J'ai peur de craquer et de tout gâcher, et alors que tous mes efforts de sevrage n'aient servi qu'à renforcer ma dépendance. J'ai peur de perdre une amitié précieuse avec mon partenaire. J'ai peur de ne plus être capable de m'ouvrir à quelqu'un comme je le fais si facilement sous l'effet de l'alcool. J'ai peur que toutes ma détresse reste coincée en moi, que je ne sois plus capable de me confier à qui que ce soit, que je devienne trop self-conscious, trop anxieux, d'avoir trop peur d'être trop. J'ai peur de devoir vivre avec un alcoolique sans pouvoir moi-même céder à la tentation.
Alors l'idée stupide que c'est une simple dépendance dont le sevrage peut être facilement réglé grâce à une désintox, de l'antabuse ou je ne sais quoi, c'est de la grosse bullshit.
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juliendesclefs · 25 days
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French Miku Marle Does Things!
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On dirait que la Hatsune Miku française est à la mode en ce moment.
Et bien, c'est à mon tour avec un petit Marle Does Things bonus, où Miku s'allie à la maman des ténèbres (qui est aussi le boss final) pour vous souhaiter la bienvenue en France!
J'espère que vous aimerez !
⚠️L'ABUS D'ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTÉ ! À CONSOMMER AVEC MODÉRATION !
[⚠️ ALCOHOL MUST BE CONSUMED WITH MODERATION! AND NONE FOR MINORS]
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perduedansmatete · 1 year
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des fois j'oublie que pour apprécier ne serait-ce qu'un peu la vie il suffit se lever tôt le dimanche matin pour aller à une brocante, avec ma mère, ma sœur et seulement quatre euros en poche, puis discuter avec tous les vieux qui tiennent des stands. aujourd'hui j'ai appris que fut un temps les représentants de marque d'alcool donnaient des mini flasques très bien fermées aux commerçants, le monsieur m'a expliqué lesquelles dans sa caisse étaient les plus anciennes et pourquoi, il nous a dit que même celles de plus de soixante ans se buvaient encore, ce qui m'étonne vu le dépot dégueulasse dans certaines fioles mais ça ne me fait pas vraiment peur. ma sœur a fini par acheter celle qui s'appelait "parfait amour". j'ai aussi parlé longuement avec une dame de mon ancienne passion pour les combinaisons de ski des années quatre-vingt quand bien même je n'y vais jamais, avant de lui prendre une veste qui me fait penser à ma mamie. elle a commencé par mal le prendre puis je lui ai expliqué et elle m'a dit qu'il fallait continuer d'être originale, et ça c'était avant de rencontrer une mamie absolument adorable et dévouée grâce à laquelle sa petite fille a pu gagner deux années de suite un concours de déguisement car elle lui avait confectionné la plus belle des robes de sissi l'impératrice sur laquelle elle avait même cousu au dernier moment des fleurs fraîches. ma mère a râlé car elle devait tout m'avancer vu que je n'avais plus d'argent sur moi mais c'est de sa faute car elle me trouve une super veste en cuir, et malgré ça elle a fini par m'offrir un trop joli photophore. puis comme on est dimanche on ouvre une bouteille de jus de fruit sauvignon et on la vide toutes les trois en mangeant des galettes à la compotée de poireaux et au saumon... miam
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helene-tolden · 7 months
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🇫🇷Café Gaudi Février 2024.
Jour 11.
En France, le rapport que l'on peut développer avec l'alcool peut parfois se révéler compliqué.
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En effet, nous sommes dans une culture où l'exploitation viticole est une grande fierté nationale, c'est pourquoi vin et fromage sont le symbole de notre gastronomie à travers le monde tout en faisant partie de notre éducation.
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Selon les familles, le vin peut être associé aux réunions de famille durant les repas du dimanche ou les grands événements comme les anniversaires, les mariages, les naissances et même les décès. Nourriture et boissons vont toujours de paire avec les moments forts en émotion.
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Un aspect affectif avec l'alcool peut donc se développer, sans qu'on en prenne tout de suite conscience car on a pris l'habitude de voir son entourage boire du vin, du champagne, des apéritifs ou des digestifs qui rythment le repas.
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Hélas, cette banalisation de l'alcool peut facilement amener à l'alcoolisme. D'une part le vin est disponible à prix modique, en grande quantité et en accès libre dans tous les supermarchés. D'un autre côté, l'hypocrisie généralisée concernant cette addiction la rend difficile à détecter et à soigner.
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Le plus compliqué reste qu'une personne n'admette qu'elle ait un problème d'alcoolisme. Elle se dira bon vivant car notre culture fait l'éloge de la dégustation d'un bon vin qui accompagne un bon plat. Elle estimera que boire un seul verre par jour est raisonnable puisque pour la majorité des gens l'alcoolique se résume à l'image d'un sans domicile fixe ivre, gisant dans le caniveau.
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Alcool : 5 signes qui montrent qu’il faut s’inquiéter
1. Vous consommez de l’alcool plus souvent
2. … et en plus grande quantité
3. Votre comportement est modifié…
4. …et vos rapports sociaux aussi
5. Vous montrez des symptômes de dépendance
Physiquement, les symptômes du manque et de la dépendance sont divers : tremblements, sueurs, hypertension, crises de tachycardie, nausées et vomissements sont les plus répandus et se manifestent en l'absence de consommation d'alcool.
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Si vous avez un doute ou souhaitez aider un proche, contactez Alcool Info Service : 0 980 980 930 (tous les jours de 8h à 2h).
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jezatalks · 14 days
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Je peux pas trop raconter les drames familiaux de mon copain. Mais sachez que ça en est à un point où mon beauf a sous-entendu/confirmé à mon compagnon qu'il prendrait le nom de famille de sa femme au mariage. (Il ne sait pas qu'on réfléchit également à ça avec mon compagnon). + n'y inviterait pas son père (à la limite le vin d'honneur)
Mais également, mon compagnon, son frère et sa sœur vont couper les ponts/le ghost pour s'éloigner de lui et de leurs grands parents paternels. Car ils ont aussi un délire d'apparences sociale arrièré + jamais on ne va réussir leur faire un suivi chez un psychiatre tellement ils sont enfoncés dans leur merde.(Mais leurs tantes/sœurs de leur père non car elles sont adorables)
Ah, j'ai appris via ma belle mère qu'il aurait préféré d'autres belles filles. Car selon lui on n'est pas assez "grandes gueules", qu'on ne boit pas d'alcool et que ça le gêne car il soupçonne qu'on porte toutes les deux la culotte dans le couple et pas ses fils. Et que depuis que mon beau-frère sort avec sa compagne, il sort beaucoup moins boire (il était encore étudiant, et c'était pas un loisir), et donc boit moins d'alcool, fait plus de sport et s'est "adoucit". (D'où est ce que c'est mal ??? + mon beau-frère pratique un sport à un niveau qui commence à être élevé et reconnu dans notre coin)
Vraiment, le beau père qui jure par des valeurs viriles d'un ancien temps et qui se fait des potes au pmu 😭. Mais ça, il ne s'en plaint qu'en privé. Il ne nous l'a jamais dit devant nous (belles filles) ou ses enfants.
Et le copain de la sœur de mon compagnon est grande gueule /rigolo. Donc mon beau père l'adore, alors que lui, ne peut pas le supporter.
