Tumgik
#filières en forte évolution
kachmedcom · 10 months
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Des formations sur les filières émergentes.
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Vous souhaitez vous orienter ou vous reconvertir ou vous devertir ? Des formations sur les filières émergentes ou en forte évolution. Parcourez les métiers qui recrutent, ou qui enrichissent votre savoir, ou tout simplement qui vous divertissent. Certainement vous trouverez le niche pouvant vous intéresser ! ! Nos formations sont accréditées par IPHM (International Practitioners of Holistic Medicine), CMA (The Complementary Medical Association) et le CPD (Centre of Excellence), ce qui signifie qu’elles ont été évaluées et reconnues sur le plan international. Elles ont été réalisées par des professionnels rigoureusement sélectionnés pour leurs compétences et leur soif de partage. Les informations et exercices pratiques qu’elles contiennent vous permettront d’évoluer vers votre propre objectif, qu’il soit personnel ou professionnel. En savoir plus !
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oeilmediatique · 6 months
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Séance #12 - La révolution du travail par le numérique ?
En cette période de plus en plus accès sur le numérique et les nouvelles technologies, il est légitime d’aborder le sujet de la transformation du monde du travail. Et pour cause, l’intelligence artificielle qui de plus en plus perfectionné devient capable de remplacer l’être humain pour bon nombre de postes comme nous le dit Philippe Reltien de la cellule d’investigation de Radio France : « Du cinéma jusqu’aux services fiscaux en passant par l’automobile, peu de métiers échappent désormais à cette révolution. »
Le changement est tel que pour beaucoup : « Ce n'est pas une évolution, c'est une révolution », relève Étienne Mercier, directeur du pôle opinion et santé de l’institut Ipsos.
Cela nous démontre bien que l’intelligence artificielle est une révolution majeure qui est en train d’impacter fortement le monde du travail et donc le marché de l’emploi.
Le PDG Rob Stone du groupe Onclusive a décidé de réduire de 50 % l’effectif de la filière française par de l’intelligence artificielle. En effet, d’après lui, il s’agit de taches qui ne nécessitent plus d’humains. Selon lui, « Aucune transformation numérique ne se fait sans conséquences », ce qui se révèle vrai lorsque l’on voit les conséquences.
L’intelligence artificielle est aujourd’hui comparée à « une copie numérique de toi » ou encore à « des doubleurs clonés ». Néanmoins, il est très important de se souvenir qu’elle reste numérique ou un robot tout au plus.
Selon moi, l’humain restera toujours indispensable ne serais ce par le fait qu’il est capable de penser. Le fait que l’humain soit inquiet par l’arrivée de l’intelligence artificielle démontre déjà une forte différence entre la machine et l’homme, l’intelligence artificielle ne peut être inquiet. La nuance est là, l’homme est capable de penser, d’avoir une réflexion, des sentiments, de la compassion, tout ce qui fait de l’Homme, l’Homme contrairement à l’intelligence artificielle qui est-elle une création de l’Homme pour l’Homme.
L’enjeu dans le monde du travail est aujourd’hui d’introduire l’intelligence artificielle tout en modifiant les postes des êtres humains afin que l’équilibre soit correct. Il s’agit certes de supprimer certains postes tout en créant d’autres postes, il s’agit-là de la mutation du travail.
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toutmontbeliard-com · 11 months
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Forêt et changement climatique : forte mobilisation des acteurs de l'Arc jurassien franco-suisse
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L’organisme de coopération transfrontalière Arcjurassien.org a organisé mardi 7 novembre 2023 à Bois-d’Amont (39-Jura, France) une rencontre franco-suisse sur la thématique de la forêt et de son adaptation au changement climatique. Une centaine de représentants des administrations et organismes liés à la filière forêt bois ont assisté à cette journée et échangé sur l’avenir de la forêt sur le territoire transfrontalier. La forêt couvre 44 % du territoire de l’Arc jurassien franco-suisse. Particulièrement impactée par les effets du changement climatique, elle reste un atout écologique et une ressource économique pour le territoire. Les phénomènes récents et l’évolution interrogent sur les mesures à prendre pour accompagner l’adaptation de la forêt et développer une vision commune permettant de maintenir sa multifonctionnalité. Arcjurassien.org a réuni les acteurs français et suisses de la forêt (administrations, collectivités, organismes gestionnaires et socioprofessionnels…) afin de réfléchir ensemble aux réponses à apporter aux problématiques communes dans une perspective transfrontalière. Près de cent personnes ont ainsi pu assister aux présentations du matin portant sur la situation sanitaire des forêts et leur évolution, les crises et risques actuels ainsi que les stratégies d’adaptation et projets développés pour répondre aux défis posés par le changement climatique. L’après-midi s’est déroulé sous forme d’ateliers collaboratifs. Près de 70 participants ont réfléchi à de nouvelles coopérations transfrontalières permettant de mener des actions concrètes sur le territoire. Les projets imaginés ont pour objectif de favoriser un travail commun d’observation, le partage de connaissances et de savoir-faire, une structuration et une gouvernance de la gestion de la forêt ainsi qu’une communication et sensibilisation forte auprès du grand public au sujet des problématiques et enjeux. Fort de la richesse des débats et du fruit de cette réflexion collective sur les enjeux concernant l’ensemble du territoire de l’Arc jurassien, Arcjurassien.org proposera de nouvelles rencontres en 2024, thématisées sur les principaux sujets identifiés lors de cette journée. Arcjurassien.org est un organisme de coopération transfrontalière de l’Arc jurassien franco-suisse qui réunit les cantons de Berne, du Jura, de Neuchâtel et de Vaud, la Région Bourgogne-Franche-Comté et la Préfecture de région Bourgogne-Franche-Comté. infos > www.arcjurassien.org Read the full article
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omarbennani98-blog · 4 years
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Présentation
Je m’appelle BENNANI Omar, âgé de 22 ans et d’origine marocaine. Je suis étudiant en master 2 filière contrôle de gestion à l’ESC Clermont Business School.
J’ai obtenu mon baccalauréat en Sciences Expérimentales en 2016 dans un lycée privé à Casablanca, ensuite j’ai intégré l’Ecole nationale de commerce et de gestion de Settat où j’ai passé 3 ans avant de poursuivre mes études en mobilité à l’ESC de Clermont
Qualité :
·       Esprit d'initiative et du collectif
·       Rigueur et Engagement
·       Esprit d'analyse et de synthèse
·       Sens de l'organisation
·       Ouverture d'esprit
·       Bonne capacité d’adaptation
  Traits de caractère
·       Points forts : 
ü  Tendance vers le travail d’équipe
ü  Ponctuel
ü  Je me contrôle dans les situations critiques
ü  Autonome
·       Points faibles :
ü  Têtu. C’est mon plus grand défaut, difficile que quelqu’un m’éloigne de ma conviction
ü  Emotionnel
ü  Impatient
      Valeur
Le respect, le partage, la loyauté et l’honnêteté
  Appétences et centres d’intérêts
ü  Décrocher un bon poste et vivre à l’aise et heureux entre ma famille et mes amis  
ü  Fondé un club de football où je peux réunir les talentueux qui n’ont pas de contrats professionnels
ü  Réaliser mon objectif d’avoir un corps bien musclé
ü  Faire le tour du monde avec ma famille.
Compétences formelles
Très attiré par les métiers du chiffre, j’aime toujours perfectionner mes connaissances, apprendre plus et acquérir plus d’expérience dans mon domaine. Je maitrise les techniques d’analyse financière, de comptabilité et de contrôle de gestion, ainsi que les outils informatiques et bureautiques.
Compétences informelles
Je suis quelqu’un de sociable, toujours en contact avec les gens qui m’entourent que ce soit dans le monde personnel ou professionnel, j’aime échanger les avis et les idées, ainsi connaitre d’autres cultures. J’assume ma responsabilité et je partage mes connaissances. Mon sens d’humour ne me quitte jamais.
  Stages en entreprise avant l’ESC
J’ai effectué un stage en contrôle de gestion dans le cabinet AUDICOH dont j’ai occupé le poste d’assistant contrôleur de gestion. Un stage important et enrichissant en matière de connaissances et compétences. J’ai noué aussi beaucoup de relations personnelles et professionnelles.
Les missions effectuées sont les suivantes :
ü  Élaboration des tableaux de bord mensuels pour le suivi budgétaire des frais
ü  Analyse des écarts
ü  Travaux de clôture des comptes comptable
ü  Calcul des soldes intermédiaires de gestion et analyser leurs évolutions
ü  Participation à l'élaboration des budgets
ü  Calcul du coût de revient et seuil de rentabilité
ü  Saisie des écritures et suivi des comptes des tiers sur SAGE
 Mon premier stage était en comptabilité dans l’entreprise Fidel Audit en tant qu’assistant comptable, une expérience qui m’a énormément poussé à booster mes compétences en termes d’organisation, de persévérance et surtout de professionnalisme. J’ai ainsi pu, à l’occasion, aiguiser mes compétences, ma motivation ainsi que mon sens de la gestion du temps. Par ailleurs, mes expériences extraprofessionnelles dans les domaines associatifs et ma capacité à maitriser 3 langues attestent de mon aisance relationnelle, de mon dynamisme et de ma capacité à prendre des initiatives.
Les missions effectuées sont les suivantes :
ü  Découverte du monde professionnel
ü  Classement des pièces comptable
ü  L’enregistrement des écritures comptable.
ü  Déclarations fiscales et sociales.
ü  Rapprochement bancaire.
  Projets menés en dehors de la formation
Pendant les trois ans que j’ai passé à l’ENCG de Settat, j’ai eu l’opportunité de rejoindre le Lions club universitaire où j’ai organisé et participé à plusieurs événements parmi lesquelles 3 gala de charité, des voyages humanitaires… J’ai ainsi eu l’occasion d’occuper le poste de chef de protocole et trésorier.
J’ai aussi participé à l’organisation et la présentation de notre école dans le grand forum d’étudiant pendant deux années.
Tous ces événements m’ont permis de vivre des expériences inoubliables et rencontrer beaucoup de personnes, j’ai acquis plusieurs compétences à savoir comment s’organiser, et prendre des décisions dans des moments critiques et comment garder mon calme.  
  Objectifs pédagogiques de la formation suivie
Le but de la formation est de permettre aux étudiants d'apprendre à gérer leur propre potentiel intellectuel et physique, d'améliorer leurs capacités d'expression, de comprendre le marché du travail et de faciliter la transition entre l'école et le monde professionnel. Enfin, formez les diplômés avec adaptabilité.
  Objectifs de l’étudiant en intégrant la formation
En intégrant l’ESC de Clermont mon objectif était de connaitre et vivre avec d’autres cultures, d’acquérir plus de compétences en matière de contrôle de gestion, valider tous mes semestres, être double diplômé avec une touche internationale et accrocher un bon emploi pour aiguiser mes compétences et en acquérir plus.
Compétences acquises lors du parcours à l’ESC
Maintenant, j’ai pris encore plus de confiance en soi en présentant plusieurs projets et exposés devant mes copains et mes professeurs, J'ai développé des capacités d'analyse et un esprit d'équipe. Je sais travailler en équipe après avoir effectué différents travaux d'équipe durant mes deux semestres.
  Analyse de l’Expérience professionnelle passée
Face à cette crise sanitaire et économique, il nous est difficile de trouver un stage de 3 mois. Par conséquent, nous ne pouvons pas effectuer le stage d'été de la deuxième année du programme Grande Ecole.
Métiers et secteur
J’ai toujours voulu travailler dans le secteur de contrôle de gestion car depuis toujours j’était à l’aise avec les chiffres, et j’aime bien participer au suivi et l’analyse des résultats des indicateurs et des performances de l'entreprise, ainsi l'élaboration du budget, du réel, l'analyse des marges, suivie du portefeuille…
Un contrôleur de gestion est le métier idéal pour moi car c’est le poste où j’ai le plus d’expérience et celui qui s’aligne le plus avec mes compétences et mes motivations. 
   Mon réseau
Facebook : https://www.facebook.com/omar.bennaniii
LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/omar-bennani-59b216188/
  Mon plan d’action
Tout d'abord, il faut définir les objectifs à atteindre, planifier la première étape, puis trouver un partenaire de soutien car nous sommes en équipe et nous pouvons nous soutenir les uns les autres. Vous devez également ajuster votre stratégie par la pratique pour comprendre si mes hypothèses sont correctes. Un autre point important est de suivre les progrès, puis de déterminer les objectifs atteints et les objectifs non atteints.
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archivesbercy · 6 years
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Petite histoire de l’apprentissage en France
Quelques semaines après le vote d’une réforme d’ampleur, le service des archives des ministères économiques et financiers vous propose dans ce nouveau post un zoom sur les grandes dates de l’apprentissage en France.
L’apprentissage, un principe ancien
Développé à la fin du Moyen-Âge, le système de formation par un maître artisan permettait à ce dernier d’employer des jeunes contre une faible rémunération. Il devait en échange les initier officiellement à son métier, et les loger. Très répandu, l’apprentissage concernait des métiers fort variés : ainsi, dans le document ci-dessous issu du fonds de la direction des monnaies et médailles, un contrat d’apprentissage signé entre un marchand maître orfèvre joailler et le fils d’un maître barbier âgé de 15 ans.
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En supprimant les corporations et le compagnonnage, le décret d’Allarde et la loi Le Chapelier  mettaient fin de facto en 1791 au système d’apprentissage des métiers tel qu’il existait jusqu’ici. Il faudra alors attendre la loi du 22 février 1851 sur le contrat d’apprentissage pour que le travail des enfants – qui s’est développé durant la première moitié du 19e siècle avec l’essor du travail en usine – soit de nouveau encadré par un texte. Obligatoire, le contrat peut cependant être oral.
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L’institutionnalisation et le principe d’un apprentissage comprenant également un enseignement théorique n’interviendra qu’au XXe siècle, avec pour point de départ la loi Astier de 1919. Une taxe spécifique appelée taxe d’apprentissage est mise en place en 1925. Elle correspond à un prélèvement proportionnel à la masse salariale de chaque entreprise.
Instaurée pour financer la politique d’enseignement technique, et notamment les cours professionnels obligatoires pour les garçons et les filles de 15 à 18 ans employés dans le commerce et l’industrie, cette taxe suppose une collaboration renforcée entre les entreprises, l’administration de l’enseignement technique et l’administration fiscale. Quelques années après sa mise en place, elle fait l’objet - en 1931 - d’une instruction destinée à préciser son périmètre ainsi que le périmètre d’intervention de la Direction générale des contributions directes, de l’enregistrement, des domaines et du timbre pour ce qui concerne son établissement, les demandes d’exonération et sa perception.
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Des évolutions constantes
Le socle de l’apprentissage en France posé, l’État fera régulièrement évoluer le dispositif. Parmi les principales dates à retenir, citons la loi Walter et Paulin de 1937 qui donne aux Chambres des métiers un rôle majeur dans l’organisation de l’apprentissage chez les artisans, la création des Centres de formation des apprentis (CFA) en 1966, ainsi que la loi Delors du 16 juillet 1971, première grande réforme visant à relancer une filière délaissée par les jeunes.
