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Comment faire un grigri d amour : GRIGRI POUR GARDER SON HOMME-Marabout professionnel Comment faire un grigri d amour : GRIGRI POUR GARDER SON HOMME-Marabout professionnel Un Gris-Gris est un talisman ou une amulette qui protège son porteur et lui porte chance et aussi vous permet de trouver votre âme sœur qui désigne, habituellement un petit sac en tissu porté sur soi.
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uniquebirdprince · 4 years
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Découvrons Paul Dourret, merci d’avoir répondu aux questions !
Bonjour, j’espère que vous allez bien. Je suis Marie F chroniqueuse sur « La voix littéraire » Etes-vous prêt(e) à passer aux questions ? Présentez-vous un peu avant de répondre.
Bonjour Marie,
J’ai 68 ans, je suis retraité. Divorcé, remarié, quatre enfants et huit petits-enfants voilà pour l’état-civil. Ma carrière professionnelle m’a conduit de l’Armée de l’Air à l’industrie automobile. Mes différents postes m’ont permis de vadrouiller dans la partie sud de la France. Originaire de la région stéphanoise, j’ai vécu à Nîmes, Saintes, Rochefort sur Mer, Lyon, Saint Chamond, Bellegarde-sur-Valserine, pour échouer il y a plus de trente ans en Corse ; un vrai grand bonheur. Ma scolarité a été marquée par un échec. Je désirais me lancer dans une branche littéraire, mais à l’époque, le choix m’a été refusé, car je n’avais jamais étudié le latin. Parallèlement à ma profession, j’ai exercé comme animateur dans diverses radios locales, ou comme pigiste pour un organe de presse écrite de la région Rhône-Alpes (À l’époque le « Dauphiné Libéré ».
J’occupe mes loisirs en pratiquant la marche sur les sentiers de Corse, j’aime la photographie, la musique, les bons repas, mais bien sûr, l’écriture et la lecture représentent pour moi mes passions favorites.
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1) Comment vous est venue l’envie d’écrire ?
J’ai toujours aimé écrire, mais l’envie m’a été transmise par un professeur de Français dans mes années collège. Au départ, élève médiocre dans ma langue natale, il m’a communiqué un goût démesuré pour la lecture et il a su provoquer en moi le plaisir de l’écriture ; grâce à lui et à ceux qui lui ont succédé, je suis devenu un bien meilleur élève. Il a été le déclencheur d’une vocation. Dans ma famille, ma grand-mère maternelle dévorait les livres et elle composait de petits textes pour les événements familiaux. Même très âgée, elle nous récitait des poèmes de Victor Hugo sans se tromper, sans oublier le moindre vers…
2) Quels genres de livres écrivez-vous ?
Je me sens toujours un peu gêné lorsque l’on évoque mon genre littéraire. Nombre d’auteurs se cantonnent dans un seul et même style. Je me suis laissé entraîner par une inspiration débordante et esclavagiste. Sorti de quelques romans classiques, sentimentaux, je compte un roman policier, une biographie traitée sous forme romanesque, un essai dans le fantastique, un ouvrage de science-fiction, un roman noir, un recueil de textes et nouvelles… J’ai également servi de prête-plume pour une Québécoise.
3) Parlez-nous un peu de vous, avez-vous d’autres passions ?
Sans être un homme hyperactif, j’apprécie donc les balades sur les nombreux sentiers de Corse ; entre mer et montagne, l’Île de Beauté propose un éventail presque infini de randonnées. Lors de mes promenades, mon appareil photo immortalise des paysages de rêves… J’aime aussi bricoler ; amoureux fou de la nature, le jardinage m’accompagne dans mes rares moments de liberté, la lecture incarne des moments rares de repos ou de détente. Habitant d’une copropriété comportant un immense parc arboré, je partage avec mes voisins des moments conviviaux : barbecues, parties de pétanque, apéritifs, etc. J’ai l’immense joie de garder mon petit-fils lorsque ses parents travaillent et durant les périodes de vacances scolaires, une activité prenante, mais gratifiante.
4) Lors de votre premier livre publié, comment vous êtes senti ?
