Tumgik
#jo hant
t-u-i-t-c · 1 year
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Grand in Green
↳ Engine Sentai Go-Onger - Hant Jō - Go-On Green
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doomednarrative · 1 year
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Anyways I think Hant should have also had charms on his phone like Saki does
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tokulilguysshowdown · 1 month
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kiss-my-freckle · 9 days
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More Elena get with Stefan more it show us Elena's decisions are screws, and Damon will love her even more (Elena is his ride to die) it's like Alaric who love Jo cause she make decisions who doom her. so Alaric's feelings for other womans are doomed cause he'll always be hanted with Jo's past mistakes, like Damon is hanted by Elena's decisions when she was with Stefan. Poor Damon and Alaric lol.
Damon has a hard time dealing with Elena choosing to self-sacrifice because it's not just the fact that he's in love with her. Imagine Stefan fighting to save Lexi's life, and you'll understand why Damon is so hell bent on Elena living. He knows what he is without her, and he doesn't wanna be that person. If Elena dies, Damon dies with her... that's the truth of him. That's why he nearly dies after Elena completes the ritual. Why he's nearly dying at Alaric's hands while she's drowning. She's just as much his life as he is hers.
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askrikkaiandhyotei · 2 years
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dixvinsblog · 1 year
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Jo Cassen - Ode à l’Altérité
Moi, l’incrédule, un tantinet pantois,Naïf, je refusais la malencontre,De tout j’avais pesé le pour, le contre,Je vous croyais solidaire et courtois.Je ne sais plus ; grande est mon hébétude,Je vois la laideur et la turpitude,L’égoïsme hante votre seul projet,Même votre éloquence volubileSigne sans fard un mesquin hors-sujet ;Votre faute est majeure, indélébile.Rien ne germe sans le respect…
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leechan1018 · 6 years
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traitor-for-hire · 5 years
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Le P.C. et le B.P.
Le printemps venu, de nouveaux loisirs devinrent à la mode, et les journées plus longues offrirent de longs après-midi pour le travail, ou pour des jeux de toutes sortes. Le jardin devait être remis en ordre, et chaque sœur avait à sa disposition un quart de la petite parcelle pour y faire ce qui lui chantait. Hannah avait coutume de dire, « Je saurais à qui est chaque jardin, même si je les voyais en Chine » ; ce qui aurait bien été possible, car les goûts des filles étaient aussi différents que l'étaient leurs caractères. Meg avait dans sa parcelle des roses, de l'héliotrope, du myrte et un petit oranger. Le lopin de Jo n'était jamais le même d'une année sur l'autre, car elle était toujours en train de faire des expériences ; cette année ce serait une plantation de tournesols, plante gaie et ambitieuse dont les graines nourriraient « Tante Cot-Cot » et sa famille. Beth avait dans son jardin des fleurs odorantes et désuètes ; pois de senteur et réséda, pieds d'alouette, œillets, pensées, et de la citronnelle, ainsi que du mouron pour son oiseau et de l'herbe à chats pour les minets. Amy avait un pandoréa jasmin - plutôt petit et truffé de perce-oreilles, mais très joli à regarder - ainsi que du chèvrefeuille et des belles-de-jour qui laissaient pendre leurs cornes et leurs corolles colorées en arabesques gracieuses ; de grands lys blancs, des fougères délicates, et le plus grand nombre possible de fleurs éclatantes et pittoresques qui consentaient à éclore dans son jardin.
Jardinage, promenades, canotage sur la rivière, et cueillette de fleurs occupaient les belles journées ; et pour les jours pluvieux, elles avaient des jeux à la maison -certains anciens, d'autres nouveaux - tous plus ou moins originaux. L'un de ces jeux était le « P.C. », car, les sociétés secrètes étant à la mode, il était considéré de bon ton d'en avoir une ; et, comme toutes les filles admiraient Dickens, elle se nommèrent le Pickwick Club. En dépit de quelques interruptions, elles y jouaient depuis maintenant un an, et se réunissaient chaque samedi dans le grand grenier. En ces occasions, les cérémonies se déroulaient ainsi : Trois chaises étaient arrangées en rang devant une table, sur laquelle se trouvait une lampe, ainsi que quatre bandeaux blancs sur lesquels se lisait, en quatre couleurs différentes, « P.C. », et le journal hebdomadaire, le « Pickwick Portfolio», auquel toutes contribuaient à leur façon. Jo, qui adorait les plumes et l'encre, en était l'éditeur. À sept heures du soir, les quatre membres montaient dans la salle du club, nouaient leur bandeau autour de leur tête, et prenaient place solennellement. Meg, en tant qu'aînée, était Samuel Picwick ; Jo, vu ses tendances littéraires, Augustus Snodgrass ; Beth, pour sa rondeur et ses joues roses, était Tracy Tupman ; et Amy, qui essayait toujours de faire ce qu'elle ne pouvait pas faire, était Nathaniel Winkle. Pickwick, le Président, lisait le journal, qui était plein d'histoires originales, de poèmes, de nouvelles locales, réclames amusantes, et de suggestions, dans lesquelles elles se rappelaient les unes les autres leurs défauts avec bonne humeur. En une occasion, Mr. Pickwick mit une paire de lunettes sans verre, tambourina sur la table, s'éclaircit la gorge, et, après avoir jeté un regard noir à Mr. Snodgrass, qui se balançait sur sa chaise, jusqu'à ce qu'il s'asseye proprement, commença à lire -
"The Pickwick Portfolio"
10 MAI 18-
Le Coin des Poètes
ODE ANNIVERSAIRE
Nous nous retrouvons avec solennité
et nos bandeaux, pour célébrer
Notre cinquante-deuxième anniversaire,
Ce soir à Pickwick Hall.
