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#fondation Pinault
jeanfrancoisrey · 1 year
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Fondation Francois Pinault, escalier à double révolution de l’ancienne bourse du commerce. Ces deux rampes d’accès permettent aux visiteurs qui l’empruntent de ne jamais se croiser. Datant de 1767, cet escalier est l’un des rares vestiges de Halle au blé du 18e siècle.
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toosvanholstein · 2 years
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Marlene Dumas in Venetië en een Franse miljardairs verpieswedstrijd
Wat in een verpieswedstrijdje verzeilde Franse miljardairs te maken hebben met 'onze' schilderster Marlene Dumas? Lees en kijk maar in TOOS&ART. Oh ja, Venetië en Palazzo Grassi spelen ook een belangrijke rol. #art #kunst #Venice #expo
Ik herinner me nog mijn positieve verbazing, als kunstzinnige inboorling van Eindhoven, toen ik in 1985 bovenstaande nieuwe aankoop in het Van Abbemuseum zag hangen. ‘Het kwaad is banaal’ uit 1984, van de voor mij toen nog onbekende Marlene Dumas. Zomaar de aankoop van een schilderij van een vrouw! Ongewoon voor die tijd. En nog eens figuratief ook. ’t Moest niet gekker worden. Ook in mijn…
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gcgazette · 10 months
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Venezia : la Punta della Dogana - Fondation François Pinault
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enkeynetwork · 5 months
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atna2-34-75 · 9 months
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Lee Lozano, “Strike”
Bourse de Commerce - Fondation Pinault, Paris
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chez-mimich · 1 year
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MAL DI TERRA (parte II)
(segue) Nessun uomo è un’isola, affermava John Donne nelle sue meditazioni, ma nemmeno un’isola è un’isola conclude Schultz. “I microbiologi sanno che non esiste alcun divario tra i corpi e lo spazio esterno, per questo ci chiamano ‘olobionti’, termine che descrive come l’uomo sia costituito dagli agenti organici che abbiamo sempre rappresentato come esterni, ma che in realtà ci fanno vivere, respirare, muovere…” Parole che non lasciano spazio alla retorica dei luoghi incontaminati che ci vengono continuamente veicolati attraverso pubblicità ingannevoli (come se esistesse una pubblicità non ingannevole), ma anche media compiacenti. L’autore si trova a condividere i pochi metri di spiaggia ancora non sottratti dal mare, con una anziana abitante dell’isola e scrive: “… Allo stesso modo in cui la costa dell’isola è costituita dalle tracce che vi lascio, a ogni nuovo passo che sottraggo alla vecchia signora anch’io vengo costituito dalle tracce che essa lascia su di me, rendendo imprecisa la distinzione tra il corpo-organismo e lo spazio esterno-ambiente. Il mio corpo non è separato dall’ossigeno dell’isola, dai batteri della sabbia…” Un testo sorprendentemente profondo, lontano da quell’ambientalismo di maniera che sembra voler lavare le coscienze con soluzioni indolori. Persino la fuga sull’isola (non più) deserta sembra essere impossibile poiché anche quello spazio di libertà per antonomasia, sta scomparendo. Paradossalmente, anche qui, fu la pandemia a far “respirare” l’isola sotto perenne assedio del turismo. Ma le osservazioni di Nikolaj Schultz non sono “neutre”, poiché l’autore individua proprio qui la nascita di una nuova “lotta di classe”, poiché su quest’isola la “produzione” non sembra più garantire la “riproduzione”. Le classi sociali non definiscono più i loro interessi collettivi in base alla loro posizione nell’economia, ma in base alle loro posizioni territoriali. Scrive Schultz: “Non si tratta di un conflitto per il controllo delle forze produttive (…), ma di un conflitto sulla distribuzione delle conseguenze distruttive della produzione…”. Mi sia consentita infine una riflessione strettamente personale su un luogo, Porquerolles, che ho tanto amato, in particolare per la presenza di una grande collezione d’arte, la collezione Pinault della “Fondation Carmignac”. Forse alla luce di questo rivelatore scritto, qualche ripensamento è d’obbligo, anche per chi vi scrive…
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pingetpuispong · 1 year
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ping (site fondation Pinault Paris)
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deanmaxime · 2 years
