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#guerre syrie
rojinfo · 2 years
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Bilan du troisième jour de l'agression turque sur le nord de la Syrie : les FDS dénoncent l’utilisation de bombes au phosphore
Bilan du troisième jour de l’agression turque sur le nord de la Syrie : les FDS dénoncent l’utilisation de bombes au phosphore
À ce jour, l’agression militaire turque lancée samedi soir sur le nord de la Syrie a tué au moins 40 personnes, dont 13 civils. Les FDS ont publié ce matin un bilan de la journée de mardi, indiquant notamment que les forces turques avaient bombardé une école à Kobanê et largué une bombe au phosphore sur un village du district de Shera, dans la région d’Afrin. La Turquie a lancé, dans la nuit de…
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thomas-querqy · 1 day
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Les barbares réalisé par July Delpy, coécrit avec Elsa Domenach, Matthieu Rumani, Nicolas Slomka, avec July Delpy, Sandrine Kiberlain, Laurent Lafitte... 😍😍
Faire de ce sujet contemporain grave une comédie avec des pointes de poésie relève de l'exploit
Syrie : 10 ans de guerre en 10 chiffres (ONU)
L’accueil des réfugiés ukrainiens : état des lieux (Musée d'histoire de l'immigration)
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hcdahlem · 2 months
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L’été en poche (13): Furies
Un premier roman étonnant de maîtrise qui nous entraîne en Turquie où Bérénice fait du trafic d'antiquités et où Asim a trouvé refuge après avoir vu les siens mourir. Leur rencontre va bouleverser leurs vies.
En 2 mots: Bérénice se rend en Turquie, à la frontière syrienne pour négocier l’achat d’antiquités pillées sur les sites en guerre. Asim de son côté, en voulant sauver sa sœur Taym des djihadistes va causer sa mort. Contraint à l’exil, il va croiser le chemin de Bérénice. Leurs vies vont alors basculer. Ma note: ★★★★ (j’ai adoré) Si vous voulez en savoir plus… Ma chronique complète publiée lors…
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havaforever · 2 months
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LES FANTOMES - Il est constamment question de tension, de menace et de douleur contenue dans l'attente, dans Les Fantômes. Son héros syrien, survivant et exilé, incarne une position universelle de questionnement sur l'action possible face aux tragédies de l'histoire.
Aux prises avec un deuil personnel et un désir de vengeance, Hamid rejoint une quête collective de victimes traumatisées. Mais cette tension qui domine le chemin de la justice qu'il compte rétablir, ne se matérialise non pas par la violence mais par des états d'âme difficiles à maîtriser, pour une traque à l'encontre d'un bourreau en fuite.
Le scénario est lent, parfois à la limite de l'ennui, avec un côté implacable et une sorte de sécheresse de ton qui n'autorise l'émotion qu'à quelques moments-clés, choisis et rares.
Ce qui est le plus marquant, dans Les Fantômes est l'évocation de l'horreur des tortures, non par des images de flashbacks signifiants, mais par des éléments sonores, le procédé s'étendant même à l'organisation et à la logistique de la traque aux monstres. Subtil et terriblement efficace.
NOTE 13/20 - Les Fantômes est un thriller spécial, taiseux, original sur le fond, avec son immédiateté historique, mais aussi sur la forme. Il est loin de répondre de la critique dithyrambique dont il est nimbé, mais il a le mérite de choisir une ligne narrative et de s'y tenir, avec en sus une superbe conclusion, qui remet la balle au centre sur les éternelles questions de la vengeance et de la justice.
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immunobiz · 1 year
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Israël va-t-il bientôt accomplir la prophétie et transformer Damas en un tas de décombres ? Will Israel Soon Fulfill Prophecy And Turn Damascus Into A Pile Of Rubble?