Nous sommes tous en parfaite santé,
La petite bande est au complet ;
Nous retrouvons chaque visage familier,
Et serrons chaque main avec amitié.
Nous le saluons avec révérence,
Fidèle au poste, notre Pickwick,
Tandis qu'il lit, lunettes sur le nez,
Notre gazette bien remplie.
Bien qu'il soit enrhumé,
Nous nous réjouissons de l'entendre,
Car toujours ses paroles sont sages
En dépit de son ton nasillard.
Du haut de son mètre quatre-vingt,
Avec une grâce peu banale,
Snodgrass éclaire la compagnie
De son visage brun et jovial.
Le feu poétique brille dans son œil
Il lutte contre sa destinée ;
L'ambition se lit son front,
Et il a une tache sur le nez !
Puis vient notre paisible Tupman,
Si rose, et rond et tendre,
Qui s'étouffe de rire aux bons mots,
Et en tombe de son siège.
Le petit Winkle est là aussi,
Guindé, chaque cheveu en place,
Un modèle de convenance,
Bien qu'il ne se lave pas la face.
L'année passée, nous nous réunissons encore
Pour plaisanter et rire et lire,
Et suivre la voie littéraire
Qui conduit à la gloire.
Longue et belle vie à notre journal,
Que notre club reste uni,
Et que l'avenir soit propice
À l'utile, au joyeux "P.C."
A. SNODGRASS
LE MARIAGE MASQUÉ
Un Conte Vénitien
Gondoles après gondoles glissaient jusqu'au perron de marbre, et laissaient leurs charges ravissantes gonfler la foule brillante qui emplissait les halls majestueux du Comte d'Adelon. Chevaliers et gentes dames, elfes et pages, moines et marchandes de fleurs, tous se mêlaient gaiement à la danse. De douces voix et de riches mélodies emplissaient l'air, ainsi en joie et en musique se déroulait la mascarade.
« Votre Altesse a-t-elle vu Lady Viola ce soir  ? » demanda un galant troubadour à la reine des fées à son bras. 
« Oui, n'est-elle pas charmante, mais si triste ! Et sa robe est bien choisie, car dans une semaine elle épouse le Comte Antonio, qu'elle déteste.
—  Ma foi je l'envie. Le voici venir, en atours de marié, si ce n'est pour son masque noir. Quand il l'enlèvera nous pourrons voir comment il regarde la jeune fille dont il ne peut gagner le cœur, bien que son père lui ait accordé sa main, répondit le troubadour.
—  L'on chuchote qu'elle aime le jeune artiste anglais qui hante son parvis, et que le vieux comte a éconduit, » dit la dame tandis qu'ils se joignaient à la danse.
Les réjouissances étaient à leur comble quand un prêtre apparut, et, attirant le jeune couple dans une alcôve tendue de velours pourpre, leur fit signe de s'agenouiller. Le silence tomba instantanément sur la joyeuse assemblée, et pas un son, hormis le gazouillis des fontaines ou le bruissement des orangers endormis dans le clair de lune, ne se fit entendre, lorsque parla le Comte d'Adelon :
« Mes seigneurs et gentes dames ; pardonnez la ruse par laquelle je vous ai réunis pour assister au mariage de ma fille. Mon père, veuillez officier. »
Tous les yeux se tournèrent vers la noce, et un murmure d'étonnement parcourut la foule, car ni la mariée ni le marié ne retirèrent leurs masques. Curiosité et interrogations emplissaient les cœurs, mais le respect lia toutes les langues jusqu'à la fin du rite sacré. Alors les spectateurs s'empressèrent autour du comte, demandant une explication.
