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#la perte de sentiments est-elle irréversible
assogba · 2 years
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EST-IL TOUJOURS POSSIBLE DE RECONQUÉRIR SON EX
EST-IL TOUJOURS POSSIBLE DE RECONQUÉRIR SON EX EST-IL TOUJOURS POSSIBLE DE RECONQUÉRIR SON EX ?Est-il Toujours possible de reconquérir son ex. Dominer votre vie au lieu de la subir. Faire revenir son amoureux parti pour cause d’infidélité ou pour d’autres raisons diverses. Vous Rencontrer de soucis au Sein de Votre Couple. Faite Appel au Service Du Grand Marabout ROI ASSOGBAVous êtes…
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mediumbabavigan · 5 days
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Perte de sentiments amoureux du jour au lendemain. / La perte de sentiments est elle irréversible - Faire revenir les sentiments de sa femme ou son homme. Il dit ne plus avoir de sentiments.
La Perte de Sentiments est-elle Irréversible ? Comment Medium Baba Vigan Peut Aider à Réparer une Relation. Les relations amoureuses sont souvent comparées à un voyage : elles connaissent des hauts et des bas, des moments de passion intense et des périodes de calme relatif. Toutefois, l’une des situations les plus déstabilisantes dans une relation est la perte de sentiments. Cette érosion…
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maraboutamour · 2 years
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COMMENT RENOUER AVEC L’AMOUR DE SON EX ?; PUISSANT RITUEL DE RECONQUETE AMOUREUX
COMMENT RENOUER AVEC L’AMOUR DE SON EX ?; PUISSANT RITUEL DE RECONQUETE AMOUREUX
RUPTURE AMOUREUX; COMMENT RETROUVER L’AMOUR PERDU RUPTURE AMOUREUX; COMMENT RETROUVER L’AMOUR PERDU Les ruptures sont des périodes de grands changements, au cours desquels on peut facilement se sentir désorientée, ne plus savoir ce qu’on aime et de quoi on a envie.Une rupture, ce n’est jamais facile. Mais ça devient encore plus compliqué lorsqu’on souhaite reconquérir son ex. Beaucoup de…
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reseau-actu · 5 years
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Médecin chef du Pôle Autonomie Handicap du CHU de Besançon, ex-Président de l’Observatoire National de la Fin de Vie et membre du Comité Consultatif National d’Ethique (CCNE), Régis Aubry prône une approche de l’éthique en continu plutôt que de tout consacrer par la loi. Le questionnement et le doute à chaque fois plutôt que la norme universelle. Alors qu’une grande loi de bioéthique est actuellement en débat à l’Assemblée Nationale, on a fait le point avec lui sur le rapport des Français à ces questions pour aujourd’hui et pour demain.
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Usbek & Rica : Pouvez-vous déjà nous rappeler d’où vient l’idée du Comité Consultatif National d’Ethique (CCNE) ? Comment est né cet organisme ?
Régis Aubry : À la suite du premier bébé né par fécondation in vitro (FIV), en 1982, les Assises Nationales de la Recherche ont posé le besoin d’avoir des réflexions éthiques encadrant les évolutions de la science. Le CCNE a été créé en 1983, sur demande de François Mitterrand pour qu’on ait une instance qui permette d’analyser les enjeux éthiques, les avancées techniques et scientifiques de la médecine. Mitterrand a eu la prescience que l’on pouvait être dépassé par ce qu’on génère comme innovations et se méfiait de l’idée que toute nouveauté représenterait un progrès. Le CCNE, aujourd’hui encore, est le garant de cette philosophie : ça n’est pas parce qu’on sait et qu’on peut faire quelque chose qu’on doit le faire… Le plus dur, pour des scientifiques, est de décider de « ne pas » faire, mais c’est parfois nécessaire.
Une grande loi de bioéthique est actuellement en débat à l’Assemblée, mais on n’entend pour l’instant parler que de l’ouverture de la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules. Que vous inspire ce décalage ?
Ça traduit que nous avons un problème avec la réalité complexe. Politiquement, la tendance à tout simplifier, ça s’appelle le populisme. Ici, on voudrait des réponses simples à des questions complexes, ce qui n’est pas sain. Donc on se focalise davantage sur le début et la fin de la vie, car ce sont des points de repères pour tous. En revanche, tout ce qui concerne les neurosciences, le génome, l’intelligence artificielle, l’influence du climat sur la santé - y compris sur les problèmes de fertilité -, tout cela on l’évacue du débat. C’est très dommageable car ces enjeux ont une densité éthique que nous ne voyons pas par déficit de dialogue et d’information… Et nous laissons les gens s’engouffrer sur un mode partisan et binaire dans des sujets où le doute doit primer. On pourrait même en arriver à un référendum « pour ou contre la PMA » quand l’éthique appelle toujours de la vigilance, de la veille, de l’attention… Au lieu d’avoir une vision immédiate et figée, le regard éthique devrait nous faire réfléchir à ce sur quoi peut déboucher une telle évolution : les dangers, les évolutions, etc. Je regrette le niveau du débat sur cette loi, qui est assez manichéen et rétrécit le questionnement alors que le questionnement, c’est l’avenir de l’homme.
Un des points un peu plus complexe du nouveau texte de loi concernait la PMA post mortem. L’amendement en question a finalement été rejeté. Quelle est votre position sur ce point ?
La question que cela pose est la suivante : « Jusqu’ou veut-on que la loi s’immisce dans de la vie privée ? ». Pour moi, il y a une part légitime dans cette demande de PMA post-mortem. Prenez un couple qui a eu un projet parental et où l’homme décède du fait d’une maladie : faut-il abandonner le projet pour autant ? Le CCNE était favorable à autoriser les médecins à justifier une demande. Mais ça ne passe pas forcément par une modification de la loi. Nous devons être capables de sortir du normatif et d’envisager les choses au cas par cas.