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lounesdarbois · 4 months
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Dans l’enquête qui nous concerne, cette ingénierie, cette technique, cette école, cette ascèse, c’est la religion catholique bien comprise, relue à la lumière du temps d’invasion-propagande-prédation actuel, temps de persécution. « Il y a beaucoup de maisons dans la maison de mon père. » Il y a assez de place dans l’Église pour une maison française, européenne, strictement organique (donc sans moi, qui m’arrête à son seuil mais qui l’aime et veille sur elle). Ces principes sont décrits par des auteurs comme Julien Langella, comme tous ceux qui entendent concilier foi et identité, et qui s’appuient sur l’exégèse biblique et l’apologétique, disciplines que peu de chrétiens étudient.
(...)
Nouveaux pèlerins, vous cherchez vraiment la vie chrétienne ? Vous ne pouvez plus vous habiller comme des primitifs, vous ne pouvez plus parler comme des primitifs, vous ne pouvez pas descendre vers des primitifs même temporairement par confort, pas d’un seul millimètre, sans quoi c’est la descente entièrement au primitif ontologique pour n’en plus jamais remonter. En temps d’effondrement vous ne pouvez pas « faire la fête ». On ne fait pas la fête quand on est assiégé. Vous ne pouvez pas paraître ivres en public comme les Hilotes devant les Spartiates, ni consommer du loisir, prendre du poids, descendre le courant avec les branches mortes. Les époques de vaches maigres sont des temps virils de réforme, de débarras, de concentration. Après le Carême viennent les délices du banquet de Pâques ; encore faut-il les mériter par les purgations du jeûne sans quoi on ne fait plus que bouffer pour se récompenser d’avoir bouffé, toute l’année, toute la vie. Le salaire des gaudrioles, c’est la honte, le déclassement, la mort, l’oubli.
Le suicide des adolescents harcelés à l’école, la persécution à travers le pays des jeunes Blancs sur les terrains de football urbain qui a fini par décourager tant de carrières prometteuses et défigurer l’équipe de « France » (le contre-exemple Griezmann formé en Espagne dit tout par ricochet), tant d’autres déshonneurs ordinaires, sont des plaies qui cicatrisent très vite à condition d’une hausse drastique des standards culturels.
(...)
Vive le prolétariat chrétien
Quand le gras domine sur le muscle, quand l’efféminé domine sur le bonhomme, alors c’est la dictature des bourgeois-bordel sur une Église-armée-mexicaine. C’est le modèle exactement contraire qui est chrétien, et qui commence au prolétariat choyé, révéré, spécifiquement favorisé. Ouvriers, techniciens, artisans, un prolétariat français chrétien qui maîtrise les métiers indépendants productifs, formé sur le modèle de l’école de la Martinerie : non-mixité, sobriété, technique.
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Le prolétaire, étymologiquement, c’est l’homme dont la seule richesse sont ses enfants. Qu’est-ce qui a perdu le Liban ? La Syrie chrétienne ? C’est la vie bourgeoise, le mesquin principe du « pas trop d’enfants », la radinerie du « pas de premier enfant avant 30 ans ». En pleine Syrie 2013, en plein merdier, une petite effrontée de l’ultra minoritaire communauté chrétienne restante, propriétaire d’un restaurant payé par sa famille articulait ceci à un camarade. « Quoi ? Tu n’as pas cinq cent mille euros sur ton compte en banque ? Tu ne te marieras jamais », authentique. Le principe de toutes les libanisations par guerre des berceaux tient peut-être en cette phrase. Stérilité par calcul bourgeois. Tous les parents de familles françaises nombreuses se sont mariés jeunes et pauvres, ont commencé par souffrir et non par jouir, pour ensuite s’enrichir. Leurs maisons sont rangées, vivantes, ils prient, ils travaillent, ils chantent, ils lisent, ils s’entraînent, ils s’entraident. Tout le contraire des couples catastrophes qui eux commencent par le plus agréable : la baise, le restaurant, le voyage ; en un an ils ont déjà tout ratissé et aux premiers nuages qui s’amoncellent ils ouvrent chacun un parapluie différent au lieu d’en prendre un pour deux et de se serrer dessous ensemble.