« Je vous la procurerais volontiers si je le pouvais, mais je sais seulement que c'était le caprice de ma timide Viola, et je m'y suis plié. Maintenant, mes enfants, assez de cette mascarade. Démasquez-vous, et recevez ma bénédiction. »
Mais aucun des deux ne plia le genou ; car le jeune marié, alors que le masque tombait, révélant le noble visage de Ferdinand Devereux, l'artiste amoureux, et que s'appuyait sur sa poitrine, ornée maintenant de l'étoile d'un duc anglais, la charmante Viola, rayonnante de joie et de beauté, répondit sur un ton qui surprit toute l'audience :
« Mon Seigneur, avec mépris vous m'avez commandé de prétendre à votre fille quand je pourrais me targuer propriétaire d'un titre égal et d'une fortune aussi vaste que le Comte Antonio. Je peux faire mieux, car même votre âme ambitieuse ne peut refuser le Duc de Devereux et De Vere, quand il offre son ancien nom et sa richesse sans limite contre la main bien-aimée de cette gente dame, à présent ma femme. »
Le comte resta stupéfait, comme changé en pierre, et, se tournant vers la foule en délire, Ferdinand ajouta avec un gai sourire de triomphe, « À vous, mes galants amis, je ne peux que souhaiter que vos amours prospèrent aussi bien que les miens, et que vous trouviez femme aussi belle que celle que j'ai gagnée, par ce mariage masqué. »
S. PICKWICK
En quoi le P.C. est-il comme la Tour de Babel ? Il est plein de membres indisciplinés.
L'HISTOIRE D'UNE COURGE
Il était une fois un fermier qui planta une petite graine dans son jardin, et après un moment elle germa et devint une plante, porteuse de nombreuses courges. Un jour d'octobre, quand elles furent mûres, il en choisit une et la porta au marché. Un épicier l'acheta et la mit dans son magasin. Le même jour, une petite fille, avec un chapeau brun et une robe bleue, avec un visage rond et un nez retroussé, vint et l'acheta pour sa mère. Elle la porta jusqu'à la maison, la coupa, et la fit bouillir dans le grand pot ; en écrasa une partie, avec du sel et du beurre, pour dîner ; et au reste elle ajouta une pinte de lait, deux œufs, quatre cuillerées de sucre, de la muscade et quelques biscuits ; versa le tout dans un grand plat, et le fit cuire jusqu'à ce qu'il soit bien doré ; et le jour suivant ce plat fut mangé par la famille March.
T. TUPMAN
Mr. Pickwick, Sir,
Je m'adresse à vous au sujet du péché et du pécheur je veux dire il y a un homme nommé Winkle qui cause des problèmes dans son club en riant et parfois n'écrit pas sa part pour ce bon journal j'espère que vous lui pardonnerez sa mauvaise conduite et le laisserez envoyer une fable en français parce qu'il ne peut pas figurer quoi écrire parce qu'il a tant de leçons à apprendre et pas d'esprit à l'avenir j'essaierai de sauter sur location et de préparer un travail qui sera tout commy la fo* - ça veut dire très bien - je suis pressé il est bientôt l'heure de l'école
Respectablement vôtre, N. Winkle
[Ci-dessus une belle et virile reconnaissance d'incartades passées. Si notre jeune ami étudiait la ponctuation, ce serait très bien.]
UN TRISTE ACCIDENT
Vendredi dernier, nous fûmes alertés par un choc violent dans notre cave, suivi de cris de détresse. En nous précipitant comme un seul homme dans le cellier, nous découvrîmes notre Président prostré sur le sol, ayant glissé et étant tombé en allant chercher du bois à des fins domestiques. Une parfaite scène de désolation s'offrit à nos yeux ; car dans sa chute Mr. Pickwick avait plongé la tête et les épaules dans un baquet d'eau, renversé un bidon de savon liquide sur ses formes masculines, et vilainement déchiré ses vêtements. Une fois secouru de cette périlleuse situation, il apparut qu'il ne souffrait d'aucune blessure à l'exception de plusieurs bleus ; et, nous sommes heureux d'ajouter qu'il se porte maintenant bien.
ED
AVIS DE DISPARITION 
 Il est de notre pénible devoir de reporter la soudaine et mystérieuse disparition de notre chère amie, Mrs. Boule-de-Neige Pattounette. Cette chatte charmante et aimée était la chérie d'un cercle d'amis chaleureux et admirateurs ; car sa beauté attirait tous les yeux, ses qualités et ses vertus la rendaient chère à tous les cœurs, et sa perte affecte profondément la communauté toute entière.