Ma réponse va surprendre. Ma toute première expérience s’est révélée très négative, voire désastreuse. J’avais sollicité un éditeur parisien pour un petit recueil de poèmes de médiocre qualité ; j’étais jeune, naïf ou/et innocent. Le coût de l’opération se révélait exorbitant, mais bon…
J’ai reçu une dizaine d’épreuves. Mes lettres, mes relances, le répondeur téléphonique, tout demeurait muet. L’homme s’était évanoui dans la nature avec mon argent… La plainte déposée n’a servi à rien… Faillite ou arnaque…
Là, j’ai cessé d’écrire… Mais le démon de l’écriture sommeillait toujours en moi. Des projets de roman germaient dans les fonds retranchés de mon cerveau, les idées se bousculaient. La retraite m’a permis d’ouvrir les vannes. Je me suis lancé dans un essai policier que j’ai fait tester par mon entourage. Une maladresse, car la complaisance des gens aurait une fâcheuse tendance à vous laisser croire le meilleur… Mais une histoire trottait dans ma tête depuis des années. Je suis parti d’une simple idée : une adolescente fugueuse et rebelle se retrouve prisonnière de terroristes qui projettent des attaques ou des attentats.
Je n’avais jamais écrit de manuscrit ; lorsque je l’ai terminé et envoyé à un éditeur, j’avais une terrible hantise : la peur que le texte ne soit pas assez conséquent ; je ne possédais aucune notion du nombre de pages que représentait mon épreuve Word et la réalité physique d’un livre. Surprise ! Mon inspiration avait donné naissance à « Éloée Éloa », et 703 pages. Celui que je considère en fait comme mon vrai premier ouvrage. J’étais assez fier de moi, heureux même, et j’avais la furieuse envie d’être lu…
J’ai eu la chance de réceptionner mal de retour. Le roman plaisait, mais on me reprochait la longueur de mes dialogues et mon souci poussé du détail. Donc quelques années plus tard, mécontent de mon travail, j’ai retravaillé mon manuscrit. Il a été réédité sous le titre : « La fugue maudite ».
5) Quels sont vos coups de cœurs ?
De manière naturelle, on conserve une préférence sentimentale pour son premier bébé. Mais j’aime bien « La vie m’a trahie », la biographie d’une jeune alsacienne, une histoire émouvante à replacer dans le contexte de l’époque, l’entre-deux-guerres. Transmise par des membres de sa famille, elle m’a touché en plein cœur. Cette femme aussi malheureuse que courageuse méritait un hommage, j’espère lui avoir rendu au travers de mon manuscrit. Notre destin prend parfois des allures de chemin de croix, et le bonheur, élément fragile de notre existence, semble être accroché à un simple fil, nous ignorons s’il tiendra ou s’il finira un jour par se rompre…
6) Avez-vous déjà fait des salons du livre ? Si oui, comment ça s’est passé ?
Hélas, non ! Car le fait de vivre en Corse génère pas mal d’inconvénients pratiques et financiers. Il faut se déplacer parfois très loin, trouver un hébergement, etc. sans être certain que le jeu en vaudra la chandelle. Mais je participe sur le plan local à des manifestations où sont mis à l’honneur des artistes et des artisans. Je fréquente en tant qu’exposant les centres de vacances et de loisirs de ma région. Il est agréable de rencontrer le public, d’échanger, de confronter des idées…
Petite parenthèse, en songeant aux séances de dédicaces, ce qui me désole le plus, c’est de constater que le métier de libraire devient une espèce en voie de disparition, et je pense, que le Corona virus sonnera ainsi la mort de nombre de boutiquiers…
7) Quel a été votre rêve le plus étrange ?
Je ne sais si l’on peut parler ici de rêve prémonitoire. Dans le roman « Éloée Éloa », mon scénario met en scène un attentat terroriste lors de festivités du 14 juillet… Le résultat d’un étrange rêve… J’avais été plutôt victime d’un cauchemar que d’un rêve. La bousculade de la foule, les cris m’avaient réveillé… J’ai bâti mon histoire autour de ce canevas…
8) Avez-vous un moment dans la journée, où vous vous sentez le mieux pour écrire ?