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Plus près de nous, la loi du 7 janvier 1983 sur la régionalisation des compétences en matière d’apprentissage, et, enfin, la loi Séguin du 23 juillet 1987 qui ouvre la voie de l’apprentissage à tous les diplômes et titres constituèrent de nouvelles tentatives de relance du système.
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Parallèlement à la formation initiale, la formation professionnelle constitue un atout pour les travailleurs et un gage de compétitivité pour les entreprises. Un constat qui n’avait d’ailleurs pas échappé au Service d’exploitation industrielle des tabacs et allumettes (SEITA) qui, lors du développement de la mécanisation des ateliers après la Seconde Guerre mondiale, organisait déjà des sessions de formation pour les apprentis et les employés.
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L’apprentissage aujourd’hui
La loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel promulguée en septembre 2018 crée la contribution unique à la formation professionnelle et à l'alternance, qui rassemble la contribution à la formation professionnelle et la taxe d'apprentissage.
Les ministères économiques et financiers s’impliquent quant à eux pleinement dans le développement de l’apprentissage en France. Ainsi, ils accueillent chaque année de nouveaux apprentis dans des métiers variés.
[Crédits photos et documents] MEF-SAEF
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emploimaroc30 · 3 years
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Ribatis recrute Plusieurs Profils
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Ribatis recrute Plusieurs Profils
Ribatis recrute Plusieurs Profils:
-Consultant Fonctionnel. -Ingénieur technologies de l’information et de la communication. -Chef de projet e-gov. -Contrôleur de gestion.
RIBATIS est une entreprise de conseil opérationnel en systèmes d’information. Fondée en 2007, RIBATIS dispose d’un positionnement innovant alliant le recul des cabinets de conseil et le pragmatisme des sociétés d’ingénierie informatique. RIBATIS propose trois familles de services: Conseil, Technologie et Formation.
RIBATIS a réussi le déploiement de plusieurs solutions technologiques à forte valeur ajoutée sur le marché, notamment “E-DMAJ”, un ERP dédié à la gestion des activités de l’entreprise au quotidien et “ATHLETIS”, un système d’information spécialisé dans la gestion des fédérations, ligues et clubs sportifs.
Actuellement l’entreprise, basée à Casablanca, emploie une équipe d’une vingtaine d’ingénieurs et consultants fonctionnels haut niveau.
Ribatis recrute Plusieurs Profils
Consultant Fonctionnel
Ribatis, éditeur logiciel spécialisé dans le domaine du e-gov, recrute un consultant fonctionnel (F/H) qui aura comme missions:
Préparer et animer des réunions de présentation et de collecte des besoins;
Préparer le planning détaillé du projet;
Formaliser les besoins fonctionnels tout en maquettant la solution cible;
Préparer le plans des tests de recette;
Recetter la solution cible;
Préparer le guide d’utilisation;
Former les utilisateurs sur les produits logiciel;
Assurer le support téléphonique et le support sur site pour nos clients;
Élaborer des supports de présentation et de formation;
Assurer l’administration technique et fonctionnelle sur nos produits logiciels.
Formation:
Diplôme: grande école d’ingénieur, université ou faculté avec filière scientifique (mathématique ou informatique)
Expérience:
Compétences et connaissances techniques:
Aisance en termes de manipulation de logiciels bpm;
Aisance en terme de manipulation de logiciels de maquettage;
Grande maîtrise des outils bureautiques;
Fluidité à l’oral et à l’écrit en arabe et en français;
Connaissance en e-gov, gestion locale est un plus;
Compétences et qualités professionnelles:
Minutieux;
Organisé;
Respecte ses engagements;
Empathique;
Curieux;
Esprit d’analyse/conception;
Savoir cadrer une réunion/présentation;
A l’aise avec le rédactionnel;
A l’aise avec les déplacements;
Postulez ici
Ingénieur technologies de l’information et de la communication
Pour renforcer note équipe développement Back-End, nous recherchons des développeurs Back-end Java/J2EE débutants ou expérimentés.
Dans le cadre de ce poste vous aurez à:
Analyser les besoins et établir l’architecture technique associée;
Élaborer le planning de réalisation en coordination avec l’équipe fonctionnelle;
Développer les Stories confiées dans le cadre des Sprints;
Prendre en compte les évolutions des solutions techniques actuelles;
Correction de bugs, tests, validation, mise en ligne et support Level 3.
Formation:
Titulaire d’un diplôme d’ingénieur informatique ou un diplôme universitaire équivalent (bac+5).
Compétences Techniques:
Maitrise technologique: Java, JAVA/J2EE, BPMN, XML, SVN,
Connaissances en Networking / communications: Services Web, SOAP, JSON et XML
Connaissance Micro-services et des architectures cloud
Connaissance avancées des bases de données relationnelles et hiérarchiques
Aisance d’utilisation des outils CI/CD et notamment Git Lab
Qualités personnelles:
sérieux (se)
organisé (e)
rigoureux (se)
autonome
proactif (ve)
ayant un sens de responsabilité
ayant des capacités managériales
ayant un esprit élevé d’analyse et de synthèse.
Postulez ici
Chef de projet e-gov
Ribatis, éditeur logiciel dans le domaine du e-gov recherche un chef de projet informatique.
Assurer la planification et le suivi des projets
Gérer de manière rapprochée l’équipe projet interne
Assurer l’interface avec les différents acteurs projet internes et externes
Coordonner et participer aux réponses aux appels d’offres sur le plan fonctionnel, technique et financier
Piloter l’élaboration de l’ensemble des activités projets et livrables internes et externes
Coanimer avec le Scrum Master les réunions de suivi projet
Préparer et animer les comités projets qu’il soient internes ou externes
Profil:
Titulaire d’un diplôme d’ingénieur informatique ou universitaire équivalent (BAC+5)
Expérience Professionnelle:
Expérience confirmée et réussie d’un minimum de 5 ans entant que chef de projet à forte composante technologique. La maitrise du domaine e-Gov et de la transformation digitale dans le secteur public et des technologies SIG est un plus.
Compétences Techniques:
Architecture logicielle & langages: Java/JEE, Javascript, et frameworks associés (Spring, React, Angular,…)
SGBD (Oracle, MySql, Elastic Search)
Architecture d’intégration: services web REST et SOAP
Outils: GitLab, Maven, Jenkins, Sonar, …
BPMN
Architecture Micro services
Qualités Personnelles:
Mobile au niveau national et international
Sociable et contact facile
Communication fluide en Arabe et en Français
Qualités rédactionnelles irréprochable
Sérieux (se)
Organisé (e)
Rigoureux (se)
Autonome
Proactif (ve)
Sens de responsabilité
Capacités managériales
Esprit d’analyse et de synthèse
Postulez ici
Contrôleur de gestion
Ribatis, Éditeur Logiciel Dans Le Domaine Du E-gov, Cherche à Recruter Un Contrôleur De Gestion, planificateur De La Gestion De L’entreprise Qui Aura Les Missions Suivantes:
Élaborer le budget prévisionnel de l’entreprise.
Contrôler les résultats de l’entreprise.
Conseiller et donner des solutions à la direction générale.
Se renseigner des données financières de l’entreprise.
Prévoir des problèmes budgétaires auxquels l’entreprise pourrait se confronter.
Participer à la définition des objectifs de l’entreprise.
Établir un plan en accord avec les responsables opérationnels.
Créer ses propres outils pour illustrer les résultats.
Construire les principaux états financiers sur 3 ou 5 ans en projetant les résultats actuels de l’entreprise, les estimations de l’année en cours et les objectifs stratégiques définis par la direction générale.
Coordonner l’ensemble des travaux liés à la production des reportings.
Veiller à la cohérence et l’intégrité des données.
Définir avec les entités concernées les règles de gestion pour le chiffrage des indicateurs de performance.
Analyser les indicateurs de performance et fournit les explications de leurs évolutions.
Diffuser les tableaux de bord nécessaires pour le pilotage.
Assister les différentes fonctions pour la confection de leurs tableaux de bord.
Mettre en place, exploiter, améliorer et optimiser les outils décisionnels en collaboration avec les Fonctions opérationnelles.
Profil:
Formation: Bac+5 avec une spécialisation en Finance ou contrôle de gestion.
Expérience professionnelle: Minimum 2 ans d’expérience professionnelle.
Compétences Techniques Requises:
Connaissances solides en comptabilité et finance,
Capacités managériales,
Maîtriser les règles de comptabilité,
Maîtriser les outils informatiques,
Maîtriser le pack office,
Bonne connaissance des métiers et du fonctionnement de l’entreprise,
Connaissances en finance,
Capacité d’analyse,
Maîtriser l’analyse et le traitement de l’information comptable et financière,
Savoir synthétiser l’information.
Qualités Personnelles:
Esprit d’écoute et de synthèse, Organisation, rigueur, Prise de décision, Priorisation.
Postulez ici
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lafhp · 3 years
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La Clinique du Val d’Ouest et la Clinique de la Sauvegarde ont ouvert le « Centre de Vaccination de l’Ouest Lyonnais ».
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Un centre de vaccination dans l'Ouest Lyonnais
Situé dans le 9ème arrondissement de Lyon, ce centre inauguré le 15 mars dernier, propose une offre de vaccination à la population de plus de 75 ans, aux personnes vulnérables à haut risque, aux personnes entre 50 et 74 ans avec une comorbidité, ainsi que les professionnels de santé, aides à domicile et sapeur-pompiers de plus de 50 ans ou avec comorbidité.
Dès l’ouverture du Centre de Vaccination, 100 injections par jour du Vaccin Moderna ont été réalisées et près de 1 200 personnes ont été vaccinées sur les 15 premiers jours.
Ce centre est ouvert du lundi au vendredi de 9h à 17h, les RDV se prenant sur le site de Doctolib. Les personnes ne pouvant s’inscrire en ligne peuvent prendre rdv sur la plateforme téléphonique dédiée au 04 23 10 10 10, ouverte du lundi au samedi de 8h à 18h. En fonction des évolutions du nombre de doses délivrées, les horaires d’ouverture pourront s’étendre sur la journée du samedi.
Une mobilisation conjointe de la Clinique de la Sauvegarde et de la Clinique du Val d'Ouest
La mise en place de ce centre a été rendue possible grâce à la mobilisation forte et conjointe de la Clinique du Val d’Ouest (Kantys), située sur la commune d’Ecully, et de la Clinique de la Sauvegarde (Ramsay Santé), au Nord-Ouest de Lyon,
La Clinique de la Sauvegarde, établissement de santé privé pluridisciplinaire de proximité reconnu pour ses nombreuses filières spécialisées (filière cardio-vasculaire, oncologie pluridisciplinaire, chirurgie orthopédique spécialisée dans la pathologie de l’arthrose et des sports, chirurgie de l’appareil digestif et endocrinien), est également labellisé Centre Spécialisé de l’Obésité. Avec une capacité d’accueil de 230 lits et places, un service d’urgences ouvert 7j/7 et 24h/24 et des moyens de traitements et d’exploration sur le même site, l’établissement offre une prise en charge globale à ses patients, et dispose d’une hélistation permettant de prendre en charge les urgences vitales des patients de toute la région.
La Clinique du Val d’Ouest est un établissement privé de 248 lits et places, disposant d’un centre d’accueil non programmé adulte et d’un centre d’accueil non programmé pédiatrique. Elle développe son activité médicale autour de 4 Pôles : le Pôle Femme-enfant (une maternité de niveau 2A, un service de néonatalogie, un SOS Allaitement et un centre d’assistance médicale à la procréation, une offre de chirurgie gynécologique et de chirurgie pédiatrique, ainsi que des consultations pédiatriques spécialisées) ; le Pôle Chirurgie adulte (chirurgie digestive, ORL, urologique, réparatrice, ophtalmologique, stomatologique/maxillo-faciale, chirurgie vasculaire/angiologie), avec un centre locomoteur ; le Pôle Médecine (un service de médecine polyvalente à orientation gériatrique et cardio-gériatrique, des consultations médicales en cardiologie, pneumologie et angiologie, et un service de prise en charge des troubles du sommeil) ; et le pôle cancérologie (chimiothérapie et prise en charge chirurgie des cancers du sein, du pelvis, urologiques, et digestifs, ainsi qu’un SOS Cancer du sein).
Le coordinateur médical du centre de vaccination est le Dr Dominique Langin, médecin urgentiste de la « Maison Médicale de l’Adulte », Centre d’accueil non programmé adulte de la Clinique du Val d’Ouest. La coordinatrice administrative du centre est Mme Anne Martin, infirmière hygiéniste de la Clinique de la Sauvegarde.
Les deux établissements privés d’hospitalisation ont mutualisé leurs ressources : médecins des deux cliniques, infirmières salariées volontaires, secrétaires et agents administratifs. La clinique de la Sauvegarde a fourni des moyens matériels (équipements informatiques, matériel médical et locaux).
Des professionnels de santé de ville se sont également impliqués : médecins et infirmières de ville, en activité ou à la retraite, mobilisés grâce aux réseaux des URPS (Unions Régionales des Professionnels de Santé).
Un partenariat public-privé réussi
Ce centre de vaccination a été mis en place sous l’impulsion de la Direction Territoriale de l’ARS, en lien avec la FHP et les Hospices Civils de Lyon qui assurent l’approvisionnement du centre en vaccins et le fonctionnement de la plateforme de coordination des centres de vaccination.
Ce projet est un exemple de coopération public-privé réussie. L’inscription par téléphone est réalisée via une permanence des Hospices Civils de Lyon (HCL).
Une mobilisation des communes environnantes
Les mairies de Lyon 9ème, d’Ecully et de Tassin la Demi-Lune se sont investies pour diffuser l’information auprès de leurs habitants, mais aussi pour organiser les inscriptions et le transport en minibus des personnes les plus fragiles ou isolées. La mairie de Lyon 9ème a aussi mis à disposition des moyens (parking réservé, signalétique…).
Crédit photo : Ramsay Santé
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Chez Serrurier Paris pas cher nous sommes aussi des experts pour l’ouverture de porte de votre serrure Sans Souci, nous saurons vous garantir une ouverture de votre porte claquée sans aucun dégâts et quand on connait le prix de cette serrure, cela a de quoi redonner le sourire. En effet nos techniciens sont formés pour faire des ouvertures fines de vos portes et ils sont munis du matériel adéquat pour pouvoir travailler très proprement. Besoin d’une reproduction de clé Fichet, une Sans Souci ? Que ce soit en copie ou en originale, nous saurons vous servir dans des délais très courts car nous offrons toute l’année à nos clients un service clé rapide. Pour la clé Sans Souci il est fortement conseillé si vous désirez un double de celle-ci de faire un duplicata original et non une copie, cela sera plus cher mais sur ce modèle de clé, la moindre erreur de taillage pourrait à la longue abîmer votre serrure.
