Tumgik
#film ind crit
quincywillows · 1 year
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i actually don’t think y’all understand how disillusioned i am with tv these days... the industry is dead to me. not for the reasons most fandom people say that like oh my fave died my fave couple broke up etc etc no. i think tv is dead because it literally is DEAD. its become so oversaturated that there is literally no way to rake through the muck to find the gems of good story. media has always been profit driven but the evolution to let’s create as much content as possible to beat out our competitors but only give them 1.5 seasons if that and make sure they have record-breaking streaming numbers -- a meaningless, MEANINGLESS metric when it comes to the quality of the storytelling -- within two days or they get the axe guaranteed and every single thing being a cheap and soulless IP adaptation that fans are happy to gobble down just to say they have it rather than actually see it as a faithful interpretation bc money money money and i swear if i see one more gd star marvel wars piece of property i will lose it. in this essay i will,
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fcinetv · 5 years
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Avant le déluge (Before the Flood)
Avant le déluge (Before the Flood) Actors: Leonardo DiCaprio,Barack Obama,Bill Clinton Director: Fisher Stevens Country: américain Genres: Documentaire Duration: 96
<p>Le film décrit de manière informative et captivante la façon dont la société peut empêcher la disparition des espèces en voie d'extinction, d'écosystèmes et de communautés autochtones à travers le monde. Le public découvrira des preuves visuelles de l'aggravation de la crise environnementale, qui inflige des dégâts irréversibles à des paysages immaculés, du Groenland à l'Ind... source https://fcine.tv/avant-le-deluge-4382-streaming
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revuedepresse30 · 6 years
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Allons-nous vers la fin de l'idée de "race" aux États-Unis ?
"Quoique la science refuse de nos jours à la race le statut de vérité objective et que le recensement en Amérique ne sache plus du tout comment classer les personnes, beaucoup d'Américains se raccrochent à cette notion de la même manière que ceux qui sont incultes se raccrochent à la superstition". Dans son livre, Histoire des blancs, paru ce jeudi 31 janvier 2019, Nell Irvin Painter décortique méthodiquement la construction des idées de "races blanches" ; quitte a égratigner certains contemporains.
Si la gravité du sujet et le format de l'ouvrage (près de 400 pages) peuvent intimider, l’historienne parvient par un humour qui se laisse deviner entre les lignes à établir un jeu subtil entre le lecteur, le matériau historique et elle. On se surprend à sourire au dépend des idéologues et adeptes des théories raciales de tous bords sans pour autant que la qualité de la démonstration n’en souffre. Mais là où le livre fait mouche, c’est que l’auteure n’omet pas, au contraire, d’intégrer les enjeux sociaux, de classes, au sein de cette analyse de la construction de la "race blanche".
Ce livre n’est pas un essai politique, il ne fustige pas, il ne provoque pas. Si le propos de l'ouvrage s'inscrit dans la société états-unienne de l'auteure, le Vieux continent n’est pas moins en droit de se sentir concerné à plus d'un titre ; la France, terre d’immigration autant que la République américaine, en premier lieu. L'ancienne présidente de l'association des historiens américains et longtemps professeure à l'université de Princetown, Painter, pose un regard sans complaisance mais pas sans nuance sur un système culturel, scientifique et idéologique mouvant de croyances qui a permis l'existence d'une "race blanche" sous différentes formes jusqu'à aujourd'hui.
La "race" est une idée à laquelle il faut des solutions conceptuelles
Soyons clair, comme le rappelle l'auteure, "la race est une idée, non un fait, et [...] ces questions demandent des réponses relevant du conceptuel plutôt que du factuel". On pourra s’étonner à la lecture des premiers chapitres de livre au sujet des Grecs, Scythes, Romains, Gaulois, Germains et autres peuples antiques. N. I. Painter s’interroge avec nous : "si quelqu'un demande, par exemple, qui sont les Scythes ? Cette question nous met sur un terrain glissant, car, au cours du temps et surtout dans les temps plus anciens, une recherche des ancêtres des Américains de race blanche conduit obligatoirement à des populations illettrées qui ne laissaient derrière elles aucun document qui fournisse leur description."