Bref. J'en connais un qui ne va quasi jamais revoir ses enfants, ni sa petite fille avant très très longtemps.
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if-you-fan-a-fire · 1 year
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"2 jeunes gens sont morts de façon tragique," La Presse. August 10, 1943. Page 3. --- Ils auraient bu de l'alcool de bois dimanche dernier. - Enquête demain. ---- Deux adolescents ont succombé, ce matin, à un empoisonnement causé par l'absorption d'alcool de bols. Tous deux sont de S.-Henri. Il s'agit de Marcel Roy, 14 ans, 5172, rue Ste- Marle, et de Marcel S.-Jean, 15 ans, 5061 ouest, rue Notre-Dame,
Le premier a succombé vers 2 h., ce matin, en l'hôpital Général de Verdun où il avait été transporté hier soir. Le second est mort vers 8 h. ce matin à l'hôpital Général, division ouest. Les cadavres furent transportés à la morgue de Montréal où une enquête sera ouverte demain matin avec un jury sous la présidence du Dr Pierre Hebert, coroner conjoint du district de Montréal.
Témoignages des parents D'après les témoignages des parents des victimes voici les détails de cette tragédie: Les deux jeunes hommes étalent partis de leur domicile respectif de bonne heure dimanche après-midi pour se rendre, avec un groupe d'amis, au parc Lafontaine. Ils y avaient passé l'après-midi.
Au cours de la soirée du même jour, ils s'étalent rendus, avec les mêmes amis, à une soirée d'amateurs qui avait lieu au stade Notre- Dame, chemin de la Côte S.-Paul.
Le frère d'une des victimes, M. Lucien S.-Jean, nous a déclaré que ce serait au cours de la soirée que les deux malheureux auraient absorbé la boisson mortelle.
Il nous a encore déclaré qu'hier matin, Mme Hugues S.-Jean réveilla son fils, Marcel, à l'heure habituelle, pour aller travailler. Cependant, le jeune homme refusa de se lever, révélant à sa mère qu'il souffrait d'un violent mal de tête et de maux d'estomac. Elle lui demanda alors ce qu'il avait mangé ou bu la veille. Il répondit qu’il n'avait rien bu et qu'il se sentait simplement malade. Sur la fin de l'après-midi d'hier, M. Lucien S.-Jean constata que l'état de son frère empirait. "Les yeux lui sortaient de la tête", dit-il, et il avait l'écume à la bouche.
"Il était presque méconnaissable". C'est alors qu'll fit venir le Dr Laurin, de la rue Notre-Dame ouest, qui lui conseilla de faire transporter le malade à l'hôpital.
Mustisme complet "Nous avons tenté par tous les moyens, durant la journée de lundi, de lui faire avouer ce qu'il avait absorbé, mais ce fut en vain. Ce n'est qu'à l'hôpital qu'il nous déclara avoir pris de l'alcool avec des amis. Il n'a j'amais voulu nous dire qui lui avait donné la boisson".
"Après avoir fait transporter mon frère à l'hôpital, ajouta M. Lucien S.-Jean, je me rendis chez les parents du jeune Roy. Je savais que Marcel Roy soufrait du même mal. Je leur enjoignis de faire transporter leur fils à l'hôpital.
M. et Mme Joseph Roy, parents de l'autre victime, nous ont déclaré qu'ils tentèrent eux aussi de faire avouer à leur enfant ce qu'il avait pala. Es n'obtinrent pas plus de succès. Le Dr Archambault prodigua les premiers soins au jeune Roy.
Les deux adolescents conservèrent le plus absolu mutisme jusqu'à leur dernière heure. Mais on croit qu'un adulte leur aurait fourni l’alcool. Le Dr Jean-Marie Roussel, médecin-légiste, nous déclarait ce matin qu'à leur äge un ou deux onces d'alcool de bols suffisaient pour causer la mort. Même si les deux victimes avalent déclaré plus tôt qu'ils avaient absorbé une telle boisson on aurait eu peu de chances de les sauver.
Les sergants détectives Fitzparick et Senecal, de l'escouade des homicides font aujourd'hui une en- quête dans ce cas. On s'attend à des révélations prochaines. Legende:
MARCEL ROY (à gauche) et MARCEL SAINT-JEAN, morts dans des circonstances étranges à l'hôpital après avoir bu, dimanche dernier, ce que l'on croit être de l'alcool de bois.
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swedesinstockholm · 1 month
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20 juillet
au cimetière. j'ai réussi à retrouver mon banc préféré sous le sapin à côté de la pierre tombale noire qui ressemble au monolithe de 2001 l'odyssée de l'espace planté dans l'herbe tout seul. j'ai erré dans les allées pendant trois heures pour le retrouver, ce cimetière est encore plus grand que ce que je pensais et c'est en train de devenir mon endroit préféré sur terre. en venant j'écoutais modern love en boucle encore et encore, hier soir en rentrant à pied de la s bahn à trois heures du matin je la chantais toute seule sur le trottoir et quand je me rappelais plus des paroles je regardais sur mon téléphone comme si j'étais en train de répéter un truc. ça m'a tellement donné envie d'avoir un truc à répéter. je pensais aux autres qui avaient décidé de continuer la soirée dans un club et je les enviais pas du tout. j'étais contente d'être moi, toute seule sur la karl-marx-strasse en train de chanter modern love comme si j'étais vraiment toute seule. je pensais à lola de paris qui m'a écrit hier, elle boit pas d'alcool elle non plus et je me suis dit qu'elle aussi serait rentrée seule en chantant dans la rue. ça m'a réconfortée et ça m'a fait sourire. j'aime penser à des gens et sourire.
en chemin je pensais à n. et à son amant mystère qui sont rentrés à six heures ce matin et qui étaient encore au lit quand je suis partie et je me suis de nouveau dit que j'étais contente d'être moi avec ma vie bizarre en route vers le cimetière avec mes cheveux mouillés et mon journal dans ma banane. je veux dire que j'étais pas jalouse, je l'enviais pas et je me sentais pas nulle et moche et seule. je me sentais bien avec moi-même. ce matin au lit je me disais que n. était comme un moulin, un vrai moulin en état de marche, un moulin parfaitement fonctionnel qui fait de la vraie farine, de la bonne farine ou de la mauvaise farine je sais pas, mais elle en fait. alors que moi je suis un de ces faux moulins que j'ai vus dans le bus l'autre jour à la campagne quand on est passés devant un parc d'attractions avec des décors hollandais. de loin on voit pas que c'est un faux moulin. personne hier soir ne savait que je faisais pas de farine. je viens de me faire éclater de rire toute seule sur mon banc. en partant tout à l'heure j'ai vu des baskets noirs à côté de mes converse dans le couloir et je suis quasiment sûre que c'est ceux du catalan de la fête.