Tel 01 79 75 85 95
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Conseils et devis sont bien sur gratuits.
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Serrurier Paris pour des interventions en toute sérénité et quiétude. Nous saurons vous conseiller au mieux, des solutions innovantes avec des prix toujours bas seront mises en avant dés que cela est possible.
Nous sommes dépositaires de nombreuses grandes marques de serrurerie Françaises, en effet le patron à durant sa carrière lié des amitiés indéfectibles avec les principaux intervenants du secteur de la serrurerie. Vachette, Fichet, Picard, Bricard, Mottura, Muel, Reelax, Iséo, Héraclès, Abus, JPM, Pollux, Keso et beaucoup d'autres sont toujours disponibles dans nos ateliers ainsi pas de perte de temps, pas d'intermédiaires qui viennent alourdir votre facture finale. Elles sont toutes garanties au minimum un an pièces et main d'oeuvre. Ce sera avec nous bien souvent deux ans voir plus.
Pour vos changements, remplacements de cylindres, canons de serrures notre serrurier qui interviendra à votre domicile ou local commercial vous informera toujours de la possibilité de mettre un nouveau barillet appelé adaptable, celui-ci présente les mêmes garanties car il est certifié A2P et fourni avec ses clés de hautes sécurités, vos assurances auront le sourire en voyant l'attention que vous portez à votre sécurité contre les cambrioleurs et gangs de voleurs bien souvent venus de l'Est, tout en prenant soin de faire des économies. Peu de serruriers vous proposerons cette option et vous comprenez aisément pourquoi !
Votre satisfaction totale est notre souci numéro un car nous ne sommes pas sans savoir qu'un client satisfait sera notre meilleur ambassadeur et que le bouche à oreille est primordial pour un commerçant.
Nous assurons dans la plupart des cas pour les portes claquées une ouverture sans rien casser avec des techniques qui laisseront vos portes en parfait état de fonctionnement après notre départ, à défaut nous vous offrons notre intervention.
N'hésitez pas à lire nos nombreuses rubriques et articles qui vous donneront de précieux renseignements quand aux démarches à suivre lorsque vous ferez appel à un expert de notre société, vous comprendrez les tenants et aboutissants d'une action qui sera effectuée dans les règles de l'art. Et pour en finir avec le bruit plus que stressant de la porte qui grince, faites appel à nos services pour résoudre ce tracas ou un autre tout aussi futile qu'il puisse être. Pour faire des économies il vaut mieux prévenir que guérir, ce dicton s’avère toujours vrai. Redécouvrez tout simplement le sens du mot privilège.
Artisan serrurier professionnel.
Pourquoi choisir un artisan pour vos travaux ?
L'artisanat est le dépositaire de traditions anciennes, de techniques éprouvées, d'une culture qui s'enrichit et s'adapte au gré des évolutions de la société et des goûts de sa clientèle. Faire son choix, c’est s'assurer des services de l’une des plus efficaces filières de formation professionnelle.
L’artisanat apparaît comme une véritable université des métiers.
Un ouvrier du bâtiment est qualifié pour un métier précis, dont il a approfondi tous les aspects.Un artisan serrurier à Paris met en garde contre les prétendus dépanneurs qui profitent des clients trop naïfs. Il confirme qu'on n'est pas obligé de détruire la serrure ou le cylindre pour ouvrir une porte qui a claqué en laissant les clés à l'intérieur. Il donne beaucoup de bons conseils qui seront utiles si vous vous retrouvez dans une situation imprévue à cause d'un problème de serrure ou de clé. Un bon serrurier sera toujours apte à vous fournir un double de clé et quel que soit sa marque, brevetée ou non. D'ailleurs lorsque vous êtes en possession de votre nouvelle clef, nous vous conseillons de toujours l'essayer porte ouverte et surtout de l'intérieur, c'est très rare mais parfois certaines clefs sont " loupées " ce serait dommage que vous soyez à la porte de votre habitat avec une clé coincée dans la serrure. Pourquoi prendre des risques, surtout avec une clé faite en copie ou en double ?
Une offre adaptée à vos budgets.
Une équipe de professionnels consciencieux et toujours à votre écoute, demandes, c'est ce que nous désirons vous proposer. Nos serruriers interviennent partout en région parisienne et bien évidemment sur tous les arrondissements de la capitale pour vos problèmes de serrurerie quels qu'ils soient. Vous pouvez nous contacter toute la semaine, même les jours fériés et la nuit aussi car nous avons un artisan serrurier d'astreinte pour vous dépanner à n'importe quel moment. Nous vous garantissons des interventions dans un laps de temps qui se veut le plus court possible car il n'est jamais agréable d'être devant une porte close qui ne veut plus s'ouvrir sans raison apparente. Nos techniciens en serrurerie qualifiés sont présents pour vos dépannages et peu importe la nature du souci car nous ne sommes pas sans savoir qu'une petite gêne peut vite se transformer en une catastrophe, une serrure qui commence à ne plus vouloir s'ouvrir ou avec beaucoup de difficulté est bien souvent synonyme de gros problèmes à venir qu'il vaut mieux régler de suite. Nous nous engageons à respecter dans toute la mesure du possible les délais convenus à la signature de votre devis qui sera toujours gratuit ainsi que nos déplacements. 06.43.13.16.71 : le numéro à conserver précieusement, pensez à l'enregistrer sur votre mobile, cela pourrait vous être très utile un jour. Mieux vaut disposer des coordonnées d'un serrurier qui pratique des prix justes et qui sera toujours à vos côtés en privilégiant vos intérêts.
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kachmedcom · 2 years
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Métiers et Loisirs
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En Savoir Plus
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vasilzelenak · 6 years
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Intra Terre
22 septembre 2005
Bienvenue chères âmes de Lumière et enfants de la Loi de Un. Quand nous vous appelons, nous disons les enfants de la surface. En effet, je me présente : je suis un représentant d'un collectif de 24 consciences unifiées qui s'adresse à vous par l'intermédiaire de ce processus de walk-in conscient bidirectionnel. Il y a en notre humanité, qui est si profondément différente de la vôtre, un plan évolutif que nous respectons, voilà depuis fort longtemps maintenant, qui correspond à ce que vous appelez en surface une période correspondante à 320 000 ans. Nous sommes, en effet, les gardiens de cette planète, les gardiens qui devons accompagner, depuis 320 000 ans un passage de cette planète vers une sacralité beaucoup plus importante, ce que vous appelez en fait « la sacralisation ». Ce qui veut dire que la planète Terre qui nous porte et qui nous héberge va, dans peu de temps, pénétrer dans une sphère vibratoire totalement différente qui va faire que celle-ci va se trouver reliée à ce que nous appelons le Soleil Central des galaxies afin de permettre un établissement d'une octave vibratoire supplémentaire, une octave vibratoire plus haut que celle avec laquelle vous fonctionnez depuis 52 000 ans.
En effet, votre conscience, chers frères de surface, évolue depuis 52 000 ans dans un monde distancié, dans un monde séparé où ce que vous êtes est bien distinct de ce que vous n'êtes pas. Et ce que vous êtes est profondément différent de ce qu'est l'autre. Sachez bien que ce mode de conscience est un niveau de conscience expérimental voulu par certains grands êtres qui vous a permis d'expérimenter le phénomène de l'individualisation mais aussi les phénomènes de la séparation, les phénomènes de guerre, par non reconnaissance de l'Unité ultime de toute forme fondamentale de vie. En ce qui nous concerne, nous, peuple de l'intraterre, qui vivons au-dessous de vous, nous avons accès bien évidemment à d'autres dimensions. Avant d'aller plus avant dans la présentation de ces dimensions sachez simplement que nous ne sommes pas distanciés, nous ne sommes pas séparés. Chacune des pensées d'une individualité présente sous Terre est captée instantanément par les autres individualités.
Nos modes de fonctionnements, que je fréquente maintenant depuis si longtemps, sont totalement différents des vôtres que je fréquente depuis si peu de temps. Ce que vous avez établi comme liens sur ce monde de surface, liens de causalité, liens que vous appelez familiaux, liens liés à un processus que vous appelez échange ou économie est totalement inexistant dans notre monde de l'intra terre. Je précise bien que quand je parle de mon monde de l'intra terre, de notre monde de l'intra terre, je parle et je m'exprime au nom du grand peuple que nous sommes qui est représenté essentiellement sous le continent nord-américain et surtout sud-américain. Il existe d'autres peuples, appelés intra terrestres, qui ne suivent pas les mêmes lignes directrices, dirons-nous.
Ainsi donc, nous avons gardé un corps d'apparence corporelle de troisième dimension, bien que celui-ci n'ait absolument rien à voir avec votre conformation spatiale, physique mais néanmoins superposable au niveau des attributs, au niveau de certaines fonctions. Il convient tout d'abord de préciser que nous ne sommes point ce que vous pourriez appeler des êtres de Lumière. Nous sommes néanmoins des êtres en évolution au même titre que vous mais qui avons déjà passé les portes par lesquelles vous allez passer dans les sept prochaines années, voilà maintenant fort longtemps.
Il vous faut bien comprendre, chers amis de surface, que le monde tel que vous le connaissez, que l'expression du temps tel que vous le connaissez, vit ses derniers instants. En effet, il ne s'agit pas de la fin des temps, loin de là, mais de la fin du temps. Le temps, tel que vous le concevez, telle que votre conscience l'expérimente depuis 52 000 ans, divisé en trois parties passé/présent/futur, et justifié par la descente, appelée par erreur « la chute dans l'incarnation », est quelque chose qui doit disparaître très prochainement. Et pour cela, il vous convient d'accepter de concevoir, de conceptualiser qu'il y a une autre réalité où les espaces de séparation ne sont plus du tout les mêmes, où même la propagation de la Lumière ne suit plus les mêmes lois et où la vitesse minimale de la Lumière est justement la vitesse de la Lumière. Il vous faut concevoir et admettre, ou en tout cas conceptualiser, qu'il existe des modes de fonctionnements parfaitement en accord avec l'Unité, avec l'enseignement de la Source où la division n'existe pas, où la séparation n'existe pas, où l'économie n'existe pas mais où aussi les liens filiaux fondamentaux que vous avez établis n'existent pas.
Nous avons établi d'autres types de liens qui sont des liens de conscience et des liens d'Esprit, des liens de familles d'âmes, d'âme à âme mais absolument pas à travers la filière que vous connaissez d'engendrement génétique. La plupart des modes de fonctionnements de votre surface, que j'étudie maintenant, sont totalement inadéquats à l'apparition de la nouvelle dimension, à l'apparition de la nouvelle conscience de vie que vous-même allez expérimenter très bientôt. Mais revenons maintenant, si vous le voulez bien, à ce rôle de sacralisation de notre Terre. Il va vous falloir faire un effort pour admettre un certain nombre de faits indubitables qui seront mis en Lumière et en œuvre très prochainement par vos scientifiques de surface. La première de ces choses est de comprendre que les planètes sont des sas dimensionnels, sont des sas qui permettent le passage de dimension à dimension, non pas dans l'atmosphère, non pas au niveau des pôles mais bien directement au niveau de l'intra terre. Ce que vous appelez « vaisseau de Lumière », ce que vous appelez vaisseau extra terrestre, ne se déplace pas dans l'espace, contrairement à ce que vous pouvez croire, mais se déplace de planète à planète par les portes de l'intra terre. Ces portes, ces passages, si vous préférez, sont des portes, des clés dimensionnelles qui permettent, grâce à la courbure de l'espace, de passer d'un monde planétaire à un monde planétaire situé à des milliers d'années Lumière et ce, de façon instantanée, simplement en passant par le seuil transitionnel et absolument pas par des voies aériennes, par le vide si vous préférez. En ce sens, nous, peuple de l'intra terre, sommes les gardiens et les garants de la conformité de ces portes, de ces sas dimensionnels, avec la loi de l'Unité.
Nous sommes, comme vous l'êtes, mais vous ne le savez pas encore, les enfants de la même Source, de la même Unité. Mais nous sommes, quant à nous, les garants de cette Unité, les garants du passage de porte à porte au sein de l'intra terre bien évidemment inaccessibles à votre technologie de surface, inaccessibles à la notion de pouvoir, inaccessibles à la notion d'individualité que vous avez bâtie depuis 52 000 ans. Pour accéder à cette porte, qui est située dans la cinquième dimension, nécessite, aussi bien pour les vaisseaux qui transitent que pour certains êtres humains ayant passé ces portes rarement, (je ne parle pas des portes de la mort qui, elles, sont des sas de la troisième à la quatrième dimension et non pas à la cinquième dimension), il faut bien comprendre qu'il faut vous dépouiller de tout ce que vous avez appelé votre personnalité, de ce que vous avez appelé vos constructions mentales, vos attachements, ainsi les nommez-vous, tout au moins. Attachements bâtis par l'habitude, par les liens que vous avez établis, d'être à être, à travers cette loi que vous avez appelée « karmique ».
Nous nous manifestons en conscience avant de nous manifester physiquement, dans peu de temps, afin de vous faire comprendre la réalité de qui vous êtes, à savoir un être de pure Lumière qui a perdu le souvenir de sa Source, d'où il vient et où il doit retourner. Vous êtes effectivement des enfants de la Loi de Un. Vous êtes effectivement des enfants de la Source, des enfants de l'Unité. Et en ce sens il n'y a en vous aucune altération. L'illusion de l'altération que vous vivez est liée à ce processus de descente dans des niveaux vibratoires de plus en plus denses, de plus en plus épais et de plus en plus causaux au niveau des effets attendus. Il vous faut bien admettre cela et en admettant cela, au fur et à mesure, vous vous allègerez. Il vous faut faire ce que nous appelons un retournement, un passage, d'une conscience divisée à une conscience unifiée. Il vous faut faire un passage de l'intérieur vers l'extérieur afin de comprendre que ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. Il convient de faire le retournement nécessaire, comme la Terre doit le faire à votre passage de sacralité, afin de redevenir les êtres que vous êtes, que vous n'avez jamais cessé d'être, c'est-à-dire des êtres de Lumière authentique. Seuls les attachements ont conduit à la situation présente. Je ne m'attarderai pas sur les lois ontologiques qui ont permis à cette conscience que vous êtes devenue de se manifester sur ces plans divisés et séparés. Mais néanmoins sachez fondamentalement que vous êtes libres, totalement. Depuis le moment où vous avez décidé de descendre dans ces plans denses d'incarnation jusqu'au moment où vous en repartirez, vous serez totalement libres de choisir de poursuivre l'expérience de l'incarnation (et donc de la douleur) ou de revenir à l'identité de qui vous êtes réellement : Source de Lumière immanente, Source de Lumière reliée à la Source primaire, au même titre que toutes les entités qui peuplent l'univers et, ce, dans toutes les dimensions.