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6 million years of human evolution in 40 seconds
Les conflits toujours en cours en 2023. Myanmar : crise politique, Haïti : pauvreté, violence, République démocratique du Congo : un quart de la population meurt de faim, La Corne de l’Afrique : crise climatique, Le Burkina Faso, le Mali, le Niger : guerre de pouvoir, Afghanistan : pire endroit pour les femmes et les jeunes filles, Liban : crise économique et financière et une corruption à outrance, Syrie : plus de 11 ans de guerre contre Daesh, Yémen : des conditions de vie désespérées, Sud Soudan : conflits et crise climatique, Nigeria : le règne de l’insécurité et la famine généralisée dans le nord-est, le Haut-Karabakh : oublié de tous une guerre de territoire, idem pour la Russie et Ukraine, Israël Palestine même topo ..... 14 octobre 2023
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aurevoirmonty · 9 days
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«Le monde ne peut pas être autorisé à rester sans leadership américain»: qui est Blinken?
«Juif né à New York» selon Wikipédia, le secrétaire d’Etat américain est un pur produit de l’Etat profond.
Déjà aux manettes sous Obama, avec Victoria «Fuck Europe» (https://t.me/kompromatmedia_2/608) Nuland, le néoconservateur est un adepte du dogme messianique de la «destinée manifeste» des Etats-Unis (vidéo).
Suivant l’agenda du think tank Project for a new American Century (https://fr.wikipedia.org/wiki/Project_for_the_New_American_Century) (PNAC), Blinken se prononce en 2002 en faveur de l’invasion de l’Irak, puis en 2011 pour le bombardement de la Libye.
Il participe à la rédaction des arguments de politique américaine de guerre contre l'Afghanistan, le Pakistan, le programme nucléaire de l'Iran contre la Syrie.
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lepartidelamort · 5 months
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Détruire une ambassade comme l’ont fait les juifs en Syrie est un acte de guerre.
Tout état est fondé à riposter après une agression aussi ouverte que l’a été l’attaque contre l’ambassade iranienne en Syrie.
En fait, tout état doit riposter, sinon, ce n’est plus un état.
Mais dans le monde démocratique, l’impunité des juifs est la règle.
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whencyclopedfr · 5 months
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Bretagne Romaine
La Bretagne fut un ajout important à l'Empire romain en constante évolution. Pendant des décennies, Rome avait conquis la Méditerranée - en battant Carthage lors des guerres puniques, en écrasant la Macédoine et la Grèce, et enfin en marchant sur la Syrie et l'Égypte. Finalement, les Romains se tournèrent vers le nord, traversant les Alpes en direction de la Gaule, et finirent par jeter leur dévolu sur la Britannia, de l'autre côté de la Manche (qu'ils considéraient comme un océan). Après l'invasion de Claude en 43 de notre ère, une partie de l'île devint une province romaine de nom, mais la conquête fut un long processus. Constamment rebelle et réorganisée à deux reprises, elle finit par être abandonnée par les Romains en 410 de notre ère.
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rojinfo · 2 years
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FDS: Bilan des attaques turques des 4 et 5 décembre
FDS: Bilan des attaques turques des 4 et 5 décembre
Depuis le 19 novembre, la Turquie mène des attaques aériennes massives sur le nord de la Syrie, tentant de préparer le terrain à une invasion de toute la bande frontalière de cette région sur une profondeur de 30 kilomètres. Dans un communiqué publié ce mardi, les Forces démocratiques syriennes (FDS) ont annoncé le bilan des agressions turques sur le Rojava (nord de la Syrie) au cours des deux…
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thomas-querqy · 2 months
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Les fantômes réalisé par Jonathan Millet, coécrit avec Florence Rochat, avec Adam Bessa... 😍😍
La prison de Saidnaya
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hcdahlem · 1 year
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L’été en poche (02): Mahmoud ou la montée des eaux
Poursuivons l’été en poche avec ce superbe roman d’Antoine Wauters, «Mahmoud ou la montée des eaux». L’auteur se glisse dans la peau d'un vieux Syrien qui voit son pays mourir. Une oraison poétique autant que funèbre qui vous prend aux tripes.