21 juillet
très bonne journée je me suis levée à onze heures et je suis partie au schlachtensee avec n. et j. parce qu'il faisait mille degrés. évidemment tout le reste de la ville avait décidé de faire pareil et c'était ma vision précise de l'enfer, la s bahn était bondée et quand on est arrivés on aurait dit qu'on allait à un festival, tous ces corps dénudés et joyeux qui se dirigeaient tous vers la même pelouse, mais j'étais contente de faire quelque chose avec mes nouveaux amis. et surtout ça m'a donné l'occasion de nager. nager m'a donné confiance en moi pour le reste de la journée. nager me donne toujours confiance en moi. j'en ai bouché un coin à j. alors j'ai j'essayé de lui apprendre à faire des mouvements amples et à se détendre pour dépenser moins d'énergie et avancer plus vite. ça me faisait du bien d'être celle qui est à l'aise. à l'aise avec son corps surtout. je lui disais que dans l'eau j'avais pas besoin de le porter, c'est ça qui change tout. dans l'eau y a pas de gravité, donc tout est léger. c'est la gravité qui gâche tout toujours. il faudrait que toute la vie se passe dans l'eau. c'est le seul endroit où j'arrive à être légère et détendue. quand j. est sorti parce qu'il était crevé à force de me suivre j'ai fait un aller-retour vers l'autre rive au crawl, il faisait très vert sous l'eau et c'était bizarre de pas avoir les yeux qui piquent. je me suis laissée flotter sous un arbre qui formait une grotte feuillue au dessus de l'eau, petit paradis, j'avais plus envie de repartir pour aller rejoindre les autres dans l'enfer.
au milieu de l'enfer y avait deux filles qui lisaient sur leur serviette avec leurs jambes entremêlées. elles avaient toutes les deux les cheveux courts, une était seins nus et lisait le journal, l'autre était un peu butch et elle lisait un livre qui ressemblait à une édition gallimard. j'ai dit à n. que c'est ça que je voulais. lire le journal seins nus allongée sur une serviette avec la jambe emmêlée dans celle de ma copine. comme j'avais pas pris de livre j'en ai profité pour écrire un message à la fille qui vend son microkorg sur kleinanzeigen parce que j'ai décidé que j'avais plus de temps à perdre, i got shit to do. r. m'a envoyé un morceau de starla online où elle chante juste accompagnée d'un synthé et il m'a dit que ses morceaux étaient assez simples à jouer et puis en trainant sur le site de la maison de la poésie locale j'ai trouvé un appel à performances poétiques deadline 28 juillet et je veux proposer un texte accompagné au synthé. une fille sur ig m'a parlé du réseau des autrices francophones à berlin aussi et ça m'a un peu réconciliée avec la ville. musique et mots musique et mots musique et mots. c'était le titre d'un article arraché dans un magazine de musique accroché au dessus de mon bureau quand j'étais au lycée.
22 juillet
j'ai enfin acheté un tapis pour recouvrir l'horrible moquette. je suis allée le chercher ce soir au coucher du soleil dans une banlieue glauque dans un appartement glauque chez un type encore plus glauque qui m'a dit bonjour je m'appelle michel et je suis un homme et non une femme je sais que mon nom peut prêter à confusion et une puis une fois qu'il a eu détecté mon accent français il a dit michel comme michel platini! je crois que berlin me rend moins peureuse. pour ce genre de trucs du moins. j'ai peur nulle part. j'ai moins peur de l'altérité parce que j'y suis plus exposée. mais à la réflexion j'étais pas non plus hyper peureuse avant de venir ici. j'ai pris mon tapis neuf encore emballé j'ai payé sans marchander et je suis repartie avec mon tapis dans les bras. dans la rue j'ai croisé un homme qui promenait son chien qui m'a regardée comme si je sortais de chez mon dealer, je sais ce que tu viens de faire, dealeuse de tapis.
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olympic-paris · 10 days
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saga: Soumission & Domination 266
Renouvellement des motos de la maison - GP de France
J'ai décidé de remplacer toutes les motos de la maison, celles de Marc aussi. Avec PH, nous sélectionnons les marques et modèles qui vont renouveler nos montures.
Pour Marc nous remplaçons son 850 VFR par le modèle 2013 tout comme son 900 CBR et le 1100XX par un VFR 1200 et un CBR 1000RR.
Pour PH, le Kawa FZ8 cède la place à un Z 1000SX chez le même constructeur. Quand à moi, ma YZF R1 noire mat 150CV est remplacée par sa nouvelle mouture avec une ligne d'échappements Racing titane, débridée elle aussi. Ma ZX10R de 2011subit le même changement, elle avec un échappement Akrapovic. Je ne remplace pas la Honda CB1000R qui, finalement faisait doublon avec elle. Je l'offre à Arnaud (notre voisin de la campagne) qui désirait changer sa première moto mais n'osait ni demander encore à son oncle (qui l'a à charge), ni entrer déjà dans mon écurie. Ma vielle 600 Diversion aussi part sans remplacement. J'achèterai une nouvelle moto en fonction de ce que la législation autorise aux nouveaux pilotes comme Kamal.
Nous utilisons les compétences de Daniel et le garage du père de Cédric pour regrouper les achats. Il sert aussi pour l'acquisition des pièces nécessaires aux modifications (kits full power de ma R1 et celui de la Z1000SX de PH). Car c'est dès l'achat que les fourches, durites aviation et autres améliorations autorisées en France sont commandées.
J'aime trop le noir mat et sur le nouveau ZX10R il est trop beau tout comme sur le R1. La première sortie avec nos nouvelles montures est le grand prix de France au Mans. Avec les amis c'est un groupe de 12 motards qui se déplace ensemble (avec nous trois, Eric et Cédric, Daniel, Phil et Luc, Arnaud qui étrenne son permis sur grande distance, Franck avec son petit Louis sur sa selle). Kamal insiste pour nous accompagner. Je me laisse faire et le prend sur ma selle...
Le temps est prévu plus que moyen, du coup Samir et Ammed nous suivent avec la 300C remplie de matériel (pantalons, blousons, vêtement de rechange et bouffe...). Marc a retenu, depuis déjà quelques semaines, un gite à proximité du circuit pour les 3 jours (vendredi soir au lundi matin). Il n'est pas question de rouler avec un milligramme d'alcool dans le sang.
WE Grand Prix de France
Si nous roulons de concert avec Eric et son passager, les autres nous rejoignent directement au gite.
Je dois calmer plus d'une fois mon petit passager (Kamal) très excité par la perspective de passer son premier WE sans son Alexandre depuis longtemps. Assis derrière moi sur les quelques cm² que lui réserve la selle passager de mon R1, il se colle à mon dos, ses mains bien accrochées à la protubérance de mon paquet recouvert du cuir de la combi. Dès l'entrée sur l'autoroute, et après quelques pointes de vitesse nous stabilisons à un niveau plus raisonnable. Je sens alors les doigts de mon petit passager masser mon entrejambe jusqu'à me faire bander à mort ! PH qui roule à mes cotés le menace d'une correction. Rien n'y fait et il continu à me maintenir bien raide jusqu'à notre premier arrêt carburant/café. Chose promise chose due, alors que nous allons payer nos pleins, PH attrape Kamal et lui coince le cou sous son bras pour lui frictionner la tête. Ruades de mon passager mais il n'a aucune chance contre mon PH qui me fait signe de le rejoindre. Nous le coinçons dans un des WC de la station et nous lui faisons son affaire, ce qu'il espérait, même pas secrètement !
Même en faisant attention, les bruits qui passent la porte ne sont pas ceux attendu dans ce genre d'endroit. Marc frappe bientôt à la porte et nous demande de le finir vite. A ce moment là, c'est moi qui suis en train de l'enculer. J'accélère et éjacule dans ma kpote alors qu'il fait juter PH contre le carrelage. Je passe la main sous son ventre et je sens qu'il a juté lui aussi.