Certes, l'histoire au-delà des temps est longue et certains êtres ont décidé, non pas de dévier mais de descendre encore plus profondément dans ces plans dimensionnels afin de jouer une création séparée de la Source mais celle-ci arrive à son terme. Il y a, en ce que vous êtes, la totalité des possibles, la totalité des réels et la totalité des dimensions. Il vous convient aujourd'hui d'accepter ou non car vous êtes entièrement libres de rester attachés ou de vous libérer. Cette planète doit, dans peu de temps, évoluer vers un seuil quantique qui va faire d'elle une planète sacrée au même titre que d'autres planètes de notre système solaire. A ce moment là il faudra que les entités incarnées dans des corps puissent suivre ce mouvement d'ascension vibratoire afin de parvenir entier, avec ce corps mais sur une autre fréquence, à accéder à cette dimension nouvelle.
Mais soyez certains que rien de ce qui appartient ou appartenait à votre dimension troisième n'aura sa place dans cette dimension nouvelle. Les attachements, les modèles conditionnés, sociaux, économiques, filiaux, parentaux que vous avez bâtis voilà maintenant fort longtemps ne pourront en aucun cas faire le saut vers ce nouvel état d'être. Néanmoins cela nécessite malgré tout un certain temps d'apprentissage pour la plupart d'entre vous. Mais, pour illustrer ce que disait votre grand Maître incarné sur Terre, le Christ, si vous aviez la foi, vous déplaceriez des montagnes. Et aujourd'hui, je peux le redire à sa place, que si vous aviez suffisamment de foi dans ce que je vous dis, vous seriez déconditionné et ascensionné dans la cinquième dimension instantanément. Néanmoins vous avez dans votre main un outil prodigieux qui a été mis pour cela : vous rappeler vos origines et vous rappeler là où vous devez aller car en chaque Esprit humain émanant de la Source, car en chaque émanation de la Source, il est retrouvé la totalité de la Source.
Il convient de comprendre que la Source Mère est notre planète, en son centre sacré, qui est un centre de pure Lumière de cristal. De la même façon, votre Source Père, dont l'archétype d'incarnation est le Soleil, est lui aussi un cristal, reflet et image de la Source. Il y a en vous une perfection que vous ne soupçonnez pas. Il y a en vous ce que vous êtes et ce que vous êtes est cette perfection, au même titre que le Soleil et la Terre. Il n'y a que vos aspects liés à vos sens, à vos conceptions mentales erronées, liées au phénomène de la descente dans l'incarnation, qui vous ont éloignés du but ultime de votre vie qui est de retrouver la Source que vous êtes et rien de plus.
En cela, il convient de vous aimer totalement : non pas la personnalité étriquée, à l'étroit, qui a bâti les mécanismes de défense tout autour de vous, les mécanismes de compensation liés à des peurs fondamentales inscrites dans tout être humain, de par sa chute, liée à sa descente dans l'incarnation (qui n'est pas une chute mais qui néanmoins a cristallisé à un tel degré l'Esprit qu'il est, aujourd'hui, incapable à lui tout seul de remonter vers la Source). C'est ce pourquoi, nous, peuple de l'intra terre mais aussi les entités archangéliques mais aussi les dimensions les plus hautes comme celles des Régents planétaires qui évoluent depuis la dix-huitième, voire la vingt-quatrième dimension, descendent maintenant à travers ces corps dimensionnels pour venir à votre contact et vous permettre de retrouver ce que vous êtes réellement, le plus rapidement possible dans votre échelle de temps.
Question : Quelles sont les différences notables entre la troisième et la cinquième dimension ? Cela est éminemment complexe. Nous allons simplement prendre deux exemples si vous le voulez bien. Je disais que dans les modes de vie qui ont accès à la cinquième dimension, contrairement à ceux qui n'y ont pas accès, les notions de séparation n'existent absolument pas. Les types de communication sont de type non verbal mais télépathique direct. Le langage, au sens où vous l'avez bâti, est une configuration spéciale liée à votre fonctionnement dissocié et séparé. Donc nous n'avons pas de langage. L'attachement, au sens où vous l'avez bâti à travers des peurs inhérentes à votre déroulement de vie, n'existe absolument pas dans la cinquième dimension même quand il existe un corps de troisième dimension. Les différences sont essentielles aussi, je l'ai dit, au niveau des modes de propagation aussi bien de la pensée que de la Lumière mais aussi au niveau des modes de vie car nous vivons, soyez en sûrs. Ce que nous voyons n'est pas le Soleil extérieur que vous voyez, mais notre plafond est gouverné par une Lumière permanente qui est la Lumière de la Source Soleil. Vous, vous voyez le Soleil comme une entité séparée de vous par une distance extrêmement importante, comme un astre qui chauffe et qui permet la vie. Nous, nous pouvons dire que nous sommes en contact avec les forces les plus pures du Soleil qui sont directement au-dessus de nous. La seule analogie que nous retrouvons c'est la connexion à la Source qui est exactement la même : la Source Mère qui est la vôtre et la nôtre. Nous marchons dessus, de même que vous marchez sur votre Soleil. Il est extrêmement complexe de rentrer plus avant dans des concepts qui ne sont absolument pas des concepts que vous pouvez appréhender avec votre mental ni avec vos conceptions. Mais néanmoins la hiérarchisation de la vie, telle que vous l'avez bâtie, n'est absolument pas existante. Ce que vous appelez l'alimentation dans votre monde n'est pas du tout conçue comme dans notre monde. Les différences sont énormes mais la différence la plus fondamentale tient au mode de fonctionnement de la conscience. Vous êtes en conscience distanciée. Nous sommes en conscience unifiée. Il n'y a pas de distance entre ma pensée et la pensée de tous les êtres de l'intra terre. Et je m'exprime d'ailleurs à travers un collectif de 24 êtres. Vos sciences fictions, vos films sont très loin de la réalité du fonctionnement de la cinquième dimension. Les projections qui sont faites à travers ce que vous avez bâti, à travers ce que vous appelez le septième art, par exemple ou à travers les ondes, appartiennent spécifiquement à des technologies de troisième dimension. Dans la cinquième dimension, nous n'avons que faire de la technologie extérieure, notre technologie est une technologie de l'Esprit, une technologie mentale. Il nous suffit de vouloir créer pour que la création se fasse par agencement de Lumière. Ceci est valable aussi bien pour nos habitats, du moins ce que vous appelez habitat. Ceci est valable pour toute manifestation tangible dans notre réalité. Il suffit d'y penser clairement de manière synthétique, de manière authentique afin que la matérialisation se fasse à partir des canevas de Lumière. Rappelez-vous de ce que je vous disais, la Lumière ne se présente pas et n'évolue pas de la même façon dans le monde dans lequel vous vivez (qui est un monde infra luminique) que nous (dans notre monde supra lumineux) où l'agencement de la Lumière obéit à la pensée, ce qui n'est pas le cas dans cette dimension que vous avez bâtie.
Question : Que peut-on faire contre les destructions dont est victime la planète Terre ? Il faut que vous preniez conscience, chères âmes de Lumière, que tout ce que vous voyez, observez à l'extérieur de vous se passe à l'intérieur de vous sans exception. Le moindre feu, la moindre tempête qui existe visuellement se produit à l'intérieur de vous et, ce, partout de par le monde. Vous êtes concernés par la totalité des évènements qui se passent sur cette planète mais, pour vous rassurer, nous n'accepterons jamais, et les hiérarchies spirituelles non plus, quel que soit leur plan vibratoire et leur plan de vie, que cette planète en voie de sacralisation soit détruite. L'être humain sera détruit bien avant si tel est son choix. En aucun cas ce que vous observez aujourd'hui ne doit vous habituer à penser que la Terre court à sa destruction. C'est la destruction de l'homme que vous vivez à travers cette dimension troisième. Tout ce que vous voyez à l'extérieur correspond à ce qui se passe en vous à des degrés divers selon votre niveau d'évolution et votre niveau de transcendance. Il ne faut pas voir la destruction de la Terre comme quelque chose d'inéluctable ou quelque chose de possible. Certes ce que vous observez correspond au dérèglement qui existe dans l'Esprit de l'homme, dans le corps de l'homme, mais en aucun cas cette planète ne sera détruite. En aucun cas elle ne sera perdue pour les forces de Lumière galactique. La Terre est une planète qui est appelée, de par son origine, à devenir une planète sacrée, avec ou sans les hommes. Ce qui veut dire par là que tout ce qui vous heurte à travers les images que vous voyez, à travers les conceptions que vous avez, correspond à ce qui se passe en vous, en totalité. Ce qui se passe sur la Terre, se passe en vous. Vous pouvez appeler cela, destruction, purification. Tout dépend où se place la confiance. Mais en aucun cas les évènements qui sont appelés à se produire et se produisent déjà n'entraîneront de destruction planétaire. Certes, il est question de réharmonisation. Il est question de nouveaux cieux. De nouvelles terres apparaissent régénérées totalement, dépolluées de la présence des êtres humains qui n'ont pas compris la loi de l'Unité. Mais rappelez-vous que tout est Unité, ce qui veut dire que même l'être humain que vous jugeriez comme responsable, par son manque de conscience, correspond quelque part à ce qui se passe en vous au niveau du manque de conscience, quelle que soit la confiance que vous affichez extérieurement car si vous étiez tous une entité totalement dans la pureté cela suffirait à transformer ce que vous observez. Il n'y a donc pas de responsable. Il n'y a donc pas de coupable. Il y a simplement des entités de Lumière qui refusent de reconnaître la Lumière qu'ils sont. Mais cela change et cela changera de plus en plus vite devant l'importance des remaniements. Les éléments sont à l'œuvre à travers ce que vous appelez destruction mais qu'un regard plus élevé appellerait régénération. Certes nombre d'êtres quittent ce plan vibratoire de vie. Ces âmes se sont sacrifiées et se sont sacralisées elles-mêmes afin d'attirer l'attention sur leurs frères qui restent en troisième dimension, afin d'ouvrir leurs cœurs, leurs dimensions spirituelles et leur retour à l'Unité.
Question : Comment peut-on contribuer à cette préservation ? Mes chères âmes de Lumière, la seule façon de contribuer est d'ascensionner soi même, de trouver sa Source. A partir du moment où tout être humain s'intéressera à ce qui se passe en lui et qu'il montera son niveau vibratoire, la planète montera son niveau vibratoire de la même façon en fonction de la loi de réalité et non pas de causalité. Ce qui est à l'extérieur correspond à ce qui se passe à l'intérieur et, ce, sur tous les plans de vie et sur tous les plans dimensionnels. A ce moment là il convient de comprendre que le travail le plus essentiel est un travail sur soi, non pas un travail compliqué qui appelle des techniques qui appartiennent à la troisième dimension mais simplement un travail de connexion à sa Source car à partir du moment où vous serez reconnectés à votre essence, à votre Unité, vous pourrez à ce moment-là élever le niveau vibratoire de qui vous êtes et participer à l'effort de régénération et de sacralisation. Il n'y a pas d'autres voies car la voie qui voudrait s'opposer à ce qui est opposé à la Lumière deviendrait, de fait, opposant à la Lumière car la Lumière ne s'oppose jamais à rien. Et l'Esprit ne s'expose jamais à la division, à la dualité, au jugement car tout ce qu'il voit correspond à ce qui se passe en lui. L'erreur serait aujourd'hui de dichotomiser ce qui est vu, observé, entendu, dit comme une dichotomie entre le bien et le mal. Au niveau de la troisième dimension le bien et le mal ont été créés. Dans la cinquième dimension, nous parlons de forme évolutive et de forme non évolutive. A partir de la septième dimension, cette dichotomie créée, liée à la descente, n'existe plus car tout participe, absolument tout, au retour à la Source. Le seul travail authentique qui devra être entrepris est un travail de connexion à la Source et de montée en vibration.
Question : Le développement de la télépathie permettra-t-il une communication plus franche ? Non seulement plus franche mais nous pouvons dire que ce langage, dont vous êtes si fiers dans la troisième dimension, est une distorsion totale de communication. Le langage est un moyen de projeter des images et des créations dans la troisième dimension voire sur des dimensions plus basses. La télépathie ne peut pas tromper. La télépathie exprime réellement la réalité de l'Esprit alors que le langage exprime ce que vous voulez bien exprimer et qui n'est pas toujours la réalité. Et effectivement, dans notre monde intra terrestre, le langage n'existe absolument pas. Nous sommes entièrement télépathes. Ceci est la seule garantie de la pureté de nos communications bien évidemment.
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L'arrêt d'activité de ces centaines de praticiens aurait des conséquences graves
Monsieur le président, madame la secrétaire d'État, mes chers collègues, la proposition de loi dont nous avons à débattre et qui vient d'être abondamment décrite vise à prolonger jusqu'au 31 décembre 2020 un dispositif transitoire. Actuellement, sur les 4 000 praticiens à diplôme hors Union européenne exerçant en France, 300 à 350 praticiens se trouvent encore sous le régime transitoire, censé prendre fin le 31 décembre 2018. En conséquence, à cette date, ces derniers ne rempliront plus les conditions légales leur permettant d'exercer dans un établissement français, et ils seront contraints de cesser leurs fonctions. Or ces PADHUE travaillent la plupart du temps dans des spécialités sous forte tension ou au sein d'établissements confrontés à d'importantes difficultés de recrutement de personnel médical.
L'arrêt d'activité de ces centaines de praticiens aurait des conséquences graves, surtout dans le contexte actuel de progression de la désertification médicale. Sans cette autorisation d'exercice temporaire, de nombreuses structures ne seront plus en mesure d'exercer leurs missions par manque de moyens humains.
La présente proposition de loi s'impose donc, car elle permet de répondre à cette situation d'urgence, avec, pour objectif, de garantir la continuité du fonctionnement des établissements de santé français. Mais cette réponse législative, même si elle est nécessaire, n'est pas une solution pérenne. Je m'étonne qu'une réflexion sur l'intégration des praticiens diplômés hors Union européenne dans notre système de santé n'ait pas été menée plus tôt, d'autant plus que ces praticiens à diplôme étranger exercent pour la plupart dans des conditions précaires. C'est d'ailleurs ce qu'ils ont dénoncé il y a un an déjà, avec l'appui du syndicat qui les représente.
Ces PADHUE exercent majoritairement à l'hôpital, sous statut salarié et dans des conditions difficiles. Ils sont embauchés dans des structures peu attractives – en clair, là où les autres ne veulent pas aller –, le plus souvent dans les services délaissés par leurs confrères français comme la gériatrie, la réanimation ou la psychiatrie, pour des rémunérations moindres, avec des contrats courts, ce qui ne leur permet pas de prétendre à des évolutions de carrière.
Ces praticiens bénéficient de conditions d'exercice bien moins favorables que celles de leurs confrères français ou diplômés dans l'Union européenne, alors même qu'ils exercent le même métier et qu'ils sont devenus nécessaires au bon fonctionnement du service public de la santé. En effet, entre 2007 et 2017, le nombre de praticiens ayant obtenu leur diplôme à l'étranger, dans l'Union européenne et hors de celle-ci, a quasiment doublé. Le bon fonctionnement de certains hôpitaux dépend d'ailleurs de leur présence. Par exemple, en 2017, l'hôpital de Château-Thierry, couplé avec celui de Soissons, employait 30 médecins titulaires de diplômes français, 10 titulaires de diplômes obtenus dans l'Union européenne et 19 titulaires de diplômes obtenus dans un pays n'appartenant pas à l'Union européenne.
