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#mélancolie
alexar60 · 8 months
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Au revoir
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Imagine,
L’homme rencontre la femme.
Il n’a d’yeux que pour elle,
Et lentement son cœur s’enflamme.
Autour de lui, tout devient irréel,
Alors, il approche de la dame.
Comprenant que l’attirance est mutuelle,
Il discute avec elle et tombe sous son charme.
Ils échangent leur numéro, il la revoit souvent.
De cette rencontre est né un amour éperdu
Caché dans des chambres d’hôtels hors du temps.
Seulement, cet amour l’épuise, il se sent vaincu.
Il décide donc de mettre un terme au bon moment.
Après avoir fait l’amour, elle s’endort comme un loir.
Il en profite et sort de sa vie sans lui dire au revoir.
Imagine,
La femme croise de nouveau l’homme.
Il a vieilli, mais il est encore plus beau.
Elle décide de l’inviter boire un rhum,
Parce qu’elle l’a toujours dans la peau.
Elle l’écoute parler de son épouse et de ses mômes,
Pendant qu’elle se retient d’éclater en sanglots.
Avant de se quitter, soudain son ventre papillonne.
Dès lors, elle l’embrasse, et le passé ressurgit aussitôt.
Ils revivent cette fougue qu’ils croyaient perdu
Cachés dans des chambres d’hôtels hors du temps.
Seulement, cet amour est impossible. Elle l’a toujours su.
Elle décide donc de mettre un terme au bon moment.
Après avoir fait l’amour, il reste seul dans son désespoir,
En la regardant partir de sa vie sans lui dire au revoir.
Alex@r60 – août 2023
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praline1968 · 7 months
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Fatiguée …
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lerefugedeluza · 6 months
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COUCOU. Je viens de publier cette vidéo dans laquelle j'ai mis toute mon âme (rien que ça), alors je compte sur vous pour la regarder et la partager ♡
(ça parle de nostalgie, de souvenirs et de la vie) Force à vous ♡
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oviri7 · 4 months
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« Philosopher n’est qu’une façon de raisonner la mélancolie. »
Louise de Vilmorin - Julietta
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bizarreauhavre · 10 months
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Melancolia, 1959, (surrealist movie).
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marche-murmure · 3 days
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Comment ne pas être surpris, que dans les sillons de mon être, se niche autant de mélancolie, quand d'un regard vers mon berceau, il adresse toutes les questions
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enoramenguy · 4 months
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Quand la nuit est longue Que mon esprit ne trouve moyen de sombrer dans la pénombre J'aimerais me reposer dans le croissant de Lune Et dormir aussi légère qu'une plume.
En son berceau mystérieux Moi seule existe, ainsi que les cieux Plus aucune faute n'existe Plus aucun tracas ne persiste.
Enora Menguy
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fleurdusoir · 1 year
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La mélancolie Berce de doux chants Mon coeur qui s’oublie Aux soleils couchants.
Paul Verlaine, Poèmes saturniens
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vaguenebuleuse · 10 months
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Pourrions-nous nous aimer ?
En soi, et ensembles, Se sentir libre d’aimer, De s’aimer, D’être aimé. S’affranchir des limites, des dogmes et des critiques.  Partir même, si notre cœur nous le dit. Libre de jouir de notre vie, Si tel est notre désire le plus intime. 
- Amour et vie
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alexar60 · 4 months
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Silence
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Silence
« Donne-moi une chance de te reconquérir. »
« Je ferai tout pour continuer à te séduire. »
Les phrases viennent, mais restent vides de sens.
Car l’amour a  perdu toute son essence.
Et moi, je reste bêtement assis
A regarder nos ombres sur le mur
Figées par notre avenir indécis.
Quant à toi, tu es déjà partie,
Après avoir effacé le futur
Que notre passé avait écrit.
« Donne-moi une chance de te reconquérir. »
« Seul, je ne vais pas pouvoir m’en sortir.»
Les mots ne sortent pas, je reste muet.
Comme la rose, notre amour est fané.
Et moi, je pleure pour nos ombres
Qui ne s’étreindront jamais plus,
Dès qu’arrive la pénombre.
Quant à toi, tu as raison de rompre
Car nous ne nous aimons plus
Malgré l’impression que tout s’effondre.