Mais il est nécessaire pour l’historienne de s’engager sur cette pente, tant que certains de nos contemporains "croient possible de suivre la trace de quelque chose qui serait la race blanche plus de deux mille ans en arrière". Elle parcoure donc les siècles en historienne des idées, des pensées et des cultures, étudiant le clivage entre civilisation et sauvagerie du Moyen-Âge, jusqu’au racialisme du 19e siècle et au-delà.
La démarche est rendue vivante par les insertions d’études de personnages, plus ou moins connus, qui donnent au lecteur une prise sur l’ouvrage : Mme de Staël qui permit, entre autres, aux idées racialistes allemandes de trouver un terreau fertile en France et en Angleterre – l’historienne lui rend néanmoins hommage en tant que femme et intellectuelle – et même des personnages plus célèbres tel Théodore Roosevelt (rendu populaire en Amérique puis en Europe notamment par des films tels La nuit au musée). On découvre la fascination de ce personnage, pourtant sympathique dans la culture populaire, pour la mythologie scandinave et germaine et sa croyance dans la supériorité de la "race" anglo-saxonne.
L’idée de déclin : une idée populaire
Preuve, s’il en est, que ce livre s’adresse aussi aux Européens et contemporains de l’auteur : ce même président aimait, dans le premier 20e siècle, un livre d’un certain Madison Grand qui rencontra auprès du grand publique – dans l’entre-deux-guerres – un vaste succès : Le Déclin de la grande race. Déjà la peur d’être submergé ou avili par des "races" perçues comme inférieures (ici non anglo-saxonnes) saisissait massivement des parts de la population… Un "Grand remplacement" avant la lettre que Éric Zemmour et ses succès en librairie ne peuvent qu’envier.
La couleur de peau a été le critère déterminant dans notre histoire la plus proche pour distinguer les "races". Ses origines se retrouvent, selon l’auteur, au 18e siècle dans l’établissement des classiques de beauté en art. Se développe alors la conscience, largement partagée, d’appartenance à une "race blanche" à part et supérieure aux autres. C’est, paradoxalement, dans la perception en Occident de la traite des blancs et principalement des blanches que cette idée trouve son expression.
L’Orientalisme fera des "Circasiennes", "Géorgiennes" et "Caucasiennes", des modèles de beauté bien supérieurs aux esclaves tartares et africaines des harems ottomans. On tombe des nues face à un impresario de New York qui – en pleine guerre de Sécession (1861-1865) – fait venir certaines de ses esclaves et les exhibe comme le "plus bel échantillon de la race blanche".
>> Pour en savoir plus sur les exhibitions et zoos humains de la période coloniale, cliquez ici.
L’auteure ne manque pas d’examiner tous les discours sur la "race blanche", ceux des nationalistes noirs – dont Malcolm X a été dans les années 1960 une figure – comme de ceux blancs qui aujourd’hui se réclament toujours de la suprématie de cette-dite "race blanche". De la même manière qu’elle définit la "race blanche" en opposition à celle "noire", Nell Irvin Painter dénonce, après le mouvement des Civil Rights, "les Américains blancs se [métamorphosant]en Américains italiens, juifs ou irlandais", "rejetant le fardeau de la culpabilité blanche que Malcolm X leur avait fait endosser". Une telle délimitation, pour scientifiquement appuyée qu’elle soit, participe aussi d’une opposition tranchée au sein de la population américaine entre "noire" et "non-noire" qui fait partie du débat actuel aux États-Unis. Autant de passions identitaires auxquelles la France n’est pas étrangère.
Du racialisme aux catégories sociales…
L’analyse de l’historienne nous interpelle particulièrement sur la question sociale, au lendemain des élections de midterms qui ont vu l’arrivée à des postes d’élus d’importance de femmes de couleurs très engagées socialement aux États-Unis : "si la catégorie ‘être blanc’ – ou ce que nous devrions appeler plus précisément ‘ne pas être noir’ – se diversifie efficacement […] Il n’en demeure pas moins que la pauvreté à peau noire continue d’être l’opposée d’une blanchité, mue par ce vieux désir social de caractériser le pauvre comme un être définitivement autre et intrinsèquement inférieur".
Un des principaux apports du travail de l’historienne est d’examiner, à travers les idéologies qui ont vu se définir différentes acceptations de "races blanches", le contenu des catégories créées : la couleur de peau, l’appartenance sociale, les origines géographiques et génétiques ont fondé une hiérarchisation nette de la société.