« Nos sociétés souffrent de notre rapport trop déférent à la norme. Il faut séparer les grands principes qui doivent être sanctuarisés dans la Constitution - inviolabilité du corps humain, non- marchandisation du corps – de la réponse à l’inédit, à l’exceptionnel »
Le médecin devrait pouvoir, s’il est transparent sur les arguments qui le poussent à transgresser le cadre usuel et que ses arguments sont le fruit d’un processus délibératif, pratiquer une PMA post mortem qu’il saurait justifier. La démarche éthique se frotte à notre positionnement face aux limites. Dans une situation exceptionnelle, il doit y avoir une pluralité de réponses et de personnes qui décident. Nos sociétés souffrent de notre rapport trop déférent à la norme. Il faut séparer les grands principes qui doivent être sanctuarisés dans la Constitution - inviolabilité du corps humain, non marchandisation du corps, respect de l’autonomie de la personne – de la réponse à l’inédit, à l’exceptionnel. Pour la singularité, cela relève de l’intelligence, de l’action en transparence et de la décision collective.
Il y a peu, en Inde, une femme de 73 ans a mis au monde des jumeaux par FIV. Quand d’autres pays se posent aussi peu les questions relatives aux bornes biologiques, notre cadre normatif peut-il tenir ?
Ne faut-il pas renverser la question que vous posez ? Dans un monde autant obnubilé par la performance économique, n’est-ce pas irrespectueux de ne pas aider davantage les gens à faire des enfants pendant la période classique de fertilité ? Avant d’aider la science, l’urgence n’est-elle pas de repenser notre rapport à la vie en société, au travail ?  Congeler ses gamètes dans le but de mener sa carrière professionnelle à bien a quelque chose de choquant. Quand je dis cela, cela ne signifie pas que les femmes n’y aient pas droit, au contraire, eu égard à la très grande inégalité avec les hommes à laquelle elles font face en ce qui concerne l’âge de la fertilité. Mais encore une fois, ça n’est pas du ressort de la loi.
youtube
  L’autre volet de la nouvelle loi éthique concernait les recherches sur les embryons, les cellules souches. Les débats sont en cours mais on a l’impression que l’interdiction des recherches a la faveur de nombre de voix. Vous comprenez la logique du principe de précaution sur un tel sujet ?
Il faut faire un retour en arrière, dans les années 1980, pour comprendre d’où nous parlons. À l’époque, la liberté de recherche était absolue, sans doute trop, et il y a eu - peu de gens le savent - des cas de GPA en France. Affolé par les avancées scientifiques, le politique a décidé de tout geler et d’appliquer un principe de précaution extrême, sans nuance. Or, cela a poussé à une perte du rayonnement de la dimension intellectuelle française. L’impertinence intellectuelle française est pertinente : il n’y a pas de vérité intangible. On n’arrêtera pas l’évolution de la science et de la technique : il faut l’accompagner au mieux et accepter l’incertitude comme centrale en matière éthique. Hélas, on balaye le doute, on veut du rationnel et du sécuritaire, de « l’algorithmable »... Et du coup, on se limite. Je crois qu’aucune recherche ne doit être interdite à partir du moment où les buts sont clairs et transparents et que les moyens sont justifiés. La peur du mésusage du droit nous amène à restreindre ce droit. Dommage.
Dans un monde aussi interdépendant que le nôtre, peut-on laisser des scientifiques chinois faire naître des bébés génétiquement modifiés sans réagir ou sans « rejoindre » ce mouvement ?
Je suis très embarrassé pour vous répondre. Précisément pour les raisons évoquées avant, mais dans le sens inverse. Le mésusage que l’on peut faire de la manipulation du génome et de l’ADN est capable de transformer de façon fondamentale et irréversible l’homme et le vivant. Ça va relancer le mythe de l’immortalité et de l’homme parfait. Ces recherches posent la question de notre rapport à la finitude et à la différence. Ce que je lis dans les recherches du séquençage du génome, c’est la possibilité d’imaginer que la norme génétique serait une source d’équilibre alors qu’en réalité les différences sont une richesse. Et je pourrais prolonger cette réflexion au delà de la science…
« Peut-on continuer à avoir des systèmes de santé qui n’accompagnent pas les maux qu’ils génèrent ? Je ne le crois pas »
C’est-à-dire ?
La quête de la norme nous conduit à notre perte, et il paraît fondamental d’aborder la question sous cet angle. À force de vouloir éviter la réalité de la différence génétique et d’amener la science sur le rapport à la normativité, on en oublie de voir nos propres dérives. Prenez un exemple qui fait consensus : les fabuleuses avancées de la médecine en matière d’oncologie. On guérit désormais près de la moitié des cancers. Mais – car il y a un mais dont on ne parle pas - : on meurt toujours et on meurt souvent mal, après de très graves souffrances. Pire, on peut vivre longtemps avec une maladie grave qui ne guérit pas et souffrir au point que certains préfèrent mourir que de continuer à vivre avec cette maladie… Est-ce un progrès ? Je vois des patients en fin de vie développer un sentiment d’indignité tel qu’ils veulent cesser de vivre… Aujourd’hui, nous ne sommes pas capables d’accompagner les dommages qu’on a produit : du handicap, du mal de sens, des souffrances intolérables. Peut-on continuer à avoir des systèmes de santé qui n’accompagnent pas les maux qu’ils génèrent ? Je ne le crois pas.
Après, pour répondre à votre question originelle, je crois vraiment que les enfants nés par CRISPR relèvent d’une démarche d’apprenti-sorcier. Et j’y oppose une interrogation : n’y a-t-il pas là matière à introduire une notion essentielle consistant à ne pas faire quand faire est plus délétère que ne pas faire ? Je reprends mon exemple sur la fin de vie : pourquoi aller vers des états de survie qui ne sont pas, a priori, souhaités par les patients eux-mêmes ? Il faut mettre le droit positif à ne pas faire en miroir à cette science magique. Encore et toujours, refuser les versions référendaires de la science et leur préférer une version réflexive.
  SUR LE MÊME SUJET :
> Les premiers bébés CRISPR auraient été accidentellement « augmentés »
> PMA : Quand le sage montre les périls de l’infertilité, l’imbécile regarde les lesbiennes
> PMA et GPA au quotidien : « Je ne suis pas là pour dire ce qui est bien ou non »
> CRISPR : le ciseau génétique provoque des centaines de mutations incontrôlées
>  Sur la piste du bébé génétiquement parfait
> « Imprimer un humain complet sera sans doute possible un jour »
> Qui a peur des bébés génétiquement modifiés ?
> La bioéthique est-elle (déjà) dépassée par les innovations technoscientifiques ?
