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#filières émergentes
kachmedcom · 10 months
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Des formations sur les filières émergentes.
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learnthingsfr · 10 months
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buzzkafunel · 1 year
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Le communiqué du Conseil des ministres de ce mercredi 17 mai 2023. Le Conseil des ministres s’est tenu ce mercredi 17 mai 2023 au Palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Macky SALL. Conseil des ministres de ce mercredi 17 mai 2023 nominations au Conseil des ministres du 26 avril 2023 A l’entame de sa communication, le Président de la République a adressé, au nom de la Nation, ses condoléances les plus attristées à la Oumah Islamique et à la Communauté Qadria en particulier, suite au rappel à Dieu, hier, du vénéré Cheikh Bécaye Al Bécaye KOUNTA, Khalife général de Ndiassane. → A LIRE AUSSI  Le président Macky Sall nomme Modou Mbacké Bara Dolly (Photo) Le Chef de l’Etat a salué la mémoire du défunt Guide religieux, qui a toujours œuvré avec générosité pour la solidarité islamique, la paix et la stabilité du Sénégal. Le Président de la République a informé le Conseil avoir reçu une forte délégation du Khalife général des mourides Serigne Mountaqa Bassirou Mbacké, venue lui transmettre le message de paix et de concorde nationale délivré par le Chef religieux lors de la célébration de l’Eid el Fitr. Ledit message rencontre l’Appel au dialogue lancé par le Chef de l’Etat à toutes les forces vives de la Nation pour la préservation de la paix et de la stabilité dans notre pays. Conseil des ministres Communiqué du mercredi 5 avril 2023_Palais-de-la-Republique-du-Senegal → A LIRE AUSSI  Audience au Palais : Voici le message de Serigne Mountakha Mbacké aurait envoyé à Macky Sall (Vidéo) Le Chef de l’Etat a par ailleurs adressé, ses félicitations à la Communauté chrétienne à l’occasion de la célébration de la fête de l’Ascension. Revenant sur la qualification des lionceaux U17 à la finale de la Coupe d’Afrique des Nations de football, le Chef de l’Etat a félicité nos joueurs et leur encadrement administratif et technique pour leur brillant parcours lors de cette compétition, confirmant ainsi le leadership du football sénégalais à l’échelle continentale, au niveau des équipes nationales. → A LIRE AUSSI  La décision ferme de Macky Sall sur les fake news et manipulation : « Nous ferons face aux défis » Le Président de la République a demandé au Premier Ministre, et Ministre des Sports, de poursuivre, en relation avec la Fédération sénégalaise de Football (FSF), le renforcement de l’écosystème du football local à travers la mise en œuvre d’un programme national de développement du football cohérent et inclusif, répondant aux enjeux et défis d’un Sport national émergent. S’agissant du lancement de la Semaine nationale du Numérique « SENEGAL CONNECT 2023 » et de la remise du Grand prix du Chef de l’Etat pour l’innovation numérique, le Chef de l’Etat a félicité le Ministre de la Communication, des Télécommunications et de l’Economie numérique, Monsieur Moussa Bocar Thiam et l’ensemble des acteurs privés et partenaires de l’Etat, pour l’organisation réussie de cette manifestation majeure de l’agenda national. Le Président de la République a rappelé au Gouvernement l’option irréversible de l’Etat pour le renforcement de l’économie numérique, dans toutes ses composantes et filières avec le concept de « Sénégal Numérique 2025 », qu’il a initié depuis plusieurs années (2016), et qui est basé sur l’accès universel des sénégalaises et des sénégalais aux services de qualité à des coûts réduits. Dans cette dynamique, le Chef de l’Etat a demandé au Gouvernement et au Ministre en charge de l’Economie numérique d’accélérer, en liaison avec les acteurs privés, le processus d’actualisation des stratégies nationales relatives au numérique (Sénégal Numérique, Cybersécurité, développement des Startups…) en vue d’asseoir la souveraineté numérique du Sénégal. Dans le même élan, le Président de la République a demandé au Premier Ministre de redynamiser le Conseil national de l’Economie numérique afin de mieux intégrer la transformation n