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Bourse de commerce - Fondation Pinault
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imcallemvedou · 2 years
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Recap culture - Octobre 2022
Films
Notre Dame Brûle, Jean-Jacques Annaud avec Samuel Labarthe, Jean-Paul Bordes
Ouistream, Emmanuel Carrère
Expositions
Habitation Clément, Le François, Martinique
Art Basel 2022, Grand Palais Éphémère
Anri Sala, Fondation Pinault
The Anonymous Projet, Marseille Photo
Livres
King King Théorie, Virginie Despentes
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Cette oeuvre amène à s’interroger sur les rapports entre l’art et publicité dans l’art d’aujourd’hui. Ici la marque sous la forme d’un fragment de carrosserie luisante s’imprime dans une colonne. L’équivalence est posée : pas d’art sans publicité. De fait, les expositions, voire les musées, n’existent plus sans les apports financiers de mécènes qui s’attendent en retour à ce que leur participation soit largement connue. Ce qui conditionne non seulement la production de l’art contemporain mais tout autant le développement et l’entretien des collections. Les œuvres modernes telle celle-ci procèdent souvent par collage d’éléments reconnaissables des marques : Warhol et les soupes Campbell, les aspirateurs Hoover de Jeff Koons, etc. Au-delà de la citation, les œuvres empruntent aux marques l’aspiration à être vues à tout prix en étant toujours plus clinquantes (le crâne endiamanté de Hirst), toujours plus grandes (Mc Carty) ou provocatrice pour le chaland (Serrano), toujours plus cinégéniques (avec les diverses expositions qui projettent des œuvres sur grand écran). S’agissant de l’influence de la réclame sur les collections permanentes, je m’interroge sur les politiques qui consistent à acheter de nouveaux tableaux aux dépens de l’entretien des fonds existants.
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gregory-lejeune · 7 years
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Damien Hirst au Palazzo Grassi (Fondation François Pinault, Venise)
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Damien Hirst au Palazzo Grassi (Fondation François Pinault, Venise) par Jean-Pierre Dalbéra Via Flickr : Le palazzo Grassi a été aménagé par l'architecte japonais Tadao Ando à la demande de François Pinault pour accueillir sa collection d'art contemporain. Le bâtiment possède 40 salles, sa surface est de 5.000 m2. Il a été inauguré en avril 2006. Une sculpture de Damien Hirst intitulée "Demon with bowl", en résine peinte de 18m, occupe la totalité de l'espace central du palais. Cette oeuvre fait partie de l'exposition à grand spectacle intitulée "Treasures from the wreck of the unbelievable" conçue par Damien Hirst. L'exposition raconte une histoire imaginaire inspirée par les découvertes de la recherche archéologique sous-marine telle que la pratique Frank Goddio en Méditerranée par exemple. www.flickr.com/photos/dalbera/23355003635/in/album-721576... S'inspirant des films de l'équipe de F. Goddio réalisés dans la rade d'Aboukir ou d'Alexandrie, Damien Hirst a même financé des tournages sous l'eau avec des plongeurs et une barge simulant la découverte de ses propres sculptures. La qualité parfaite des audiovisuels donne une impression de vérité et des publics peu attentifs pourront y croire, jusqu'au moment où ils découvriront dans le parcours la statue de Mickey recouverte de faux coquillages. Il s'agit en fait d'une opération artistico-commerciale très sophistiquée, digne d'un parc de loisirs. Cette exposition dans laquelle Damien Hirst aurait investi près de 60 M€ selon la presse, mais dont il espère certainement retirer une conséquente plue-value par la suite grâce aux ventes des oeuvres exposées, a été qualifiée de production hollywoodienne par certains critiques d'art. Un public, apparemment beaucoup plus nombreux qu'habituellement, se presse dans les salles du palais Grassi, montrant que l'opération promotionnelle atteint son but. www.palazzograssi.it/ ---------------------- Le palazzo Grassi a été construit dans le style néo-classique, au début du XVIIIème siècle, pour la famille Grassi par Giorgio Massari. Dès 1830, il a changé de propriétaires plusieurs fois parmi lesquels figure la société FIAT en 1984. Les architectes : Gae Aulenti et Antonio Foscari l'ont restauré pour lui permettre d'accueillir des expositions, tout en respectant son caractère.