  En deux mots Mahmoud Elmachi revient sur les lieux de son enfance, un village syrien aujourd’hui englouti après la création du barrage de Tabqa. Engloutis aussi, ses projets et ses rêves qu’il tente de retrouver en plongeant. Sous l’eau, la guerre disparaît et les souvenirs reviennent, sa famille, son épouse Sarah et un monde paisible. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Si vous voulez en savoir plus… Ma…
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claudehenrion · 3 months
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Pour parler d'autre chose... ''Et si on parlait d'autre chose ?''
Un week-end récent, par curiosité et par ennui (les dimanches sont un peu longs, parfois, aux veufs non-encore habitués à la solitude), je feuilletais les pages des bouquins faits de chacune des années regroupant les ''billets'' de ce blog (à raison d'un Tome par année, ça en fait, du volume et des volumes !). Une chose m'a frappé : le nombre de ''billets'' qui parlaient de Syrie, dans les années 2013/2015...
La Syrie fut longtemps un pays que j'ai beaucoup fréquenté et beaucoup aimé. J'y retournais fréquemment, ''par gourmandise'', si l'on peut dire, comme au Liban voisin, mon cher Liban, presque une ''autre patrie''. La vie est ainsi faite –ou est-ce nous qui l'avons détournée de sa vocation ?-- qu'elle nous donne souvent l'impression de se présenter à nous sous la forme étonnante de pages qui se tournent et qui doivent être oubliées. Il en va ainsi des amis qui ont disparu : un être vraiment très cher laisse dans votre mémoire une empreinte ineffaçable, tandis qu'un ami (mais alors : en est-ce un ?) plus ''superficiel'' (''copains'' de promo, fréquentations de travail, anciens voisins, relations de voyage ou de vacances) va se ranger presque naturellement dans les cases d'un pré-oubli, en chemin vers l'effacement total : le temps qui passe crée de grands vides sombres dans les carnets d'adresses, dans les noms sur les photos, et dans les souvenirs...
La Syrie, donc, et le Liban aussi, nous l'avons dit. Mais il y a tant d'autres pays merveilleux, où on se promet de revenir... sans concrétiser jamais cette envie d'un moment. Dans mon Panthéon (puisque la panthéonisation est une idée fixe de notre président), il y a le Maroc de mon enfance, ce petit coin de ''mon éternité'', qui ne disparaîtra qu'avec moi. Mais il y a aussi la Grèce, ce jardin béni de mes premières extases artistiques où, été après été, je retournais retrouver tout ce qui ne se trouve que là, dans ces deux mondes si différents que sont la Grèce continentale et les îles... et retrouver, surtout, la langue grecque, magique, ''mère'' de toutes nos langues, belle, riche, précise, à en être intraduisible...
Et puis, bien sûr, il y a l'Italie, qui a fasciné les jeunes français, génération après génération, depuis ''nos ancêtres les gaulois'', colonisés mais comme ensorcelés –et comme c'était intelligent !-- par leur colonisateur, au point d'abandonner leur civilisation celte pour devenir des ''gallo-romains''... jusqu'à nos romantiques transportés dans leurs rêves de beauté et plus récemment, à certains hommes politiques contemporains (mais pas meilleurs pour autant), qui, au lieu d'étaler sans talent leurs fantasmes pornographiques (n'est-ce pas, Bruno Le Maire ? Avec tes 1800 opuscules péniblement vendus, arrête donc d'écrire : tu ne seras jamais Chateaubriand !), avouent une ''Tentation de Venise''... comme Juppé qui, pour une fois honnête, expliquait que cette escapade lui permettait de mesurer les limites et les insuffisances de sa propre vie … ce que nous avions fait longtemps avant lui. Sans compter que chacun de nous cache un petit ''coin'' secret, à lui tout seul, dont Rimbaud disait : ''Je sais que je serais mieux ailleurs... Je ne sais pas où c'est, mais je sais que c'est ailleurs''.