Puisque les PADHUE occupent une place aussi importante dans notre système de santé, on ne peut se contenter d'une simple prorogation de l'autorisation temporaire d'exercice. Il est nécessaire de réfléchir à un vrai statut pour ces praticiens qui pallient les insuffisances de notre système de santé français, car c'est bien de cela qu'il s'agit ici. Comme l'affirmait d'ailleurs un médecin interrogé par le journal Libération à l'occasion des mobilisations qui ont eu lieu il y a un an : « Les médecins à diplômes étrangers sont le visage des impasses de nos hôpitaux. »
L'embauche de ces praticiens est en effet l'un des symptômes de la crise de l'hôpital. Elle est liée aux pénuries de personnel, à la désertification médicale, aux dégradations des conditions de travail dues aux restrictions budgétaires imposées depuis des décennies, au manque d'attractivité de certaines filières, à la concurrence déloyale du secteur privé qui entraîne une sorte d'exode médical au détriment du secteur public.
Et cette situation n'est pas près de s'améliorer ! Le numerus clausus a largement contribué à tarir le nombre de praticiens, aboutissant à une pénurie de professionnels de santé, notamment dans les établissements publics de santé. Les difficultés de recrutement, accrues pour les petites structures, les ont poussées à utiliser des méthodes alternatives : le recours à des praticiens intérimaires a explosé, alors même que son coût pour la sécurité sociale est énorme, tandis que les établissements de santé continuent d'embaucher des praticiens à diplôme étranger, alors même qu'il est théoriquement interdit d'embaucher des PADHUE n'ayant pas exercé en France avant le 3 août 2010.
Cette situation risque d'empirer à l'avenir, puisque, selon le syndicat des praticiens à diplôme hors Union européenne, 30 % de départs à la retraite interviendront à partir de 2020, laissant vacants environ 12 500 postes de praticiens hospitaliers.
La fin du numerus clausus annoncée par le Gouvernement est de nature à répondre en partie à cette situation. C'est une sage décision que nous appelions de nos vœux depuis longtemps, mais qui, jusqu'à présent, ne semblait pas pertinente à Mme la ministre de la santé. Je ne peux que saluer l'évolution positive de sa réflexion.
Toutefois, il me paraît nécessaire de rappeler que, en l'absence de moyens supplémentaires attribués aux universités, il n'y aura pas plus de praticiens formés à l'avenir. Cette décision positive doit donc s'accompagner d'une autre politique en matière de formation des professionnels de santé. Par ailleurs, les effets de la fin du numerus clausus ne devraient se faire ressentir que d'ici une dizaine d'années, le temps que la nouvelle génération de praticiens ait fini ses études.
Il est urgent de mener une réflexion plus générale sur notre service public de la santé, notamment sur le nombre de praticiens et leur répartition sur le territoire. Mais avant tout, il faut arrêter les coupes budgétaires, revaloriser les services devenus peu attractifs comme la gériatrie ou la psychiatrie, mettre un terme aux fermetures de services et aux suppressions de lits, maintenir les hôpitaux de proximité en développant systématiquement des centres de santé adossés à ces hôpitaux.
Parallèlement, il convient de construire un réel statut pour ces praticiens à diplôme étranger, sans qui de nombreux établissements de santé ne pourraient pas maintenir leur fonctionnement. C'est d'ailleurs ce que dénoncent certains directeurs d'établissements de santé comme celui de l'hôpital de Nevers, pour qui, sans les médecins à diplôme étranger, on devrait « fermer les hôpitaux de la Nièvre ».
Pour toutes ces raisons, nous voterons en faveur de cette proposition de loi. Mais, plus globalement, il faut revoir le statut de ces praticiens à diplôme étranger afin d'en finir avec la précarité de leur situation.
Enfin, madame la secrétaire d'État, j'attire votre attention sur la nécessité d'anticiper un certain nombre de réflexions et de ne pas vous limiter à une simple réorganisation de notre système de santé sans moyens à la hauteur des défis. Je déplore que la loi Santé que nous attendons avec impatience fasse l'objet d'ordonnances, muselant encore davantage les parlementaires que nous sommes.
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journaljunkpage · 7 years
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TRAVAIL RAPIDE ET SOIGNÉ
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Propos recueillis par Marc A. Bertin / © Cécile Gabriel
Né à Paris, en 1969, François Ayroles intègre l’atelier bande dessinée de l’école des Beaux-Arts d’Angoulême au début des années 1990. C’est dans la collection Histoires graphiques des éditions Autrement qu’il commence alors à publier professionnellement en même temps qu’il entame une collaboration régulière avec l’Association, en particulier dans la revue Lapin.
En 1994, il rejoint l’OuBaPo – Ouvroir de bande dessinée potentielle –, dont il demeure un membre actif. Publiant autant pour la jeunesse que dans la presse, il attire le regard de prestigieuses maisons (Casterman, Denoël, Delcourt) tout en restant d’une irréprochable fidélité à l’Association.
Amateur de jazz et adepte du carnet de croquis, il collabore à de multiples ouvrages collectifs (Comix 2000, L’Appareil, Les Bonnes Manières, Rockstrips, etc.) ainsi qu’à plusieurs revues internationales (Spoutnik, Strapazin, Internazionale, Black, Spirou) tout en participant à de nombreuses expositions (« Toy Comix », « Cent pour Cent »).
Ce printemps, le festival bordelais Regard 9 l’honore ainsi que l’un des ses mentors, Daniel Goossens. 
Comment êtes-vous devenu dessinateur ?
Oh, rien d’original, gamin, je griffonnais. Je voulais faire de la BD, mais sans le dire ; ce n’était pas une activité très valorisée. L’évidence, c’était une école d’art après le bac. Il y avait la possibilité d’intégrer Saint-Luc à Bruxelles, mais j’ai passé le concours pour Angoulême et j’ai été admis après un passage rapide par la filière Histoire de l’art et l’école municipale de dessin de Paris.
Comment était-ce Angoulême au début des années 1990 ?
En fait, c’était un atelier BD au sein de l’école des Beaux-Arts ; une initiative de Jack Lang. Un petit îlot, plus ou moins bien vu par les professionnels. La chance, c’est d’avoir suivi l’enseignement de Thierry Groensteen, qui avait été nommé « conseiller scientifique », en 1988, par le Centre national de la bande dessinée et de l’image (CNBDI). Ancien de la revue Les Cahiers de la bande dessinée, publiée par Jacques Glénat, historien et théoricien, il a beaucoup compté pour moi, devenant même mon premier éditeur. On considérait la BD au même titre que le cinéma ou la littérature. Il n’y avait pas de cours de dessin à proprement parler, beaucoup de pratique en revanche, on montrait toutes nos réalisations. On ne faisait que ça.
Quels étaient vos modèles ?
José Muñoz, Daniel Goossens, Francis Masse, Terry et les Pirates et Steve Canyon de Milton Caniff, Little Nemo in Slumberland de Winsor McCay, Krazy Kat de George Herriman. Au collège, j’ai eu ma période Gotlib, une transgression décisive.
Lisiez-vous les revues spécialisées ?
À suivre, dans laquelle je découvre Lorenzo Mattotti, mais aussi Pilote, Circus et Métal hurlant. Mon objectif, c’était de publier dans À suivre, toutefois, durant les années 1980, la BD de genre se standardise et je voulais lutter contre ce formatage. Étudier à Angoulême m’a permis d’expérimenter, grand lecteur de Georges Perec, l’OuliPo me fascinait car ses contraintes formelles préfiguraient l’OuBaPo (Ouvroir de bande dessinée potentielle).
Justement, voilà une de vos grandes passions.
Thierry Groensteen, encore lui, en est à l’origine en 1992. Au départ, il y avait Anne Baraou, Gilles Ciment, Jochen Gerner, Patrice Killofer, Étienne Lécroart, Jean-Christophe Menu, Lewis Trondheim et moi. Les premières publications ont naturellement trouvé place au sein de l’Association, maison d’édition créée en 1990. Le but était de se fixer des contraintes artistiques volontaires et purement formelles, que l’on distingue entre génératrices et transformatrices. On édite des ouvrages collectifs – les Oupus, six au total entre 1996 et 2015 – mais aussi des oeuvres personnelles, chacun poursuivant sa carrière.
Et la vôtre, quand commence-t-elle ?
À l’automne 1994, modestement, au sein d’un album collectif intitulé Le Retour de Dieu, dans la collection Histoires graphiques chez Autrement. Un projet de mon mentor Thierry Groensteen avec Mattotti, Mathieu, Menu et David B. Entre-temps, j’avais lié amitié avec Dominique Hérody, qui partageait un atelier avec Lewis Trondheim. Je commence donc à fréquenter l’Association, à publier dans leur revue Lapin. Puis, je propose mon premier livre Jean qui rit Jean qui pleure, un ancien projet d’école, pour la collection Pattes de mouche, en 1995. J’étais parti d’une photographie de la DATAR (Délégation interministérielle à l’aménagement du territoire et à l’attractivité régionale) représentant d’un côté Georges Dumézil et de l’autre un mineur, chacun posant les bras croisés. C’est une histoire avec 2 sujets en parallèle mais placés dans des contextes différents. Ce procédé d’itération iconique partielle me correspond beaucoup.
C’était en outre sans texte.
Je me méfie beaucoup de la dimension verbale. Je préfère essayer de trouver l’enjeu visuel.
Des débuts plutôt modestes, non ?
Il y a eu quelques échos dans la presse, mais je n’avais pas de velléités de carrière, ce n’étaient pas vraiment des livres, juste des petites choses. Mon premier gros recueil, c’est Notes mésopotamiennes, dans la collection Mimolette de l’Association, en 2000. L’année suivante, Incertain silence sort en librairie avant le 11 septembre… Fort heureusement, il attire l’intérêt de Casterman, qui me sollicite. Je peux enfin me consacrer à un gros projet, avec une avance sur les droits conséquente, la même liberté, un tirage plus élevé et une meilleure distribution. Depuis, j’alterne entre gros (Dargaud, Delcourt, Denoël) et indépendants. La visibilité est meilleure même si les ventes ne sont pas toujours, hélas, au rendez-vous…
Et la presse ?
Pendant des années, Libération, notamment dans son cahier estival, m’a bien fait vivre. J’avais très envie de cette pratique spécifique de l’illustration. J’ai également collaboré pendant un an et demi avec Sud Ouest. Depuis un an, je publie sur l’appli de la matinale du Monde. Un strip sur l’actualité, une publication immédiate nécessitant une réelle réactivité. J’adore ça.
Bien avant l’exode à la mode, vous aviez quitté Paris pour Bordeaux.
Le fruit du hasard et de l’amitié pour David Prudhomme, rencontré lors de mes études à Angoulême. Il possédait un atelier rue Neuve et me tannait pour le rejoindre. Lui était déjà sur les rails, publiant des séries chez Glénat. Moi, je vivais à Saint-Michel, un peu isolé, sans envie de faire de série. On était un tout petit cercle avec Richard Guérineau et Jean-Denis Pendanx. La regrettée librairie Bédélire nous fédérait – un lieu de vie particulier sans équivalent depuis, avec beaucoup de dédicaces. Je lisais à peu près tout ce qui sortait. 
Et aujourd’hui, comment vous situez-vous dans cet eldorado ?
Au-delà de la stimulation, l’amitié nous lie et même si je ne fréquente pas tous les auteurs, les affinités sont là. L’apparente fourmilière cache une activité solitaire, cela dit, grâce au festival Regard 9, on sent enfin quelque chose de plaisant et de puissant. L’arrivée de Cornélius a également impulsé des choses. Néanmoins, il faut mobiliser le public qui n’est pas conquis. Hormis l’effervescence culturelle, Paris ne me manque pas, je suis toujours membre du comité de lecture de l’Association et de l’OuBaPo ; au passage, merci internet, parce que jadis nos réunions se faisaient par courrier !
Êtes-vous sensible à l’invitation de Regard 9 ?
J’en suis flatté, ayant assisté ou participé aux précédentes éditions. Il ne fait de secret pour personne que je connais très bien Éric Audebert , son président, ancien de Bédélire, mais je suis sincèrement ravi d’être associé à Daniel Goossens, une de mes plus grandes idoles. Nos planches juxtaposées, j’en ai déjà des sueurs froides… C’est un dessinateur exceptionnel. J’ai tout relu, c’est génial et je me sens si petit à côté de lui. Plus qu’une influence, Goossens est un maître, qui a toujours creusé son sillon de l’absurde – ligne qu’il suit tout en évoluant – alors que je suis tellement plus éparpillé. Je distingue des rapports, voire des échos. On peut décrypter son évolution graphique, mais analyser son oeuvre, c’est coton.
À votre sujet, on pourrait dire, en citant Franck Marguin, directeur de la collection 1000 Feuilles chez Glénat, que vous faites partie de ceux ayant « modernisé la ligne claire en la tirant vers l’abstraction mais tout en respectant les codes ».
Hergé évidemment, Edgar P. Jacobs, idole de mon adolescence. Pour autant, je n’ai jamais eu ce truc de copier. Plus tard, j’ai suivi Floc’h, Ted Benoit et Yves Chaland ; la lecture du Jeune Albert m’a profondément marqué par la qualité de son humour. En fait, j’emprunte deux axes : un dessin au trait qui évolue, plus analytique, plus minimal comme dans Les Lecteurs ou Une affaire de caractères ; un trait au pinceau façon Muñoz pour des récits plus sombres avec plus d’ambiance et de densité narrative.
Et la technique ?
La virtuosité n’est pas le truc que je recherche prioritairement. Le dessin, c’est l’histoire, c’est surtout au service de l’histoire. Moebius est un virtuose absolu. Goossens aussi, Route vers l’enfer, c’est pas gratuit. Cependant, j’ai plus de facilité avec un dessin pourri et une bonne histoire que l’inverse. À Angoulême, j’ai travaillé le dessin animé, l’anatomie, les principes de base. Je ne lisais pas Blueberry de Giraud, que j’appréciais plus tard. Max Cabanes, voilà un virtuose que j’adore, capable d’évoluer. Ou Blutch, le virtuose modeste – on s’en rend compte maintenant, il se trahit un peu désormais – capable de dessiner ce qu’il veut tout en cherchant à perdre le contrôle. Boucq, qui dépasse Moebius en terme de maestria, me touche moins.
28 Moments clés de la bande dessinée est un ouvrage particulier dans votre parcours.
Étonnamment, ce travail de commande, pour le compte de l’éditeur Le 9e Monde, a connu un écho inattendu et conduit à des suites, dont une consacrée à Killofer. Actuellement, je travaille au quatrième volet sur l’histoire du journal Spirou. J’aime bien partir de personnage comme pour le Jean-Pierre Léaud, publié chez Alain Beaulet, en 2007.