umérique dans : Communiqué et Nominations du Conseil des Ministres de ce mercredi 29 mars 2023 →1. le fonctionnement des administrations, notamment celles financières avec la digitalisation intégrale des régies financières ; →2. le développement du secteur privé ; →3. l’évolution de plusieurs secteurs (éducation, formation, santé, urbanisme, télétravail…). Le Chef de l’Etat a notamment signalé la nécessité de finaliser, avant octobre 2023, les travaux et l’équipement fonctionnel du Parc des technologies numériques (PTN) de Diamniadio et de veiller à l’entretien permanent et à la rentabilisation des infrastructures numériques publiques (Data center national, réseaux de fibres optiques…), selon une doctrine d’exploitation de référence. Par ailleurs, le Président de la République a rappelé son attachement à la maitrise stratégique de la problématique de la Cybersécurité. A ce titre, il a demandé au Premier Ministre, au Ministre en charge des Finances, au Ministre de l’Economie numérique et au Ministre, Secrétaire général de la Présidence de la République de prendre toutes les mesures administratives et techniques nécessaires, en vue : →(i) d’assurer la protection optimale des données et des infrastructures d’information critiques; →(ii) d’une meilleure régulation des réseaux sociaux ; →(iii) de consolider la résilience du Sénégal face aux cyberattaques et d’asseoir la confiance numérique. Enfin, le Chef de l’Etat a invité le Premier Ministre à tenir une réunion interministérielle sur les projets numériques du Sénégal dans le but d’accélérer, dans tous les domaines, la transformation numérique du pays en cohérence avec le Plan Sénégal Emergent (PSE), dont le PAP 3 doit intégrer les projets prioritaires de renforcement de la souveraineté numérique. Revenant sur le nouveau programme du Sénégal avec le Fonds monétaire international (FMI), le Président de la République a félicité le Gouvernement, notamment le Premier Ministre, le Ministre des Finances et du Budget et le Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, pour le travail de qualité accompli en vue de la conclusion satisfaisante des négociations avec le FMI, pour un nouveau programme économique et financier, d’un montant de 1150 milliards FCFA sur trois (3) ans (2023-2026). A cet effet, le Chef de l’Etat a demandé au Premier Ministre et aux Ministres sectoriels de veiller au respect des engagements du Gouvernement en termes de réformes attendues et de renforcement de la gestion des finances publiques. Sur le climat social, la gestion et le suivi des affaires intérieures, le Chef de l’Etat est revenu sur : Nominations du conseil des ministres du mercredi 1er mars 2023 à Sédhiou →● la consolidation de la paix et du développement durable de la région naturelle de Casamance : en se félicitant de la signature de l’acte III de l’accord de paix conclu entre l’Etat du Sénégal et l’initiative pour la réunification des ailes politiques et armées au nom de Diakaye. Le Président de la République a saisi l’occasion pour réitérer sa main tendue à toutes les personnes engagées pour la paix définitive en Casamance, conformément à Son Appel lancé le 02 mars 2023 à Goudomp, lors de sa tournée économique dans la région de Sédhiou. Le Chef de l’Etat a ainsi salué la tenue de la cérémonie de dépôt des armes, le samedi 13 mai 2023, à Mongone dans la commune de Djignaky. Le Président de la République a félicité les membres du Comité ad hoc, les organisations et parties prenantes qui ont permis d’aboutir à la finalisation de cette phase essentielle dans la consolidation de la paix en Casamance. →Le Chef de l’Etat a, dès lors, demandé au Gouvernement de poursuivre la mise en œuvre des engagements déjà pris, en facilitant l’installation et l’insertion des ex-combattants recensés ; →la réalisation d’infrastructures de désenclavement et socio-économiques de base dans les localités sécurisées ; →ainsi que la prise en charge 3 Commun
iqué du Conseil des Ministres du 17 mai 2023 des questions administratives et de développement durable, évoquées durant le processus de pacification des zones concernées. →● la relance du mouvement navétanes : en demandant au Premier Ministre et Ministre des Sports de préparer un programme spécial de relance du Mouvement Navétanes, impliquant toutes les parties prenantes. Le Président de la République a annoncé l’audience qu’il accordera, au courant du mois de juin 2023, à toutes les composantes du Mouvement Navétanes, en vue de la relance des activités de vacances dans le cadre du programme spécial de soutien qui sera validé lors du Conseil Présidentiel prévu. Dans sa communication, le Premier Ministre est revenu sur le suivi de la coordination de l’activité gouvernementale en évoquant : Conseil des ministres du mercredi 15 mars 2023 →● sa visite à Saint Louis ; →● la Conférence de l’Association des Services correctionnels d’Afrique ; →● la réunion interministérielle sur l’approvisionnement en matériaux des projets