Depuis une dizaine d'années, un mal puissant s'est imposé à moi et s'est mis à créer des ravages dans l'exercice de ma mémoire : je ne retrouve plus la France... Vous rendez-vous compte de ce que cela veut dire pour l'ancien (lire ici : ''le très ancien''!) enfant de la guerre --je parle de celle de 39-45-- qui avait appris de ses bons maîtres, eux-mêmes gazés et multi-blessés de la précédente (celle de 14-18) que la France (on disait, d'une voix qui avait vite fait de devenir frémissante : ''la Patrie'' !) était une personne de chair et de sang qu'il fallait aimer plus que tout... Sic transit gloria mundi...
Car la savoir défaite, envahie, humiliée, occupée... la rendait encore plus ''désirable'' à nos huit ou dix ans : elle avait besoin de nous, et nous n'avions donc pas le droit de la décevoir ! En ces temps, de nos jours prétendus démodés par ceux qui ne les ont pas connus et n'en savent rien que les quelques éléments négatifs disponibles, ceux que la sale ''propaganda'' de gauche a retenus puisqu'ils étaient ''à charge'', la vérité ne se résumait pas à tricher sur les chiffres et à mentir sur leurs causes –ce à quoi elle ressemble de plus en plus, aujourd'hui-- mais était (n'était que ?) la recherche des devoirs qu'imposait celui de profiter du peu qui nous était laissé... C'était dur ? Non : c'était beau !
Comme les ravageuses et débilitantes méthodes faussement dites ''pédagogiques'' n'avaient pas encore été con-coctées (le choix du tiret est mûrement réfléchi) par les ''pédagos'' criminels qui ont fait du ministère de l'instruction publique (nom qu'il faut reprendre au plus vite) une redoutable machine à décérébrer, à désinformer, à déconstruire et... à déconner, le ''par cœur'' avait conservé le poids qu'il mérite (NDLR : je n'ai jamais compris pourquoi le fait qu'internet permette l'accès à une information plus rapidement que nos anciens dictionnaires... forcerait à ne plus entretenir ce merveilleux outil qu'est notre mémoire, au moment où la ''muscu'' semble chère à notre ''le plus jeune président etc...'' qui s'exhibe en photo, ''photoshoppé'' avec les biceps de Rambo ! NDLR-bis : tout de même.... 'faut oser ! De cette ''gonflette'' de très mauvais goût à sa dissolution au pire moment, il n'en aura pas raté une !). Toujours est-il que le fait de chercher ''ma France'' sans plus être capable d'en retrouver la moindre trace, est vécu, par moi, comme un drame, que j'ai conscience de partager avec nombre d'amis (de ma tranche d'âge, notamment).
Il n'a pas fait beau, aujourd'hui... Cela joue-t-il un rôle dans la nostalgie qui m'étreint, ce soir ? Je me sens apte à rejoindre tous les vieillards de tous les temps, pour murmurer, comme eux... mais sans être entendu (car il est très mal vu de dire la vérité, dans notre pays où la Liberté n'est plus qu'un slogan sans contenu, mais répété ''ad nauseam''), que... ''C'était mieux, avant !'' : les franches horreurs dont la Gauche-en-folie et ''extrême'' en tout nous menace, en cet instant précis, ne semblent pas de nature à me donner envie de changer ce slogan ou de m'écarter de son sens prophétique...
H-Cl.