Appréciez-vous de travailler avec un scénariste ou un autre dessinateur ?
À mes yeux, Muñoz et Sampayo sont le modèle du genre. En 2004, j’ai eu la chance de collaborer avec Ted Benoit, que j’estimais et que j’avais lu, pour l’adaptation d’un scénario de Raymond Chandler, Playback. Sa rigueur et son regard bienveillant ont compté pour moi. Il y avait un gros boulot de documentation, 98 planches à tomber en 8 mois. Ce fut très valorisant. Plus récemment, j’ai cosigné Les Plumes sur un scénario d’Anne Baraou. Une magnifique expérience avec un texte d’une rare qualité et des dialogues brillants. Mais, honnêtement, je dois maîtriser le découpage car c’est là où s’invente la BD.
C’est quoi un dessinateur en France en 2017 ?
Malgré l’impressionnante quantité de productions, la qualité est affolante. Je suis fasciné : il n’y a jamais autant eu de bons bouquins mais noyés dans la profusion. Pour ma part, ici, je suis juste défendu chez Krazy Kat et Mollat. Mes livres sont partis au pilon, il n’y a plus rien en librairie. C’est compliqué pour un vieux cheval sur le retour comme moi. J’ai encore et toujours le sentiment de débuter. D’une certaine manière, cela me convient.
Regard 9, du lundi 15 mai au dimanche 4 juin, espace Mably. www.rgrd9.com
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utopiedujour · 5 years
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Les menus « carbonara » et les terrils virtuels sur notre planète, par TiMiota
Ouvert aux commentaires.
A quelle sauce allons-nous nourrir le cycle du carbone, le nourrir et nous en alimenter ? Quels sont les « menus carbonara » pour ce CO2 qui s’entasse ici et qu’on va cacher là ? Revue des recettes en présence, entre sel dystopique et poivre utopique. Et en final, ma vision version dystoptique de notre futur sur les gradins virtuels d’une société à « étages de carbone », étage sur des terrils virtuels habités de petits Sisyphe pas tous heureux. Sauf si on prend le taureau par les cornes ?
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A) Le cycle géologique du carbone d’abord : A la naissance des planètes, il y a beaucoup d’atomes d’oxygène et pas tant de carbone que ça. Tout ce qui peut s’oxyde. Mais le soleil peut inverser les choses, il joue le rôle inverse de l’oxydation, la photochimie pouvant défaire ce que fait la chimie tout court : c’est un réducteur. Le début de la vie s’essaye à canaliser cela, par photosynthèse dans les algues. Mais le chaudron est trop grand : si elles produisent un brin d’oxygène, les premières formes de vie ne peuvent pas empêcher sa capture par le fond minéral de l’assiette. Les traces en sont les moultes argiles et autres alumino-silicates (Si-Al-O), le gros de la croûte. Quant au CO2, abondant au tout début, il se voit pris par les roches et commence le cycle de carbone géologique, pas très connu. Laissons passer 1 à 3 milliards d’années. Voici donc au menu Cambrien le carbone sous la forme oxydée CO2, encore abondant dans l’atmosphère comparé à nos jours, mais déjà, la vie en profite, utilise le carbone de l’atmosphère en masse. C’est l’origine du calcaire, CaCO3, associé aux formes de vie marines qui furent longtemps les principales. Voici déjà une première complexité sur laquelle nos physico-chimistes modernes butent encore un peu : la synthèse biominérale dans les coquilles d’un composé comme la calcite (le futur calcaire disons). Le résultat est une masse assez cristalline alors que les cellules sont encore et toujours ces montres molles à la Salvador Dali, qui n’ont nulle table à dessin ou équerre apparente pour vous faire des cristaux.
Puis voilà la photosynthèse sur terre ferme qui finit par avoir raison du gros du CO2 atmosphérique qui restait, et tout cela renvoie dans l’atmosphère tout l’oxygène que nous y trouvons aujourd’hui (20%, 2 tonnes par m² de surface au sol, plus de mille milliards de tonnes dans l’air de la France). Et la vie s’est à son tour adaptée à cet oxygène, qui ne demande qu’à réagir (la rouille !), même à l’abri de l’air (il se dissout un peu dans l’eau) : elle le fait à l’aide d’anti-oxydants comme la vitamine C.
§
B) Les excès du moment : En 2019, des scientifiques comme le français Philippe Ciais ont conduit assez d’études pour vous expliquer ce qui arrive au CO2 en excès que nous rejetons : pour l’instant, dame nature en gobe quelques 50% . L’océan en capte une bonne partie (30% disons). Et l’océan a une grande inertie (disons mille ans) avant de saturer. Mais il se réchauffera plus vite que ça et il s’acidifie « en temps réel » (le gaz carbonique, le CO2, c’est comme celui du soda) : ce n’est pas top pour les coquillages et encore moins pour les coraux, une variation de pH de -0.1 correspond à 26% d’ions H+ en plus, ennemis de la calcification. Et sur terre ? Instruisez-vous en cherchant « AFOLU » : « Agro-FOrestry and Land Use » , agro-foresterie et « usage de la terre »(ici par exemple) : des forêts sympas peuvent fixer pour l’instant quelques 20% de nos excès (les jeunes, sans doute les vieilles aussi), mais ça va moins durer, et puis nous demandons aux champs de produire sans fixer de carbone, un champ de Beauce nourri aux engrais et réduit à la terre nue à l’automne est un désert carbonique, mieux vaut un bocage plein de fourragères et autres adventices. Au total, le CO2 dans l’atmosphère ne se résorbe pas du tout aussi vite que c’est soigné l’ozone (dont le trou a été à moitié calmé par la suppression des CFC, les chlorofluorocarbones), il y a une dynamique « courte » de l’ordre du siècle pour la capture par les sols agro-forestiers, et une dynamique « longue » de l’ordre de mille an pour l’océan, rien ne se passe vite au fond.
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C) Mais l’Anthropocène, cela va être une histoire du carbone qui visite toute la « cuisine » à laquelle il se prête, d’où mon titre « carbonara ». Il va en effet falloir s’éloigner de la version simple, celle où l’on prend du carbone fossile ‘‘réduit’’ (charbon, pétrole, gaz), puis on le brûle (on dégage le CO2), et voilà, on voudrait « juste » cacher le CO2 quelque part (la « CCS », Carbon Capture and Sequestration », j’y reviens plus loin).
L’histoire du Carbone fossile, un peu celle de l’énergie, se complique de 3 ou 4 effets, listons les rapidement :
1) EROI : « Energy Return On (Energy) Invested ». Forer en terrain difficile mange une partie du pétrole qu’on va extraire rien que pour faire tourner la foreuse. On mesure cela dans l’autre sens : Si j’investis 1 litre de travail, je trouve combien de litre d’essence dans mon puits ? C’est l’EROI. Ce facteur, qui pouvait dépasser 20 ou 50 aux temps heureux des forages jaillissant comme dans Tintin, est descendu à quelques unités, voire 3 ou 1,5 pour les sables bitumineux, avec une exploitation qui n’est « rentable » que si le pétrole atteint des cours suffisant (> 70$ le baril disons).
2) Capture du CO2 en sortie de tuyau : cela se fait par des moyens chimiques de type « amines » dans la filière la plus testée actuellement. Elle augmente le coût de 50% en gros, ou dit autrement elle diminue l’EROI d’un facteur d’environ 1,5. Tout cela si le stockage n’est pas limitant. On ne sait pas si on est au taquet ou pas question possibilité technique et coût.
3) Effet rebond : Si on dispose d’une ressource à prix plus bas ou d’un appareil plus efficace, on l’utilise davantage, ce qui annule l’éventuelle économie. Exemple : le transport aérien devenu exagérément bon marché (pas de taxe kérosène car aucun état n’a cru à un élan collectif de ce côté, et la « manne du progrès » a tellement l’air de sortir d’un avion qu’on ne doit surtout pas décourager leur arrivée…). L’efficacité des climatiseurs (air conditionné) a conduit à étendre les mégapoles du sud des USA, au Texas et Floride ( la « sun belt ») et à faire fonctionner beaucoup plus les « clims », donc besoin électrique très gros l’été. Si on a une exception favorable comme les LEDs, c’est parce qu’elles ont représenté un saut d’efficacité énorme (x8 disons) sur l’incandescence. C’est l’exception qui confirme la règle… et tend à augmenter la pollution lumineuse nocturne.
4) Le carbone est dégagé pour des raisons « chimiques » dans deux de nos plus grosses activités : le béton, où la fabrication du « clinker » n’est rien d’autre que d’enlever au CaCO3 (calcaire) le CO2 pour obtenir en gros CaO, la chaux vive. (Lot de consolation, le CO2 est censé revenir réagir lors de  la prise). L’ammoniac, nécessaire aux engrais et aux explosifs, synthétisé par le procédé Haber-Bosch (N2+3H3+catalyseur…), dont l’hydrogène H2 vient du crackage du méthane CH4 (gaz), ce qui laisse des carbones C-xx sur le carreau, au fond de l’assiette.
§
D) Mais je veux en venir au point suivant : l’histoire du carbone va aussi se compliquer dès lors que les deux côtés du cycle (« réduit »= carburant fossiles actuels et « oxydé »=CO2) sont d’ores et déjà en train de se complexifier. Je décrirai le gradient qui s’ensuit par la métaphore de terrasses sur un terril virtuel.
Une part de cette évolution complexe des « carbures » est un principe de « réalité » contraint : On se rend compte qu’il va falloir séquestrer du CO2 pour atteindre la neutralité en 2050. C’était assez peu pensable en 2000 –  2005. Car le stockage géologique direct (ancienne poches de gaz ou mines de sel,…) n’est pas une panacée. Si ça fuit en masse, le CO2 stagne à la surface, et il asphyxie par villages entiers, comme on l’a vérifié au Cameroun en 1986 lors de la catastrophe du « dégazage » du lac volcanique Nyos (éruption dite « limnique », plus de 1700 morts, depuis on fait « dégazer » le dessous du lac par un tuyau astucieux). Mais depuis quelques années, la « CCS » (Carbon Capture and Sequestration) s’est inscrite en grosses lettres dans les agendas des groupes qui étudient notre « adaptation » au réchauffement. Seul moyen, semblerait-il, de ne pas (trop) sevrer l’économie de son carbone.
Le stockage avec conversion d’un minéral en roche de type calcaire (CaCO3) bien inerte serait l’idéal, mais les premiers essais n’ont pas marché comme prévu (des bactéries en folie ont fait croire à une fixation de carbone en réalité fort lente).
La philosophie actuelle de ceux qui regardent au-delà du bête stockage est donc de considérer qu’on va récupérer le CO2 là où on n’a pas pu éviter de l’utiliser (certains chauffages, véhicules) et que le stockage n’est au mieux qu’un palliatif provisoire vers une suite. Il s’agit dans cette suite de faire  un cycle qu’on va dire « vert », par voie photo-électro-chimique, avec tout ce qu’on a sous la main, débouchant sur une synthèse d’un carburant nouveau, pas forcément super énergétique (une des terrasse du terril virtuel, pas celle du haut). Quand en France on avait le gazogène pendant la guerre (gaz à partir du bois), les allemands avaient la « LeunaBenzin », essence à base de charbon grâce à la réaction de Fischer-Tropf. C’était des exemples de conversion « entre énergies », faisant des passerelles entre « terrasses énergétiques » des différents degrés d’oxydation intermédiaires du carbone (méthane,, propane, méthanol, acide acétique … jusqu’ à l’acide oxalique CO4H2 qui « ressemble » à du CO2)
La vie moderne de 2019, c’est qu’au lieu de partir de bois (ou de charbon), on repart de CO2 carrément. Mais du coup, obtenir un bon gaz (CH4) ou une bonne essence est difficile. C’est là que j’essaye de voir ce qui pourrait faire système dans cette nouvelle logique à gradins. On va en gros  avoir un « monde des terrasses énergétiques » sur le terril virtuel de notre anthropocène avec différents privilèges énergétiques sur les points de la chaine, qui seront répartis ou pas, et assortis d’autorisation à refaire du CO2 ou pas (par tout mode  persuasion …).
§
E) Ce qui pourrait se profiler est donc que nous aurons des sortes de « décharge de carbone », plus ou moins réutilisables, d’où nous essayerons, tels des Sisyphe coincés dans un terril virtuel, de tirer de précieux hydrocarbures pour satisfaire des besoins. Une partie sera utilisée dans le processus lui-même, du fait des bas EROI de la plupart des procédés : gros besoin d’énergie pour faire fonctionner cette remontée de pente. Une autre partie sera ce que l’espace entre les terrils (virtuels) permettra : quels communautés, quelle humanité « fractalisée » viendront/viendra aux portes de ces terrils virtuels (en forme de silo ou autre, mais ne croyons plus trop aux oléoducs) pour y échanger pétrole de niveau 2 ou 3 ou 4 contre nourriture & médicaments, Smartphones… de niveau 2 ou 3 ou 4 ?
C’est le côté dystopique, mais un avant-goût est donnée aujourd’hui par l’industrie mondiale du lait : Quand le monde occidental et asiatique mange du beurre, les protéines du lait d’où est venu ce beurre ont été mise de côté. Cela fait un « sous-lait » trop écrémé pour être vendu. Qu’à cela ne tienne, s’est-on dit en Afrique. Puisque j’ai des graisses pas trop chères (dont l’huile de palme !), je vais re-mélanger les protéines pas chères avec ces corps gras, et obtenir du « lait de niveau 2 » ou « second lait ». Cela se vend aujourd’hui en Afrique subsaharienne notamment. Avec pour effet d’appauvrir les producteurs de lait véritable, qui ne peuvent faire concurrence au très bas prix du  « second lait ». Il s’agit en quelques sortes de Sysiphe sur un terril  non plus de carbone, mais plutôt d’azote (~protéines)  dans ce cas. En tout cas, si cette affaire est prémonitoire, alors mes terrils virtuels de carbone sont peut-être notre horizon. Et il est temps de nourrir la réflexion pour maximiser la solidarité devant ces évolutions et éviter une société de zones « vertes » et « rouges » (Bagdad actuellement, vocabulaire de Naomi Klein).