routiers et autoroutiers ; →● la réunion sur les projets du secteur l’Enseignement supérieur ; →● la réunion sur la phase 2 du TER ; →● la phase finale de la Coupe du monde des U20 et la candidature du Sénégal pour l’organisation de la CAN 2027. AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES Communiqué du Conseil des ministres du mercredi 18 janvier 2023 →● le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait une communication sur la situation internationale ; →● le Ministre des Finances et du Budget a fait une communication sur le nouveau programme économique et financier du Sénégal avec le FMI 2023-2026 ; →● le Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération a fait une communication sur les états d’avancement du 5e recensement général de la population et de l’habitat (RGPH5), de l’élaboration du plan d’action prioritaire n° 3 (PAP 3) du PSE et du processus du « Rebasing » du PIB. AU TITRE DES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES Nominations lors du Conseil des Ministres de ce mercredi 11 janvier 2023_Sénégal – Palais-du-Senegal- Le Conseil a examiné et adopté : →● le projet de décret portant organisation du Ministère du Pétrole et des Energies. Fait à Dakar le 17 mai 2023 Le Ministre du Commerce, de la Consommation et des Petites et moyennes Entreprises, Porte-parole du Gouvernement Abdou Karim FOFANA
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thebusylilbee · 3 years
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"Quels sont les genres musicaux les plus légitimes ? La réponse, qui a semblé évidente pendant des siècles, avec la musique classique trônant au-dessus du reste, est plus complexe depuis plusieurs décennies. En musique comme dans les autres registres culturels. Dans Culture de masse et sociétés de classes, le sociologue Philippe Coulangeon se pose la question de ces nouvelles normes qui encouragent, pour le dire vite, l'ouverture, non pour effacer les classes sociales mais pour en reconfigurer les frontières. Et faire de l'altérité, de l'éclectisme, un nouveau privilège entre riches et pauvres. Au-delà de Pierre Bourdieu dont il est souvent question, le directeur de recherche au CNRS s'appuie aussi sur les travaux du sociologue américain Richard Peterson sur l' « omnivore/univore » culturel publiés au début des années 90 et déroule une réflexion sur le dépassement du « savant et du populaire ».
« Légitimité ». En classant les Français dans quatre grandes catégories (populaire établi et émergent, légitime établi et émergent), il montre que le légitime émergent, jeune, urbain, socialement privilégié et scolairement doté ne rejette aucune pratique a priori, qu'il est aussi un « omnivore » culturel, au contraire, surtout, du populaire établi: il lit un livre par mois, des romans classiques jusqu'aux bandes dessinées, passe ses vacances à l'étranger, écoute du hip-hop et de l'opéra, consomme des films d'auteur et Arte comme des films policiers et Canal+. Mais, précise l'auteur, si « la plus grande volatilité des normes de la légitimité culturelle et l'assouplissement des frontières entre les répertoires modifient la nature des inégalités culturelles, [...] elle n'en réduit pas la portée ». Avec comme danger l'appropriation des registres produits auparavant par les classes populaires, qui conduit même parfois à l'exclusion de ces dernières desdits registres.
L'intérêt principal de l'ouvrage est qu'il croise différents concepts et thèmes de la sociologie afin de saisir l'importance concrète de cette altérité, et l'impact de cette reconfiguration. Dans une démonstration assez saisissante, il tire par exemple le fil de l'éclectisme culturel jusqu'à la chose politique. « L'adhésion à une norme de légitimité culturelle fondée sur la familiarité avec les registres savants et une certaine ouverture à la diversité semble bien ainsi aller de pair avec des dispositions politiques marquées du sceau de l'ouverture au monde et de l'adhésion aux valeurs libérales, dans la composante politique de ces valeurs. » Comme le caractère omnivore, qui a en partie remplacé la culture savante dans les décennies précédentes, la reconfiguration de la gauche, historiquement acquise au monde du salariat, et de la droite, à la classe bourgeoise, a cédé la place à d'autres clivages, comme la sauvegarde de l'environnement, la mondialisation et l'Europe, les droits des minorités et des immigrés ou l'égalité femmes-hommes. L'auteur rappelle cependant que « la thèse de la disparition du vote de classe procède d'une lecture très partielle de la notion de classe sociale, réduite à sa dimension économique ».