L’historienne nous explique comment, progressivement, la "race" devient le principal prisme de lecture d’une société constituée par différentes vagues migratoires. "Les Américains d’aujourd’hui, élevés dans l’idéologie de la couleur de peau comme différence raciale, ont du mal à reconnaître qu’il y a eu aussi, historiquement, des sentiments de haine à l’encontre des populations considérées comme blanches". Une telle phrase pourrait s’appliquer, adaptée, à la société française et à d’autres, européennes. La "blanchité", à laquelle un ensemble de privilèges sociaux est attaché selon l'auteur, s’élargie progressivement tout en maintenant en dehors une certaine partie de la population, indépendamment parfois de la couleur de peau.
On assiste aujourd’hui, selon l’auteur, à un "effacement des frontières raciales" (depuis 1940) au profit du développement des "ethnies". Alors que "vers 1850, le poids écrasant de l’Anglo-Saxon fier de lui mettait les Américains de confession protestante au-dessus des catholiques de toutes classes et de toutes origines", la Guerre de Sécession marque l’entrée – pénible – des Américains d’origine irlandaise dans "la couche supérieure des Européens du Nord-Ouest comme ‘Nordiques’" : plus par rejet des nouveaux immigrés qu’acceptation des précédents estime l’auteure.
Vers la disparition de l’idée de "race" aux États-Unis ?
La vision qu’ont alors les théoriciens "Anglos-Saxons" américains des Européens (Scandinaves et Britanniques à part) est celle d’"hommes vaincus de races vaincues", selon l’historienne : Latins (Français compris), Slaves et Juifs (considérés par les anthropologues antisémites du Nouveau Monde comme une "race" à part). Aux lendemains de la seconde guerre mondiale, "la catégorie blanche s’était […] considérablement élargie, bien au-delà des immigrants européens et de leurs enfants. Elle incluait désormais les Mexicains et les Mexico-américains".
Le cœur de ce livre réside dans la capacité de l’historienne à prendre ses distances avec les passions qui se déchaînent sur les sujets identitaires aussi bien en Europe qu’en Amérique. Elle conjugue une analyse de ses questionnements avec une étude sociale et de classe de la société américaine et occidentale. Les anthropologues et savants américains, français et britanniques, jusqu’à la deuxième guerre mondiale, alimentèrent, selon l’historienne, la prépondérance de la "sélection naturelle" dans les sociétés libérales et démocratiques, comme "moteur pour déterminer les caractéristiques raciales comme les classes". Hygiénisme, valeurs de classes, sciences et parfois eugénisme se sont accordés pour définir une hiérarchie des sociétés remises en cause seulement à partir des années 1950.
La version anglaise du livre, The History of White People, est parue en 2010. Barack Obama est à la Maison Blanche depuis deux ans, l’espoir que l’ombre des conflits raciaux aux États-Unis appartiennent enfin au passé apparaît. D’autres l’ont cru avant de déchanter lors de l’élection de Donal Trump et le retour sur le devant de la scène des suprémacistes blancs : Ta-Nehesi Coates est de ceux-là comme il l’explique dans son ouvrage, paru en français en septembre dernier, Huit ans au pouvoir, aux éditions Présence africaine.
Donnant un écho au débat qui fait rage depuis le départ de Obama de la Maison Blanche, Nell Irvin Painter s’interroge, à la fin de son travail : "Est-ce la fin de la race en Amérique ?". Les huit années qui ont suivi la publication de son livre ont prouvé le contraire. Mais il reste que, selon l’auteure, "il est raisonnable de conclure que l’Américain est en train de connaître un quatrième élargissement de grande ampleur. Bien que la race puisse encore sembler occuper une place démesurée, sans reconnaissance légale elle est moins importante que par le passé. La peau foncée à condition d’être riche […] et la peau claire […] sont désormais bel et bien sur la voie de l’intégration".
>> Retrouvez notre entretien avec Ta-Nehesi Coates, cliquez ici.
Nell Irvin Painter, Histoire des blancs, édition Max Milo, 2019, 428 pages.
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quincywillows · 5 years
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i’m not gonna lie to y’all, wanting to write fun, poppy content in an industry that is heavy into “prestige” right now... it’s tough. it’s not a blast
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