Elle a été vue pour la dernière fois assise devant la porte, en train de surveiller le chariot du boucher ; et il est à craindre que quelque vilain, tenté par ses charmes, l'ait bassement volée. Les semaines ont passé, mais nulle trace d'elle n'a été découverte ; et nous abandonnons tout espoir, nouons un ruban noir à son panier, rangeons son assiette, et la pleurons comme perdue à jamais.
Un ami compatissant nous envoie la gemme suivante : 
LAMENTATION
POUR B.N. PATTOUNETTE
Nous pleurons la perte de notre petite chérie,
Et déplorons son triste destin,
Car plus jamais elle ne se tiendra près du feu
Ni ne jouera près de la porte verte.
La petite tombe où dort son enfant
Est près du châtaignier,
Mais sur sa tombe nous ne pouvons pleurer,
Nous ne savons pas où elle est
Son lit vide, sa balle immobile,
Plus jamais ne la reverront ;
Ni bruit de pattes, ni doux ronron,
Ne se font entendre à l'entrée du parloir
Une autre chatte chasse ses souris,
Son vilain museau d'un noir de suie,
Mais elle ne chasse pas comme notre chérie
Ni ne joue avec sa grâce aérienne.
Ses pattes discrètes parcourent le même hall
Où Boule-de-Neige souvent jouait,
Mais elle ne fait que cracher sur les chiens
Que notre chérie si vaillamment chassait
Elle est utile et docile, et fait de son mieux,
Mais n'est pas belle à voir ;
Et nous ne pouvons lui donner ta place, amour,
Ou l'adorer comme nous t'adorons.
A.S.
ANNONCES
MISS ORANTHY BLUGGAGE, l'oratrice accomplie à l'esprit fort, donnera sa fameuse conférence sur « LA FEMME ET SA POSITION, » à Pickwick Hall, samedi soir, après la séance habituelle.
UNE RÉUNION HEBDOMADAIRE se tiendra Place de la Cuisine, pour apprendre aux jeunes dames à cuisiner. Hannah Brown présidera, et tous sont conviés à y assister.
LA SOCIÉTÉ DE LA PELLE À POUSSIÈRE se réunira mercredi prochain, et paradera à l'étage du Club-House. Tous les membres doivent se présenter en uniforme et le balai sur l'épaule à neuf heures précises.
MRS. BETH BOUNCER présentera son nouvel assortiment de Chapellerie pour Poupées la semaine prochaine. Les dernières modes de Paris sont arrivées, et des commandes sont respectueusement sollicitées.
UNE NOUVELLE PIÈCE se jouera au Théâtre de la Grange, pour quelques semaines, qui surpassera tout ce qui a jamais été vu sur la scène américaine. « L'ESCLAVE GREC, ou Constantine le vengeur, » est le nom de ce drame passionnant !!!
SUGGESTIONS.
Si S.P. n'utilisait pas tant de savon pour se laver les mains, il ne serait pas toujours en retard pour le petit-déjeuner. Il est demandé à A.S. de ne pas siffler dans la rue. T.T. s'il vous plaît n'oubliez pas la serviette d'Amy. N.W. ne doit pas se tracasser parce que sa robe n'a pas neuf plis.
RAPPORT HEBDOMADAIRE
Meg - Bien
Jo - Mauvais
Beth - Très bien
Amy - Moyen
Quand le Président eut fini de lire le journal (qui est, je vous prie de me croire, une copie authentique d'un journal écrit par d'authentiques jeunes filles il y a bien longtemps), des applaudissements retentirent, et puis Mr. Snodgrass se leva pour faire une proposition.
« Monsieur le Président et gentlemen, » commença-t-il en adoptant une attitude et un ton parlementaire, « je souhaite proposer l'admission d'un nouveau membre ; quelqu'un de hautement méritant de cet honneur, qui en serait profondément reconnaissant, et ajouterait énormément à l'esprit du club, à la valeur littéraire de son journal, et serait infiniment gai et gentil. Je propose Mr. Theodore Laurence comme membre honoraire du P.C. Allez, prenons-le. »
Le changement de ton soudain de Jo fit rire les filles, mais elles avaient toutes l'air plutôt anxieuses, et aucune ne dit mot, tandis que Snodgrass se rasseyait.
« Nous allons mettre ce projet aux voix, dit le Président. Tous ceux en faveur de la motion sont priés de se manifester en disant "Oui." »
Un oui retentissant de Snodgrass, suivi, à la surprise de tout le monde, par un timide oui de Beth.