« Hiérarchisation ». Spécialiste des questions d'éducation, Philippe Coulangeon montre par ailleurs le rôle de l'expansion scolaire, qui s'observe à travers le monde. Mais là aussi cette expansion, dont les «80 % au bac» en France sont un avatar, ne donne pas lieu à un effacement des classes sociales. Elles se recomposent alors moins entre le «au-dedans» (classes moyennes et aisées) et le «au-dehors» (classes populaires) du système scolaire que par une reconfiguration interne. « Un peu partout dans le monde, écrit le sociologue, la diffusion de l'enseignement secondaire et supérieur s'accompagne d'une différenciation et d'une hiérarchisation des filières, qui épouse assez étroitement les contours des frontières entre les classes sociales. »
Si l'auteur multiplie les sources, les explications fluides de concepts pourtant sinueux, de termes qui, comme le capital culturel, peuvent être utilisés avec différentes définitions, son ouvrage a parfois une certaine exigence pour qui n'a pas étudié la sociologie ou lu ses penseurs. Une complexité que les premiers chapitres s'échinent à surmonter puisqu'ils fixent un état partiel des connaissances sur le sujet. Pour clarifier également, des graphiques, divers dans leurs formes, permettent d'illustrer les analyses quantitatives sur l'éducation ou la culture, et une articulation texte et infographies rappelle la Reproduction de Pierre Bourdieu. Un classique de la sociologie du XXe siècle, dont Coulangeon propose une mise à jour, conservant une grande partie de sa matrice théorique tout en la prolongeant afin d'éclairer notre époque, comme Bourdieu l'avait fait pour les années 60 et 70.
- Philippe Coulangeon, Culture de masse et sociétés de classes: Le Goût de l'altérité, PUF, 368 pp., 20 € (ebook : 15,99 €)."
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ppwbm-blog · 2 years
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Blockchain et NFT : Quel futur pour l’industrie musicale ?
Blockchain et NFT : Quel futur pour l’industrie musicale ?
Par Rémy Guichardaz, Laurent Bach, Eric Schenk À travers les stratégies d’acteurs historiques et émergents, la filière musicale semble aujourd’hui à l’avant-garde des changements liés à la blockchain. Cet article s’intéresse aux promesses de cette technologie et propose des scénarios prospectifs qui se distinguent par le degré d’appropriation de la technologie blockchain par les acteurs, et par…
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kachmedcom · 10 months
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Des formations sur les filières émergentes.
Des formations sur les filières émergentes. Vous souhaitez vous orienter ou vous reconvertir ou vous divertir ? Parcourez les métiers qui recrutent, ou qui enrichissent votre savoir, ou tout simplement qui vous divertissent. Certainement vous trouverez
Vous souhaitez vous orienter ou vous reconvertir ou vous divertir ?Des formations sur les filières émergentes ou en forte évolution.Parcourez les métiers qui recrutent, ou qui enrichissent votre savoir, ou tout simplement qui vous divertissent. Certainement vous trouverez le niche pouvant vous intéresser ! !Nos formations sont accréditées par IPHM (International Practitioners of Holistic…
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katakaal · 3 years
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Le Sénégal a plus que doublé ses exportations en horticulture qui sont passées de 56 778 à 122 412 tonnes entre 2012 et 2018, soit une rentrée de devise de plus de 75 milliards de francs CFA par année, a souligné jeudi Dr Macoumba Diouf, directeur de l’Horticulture en marge du Salon international de l’agricolture de Paris. ’’Nos exportations horticoles sont passées de 56 778 tonnes en 2012 à 122 412 tonnes en 2018 avec des rentrées de devises de l’ordre de plus de 75 milliards FCFA par année. Cela peut contribuer à la politique d’équilibrage de notre balance commerciale qui est très déficitaire de l’ordre de 1600 milliards en 2018’’, a déclaré Dr Diouf. Il prend part au SIA 2020 où il a exposé ’’les réussites sénégalaises en matière horticole tout en nouant des partenariats en vue de continuer à booster (les) exportations agricoles qui sont essentiellement horticoles’’. Dr Macoumba Diouf, directeur de l’Horticulture ’’Nous ne devons pas nous contenter de nous glorifier de ces résultats et de ces acquis parce que le potentiel est loin d’avoir été exploité’’, a ajouté le directeur de l’Horticulture au Ministère de l’Agriculture, insistant sur la nécessité de booster le secteur. ’’Il faut faire cap sur l’industrialisation pour booster davantage le secteur horticole. Nous devons accélérer la transformation des fruits et légumes en évitant au maximum d’exporter les produits de façon brute pour l’approvisionnement du marché local d’abord avant de tourner vers l’export’’, a préconisé Dr Macoumba Diouf. Il a plaidé pour la satisfaction des besoins des Sénégalais en fruits et légumes à partir de la production locale. A lire aussi : Israël bloque les exportations agricoles palestiniennes ’’La transformation et l’industrialisation nous permettront d’avoir plus de poids dans le marché communautaire de 1, 2 milliards de consommateurs de la Zone de libre échange continentale africaine (ZLECA)’’, a-t-il poursuivi, invitant le secteur privé national à exploiter les opportunités du secteur horticole