Nous nous remettons corrects, pas la peine de se rhabiller puisque seuls les braguettes et le pantalon de Kamal étaient baissés. De l'autre coté de la porte, Marc avait été rejoint par les autres. Ils avaient veillé à vider la pièce avant que nos bruits ne soient compris et qu'il y ait scandale.
Eclatés de rire, nous sortons des toilettes hommes et regagnons nos motos. La fin du voyage est plus calme et nous trouvons le gite comme prévu. Les autres arrivent en début de soirée et nous passons un bon diner après un apéritif corsé. Du coup en fin de repas, lors de l'attribution des chambres, nous décidons d'utiliser la plus grande comme dortoir. Châssis de lits dégagés tout comme les quelques meubles présents, nous apportons tous les matelas et après un peu de " Tétris ", nous disposons de 20m² de surface de jeux. Ils sont aussitôt testés ! Ça commence à baiser alors que nos deux hommes de service finissent d'enfiler les couettes dans leurs housses. Nous les recevons sur le dos tout comme les oreillers et traversins. Vu la proximité du repas, les pipes ne sont pas aussi profondes que d'habitude mais on se fait quand même plaisir ! Du coup c'est rapidement que les queues s'enfoncent dans les culs.
Phil et Luc, toujours ensemble et toujours objets sexuels des deux frères (de mes anciens clients), sont content de nous revoir. Même s'ils passent leurs vacances à trouver d'autres clients/baiseurs, ils apprécient le retour aux sources. Le calibre d'Eric leur fait toujours le même effet que quand ils apprenaient à piloter sous ses conseils. Ils se rappellent leurs premières touzes organisées à la maison quand moi aussi j'ai commencé l'apprentissage de la moto. Le Louis de Franck est mis à contribution pour son grand plaisir. S'il est toujours aussi amoureux de son mec, il n'a plus aucune appréhension aux baises multiples. Et son coté " salope " ressort dès qu'il en est à son troisième mec. Ce comportement étonne toujours Franck. Alors que je l'encule de face, Franck me dit qu'avec lui, Louis n'est pas aussi " libéré " même s'il est très chaud. Il n'en dit pas plus alors que mes coups de bite commencent à lui faire de l'effet dans son cul, plus rarement utilisé. J'aime ! Il est bien serré, ce que j'aime par-dessus tout avec une rondelle de mec. Marc me remplace bientôt et je vais butiner ailleurs.
Quelques mètres de reptation et je trouve Eric en train de labourer Arnaud. Roulage de pelle aux deux et je continue mon périple à 4 pattes. Je tombe sur Luc en train de limer Daniel. Ils m'excitent, surtout les insultes qu'ils s'échangent. Aux " enculé " succèdent des " salope ", " p'tite bite ", " trou à bite ", et autres compliments. Je m'enfile une kpote, pousse Luc sur Daniel et l'encule dans la foulée. Je ne pensais pas être le premier et n'avais pas ajouté de gel à celui présent sur le plastique. Luc s'en est bien aperçu et un rugissement à accompagné les quelques secondes qui m'ont suffi pour coller mon bassin à ses fesses. Tous les autres ont regardé vers nous puis sont repartis à leurs occupations.  Il nous faut quelques 10aines de secondes pour accorder nos rythmes et c'est parti pour une bonne baise à trois. Comme Luc était en train de baiser Daniel de face, je peux voir  sur le visage de ce dernier la montée de son plaisir. Luc alterne les pelles. Quand il tourne la tête pour me donner sa langue, c'est moi qui impulse le tempo de l'enculage occupé qu'il est à chercher à me manger la langue.
Daniel est le premier à céder et explose entre leurs abdos. Je vois même quelques gouttes de son jus arriver sur sa gorge. Luc explose dans sa kpote et ses spasmes annaux déclenchent mon plaisir. Daniel supporte vaillamment nos deux poids additionnés avant de nous faire glisser sur le coté. Je lève la tête. La plus part sont au même point que nous, seul Eric s'agite encore dans Phil. Nous les regardons tous finir. Il se retire à temps et kpote arrachée, recouvre le dos de Phil d'une belle couche de sperme blanc.
C'est le signal de fin de jeux. Nous nous répartissons dans les 3 salles de bain. Je me retrouve sous la douche avec Kamal. Je lui lave le dos et lui glisse un doigt dans le cul. Il rentre facile ! Je lui demande qui s'en était servi. Il me cite dans le désordre, PH, Franck et aussi Eric avant qu'il ne se finisse dans Phil. Je lui demande de serrer son anneau. Il comprime bien la phalange que j'y ai mise. Nous finissons nos ablutions et je nous nous séchons mutuellement. PH nous rejoint et me propose de le garder entre nous cette nuit. Petit grignotage et dodo.
Samedi
Petit dèj avec baguette fraiche, trop bon ! Merci Samir. Quelques minutes de moto et nous sommes au circuit. Les réjouissances ont déjà commencées et le rugissement des moteurs nous accueille. Après un passage en face des stands, nous déambulons le long du circuit. Nous ne nous cachons pas et mon bras droit enserre les reins de PH dont le bras gauche remonte dans mon dos sa main posée sur mon épaule. A nos cotés Cédric, lui, est collé à son Eric d'amant.
C'est plus nos combis de marques, assez moulantes, qui attirent les regards que notre comportement. Même si nos n'avons pas échappés à quelques remarques homophobes qui s'évanouissaient quand le groupe se retournait pour faire face aux " contradicteurs ". Seul deux conards un peu trop imbibés d'alcool ont poussé le bouchons suffisamment loin pour, qu'avec PH, nous mettions en pratique nos leçons de Krav Maga. Le reste du groupe s'est chargé d'écarter les éventuels amis de ces messieurs. Mise au tapis des deux malotrus en quelques minutes ! J'avoue avoir fait durer un peu le plaisir ! Ce qui nous a le plus amusé ce sont les applaudissements qui ont accompagnés les chutes provenant d'une 20aine de mecs venus nous encercler. Petites courbettes devant le public et j'ai attrapé mon PH pour lui rouler un patin de chez patin ! Nous abandonnons les deux cons et partons boire une bière.
Nous accaparons une table et quelques uns de nos " spectateurs " se joignent à nous. Ils sont ouverts et la discussion est sympathique. Ils nous demandent si c'était du karaté ou quoi. Je leur explique vite fait le Krav Maga. Evidemment il y en a un pour nous demander si PH et moi nous étions " ensemble ". Je me lève et arrivé dans le dos de PH, lui roule un patin puis je vais jusqu'à Marc et réitère la chose. Je finis par leur dire que ces deux là sont mes deux mecs et que les autres sont nos amis. Ils sont un temps sciés par ce qu'ils ont vu. Nous discutons encore un peu et leur disons au revoir. Entre courses (moto) et courses (boutiques), le samedi après midi passe vite. Samedi soir nous rentrons tard mais pour diner quand même. Samir et Ammed avaient cuisiné toute l'après midi pour assurer les repas du WE (ce diner et celui du dimanche soir). Evidement nous n'oublions pas l'apéro. Comme la veille, la soirée se termine en touze. Je me fais plaisir avec la grosse bite d'Eric après m'être fait préparer par une sodo  bien hard de mon Marc et un assouplissement réalisé par Cédric. A se la prendre régulièrement dans le cul, il connait exactement le besoin d'ouverture nécessaire pour bien profiter du sexe de son mec.