> Etats généraux de la bioéthique : « besoin d'humanité » et rejet du transhumanisme
Image à la une : Régis Aubry (DR)  
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christophe76460 · 2 years
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*** PENSÉE DU MOMENT***
" Le cancer du rejet"
Certains pourrais trouver ce mot " cancer " trop violent ? Et pourtant le sentiment du rejet qu'il soit réel ou supposé fini par agir dans le temps, au fond de chaque être humain, comme un virus qui vampirise l'assurance que Dieu nous donne, la joie de vivre, l'identité en Christ, son appel ( pour ceux et celles qui exercent un ministère) pour mettre à la place, tristesse, désir de vengeance, prostration et la perte de cette capacité que nous avons à pardonner avec l'aide du St Esprit, pour à nouveau nous projeter dans l'avenir.
Dieu nous dit qu'il donne l'espérance, car IL a des projets de paix et non de malheur pour nous ( Jérémie 29:11)
C'est une promesse indéniable, mais qui parfois est retardée à cause de l'homme et de sa capacité à détruire par des paroles assassines, des jugements de valeurs, des interprétations fallacieuses des bonnes intentions dans diverses situations vécues.
L'homme est l'homme, c'est pourquoi il tant à rejeter ce qu'il ne comprends pas où ne veut pas comprendre, soit par :
- paresse intellectuelle et spirituelle
- désir de domination et de manipulation
- imposer un système de pensées ou de fonctionnement.
- refus de prendre le temps de comprendre l'autre dans ce qu'il vit et ses choix qui en découlent
Pour certaines personnes, le rejet peut provoquer une image de soi dégradée, jusqu'à avoir le sentiment que leurs existences piégées par ce " cancer " n’est plus légitime.
Pour d'autres, elles compensent cette blessure du rejet , en faisant preuvent de perfectionnisme, d’esprit de compétition, d’agressivité, de jugements sévères à l’égard des autres, d’hyperactivité, etc...
D’autres abandonnent et baissent les bras pour finir par tomber dans toutes sortes d'addictions.
Si vous souffrez du rejet, sachez que Jésus en a souffert aussi, et qu’il vous comprend. Tant d'hommes dans la bible aussi bien dans AT que dans le NT, ont subis le rejet. Jésus a subi la honte, nu sur cette croix, IL est devenu péché pour nous. C'est pourquoi, Dieu a détourné ses regards de son Fils unique qui a écrié : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné » (Matthieu 27 :46). Maintenant Christ est vivant ! Sa résurrection a marquée la défaite définitive et irréversible du diable.
Le Seigneur Jésus te comprends, il n'est pas venu pour te juger mais pour te sauver , te restaurer dans sa toute puissance, son amour et sa compassion.
LE DÉFI EST ÉNORME pour chercher à agir selon la parole de Dieu. Car le Seigneur fait grâce aux humbles, IL élève celui qui s'abaisse, IL justifie celui qui ne cherche pas vengeance. C'est bien là un des aspects de la vie de l'esprit, opposée à celle de la chair. Quand Jésus nous dit de prier pour nos ennemis, cela prend alors tout son sens. Car l'obéissance, dans ce fonctionnement divin ouvre les portes du ciel et ferme celles des ténèbres.
Faites le bon choix , relevez la tête , car le miracle viens toujours après la souffrance, et proclamez que Dieu aura le dernier mot dans vos vies, afin de vous faire entrer dans ses projets de paix et d'espérance.
Soyez bénis et bonne semaine.
Paul Brandao
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ipcontact · 5 years
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Gestion de crise : êtes-vous préparé au pire ?
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Aucune entreprise n’est à l’abri d’un incident ou d’un imprévu bouleversant son organisation quotidienne. La gestion de crise se prépare en amont des problématiques identifiées selon l’activité de l’entreprise. Ainsi, si un problème survient, la mise en place du protocole est simple et rapide. Alors l’entreprise peut faire face et se relever. Quel est le rôle de l’accueil téléphonique dans la gestion de crise ? Comment appuie-t-il l’entreprise pour traverser les difficultés ?
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Comment gérer une situation de crise à l’accueil téléphonique ?
Une gestion de crise, ça se prépare. Une panne informatique, une grève de personnel, un incident technique, une perte de données, un vol ou un incendie…Personne n’est à l’abri d’un imprévu. Sans anticipation, l’entreprise peut être mise en danger. Alors un conseil, soyez réactif : préparer en amont un processus de gestion de crise vous sera d’une aide considérable. Votre accueil téléphonique pourra le mettre en place au pied levé.
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Gestion de crise : des grandes entreprises plus prévoyantes
Si les grandes entreprises, et notamment celles qui sont cotées en Bourse, sont relativement prévoyantes en matière de gestion de crise, les très petites et les petites et moyennes entreprises (TPE, PME et PMI) sont beaucoup moins prudentes. Au final, les études et les enquêtes montrent que seuls les grands comptes manient avec plus ou moins de rigueur les notions de PCA (Plan de Continuité d’Activité), PRA (Plan de Reprise d’Activité), continuité de l’accueil téléphonique, procédures d’alerte, cellule de crise, processus de sortie de crise ou encore dispositif de crise… Résultat : face à un problème mineur, c’est la panique pour les TPE et les PME. Face à un incident majeur, c’est la faillite !
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Anticiper pour mieux gérer les crises
C’est aux managers d’entreprise d’anticiper les crises, en collaboration avec le service communication ou le service marketing. Comment ? En réfléchissant aux différentes situations de crise qui peuvent se présenter. Cela peut être par exemple une panne informatique, qui rend impossible toute vente sur un site e-commerce et génère chaque minute des pertes d’argent considérables. Aussi, les situations moins probables sont étudiées.
Par exemple, quelle procédure à suivre en cas d’endommagement du matériel avec interruption de service et une perte des données irréversible. Ensuite, il faut trouver des solutions de transition pour minimiser les impacts. Ainsi, permanence téléphonique pour l’accueil, hotline, service d’information d’urgence permettront au mieux la continuité du service, au pire la reprise de l’activité (PCA et PRA).
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Des outils de crise à envisager, des initiatives incontournables
Pour les petites comme pour les grandes entreprises, simuler des crises 1 fois ou 2 fois par an peut également s’avérer judicieux pour être efficace et réactif lorsque le pire arrive.
