Tumgik
#j'ai plus du tout mes repères
kawaiinekoj · 2 months
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l'influence graphique de @andthesunrisesagain et @la-chonga nowadays is crazyyyyy
everything reminds me of you (mais quand je check l'auteur.e du post en fait c'est qqun d'autre)(((no shade)))
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andthesunrisesagain · 5 months
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Conseils accessibilité graphique
Je me dis que c'est le bon moment pour re-poster ce post de 2021 qui trainait dans mon ordi, suite au message de @petrichorpg !
Point à noter :
L'accessibilité, ce n'est pas tout ou rien. On peut améliorer beaucoup de choses et d'autres seront plus difficiles car nous n'avons pas les connaissances, les compétences, le temps ou l'énergie. Le plus important, c'est de s'y mettre.
Même si je suis un fervent admirateur du design dit universel (bon pour tout le monde), l'accessibilité a aussi ses besoins de personnalisation. Certains handicaps, maladies, neuroatypies requièrent des aménagements précis et qui n'iront pas à tout le monde. -> Exemple : des personnes liront mieux en grand, d'autres en petit (vision tubulaire) ; un dark mode hyper contrasté conviendra bien à quelqu'un mais sera trop "bright" pour d'autres (c'est mon cas, j'adore le dark mode mais souvent, les textes sont trop lumineux pour moi).
Mais globalement, les conseils ci-dessous répondent à beaucoup de besoins et permettent d'améliorer l'accessibilité globalement. Ils sont majoritairement issus des recommandations internationales (et sinon, à travers mon expérience de graphiste).
J'ai encore pleins d'idées sous le coude mais bon, là j'ai déjà corrigé certains éléments de cette liste partagée en 2021. On verra pour le reste un jour aha
Je suis ouvert à toute question, clarification et correction en commentaire !
“Mais souvenez-vous que vous ne faites pas ce design pour des designers. Vous concevez un site pour des utilisateurices varié·es aux besoins divers, et avec différents outils pour y accéder.”
(terminologie : user -> utilisateur·trice / dys’ -> raccourci pour évoquer une partie ou l'ensemble des troubles d'apprentissage dont le préfixe est « dys »)
Typographies :
Textes tout en uppercase/capitales :  À éviter sur tout un paragraphe, à garder pour de court mot ou court texte (1 ligne) -> Pourquoi ? Globalement, les textes tout en capitales manquent de lisibilité à cause de l’absence des repères de lectures comme les lettres qui montent (l,d,k) et qui descendent (p,j).En majuscules, toutes les lettres sont à la même hauteur.
Textes tout en lowercase/minuscules : À éviter aussi, les majuscules servent de repère de lecture pour savoir quand une phrase débute ;).
Texte centré : Éviter les textes centrés quand ils sont trop longs (longues lignes ou beaucoup de lignes). -> Pourquoi ? Les lignes d'un texte centré ne débutent pas aux mêmes endroits et la lecture en est impactée. À garder pour de très courts textes type 2 lignes (citation, titre et sous-titre court...)
Texte justifié : Éviter globalement (oui je sais, 98% des forums ont leurs textes justifiés aha....) -> Pourquoi ? Sur le web, on peut difficilement gérer les espaces entre les mots. Un texte justifié va donc créer des espaces + ou - grands entre chaque mot pour combler l'espace et rentrer dans une largeur fixe, ce qui peut complexifier la lecture (l'oeil va plus difficilement sauter d'un mot à l'autre en gros).
Texte aligné sur la gauche : À privilégier au max, surtout les longs textes ! Je sais que le justifié rend plus "esthétique" car tout est aligné. Si on veut les garder, plutôt pour les textes de catégories et privilégier le texte aligné à gauche (dans le jargon on parle de ferré à gauche) pour la majorité des textes type annexes, rp...
Line-height (espace entre les lignes) : Pour les paragraphe, il est recommandé d'avoir un line-height de x1.5 de la taille du texte.  -> Exemple : paragraphe en 16px → 16x1.5 = votre line-height. Pour les grands titres, j'ai tendance à descendre à x1.3 généralement car normalement les titres sont courts et grands.
Letter-spacing (espace entre les lettres) : Éviter de changer les espacements de lettres, surtout sur ce qui est titre et paragraphes. Normalement une typographie a des espaces précis pour faciliter sa lisibilité. En ajouter peut créer des difficultés de lecture.
Niveaux de titres (ce qu'on nomme H1, H2, H3) : Choisir plusieurs niveaux de titres et s'y tenir. Il faut que chaque élément ayant le même niveau d’informations soit dans le même style graphique à chaque fois pour aider à comprendre la structure :) -> Exemple : tous les titres d’annexes = tel css / tous les boutons = tel css / tous les sous-titres = tel css.   -> Partage d'infos en plus : les Hr ont aussi un rôle de structure pour les lecteurs d'écran (logiciel qui restitue vocalement ou en braille l'information écrite. Ils sont utilisés par certaines personnes aveugles, malvoyantes, qui ont des troubles cognitifs...).Je n'en parlerai pas dans cette liste car je n'ai pas de connaissance sur la facilité d'usage de Forumactif avec un lecteur d'écran.
Taille de texte : Sur le web, il est recommandé d'écrire en 16px minimum pour les paragraphes.
Accent et texte : Garder les accents sur les majuscules (À, É) facilite aussi la compréhension des textes.
Largeur de textes : Normalement sur FA, on n'a pas ce soucis, mais on conseille globalement d'avoir entre 50 et 70 caractères, espaces compris, par ligne pour une bonne lisibilité. Le but n'est pas de calculer chaque ligne mais de se rendre compte de ce que ça signifie visuellement ( j'utilise le site compteursdelettres).
Mise en valeur :
Changement de typographie : Éviter les changements de typographies dans des paragraphes pour mettre en valeur des éléments ! Plutôt utiliser le gras, une couleur différente ou un surlignement en couleur discrète (mais visible, faut juste pas que ça soit TROP visible).
Nombre de mises en valeur : normalement, une mise en valeur ne devrait pas être trop présente car sinon...ça voudrait dire que tout le texte est important aha. Restons utile et efficace : un peu de gras, un surlignement si besoin d'avoir 2 CSS de mises en valeur mais ne faisons pas un sapin de noël.
Italique : Utiliser l'italique avec parcimonie (manque de lisibilité sur certaines typographies). En général, l’italique sert pour des citations courtes, des mots en langue étrangère à celle du texte, des noms propres ou d’ouvrages, pas juste pour “faire joli”.
Soulignement : Éviter d’utiliser le soulignement pour des éléments non-cliquable. C'est un code connu et reconnu dans le web pour visibiliser les liens alors autant l'utiliser comme le cerveau s’y attend :)
Liens et infos :
Élément cliquable (bouton, lien, flèche...) : pas trop petit et éviter des éléments cliquables trop proches les uns des autres.   -> Pourquoi ? Une personne qui a des troubles de la vision ou de la motricité pourrait galérer à cliquer au bon endroit si c'est trop petit / trop proche d'un autre élément cliquable !
Lien et css : je conseille toujours de garder le soulignement pour les liens, c'est un code connu du web alors autant de ne pas réinventer la roue. On peut ne pas avoir de soulignement pour ce qui est "logique" (genre les menus, on sait globalement que c'est cliquable) mais un lien dans un texte, on garde le soulignement ! -> Note : Un lien en couleur seule n'est souvent pas suffisant, surtout si on utilise déjà la couleur et/ou le gras pour mettre en valeur (il y a des cas à la marge mais j'essaye de rester efficace).
Cacher du contenu : Éviter de trop dissimuler du texte dans des collapses/accordéons. Plus les textes seront cachés, plus ça créer un sentiment de “mauvaise” surprise chez les users qui se retrouvent à lire 4x plus de texte que ce qu'iels pensaient.