Cédric ajoute donc au limage en règle de mon homme, une finition perso à grands coups de langue et de pénétrations graisseuses de ses doigts fins. Je suis tellement parti (sexe, poppers...) que je ne réagis que quand il essaye de me rentrer sa main entière dans mon trou. Il me calme en me disant qu'elle n'est pas plus grosse que la bite d'Eric. PH qui est arrivé à mes cotés me le confirme. Du coup je les laisse faire, j'ai toute confiance en lui pour m'éviter d'être " cassé ".
Doucement, il enfonce de plus en plus loin sa petite main dans mon fondement. PH me surdose de poppers et ajoute régulièrement de la graisse sur mon trou. Sensation de libération quand mon anus se referme sur son poignet. J'ai failli en éjaculer direct ! Les doigts fins de Cédric trouvent ma prostate et me la caresse au travers de la paroi intestinale. C'est hyper kiffant !!! Parti dans mon délire, c'est à peine si j'entends PH demander à Cédric s'il le faisait souvent vu sa dextérité sur ma rondelle. Cédric lui réponds qu'Eric aime bien qu'il prépare ainsi les culs qu'il va baiser à la suite. Je suis réellement entre ses mains. L'une à l'intérieur de moi et l'autre sur ma bite à me branler lentement il contrôle totalement mon excitation. Je n'ai encore jamais connu ça et pourtant je crois avoir essayé pas mal de truc et de bites différentes actionnées par autant de mec aux savoirs faire variés.
Il me " lâche " quand Eric lui dit que je suis prêt. Il appelle Marc et lui demande de se coucher pour que je le chevauche. Sa queue ballotte dans mon trou encore un peu trop grand. Je me doutais de ce qui allait m'arriver, Eric pousse sa bite dans mon cul et je gueule sous l'extrême sensation, qu'à deux, ils me procurent.
Sous le regard de PH en train de se faire pomper par Cédric, ils me font délirer grave et j'explose sous le limage intense qui ravage mon cul. Mon sperme couvre les pecs et le cou de Marc. Encore chaud, je le lèche et la bouche pleine, je roule un patin à mon mec. Je ne sais si c'est ça mais il jute peu après et je le sens en moi. Ça favorise encore les glissements d'Eric et il se retire bientôt. Je sens aussitôt après dégouliner sur mon dos de grosses coulées chaudes.
A PH qui vient de se vider sur Cédric, je souffle qu'il devra essayer ça rapidement tellement c'est bon !
Jardinier
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eddylunique · 2 months
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Soirée 25/07
Enfin ! Enfin je suis ressortie depuis le temps que je le voulais. Par contre dieu sait que j'avais le chat noir hier... Les problèmes de train le matin pour aller en ville, le manque de batterie de mes écouteurs, le fait que je n'arrêtais pas de tousser aussi et que j'avais même des marques sur le torse.. Tellement de soucis sont arrivés hier et ce n'était mais vraiment pas ma journée.
Heureusement ce n'était pas non plus si horrible que ça, j'ai eu le temps de faire plusieurs choses comme des courses, le coiffeur et autre et c'est déjà bien.
La soirée était cool, la première partie au premier bar était sympa, le cocktail était sympa et même si on s'en fiche un peu, les travaux ont changés beaucoup de choses, même les sanitaires étaient plus cool là bas. Il y avait du monde heureusement et on a bien profité, on a même grignoté un peu et on m'a invité donc c'est super.
Maintenant la seconde partie au second bar était d'un genre vraiment différent. Déjà certaines personnes ont du partir plus tôt, on n'était plus que 5 sur 7 en tout, et les gens ne sont pas tous restés très longtemps à cause du métro qui partait tôt ce soir là. Au final vers minuit on était plus que 2 voir même très vite seul aussi. Merci à Charles d'être resté quand même, un type vraiment très sympa, avec la même vibe et l'envie de socialiser au moins autant que moi.
Je me suis rendu compte à un moment dans la soirée que j'étais le petit, le jeune du groupe. Genre tout le monde était plus âgé que moi, tout le monde avait la barbe (moi je rase toujours) et ça c'était assez dingue et ça me faisait beaucoup rire (surtout avec un peu d'alcool déjà). J'étais entourés de "vieux" plus âgés ah ah.
J'ai donc fini la soirée seul.. mais pas vraiment. Avant de partir avec Charles on a pu discuter avec une autre table vite fait et c'était super, on a rencontré un couple de finlandais avec qui il fallait discuter anglais ( je tiens à préciser qu'ils ont trouvés que je parler très bien anglais et que c'était un natif d’Angleterre qui le disait) et qui faisait le tour d'Europe. C'était une rencontre unique en elle même, j'en ai appris beaucoup sur eux et leurs culture et en échange je leur en disais aussi plus sur notre culture et sur l'endroit même ou nous étions etc. Ils ont adorés et moi aussi cette rencontre, ça m'a permis de me sentir moins seul le reste de la soirée. Mais je voulais pas non plus les empêcher de discuter avec plus de monde etc.
D'ailleurs il y a des gens qui ont discutés avec nous donc c'était très variés et amusant. On a rebu un shot et un verre, écouté la musique, profité du moment et c'était tant mieux.
Ce couple partait le lendemain pour l'Espagne et la fin de leur voyage, de mon côté je suis reparti avec un peu plus de souvenirs et malgré toutes les mésaventures, j'en ressors un peu plus heureux aussi.
Par contre la nuit qui suit était horrible, entre la gorge en feu, la chaleur et les difficultés à s'endormir, ce n'était pas facile. Mais ça va mieux aujourd'hui, prêt à apprécier une autre soirée.
:)
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claudehenrion · 3 months
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L'auberge volante.
C'est souvent que je vous parle de GK Chesterton, le géant britannique de la pensée, dont George Bernard Shaw, son ''adversaire et ami'', disait ''C'est un génie colossal''. Je conserve le souvenir du choc que j'ai eu en le découvrant (c'était en ''Prépa'', sous la recommandation d'un de ces formidables professeurs à la culture gigantesque qui nous accueillaient dans leur classe avec une intelligence illimitée et une volonté de transmettre qui frôlait parfois l'irrationnel). J'avais dans les 19 ans et un cerveau tout neuf, prêt à tout avaler, à tout ingurgiter, à tout dévorer... et je me souviens de la décision immédiate (dont les effets se font attendre encore aujourd'hui !) de lire TOUT ce qu'avait écrit cet auteur...
J'ai profité des derniers ''ponts-de-mai'' pour relire ''L'Auberge volante'', ce chef d’œuvre que Pierre Boutang vient de ressortir de l'oubli (Ed. Les Belles Lettres)... La trame de cet ouvrage écrit en 1914 raconte l'histoire d'un jeune Irlandais qui rentre au pays après avoir guerroyé contre les turcs (alliés de l'Allemagne, en 14/18), et à qui son meilleur ami apprend que, sous l'influence maléfique d'un fanatique musulman qui a réussi à se faire élire, un décret va faire fermer tous les ''Pubs'' du Royaume Uni... Un français a déjà du mal à imaginer l'immense catastrophe que pourrait représenter un tel drame pour tout habitant des îles britanniques... mais il est impossible au monde entier d'imaginer ce que cela peut signifier pour un irlandais... Et tout laisse à penser que, il y a cent ans, la catastrophe était encore plus grande !