Pour écrire, je ressens un besoin d’isolement et de solitude. La nuit est pour moi source d’inspiration, je construis mes manuscrits, et je forge l’intrigue. Mon esprit vagabonde ainsi une partie de la nuit, elle se libère bien avant le lever du soleil. Avec les idées claires, je profite du calme ambiant pour couvrir quelques pages blanches… Je ne me suis jamais « chronométré », mais je suis plus productif le matin que le soir. La rédaction de mes manuscrits prend en général assez peu de temps. En revanche, les corrections nécessitent un temps fou…
9) Avez-vous un grigri ?
Non pas de grigri ! Je réponds souvent sur le ton de la plaisanterie : Superstitieux ? Non, ça porte malheur !
10) Sortirez-vous d’autres livres ? En avez-vous déjà sorti, si oui lesquels ? Parlez nous en un peu plus.
Je pense être assez ou trop prolifique avec une série de bouquins déjà édités bien souvent à compte d’auteur.
Mes manuscrits mettent souvent (toujours) en scène des femmes. Carla, la petite sœur de l’héroïne de La fugue maudite, traumatisée par de terribles événements familiaux, va subir elle aussi les affres de la vie. Des choix bien arrêtés sur sa carrière professionnelle et sur sa vie sentimentale la tiendront longtemps prisonnière de principes surannés. La recherche de l’être idéal et du grand amour la conduiront sur une trajectoire surprenante. La rencontre avec un homme inattendu viendra bouleverser toutes ses certitudes. Inconsciemment, son destin basculera et se heurtera à ses préceptes moraux et à un solennel serment…
Une trilogie :
La Fugue maudite : Roman, Édilivre.
Carla, just fly away : Amazon KDP
Carla, fly away : Amazon KDP
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Destinées : Recueil de textes et nouvelles. Éditions Le Lys Bleu.
Ce livre contient des textes, des nouvelles, des essais ; ils n’ont pas débouché sur des romans. Ils dormaient dans un tiroir, j’ai choisi de leur donner vie.
Les Femmes du Jas Malpasset : Roman, Books On Demand.
Le roman met en scène une jeune fille d’un milieu paysan. Elle sera confrontée directement aux conséquences désastreuses de la guerre d’Algérie et elle sera marquée à jamais par la catastrophe liée au barrage de Malpasset. Un séjour dans cette région a conduit à l’écriture du roman…
La vie m’a trahie : Roman, Amazon KDP
Là aussi, le lecteur découvrira les conditions de vie des gens de la terre, en Alsace et au début du cercle dernier ; une rivalité absurde opposait les catholiques et les protestants au sein même d’un même village. Le roman décrit lui aussi la condition féminine et le peu de considération accordée aux femmes. L’éducation, les croyances, les tabous marqueront le destin de Malou, l’héroïne ; l’avenir prescrit ne lui laisse aucun choix : un mari désigné depuis sa naissance, une vie confinée dans une ferme, un homme à supporter, des grossesses répétées… Malou échappera-t-elle à son existence ?
Les Amazones de la sixième extinction: Roman, Amazon KDP
Dans ce roman futuriste, vous partagerez le curieux destin d’une gamine de riche. Des parents divorcés, un père trop absent, un beau-père exécré la forceront à s’émanciper de la vie familiale proposée. Encore étudiante, elle ne parviendra pas à assumer un acte inqualifiable et aux conséquences inattendues. Traumatisée, elle va errer dans une existence très confortable, mais à la recherche permanente d’un équilibre qu’une femme amoureuse semble enfin lui apporter. Des rencontres insolites, une passion dévorante pour une autre partenaire et une ambition naissante, l’installeront au sommet d’un mouvement écologiste. Elle s’appropriera un projet original conçu par une militante : créer une société indépendante, elle placerait les femmes à la tête du monde afin de construire un groupe d’amazones modernes, créer une structure censée les protéger d’une apocalypse programmée, et surtout se passer définitivement les hommes. Le décès de son père la mettra à la tête d’une fortune considérable. Il lui transmettra l’étonnant testament d’un ami archéologue. Le document lui fournira l’opportunité de matérialiser la société dont elle rêve, dans un lieu sauvegardé, loin de toute civilisation au milieu de la forêt amazonienne.