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#israel #israël #benjaminnetanyahu #gaza #hamás
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WAR IN ISRAEL - 2023
The autumn season of 2023 will be remembered for the war in Israel.
The war also put the spotlight on the Israeli Prime Minister, Benjamin Netanyahu, also known as BIBI.
The atrocities committed on Saturday, October 7, at 6:30 a.m.
by Hamas terrorists on Israeli civilians are likely to shape his legacy regardless of the outcome of the war. Netanyahu helped Hamas in the past in order to reduce the power of Palestine. Now he wants to destroy Hamas…
This war in Gaza will have a significant impact on the political landscape of the whole world. It is believed that this conflict will have a much greater impact on the political map than the war in Ukraine. The next world map could be on one side countries like Iran, Russia, Syria, China, India, Egypt, Libya, Pakistan, Saudi Arabia, and Palestine; and on the other side: the United States, Europe, and Israel.
One could say that Netanyahu is the new Zelensky of the world and that politicians will now be fully focused on this war in Gaza and less on the one between Russia against Ukraine.
We could also conclude that the world loves wars...
To be continued…
See story The New York Times.
WAR IN ISRAEL - 0CT0BER 2023
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GUERRE EN ISRAËL - 2023
L’automne 2023 restera marqué par la guerre en Israël.
La guerre a également mis en lumière le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, également connu sous le nom de BIBI.
Les atrocités commises samedi 7 octobre, à 6h30.
par les terroristes du Hamas sur les civils israéliens sont susceptibles de façonner son héritage quelle que soit l’issue de la guerre. Netanyahu a aidé le Hamas dans le passé afin de réduire le pouvoir de la Palestine. Maintenant, il veut détruire le Hamas…
Cette guerre à Gaza aura un impact significatif sur le paysage politique du monde entier. On pense que ce conflit aura un impact bien plus important sur la carte politique que la guerre en Ukraine. La prochaine carte du monde pourrait présenter d’un côté des pays comme l’Iran, la Russie, la Syrie, la Chine, l’Inde, l’Égypte, la Libye, le Pakistan, l’Arabie saoudite et la Palestine ; et de l’autre côté : les États-Unis, l’Europe et Israël.
On pourrait dire que Netanyahu est le nouveau Zelensky du monde et que les politiciens seront désormais entièrement concentrés sur cette guerre à Gaza et moins sur celle entre la Russie et l’Ukraine.
On pourrait aussi en conclure que le monde aime les guerres...
À suivre…
Voir l'article du New York Times.
WAR IN ISRAEL - 0CT0BER 2023
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lephenixkurde · 9 months
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"Le gouvernement des Kurdes, le gouvernement partisan et ordres sociaux alternatifs", un livre recommandé par l'Institut kurde de Paris
Joyce Blau - cofondatrice de l'Institut kurde de Paris - ne tarit pas d'éloge sur l'ouvrage collectif "Le gouvernement des Kurdes, gouvernement partisan et ordres sociaux alternatifs" qui vient de paraître aux éditions Karthala, sous la direction de Gilles Dorronsoro. Un gage de sérieux pour un livre qui n'a pas d'équivalent jusqu'ici.
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Joyce Blau a introduit la conférence de Gilles Dorronsoro, Olivier Grosjean, Hardy Mède et Nicolas Ressler-Fessy. / Photo B. D.
Les nombreux auditeurs de la conférence donnée le 16 décembre à l'IKP ont été particulièrement attentifs aux propos de Gilles Dorronsoro, professeur de science politique enseignant à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et de trois des co-auteurs (1) venus présenter le livre avec lui, samedi : Olivier Grojean, maître de conférences à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne; Hardy Mède, associé à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne mais aussi enseignant à l’Institut catholique de Paris; et enfin Nicolas Ressler-Fessy, chargé de cours à l'Institut national des langues et civilisations orientales, par ailleurs membre du programme Turquie de Noria-Research.