sénégalais ’’caractérisé par un climat favorable, des terres fertiles et des bras valides’’. Exportations horticoles se multiplient par deux en six ans exportations horticoles sont passées de 56 778 tonnes en 2012 à 122 412 tonnes en 2018 avec des rentrées de devises de l’ordre de plus de 75 milliards FCFA par année ’’Le marché sénégalais est approvisionné en oignon locale 8 mois sur 12, alors que la production nationale peut satisfaire les besoins nationaux 12 mois sur 12. Mais c’est impossible faute d’infrastructures de conservation et de stockage aux normes’’, a déploré Macoumba Diouf. Il a plaidé pour l’exploitation des opportunités qu’offre le PSE-Vert (Plan Sénégal émergent) qui ’’recommande une stratégie de transition agro-écologique en vue d’augmenter la valeur ajoutée des produits locaux avec une meilleure offre exportable en usant notamment sur l’approche bio et sur celle agro-écologique’’. Le Salon international de l’agriculture de Paris, ouvert le 22 février, se veut "la plus grande ferme de France". L’édition 2020, prévue pour se dérouler jusqu’au 1er mars prochain, est axée sur quatre thèmes majeurs que sont l’élevage et ses filières, les produits des régions de France, d’Outre-mer et du monde, les cultures et filières végétales, jardin et potager, ainsi que les services et métiers de l’agriculture. "L’agriculture vous tend les bras" est le thème général du SIA 2020. Cette manifestation réunit chaque année des éleveurs, producteurs, représentants d’organisations du secteur et de syndicats professionnels, de ministères et organismes publics ou encore d’instituts de recherche.
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kafunel · 3 years
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Le Sénégal a plus que doublé ses exportations en horticulture qui sont passées de 56 778 à 122 412 tonnes entre 2012 et 2018, soit une rentrée de devise de plus de 75 milliards de francs CFA par année, a souligné jeudi Dr Macoumba Diouf, directeur de l’Horticulture en marge du Salon international de l’agricolture de Paris. ’’Nos exportations horticoles sont passées de 56 778 tonnes en 2012 à 122 412 tonnes en 2018 avec des rentrées de devises de l’ordre de plus de 75 milliards FCFA par année. Cela peut contribuer à la politique d’équilibrage de notre balance commerciale qui est très déficitaire de l’ordre de 1600 milliards en 2018’’, a déclaré Dr Diouf. Il prend part au SIA 2020 où il a exposé ’’les réussites sénégalaises en matière horticole tout en nouant des partenariats en vue de continuer à booster (les) exportations agricoles qui sont essentiellement horticoles’’. Dr Macoumba Diouf, directeur de l’Horticulture ’’Nous ne devons pas nous contenter de nous glorifier de ces résultats et de ces acquis parce que le potentiel est loin d’avoir été exploité’’, a ajouté le directeur de l’Horticulture au Ministère de l’Agriculture, insistant sur la nécessité de booster le secteur. ’’Il faut faire cap sur l’industrialisation pour booster davantage le secteur horticole. Nous devons accélérer la transformation des fruits et légumes en évitant au maximum d’exporter les produits de façon brute pour l’approvisionnement du marché local d’abord avant de tourner vers l’export’’, a préconisé Dr Macoumba Diouf. Il a plaidé pour la satisfaction des besoins des Sénégalais en fruits et légumes à partir de la production locale. A lire aussi : Israël bloque les exportations agricoles palestiniennes ’’La transformation et l’industrialisation nous permettront d’avoir plus de poids dans le marché communautaire de 1, 2 milliards de consommateurs de la Zone de libre échange continentale africaine (ZLECA)’’, a-t-il poursuivi, invitant le secteur privé national à exploiter les opportunités du secteur horticole sénégalais ’’caractérisé par un climat favorable, des terres fertiles et des bras valides’’. Exportations horticoles se multiplient par deux en six ans exportations horticoles sont passées de 56 778 tonnes en 2012 à 122 412 tonnes en 2018 avec des rentrées de devises de l’ordre de plus de 75 milliards FCFA par année ’’Le marché sénégalais est approvisionné en oignon locale 8 mois sur 12, alors que la production nationale peut satisfaire les besoins nationaux 12 mois sur 12. Mais c’est impossible faute d’infrastructures de conservation et de stockage aux normes’’, a déploré Macoumba Diouf. Il a plaidé pour l’exploitation des opportunités qu’offre le PSE-Vert (Plan Sénégal émergent) qui ’’recommande une stratégie de transition agro-écologique en vue d’augmenter la valeur ajoutée des produits locaux avec une meilleure offre exportable en usant notamment sur l’approche bio et sur celle agro-écologique’’. Le Salon international de l’agriculture de Paris, ouvert le 22 février, se veut "la plus grande ferme de France". L’édition 2020, prévue pour se dérouler jusqu’au 1er mars prochain, est axée sur quatre thèmes majeurs que sont l’élevage et ses filières, les produits des régions de France, d’Outre-mer et du monde, les cultures et filières végétales, jardin et potager, ainsi que les services et métiers de l’agriculture. "L’agriculture vous tend les bras" est le thème général du SIA 2020. Cette manifestation réunit chaque année des éleveurs, producteurs, représentants d’organisations du secteur et de syndicats professionnels, de ministères et organismes publics ou encore d’instituts de recherche.