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brainexit · 3 years
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THIS IS ART
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a-room-of-my-own · 3 years
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Bon sinon les parisiens allez voir l'expo sur les femmes peintres au musée du Luxembourg elle est courte mais très chouette
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archatlas · 3 years
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When Sunlight Meets Tadao Ando’s Concrete
If there is any consistent factor in his work, says Pritzker-winning architect Tadao Ando, then it is the pursuit of light. Ando’s complex choreography of light fascinates most when the viewer experiences the sensitive transitions within his architecture. Sometimes walls wait calmly for the moment to reveal striking shadow patterns, and other times water reflections animate unobtrusively solid surfaces. 
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His combination of traditional Japanese architecture with a vocabulary of modernism has contributed greatly to critical regionalism. While he is concerned with individual solutions that have a respect for local sites and contexts Ando’s famous buildings – such as the Church of the Light, Koshino House or the Water Temple – link the notion of regional identity with a modern imagining of space, material and light. 
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Shoji walls with diffuse light are reinterpreted in the context of another culture, for instance, filtered through the lens of Rome’s ancient Pantheon, where daylight floods through an oculus. Ando’s masterly imagination culminates in planning spatial sequences of light and dark like he envisioned for the Fondation d’Art Contemporain François Pinault in Paris.
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voyagecotefenetre · 2 years
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Venise, ville du romantisme, du carnaval, de l'architecture et de l'art, c'est l'un des bijoux de notre planète. La Serenissime, célèbre pour sa beauté et son calme hors du commun ne vous laisser pas indifférent. Il est impossible de la visiter sans passer par les basiques !
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La place Saint-Marc, la place la plus célèbre de la ville
La place Saint-Marc et sa basilique, est le coeur battant de Venise. Grimpez dans le Campanile, haut de 70m, pour admirer une vue incroyable sur toute la ville. Gare à vous si vous souhaitez visiter la Basilique: levez-vous très tôt sous peine de rencontrer une queue interminable.
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La visite du Palais des Doges est à faire, ne serait-ce que pour être subjugué par l'incroyable beauté de sa coeur intérieure.
Le saviez-vous ? La façade à colonnade donnant sur la place possède 2 colonnes légèrement rosées: c'est ici que le Doge de Venise se montrait au balcon.
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Les deux colonnes donnant sur la lagune, où un lion ailé (symbole de la ville) y est perché, ne sont pas de la même taille. L'une d'elles est plus petite que l'autre: elles représentent l'homme et la femme.
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Evidement, accolé au Palais des Doges, vous trouverez le très célèbre Pont des Soupirs. Son nom suggère le soupir exprimé par les prisonniers conduits devant les juges, lors de leur dernier regard porté sur Venise. C'était donc la dernière image de la liberté pour ceux qui allaient finir leurs jours en prison. On appelle d'ailleurs "les plombs" les geôles situées sous les toits, à cause la chaleur écrasante qui y règne. La légende raconte qu'un baiser sous le pont des soupirs scelle un amour éternel.
Le pont du Rialto
Situé sur le grand canal, impressionnant par son architecture, est un pont commerçant. Un peu comme le Ponte Vecchio de Florence, il y abrite de petite boutiques. Un conseil, levez-vous tôt pour l'admirer, encore plus pour le traverser. Faisant partie des artères touristiques, le pont est vite encombré d'une foule compacte.
Echappez-vous hors des sentiers battus
Dans le quartier juif de Cannaregio, vous trouverez pleins de bon petits restaurants et de petits bars agréables. Vous entrerez dans une Venise plus calme et authentique. L'architecture y est moins impressionnante mais non moins dénuée de charme.
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Autre quartier extra-touristique, c'est le quartier de Castello. Partant du palais des Doges jusqu'aux Giardini, il possèdes de nombreuses petites pépites comme la Basilique de Saints-Jean-et-Paul et le musée de la médecine à la façade remarquable, l'Arsenal, et plein de belles églises.
Les îles alentours
Curieux d'artisanat d'art, direction Murano, l'île des verriers. Vous y trouverez maintes ateliers, de créateurs de bijoux, de lustres, d'objets d'arts fabriqués dans ce fameux verre de Murano.
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Le temps d'une journée, prenez le vaporetto direction l'île de Burano. Elle est connue pour ses maisons de pêcheurs colorées. Moins touristique que sa soeur Murano, il est très agréable de se perdre dans ses petites rues. Comptez une bonne heure pour rallier la place Saint-Marc à l'île de Burano.