Tous se sont penchés sur une période exceptionnelle depuis la fin de l'Empire Ottoman, les trois décennies qui ont vu "la pointe de fer des Etats régionaux" desserrer leur étreinte autour des Kurdes qui sont des dizaines de millions répartis sur l'Iran, la Turquie, l'Irak et la Syrie depuis le Traité de Lausanne signé en 1923. Comme le rappellent les auteurs dans leur quatrième de couverture, cela fait donc un siècle que les Kurdes "se mobilisent régulièrement pour obtenir des droits culturels, une autonomie régionale, voire l'indépendance".
Lire mon article : "Un génocide oublié, 100 ans de solitude pour les Kurdes"
Si la perspective d'un Etat kurde n'a jamais été aussi lointaine pour des Kurdes en partie lâchés par leurs alliés occidentaux après la victoire contre Daesh, toutes les années de lutte n'ont pas été vaines, que ce soit celles du PDK et de l'UPK à Bashur (Kurdistan Sud, au nord de l'Irak), celles du YPG/PYD au Rojava (Kurdistan Ouest, au nord de la Syrie), ou encore celles du PKK à Baqur (Kurdistan Nord, est/sud-est de la Turquie) et chez ses voisins.
Une date constitue à cet égard un moment de bascule, la résolution 688 du Conseil de sécurité des Nations Unies, adoptée le 5 avril 1991, qui crée une "no-fly zone" au-dessus du Kurdistan irakien victime d'un terrible génocide pendant les années Saddam, l'opération Anfal.
Commander mon livre "Un génocide oublié, la voix brisée du peuple kurde"
Protégés des bombardements chimiques et des crimes de masse, les peshmergas des deux principaux partis se livrent bientôt une guerre fratricide, jusqu'à ce que la guerre civile entre PDK et UPK débouche finalement sur un accord signé en septembre 1998 sous l'égide des États-Unis, prélude à la création de la Région autonome du Kurdistan irakien.
La guérilla du PKK qui s'étend de son côté au Rojava ainsi que les interventions américaines en Irak et en Syrie vont par ailleurs favoriser le PYD, fondé en 2003 par des membres syriens du PKK à Qandîl, dans les montagnes du Kurdistan irakien.
Résultat, pour la première fois, des populations kurdes sont gouvernées par des mouvements kurdes. Et c'est bien là l'objet du livre dont il est question ici.
A rebours d’une conception romantique et loin des clichés sur les tribus kurdes, les auteurs montrent la centralité des partis politiques dans l’organisation des ordres sociaux alternatifs en vigueur au nord de l'Irak et de la Syrie mais aussi en Turquie, notamment à Baqur qui va bénéficier entre 2013 et 2015 des bienfaits d'un cessez-le-feu entre le PKK et le pouvoir, au bénéfice du HDP pro-Kurde créé en 2012.
A partir de données originales tirées de temps longs passés sur le terrain en Turquie, en Irak et en Syrie, les auteurs analysent ces «gouvernements partisans» dans toute leur complexité. Un travail d'autant plus intéressant que les mouvements kurdes se trouvent confrontés à la gestion de minorités non kurdes, notamment en Irak et en Syrie, provoquant une adaptation du programme politique ou la mise en place de régimes discriminatoires, selon les cas.
Pour en savoir plus, il faut lire "Le gouvernement des Kurdes, le gouvernement partisan et ordres sociaux alternatifs", sous la direction de Gilles Dorronsoro, Paris, Karthala, 2023, 368p. Vendu au prix de 30€. Gilles Dorronsoro qui a annoncé que l'ouvrage allait être traduit en anglais très bientôt.
(1) Ont aussi contribué à cet ouvrage : Yohanan Benhaïm, Boris James, Sarah Guillemet, Patrick Haenni, Felix Legrand, Jean-François Pérouse, Cléa Pineau, Arthur Quesnay, Clémence Scalbert Yücel.
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