Renseigner ce qu'on va trouver : Sur de longues annexes, ne pas hésiter à préciser le contenu avec une introduction courte qui résume ou avec un mini sommaire. Pourquoi pas y ajouter des ancres (html) pour faciliter la navigation dans l’annexe.Liens entre les informations : Ne pas hésiter en fin d’annexe/contexte à mettre des liens vers d’autres sujets qui serviront à mieux comprendre ce que les membres ont lu juste avant. Pas tous les liens, juste ceux autour des informations évoquées au dessus. En gros, aider les users à mieux comprendre en leur indiquant où se rendre ensuite !
Plan de forum : Sur un site, on conseille d'avoir une page "Plan du site", qui récapitule toutes les pages. Je me dis qu'un post "plan du forum", spécifiquement pour la partie annexe, peut-être très cool.
Couleurs :
Contraste général : Ni trop fort, ni trop faible. Dans les recommandations officielles d'accessibilité, on parle de ratio de contraste. Il existe des outils pour tester les couleurs de texte sur les couleurs de fonds pour voir si on est dans les clous. -> Comment s'y prendre ? Je vous recommande l'outil Color Contrast Analyser qui est un logiciel sur Mac et Windows : vous entrez la couleur de texte (1er plan) et la couleur de fond (2e plan) pour obtenir un ratio de contraste. L'objectif est de viser la conformité sur "texte normal" et "texte grand" du niveau "AA" (je conseille toujours le niveau AA car sinon on rentre dans des choses plus précises type si texte plus de 24px, on peut être moins contrasté etc...)
D'autres site de contraste (si besoin, je serais ravi de faire une vidéo pour montrer comment les utiliser) :  Colorsafe.co ou Contrast-finder
Couleurs pures ou vives : Éviter les couleurs dites pures (noir #000 sur blanc #FFF, etc) ou très vives. Privilégier des nuances comme un noir coloré, grisé ou un blanc cassé, une couleur descendue et pas flashy, surtout pour ce qui est texte ! Même si le contraste sera bon, certaines couleurs trop vives peuvent entrainer des migraines ou autre sensibilité à la lumière.
Gifs : Éviter les gifs avec flash de couleurs ( type spot de soirées) ou flash trop rapides / répétition. Ça peut entrainer une crise d’épilepsie photosensible chez les personnes épileptiques (et aussi des migraines). Ou alors prévenir en amont. Donc à éviter sur des headers, à un moment c'était assez tendance. -
Éléments animés : Toujours laisser la possibilité d'arrêter une animation (ex : un fond de forum qui bouge pour donner un côté grain de vieux film -> on a un bouton qui permet de stopper cette animation.) Ça peut être plus complexe à faire mais une animation qui tourne en boucle, niveau concentration, c'est chaud :/
Information et couleurs : Ne pas signaler une information uniquement par la couleur -> Exemple : "info importante en rouge" ou pour diviser une liste d'info "en rouge les malus, en vert les bonus".  -> Pourquoi ? Les personnes daltoniennes verront le rouge jaune/marron ou rose (il existe plusieurs types de daltonisme). -> Comment ? En plus d'une couleur, on peut accompagner d'un pictogramme, d'un symbole (triangle rouge = telle info ; carré vert = telle info), ou d'un mot, tout simplement. Ne pas oublier la légende ;) En plus, c'est top pour apporter un peu plus d'identité graphique !
Récurrence d'usage des couleurs : Utiliser chaque couleurs pour les mêmes éléments au fil des pages. -> Exemple : Une palette avec du bleu doux , du gris perle et du bleu marine : le bleu doux pour tous les boutons et liens, le bleu marine pour tous les titres, le gris perle pour les separateurs....
Autres :
Poids des visuels : L'accessibilité concerne aussi l'accès à l'information quel que soit notre matériel ou notre type de connexion. Tout le monde n'a pas la fibre et des headers de 3 mo (oui j'a déjà vu :/) peuvent être très pénibles à charger. -> Conseils : N'oublions pas de diminuer le poids de nos images en passant par des logiciels de compression (compress jpg ; compress png ; compress gif). Il est toujours possible de trouver le juste milieu entre qualité et poids !
Laisser la parole : que ce soit dans un post dédié, un questionnaire en ligne et anonyme, par MP au staff ou dans la fiche de présentation (le forum Maybe this time le propose par exemple), on peut intégrer la possibilité de faire des retours d'accessibilité ou préciser des besoins précis. On ne peut pas penser à tout et peut-être qu'un besoin remonté par un·e membre aidera d'autres qui n'ont pas osé en parlé !
Pour aller plus loin :
En anglais : conseils sur les couleurs pour les personnes avec des handicaps visuels
Designing-for-color-blind-users
Colour-accessibility
En français : accessibilité, design, webdesign
Le site design accessible
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soitamespieds · 8 months
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depuis qu'il est en cage, chaque jour est un vrai plaisir pour moi
Depuis qu'il a embrassé la chasteté avec cette cage, chaque aurore m'offre un plaisir incomparable, doublé d'une palette de sensations et d'émotions que je n'avais jamais connues auparavant.
Chaque matin, à la première lumière du jour qui filtre à travers les rideaux, la chambre se remplit de cette odeur douce et boisée, rappel de notre promesse silencieuse. Ces moments, baignés dans une douce lumière dorée, sont ceux où je sens le plus notre connexion intime. Le frémissement des draps, la chaleur de sa peau à proximité de la mienne, la cage en acier froid autour de lui, tout concourt à un tableau de contrastes qui exacerbe mes sens.
Psychologiquement, cette expérience a été une révélation. J'ai découvert en moi une force et une confiance que je ne soupçonnais pas. La cage, pourtant perçue par beaucoup comme une entrave, est devenue pour nous un symbole de confiance, un pacte silencieux renouvelé chaque jour. Le poids psychologique qu'elle représente pour lui est contrebalancé par la légèreté avec laquelle notre relation s'est métamorphosée.
À chaque fois que je le regarde, il y a cette étincelle dans ses yeux, une lumière douce mais déterminée. Cette lueur, révélatrice d'une soumission consentie et d'une anticipation fiévreuse, est devenue mon phare, guidant nos interactions. Le soir, l'air se charge d'arômes épicés, écho de nos désirs contenus, et chaque souffle est une danse de promesses et d'attentes.
Le jeu de la chasteté est devenu bien plus qu'un simple accessoire physique. C'est une exploration des profondeurs de nos âmes, une cartographie de nos désirs les plus secrets. Et en ce voyage, chaque sensation, chaque odeur, chaque lueur est un repère, un témoin de la beauté et de la complexité de notre amour
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ernestinee · 3 months
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Cette nuit, j'ai pu observer depuis ma fenêtre la constellation d'Orion bien reconnaissable aux trois étoiles rapprochées de sa ceinture, et Bételgeuse la plus brillante sur son épaule, j'ai vu Sirius en bas à gauche d'Orion, qui est la plus brillante de la constellation du Grand Chien, j'ai vu le Petit Chien un peu plus haut, et aussi les Gémeaux, en haut à gauche d'Orion.
Bételgeuse est déjà morte mais il faut 650 ans pour que sa lumière nous parvienne. Du coup, autour des années 2300, on verra d'ici son explosion, alors elle sera tellement lumineuse qu'elle sera visible même en plein jour.
Tout ce petit groupe est maintenant au nord-ouest sous la ligne d'horizon. De ma fenêtre, en plein sud, on pourrait voir la constellation de la balance et celle du Scorpion juste à sa droite, mais il fait déjà trop clair.
On est le 28 janvier, ça fait aujourd'hui 28 ans que mon père est décédé. Lui aussi, dans ma vie qui suit son cours avec des hauts et des bas, sa lumière continue de me parvenir.
Et le ciel est là, fidèle point de repère dans nos errances.
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 121
Au retour, je n'en peu plus. J'ai les couilles pleines et elle me font mal tellement il y'a du jus dedans ! J'attrape Jimmy qui est à coté de moi par le cou et lui plaque le visage sur mon paquet. Il a compris et avec difficulté défait mon jeans. Ma queue sort comme un diablotin de sa boite. Elle lui frappe le visage avant qu'il ne happe le gland dans sa bouche. c'est tellement bon que je fais un écart sur la route à faire peur à une mémé qui venait en face !