Une Demoiselle Diaphane : Essai fantastique. Amazon KDP
Des rencontres où l’étrange se mêle à la réalité. Une créature fantastique va faire chavirer le cœur de Paul. Parti à la recherche d’une femme fantomatique et insaisissable, il ira de mésaventure en mésaventure, jusqu’aux confins de la folie. Ses prospections lui permettront-elles de découvrir la vérité, celle qui entoure un être évoluant entre l’imaginaire et le réel, mais aussi une sorte de double apparu soudain ?
Les chemins de traverse des amours buissonnières : Roman policier Amazon KDP
Une voiture calcinée est retrouvée sur le parking d’un stade ; à l’intérieur, un cadavre. Le meurtre incompréhensible d’un homme apprécié de tous, d’un mari et père de famille modèle, conduira les enquêteurs sur les traces d’un grand séducteur. L’inspecteur Morales tentera de découvrir parmi une multitude de conquêtes féminines, de liaisons adultères, de suspects, le ou la responsable d’un sordide homicide.
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À paraître :
– Amazonia. Les Amazones de la sixième extinction. Vous aurez l’obligation de lire le premier ouvrage pour apprécier une suite logique au premier tome : Les Amazones de la sixième extinction. (Il me reste les corrections à apporter, donc un travail fastidieux de plusieurs semaines).
– Dans l’ombre de ton ombre : Une sulfureuse histoire corse. Des jeux pas tout à fait angéliques débouchent pour deux jeunes adolescentes sur des conséquences catastrophiques. Elles se ligueront pour accuser de viol un innocent. Libérées de leurs fautes, elles pensent pouvoir vivre tranquillement. Des années plus tard, avec le retour de l’un des acteurs, la vérité menace d’éclater. Elles choisiront d’éliminer le témoin gênant. Mais contre toute attente, le chantage se poursuit, perdure…
Le manuscrit a franchi le premier barrage d’un éditeur, mais reste bloqué par l’intervention malveillante de ce satané virus…
– Le Jardin des Absents : Un roman sentimental où se mêlent amours et secrets de famille. Un étudiant libanais poursuit son cursus universitaire en France. Des années plus tôt, sa maman à la vie étonnamment décousue a été retrouvée morte en Corse, assassinée par des inconnus. Il entreprendra un voyage sur l’île pour découvrir les lieux du drame et d’éventuelles explications. Là-bas, il tombera sous le charme de deux sœurs aux personnalités opposées. Son amour pour l’une d’entre elles sera contrarié par un nombre d’obstacles imprévus. Il devra attendre quelques années pour assimiler enfin l’incroyable vérité.
Un manuscrit que je dois encore corriger.
Enfin une petite parenthèse sur le livre rédigé pour Chantal, mon amie québécoise :
« Des Mots qui s’attachent aux Maux et la Force d’aimer ». La rédaction de ce manuscrit m’a ouvert les yeux sur l’incroyable, l’insupportable univers des femmes battues. Lorsque je recevais les textes et à leur lecture… La réalité m’horrifiait. Comme le commun des mortels, je connaissais le phénomène, et je n’y attachais qu’une importance toute relative. Je n’avais jamais imaginé que des hommes puissent exercer une telle violence sur autrui, et aller au bout de la perversité… Son livre représente pour moi une expérience hors du commun. Je sais que le confinement a hélas, engendré nombre de violences conjugales… Je reste interpellé par le pouvoir maléfique des tortionnaires sur leurs victimes, et je ne comprends toujours pas l’attitude de ces femmes torturées, elles persistent à retourner vivre auprès d’un prédateur, leur incapacité pour certaines à fuir le mal… Entre amour et soumission…
11) Votre entourage sait-il que vous écrivez ? Si oui, comment ont-ils réagi ?
Mon épouse vit avec ma passion. Elle supporte depuis longtemps mes infidélités répétées avec mon clavier. Elle matérialise ma première lectrice, le premier œil critique et souvent sévère.