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kachmedcom · 2 years
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Métiers et Loisirs
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Vous souhaitez vous orienter ou vous reconvertir ou vous divertir ? Notre plateforme 1tpe vous propose des formations sur les filières émergentes ou en forte évolution.   Parcourez les métiers qui recrutent,  ou qui enrichissent votre savoir, ou tout simplement qui vous divertissent. Certainement vous trouverez le niche pouvant vous intéresser ! !
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buzzkafunel · 3 years
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Le Sénégal a plus que doublé ses exportations en horticulture qui sont passées de 56 778 à 122 412 tonnes entre 2012 et 2018, soit une rentrée de devise de plus de 75 milliards de francs CFA par année, a souligné jeudi Dr Macoumba Diouf, directeur de l’Horticulture en marge du Salon international de l’agricolture de Paris. ’’Nos exportations horticoles sont passées de 56 778 tonnes en 2012 à 122 412 tonnes en 2018 avec des rentrées de devises de l’ordre de plus de 75 milliards FCFA par année. Cela peut contribuer à la politique d’équilibrage de notre balance commerciale qui est très déficitaire de l’ordre de 1600 milliards en 2018’’, a déclaré Dr Diouf. Il prend part au SIA 2020 où il a exposé ’’les réussites sénégalaises en matière horticole tout en nouant des partenariats en vue de continuer à booster (les) exportations agricoles qui sont essentiellement horticoles’’. Dr Macoumba Diouf, directeur de l’Horticulture ’’Nous ne devons pas nous contenter de nous glorifier de ces résultats et de ces acquis parce que le potentiel est loin d’avoir été exploité’’, a ajouté le directeur de l’Horticulture au Ministère de l’Agriculture, insistant sur la nécessité de booster le secteur. ’’Il faut faire cap sur l’industrialisation pour booster davantage le secteur horticole. Nous devons accélérer la transformation des fruits et légumes en évitant au maximum d’exporter les produits de façon brute pour l’approvisionnement du marché local d’abord avant de tourner vers l’export’’, a préconisé Dr Macoumba Diouf. Il a plaidé pour la satisfaction des besoins des Sénégalais en fruits et légumes à partir de la production locale. A lire aussi : Israël bloque les exportations agricoles palestiniennes ’’La transformation et l’industrialisation nous permettront d’avoir plus de poids dans le marché communautaire de 1, 2 milliards de consommateurs de la Zone de libre échange continentale africaine (ZLECA)’’, a-t-il poursuivi, invitant le secteur privé national à exploiter les opportunités du secteur horticole sénégalais ’’caractérisé par un climat favorable, des terres fertiles et des bras valides’’. Exportations horticoles se multiplient par deux en six ans exportations horticoles sont passées de 56 778 tonnes en 2012 à 122 412 tonnes en 2018 avec des rentrées de devises de l’ordre de plus de 75 milliards FCFA par année ’’Le marché sénégalais est approvisionné en oignon locale 8 mois sur 12, alors que la production nationale peut satisfaire les besoins nationaux 12 mois sur 12. Mais c’est impossible faute d’infrastructures de conservation et de stockage aux normes’’, a déploré Macoumba Diouf. Il a plaidé pour l’exploitation des opportunités qu’offre le PSE-Vert (Plan Sénégal émergent) qui ’’recommande une stratégie de transition agro-écologique en vue d’augmenter la valeur ajoutée des produits locaux avec une meilleure offre exportable en usant notamment sur l’approche bio et sur celle agro-écologique’’. Le Salon international de l’agriculture de Paris, ouvert le 22 février, se veut "la plus grande ferme de France". L’édition 2020, prévue pour se dérouler jusqu’au 1er mars prochain, est axée sur quatre thèmes majeurs que sont l’élevage et ses filières, les produits des régions de France, d’Outre-mer et du monde, les cultures et filières végétales, jardin et potager, ainsi que les services et métiers de l’agriculture. "L’agriculture vous tend les bras" est le thème général du SIA 2020. Cette manifestation réunit chaque année des éleveurs, producteurs, représentants d’organisations du secteur et de syndicats professionnels, de ministères et organismes publics ou encore d’instituts de recherche.