« Ceux qui s'y opposent disent "Non." »
Meg et Amy s'y opposaient ; et Mr. Winkle se leva pour dire, avec une grande élégance, « Nous ne souhaitons pas de garçons ; ils ne font que plaisanter et chahuter. C'est un club de dames, et nous voulons rester entre nous, et être convenables.
—  J'ai peur qu'il ne rie de notre journal, et se moque de nous après, » observa Pickwick, en tiraillant la petite boucle qui tombait sur son front, comme elle le faisait toujours quand elle se trouvait dans le doute.
Snodgrass bondit sur ses pieds, avec beaucoup de sérieux. « Sir ! Je vous donne ma parole de gentleman que Laurie ne fera rien de la sorte. Il aime écrire, et il donnera un ton à nos contributions, et nous empêchera de faire dans le sentimental, ne voyez-vous pas ? Nous pouvons faire si peu pour lui, je pense que le moins que nous puissions faire est de lui offrir une place ici, et bien l'accueillir, s'il vient. »
Cette ingénieuse allusion aux avantages conférés fit se lever Tupman, l'air bien décidé.
« Oui, nous devons le faire, même si nous avons peur. Je dis qu'il peut venir, et son grand-père aussi, s'il le veut. »
Cette tirade fougueuse de Beth électrifia le club, et Jo quitta son siège pour lui serrer la main avec approbation. « Maintenant, votons à nouveau. Souvenez-vous qu'il s'agit de notre Laurie, et dites "Oui" !
—  Oui ! Oui ! Oui ! répondirent trois voix en même temps.
—  Bien ! Soyez bénies ! Maintenant, comme il n'y a rien tel que "saisir location" ainsi que le fait remarquer Winkle, permettez-moi de vous présenter le nouveau membre, » et, au désarroi du reste du club, Jo ouvrit en grand la porte du placard, et découvrit Laurie assis sur un sac de chiffons, les joues rouges et les yeux brillants d'un rire réprimé.
« Canaille ! Traître ! Jo, comment as-tu pu ? » s'écrièrent les trois filles, tandis que Snodgrass faisait triomphalement avancer son ami, et, faisant apparaître une chaise et un bandeau, l'installait en un tour de main.
« Vous ne manquez pas de toupet, vous deux, » commença Meg en essayant d'afficher une moue réprobatrice, et ne réussissant qu'à produire un aimable sourire. Mais le nouveau membre se montra à la hauteur de la situation ; et, se levant avec un salut reconnaissant envers la Présidence, dit de la manière la plus engageante, « Monsieur le Président et mesdames - je vous demande pardon, gentlemen - permettez-moi de me présenter en tant que Sam Weller, le très humble serviteur du club.
—  Bien, bien ! » s'écria Jo en martelant le plancher avec le manche de la vieille bassinoire, sur laquelle elle s'appuyait.
« Mon fidèle ami et noble parrain, » poursuivit Laurie, avec un geste de la main, « qui m'a présenté de manière si flatteuse, n'est pas à blâmer pour le stratagème de ce soir. Je l'ai planifié, et elle n'a accepté qu'après bien des taquineries.
—  Allez, ne prends pas tout sur toi ; tu sais que j'ai proposé le placard, » intervint Snodgrass, qui s'amusait immensément de la plaisanterie.
« N'écoutez pas ce qu'elle dit. Je suis le seul coupable, sir, » dit le nouveau membre avec un hochement de tête Welleresque à l'intention de Pickwick. « Mais sur mon honneur, je ne le referai jamais, et me déwoue dorénavant aux intérêts de ce club immortel.
—  Bien parlé ! Bien parlé ! » s'écria Jon en faisant claquer le couvercle de la bassinoire comme une cymbale.
« Poursuivez, poursuivez ! » ajoutèrent Winkle et Tupman, tandis que le Président saluait avec bienveillance.
« Je souhaite seulement dire, qu'en gage de ma gratitude pour l'honneur qui m'est fait, et afin de promouvoir les relations amicales entre nations voisines, j'ai installé un bureau de poste dans la haie au fond du jardin ; un bel et grand édifice, aux portes cadenassées, et tout ce qu'il faut pour le courrier. C'est le vieux nichoir des hirondelles, mais j'ai bloqué la porte, et fait en sorte que le toit s'ouvre, pour qu'elle puisse contenir toutes sortes de choses et nous faire gagner un temps précieux. Lettres, manuscrits, livres et paquets peuvent y loger ; et, comme chaque nation a sa clef, ce sera extraordinairement agréable, je gage. Permettez-moi de vous présenter la clef du club ; et, avec bien des remerciements pour votre faveur, de prendre mon siège. »
Un tonnerre d'applaudissements retentit quand Mr. Weller déposa la petite clef sur la table, et se prolongea ; la bassinoire fit un tapage de tous les diables, et il s'écoula quelque temps avant que le calme ne revienne. Une longue discussion suivit, et toutes furent étonnamment ouvertes, car toutes firent de leur mieux ; aussi ce fut une réunion exceptionnellement agitée, qui ne se termina qu'à une heure tardive, sur trois hourras pour le nouveau membre.