La tension se relâche un peu avec la chaleur de la bouche qui enveloppe mon sexe. Ed s'est avancé entre les deux sièges pour mater. Jimmy me mange tout ce qu'il peut.
Quelques camionneurs que je croise me font appel de phare et klaxonnent quand ils nous dépassent. Du haut de leurs cabines, ils voient bien que je me fait sucer. Je ralenti, inutile de prendre des risque en roulant comme un fou. Je n'ai pas fait attention mais je roule si lentement que je me fais doubler par un camion. Il prend son temps et reste quelques instant à ma hauteur. Je jette un oeil et voit le visage hilare d'un jeune mec. Il finit de me doubler et par clignotant m'indique qu'il prend l'aire de repos. Je le suit. Pas grand monde, il se gare à l'écart et je me place à coté.
Le chauffeur est déjà à ma portière que je relève seulement la tête de Jimmy. Une fois ma bite derrière le jeans, je sors. On se salut, il a environ 35 ans assez costaud et son accompagnateur plutôt 20 ans ou un peu moins, beaucoup plus fin.
Il me dit s'être douté que c'était un mec qui me suçait. Je lui demande ce qu'il veut sachant que j'ai les couilles pleines depuis un moment et que j'aspire à les vider rapidement. Il me dit que lui c'est pareil car avant qu'il ne nous repère il se faisait faire la même " gâterie " par son passager. Nous rions de la similitude de nos situations. Il me propose un échange je lui dis que c'est inégal, il n'a qu'un mec et moi j'en ai deux ! en plus les miens sont deux putes particulièrement expérimentées. Il me vante son jeune acolyte, la profondeur de sa bouche et la douceur de son cul.
Pour décrocher l'affaire, il me dit que je pourrais disposer de son propre anus. Son jeune accompagnateur en est interloqué. On est d'accord. Alors que je cherche un lieu du regard, il me dit que l'avant de sa remorque est vide. Je prend kpotes et gel, ferme la voiture et nous montons à sa suite par une porte de coté.
Il fait noir mais aussitôt il allume un spot qui éclaire la scène de ses 500 Watts. Avec son collègue, il tire quelques caisses de l'empilement pour nous faire des supports. Son jeune me colle et défait les quelques boutons de mon jeans. Ma queue en sort toujours raide. De son coté Jimmy attaque le pantalon du routier. Ma queue ne reste pas à l'air libre très longtemps et se trouve chapeauté, puis engouffré par la bouche très efficace de son accompagnateur.
Pour simplifier le routier = " R " son ptit mec = " A " comme accompagnateur. " A " me bouffe la tige jusqu'à l'os. Je comprend mieux sa facilité quand je vois la grosse bite de " R ", dans les 21/22 par 6 disparaître dans la gorge de mon Jimmy. Ed se place à ses cotés et à deux font une fellation à " R " qui gémis de plaisir. De mon coté j'ai pas à me plaindre, son ptit mec me tète le dard très correctement. Coinçant sa tête entre mes mains, je m'enfonce avec délice dans les profondeurs de sa gorge. Il encaisse bien et même en redemande ! il utilise sa langue avec une grande inventivité, m'amenant plusieurs fois au bord de l'éjaculation ! (faut dire que ça fait un moment que je suis excité !).
" R " semble pressé tout d'un coup. Il se kpote et défonce Jimmy direct. Heureusement que c'est Jimmy et non Ed, ça passe plus facilement. Je considère alors que je n'ai pas plus de précautions à prendre avec " A ". Kpoté, je plaque son torse sur une caisse. Ce salaud relève son cul en attente. Ça ne dure pas et sans le lubrifier, je pose mon gland sur son anus et l'encule sans m'arrêter à fond. Ok, il encaisse aussi bien que mon Jimmy. " R " demande à Ed de lui bouffer les couilles pendant qu'il encule Jimmy. Après un peu d''acrobaties c'est choses faites et je vois la tête d'Ed secouée à chaque va et vient. Je me retire d' " A " et change de Kpote. je pousse sur le dos de " R " qui du coup écrase un peu Jimmy. Je dois lui rappeler notre accord. Il grogne un peu mais me laisse accéder à son trou. Je suis gentil ! j'utilise un max de gel pour le préparer. Malgré cela je sens que ça va pas être facile. Heureusement que je suis raide comme un piquet ! Effectivement je dois forcer pour l'enculer. Son ptit " A " n'en revient pas. il me dit qu'il l'a toujours vu actif, aussi bien avec lui qu'avec des mecs de passage.
Je lui dis de bien regarder alors. "R " souffle, peste mais je le tiens bien aux hanches et continu la pression jusqu'à être totalement en lui.
" A ", désoeuvré, lèche notre interface trou/bite. quand je suis totalement en " R ", il s'occupe à me bouffer les couilles. Ed, s'installe entre les cuisses d' " A " et suce son manche somme toute fort honorable (un bon 18cm sûr). Malgré la douleur de la sodo, " R " continu à enculer Jimmy, preuve qu'il n'a pas débandé et qu'il apprécie la chose ! " A " et Ed nous quittent pour s'installer sur une autre caisse. Je vois " A " se kpoter et enculer Ed qui ne demandais que cela. R est étonné, il ne s'était jamais servi de " A " que comme vide couilles. Je ne sais pas si " A " est souvent actif mais Ed n'a pas l'air de se plaindre du traitement qui lui est infligé. Il me regarde et me dit que c'est bon ! Je suis trop excité et je jute au bout d'1/4 heure de limage de cul de " R ". il faut dire à ma décharge (lol) que cela faisait longtemps que je n'avait été autant serré dans un cul... le dépucelage d'Ed je crois.
Quand je sors, il s' ;excite sur Jimmy et à son tour rempli sa kpote. Jimmy, bien éduqué jute quand " R " se retire. Tous les trois nous regardons Ed et " A " s'achever. " A " se penche sur Ed et lui roule un patin brûlant, ce qui n'arrête pas son bassin de basculer pour continuer à l'enculer. Nous entendons Ed gémir plus fort bien que le son soit étouffé par la langue d'A. quand " A " se redresse, il découvre des abdos plein de sperme. " A " accélère et tout d'un coup se bloque au fond d'Ed, agité de quelques soubresauts indicatif de décharge.
" R " nous tend un sac pour y jeter les kpotes pleines et passe des kleenex pour ceux qui on juté sauvagement !
Nous reprenons nos souffles en discutant un peu.
" R " est artisan routier et son ptit " A ", il se l'ai déniché pour l'avoir pris en stop il y à déjà plus d'un an. Depuis ils sont ensemble et " A " ne va pas tarder à passer son permis Poids Lourd pour l'aider.
Je lui demande si il n'a pas trop mal au cul ? il me dit que cela va. " A " vérifie en lui mettant la main au cul et d'après la réaction de " R " lui met un doigt.
" A " nous certifie que le cul de " R " est maintenant souple (il le connaissait très serré quand il le léchait). Et que c'est 2 doigts qu'il lui met. Il regarde " R " et lui dit :
- J'pourrais aussi t'enculer de temps en temps ? c'est trop bon.
Je lui demande et il me confirme qu'il était puceau quand " R " qui l'avait pris en stop l'avait dépucelé. Et qu'il n'avait jamais eu qu'un rôle de passif depuis. Mais depuis le cul d'Ed, il savait qu'il aimait aussi enculer. " R " a grogné pour le principe mais je crois qu'à l'avenir il se laissera parfois faire !, il a bien aimé ma chevauchée.
On se rhabille, moites, et nous nous quittons plus légers de quelques 100aines de grammes.
Le retour se fait calmement. Je dépose Ed en premier. Son ptit frère vient à la voiture plein de question ! C'est quoi cette caisse ? je croyais que t'était motard ? c'est qui ? (en montrant Jimmy).... Je lui dis de se calmer. Il passe la tête par la fenêtre de ma portière et me claque un bisous sur la bouche. je le repousse et lance un au revoir avant de démarrer.
Jimmy qui a vu le coup se faire me dit que j'ai encore fait une victime. Je le regarde, il me dit - ben oui ! il a l'air amoureux le gamin !