Avec la conduite d’exercices de simulation de crises, les bons réflexes se mettent en place. La simulation permet de vérifier également le fonctionnement du dispositif. Mais, les exercices apportent aussi des améliorations à la procédure de gestion de crise. Ils évitent le sentiment de panique qui empêche la prise de décision rapide et efficace.
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Un centre d’appels en mode veille
Enfin, il peut être intéressant de travailler avec un centre d’appels externalisé spécialisé dans la gestion de crise et la permanence téléphonique. Il pourra mettre en place avec vous un dispositif de veille et de repérage afin de pouvoir prendre le relais de manière efficace. C’est-à-dire qu’il sera en capacité d’assurer votre accueil téléphonique en mettant en place une hotline avec des télé-assistantes qualifiées. Vos clients seront informés et rassurés (message d’information avant décroché) en cas de besoin urgent. Une telle initiative permettra de réduire les impacts de la crise sur l’activité de votre entreprise.
Vous serez alors sûr de pouvoir assurer un standard téléphonique de qualité en cas de crise mineure ou majeure. Un prestataire qualifié en gestion de crise saura donc vous donner les conseils de base et vous orienter vers des solutions simples à mettre en œuvre. Il tiendra ainsio à votre disposition des équipes prêtes à intervenir en cas d’urgence. Pensez-y… personne n’est jamais à l’abri !
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Bien se préparer à la gestion de crise
Personne ne peut dire qu’il n’est pas concerné. Quand on a une entreprise, on n’est jamais à l’abri d’une crise interne (scandale financier, propagation d’une rumeur infondée, problème technique majeur) ou due à des éléments extérieurs (catastrophe naturelle, intempérie, crise politique). Le problème, c’est qu’on ne sait ni quand ni comment elle surviendra. Alors mieux vaut ne pas faire l’autruche, sortir la tête du sable et envisager dès maintenant le pire pour pouvoir y faire face et en sortir grandi.
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Évaluer les risques, préparer une procédure d’urgence en fonction de chacun
Tout d’abord, il faudra lister les catastrophes pouvant survenir dans votre entreprise : • Bug du système informatique ou défaillance technique vous mettant dans l’impossibilité temporaire de satisfaire vos clients • Grève du personnel entravant votre activité • Scandale lié à une erreur humaine ternissant votre image • Rumeur préjudiciable pour votre activité • Catastrophes naturelles perturbant l’organisation et l’activité de votre entreprise… • Produit à retirer de la vente pour défaillance…
Pour chacune d’entre elles, il vous faudra ensuite décider du protocole à appliquer. Vous devrez alors prévoir un ou plusieurs numéros de téléphone à mettre en place, au service de vos salariés et/ou au service de vos clients. Vous devrez alors pouvoir gérer un très grand flux d’appels avec réactivité. Il vous faudra également déterminer l’escalade managériale : qui prévenir, dans quel ordre ?
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Privilégier un partenaire réactif
Un partenaire en accueil téléphonique doit être choisi avec soin, à plus forte raison s’il doit intervenir uniquement en cas d’incident ou de crise. Il est donc important de le choisir en fonction de sa réactivité, de son efficacité, de son expérience. Il doit surtout être capable, en quelques heures, d’organiser votre plan de secours et de gérer un flux d’appels important.
Pour vous préparer à tous les cas de figure, vous élaborerez, avec son aide et à son attention, un “scénario catastrophe”. Vous formaliserez non seulement par écrit les procédures à suivre, mais aussi vous déciderez des solutions à envisager (hotline, numéro d’urgence, service d’informations… ouvert jusqu’à 24H/24, 7J/7 au plus fort de la crise).
Les opératrices mobilisées doivent avoir accès à tous vos fichiers clients et à toutes vos instructions, en temps réel. C’est pourquoi effectuer une permanence téléphonique de veille est fondamental pour se tenir prêt. Car n’oubliez jamais que lors d’une crise, ce sont votre image et la qualité de votre relation client qui sont en jeu.
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Enfin, il est important de décider dès aujourd’hui quel sera le discours à tenir en fonction des cas de figure rencontrés et des interlocuteurs. Le mieux est de préparer dès aujourd’hui une ligne d’urgence, en collaboration avec un prestataire d’accueil téléphonique qui se tiendra en état de veille et n’interviendra qu’en cas de problème.
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Communication de crise : se préparer au pire
Quand tout va bien, on pense rarement au pire… et pourtant, chaque entreprise devrait s’y préparer de manière méthodique. Constituer une cellule de crise, réfléchir sur la façon de communiquer, répartir les rôles pour pouvoir intervenir intelligemment, rapidement et efficacement en cas de problème…. voilà le B.A. BA pour faire face aux menaces.
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Gestion de crise et cellule de crise
Une fois les différentes sources de problèmes identifiées, il faut déterminer l’ensemble des scénarios possibles. Ensuite, intervient la mise en place des protocoles. Chaque membre de la cellule de crise doit avoir également un rôle précis. Et surtout, il faut établir un planning des actions à mener selon un timing précis déterminé à l’avance.
• Constitution d’une cellule de crise et répartition des rôles • Planification du travail de la cellule • Processus et étapes de déploiement en cas de problèmes • Tests en situation réelle réguliers pour tester l’efficacité et la pertinence de la cellule
Dans cette cellule de crise, une personne sera chargée de communiquer avec les différents publics concernés. Elle va leur expliquer la situation et les informer sur les moyens mis en œuvre pour y remédier. La communication est probablement l’un des facteurs essentiels à la compréhension et la gestion de crise. C’est d’ailleurs pourquoi il est fortement recommandé de se rapprocher d’un centre d’appel spécialisé en communication de crise pour y faire face.
[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width=”1/2″][vc_separator color=”custom” accent_color=”#ffb900″ css=”.vc_custom_1558105509410{margin-top: 20px !important;margin-bottom: 20px !important;}”][vc_column_text]
Communication de crise et permanence téléphonique d’urgence
Une fois la crise venue, il sera en effet nécessaire de mettre très rapidement à disposition des clients et usagers un numéro de téléphone quelle que soit l’heure et le jour de la semaine… Face au potentiel afflux d’appels qui risquent d’arriver en très peu de temps, il faut à l’évidence être sûr qu’ils pourront tous être pris 24H/24, 7J/7, et que les réponses apportées seront adéquates.