Dans mon entourage, les gens ont été surpris d’apprendre la naissance d’un premier livre… Et mon goût pour l’écriture, je suis d’un naturel secret. Des avis partagés et parfois surprenants ont fusé ; certains se montraient heureux pour moi et ils m’encourageaient à poursuivre, d’autres étaient surpris : lui et à son âge je ne le savais pas capable d’éditer un bouquin ; d’autres ne cachaient pas une incompréhensible et déroutante jalousie. Le fait de produire un manuscrit ne relève en rien d’un exploit ni d’une relative célébrité. Pour ceux qui fréquentent le monde de l’édition, nous savons tous que cet univers ressemble à une jungle où se cachent nombre de prédateurs.
Mais qui n’entreprend rien ne peut s’attendre à quelque chose !
12) Résumez en une phrase votre parcours :
Je pense incarner un vagabond à l’âme romantique, un homme désireux de vivre pleinement et de laisser sur terre les traces tangibles de son passage éphémère dans l’espace-temps.
13) Lisez-vous, si oui quels genres ?
On ne peut aimer écrire sans connaître un goût démesuré pour la lecture. Mais le temps passé à écrire me pénalise sur celui accordé à la lecture. Je n’apprécie pas trop le genre que je nomme : histoire à l’eau de rose. Je ne pense pas avoir d’auteurs préférés, je reste ouvert à tous les styles, mais parmi mes dernières lectures, j’ai découvert au gré du hasard ou de conseils d’amis, des auteurs comme Carole Martinez : Du domaine des murmures, un ouvrage dont le style littéraire, la rédaction sont proches de la perfection. Jaume Cabré et son Confiteor. Carlos Ruis Zafon et L’ombre du vent pour ne citer qu’eux, ils m’ont enthousiasmé. On m’a prêté dernièrement : Toutes blessent, la dernière tue de Karine Giebel, le livre m’a déçu, il comporte trop d’invraisemblances, j’aime qu’un scénario se rapporte à la réalité de la vie. Parfois, je m’amuse aussi à relire des ouvrages qui avaient marqué mon adolescence, mais je n’éprouve plus du tout le même plaisir…
14) Ebooks ou livres papiers ?
Sans hésiter, le livre papier. On m’a offert une liseuse il y a quelques années, elle comprend plus de 1500 bouquins, je crois ; je l’ai très peu utilisée, rien ne remplace une bonne édition papier…
15) Votre gourmandise préférée ?  
La question à ne pas poser ! À moins que la question ne soit mal posée… J’aurais préféré : quelles gourmandises détestez-vous ? J’ai hésité à mettre un pluriel ! La réponse m’aurait paru alors plus facile et plus adaptée à mon tempérament. Non, je ne suis pas gourmand, j’apprécie simplement les bonnes choses… Certes, il y en a trop.
Merci d’avoir répondu à mes questions. Avez-vous quelque chose à ajouter ?
Là, sincèrement, j’ai peur d’avoir abusé de la page blanche que vous m’avez offerte. Peut-être faudra-t-il couper au montage !!! Une seule excuse, je me montre plus bavard sur une épreuve écrite…
Vous avez donc entrouvert la porte de ma personnalité. Il m’est plus facile d’écrire des romans que de parler de moi. Le lecteur aime savoir qui se cache derrière des écrits, mais pour moi, l’essentiel se situe dans les pages de mes manuscrits. Au-delà des lignes, des mots, des histoires, dans le labyrinthe de mes pensées se cachent sans doute le moi profond.
J’aimerais surtout vous remercier d’accorder de l’importance à des auteurs inconnus ou presque ; vous nous permettez de nous exprimer librement. J’avoue ici : la promotion de mes livres représente pour moi une réelle contrainte. Je n’excelle pas dans une démarche commerciale pourtant nécessaire à la promotion d’un auteur. Grâce à vous, une multitude de lecteurs potentiels sont susceptibles d’ouvrir nos ouvrages, curieux de découvrir des styles différents, des femmes ou des hommes aux personnalités singulières partageant la même passion : l’écriture.
Merci.
Interview#37 Paul Dourret Découvrons Paul Dourret, merci d’avoir répondu aux questions !
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Magie blanche pour garder un homme-Marabout professionnel
Magie blanche pour garder un homme-Marabout professionnel
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