Je lui répond que c'est hors de question, puis me ravisant ajoute, pas avant quelques années.
JARDINIER
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e642 · 6 months
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Probablement que je ne m'y ferai jamais réellement d'avoir déménagé à Nice, loin de mes repères. A chaque fois que je reviens à Toulon, que je passe devant mon ancien appartement, que je vais au cinéma où je suis allée bien 50 fois avec mon mec, je ressens une nostalgie presque douloureuse. Je regrette ces lieux. Tout ce que j'y ai vécu, tout ce que j'y ai construit et investi. À chaque fois que je repars pour Nice, j'ai du mal à chercher le bon train sur le tableau de la gare. À chaque fois que je descends pour prendre le tram je me rappelle que j'ai même pas pris la peine de prendre un abonnement pour les transports. C'est comme si j'allais partir du jour au lendemain. Je sors pas dans cette ville. J'y construits rien. J'y vis rien. J'attends encore plus que l'année passe. En sachant que si je réussis, j'y resterai une année de plus. Et si je rate, ce sera encore un gouffre où il faudra escalader. Mais je sais, d'avance, que je n'ai pas la force. Je vis seule. Extrêmement seule. Sans ami, sans famille, sans sortie, sans rien. J'alterne entre les quatre murs de mon appartement que j'ai laissé vierge de ma présence, ou ceux de la fac. Je suis un fantôme. Chaque prof attrape ma veste pour me demander si tout va bien. Non. Évidemment. Mais ya rien à dire. J'ai l'impression, cette année plus que les précédentes, de passer à côté de quelque chose. Je sais pas si c'est du suicide ou si c'est quelque chose que les vivants font. Je ne sais pas mettre le doigt dessus. Je sais juste que j'alterne entre les crises de colère et celles d'angoisse. Je passe plus de temps à suffoquer qu'à réellement respirer. Je le sens dans tout mon corps l'anxiété. J'ai mal partout, j'ai des migraines, des nausées, des insomnies intenses, des maux de ventre de malade, mon vitiligo qui s'accroît dans mon dos. J'aurais beau ne plus parler que mon corps en dira toujours plus que moi. J'ai pas la sensation d'avoir une seule seconde de repos entre les pensées intrusives, les trucs à gérer, la fatigue, c'est un tout qui ronge mes entrailles. Je me sens grignotée par un mal qui aura de toute évidence ma peau. Elle me fait dépérir cette ville, cette vie, cette situation. Je me sens faible. Il y a des jours où j'entends même pas le son de ma voix tant je suis taiseuse. Je m'en veux je crois. Si c'est ça se chercher, alors je crois que je préférais accepter de ne jamais me trouver.
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mrlafont · 3 months
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Je suis heureux d'avoir cessé de faire de ma vie un laboratoire intellectuel et spirituel. Je sens que je suis revenu de cette absurdité. Je ne veux que la vie, que vivre une vie d'homme. C'est aussi que j'ai compris désormais que tout cela ne servait à rien. Que celui qui, passant par cette étude de soi, se cherche vraiment avec la seule volonté de vivre et d'être heureux, revient à la vie par la force des choses. Ou alors il n'a pas encore réalisé ce qu'est la vie, ou alors il veut en toute conscience se perdre dans un autisme esthétique qui est, je trouve, trop triste, condamné au soi, à tout jamais. Il ne pourra s'oublier et ne s'ouvrira donc jamais aux autres, ou toujours qu'à travers le filtre très épais de son moi. Quand je me pense aujourd'hui, je ne n'y cherche plus aucun plaisir intellectuel, esthétique, comme ça m'arrivait auparavant, où l'introspection était liée à une forme de poésie. Ou alors je fais de la poésie en toute conscience, mais je n'y crois plus comme un possible moyen de salut... Bref, quelques questionnements sur la route du retour : si mon état psychique particulier est proprement psychologique ou bien s'il s'est vraiment passé quelque chose physiquement à causes des différentes crises que j'ai eues, cela restera mon grand mystère. Si tout cela est cause "psychologique" alors la psychologie est quand même très puissante. Personnellement je penche sur une explication physique mais qui sait, le doute plane toujours. Cela ne doit pas m'empêcher de vivre du mieux que je peux, avec cette façon que j'ai de vivre, de ressentir la vie. J'ai peur, j'avoue, qu'à cause de cela, je passe à côté de quelque chose, d'une certaine vivacité d'esprit, d'une lucidité, comme si je n'avais jamais tout le jeu de cartes en main en même temps, mais que j'avais qu'une carte à la fois, qu'on m'attribue aléatoirement. Un manque de repères, une sorte de flou sur ce que je dois faire et être, un doute sur l'avenir. Mais peut-être mais que toutes ces impressions ne sont que des fantasmagories de mes angoisses, et qu'en réalité je suis parfaitement sain et "comme tout le monde". Si j'oublie un peu ces petits détails fâcheux, et que je m'observe dans l'ensemble, que je me compare à d'autres, je crois être plutôt normal, même si j'ai toujours du mal à me dire que, vraiment, je n'ai rien de particulier. Car j'ai beau essayé de me dire que je n'ai rien de spécial, quand je me compare, quand j'observe les autres, je me sens bien tout de même bien différent. Mais je ne réfute pas l'hypothèse que cela aussi est une sorte de fantasmagorie. Ce que j'aimerais vraiment que ce soit. Et pourquoi ce ne le serait pas ? À bien y regarder, nous sommes tous spécifiquement unique et bizarre. À trop m'analyser, j'ai fait de cette évidence une sorte de réalité psychologique supplémentaire que je ressens probablement davantage que les autres.
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sloubs · 4 months
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Sans vouloir être désagréable c'est pas une flèche ta mère 😩
j'parle quasi pas de kaamelott et encore moins d'astier à ma mère, donc elle aurait pas pu savoir...et elle m'aurait pris le pass sans problème si on avait habité plus près d'angoulême, or le prix du pass + trouver un logement là-bas à cette période c'est une vraie galère, et comme je suis la seule qui s'intéresse à la bd dans ma famille la question était aussi de savoir avec qui j'allais pouvoir y aller. en vrai astier était même pas censé être là l'an dernier, ça aurait été un pur hasard et c'est pour ça que je pète mon crâne, mais j'ai trouvé l'intention de ma mère hyper mignonne et ça me touche qu'elle ait voulu me faire plaisir comme ça. donc déso mais c'est une flèche ma mère, elle avait même tout dans le mille, c'est juste qu'elle savait pas si ça m'aurait plu d'y aller toute seule, et en vrai en ayant jamais été au festival (donc sans repère etc) et avec personne avec qui partager l'expérience, je suis même pas sûre que j'en aurais vraiment profité moi même
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marche-murmure · 3 days
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La preuve que dieu existe
J'ai vu en ce monde l'incarnation de notre dieu, se promenant au milieu de l'humanité, sous les traits d'une femme.
Jamais je n'ai aimé Dieu, jamais je n'ai cru en Lui.
Pourtant, elle était là, tangible, devant moi. Et je l'ai aimé.
Comme après avoir traversé le désert, j’ai devant elle mis genoux à terre.
Dans ses cheveux, mille écrins de couleurs, l’automne en cascade glissant sur ses épaules.
La puissance de son regard, qui bien que fuyant, pouvait d’un bref instant détruire toutes mes certitudes.
Lorsque je me suis approché, mon impuissance s'est animée. 
Elle a serré mon cœur dans une étreinte implacable et achevé de me faire plier l'échine.
Comme si une main invisible m'avait fermement saisi la nuque, me forçant à m'incliner devant sa toute-puissance.
La vieille sentinelle, durcie par les épreuves du monde, fut désarmée par ses quelques murmures ; le souffle glacé du vent sur cette esplanade morne révélant toute l'étendue de la beauté de son visage.
Car, enfin, dans l'étendue vide de mon existence, semblait se lever l'aube d'un espoir. Elle était là, juste devant moi, l'autre moitié de mon âme. Celle dans laquelle je pourrais fondre la mienne, pour l'éternité.