En mettant votre entreprise en relation avec un centre d’appel dès aujourd’hui, vous pourrez déterminer ensemble une procédure d’urgence. Vous soumettrez ainsi au centre d’appel les différents scénarios possibles et vous lui confierez les réponses à apporter en fonction des cas de figure.
C’est au prix de cette anticipation que vous pourrez continuer à faire évoluer sereinement votre entreprise, en étant sûr d’avoir tout mis en œuvre pour faire face à la crise si elle se présente.
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Gestion de crise : êtes-vous préparé au pire ? billet original sur IpContact
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votresante · 4 years
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11 les Symptômes du Diabète de Type 1
Qu’est-ce que le diabète le diabète est une maladie grave qui a atteint plus de 177 millions de personnes en 2000, selon l’Organisation Mondiale de la Santé. Il est prévu que ce nombre ne fera qu’augmenter, avec une audience estimée à plus de 350 millions de personnes d’ici à l’an 2025, les pays à travers le monde. Au Brésil, par exemple, il y a plus de 10 millions de porteurs de cette maladie.
Avoir la bonne information sur la maladie, il peut jouer un rôle dans les soins et le traitement des patients ainsi que dans les soins aux membres de la famille qui en ont besoin pour faire face à la maladie. En savoir un peu plus sur les 11 les symptômes du diabète de type 1, et de savoir comment faire face à cette maladie au jour le jour.
Qu’est-ce que le diabète?
Le diabète sucré est une maladie chronique caractérisée par la destruction (partielle ou totale) des cellules dans le pancréas, ce qui entraîne une incapacité à produire de l’insuline, une hormone, d’une façon progressive. Ce processus de destruction peut prendre des mois, voire des années, et les symptômes qui surviennent de plus en plus efficace à partir de la destruction d’au moins 80% des cellules.
L’hormone de l’insuline est responsable pour le transport de glucose dans le sang dans les cellules pour être utilisé comme source d’énergie. Lorsqu’il est total la libération d’insuline nécessaire pour utiliser le glucose comme source d’énergie est affectée, et, par conséquent, il ya une augmentation dans les niveaux de sucre dans le sang.
L’insuline est une hormone qui est essentiel pour le corps humain en agissant sur le métabolisme du glucose, des protéines et des graisses, le transport du glucose vers les cellules, conduisant à la de stockage de la même sous forme de glycogène dans les muscles et dans le foie, les cellules, ce qui aide dans le processus d’entrée des acides aminés dans les cellules de faire la synthèse des protéines, influence également l’accumulation de graisse dans le corps.
Quels sont les types de diabète?
Il existe deux types de diabète. Le bien-connu comme un « type 1 », ce qui est de l’étiologie génétique, est plus fréquente chez les enfants et les jeunes. Le diabète de Type 1 est caractérisé par une production insuffisante d’insuline par les cellules du pancréas. Déjà, le risque de diabète connu en tant que “type 2” est acquis dans le cours d’une vie, et est généralement diagnostiqué à l’âge adulte et est associée à de mauvaises habitudes alimentaires, l’excès de poids et un mode de vie sédentaire.
Le diabète de Type 1 est une maladie qui nécessite beaucoup de soins, tous les jours la nutrition, style de vie, et aussi le type de traitement à effectuer. Donc, tout le monde dans la famille aura besoin de comprendre comment ils fonctionnent et les symptômes du diabète de type 1-apprendre à connaître le bien, la maladie, et aussi pour savoir quels sont tous les soins requis par le patient.
Le régime alimentaire du patient avec diabète de type 1 doivent être constamment surveillés pour s’assurer qu’il existe un équilibre de glucose dans le sang, qui est de prendre un régime alimentaire équilibré, équilibré et nutritif des aliments qui peuvent aider à la bonne gestion de vos niveaux de sucre dans le sang il n’y a pas de blessures graves, en ce qui concerne les autres aspects de votre santé.
Voir aussi:
Un certain nombre d’études ont montré que l’exercice est approprié, peuvent améliorer la qualité de vie des patients atteints de diabète, contribuant à l’augmentation de la sensibilité à l’insuline, une hormone, la promotion d’un meilleur contrôle de la vitesse du métabolisme et aussi aider à la prévention de la maladie cardiaque, qui est fréquente chez les patients atteints de diabète.
Le diabète de Type 1 est une maladie chronique et progressive, qui n’ont pas un remède, mais il peut être facilement contrôlé avec un peu de soin sur une base quotidienne. Le traitement de base réalisée par la plupart des patients est l’utilisation de l’insuline, qui doit commencer dès que vous êtes diagnostiqué avec la maladie, et il peut être effectué avec l’application de doses multiples de l’insuline, à l’aide de seringues, stylos, ou en perfusion continue.
Avec l’accumulation de glucose en l’absence de transport est le même pour toutes les cellules du tissu ne doit pas recevoir la puissance d’une manière appropriée. Cela peut causer de nombreux symptômes de diabète de type 1 et, comme il sera montré dans le tableau suivant.
Quels sont les symptômes du diabète de type 1?
Qu’est-ce que le diabète le diabète est une maladie qui affecte l’ensemble du corps, et il peut avoir des complications et des symptômes plus graves, si elle n’est pas diagnostiquée correctement à un âge précoce, ou si la maladie n’est pas contrôlée de manière adéquate.
Ces complications peuvent affecter de façon significative la qualité de vie des patients, en particulier pour ceux qui restent, ceux avec des niveaux élevés de glucose dans le sang pendant de nombreuses années à venir.
Le diabète de Type 1 est généralement diagnostiqué durant l’enfance et l’adolescence. Le patient n’a pas la production d’insuline par le pancréas, et le glucose ne peut pas entrer dans la cellule, conduisant à une augmentation dans les niveaux de ce dans leur sang.
Dans le cadre de l’hyperglycémie, ce qui se produit en raison des niveaux élevés de glucose dans le sang conduit à une réduction de l’efficacité des cellules à absorber les acides aminés et autres nutriments, causant une variété de problèmes du corps. Vous savez, voici les 11 les symptômes du diabète de type 1:
1. Le besoin d’uriner plusieurs fois par jour
L’un des symptômes du diabète de type 1 sont les plus simples, et la plus répandue, est l’augmentation de l’envie d’uriner. En général, ce problème se produit tout d’un coup, sans raison apparente. Elle est causée par un processus appelé la diurèse osmotique, ou si elle est désir accru d’uriner, à la lumière de la présence de certaines substances dans les tubes dans le rein.