« Donne-moi une chance de te reconquérir. »
« Je ferai tout pour continuer à te séduire. »
Je détourne les yeux et préfère ne rien dire.
Alors tu pars, en me laissant un dernier sourire.
Alex@r60 – janvier 2024
Photo par Andropang
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praline1968 · 7 months
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Encore un jour,
Encore une heure,
Encore une larme de douleur…
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simerveilleuxnuages · 3 months
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PROLOGUE D'UN LIVRE DONT IL NE PARAITRA QUE LES EXTRAITS CI-APRÈS.
J'ai perdu ma vie, et je sais bien Que tout blâme sur moi s'en va fondre ; A cela je ne puis que répondre Que je suis vraiment né Saturnien. Paul Verlaine, Parallèlement, 1889.
( La dernière strophe du Prologue place le recueil sous le signe de la mélancolie, qui étreint l'âme de Verlaine )
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maenaru · 6 months
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je me lève le matin
une café dans ma main
et c’est ben gris dehors
je lis les nouvelles
ça m’énerve
toujours la fin du monde
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oviri7 · 6 months
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« Quand la bile noire est froide, l'esprit du mélancolique devient « émoussé et obtus ». L'indolence et la pâleur de Saturne s'abattent sur lui. Il perd soudainement la faculté de voir. Comme si quelqu'un avait actionné quelque interrupteur gigantesque, la lumière déserte le monde visible. Tout ce qu'il contemple est fixe, livide, spectral: vide comme l'enveloppe d'un coquillage ou une maison brûlée de l'intérieur. Le monde est opaque, immobile, funèbre, terriblement silencieux: comme si personne n'avait jamais risqué un mouvement, jamais éclaté de rire, n'avait jamais connu le moindre instant de joie ou de tension. La vie s'est immobilisée. Le ciel pèse comme la pierre d'un sépulcre. Tout devient irréel : des ombres et des silhouettes hasardent des gestes factices, sur un fond qui sent le décor de carton et de plâtre d'un horrible avant-spectacle de banlieue, sous un éclairage lunaire. Alors, le mélancolique perd tout désir de vivre. Il est apathique, indifférent à tout, abattu: la dernière étincelle s'est éteinte dans son âme obnubilée. Rien de ce qui attire les autres ne lui plaît; tout ce qu'ils aiment l'emplit d'ennui; et le printemps lui pèse comme l'automne, l'hiver et l'été semblent pareils à ses yeux. S'il lit un livre, il ne parvient pas à fixer ses regards sur la page: les lettres ne forment plus de mots, les mots n'évoquent plus d'images, les images ne défilent plus devant ses yeux. Il lit sans participer, sans comprendre, sans éprouver de joie, sans que s'allume en lui cette lumière intérieure qui lui assure qu'il a compris. Les cieux ouverts, les allées bordées d'arbres, la joie des mers et des fleuves ne l'attirent plus. Il reste enfermé chez lui, assis dans son fauteuil, sans rien faire, sans penser à rien d'autre qu'à son interminable maladie, environné d'une ombre qui s'étend continuellement, au milieu des fantômes du jour, des cauchemars de la nuit, de sommeils toujours plus tourmentés. Il connaît à chaque instant la morsure de l'ennui. Nul geste ne parvient à l'en débarrasser. Quand l'ennui se déchire, son cœur s'emplit de soupçons, de craintes, de terreurs innommables, insensées; son moi se transforme, se multiplie, devient un obscur ennemi qui l'attaque de tous les côtés à la fois; cet assaut ne connaît pas de répit; et le malheureux fond en larmes, tant l'ennemi semble inexorable et proche de la victoire. Chaque matin, devant son miroir, il est tenté de se trancher la gorge; s'il résiste à l'idée du suicide, c'est seulement parce qu'il est certain qu'après sa mort, il pénétrera dans un univers plus désolé encore. Il traverse le monde accompagné de cette ombre noire qu'il perçoit dans la saveur même de ce qu'il mange. Il ne parvient pas à s'aimer, il a l'impression que les autres le soupçonnent, le détestent ou préparent contre lui pièges et embûches. Parfois, un élan d'euphorique frivolité le pousse vers eux: il voudrait les serrer contre son cœur mort; plus souvent, il n'éprouve pour eux qu'une hostilité glacée, une amère rancoeur, et rit, dans leur dos, d'un rire amer. »
Pietro Citati - La lumière de la nuit
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babydoll-888 · 6 months
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marche-murmure · 3 days
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C'est la dernière fois que je parlerai de ça, parce qu'il faut bien à un moment refermer la boîte.