Alors, tel un dévot, je l'ai servie, buvant chacun de ses mots, érigeant en chaque recoin de mon cœur des autels à sa gloire, sanctifiant l'infinité de mon amour dans de longues liturgies que je psalmodiais à mon âme dans une constance fanatique.
Je l’ai loué et adoré, ne trouvant même plus de sens à mes « je t’aime ». Car ces mots-là, ne sont pas pour les dieux, ces mots-là, on les donne en pâture au même que soi, pas à l'incarnation de dieu en ce monde.
Elle incarnait le monde même, l'enveloppe charnelle du bonheur et de la douceur, au-delà de ce que l'âme humaine ne pourrait jamais mesurer ou saisir. Même dans la simplicité la plus extrême, la plus ennuyante, ma mémoire a gravé chaque insignifiante seconde comme autant de sanctuaire de pierre.
Chaque instant passé dans ses draps, ma peau contre la sienne, m'emportait au-delà de la raison, m'envahissant d'un sentiment vertigineux, comme si j'avais perdu tout ancrage avec la réalité.
Une ancre pour y attacher mon âme, une place pour y ranger mon cœur.
Les vagues de l'amour qu'elle m'offrait semblaient, à chaque instant, prêtes à me faire chavirer. Inlassablement, elle me donnait tout, puis le reprenait. Une oscillation constante, un roulis incessant entre dévotion et sanction. Un amour qui était devenu flagellatoire et dont j'acceptais sans broncher la pénitence.
J’aurais au monde arraché des vies pour elle, coupé, brisé, désossé tous les obstacles entravant mon amour incensé. J’aurais été son bras armé, le plus impitoyable et le plus cruel, à sa demande. Dans ma ferveur, j’ai brisé des serments, oubliés des amis, perdu toute compassion, l’appétit, la raison.
Et plus cette amour grandissait, plus cette ferveur se renforçait, plus je me remplissais de haine et de violence. Contre le reste du monde. Contre tout ce qui pouvait l'approcher, l'effleurer. 
Les apôtres que j'avais jadis méprisés, je les comprenais désormais. L'amour pour son dieu n'est jamais suffisant, la gratitude jamais complète. C'est une eau sacrée qui ne parvient pas à étancher la soif, mais qu'on redemande incessamment.
Mon âme s’est fondue dans la sienne, sacrifiée à sa gloire. J’ai abandonné jusqu'au fondement même de ma pensée, cédée ma volonté, livrée la moindre parcelle de ma cohérence. La seule chose que je conservais, c'était la mémoire. Mémoire qu'elle m'avait laissé pour la mieux corrompre. 
À chaque point cardinal de mon existence, elle a déposé son empreinte sur tout ce que je possédais, m'inondant de sa lumière au point que je perdis tout repère, toute possibilité de fuite, tout souvenir d'un passé sans sa présence. Je n'avais plus aucun refuge, plus aucune voie de repli pour souffler, m'égarer, l'oublier.
J’ai tenté de fuir, écoutant les derniers appels au secours de mon bon sens, mais il est vite devenu ma première victime à sa gloire. Mon premier Abel, fut une partie de moi même, comme un Cain autophagique. J'ai à mon corps et mon esprit, retiré tout bon sens, pour que triomphe cet amour sacrificiel.
Nous n'étions pas deux âmes sœurs s'approchant de leur fusion, pas une union où deux êtres se mêlent pour ne devenir qu'un. C'était mon absorption totale. Dans le culte de ce dieu, tout doit être sacrifié pour sa gloire, sa grandeur, sa beauté. Il exige un vœu de pauvreté de l'immatériel, une reddition complète de l'humain. Nos âmes n'ont pas fondue l'une dans l'autre, elle dévora la mienne.
Et le temps avançant je me suis vu m'effacer. J’ai vu des pans entiers de ce que j’étais disparaitre. Plus ce dieu m'éprouvait, me brisait, me détruisait, plus je tentais de fuir, et plus tout ce qui avait toujours constitué mon essence s'évanouissait dans la douleur quand je m'en retournais à elle, la tête basse, le dos toujours plus courbé.
Mais n’étais-je pas de ceux qui s’élèvent dans le chaos, de ceux qui discernent dans les tumultes les finalités les plus heureuses ? Alors pourquoi les issues de cette croyance n'apportaient que malheur et souffrance ? 
Pourquoi, alors que chaque journée pesait plus lourdement sur mes épaules, tentais-je encore vainement de m'accrocher à ses promesses ? Pourquoi ai-je mis autant de temps à m’apercevoir de la vérité ?
Oh, on pourrait penser que j'en serais finalement venu à réaliser : aucune personne ne peut véritablement incarner Dieu en ce monde. C'est une illusion née de l'esprit des errants, de ceux qui cherchent désespérément un sens à leur existence terne. Ce que j'aurais dû comprendre plus tôt, c'est que tu n'étais pas cette incarnation divine. Tu n'étais qu'une parmi tant d'autres, reflétant la déchéance morale de plus en plus répandue dans ce monde ?
Et pourtant, si paradoxal que cela puisse paraître…
Mon amour, mon âme, tu incarnais effectivement Dieu en ce monde.
Tu étais bien la preuve tangible de son existence.
Dieu, dans sa distance, ne dispense pas d'amour aux hommes.
Il ne leur offre rien, se contentant de regarder ce monde qu'il a créé sombrer dans ses propres abysses, avec, je le crains, un amusement cruel.
Oui, tu étais cette incarnation divine, et je ne m'étais jamais trompé.
Tu n'étais que l'ultime témoignage de sa toute cruauté.
Tu étais la preuve que dieu existe, et pourquoi à jamais, je le détesterai.
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Scalp-El
Coup d'Esprit, dans la nuit, de scalpel, délicat comme un éclair de lune, un voile agité par le vent. Tranchant, froid et sec.
A moitié nu sur son balcon. Une clope. Avec une robe de chambre contre la marée montante. Armure de chevalier gueux paumé dans le temps, chaque parcelle de peau à vif, il se sent vivant. Une sorte de tourbillon qui prend forme, sensation fantôme d'être parti de lui et d'offrir à plus grand un intérieur infime. Et ainsi habité, de se recoucher.
Réveil, c'était un rêve, forcément, puisqu'il y a ce réveil. Et ce café, et le lendemain matin. Je me sens plein, les muscles, la nuque, les seins enfin la poitrine, le torse, marrant de parler de mes seins, jamais désignés comme "mes seins" mais des pointes tétonnesque sur une poitrine qui me couvre comme un gant. Hmm, ce gant, sur mes seins... C'est un matin étrange que de penser à ma propre sensualité m'était étranger, j'habite un corps comme s'il s'était donné à moi. Oh, je n'avais jamais... ça... non plus... A moitié habité de moi, normal qu'il y ait eu un tel vide, oh corps je ne te savais pas, excuse-moi. Il y a comme un pleur qui se change en douceur. Et autour, toutes ces sensations, filaments de sens qui relient, à l'organisme-temps; lui. Je me sens, et dans ce temps je le sais, lui. Appelons-le Leeil. La divinité soi, intégrée à son espace-temps.
Vivante chose vibrante, cordes tantriques de sensation temps qui relient, donc ; et en jouer, joue-t-on de cet instrument. Un danseur prend le pas. Danseur et donc il y a un chanteur, aux claviers noirs et blancs. Ambiance langoureuse des corps mi-homme mi-femme enfiévrés de désir.
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Trop neutres
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C'était encore un rêve, dans un rêve dans une nuit, mensonge qui masque l'irréalité du matin et d'un instant de créativité d'être à soi. je suis à moi et mon corps m'appartient. Très féminin comme sensation. Transformation comme lorsque un chant, d'une note, vrille l'espace jusqu'au tympan et se répand comme de l'encre sur l'eau, le son dessine dans mon cerveau une pensée-image de la perfection.
Il paraît que l'Univers est né de sons. Fondamentaux. Leurs vibrations dans la matière étaient celle de l'angoisse d'un être qui paraissait.