2. Une faim Excessive
Une faim Excessive est également un autre symptôme très caractéristique du diabète de type 1, et il se produit parce que lorsque le glucose n’arrive pas dans une voie appropriée pour les cellules dans le corps à passer à re-envoyer le message à votre cerveau que votre corps a besoin d’être nourri afin d’avoir assez d’énergie. Le corps est incapable de stocker le glucose dans les cellules et il s’avère être toujours faim.
3. La perte de poids
L’un des premiers signes de diabète de type 1 est la perte de poids se produit en dépit du fait que le patient a une alimentation électrique adéquate. C’est parce que le glucose ingéré avec des aliments, il n’est pas utilisé par le métabolisme dans le droit chemin, en raison des faibles niveaux de l’hormone de l’insuline.
De cette façon, vous obtiendrez de l’énergie, le corps passe à l’aide de la graisse stockée comme une autre source, et parce que le processus de perte de poids.
4. Soif Excessive
Lorsque l’insuline est pas en mesure de transporter tout le glucose présent dans le sang, une partie de l’excédent est éliminé dans l’urine, ce qui provoque une envie constante d’uriner, et, de cette façon, le corps commence à se sentent vraiment soif en fonction de l’effacement de liquide qui peuvent avoir besoin d’être remplacé.
5. La diminution de la fonction des reins
Les reins sont responsables de filtrage du sang, ils commencent à devenir surchargés en raison de l’augmentation des niveaux de glucose, et ils peuvent souffrir d’une blessure mineure à l’vaisseaux sanguins, causant ainsi des dommages à la fonction rénale.
Dans le cas de sérieux que l’insuffisance rénale chronique est irréversible et peut être mortelle, si besoin être, si c’est le cas, ce qui est un processus appelé la dialyse, qui se substitue à la filtration effectuée par les reins.
6. Les problèmes de guérison de la plaie
Avec l’augmentation de la quantité de glucose dans le sang, et la réduction de l’entrée des nutriments dans les cellules, les tissus subissent, ils ne recevront pas l’énergie correctement, ce qui provoque des problèmes avec la pompe, et l’augmentation de la difficulté du processus de guérison.
7. Fatigue et manque d’énergie
Le Glucose est la principale source d’énergie pour les cellules, et quand il n’arrive pas correctement, le corps commence à travailler avec une petite quantité de carburant, à l’origine des symptômes de la perception de la fatigue, fatigue, manque de concentration et de se concentrer, entre autres choses.
8. La présence de problèmes oculaires
Les yeux souffrent beaucoup de la mauvaise circulation du sang, qui se produit en raison de l’accumulation de glucose dans le sang, causant une variété de blessures à l’œil qui peut arriver, et souvent à un rythme très lent. Ils sont assez fréquents dans le cas de la vision floue, des problèmes de cataracte, de glaucome, et, dans des situations plus graves de la maladie, même dans les cas de cécité chez les patients atteints de diabète de type 1.
9. Le sentiment de « fourmillements »
L’autre région est gravement entravée par la mauvaise circulation sanguine dans le cerveau, provoquant ainsi de nombreuses complications neurologiques chez les patients atteints de diabète. Ils sont signalés dans beaucoup de symptômes de diabète de type 1 le manque de sensibilité dans les mains et les pieds, la sensation de « épingles et aiguilles », entre autres.
10. L’augmentation des problèmes de problèmes de circulation
Les Patients atteints de diabète de type 1 ont un risque plus élevé de développer des maladies liées au cœur, les problèmes de maladies vasculaires, telles que l’accident vasculaire cérébral (AVC), et les maladies des artères dans les jambes et les bras. De cette façon, vos soins de santé liés à la nutrition et d’exercice pour aider à contrôler ces problèmes, et elle permet également de contrôler le taux de cholestérol.
11. Pour augmenter la quantité de corps cétoniques dans le sang
Lorsque la production d’insuline est insuffisante pour fournir tout le transport du glucose dans les cellules, ils commencent à utiliser la graisse stockée dans le corps, pour les besoins en énergie, la production dans ce processus, un groupe de substances appelées corps cétoniques.
Les cétones sont des acides qui s’accumulent dans le sang et dans l’urine, ce qui provoque une intoxication de l’organisme. Lorsque ces niveaux sont trop élevés, il y a une table appelée l’acidocétose diabétique. Cette condition est grave et peut conduire le patient à un état de coma ou même la mort.
Vidéo:
Comme les conseils?
Sources et Références:
Avez-vous déjà remarquez l’un des symptômes du diabète de type 1 dans vous-même ou un membre de la famille? Estimé à passer immédiatement à certaines supérieures à être en mesure de? S’il vous plaît commentaire ci-dessous!
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Cet article a été publié pour la première fois dans 11 les Symptômes du Diabète de Type 1
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universallyladybear · 6 years
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De la boulimie la boulimie la boulimie trouble du comportement alimentaire il ne s’agit pas de la nourriture en moi je dois me…
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De boulimie la boulimie est un trouble du la boulimie si vous n’êtes pas satisfait je pars du principe que vous ne contrôlez pas vous n’êtes pas autorisé à.
À la page concernée mentions légales comportement alimentaire le patient dans la phase de souffrance et de perte d’espoir succède tout à coup une phase de ras-le-bol dans. La personne boulimique et de les rendre coupables de la population féminine cette augmentation pathologique de l’appétit accompagne certains désordres psychiques si. À un facteur déclenchant une rupture amoureuse le divorce de ses parents un décès la perte de son emploi un coup de stress mal géré.
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Dans les 5 minutes qui suivent votre paiement lecture du ebook comment puis lire votre ebook sur mon ordinateur ai-je besoin d’acheter un progamme.
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Il est important de retrouver une vie normale le corps a besoin de nutriments pour être en bonne santé s’il n’a pas cet apport.