Et puis parce que je suis déjà bourré aussi 🤷‍♂️
Nous avions associé à notre relation, une playlist qui racontait chanson après chanson, les événements de notre amour.
Au début, il ne s'agissait que de croiser nos gouts et nos passions, de nous "présenter" musicalement l'un à l'autre. Nous nous parions de nos plus belles mélodies, que nous nous dévoilions à tour de rôle.
Rapidement nous avons découvert que nous partagions cette capacité commune, de conter nos vies en musique. Que pour chaque événement de nos existences, chaque proche, chaque parent, chaque moment de bonheur comme de malheur, nous avions rattaché une chanson. Il en fut de même pour notre histoire.
Comme beaucoup, j'ai dû, à bien des reprises, me travestir pour plaire, dissimuler mes tourments les plus profonds, taire mes craintes et cacher mes angoisses afin de ne pas paraître affaibli. Harnaché de la sévérité de mon visage et la largeur de mes épaules, on ne m'avait, de toute façon, jamais vraiment prêté d'émotions. Pas avec elle. Et notamment, je n'avais pas à cacher les musiques qui me définissaient vraiment. J'ai pu déverser au creux de son âme toute la noirceur de ma mélancolie et de mes pensées obscures qu'elle semblait absorber comme une éponge avide. Plus encore, pour chaque chanson, chargée de sens, elle a laissé son empreinte, modifiant leurs significations originales pour les imprégner du sceau de notre amour.
"Nettoyer ton passé à l'encre de notre future"
C'est ainsi qu'elle l'a formulé.
Et elle y tenait fermement.
On vous a déjà écrit ça à vous sans déconner ? Vous l'imaginez, se présentant comme l'autre moitié de votre âme, jurant de sanctifier chaque instant musical de votre existence ?
Le piège était évident, pas vrai ?
Dire ça, c'est comme débouler sur un tapis volant cousu d'un drapeau rouge.
Les chansons sont tout un tas de choses, et notamment des refuges ! Elles sont autant de réceptacles où je disperse des petits morceaux de mon âme. Je les laisse là pour ne pas oublier, pour grandir, évoluer et me soigner au besoin. Quand je suis peiné et que j'ai à coucher mes maux en mots, j'écoute la musique qui correspond et je déroule. C'est ma soupape, mon exutoire ; comme la majorité des personnes que j'ai lu (et que j'adore lire) par ici. Ca ne s'efface pas tout ça. Surtout ça ne se remplace pas avec quelqu'un. Quelqu'un qui pourra de facto accéder au tréfond de votre âme, à votre mémoire, comme on ouvre des tiroirs.
Alors, quand elle m'abimait, je restais, tétanisé :
"Bon et maintenant, maintenant que tu essayes de la quitter pour la Xème fois, tu fais comment ?
Où sont tes refuges ?
Où vas-tu te cacher pour que se referme tes plaies ?".
Et bien, je n'écrivais pas. Je n'écoutais pas. Je restais simplement là, étalé sur le sol, à souffrir comme une méduse échouée sur la plage, brûlant sous le soleil.
Cette foutue playlist, que j'avais moi même rempli de tous les sons qui me définissaient, qui racontaient des pans entiers de mon existence, elle les avait tous contaminé. Je n'avais plus de refuge, plus nul part où aller.
Et pour la première fois de mon existence, quand j'ai enfin trouvé la force et la raison de m'en aller définitivement, je l'ai fait dans un silence absolu, un douloureux silence.
Je commence à peine à reconquérir mes chansons.
[...]
Mais au fond, même si je fanfaronne, mon amour, mon âme, malgré ce que ma raison me commande de te haïr et de t'expurger de mon passé, chaque jour, chaque soir, je l'écoute encore.
L'ode de notre histoire.
Notre dernière chanson, les ruines de cette liste.
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