Personne ne regretta jamais l'admission de Sam Weller, car aucun club n'aurait pu avoir de membre plus dévoué, mieux élevé et plus jovial. Il ajouta en effet de « l'esprit » aux réunions, et un « ton » au journal, car ses discours tordaient de rire son audience et ses contributions étaient excellentes, patriotiques, classiques, comiques, ou dramatiques, mais jamais sentimentales. Jo les estimait dignes de Bacon, Milton ou Shakespeare, et retravailla ses propres œuvres, avec de bons résultats, pensait-elle.
Le B.P. était une petite institution épatante, et prospéra merveilleusement, car il y passa presque autant de choses étranges que dans un vrai bureau de poste. Tragédies et écharpes, poésies et légumes marinés, graines et longues lettres, partitions et pain d'épices, gommes, invitations, remontrances et chiots. Le vieux gentleman s'en amusait lui-même en envoyant d'étranges paquets, de mystérieux messages et d'amusants télégrammes ; et son jardinier, qui était tombé sous le charme d'Hannah, envoya une lettre d'amour aux bons soins de Jo. Comme elles rirent quand le secret fut éventé, sans imaginer le nombre de lettres d'amour que ce petit bureau de poste abriterait dans les années à venir !
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t-u-i-t-c · 2 years
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You're My Important Partner→Hant Jō & Birca
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doomednarrative · 1 year
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ratkozahiri · 5 years
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31 tetor
Kur fliste me te linte cdo fjali pergjysme.
"Ke prere floket, dukesh.."
Dhe ndalonte. Sepse e dinte qe ajo ishte nje person qe shmanget, ne kuptimin e plote te fjales, sa dhe si te vinte rasti.
Keshtu qe cdo here qe u takonin perseri ai kishte nga tia niste perseri:
"Me dukesh mire, un.."
Te mos humbiste fijen e muhabetit, me sakte fijen ku ishin te varura gjithe pyetjet e lena pergjys nuk ishte e lehte, dhe ne shtepine e tij aq te rremujshme nje pyetje banale mund ti vonohej pergjigja vite te tera.
"Do te vish me m.."
Ate dite do ti kerkonte ta shoqeronte per ti mbajtur nje qeri shokeve te tyre, sepse restoranti ne fjale (ku ishin takuar shoket) ishte mjaft i erret.
Kur me ne fund arriti tia kerkonte, dy vite me vone, cifti i shokeve ishte perhumbur ne ndonje rruge, qyteti mund te jete vertet i madh per ata te cilet nuk kane nje sens te mire orientimi.
Ata dy kishin vetem masa pergjysme, ajo vishte nje 43.5 ndersa ai nje 38.5, ajo kthehej ne shtepi ne 5:30 ndersa ai dilte ne 8:30, ajo shihte goten gjys plot ndersa ai gjys bosh. Per ata nuk kishte te bardhe ose te zeze, por vetem shkalle tonalitetesh te ndryshme te gris se erret, mjaftueshem per ti terhequr diku.
Nuk do ishin kryqezuar as ne katastrofen me te madhe, duke mbajtur duart gjate trupit nga frika se i zenin hapesiren njeri tjetrit.
Nuk arriti as ne kohe ti thonte
"... ditelindjen."
Urimi i tij ne forme zemre u thye ne 1000 copa letrash, kur ne ato momente tek festa saj, e pa duke ndenjur me nje djale tjeter.
Kemi gjithmone pershtypjen se ka vite ku bie me shume shi dhe vite ku bie me pak, por qe statistikisht sasia e shiut e cdo viti perputhet me sasine e shiut qe do vazhdoj te bie. Keshtu qe kemi shi te shperndar me mire dhe shi te shperndar me keq.
Shoferi autobusit: "Ne kete rast ti ndihesh pak a shum si nje re, i bindur se ke te gjithe shiun brenda, por ne fakt je nje cader, rri ne shtepi kur eshte dite e bukur dhe del kur bie shi.. ne pritje te rese tende te shiut.
"Do jete prej kesaj qe jam gjithmone i ftohur"
"Si me fal?"