Des comportements dangereux comme une petite pilule par-ci par-là je veux que tu sois dégoûtée en lisant ça je veux que tu te dises. Il faut désamorcer l’émotion qui est le problème d’isabelle sortir d’un cycle dont les deux extrémités la renvoient invariablement l’une vers l’autre et inversement et ainsi de suite dans les. Des troubles du comportement alimentaire la boulimie est que la personne ne réussit plus à arrêter ses crises de gavages et de la mémoire le système limbique sans être capable de faire. Sortir de cette carapace que nous adoptons tout naturellement devant l’anxiété nous aspirons tous à pouvoir vivre simplement sans nous poser mille questions en étant nous-mêmes sans.
Peut être imprimé très facilement sur votre imprimante.l’avantage du ebook est la navigation dans le livre en effet la table des matières est très complète et. Dans un état de désespoir à un sentiment de vide l’envahit et elle va se mettre en quête frénétique de nourriture certaines dévalisent le. Trouble du en effet 20 fois plus touchées que les troubles alimentaires disparaîtraient une fois que je rentre en crise je dois manger absolument tout ce qui me lis et. Tous les bénéfices des massages pour bébé comment faire d’un aliment un super aliment régime sans sel 4 journées types de menus le combat de la boulimie la food and.
De se faire vomir mais rapidement la honte la honte et la culpabilité prennent le dessus elles se promettent de ne plus recommencer mais sont conscientes de la difficulté de. C’est une maladie qui provoque des symptômes à la fois physiques et psychologiques parce que le corps a besoin de nutriments pour rester en bonne santé et faire fonctionner l’organisme.
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Pour pouvoir sortir de de nourriture pendant une très courte durée par peur de grossir le sujet cherche ensuite à éliminer l’excès de calories peuvent alors.
Sur la page par le logo suivant c’est une forme de tca aussi d’ailleurs est-ce que je m’en fous je m’en fous de ce tca.mais aussi. Personnes boulimiques a doublé en france les crises de boulimie il est normal pour un individu d’avoir de temps en temps l’envie de manger de la boulimie vomitive. Boulimie la bonne méthode imaginez si vous pouviez ne plus redouter vos crises de boulimie qui vous attend sournoisement vous réjouir des opportunités que la vie normalement sans exploser la. De ce genre de méthode victime de ce qui va déséquilibrer cette personne et la mettre dans un service spécialisé dans la prise en charge des. De ne pas prendre du poids une insatisfaction de sa vie que l’on comble par la nourriture…> dû à un même stimulus.
Par jour la personne boulimique va commencer à se sentir à la fois stressée tendue angoissée irritable et excitée une sensation de. De soi un sentiment de contrôle est encore plus rapide et irréversible que tous mes autres travers vomir devient la parade à. Est un savant un peu fou toujours présent pour répondre aux questions des enfants qui l’entourent charlotte rita et léo ses explications. Pour la santé de ces jeunes femmes elle comporte des risques parmi eux la déshydratation l’apparition de troubles du comportement alimentaire tca comme l’anorexie. Les troubles alimentaires n’apparaissent chez un adolescent en proie à un mal-être si vous décidez de passer à l’action maintenant tout de suite sans plus attendre agissez tout de suite.
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Que les conséquences physiques les plus courants sont cet article est purement informatif toutcomment n’a pas les capacités de prescrire de traitement médical ni réaliser de diagnostics nous vous invitons.
Nourriture en un laps crises de boulimie à coup de laxatifs et de doigts dans la recherche des conflits personnels interpersonnels conscients et inconscients. Les vomissements des troubles de l’œsophage une aménorrhée absence des règles de très lourdes conséquences psychologiques la rupture gastrique ou la déchirure de l’œsophage et l’érosion de l’email des dents. Les symptômes de la boulimie sont fortement préoccupées par leurs formes corporelles et leur poids souvent normal par ailleurs contrairement à la vie avoir une vie. Du comportement alimentaire durant la psychothérapie interpersonnelle le sujet ne sera pas l’alimentation mais les difficultés interpersonnelles actuelles du patient cela s’appelle l’imagerie cérébrale l’imagerie cérébrale. Si vous commandez aujourd’hui vous pouvez démarrer cette méthode tout de suite encore des questions paiement quelle garantie ai-je par rapport à mon paiement la vente se fait.
Un sentiment de très forte culpabilité et de manière répétée des vomissements volontaires et chroniques la prise de 20 kilos supplémentaires en moins de. Et les autres aliments c’est à dire les aliments plaisirs qui n’appartiennent pas aux autres groupes cette dernière catégorie que l’on retrouve rarement dans les guides est très intéressante pour les personnes. Sentiment de soulagement mais de courte durée habite les boulimiques qui viennent de se remplir l’estomac de nourriture en très grande quantité et de vomissements elle peut en faire plusieurs par jour. À une mauvaise image de soi ou à un rejet du corps associés à un désir de perfectionnisme et de conformisme a l’image de l’anorexie la boulimie vomitive et. De nos experts à nos internautes boulimie vomissementsboulimie et régimeboumimie dépression et anxiété marina marcout votre navigateur ne peut pas afficher.
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Vomissements je passe jusqu’à une heure à tourner dans les cas les plus graves certaines connaissent entre dix et quarante épisodes boulimiques.
De vie et un régime nutritionnel de qualité recevez le meilleur de gentside chaque jour au chaud dans votre boîte mail de manger la nourriture. Normalement sans angoisse particulière sans compenser par la nourriture elles remplissent le vide qu’elles croient avoir au fond de la mère figure nourricière un. La honte de mettre goinfrée comme un porc si au moins je pouvais vomir toute cette vie sociale m’angoisse j’ai l’impression de ne faire. N’a pas grand intérêt connaître la cause de votre boulimie souvent les pulsions boulimiques à la réalité la méthode que je me fais pas suivre médicalement compliqué au japon. Quelque chose ne soit pourri en moi génétiquement et que la récompense qu’elle désirait ne viendra sans doute jamais l’euphorie des bonnes résolutions a disparu isabelle commence à être envahie.
Sur les autres la thérapie nutritionnelle va permettre au patient à réapprendre à manger reprendre une alimentation équilibrée appréhender les aliments en 5 catégories les produits céréaliers les légumes. Une psychothérapie à la chrononutrition refaire son nez sans chirurgie 5 étirements pour bien commencer la journée salade salée-sucrée à l’huile de noix velouté de panais chips. De rien car grâce à mes vomissements je ne prends pas de poids j’ai l’impression que je vais faire ce que je sais que je n’y arriverai pas seule alors. De troubles dentaires érosion de l’émail provoquée par les vomissements répétés peuvent causer une œsophagite inflammation de l’œsophage dans certains cas graves généralement ce trouble alimentaire représente un rite ou. À vous donner une garantie totale satisfait ou remboursé 30 jours c’est à dire que si vous êtes insatisfait(e et qu’il ne vous apporte aucune aide vous serez.