Il s'agit d'un livre prophétique dont la lecture devrait attirer l'attention de ceux, très minoritaires et quelque peu ostracisés par la ''bien-pensance'' (qui ne sait penser que ''de traviole''!), qui, dans notre Occident européen ou ce qu'il en reste, espèrent encore en des lendemains heureux pour tout ce que nous aimons tant, songent encore à relever certains défis, et persistent à croire qu'il est encore possible de rester fidèles à notre héritage, à notre Histoire, à nos modes de vie et à nos chères traditions, à notre joie de vivre et –pour certains-- à la foi de leurs pères. Il ne fait pas de doute qu'un tel livre serait inconcevable aujourd'hui : son auteur –s'il trouvait un éditeur !-- serait cloué au pilori, sous les habituelles insultes (toutes ''ad hominem'' et sans le moindre lien avec le texte !) de notre pseudo ''intelligentzia'' --ce mot étant devenu pour les cuistres un synonyme de Libé, de l'Obs, de Bfm/TV, de France Inter, de tout l'audio-visuel d'Etat, et des autres fabricants de ''fakes-dans-le-sens-du-vent'' !
Je reprends le résumé de ce brûlot prémonitoire : les politiciens anglais, influencés par ce turc islamique (NB en 1914, le doublon mortifère ''islam'' et ''islamiste'' n'avait pas encore été fabriqué par les progressistes) qui rêve de changer les mœurs ''décadentes'' de son nouveau pays soi-disant d'adoption, décident d'interdire la vente d'alcool en Angleterre et pour cela adoptent des lois pour fermer les auberges, ces célèbres ''Pubs'' qui sont une des raisons de vivre de nos voisins et amis... et une des armes qu'ils ont su mettre au point pour résister aux rigueurs humides de leur climat... Un homme malicieux s'associe alors avec un aubergiste pour lutter contre cette offensive. A eux deux, ils vont inventer de multiples subterfuges pour contourner cette loi scélérate, et ils vont se promener dans les campagnes, avec, dans leur carriole, un énorme fromage de Stilton, quelques tonneaux de ''cervoise tiède'' et, par mesure de sécurité, un peu de bon vieux rhum... et aussi une grande enseigne au nom de l'Auberge Volante, qu'ils plantent sur des devantures improbables où ils s'installent pour regarder leurs concitoyens redevenus heureux de s'offrir un verre dès qu'ils aperçoivent l'enseigne.
Autour de ce canevas amusant, la belle plume de Chesterton nous livre des gags et des apartés ironiques sur la société anglaise de l'époque, et nous offre une belle satire des hommes politiques, des belles anglaises, des journalistes du temps... et de presque tout le monde (y compris les ''redresseurs de torts'' qui écrivent aux journaux, en réaction à un article qui ne va pas ''dans le bon sens de leur mauvaise histoire''), mais aussi de la religion. Un livre surprenant, bourré de phrases aussi dérangeantes que ''les hommes de notre temps se sont complètement trompés sur la vie humaine. Ils semblent attendre ce que la nature n'a jamais promis et ils essaient de ruiner tout ce que la nature a vraiment donné''.... Ce pourquoi je vous en parle, c'est pour le simple raison qu'il est, chaque jour qui passe, plus proche de notre triste actualité... et de la Charia'a...
Là où, évidemment, le bât blesse, côté ''livre prémonitoire'', c'est que les temps ont bien changé, et que, alors que Chesterton déchaîne son imagination dans un monde encore marqué par 20 siècles de civilisation chrétienne qui imprègnent encore la société, les mêmes faits se passeraient aujourd'hui dans notre jungle sans foi mais avec trop de lois (le plus souvent inutiles ou perverses), qui se dit athée pour ne pas avouer qu'elle est toute entière orientée vers une volonté de destruction de toutes ses bases et de tous les fondements sur laquelle elle repose encore... monde où il n'y a plus la moindre place pour l'humour, la dérision, la critique descriptive (donc : non-hostile), voire le plus petit désaccord, sauf à être ostracisé complotiste ou ''d'extrême droite''.
Venant juste après le 'Choc des Civilisations'' de Samuel Huntington, dont nous parlions il y a peu, je dois vous avouer, Amis-lecteurs, que le fait de relire ce livre tant d'années plus tard, m'a tout-à-la fois ébloui –ça, c'est le côté ''intelligence époustouflante de Chesterton''-- et plongé dans une mélancolie mi-triste / mi-nostalgique, devant ce qu'est devenu le monde entre ces deux lectures. Un petit siècle a suffi pour qu'un jeu intellectuel soit transformé (''déformé'', plutôt) en un cauchemar sans lendemains possibles, qui risque de se produire à tout instant –même si, pour parler comme ceux qui refusent de voir ce qui peut les déranger, ''nous n'en sommes pas là'' !
Le théoricien qui fabrique une théorie nouvelle pour raconter un événement nouveau n'est pas très dangereux. Mais celui qui part d'une théorie fausse et regarde ensuite toute chose comme devant uniquement servir à la vérifier, est un dangereux ennemi de la raison humaine. Le premier correspondrait à peu près au personnage du roman de Chesterton, mais le second se retrouve à chaque minute de nos vies, polluant les milieux autrefois dits ''d'élite'' : c'est une illustration au trait à peine ''forcé'' de tous nos politiciens, prêts à toutes les compromissions pour recueillir quelques voix venant de ''l'immigration'', comme de tous nos journalistes, intoxiqués par tous les miasmes qu'a semé la prédominance injustifiée de la Gauche dans la vie intellectuelle de l'Occident—ramené à un spectre de ce qu'il a été, à cause de cette erreur initiale jamais corrigée.
Contrairement à ce que racontent nos soi-disant ''élites'', législateurs compris, l'islamisme et ses dérives sanglantes ne sont pas du tout liés au concept de ''religion'' (que le brave peuple avalerait, dit-on, mieux, utilisé au pluriel : il faut dire : ''c'est la faute des religions'' pour dire ''je hais le catholicisme'') : c'est le meilleur moyen qu'aient trouvé nos Jocrisses pour noyer le poison. A l'opposé complet de ce cette invention perverse, il faut dire et redire que l'islamisme est indéfectiblement lié à l'islam—ce qui n'est ni une accusation ni un rejet : tous mes commentaires autour du Coran témoignent de ma nostalgie de temps -que j'ai tellement aimés-- où il appelait à d'autres ressorts qu'à la seule haine.
Dois-je rappeler –c'est un exemple, déjà cité-- que les terrains sur lesquels a été érigée la superbe Cathédrale Saint-Pierre de Rabat ont été offerts au Protectorat français il y a 100 ans (c'est hier, et c'est si loin, pourtant !) par deux familles musulmanes (les Bargach, que j'ai fort bien connus, et les Mouline, dont un fils était un ami de Lycée) ''pour que les chrétiens puissent prier leur Dieu''. Autres temps... Mais comme il était amical, ouvert et intelligent, le ''monde d'avant'' !