"Jo asgje"
"Degjo, jam e lodhur me keto fjali te lena pergjys, ne qofte se do te rrish me mua thjesht jepi drejtim, te pakten deri ne fund te rruges."
Darken pas, u takuan me qiriun ne dore bashke me shoket e tyre, te cilet nderkohe ishin rigjetur ne rruge.
"Qe kur te njoh.."
"Prit, ma thuaj me qiriun fikur.."
"fff.."
"Do te jesh gjysma ime, e gjysmes, molles?"
La aq shume fjali pergjysme, aq sa te harronte si behej analiza e kohes, aq sa qe ishte mesuar te bente gjithcka deri ne gjysme, te hante gjysme dreke, te flente gjysmen e nates, punonte gjysmen e dites.. dmth, ndihej i plote vetem kur i mungonte nje pjese.
Kur qiriu u rindez, kishin kaluar 10 vite. Dhe ne vend te restorantit i cili falimentoj per shkak te ndricimit te dobet, kishin hapur nje dyqan antikuariati plote me drita, drita te cilat mbanin dicka peng brenda tyre.
Ndoshta..
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zoti-arush · 5 years
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Jo se me intereson shumm pamja por nuk jam shum e sigurtt.Tani qe fillon dhe universiteti do jemi ne dy universitete te ndryshme dhe nuk edi tja jap fjalen apo jo ..Ai me thot qe do vij te takoj ..Nuk arrij ta kptj nese me do vertet apo eshte thjesht fiksuar me mua..Give me a opinion what should i do? ☹️
Nqs sje e sigurt, esht nji sign qe nuk je in love with him forever dhe nuk ja vlen. Por ky esht thjesht mendimi im.
Nqs do e doje as qe do ta hante kari te me pyesi mua.
Po ti po me pyet mua per mendim, nderkoh qe thell thell do vetem aprovim nga dikush,qe ajo qe do te besh nuk esht e gabuar.
Nqs nuk je in love, me mir ndahuni. Ose jepi nji shanc nja nji vit dhe pastaj shif e bej.
Nuk dua tju ndaj. Thjesht ti nuk e meriton ate cunin nqs je duke me kerkuar mendim mua per ate dhe turp te te vij.
Bej shaka, nuk ka gje per turp, asnji nuk lind i ditur. Tu bere mir qe pyete. Esht me mir kur meson nga gabimet e t tjerve.
Po ajo qe perpiqem te them esht qe, mendimi im nuk ka rendesi dhe ca situata duhet ti zgjidhesh with your gut feeling.
Kshu qe shif e bej, ne dac leri pak koh dhe shif if it works.
But sot nuk esht edhe aq e leht te gjesh njerez qe te duan me gjith shpirt, dhe kam frik mos po ben gabim ngaqe thjesht nuk di ta vlersosh ate qe ke.
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Doramák, amiket láttam - Let Me Introduce Her 2018.
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Ji Eun-Han / Nam Sang-Mi / férjhez ment egy híres tv bemondóhoz, Kang Chan-Ki-hez / Jo Hyun-Jae /, aki kívülről mutatja a szépet, de közben éveken keresztül bántalmazta Eun-Hant. Olyan szinten, hogy képes volt a gyerekükkel zsarolni, hogy vele maradjon - persze nem maradt, hanem elszökött és hátrahagyta a lányát, egy olyan telefonnal, ami bizonyítékot tartalmazott a bántalmazásáról. A szökésnek hála megismerkedett egy plasztikai sebésszel Han Kang-Woo-val / Kim Jae-Won /. Megmentette az életét, így az megműtötte őt, viszont a műtét következtében elveszítette az emlékezetét.
Kang-Woo segített neki mindenben, együtt is éltek, és melót szerzett neki Chan-Kiéknél. És szép lassan kezdtek visszatérni az emlékei. Megtalálta a telefont, amit a lánya elrejtett. A lányukat a férje szépen elküldte messzire, így csak az emlékei visszatérte után döbbent rá, hogy van lánya. 
Közben Chan-Ki csalta őt a komornyikkal, Jung Soo-Jin-nal / Han Eun-Jung / a némbernek Eun-Han helyére fájt a foga és mindent megtett, hogy megszerezze. 
Az emlékek visszatértekor a lányuk visszatért a házba, persze Chan-Ki sakkban tartotta a feleségét, viszont Kang-Woonak hála, sikerült lebuktatni őt, és mindenki megtudta, hogy milyen rohadék a férfi. Az anyja, Soo-Jin is elpártolt tőle. Soo-Jin börtönbe került, Chan-Ki felmondott a videó kikerülése után.