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Donc de la sensualité-moi, j'en suis arrivé à la théorie de l'univers-origine. Il y a résonance. Est-ce qu'y planer, c'est une question de vibration ? Alors Superman... Je me sens trop moi pour être lui ? (Heu, mec, c'est une évidence.)
Envie d'écrire, ce matin, intéressante forme, image-temps/image-mouvement, le fondement du cinéma est-il aussi celui de ma conscience ? A l'échelle de l'échelle de Planck ça doit avoir du sens. (Relire Deleuze - le dire, ça fait tellement classe : j'ai étudié Deleuze. En toute honnêteté, il faut avoir été confronté à de très très grands penseurs théoriciens pour faire sauter les limites. Ils étaient bien barrés dans leurs sensation-monde ! Comme de regarder Lynch en tentant de pénétrer sa pensée créatrice... Expérience transcendante, à ajouter au lâcher-prise total de son propre corps libéré de l'obligation d'être moi cet égo formé.
J'ai oublié une parenthèse
fermante
)
(Voilà c'est fait ne pas oublier de la refermer) (la parenthèse
Bon, je vais faire quoi aujourd'hui de cette sensation ? Lire. Passer l'aspirateur ? Lire et passer l'aspirateur. Etendre une lessive, non ? (Un doute, ai-je fait une lessive que je n'ai pas étendue ?)
J'aimerais... Avoir du bois à couper ! Et les êtres, ça vous dirait pas d'avoir du bois à couper pour préparer un grand feu ? Retour du totalitarisme humanitaire et du joueur de corde danseur invisible dans l'air. C'est lui superman ? Il danse entre les courants de vent ! 100 costumes multicolorés en gloire de paillettes les neutrinos me traversent, hurle-t-il de plaisir, d'avoir été créé.
J'ai pris une douche, hier soir ? Oui oui, j'ai pris une douche. Ca va, j'ai toujours des repères cohérents. Ou est cette robe de chambre ? J'ai pas de robe de chambre, la seule ici, c'est celle de mon fils, et l'autre quelque part il doit encore y avoir celle de sa mère ! Y'en a au moins deux encore de robes. Purée, ça me rappelle que j'ai essayé une robe et que j'ai envisagé d'aller à la fête de fin d'année de ma boite... en robe ? ! Heu, je manque de limites, moi on dirait, quand même.
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Ouais, si, si jamais je me demandais encore...
Café.
Et fermer la parenthèse)
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bonsoirs37 · 1 year
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Étape 17 du Vendredi 21 avril de Le-Pian-Medoc à Draguignan (prieuré de Cayac). J'ai quitté Suzanne qui ne savait toujours pas si elle allait ou pas continuer après Bordeaux, ce sera suivant la forme du moment. Pour ma part, premiers 500m et déjà plus de repères au deuxième carrefour. Pas grave je continue plein sud et je retrouve le balisage. La veille, à l'endroit où j'ai perdu la trace, il y en a d'autres qui on fait comme moi, l'important c'est de se retrouver... J'appréhendais cette étape urbaine, Blanquefort, Bruges, le Bouscat, Bordeaux Talence et Gradignan, que de la ville, mais cela s'est plutôt bien passé en chaussures de ville pour aérer DD et GG qui a une ampoule que j'ai découvert en prenant la douche hier soir, rien de bien méchant mais je reste vigilant. Toujours seul sur mon chemin, oui je dis mon chemin parce qu'il y a le Pellerin Qui prend le bus pour éviter la ville, il y a aussi celui qui fait Bordeaux - Dax pour éviter les Landes et on aussi deux couples qui font le chemin avec 2 voitures : la veille au soir ils emmènent une voiture a la prochaine étape (ils reviennent avec l'autre voiture) , le matin ils marchent a 4 sans bagage (laissé dans la voiture au départ). Une fois arrivés à la fin de l'étape, ils prennent la voiture, laissée la veille pour aller chercher l'autre , comme ça depuis Dieppe et jusqu'au début de l'Espagne. Donc chacun son chemin, pour moi ce sera tout simplement à pied avec sac à dos. Vous avez vu le gîte ? Pièce de vie avec quasiment 90m2 , c'est top mais je suis seul. Et le cadre, unique. Vraiment content d'avoir fait plus de 30 km pour arriver ici, avec en plus un super accueil, la permanence était de 15h à 19h, elle vient juste de me quitter. Le moral est toujours bon, et les discussions avec les hospitaliers remontent le moral pour ceux qui l'auraient dans les chaussettes. Et physiquement c'est comme au premier jour. A demain pour la prochaine étape.
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perduedansmatete · 9 months
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je crois que j'ai mis le doigt sur quelque chose en passant devant la chambre de ma sœur tout à l'heure, j'étais (encore) pas bien et je me suis mise à chialer d'un coup en regardant ses murs et en me disant que la semaine prochaine on déménageait tout. j'y pensais sous la douche et sous mes larmes, c'est drôle de me dire qu'elle me soûle autant au quotidien mais que le fait de me dire qu'elle ne sera plus là d'ici très vite m'a rendu malheureuse si fort. je me suis rendu compte que j'avais trop peur d'être seule, trop de mal à l'être et que là j'étais en train de perdre tous mes repères. on grandit ou on vieillit je ne sais pas comment on dit ça à nos âges, et elle me disait il y a quelques temps qu'elle voulait absolument qu'on parte un peu en vacances ensemble encore cette année, qu'elle avait ce sentiment de changement elle aussi et que plus rien ne serait comme avant. on le voit déjà dans la famille, les choses ne tournent plus vraiment pareil. j'ai ce même sentiment et je me dis aussi que d'ici la rentrée je ne l'aurai plus à trois pas de moi, que ça va me manquer de ne plus être seule à deux, je pense aussi à ma meilleure amie qui a déjà du déménager il y a quelques mois, au fait que mon autre meilleure amie habitera chez ses grands-parents le temps de trouver quelque chose et d'avoir assez d'argent surtout et je me rends compte que la savoir à trente secondes de chez moi me rassurait beaucoup. et puis il y a les changements avec l'ami platonique que je vois se profiler, et mon autre amie très proche géographiquement et dans mon cœur qui envisage de déménager loooin dans le nord de paris avec son mec. je me sens abandonnée et tout ce renouveau me laisse un sentiment de solitude non voulue atroce, j'ai pleuré car je me sentais toute seule et que j'ai peur que ce sentiment s'accentue. je crois que c'est un peu la peur que j'avais la semaine dernière quand j'étais dans tous mes états, et le fait de m'être renfermée sur moi ces dernières années n'aide en rien. mes quelques relations sont si fortes et précieuses que ces changements me font juste trop mal. j'ai l'impression de repartir à zéro sans partir nulle part contrairement à tout le monde. la rentrée me fait super peur, les nouvelles personnes que je vais rencontrer aussi, je ne me sens pas prête à affronter tout ça dans l'état dans lequel je suis en ce moment, ça me parait bien trop insurmontable pour mes petites épaules. je reviens justement de chez mon amie qui habite à trente secondes de chez moi parce qu'elle avait besoin que je lui imprime un truc pour demain et ça va juste trop me manquer de ne pas pouvoir passer une heure à parler de tout et de rien (et de se plaindre toutes les deux de ma meilleure amie en l'occurrence) alors que je devais juste rester deux minutes. et puis son gros chat bizarre purée lui aussi il va me manquer. bref je pense que mon état lamentable n'est pas du qu'à l'été, mais surtout à cette solitude que je sens venir et qui me broie un peu le cœur.
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valavelo · 5 months
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J55 ~ En mode "touriste"
València J2
Nouvelle journée à València. Le rhume se calme un peu mais je suis toujours au ralenti. Au sommet du clocher de la cathédrale, j'ai une une vue sur toute la ville.
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Je repère les bâtiments que j'ai envie de voir de plus près : Llotja de la Seda, Portal dels Serrans, Mercat Central.
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Bref, une journée au milieu des touristes. J'avoue ne pas être tout à fait dans mon élément. Peut être devrais-je aller au cinéma ?