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belifii · 3 years
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Le Sénégal a plus que doublé ses exportations en horticulture qui sont passées de 56 778 à 122 412 tonnes entre 2012 et 2018, soit une rentrée de devise de plus de 75 milliards de francs CFA par année, a souligné jeudi Dr Macoumba Diouf, directeur de l’Horticulture en marge du Salon international de l’agricolture de Paris. ’’Nos exportations horticoles sont passées de 56 778 tonnes en 2012 à 122 412 tonnes en 2018 avec des rentrées de devises de l’ordre de plus de 75 milliards FCFA par année. Cela peut contribuer à la politique d’équilibrage de notre balance commerciale qui est très déficitaire de l’ordre de 1600 milliards en 2018’’, a déclaré Dr Diouf. Il prend part au SIA 2020 où il a exposé ’’les réussites sénégalaises en matière horticole tout en nouant des partenariats en vue de continuer à booster (les) exportations agricoles qui sont essentiellement horticoles’’. Dr Macoumba Diouf, directeur de l’Horticulture ’’Nous ne devons pas nous contenter de nous glorifier de ces résultats et de ces acquis parce que le potentiel est loin d’avoir été exploité’’, a ajouté le directeur de l’Horticulture au Ministère de l’Agriculture, insistant sur la nécessité de booster le secteur. ’’Il faut faire cap sur l’industrialisation pour booster davantage le secteur horticole. Nous devons accélérer la transformation des fruits et légumes en évitant au maximum d’exporter les produits de façon brute pour l’approvisionnement du marché local d’abord avant de tourner vers l’export’’, a préconisé Dr Macoumba Diouf. Il a plaidé pour la satisfaction des besoins des Sénégalais en fruits et légumes à partir de la production locale. A lire aussi : Israël bloque les exportations agricoles palestiniennes ’’La transformation et l’industrialisation nous permettront d’avoir plus de poids dans le marché communautaire de 1, 2 milliards de consommateurs de la Zone de libre échange continentale africaine (ZLECA)’’, a-t-il poursuivi, invitant le secteur privé national à exploiter les opportunités du secteur horticole sénégalais ’’caractérisé par un climat favorable, des terres fertiles et des bras valides’’. Exportations horticoles se multiplient par deux en six ans exportations horticoles sont passées de 56 778 tonnes en 2012 à 122 412 tonnes en 2018 avec des rentrées de devises de l’ordre de plus de 75 milliards FCFA par année ’’Le marché sénégalais est approvisionné en oignon locale 8 mois sur 12, alors que la production nationale peut satisfaire les besoins nationaux 12 mois sur 12. Mais c’est impossible faute d’infrastructures de conservation et de stockage aux normes’’, a déploré Macoumba Diouf. Il a plaidé pour l’exploitation des opportunités qu’offre le PSE-Vert (Plan Sénégal émergent) qui ’’recommande une stratégie de transition agro-écologique en vue d’augmenter la valeur ajoutée des produits locaux avec une meilleure offre exportable en usant notamment sur l’approche bio et sur celle agro-écologique’’. Le Salon international de l’agriculture de Paris, ouvert le 22 février, se veut "la plus grande ferme de France". L’édition 2020, prévue pour se dérouler jusqu’au 1er mars prochain, est axée sur quatre thèmes majeurs que sont l’élevage et ses filières, les produits des régions de France, d’Outre-mer et du monde, les cultures et filières végétales, jardin et potager, ainsi que les services et métiers de l’agriculture. "L’agriculture vous tend les bras" est le thème général du SIA 2020. Cette manifestation réunit chaque année des éleveurs, producteurs, représentants d’organisations du secteur et de syndicats professionnels, de ministères et organismes publics ou encore d’instituts de recherche.