Certain mots (et.. la Vérité !) sont aujourd'hui interdits, par trouille de nuits de violences, de bagnoles brûlées, et les flics sont eux-mêmes sommés de ne plus se défendre, par un système législatif bien plus légaliste que légitime. A l'heure du triomphe de l'affreux ''politiquement correct'' des gauchos infréquentables, de la peur des réactions d'une religion devenue intolérante ou, plus simplement, de la crainte de craintes innommées, je continue à espérer que ceux des musulmans qui se disent (souvent à juste titre) ''intégrés'' et prêts à assumer, jusque dans ses détails, une appartenance à la culture du pays où ils ont décidé de vivre, témoignent enfin de cet attachement dont rêvent tous les ''français de souche... qui n'osent même plus revendiquer ce titre, dont ils devraient être si fiers, pour tant de belles et bonnes raisons, tant qu'on ne bricole pas l'Histoire… en lui tournant le dos : si n'importe qui est capable d'écrire des stupidités aussi énormes que le faux ''Front populaire'' qui n'est ni l'un ni l'autre, tout le monde n'est pas capable d'écrire une ''Auberge volante''... !
H-Cl.
PS – Je n'ai pas voulu que nous nous quittions sur un commentaire --forcément pessimiste-- sur le gouffre sans fond où sombre notre chère et ex-merveilleuse France. Mais des impératifs de déplacements s'ajoutant à la convalescence de mes récents pépins de santé me forcent à interrompre notre dialogue, qui deviendra hebdomadaire jusqu'au 10 septembre, si Dieu le veut (date à reporter sur vos agendas...)... sauf si, comme c'est prévisible, de grands événements forcent une reprise épisodique de nos échanges. Bonnes vacances, et un immense ''Merci'' pour votre patiente et indulgente fidélité.
Claude Henrion.
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marie-swriting · 4 months
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Perte De Temps | Plus Maintenant - Jake "Hangman" Seresin
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Emails I Can't Send Masterlist
Partie une
Partie une - deux (version anglaise)
Résumé : Tu arrives enfin à oublier Jake, mais maintenant, c'est lui qui n'arrive pas à t'enlever de sa tête.
Warnings : Jake est un connard, angst, consommation d'alcool (l'abus d'alcool est dangereux pour la santé !), fin triste (pour Jake), dites-moi si j'en ai oublié d'autres.
Nombre de mots : 1.9k
Chanson qui m'a inspiré : Feather par Sabrina Carpenter
Alors que tu es en train d’appliquer du fard à paupières, la musique de ton téléphone se coupe pour laisser place à ta sonnerie. Tu baisses les yeux et découvres un nom que tu ne pensais plus voir apparaître sur ton écran : celui de Jake. Jake interrompant ta vie n’est malheureusement pas quelque chose d'inhabituel, tu te rappelles bien de la dernière fois que c’est arrivé. 
C’était il y a environ cinq mois. Tu étais dans une situation similaire, tu étais en train de te préparer pour sortir quand Jake t’a appelé et étant encore désespérément amoureuse de lui, tu as décroché en moins d’une seconde. Au début, tu as essayé d’être forte, ne voulant pas lui céder aussi facilement, cependant Jake est un beau parleur, il a su trouver les mots justes pour te faire tomber dans ses bras à nouveau. Au téléphone, Jake était désespéré de te retrouver, d’être l’homme que tu méritais. Il t’a dit tout ce que tu rêvais d’entendre et tu l’as cru. Tu aurais dû te douter que ce n’était que du vent. Jake et toi êtes retournés ensemble pendant deux semaines avant qu’il ne t’abandonne, mais pas en te plaquant par appel téléphonique, non, cette fois, il t’a ghosté. À ce moment-là, c’était la deuxième fois qui le faisait, autant dire que tu as fini par retenir ta leçon. Tu as tout fait pour oublier Jake et te focaliser sur toi et ta carrière dans la Navy. Et tu peux affirmer sans te tromper que tu as réussi. 
En effet, alors que ton téléphone continue de sonner, le nom de Jake te narguant, tu décides de raccrocher. Toutefois, tu ne t’arrêtes pas là. Tu déverrouilles ton téléphone et tu bloques Jake avant de supprimer son contact. En appuyant sur “supprimer ce contact”, tu sens un poids s’enlever de tes épaules. Ton histoire avec Jake est officiellement dans le passé. Tu n’as pas craqué et tu as supprimé la dernière chose qui te reliait à lui. Fière de toi, tu reposes ton téléphone, relances ta musique et tu continues de te maquiller. 
Une fois prête, tu te rends au bar à une vingtaine de minutes de chez toi. Tu retrouves tes amies qui se sont aussi mises sur leur trente-et-un. Vous commandez quelques boissons puis vous vous racontez les derniers potins. Pour la première fois depuis longtemps, tu arrives à passer une soirée avec tes amies sans être déprimée à cause de Jake. Tu rigoles, tu bois, tu danses et tu t’amuses comme tu ne l’avais pas fait depuis longtemps. Tu es tellement dans ta bulle que tu n’entends pas la porte du bar s’ouvrir. Jake et Javy entrent dans le bar, habillés de leur kaki. Jake entend ton rire tout de suite même si tu es à l’opposé de lui. Il te regarde avec tendresse alors que tu continues de t’esclaffer avec tes amies. Jake doit avouer qu’il n’a pas choisi ce bar par hasard. Il sait que tu viens souvent ici avec tes amies et n’ayant pas eu de réponses à ses coups de fils, il avait un petit espoir de te retrouver ici. Il veut te parler, régler les choses et ce soir a l’air d’être le moment parfait. Jake informe Javy qu’il doit s’occuper de quelque chose et qu’il le rejoindra après. Accoudé contre le comptoir, Jake commande une bière pour lui et un verre de bordeaux pour toi - il sait que c’est ton vin préféré tout comme c’est aussi le sien, c’était un de vos nombreux points communs. Pendant qu’il se dirige vers ta table, il sort son meilleur sourire en coin. Avec tes amies, vous buvez cul sec votre shot quand Jake est devant vous.
-Je vous paye une autre tournée de shots, les filles, ça me fait plaisir. 
En entendant la voix de Jake, ton sourire tombe et tes yeux lui lancent des éclairs. 
-Qu’est-ce que tu fais là ?
-Je voulais t’offrir ce verre, dit-il en le posant devant toi. 
-Non, je veux dire qu’est-ce que tu me veux, Jake ? Tu me stalkes ou quoi ?
-Attends, c’est lui Jake ? demande une de tes amies en le regardant de haut en bas.
-Tu as parlé de moi ? Seulement en bien, j’espère, déclare Jake avec un clin d'œil.
-Wow, tu rigolais pas quand tu parlais de son égo surdimensionné, réplique une autre de tes amies en lançant un regard appuyé aux autres femmes.
-Ce n’est pas de ma faute si je suis le meilleur. Mais, passons, je ne suis pas là pour parler de mes exploits, j’aurais aimé te parler, Y/N.
-Et j’ai hâte de pas te parler donc au revoir.
-Y/N, s’il te plait.
-Je suis venue ici avec mes amies, pas pour être avec un ex collant, rétorques-tu alors que Jake essaie de faire bonne figure. 
-Je veux juste faire amende honorable, tu le mérites.
-Pour que tu puisses me remettre dans ton lit avant de me jeter comme une vieille chaussette à nouveau ? Je crois pas, non, alors reprends ton verre de vin et pars, réponds-tu sèchement et tu entends tes amies te soutenir.
-D’accord, je te laisse tranquille, mais tu peux garder le verre, je sais que c’est ton vin préféré, offre-t-il avec un sourire fier.
-Ça ne l’est pas, en fait. C’est ton vin préféré, je faisais semblant d’aimer pour toi. Hors de ma vue, finis-tu en lui redonnant son verre.