§
F) Un peu moins dystopique est le fait qu’on commence à tirer parti des leçons de la nature. Les composés organo-minéraux (ou organo-métalliques) sont légions, et sont un de ces endroits où les choses simples qu’on sait sur l’on ou l’autre des bords d’un savoir (l’organique ou le minéral) doit être totalement revu (c’est d’ailleurs le cas de certains des composés de zinc thiophosphoré de l’usine Lubrizol, ceux que Castrol inventa dans les années 1940 pour que les moteurs des Spitfire – dont certains durent survoler Rouen — ne cassent plus autant). Comme exemple : Les notions simples et cartésiennes sur l’eau (du type « baignoire et robinet », flux simple et stock simple) ne sont pas utiles pour comprendre le fonctionnement d’une source d’eau réelle, une source est un point de rencontre de plusieurs lits géologiques, chacun participant à une échelle de temps de la source (les 20 mètres autours à l’échelle de la semaine, les 200m autour à l’échelle de l’année, etc.). De la même façon on peut dire que la chimie organo-minérale offre des possibilités inaccessibles aux entendements formés dans l’une ou l’autre branche organique/minérale seule. La photosynthèse en est un premier exemple, basé sur un complexe organique avec un petit « cluster » Mn4 de 4 manganèse qu’on n’invente pas au bout d’un crayon, et tout cela est entouré d’une série impressionnante de complexes chimiques canalisant les électrons récupérés. L’hémoglobine est un peu plus simple côté métal, un seul atome de Fer y agit dans chaque « hème » ; nous humains, nous les sanguins, sommes moins subtils que les plantes. Devenons davantage des êtres de sève, ou au moins faisons circuler nos savoirs comme la sève circule, dans les deux sens. Concrètement, il n’est donc pas interdit de penser qu’on puisse faire des bactéries ou autres entités qui, avec le concours d’une chimie organo-minérale, nous mette notre poubelle à CO2 sous forme d’un gros tas de pseudo-calcaire à larguer au fond de la fosse des Mariannes. De quoi se poser 50 ans pour réfléchir.
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G) Quelques éléments d’autres horizons improbables : La question de l’aviation civile, malgré la réprobation climatique dont elle fait l’objet, est intéressante pour imaginer si nous allons vers des terrils dystopiques ou pas. Car la concentration et l’usage intensif de l’aéronef, point de convergence technico-humain unique en son genre, font que l’éventail des possibilités s’ouvre différemment pour les « penseurs » de ce domaine. Là où les vendeurs de voiture continuent à vendre des SUV, au mieux hybrides, et ne savent pas trop quel réseau électrique permettrait qu’on chargera quasiment 1 voiture électrique par habitant chaque jour (allez, une demi), les fabricants d’avion ont, pour leur part, déjà essayé un bout du « terril virtuel » déjà un peu formé : les agro-carburants sont déjà certifiés en aviation, peu ou prou. On ne peut pas voler avec de l’huile de Jatropha pure (parce que cela nuit aux joints d’étanchéité par manque de cycles benzéniques, que le kérosène contient), mais avec du « mix », c’est bon. Du coup, ces gens hésitent : soit viser de l’ingénierie « incrémentale », pour grappiller ce qui peut l’être et faire « le meilleur usage » de ces agro-carburants, qui sont quand même une demi-catastrophe évidente dans les termes d’un bon « AFOLU » (on va planter des palmiers comme forêt ? ). Soit passer directement à l’hydrogène, ce qui est possible pour un secteur « intensif » comme l’aviation, bien plus que tous les autres. Mais il faut alors revoir toute la structure de l’avion, le réservoir devenant un objet central très spécial (H2 n’est liquide qu’à -250°C environ, H2 gazeux à 300 K exige trop de pression et d’acier pour être emporté dense). Et il faut aussi espérer que H2 est produit de façon assez verte (la bête électrolyse de l’eau par exemple, ce n’est pas si simple et l’électricité n’est pas donnée, mais il faut voir, car au moins tenants et aboutissants sont de portée encore limitée). C’est donc dans la bouche d’acteurs de ce secteur que j’ai entendu des préoccupations se situant à l’échelle qu’on nomme usuellement « prendre le taureau par les cornes » : Se donner les moyens d’un véhicule non émetteur, modulo la production d‘H2. L’aviation électrique va exister entre temps (la première livraison d’un coucou de 9 personnes est actée pour 2002), mais elle ne pourra pas, en raison du poids des batteries, faire plus que 500 ou 700 km, soit une part certaine des vols (genre 40%) mais une assez petite part de la consommation (genre 12%, pour dire un ordre de grandeur là encore), qui se fait sur les grandes distances évidemment.
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H) Je conclus : notre menu « carbonara » d’après 2050 peut se transformer en « sales terrils » où seule une minorité aurait, métaphoriquement, une bonne position, « vue sur la mer » et « eau et gaz à tous les étages ». Nous vivrions, pour la majorité, dans une sorte de pénombre mal décarbonée, où quelques-uns remontent la pente des terrils virtuels jusqu’à leurs terrasses sur la montagne du carbone, là où l’on amène ce qu’on peut de « chimie de capture » coûteuse, et quelques autres la descendent, tandis que les gros émetteurs s’estompent nolens volens dans cette cacophonie dystopique, contrôlés par ceux qui contrôlent les points névralgiques et stratégiques de l’ensemble.
Les quelques exemples suggérés nous montrent toutefois qu’il y a des moyens de « prendre le taureau par les cornes » : soit par le miracle d’une chimie bio-inspirée et réparatrice (n’y croyons pas trop), soit par le basculement des usages par des communautés conscientes du « cycle de savoir et d’énergie » dans lequel elle se trouve (la sève métaphorique). J’ai donné faute de mieux la très coupable aviation civile comme exemple à cause non pas de sa performance d’économie dans le cycle actuel (quoiqu’elle ait fait plus de progrès relatifs que d’autres sur l’efficacité), mais à cause de sa capacité à une réflexivité partielle au moins, liée à son mode de fonctionnement singulier avec « unité de véhicule », et « intensité technique », peu présent dans les autres branches de nos chimies anthropocéniques.
Ce pourrait aussi être une façon de soupeser par quel bout on peut le plus rapidement prendre les affaires de climat collectivement plutôt qu’individuellement : agir là où les silos techniques sont prêts à bouger, et pas là où les pétro-monarques et les réseaux qui les ont soutenus dans le monde occidental se complaisent dans les dérives géopolitiques.
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emploimaroc30 · 3 years
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Managem recrute Responsable Paie et Responsable Contrôle de Gestion
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Managem recrute Responsable Paie et Responsable Contrôle de Gestion
Le Groupe International Managem recrute les profils suivants:
-Responsable Paie & Administration du Personnel. -Responsable Contrôle de Gestion.
Créé en 1928, Managem est un groupe minier international implanté dans 9 pays d’Afrique.
Nous sommes un acteur minier intégré, expert sur toute la chaine de valeur: de l’exploration, l’extraction et la valorisation des minerais jusqu’au marketing et la commercialisation des matières premières.
Nous opérons et développons un portefeuille équilibré d’actifs miniers. Nous approvisionnons des clients présents dans le monde entier.
Historique: 
En 1928, Jean Epinat, industriel français en visite au Maroc, découvre sur la place Jemaa El-Fna à Marrakech des arséniates de cobalt, vendues dans les échoppes traditionnelles pour usage domestique. Dans le temps, les habitants de la région de Bou-Azzer utilisaient les minéraux d’arséniate de Cobalt comme insecticides et raticides. A sa demande, les habitants ont conduit Jean Epinat à la boutonnière de Bou-Azzer. Il découvre des filons qui affleurent à la surface et qui sont chargés d’une panoplie de minéraux, sous forme d’oxydes, arséniates, carbonates et sous forme d’arséniures. Le potentiel économique du cobalt de Bou-Azzer et la création de la CTT (Compagnie de Tifnout Tighanimine) marquent le début des activités. En 1934, la holding ONA voit le jour et opère dans plusieurs secteurs, notamment le secteur minier. En 1996, Managem est créé pour gérer l’ensemble des activités minières de l’ONA (devenu Al Mada en 2018).
Produits:
Nous extrayons, valorisons et fournissons des métaux précieux, du Cobalt de la Fluorine, des métaux de base ainsi que leur produits dérivés ou by-products. Nos métaux sont omniprésents dans notre vie quotidienne et dans la composition de nombreux objets stratégiques. Ils conditionnement l’activité de nombreuses filières industrielles comme l’aéronautique, l’automobile, les composants électroniques, les cosmétiques, la céramique ou l’agriculture…
La demande mondiale en matières premières est en constante augmentation drainée par la croissance démographique, l’essor des industries liées à la transition énergétique ainsi que la révolution technologique. Nous développons un portefeuille d’actifs miniers diversifié, équilibré et à fort potentiel de croissance. Ceci nous confère une meilleure résilience face aux risques et aux fluctuations de la conjoncture économique.
Managem recrute Responsable Paie et Responsable Contrôle de Gestion
Responsable Paie
Missions:
Paie & Règlement
Paramétrage des règles de calcul de la paie et suivi de conformité et mise à jour
Collecte, Contrôle de conformité et intégration des éléments de la paie
Calcul & Contrôle de la paie
Suivi de paiement des salaires et contrôle de conformité
Etablissement, suivi et contrôle des déclarations légales, sociales et comptables; et suivi des règlements
Clôture de la paie, validation et enregistrement
Administration RH
Création et MAJ du dossier des collaborateurs Groupe et contrôle de conformité 
Création et MAJ du dossier du personnel sous-traitance et suivi des mouvements (Entrées/Sorties)
Gestion des acomptes, des prêts, des frais de déplacement et des avances
Gestion des absences, maladies & Prévoyance
Gestion des contrats expatriés: Avenants/Lettres de détachement, Contrat local, Suivi des régularisations des situations par pays, …
Suivi des contrats CDD
Suivi des contrats prestataires retraités courte durée
Suivi des dossiers contentieux sociaux avec le juridique
Suivi des avantages sociaux Groupe
Digitalisation des dossiers administratifs
Autres
Participation à tous les projets de digitalisation des processus AP&P ainsi qu’aux projets de maintenance évolutive du SIRH
Élaboration et maintenance des manuels de gestion AP&P Maroc & International (en fonction des pays de présence du Groupe) 
Compétences requises:
Maîtrise des outils bureautique et RH (gestion du temps, HR Access paie,…)
Bonnes connaissances juridiques, notamment celles liées à la gestion du personnel
Fortes agilités relationnelles
Esprit d’analyse et de synthèse
Aisance à manipuler, interpréter et analyse les données chiffrées
Formation:
Formation Ingénieur en SI suivie d’une spécialisation en administration/gestion du personnel.
Expérience:
Ce poste s’adresse à des cadres possédant une expérience en Paie de Trois à cinq ans, de préférence en Afrique
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Responsable Contrôle de Gestion
Missions:
Le responsable contrôle de gestion a pour mission de mettre en place des procédures et outils de gestion. Il réalise des prévisions budgétaires et effectue un suivi analytique par le biais de reportings qu’il partage avec la direction afin de l’accompagner dans la prise de décisions. Ses principales missions sont:
Coordonner avec les parties prenantes l’élaboration des budgets;
Assurer l’élaboration des coûts de revient par activité;
Mettre en place des tableaux de bord avec des indicateurs clé de pilotage de la performance « KPI’s », et des procédures permettant de vérifier que la structure fonctionne conformément aux objectifs qu’elle s’est fixée;
Fournir des reportings réguliers sur l’activité de la structure (activité support, Mine, Usine, …), permettant de contrôler sa performance, en optimiser les ressources, et en fournir des objectifs opérationnels de développement;
Analyser les écarts existants entre les objectifs prévisionnels et ceux réalisés, alerter sur les points de vigilance et préconiser des actions correctives;
Apporter conseil auprès de la direction ou de groupes de travail contrôle de gestion pour les opérations courantes;
Apporter des réponses techniques aux équipes externes (CAC, Audit)
Compétences requises:
Afin de réussir vos missions, vous devez:
Maîtriser les outils bureautiques et les progiciels ERP;
Avoir une bonne connaissance des outils de pilotage des indicateurs de performance;
Avoir une aisance relationnelle, un bon sens de l’écoute et des aptitudes managériales;
Etre Structuré, organisé, rigoureux et autonome;
Avoir un esprit d’analyse et de synthèse
Profil recherché:
Diplôme Bac+5 d’une École supérieure de commerce et de gestion en Finance, Comptabilité ou Contrôle de Gestion, ou Diplôme d’Ingénieur, avec une expérience confirmée d’au moins 3 ans dans le contrôle de gestion et le pilotage de la performance opérationnelle en environnement industriel.
Mobile dans les sites du sud au Maroc et à l’international.
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azveille · 5 years
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Agnès Buzyn se félicite des prem iers "effets positifs" de "Ma santé 2022"
La ministre des Solidarités et de la Santé a récemment fait le point sur les avancées de la Stratégie nationale de santé et sur les dernières avancées concernant l’accès aux soins. Elle a notamment salué "les premiers effets positifs" de la réforme au niveau des délégations de tâches et des coopérations entre professionnels pour libérer "du temps médical utile". Elle aborde également les évolutions à venir.
Assistant médical, protocole Asalée, infirmier de pratique avancée, la ministre semble satisfaite de sa stratégie
Répondre aux difficultés que rencontrent les Français dans certains territoires pour accéder à des soins de proximité constitue l’une des priorités de mon action. Dès les premiers mois du quinquennat, j’ai apporté de premières réponses à l’urgence de la situation : le lancement du plan d’égal accès aux soins, en octobre 2017, a concrétisé une première série de mesures fortes et emblématiques, telles que la création d’infirmiers de pratique avancée aux compétences élargies pour le suivi de maladies chroniques ou encore le remboursement des téléconsultations, affirme Agnès Buzyn en faisant le bilan des premières réformes en lien avec la stratégie de transformation du système de santé.
En effet, Ma santé 2022 contient de nombreuses mesures visant à développer la coopération et différents moyens de déléguer des tâches attribuées aux médecins à d’autres professionnels de santé. Le but : libérer du temps médical utile et ainsi répondre aux difficultés immédiates des Français, argumente la ministre.
Parmi les moyens de coopération mis en œuvre, le protocole Asalée a fait ses preuves. Rappelons que, selon la dernière évaluation de IRDES en novembre 2018, la délégation d’une partie de l’activité du médecin généraliste à l’infirmier génère des gains de temps significatifs pour le praticien, ce qui lui permet de prendre en charge jusqu’à 10% de patients supplémentaires pour les binômes les plus performants. De même, une amélioration notable du suivi de certains patients a été constatée. A l’heure actuelle 367 infirmiers travaillent en association avec près de 2800 médecins pour suivre et accompagner notamment des patients atteints de pathologies chroniques. D’après les statistiques, une centaine d’infirmiers supplémentaires ont été recrutés depuis le début du quinquennat. Ainsi, pour poursuivre sur cette lancée, une prime de coopération sera instaurée pour valoriser les professionnels choisissant de s’engager dans ce type de protocole.
On estime à 3 millions de consultations médicales de libérées pour les patients via les délégations de tâches, ce qui équivaux à 800 médecins généralistes supplémentaires !
La pratique avancée pour les infirmiers et la vaccination pour les pharmaciens
En parallèle, les premières promotions d’infirmiers en pratique avancée sont entrées en formation. On compte près de 300 soignants qui suivent l’enseignement et parmi ceux-ci 70 ont intégré directement la deuxième année. Par conséquent ces futurs IPA se déploieront dans les 2 ou 3 années à venir. En outre, une nouvelle filière va être prochainement créée en psychiatrie.