Eun-Han és Kang-Woo összejöttek, a gyerekeik is jó barátok lettek, és Kang-Woo megkérte Eun-Han kezét, persze igent mondott :P Am igen, van egy fia a férfinak, amit még a volt barátnője eltitkolt előle, és férjhez ment egy gazdag külföldihez, azonban elvált tőle, és most újra akarta kezdeni Kang-Wooval. Persze nem jött össze a dolog. Így lelépett a nő.
10/3
Nem újranézős! Vmi szörnyű volt... 40 részen keresztül húzták a dolgot... Kár volt.
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dialect-warrior · 7 years
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My German teacher said that nobody speaks in dialect anymore, so my friend from Salzburg wrote her a letter
“Grias eana got, frau professa!
Se homand jo letztnsch gsog, das d leit in Östarreich koan dialekt renan, owa i muas eana gounz eali sochn, das se scho oan homan. D’Deitschn vasteans deacht iwahaup nid, wei frei vü wörta in deitsch goa nid existian. D’Boan hant d’oanzign de aweng wos vasteanan owa dia keschn eh nid zu Deitschlond dazua. Ondaraseits neman se a koa Mitvagongenheit hea, sonan nua d’Vagongenheit. Ba da sproch untascheidn se mea sochn ois se vlt denkn daratn un es is nid grod leicht se zan vastea. Nua womma deitsch ko, hoasds iwahaup nid das ma a dialekt ko. Gounz söjtn bleib a Wuat gleich wia im Deitschn. Vo d enoamen Kultuauntaschiede wü i goa nid ofonga. Betonung is a frei gschead monchmoi un ma woas oft non nid so genau obs a regl gib oda s oafoch so gmocht weascht. In Östarreich red ma in jem deafi un in jem uat onaschta und ma vastead monchmoi d'leit nid, de 5-min vo eam entfernt wohnan. Frei gstöscht wonnsch doriwa nochdenksch. I hoff i ho eana wos neichs gsog un se hom aweng an spaß ghob.
Liawa griass! [their name]”
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b-medical · 3 years
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Të gjithë në që jemi me peshë tepër në trupin tonë na ndodh të bërtasim nga brenda: "Unë dua të ha çfarë të dua, kur të dua!" Kjo na duket si liri, apo jo? Kufizime absolutisht zero. Fatkeqësisht, kjo mënyrë e të menduarit është gabim. Realiteti është që struktura krijon liri. Për shembull, kur jeni duke u ngjitur në Dajt me teleferik, ka lëkundje, fryn shumë erë dhe mund të duket e frikshme! Si përdorues i teleferikut, ndiheni mirënjohës për strukturën e kabinës, kavot dhe elementë të tjerë që ju mbajnë të sigurt. Dhe ka një pasojë të parashikueshme nëse mendoni të vareni jashtë kabinës ... Kjo është SHUMË e ngjashme me atë kur po përpiqeni të bëheni të shëndetshëm, por këtë e doni 'pa kufij’ ose ‘pa rregulla’. Ka disa parime që nuk mund t'i shkurtoni ose injoroni nëse doni të arrini një shëndet të vërtetë dhe afatgjatë. Një nga ato parime është shëndeti i zorrëve - shëndeti juaj i zorrëve është tepër i rëndësishëm! Shumë çështje, përfshirë rifitimin e peshës pas një dietë ekstreme, energjinë e ulët, pafuqinë dhe inflamacionin kronik, të gjitha lidhen me shëndetin e zorrëve tuaja. Ju vetëm mund të injoroni shëndetin e zorrëve për kaq shumë kohë, deri sa të përjetoni një pasojë. Për shembull, ju e dini që një ushqim i caktuar ju bën të ndiheni të keq, megjithatë vazhdoni ta hani atë ... zakon që përfundimisht do të shkaktojë probleme! Një nga kushuri i imi ka gjithmonë probleme me patate të skuqura. Por patatet e skuqura janë pjata e tij e preferuar! Kështu ai vazhdoi t’i hante derisa më në fund kuptoi se ata ishin pjesë e problemit që e pengonte atë të lëshonte peshë. Ai hoqi patatet e skuqura për gati 2 javë dhe tani është 3 kg më pak. Për të, "kufiri" i patateve të skuqura nuk i sjell asaj lirinë sepse tani ajo është në rrugën e saj drejt peshës së tij të synuar. Struktura dhe liria shkojnë paralelisht. Dr Ilir Allkja Themelues i Kabinetit Mjekësor B-Medical 0682014042 (at Kompleksi Delijorgji) https://www.instagram.com/p/CTKeuKqMkNA/?utm_medium=tumblr
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