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Je fais miens la formule ("+cine xfavor") trouvé au hasard d'un coin de rue. Me voilà donc à la Filmoteca !
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Dans le très beau théâtre Rialto de style Art Déco, il faut monter au 4ème etage pour trouver la salle de projection de la Filmoteca. Au programme ce soir, un classique The Jazz Singer. Concrètement, c'est un film muet connu comme le "premier" film parlant (oui c'est contradictoire mais je n'ai pas de meilleure définition). Je n'avais jamais vu le film dans son intégralité. Je peux confirmer que c'est un très mauvais mélo qui ne doit son salut qu'à ses quelques scènes en son synchrone ajoutées au chausse pied.
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En sortant je profite de la vue sur la Plaça de l'Ajuntament depuis les étages du théâtre. Je fais mes adieux au centre ville de València. Demain je reprends la route.
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profenscene · 2 years
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Lundi 24 octobre
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C'est un peu la classe à laquelle tu ne t'attends plus.
Ils sont dix-sept, ils sont en quatrième, ils sont heureux d'entrer en classe. Tous les jours. Et parmi eux - c'est cliché mais c'est comme ça - tu repères celui qui se teint déjà les cheveux. Celle qui adapte l'épisode d'Orphée et d'Eurydice en version manga. Celle qui demande à aller passer sa scène de Cyrano dehors.
Et puis bien entendu :
"Monsieur, vous avez déjà fait du jeu de rôles ?"
Ça fait un moment que j'avais renoncé à ça, parce que c'est un peu cliché, parce que ça arrive dans les séries, à trois collègues sur Twitter, et c'est tout.
Mais voilà. Dans la salle 101, une fois (ou deux, si ça passe) par semaine, on fait des parties de jeux de rôles. Avec une poignée de mômes de cette quatrième exceptionnelle, et quelques potes qu'ils ont ramenés. C'est évident, naturel. Comme si on s'y étaient tous attendus depuis le début.
Je pensais que, enfin, ouvrir un club de ce genre dans un établissement, ça me rendrait totalement dingue. Mais pas du tout. C'est juste un grand bonheur serein de retrouver ces mômes, que j'ai l'impression de connaître depuis des années. Preuve s'il en est besoin, de la puissance de ces histoires.
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Monstres (jour 8)
Tu es près de moi mais deux personnes se trouvent entre nous. On échange un regard et je me lève. Je ne sais pas pourquoi, mais nous devons tous partir. C'est la fin de quelque chose, mais je n'arrive pas à savoir de quoi il s'agit. Tu sais, ça n'a aucune importance. On doit y aller, c'est important, il est tard, et ça commence à craindre par ici. La nuit est tombée. On part mais un groupe se forme et nous suit. On fait partie du groupe, mais je ne parle à personne. Je suis le lien, le centre, la connexion entre toi et ces deux personnes et les gens qui nous suivent. Il y a lui aussi. Comment est-il arrivé là, pourquoi, quand ? Je ne sais pas, ça n'a aucun sens mais on traverse le champ et j'essaye de maintenir le rythme. Je suis et dois être la collision des deux attroupements devant et derrière moi qui s'éloignent. Si j'accélère le pas, que je m'arrête ou que je ralentis, je perds un groupe ou l'autre. Peut-être même les deux. Si je ne regarde pas face à moi et dans mon dos, plus personne ne se suit et on est tous perdus. On est complètement foutus. Alors je vis pour vous, je suis là pour eux, pour toi. Toi, tu es mon guide, mon repère, ma lumière. Si tu t'éloignes, je suis mal. Car eux, je ne les connais pas. Tu es si sûre de toi et tu connais le chemin, mais ce chemin comment le connais-tu ? Où mène t-il ? Quel est notre but ? Je ne comprends plus rien. Un escalier étrangement façonné se place entre vous et moi et je ralentis. Je ne suis pas aussi rapide, alors je vous vois au loin vous éloigner. Je suis foutue, on est foutus, vous êtes peut-être sauvés. Je me retourne, mais ils ne sont plus là, eux non plus. Alors je cherche mon guide, t'es comme mon phare dans la nuit. Je dois te trouver. Pourtant, tout devient encore plus étrange et je me sens observée. Un avertissement écrit en gros avec du sang sur un mur que je longe, mais je ne sais pas pourquoi, je sens qu'il faut que je rentre dans ce lieu étrange. Je ne sais pas pourquoi, mais je suis en danger. J'arpente les pièces avec aucune véritable luminosité mais qui ne sont pas totalement plongées dans le noir. Où suis-je ? Je sors enfin de cet endroit et je vois un lac avec du monde face à moi. Il fait jour. Je me sens rassurée un court instant, alors je rejoins les gens, mais il y a une aura qui plane dans l'atmosphère. C'est néfaste. Dès que j'ai dépassé ce couple, je me retourne et je vois qu'eux et tous les individus souriants et s'amusant autour me dévisagent désormais. Le regard noir, ils avançaient lentement vers moi. Ils se sont tous arrêtés de marcher lorsque j'ai tourné la tête. Je ne sais pas ce que je fais là, mais je sais que l'Enfer c'est les autres, et que les autres sont ces monstres-là. Le danger est présent qu'ils soient là ou non, et maintenant qu'il fait jour, je ne te vois plus toi. J'ignore où tu es, mais maintenant c'est chacun sa peau. Tu t'en sortiras, tu t'en es sûrement sortie, tu t'en sors toujours. Moi, par contre, je me tourne et j'accélère le pas. J'ai beau être perdue et ne rien comprendre, tout ce que je sais, c'est que je dois arrêter tout ça.
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homomenhommes · 5 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 46
Dimanche matin,
Les voisins (Bruno et Arnaud) passent nous chercher pour faire un footing dans " nos " bois.
Marc les fait entrer et leur dit que puisque la piscine vient d'être remise en fonctionnement, il avait plutôt envisagé un peu de natation. Ils sont d'accord mais n'ont pas les maillots de bains avec eux. Marc leur assure que ici cette pièce de tissu est facultative et même fortement déconseillée (rapport aux marques de bronzage). Il fait encore un peu frais mais le soleil est là et le chauffage de l'eau provoque une buée au dessus de l'eau. Je vais contrôler la température, 28°, c'est bon !
Mises à poil à la salle de muscu et par l'escalier extérieur, nous remontons le long de la maison juste couverts de draps de plage jusqu'à la piscine. Arnaud et moi sommes les premiers à laisser tomber les serviettes sur une méridienne et à sauter dans l'eau. Nous sommes vite rejoints par Marc et Bruno. Même si ce n'est pas un bassin olympique, les 10m de long nous permettent une bonne dépense physique et y crawler une heure vaut bien une course à pied. Histoire de fanfaronner devant nos aînés, Arnaud et moi ajoutons un bon 1/4 heure de nage avant de les rejoindre sur la terrasse. Comme nous venions de nous installer prêt à bronzer, Marc nous demande de les enduire de protection solaire. Un rapide aller et retour aux sanitaires du sous sol et nous commençons à étaler la crème sur nos mecs. Chacun le sien, applications, massages, pas un cm² de leur dos ne nous échappe. Après nous être mutuellement enduits, nous avons repris notre séance de bronzage. Installés un peu à l'écart, j'ai pu continuer à connaître Arnaud. Jusqu'à présent nous n'avions abordé ensemble que l'aspect sexuel des choses ! Il est en terminale et compte l'année prochaine entamer son droit pour devenir comme son oncle, avocat. Comme nous sommes situés à quelques Km d'une grande ville universitaire, il ne sera pas obligé de partir d'ici ce qui satisfait tout le monde ! Nous sommes rappelés pour la deuxième face. Les bites à moitié bandantes de nos males, gonflent au maxi sous l'effet de nos mains étalant la protection solaire. Marc me fait pivoter et me demande de l'enjamber afin qu'il me bouffe l'oignon. Bruno l'imite avec Arnaud. Alors que nous nous faisons assouplir l'anus à grands coups de langue, nous suçons les bites qui ne devraient pas tarder à nous défoncer. Sur ordre, nous avons pivoté et nous sommes venu nous asseoir sur leurs pieux. C'est toujours aussi bon de recevoir la pine de Marc dans le cul. Arnaud semble du même avis concernant celle de Bruno. Sans changer de position, nous avons lustré leurs bites par de nombreux aller et retour jusqu'à ce qu'ils nous remplissent de leurs purées. Nous avions les cuisses brûlantes des efforts réalisés et nous nous sommes affalés, dès nos jouissances, sur leurs torses.