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sportskafunel · 3 years
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Le Sénégal a plus que doublé ses exportations en horticulture qui sont passées de 56 778 à 122 412 tonnes entre 2012 et 2018, soit une rentrée de devise de plus de 75 milliards de francs CFA par année, a souligné jeudi Dr Macoumba Diouf, directeur de l’Horticulture en marge du Salon international de l’agricolture de Paris. ’’Nos exportations horticoles sont passées de 56 778 tonnes en 2012 à 122 412 tonnes en 2018 avec des rentrées de devises de l’ordre de plus de 75 milliards FCFA par année. Cela peut contribuer à la politique d’équilibrage de notre balance commerciale qui est très déficitaire de l’ordre de 1600 milliards en 2018’’, a déclaré Dr Diouf. Il prend part au SIA 2020 où il a exposé ’’les réussites sénégalaises en matière horticole tout en nouant des partenariats en vue de continuer à booster (les) exportations agricoles qui sont essentiellement horticoles’’. Dr Macoumba Diouf, directeur de l’Horticulture ’’Nous ne devons pas nous contenter de nous glorifier de ces résultats et de ces acquis parce que le potentiel est loin d’avoir été exploité’’, a ajouté le directeur de l’Horticulture au Ministère de l’Agriculture, insistant sur la nécessité de booster le secteur. ’’Il faut faire cap sur l’industrialisation pour booster davantage le secteur horticole. Nous devons accélérer la transformation des fruits et légumes en évitant au maximum d’exporter les produits de façon brute pour l’approvisionnement du marché local d’abord avant de tourner vers l’export’’, a préconisé Dr Macoumba Diouf. Il a plaidé pour la satisfaction des besoins des Sénégalais en fruits et légumes à partir de la production locale. A lire aussi : Israël bloque les exportations agricoles palestiniennes ’’La transformation et l’industrialisation nous permettront d’avoir plus de poids dans le marché communautaire de 1, 2 milliards de consommateurs de la Zone de libre échange continentale africaine (ZLECA)’’, a-t-il poursuivi, invitant le secteur privé national à exploiter les opportunités du secteur horticole sénégalais ’’caractérisé par un climat favorable, des terres fertiles et des bras valides’’. Exportations horticoles se multiplient par deux en six ans exportations horticoles sont passées de 56 778 tonnes en 2012 à 122 412 tonnes en 2018 avec des rentrées de devises de l’ordre de plus de 75 milliards FCFA par année ’’Le marché sénégalais est approvisionné en oignon locale 8 mois sur 12, alors que la production nationale peut satisfaire les besoins nationaux 12 mois sur 12. Mais c’est impossible faute d’infrastructures de conservation et de stockage aux normes’’, a déploré Macoumba Diouf. Il a plaidé pour l’exploitation des opportunités qu’offre le PSE-Vert (Plan Sénégal émergent) qui ’’recommande une stratégie de transition agro-écologique en vue d’augmenter la valeur ajoutée des produits locaux avec une meilleure offre exportable en usant notamment sur l’approche bio et sur celle agro-écologique’’. Le Salon international de l’agriculture de Paris, ouvert le 22 février, se veut "la plus grande ferme de France". L’édition 2020, prévue pour se dérouler jusqu’au 1er mars prochain, est axée sur quatre thèmes majeurs que sont l’élevage et ses filières, les produits des régions de France, d’Outre-mer et du monde, les cultures et filières végétales, jardin et potager, ainsi que les services et métiers de l’agriculture. "L’agriculture vous tend les bras" est le thème général du SIA 2020. Cette manifestation réunit chaque année des éleveurs, producteurs, représentants d’organisations du secteur et de syndicats professionnels, de ministères et organismes publics ou encore d’instituts de recherche.
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ivan-simeon-studio · 3 years
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3ème partie, et série finale de portraits, réalisée en collaboration avec le jeune designer genevois et son équipe, rencontrés quelques mois auparavant. 
Pour rappel, l’idée était de travailler le portrait comme une expression d’une communauté éphémère, créée autour d’un designer émergent genevois. Soit l’intérêt n’était pas le sujet, mais l’expression du sujet amenée dans sa relation avec la communauté créée autour d’un projet.
Les habits sont des pièces uniques up-cyclés sur la base d’habits de seconde mains. Sur ce projet, le designer a collaboré avec de jeunes artistes genevois, des filières artistiques genevoises. Ces pièces ont été présentées lors du défilé PRIMART, qui a eu lieu début décembre 2021 à la Comédie de Genève, en partenariat avec le Département de la Cohésion Sociale et de la Solidarité de la Ville de Genève
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Les 14 compétences du management de demain
Dans notre imagination, l’avenir ressemble beaucoup à un thriller de science-fiction : rapide, high-tech et extrêmement efficace. L’inclusion de technologies émergentes comme le machine Learning et l’intelligence artificielle (IA) dans diverses filières signifie que de nombreux emplois seront redéfinis par la technologie à l’avenir. D’où l’importance de se poser la question du management de…
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