The staging of a social bond is the common denominator linking Lucy Orta's different works and Process of Transformation examines her interest in operational aesthetics as a form of community empowerment.
Des sculptures hyperréalistes aussi fascinantes qu'intrigantes...
La première œuvre est une vanité contemporaine parle de la mort et renvoie le visiteur à son inexorable fin. Mais Ron Mueck opère un décalage avec le réel. Les crânes sont géants et d’un blanc immaculé. Dans ce chaos, le spectaculaire prend le pas sur le morbide, invitant au silence et à la méditation.
Des montagnes de crânes humains géants et l’égorgement d’un cochon en miniature, un nouveau-né XXL à plat et un autre minuscule en suspens, des molosses agressifs et un petit homme mis à nu.
l’énumération des œuvres à découvrir dans la nouvelle exposition de Ron Mueck, à la Fondation Cartier pour l’art contemporain, à Paris, a quelque chose d’une formule ésotérique.
L’ensemble, pour moitié des œuvres récentes, offre en tout cas un contrepoint aux scènes et corps ultraréalistes présentés dans les deux premières expositions de l’artiste dans les lieux, en 2005, puis en 2013, avec un détachement sensible de l’exactitude de la chair et un intérêt accru pour l’énergie de groupe.
En complément, Ron Mueck a spécialement conçu deux nouvelles sculptures pour cette exposition parisienne, témoignant de l'évolution récente de sa pratique artistique.
On découvre ainsi « Untitled » (Three Dogs), une nouvelle sculpture composée de 3 chiens de 3 mètres de haut. Des colosses qui réveillent nos peurs d’enfance. Sont-ils domestiques, chien de garde ou errant ? On se sent tout petit face à eux.
Au total, beaucoup de publicité pour une expo quand même très réduite, il est vrai que Ron Mueck est parcimonieux dans ses réalisations, (une cinquantaine depuis le début de sa carrière) mais tout ce tapage pour seulement 8 oeuvres... Cela reste un peu décevant.
Parigi, agosto 2024. La Fondation Cartier non poteva certo perdere l’occasione per una mostra critica proprio in coincidenza con le olimpiadi. Matthew Barney artista americano ed ex giocatore di football che è diventato paraplegico a causa di un incidente sportivo. “Secondary” (che fa riferimento alla seconda linea del football americano) è una straordinaria riflessione sul tema della violenza sportiva non solo nel football americano ma anche di tutto lo sport, una violenza che è connaturata allo sport stesso e che altro non è che la sublimazione simbolica della violenza primordiale insita nell’uomo. I giochi olimpici forse non sono anche la messa in scena del simbolismo di questa violenza. A questo serve l’arte, insinuare dubbi in una societa troppo sicura di se stessa.