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Les Palais et les musées
Amateurs d'art, Venise est pour vous. Vous trouverez plus de musées au mètre carré que dans toute autre ville du monde. L'avantage: ça vous permet de visiter l'intérieur des palais vénitiens. Le grand rendez-vous incontournable est la Biennale d'Art Contemporain de Venise à l'Arsenal, aux Giardini et ses pavillons par pays, entre autres lieux (Fondation Pinault, Collection Peggy Guggenheim, etc)
Mon avis:
Venise est à faire une fois dans sa vie ! La beauté de la ville est indiscutable. J'y suis allée 3 fois, à différentes époques de l'année, la meilleure étant l'automne. Moins de monde et une lumière incroyable pour les photos. Venise est prise d'assaut par les touristes, et c'est un euphémisme. La période automnale permet d'éviter le monde et la chaleur, la météo est encore très clémente et on a l'impression de prendre plus son temps et de profiter plus.
Pour les petits budget, l'auberge de jeunesse sur l'île de Giudecca en face de la place Saint-Marc a un excellent rapport qualité-prix.
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chez-mimich · 3 years
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DAMIEN HIRST: “CERISIERS EN FLEUR”
Avevo prenotato la mostra prima di partire per Parigi, ma senza troppa convinzione. Trattandosi di Damien Hirst e, conoscendo la sua produzione artistica, mi chiedevo quale bizzarria avesse architettato per far parlare ancora di sé. Dopo essere diventato gallerista (ricordiamo che è di sua proprietà la Newport Street Gallery di Londra), ed aver esposto la produzione più recente del suo amico Jeff Koons, pensavo che fossero venute meno molte frecce alla sua faretra. E invece appena ho visto spuntare, sul Boulevard Raspail il gigantesco manifesto della mostra ospitata nella “Fondation Cartier pour l’Art Contemporaine”, ho intuito che quel diavolo di Damien, l’avesse davvero combinata grossa. E la rivelazione si manifesta appena entrati nella grande sala espositiva del piano terra dalle pareti di cristallo che lasciano intravedere la “nature sauvage” del giardino della Fondation. Le gigantesche tele che riproducono ciliegi in fiore, e null’altro, lasciano esterrefatti. Ma quando dopo la visione d’insieme ci si avvicina alle tele, la deflagrante intensità dei colori e la quasi “pornografica” materia pittorica, eccitano le menti, come poche volte accade alla vista di una tela dipinta. Una materia pastosa, una lava pittorica, colori accecanti nella loro matericità. Se nella visione d’insieme, sia nella sala superiore “en plein air”, sia in quella inferiore completamente illuminata da luce artificiale, i trenta giganteschi quadri possono dare l’impressione di una certa uniformità, è quando ci si avvicina alla tela che si scopre un mondo fatto di esplosioni di colore che vanno a comporre un giardino delle meraviglie. Per tre anni Damien Hirst ha lavorato su più tele contemporaneamente e, anche qui a causa (o per merito) della pandemia, è tornato a contemplare e a lavorare all’interno del suo atelier. Hirst afferma che ha voluto creare tele così grandi per dar modo al visitatore di perdersi all’interno della tela stessa. Guardando da lontano e da vicino le tele di Hirst, è estremamente difficile non lasciar correre il pensiero alle tematiche formali e sostanziali dell’Impressionismo, ed è anche difficile non pensare ad un impressionista in particolare : mi sto ovviamente riferendo a Claude Monet e alle sue ninfee. E se vogliamo essere più audaci, è quasi impossibile entrare alla Fondation Cartier senza pensare di entrare all’Orangerie, una Orangerie del XXI secolo, non ellittica ma quadrata, con un fascino molto, molto simile. Potrei intitolare questo post “Il ritorno della pittura a Parigi”, ma non sarebbe originalissimo poiché la pittura, cioè quella cosa fatta con tela, pennelli e colori, a Parigi (ma anche a Londra, New York, Bejin) sta ritornando già da qualche tempo. Lo vedremo anche in un prossimo pezzo sulla strabiliante Collection Pinault alla Bourse de Commerce. Anche Damien Hirst dopo tante peregrinazioni nei “concetti” e nelle installazioni, torna da dove era partito, davanti a un cavalletto immaginario. Era passato da Parigi nel lontano 1990 alla Galerie Emmanuel Perrotin, una delle più importanti della capitale, ed eccolo ritornare questa volta in una sede espositiva di grande prestigio come la Fondation Cartier. La mostra è aperta fino al gennaio 2022 (e vale una scappata a Parigi).
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