Enfin, le PLFSS 2019 a généralisé le recours aux pharmaciens pour vacciner contre la grippecertaines catégories de patients suite au succès des expérimentations, qui avaient mobilisé,dans les quatre régions, près de 60% des officines, lesquelles ont vacciné chacune unesoixantaine de patients en moyenne. C’est d’ailleurs pourquoi la Haute Autorité de Santé(HAS) va bientôt se prononcer sur la possibilité pour les pharmaciens de réaliser égalementles rappels de certains vaccins. Ainsi, si la ministre salue ces diverses initiatives, encore unefois, les infirmiers risquent de ne pas se sentir écoutés ou du moins suffisamment valorisés.
La télémédecine en marche lente et le télésoin au démarrage
Le déploiement de la télémédecine est un autre objectif important de Ma santé 2022, en particulier dans les zones en tension. Or, la téléconsultation est à présent remboursée par l’Assurance Maladie sous certaines conditions (respect de confidentialité). Depuis 6 mois que cette disposition est en vigueur, environ 700 téléconsultations par semaine sont remboursées en moyenne. Par ailleurs, la télé-expertise, autre domaine de la télémédecine, qui permet à un praticien de recourir aux compétences d’un confrère est également remboursée depuis février 2019 dans les zones en tension pour une généralisation prévue en 2020. Des aides financières sont aussi proposées pour les professionnels qui souhaitent s’équiper en matériel. Ainsi, 354 projets ont été accompagnés en 2018 par les ARS pour un montant de 27,5 millions d’euros un chiffre en hausse de 21% par rapport à 2017.
De plus, il est prévu de mettre en place du télésoin, soit la pratique de soins à distance entre un patient et un pharmacien, un infirmier ou un orthoptiste. Cela devrait faciliter l’accès aux soins des populations ayant du mal à se déplacer ou résidant dans des territoires isolés.
Source : Infirmiers.com, le 13 mai 2019
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reseau-actu · 5 years
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EXCLUSIF - Activités productives en déclin, faiblesse des salaires nets, cultures populaires et savoir-faire professionnels anémiés... Dans un essai en librairie jeudi, dont Le Figaro publie de larges extraits, l’intellectuel embrasse tous les aspects du mal-être de la France périphérique.
Extraits choisis et présentés par Guillaume Perrault
Les lecteurs du Figaro connaissent bien l’historien Pierre Vermeren, normalien, agrégé et docteur en histoire. Depuis plus de cinq ans, l’universitaire a perçu et décrit avec une remarquable précision, au fil de ses textes accordés à notre journal, de nombreux maux de la France périphérique, prélude de la crise des «gilets jaunes». Loin de s’en tenir à un diagnostic assurément très sombre, Pierre Vermeren livre aussi des préconisations réalistes en vue de préserver la cohésion nationale. Une œuvre de salut public et une lecture urgente.
● Stenay, ville témoin d’un drame invisible
Pour que l’on comprenne bien l’ampleur de la dévastation économique et sociale dont on parle, à l’échelle d’un micro-territoire existant (…), sur une à deux générations, et au regard de la longue durée, illustrons-la par un cas précis. (…) Prenons l’exemple d’une petite ville de l’Est dont je suis originaire, Stenay, dans la Meuse, où ma famille paternelle a vécu pendant plusieurs générations.
Contrairement à la vallée sidérurgique située en Moselle décrite par Nicolas Mathieu, la vallée de la Meuse, à cet endroit - bien qu’elle se trouve aussi en Lorraine frontalière -, a été bien moins industrialisée, n’étant située ni sur les bassins houillers ni à proximité des mines de fer. Cette zone rurale a été très marquée par les trois guerres franco-allemandes, proximité de Sedan et Verdun faisant foi, et a bénéficié à ce titre de diverses rentes historiques: la frontière, pourvoyeuse d’échanges - la région est remplie de longs tunnels aujourd’hui obturés ; l’agriculture et la forêt, principales activités productives héritées ; l’armée, vieille ville de garnison frontalière oblige ; et l’industrie, un héritage lié à l’environnement lorrain et ardennais. Ajoutons le bâtiment, chaque guerre ayant, du fait des destructions civiles et des équipements militaires, contribué à développer ce secteur, attirant artisans et entrepreneurs italiens. Lorsque la création de l’Europe est annoncée et réalisée dans les années 1950, un grand optimisme règne dans la région: la fin des guerres et bientôt de la frontière présage des lendemains radieux, la Belgique et le Luxembourg, plus riches, étant des promesses positives. Et les quatre hauts fourneaux de Longwy recrutent alors à des dizaines de kilomètres.
Pourtant, dès les années 1970, la région entre par étapes dans le tsunami qui accable la France périphérique. Certes, les régions touristiques du sud et de l’ouest du pays, voire la périphérie des métropoles, présentent aussi leurs propres problèmes. Mais le tsunami dont on parle se montre particulièrement cruel dans notre ville rurale témoin, sans que la destruction des activités ne fasse jamais l’objet d’aucune médiatisation régionale ni nationale.
C’est un processus silencieux, continu, implacable, de destruction des activités qui conduit, en gros, la commune à perdre tous ses points forts
C’est un processus silencieux, continu, implacable, de destruction des activités qui conduit, en gros, la commune à perdre tous ses points forts, tandis que toutes les villes alentour, petites et moyennes (Verdun, Sedan, Charleville, Rethel, Longwy) sont touchées par la même vague. En quelques années, le canton, qui compte outre son chef-lieu dix-huit villages, perd la majorité de ses 6000 emplois: 1000 emplois militaires par le départ progressif de l’armée ; environ 1500  emplois agricoles et sylvicoles estimés ; 800 emplois industriels des deux usines sur 1000 (non comptés 84 emplois en cours de destruction à l’hiver 2019 dans la dernière grande usine, une papeterie, passée en vingt-cinq ans de 500 à 120 emplois) ; 500 emplois dans la fermeture de l’abattoir et des grandes entreprises de BTP ; et, par voie de conséquence, rétraction des emplois publics, artisanaux et commerciaux (estimés à 200 emplois pour le seul commerce). Cela représente une destruction nette de 4000  emplois en quarante d’années, que ne compense que marginalement la création d’emplois administratifs et de services à la personne, du fait de l’effondrement démographique induit. Dans cette région verte du Nord-Est, l’emploi touristique saisonnier reste modeste.
Les conséquences sont nombreuses et hautement prévisibles. Une transformation progressive du jeu électoral, qui, en fin de période dans cette région centriste, tend à se radicaliser politiquement - évolution conforme en tout point au vote national ; un effondrement démographique, la population du chef-lieu de canton passant de 4000 habitants au début des années 1970 à 2600 aujourd’hui, et le canton chutant de 8500 habitants à 6100. Cela ramène la commune, comme un très grand nombre de communes rurales et de petites villes françaises, au niveau du début du XIXe siècle.
● Deux choix funestes
Cohabitent chez nos décideurs deux logiques économiques, financières et idéologiques qui ont conduit à la situation présente de la France périphérique et, plus globalement, de l’économie française. La première, c’est la maximisation du profit à court terme et la reconversion des capitaux dans des activités plus spéculatives ou plus rentables. La recherche d’une forte rentabilité associée au coût élevé du travail en France, l’un des plus élevés du monde, entraîne la destruction massive d’emplois productifs (agricoles, miniers et industriels) et de services jugés inutiles ou substituables. Dans de nombreux secteurs, la mécanisation-automatisation ne constitue pas un progrès (de productivité, de rapidité ou d’efficacité), mais permet de substituer des coûts fixes et bas (des caisses automatiques par exemple) au coût élevé et croissant de la main-d’œuvre ouvrière ou employée (caissiers et caissières), du fait des cotisations. On songe à la grande distribution ou à la banque. Le «progrès» est ici considéré comme une fin en soi, non pour les services qu’il rend (puisqu’il élimine l’humain).
La deuxième logique, c’est l’abandon conscient, programmé et assumé du secteur productif par les investisseurs et par les pouvoirs publics. L’idéologie de la fin du travail frappe tant l’agriculture (1,5 million d’emplois agricoles perdus en quarante ans) que l’industrie (2,5 millions d’emplois industriels disparus en quarante ans pour passer sous la barre des 3 millions), des chiffres aggravés par la chute de la pêche, des mines et du bâtiment. La France est devenue le champion du tertiaire européen avec 76 % des emplois dans ce secteur (88 % pour les femmes), soit 5 % de plus que la moyenne européenne. En retour, elle est une des économies les moins industrielles et les moins agricoles tant en emplois qu’en production (en termes relatifs s’entend). Or le travail ainsi libéré est difficilement transférable.
Des métiers nobles qu’on a déqualifiés
On ne transforme pas un manœuvre ou un ouvrier spécialisé en cadre commercial. Mais c’est le fruit d’une véritable idéologie, illustrée par la baisse rapide du niveau scientifique des élèves français, la réduction de l’appétence pour les sciences et la technologie, et la promotion des études tertiaires (sciences politiques, commerciales, managériales), qui entraîne des pénuries de professeurs de sciences, de techniciens ou d’emplois industriels (1,5 million d’emplois qualifiés devraient manquer à la France en 2030). (…)
Combien d’artisans et de patrons se désolent de recevoir des apprentis et des stagiaires inaptes, car sélectionnés sur la base de leurs faibles ou très faibles capacités ?
Il n’y a plus de place réservée à l’usine ou à la ferme, comme ce fut le cas jusqu’aux années 1970. (…) La France continue en outre de privilégier les formations intellectuelles au détriment des filières manuelles et techniques. Bien des enseignants, parents ou universitaires constatent que les formations «intellectuelles» sont peuplées d’insatisfaits. (…) Presque tous les parents désirent le baccalauréat pour leurs enfants, et le système LMD (licence-master-doctorat) s’est imposé aux formations académiques et techniques. Or, combien d’artisans et de patrons se désolent de recevoir des apprentis et des stagiaires inaptes, car sélectionnés sur la base de leurs faibles ou très faibles capacités? Ce gâchis humain humiliant les persuade souvent de renoncer à préparer la reprise de leur activité. (…)
Pour en arriver là, il a fallu déqualifier de nombreux métiers ouvriers et artisanaux, qu’il aurait été autrefois inenvisageable de confier à des néophytes, et engager des processus de standardisation, de mécanisation et de simplification massifs. C’est particulièrement visible dans les métiers de la restauration ou du bâtiment, où l’on a liquidé les savoir-faire liés aux techniques et matériaux traditionnels. Cette dérive a plongé des secteurs artisanaux entiers dans le chômage, tout en accélérant la déqualification des métiers d’artisans et d’ouvriers du bâtiment.
Celle-ci a été portée à un si haut niveau que la langue française n’est plus exigible sur un chantier du bâtiment (pourtant très dangereux et a priori très technique), ce qui fait immanquablement penser au travail des bêtes de somme. L’absence de la clause linguistique traduit une sorte d’animalisation du travail ouvrier réduit à sa seule force brute.
Ces jeunes du périurbain fragilisés
En Angleterre, où les statistiques ethnico-religieuses sont légales, on a pu montrer que les ouvriers natifs ayant quitté les grandes agglomérations saturées (faute d’emplois et de logements décents) et étant retournés dans leurs régions d’origine, leurs enfants, notamment les garçons, ont des taux d’accès à l’université et aux filières d’excellence très inférieurs aux enfants d’immigrés des villes, surtout chez les filles, plus sensibilisées à la question scolaire. De là résultent diverses attitudes politiques et sociales. Pour les représentants des classes moyennes et populaires, parfois qualifiés de «petits Blancs», qui sont exclus des bonnes filières scolaires, et par la suite des emplois rémunérateurs des métropoles, l’immigration internationale et la société ouverte sont perçues comme des menaces: dans ces catégories déclassées, le vote aux extrêmes se cumule avec un rejet massif de l’immigration. Ce qui favorise le vote populiste à droite.
Une jeunesse des métropoles aux valeurs inverses
À l’inverse, pour les enfants déclassés issus des classes moyennes et de la bourgeoisie des métropoles, le positionnement «révolutionnaire» traduit un autre mal-être social, et d’autres difficultés d’insertion. Là se recrutent les bloqueurs des universités ou les black blocs, et les plus déterminés fréquentent les ZAD ou les forums d’activistes d’extrême gauche. Vis-à-vis de l’immigration et de la société ouverte, chez eux s’observe le comportement inverse de celui des «petits Blancs» de la France périphérique. Cette fraction de la jeunesse française est en effet favorable à l’immigration, ce dont atteste leur positionnement politique, ici populiste de gauche. Les immigrés ou enfants d’immigrés sont les seuls prolétaires qu’ils sont amenés à fréquenter, ceux de la France périphérique leur étant inconnus. En outre, la situation sociale relativement privilégiée de leurs parents, par rapport aux milieux immigrés, tend à les culpabiliser socialement. Enfin, les postes offerts par la gestion de l’immigration sont un des rares secteurs d’emploi dynamique qui leur soit accessible (par le biais d’associations, d’ONG du secteur de l’aide sociale aux migrants, ou par la voie des études de sciences sociales dans ces domaines).
Tragique alternative
La France qui déclasse . Les Gilets jaunes, une jacquerie au XXI e  siècle, Taillandier, 192 pages, 16,90 €. - Crédits photo : Crédit : Editions Tallandier
Les classes populaires sont dès lors face à une drôle d’alternative. Ou bien elles acceptent de travailler pour de bas salaires, qui, selon toute évidence, ne permettent pas de vivre décemment ni d’élever une famille avec les standards du XXIe siècle français. C’est dans les rangs de ceux qui ont fait ce choix que se recrutent les «gilets jaunes». En effet, le salaire médian en France (1762 euros en 2017), qui correspond au plafond touché par la première moitié des salariés, n’autorise que la précarité, non seulement dans les grandes villes, mais même dans cette France périphérique où la voiture est nécessaire (en France, 70 % des salariés se rendent au travail en voiture, contre 4 % à vélo). Le complément de salaire lié aux revenus sociaux est indispensable, même en l’absence d’accident de la vie. Or cela nuit à la valorisation du travail et à l’estime que se porte le travailleur.
Ou bien ces classes populaires renoncent à l’emploi, surtout s’il est rare et précaire, et elles basculent dans le système économique socialisé. Celui-ci est parfaitement rodé et accepté puisque la France distribue les plus généreuses prestations sociales au monde (le quart de son PIB). Cette économie sociale hors marché est un système unique au monde, devenu un marqueur de l’économie française: la grande distribution, le logement, les loisirs, la médecine, le système de formation, etc. dépendent aussi de la distribution des paiements de transfert. Les 8 à 9 millions de pauvres sont ainsi économiquement intégrés au système, et ils contribuent indirectement à la croissance globale, non par l’emploi dont ils sont exclus (ou dont ils s’auto-excluent par manque de stimulation), mais par l’économie sociale pourvoyeuse de rentes ; les 85 % d’immigrants annuels qui ne sont pas des migrants de travail participent de cette étrange économie.
Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 30/04/2019. Accédez à sa version PDF en cliquant ici
Pierre Vermeren Source: premium.lefigaro.fr
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