Midi étant passé depuis plus d'une heure, Marc leur proposa de rester déjeuner, salades et glaces. Alors que Bruno se faisait prier, ne voulant pas abuser de notre gentillesse, Arnaud avait déjà pris ses repères et venait avec moi préparer le repas à la cuisine. Seulement vêtus de tongs, je couvrais nos nudités de tablier de cuisine. Sexy la vue arrière !
Un bruit de motos dans la cour. Je vais ouvrir la porte et je vois notre trio motards qui descend de leurs engins (Eric, Phil et Luc). Je hurle à Marc resté sur la terrasse de l'autre coté de la maison qu'Eric and Co étaient là. Marc, traverse la maison avec le drap de bain en paréo pour les accueillir. Alors qu'il descendent de moto et quittent leurs casques, nous nous embrassons les uns les autres. Eric nous dit qu'ils étaient partis se balader dans la campagne et qu'il s'était aperçu qu'ils n'étaient pas loin de chez nous. du coup ils étaient passés chez le boucher du village et apportaient 2 énormes cotes de boeuf à mettre au BBQ. Lorsque je fis la bise a Eric, ce dernier me mit la main au cul, commentant ma tenue d'un " mais t'es mignon comme ça " puis, alors qu'un de ses doigts encore ganté de cuir enfonçait mon anus, d'un "y'a pas longtemps que Marc t'a enculé non ? ". Sur le pas de la porte Arnaud matais avec de grands yeux nos trois amis. D'un coup de menton vers lui, Luc me demande qui c'est. Je leur dis que deux de nos voisins sont venu passer la journée et que nous avons décidé de la passer au bord de la piscine. Le mot " piscine " a stimulé Luc et Phil qui ont traversé la maison tout en se déshabillant pour finir par ôter leurs slips sur les margelles juste avant de plonger nu dans l'eau. Eric qui était resté en arrière avec nous, a pu se rendre compte qu'Arnaud portait le tablier comme moi lorsqu'il nous suivit avec Marc à la cuisine déposer la viande. Marc en deux mots lui brossa le tableau. Marc et Eric rejoignirent Bruno puis alors que j'étoffais la salade composée pour faire face à l'afflux de convives, nous avons vu se pointer Phil et Luc, serviettes autour des reins, ramassant leurs combis et autres pièces vestimentaires. Envoyés par Marc, ils me demandaient comment aider. Je les envoyais chercher le BBQ et le charbon de bois remisé dans les communs pendant que j'apportais le plateau apéro sur la terrasse. Lorsque tout le monde fut là, Marc fit les présentations en re précisant que nous étions dans une zone " naturiste ". Eric se mit au diapason et alors que le charbon de bois chauffait, nous avons pris l'apéro tous dans le plus simple appareil. Arnaud ne pouvait s'empêcher de mater les nouveaux venus. Ses yeux passaient des jeunes à la grosse (bien qu'encore au repos) bite d'Eric. Est ce nos deux culs mis en valeur par les tabliers où la vision de 4 jeunes corps bien foutus mais nos aînés se mirent à bander. Les yeux d'Arnaud faillirent sortir de sa tête quand la batte de base-ball d'Eric lui colla aux abdos. Marc nous demanda de nous occuper d'eux. Je me jetais sur la bite de Bruno laissant celle de Marc à Arnaud. Phil et Luc s'attelèrent à celle d'Eric. Bruno s'était vite mis dans l'ambiance et ne refusa pas mes attentions. Commentaires admiratifs de Bruno sur le physique d'Eric et surtout sa queue. Luc voyant qu'Arnaud ne cessait de les mater, se releva et poussa Arnaud à le remplacer alors qu'il embouchait Marc. Sous les conseil de Phil, il apprit quelques trucs supplémentaires sur l'art de la pipe. Quand j'avais remis en route la piscine, j'avais pris soin de recharger les tiroirs des tables de jardins de tubes de gel et de Kpotes en quantité. J'enkpotais Bruno, me mettais un peu de gel et à 4 pattes lui demandais de m'enculer. De son coté Eric avait ceinturé Phil et enkpoté entreprit de l'empaler sur son pieu. Arnaud resté dans le trio hallucinait de voir disparaître dans le cul encore blanc de Phil la grosse bite noire d'Eric. Marc pas en reste limait Luc. Ayant envie de mettre moi aussi ma bite dans un cul, j'appelais Arnaud et le plaçait à 4 pattes devant moi puis mes mains sur ses hanches le faisait reculer jusqu'à ce que mon gland touche son anus. Là ce sont les coups de bite de son oncle dans mon cul qui m'ont propulsé progressivement dans le sien. Trop bon de se faire enculer quand soi même on sodomise un mec !
C"est dans cette organisation que nous avons tous joui les uns après les autres parfois simultanément.
Cet intermède sexuel repoussa le déjeuner à plus de 16h. Comme des bêtes affamées, nous avons fait un sort tant aux cotes de boeuf qu'a la salade composée et aux glaces.
Après seulement, j'entraînais Phil, Luc et Arnaud nous laver au sous sol. Douches où nous avons initié Arnaud à nos câlins post coïtaux, massage des corps, caresses, baisers et tendre roulages de pelles, séchages mutuels... Quand les " adultes " arrivèrent, nous en étions à rafraîchir la pilosité d'Arnaud. Ce dernier n'avait pas oser contrecarrer nos décisions le concernant et se faisait épiler les aisselles, les avants bras et les jambes du peu de poils qui y avait alors que je lui rasais les couilles laissant juste un triangle châtain pointer vers sa bite. Marc m'engueula d'avoir fait ça sans demander à Bruno ce qu'il en pensait. Ce dernier gentiment désamorça la " crise " en me remerciant de lui avoir aussi bien préparé son neveu et qu'il aimait bien son nouveau look. Je respirais mieux tout d'un coup ! Tout d'un coup Arnaud réalisa que tout ses potes du lycée allait voir ça après le cours de gym quand ils passaient à la douche. Luc qui se souvient de sa propre année de terminale lui souffla de dire à ses probables détracteurs que sa " copine du moment n'aime pas les poils " et que comme ça elle acceptait de lui bouffer les couilles sans rechigner. Comme la plupart de ses collègues non jamais baisés ou alors sans beaucoup de pratique ça les fera taire. Nous sommes remontés profiter des derniers rayons de soleil leur laissant la salle d'eau. Couchés sur nos draps de bain, étalés en rayons, nos 4 têtes regroupées au centre d'un cercle imaginaire, nous avons répondu aux nombreuses questions que se posait Arnaud. Depuis quand nous étions homos... et surtout il questionna Phil pour savoir comment c'était de prendre Eric dans son cul. Il ouvrit des yeux ronds quand je demandais à Phil et Luc des nouvelles de leurs clients. A leur dernier rendez vous ils s'étaient tous enfilés en brochette. Phil se faisait enculer par Luc lui même sodomisé par le jeune frère qui recevait dans son cul la bite de son aîné. Luc me demanda quand aurait lieu la prochaine touze à la maison, car ça lui manquait. Je du expliquer en quelques mots à Arnaud la composition de notre petite " association " de passionnés de sexe.
Après que tous soient repartis chez eux, dans le calme retrouvé, je disais à Marc que j'avais été obligé d'affranchir Arnaud sur notre groupe et une partie de ses pratiques. Il me dit que c'est ce qu'ils avaient fait avec Bruno lorsqu'ils s'étaient retrouvés sous les douches, et qu'il n'avait pas été difficile de le convaincre de se joindre à notre prochaine touze.
JARDINIER
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