Suite à ta réplique, Jake repars avec le vin, sa bière et son sourire en coin afin de cacher son égo blessé. Il ne s’attendait pas à ce que tu le remballes à ce point. Il n’est pas idiot, il savait que tu ne retomberais pas dans ses bras comme la première fois, mais tu n’avais jamais employé ce ton sec contre lui auparavant. Jake pose le verre de vin sur le comptoir avant de retrouver Javy qui ne peut s’empêcher de rigoler ayant regardé la scène au loin. 
Le reste de la soirée se résume à Jake t’admirant au loin t’amuser alors que sa présence ne te préoccupe pas le moins du monde. Jake essaie de trouver une solution pour que tu l’écoutes. Contrairement aux autrefois où il n’était pas trop sûr de lui et de votre relation, cette fois, il veut faire les choses biens, il veut être l’homme que tu veux être. Il sait que tu ne le croiras pas facilement, mais il a bon espoir d’y arriver s’il trouve les bons mots. Javy lui conseille de lâcher l’affaire, voyant très bien que tu es passée à autre chose, mais Jake est têtu. 
A un moment pendant la soirée, tu te rends aux toilettes et alors que tu es en train de te laver les mains, la porte s’ouvre sur Jake. Tu soupires, mais tu ne lui donnes pas plus d’attention.
-Je t’ai appelé ce soir, plusieurs fois, commence-t-il plus humblement que la première fois.
-Je sais.
-Ah bon ? Comme tu n’as pas répondu, je pensais que…
-J’ai ignoré l’appel et au cas où tu voudrais essayer de m’appeler à nouveau dans le futur, ça ne sert à rien, je t’ai bloqué, l’interromps-tu en le regardant dans les yeux. 
-Ok, je comprends pourquoi, je le mérite, j’ai été un connard avec toi.
-C’est le moins qu’on puisse dire. J’ai tout donné pour toi et toi, tu m’as juste donné des peines de cœur. 
-Je sais et je veux arranger les choses. Je n’ai pas été réglo avec toi en rompant sans avoir de bonnes raisons et après en revenant dans ta vie juste pour te laisser seule à nouveau. Je n’aurais pas dû faire ça. Je pense que j’avais peur de m’engager, mais plus maintenant. Cette fois, je te le promets, je serai quelqu’un de meilleur, je serai l’homme que tu mérites, je saurai m’engager avec toi, affirme-t-il, te faisant rire jaune. 
-Comme la dernière fois ? Et la fois d’avant ?
-Non, cette fois je le pense et je veux le faire. Je vais le faire. Tu me manques et tu ne peux pas t’imaginer à quel point je m’en veux. J’aurais dû réaliser que j’étais chanceux de faire partie de ta vie et ne pas gâcher ce qu’on avait. J’ai perdu la seule bonne relation que j’ai jamais eue juste parce que j’ai été trop con. 
-Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? Toutes mes condoléances pour ta perte, mais c’est trop tard, Jake, répliques-tu, complètement agacée. Tu as eu ta chance, tu as eu trop de chances même. C’est toujours pareil avec toi. Je suis toujours la femme de tes rêves et après quand ça devient sérieux, tu prends tes jambes à ton cou. Tu n’arrêtes pas de me de m’envoyer des signaux contradictoires et j’en ai ma claque.  
Dans ta voix, la colère et la douleur se mélangent et le sentiment de culpabilité de Jake s’agrandit. 
-Cette fois, je te promets que c’est différent, je ne te briserai pas le cœur. Je t’aime et je te veux dans ma vie, je veux faire partie de ta vie. 
-Il y a un moment de ma vie où ce genre de discours auraient fonctionné et tu le sais très bien car tu en as abusé à de nombreuses reprises et à chaque fois, je retombais dans tes bras, car j'espérais désespérément que tu aies changé, mais ça n’a jamais été le cas, accuses-tu en le pointant du doigt. J’ai essayé, je suis restée attachée à toi plus longtemps que je n’aurais dû. Tu hantais chacune de mes pensées au point où je n’arrêtais pas d’imaginer des scénarios où tu serais devenu un homme meilleur et c’est pour ça qu’à chaque fois que tu me donnais ne serait-ce qu’une légère impression que tu étais devenu l’homme que j’avais imaginé, je retombais dans tes bras. Tu me rendais folle tellement, tu occupais mon esprit, mais plus maintenant. Avant, j’aurais répondu à ton coup de fil en une seconde. Avant, j’aurais lâché mes amies pour toi. Avant, j’aurais passé ma soirée à me demander ce que tu faisais la soirée. Maintenant, ce n’est plus le cas et mon Dieu, ça fait tellement du bien de ne plus penser à où est-ce que tu pourrais être, à ne plus lâcher les personnes qui comptent pour moi, à ne plus désespérément attendre un signe de vie de toi. J’ai perdu trop de temps pour toi et je ne le ferai plus jamais. Tu n’as pas idée à quel point je me sens plus légère depuis que tu as quitté ma tête. Je t’ai enfin coupé de ma vie et je me sens tellement mieux. Alors, non, Jake, tu ne peux pas refaire partie de ma vie. Peu importe si tu es sincère ce soir quand tu dis que tu veux changer, que tu veux être un homme meilleur, personnellement, je ne veux pas voir ça. Et puis, si tu dois devenir quelqu’un de meilleur, fais-le pour toi. Si tu le fais pour quelqu’un d’autre, ça sera toujours temporaire. Tu dois changer car tu veux changer pour toi-même, pas pour plaire à une femme. En tout cas, j’espère que notre histoire te servira de leçon, que tu ne prendras plus pour acquis la femme en face de toi et que tu garderas en tête qu’à un moment, elle en pourra en avoir marre de tes conneries et qu’elle te laissera comme je le fais. Tout ça pour dire, assure toi d’avoir arrangé tous tes problèmes d’engagement avant de trouver une nouvelle femme, comme ça, tu ne feras pas ce que tu sais faire de mieux, la laisser en plan. Arrête d’être Hangman et devient Jake.
Jake reste planté là pendant qu’il tente de digérer ce que tu viens de lui dire, comprenant qu’il a ruiné toutes ses chances avec toi. De ton côté, tu n’attends pas une seconde de plus et tu sors des toilettes, claquant la porte derrière toi et en abandonnant également Jake.
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«C'est avec des gens heureux qu'on fait les meilleurs damnés.»
Le principe du diable tient bon. Il avait raison comme toujours, en braquant l'Homme sur la matière. Ça n'a pas traîné. En deux siècles, tout fou d'orgueil, dilaté par la mécanique, il est devenu impossible. Tel nous le voyons aujourd'hui, hagard, saturé, ivrogne d'alcool, de gazoline, défiant, prétentieux, l'univers avec un pouvoir en secondes! Eberlué, démesuré, irrémédiable, mouton et taureau mélangé, hyène aussi. Charmant. Le moindre obstrué trou du cul, se voit Jupiter dans la glace. Voilà le grand miracle moderne. Une fatuité gigantesque, cosmique. L'envie tient la planète en rage, en tétanos, en surfusion. Le contraire de ce qu'on voulait arrive forcément. Tout créateur au premier mot se trouve à présent écrasé de haines, concassé, vaporisé. Le monde entier tourne critique, donc effroyablement médiocre. Critique collective, torve, larbine, bouchée, esclave absolue.
Rabaisser l'Homme à la matière, c'est la loi secrète… (Céline)
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