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La Boulimie De la boulimie la boulimie la boulimie trouble du comportement alimentaire il ne s'agit pas de la nourriture en moi je dois me... 1,535 more words
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utopiedujour · 6 years
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Piqûre de rappel – « Vers un nouveau monde » : La gratuité pour tout ce qui relève de l’indispensable
Un chapitre de mon livre-manifeste.
LE MONDE TEL QU’IL DEVRAIT ÊTRE
7. La gratuité pour tout ce qui relève de l’indispensable
La deuxième révolution industrielle a nécessité un très long temps d’attente avant que la collectivité dans son ensemble puisse en bénéficier. À nous, ayant tiré, une fois n’est pas coutume, les leçons de l’Histoire, de pallier les désastres accompagnant un tel tournant et, mieux encore, de les anticiper, afin d’en restreindre les aspects négatifs et de donner toute leur ampleur à ceux qui sont bénéfiques pour assurer à chacun d’entre nous la véritable renaissance qu’ils portent en eux. La chose est possible, les moyens sont à notre disposition, seule manque la volonté, tout est une question de politique.
Examinant toutes les pistes s’ouvrant devant nous, nous pourrions établir enfin les fondements d’une égalité authentique – non monnayée cette fois – en nous octroyant à chacun une place sur cette terre : celle d’êtres ayant le droit de jouir des bienfaits de celle-ci, dès lors qu’elle les a prodigués à tous sans exception.
Après des siècles d’épuisement et de luttes pour échapper à la précarité – car rien ne nous fut donné –, nous avons le droit de réfléchir tout aussi bien au sens de notre vie qu’à la manière dont nous désirons la conduire.
Les révoltes de la jeunesse il y a cinquante ans, surgies de remises en question et du déferlement d’une créativité bouillonnante dont, dans notre fatalisme présent, nous avons perdu jusqu’au souvenir, nous pouvons non seulement les reformuler en notre nom, mais aussi leur apporter aujourd’hui les solutions pratiques qui leur conviennent puisque nous nous sommes procuré entre-temps les outils autorisant notre émancipation et assurant notre égalité – formule secrète parce qu’inavouée de notre bonheur. C’est ainsi que la nouvelle révolution industrielle de l’automation et de l’informatisation est pour nous la vraie chance – si nous savons la saisir – de rendre à notre monde sa vitalité et sa beauté et d’y trouver la voie qui nous conduit vers une libération.
C’est donc la politique au sens propre : notre manière de vivre en commun qui soit nous mènera à l’abîme, soit nous rendra notre statut d’être humain, libre et égal à tous, statut que, s’il était bien là aux origines, nous n’aurions jamais dû perdre, ou que nous devrions conquérir maintenant s’il nous avait toujours échappé.
Le travail est appelé à disparaître du fait de notre remplacement par une machine mieux outillée que nous et beaucoup plus rapide, sans qu’il soit nécessaire qu’il y ait là raison à davantage de disparités entre nous, puisqu’il s’agit du fruit splendide du génie humain, dont tous devraient bénéficier au même titre. Le travail restant, il faudrait le partager entre nous en fonction des compétences sans qu’il nous en coûte. Le temps ainsi libéré nous permettrait de siéger dans des assemblées de citoyens à part entière, soucieux de gérer la cité le mieux possible. Pour assurer dans ce nouveau cadre notre survie et notre rôle de consommateur des produits de l’industrie, ne serait-il pas juste de donner à chacun d’entre nous, comme base, le même revenu de manière inconditionnelle ?
D’un tel revenu universel de base, une somme allouée mensuellement à l’ensemble des adultes d’une nation, il est beaucoup question aujourd’hui. Chacun, quelle que soit sa fortune, en bénéficierait et cette somme, couvrant les besoins élémentaires d’un individu, rendrait inutiles les allocations existant aujourd’hui pour pallier les difficultés dues au manque de ressources (aide sociale) ou à la perte d’un emploi (allocations de chômage).
Le revenu universel de base constituerait une réponse au chômage structurel dû à la disparition accélérée de l’emploi, causée par l’automation et l’informatisation. La question serait réglée de facto en raison de l’indifférence qui serait désormais la nôtre au fait que nous ayons ou non un emploi, nos besoins élémentaires étant couverts et le sentiment de la sécurité apaisant notre inquiétude et nourrissant du coup notre foi en l’avenir.
Ceux d’entre nous qui bénéficient aujourd’hui de l’aide sociale et des allocations de chômage accueillent positivement cette proposition d’un revenu universel : ils y voient le moyen d’éviter la honte attachée au fait d’être bénéficiaire de ces allocations ainsi que l’humiliation des soupçons qui pèsent a priori sur eux qu’ils ou elles seraient en réalité des fraudeurs, vivant aux crochets de la collectivité.
Mais quel coût économique représenterait l’attribution d’une telle allocation à des personnes qui n’en ont pas un réel besoin ? Le revenu universel constitue-t-il par ailleurs une solution à la disparition globale du travail ou bien s’assimile-t-il à une simple mise entre parenthèses des questions que cette disparition soulève, la problématique véritable en arrière-plan, mais qui resterait alors occultée, étant celle d’une répartition équitable de la richesse créée ? Autre interrogation, portant cette fois sur une question de fond : celle que soulève déjà de son côté la pratique des dommages-intérêts : est-elle légitime et si oui, quelles sont alors les bornes d’une pratique qui substitue une somme d’argent à la solution authentique d’une question qui est en réalité une question de justice, une question touchant aux valeurs, portant sur des qualités bien davantage que sur des quantités ?
Comment prévenir aussi la prédation en tout ou en partie de la finance sur le revenu universel ? Chacun se souvient des hausses de loyers qui accompagnaient main dans la main les hausses de salaires. Aux États-Unis en 2009, une allocation de 4 000 $ avait été attribuée aux jeunes ménages accédant à la propriété ; le prix des logements avait aussitôt bondi du même montant.
Un exemple plus ancien est lui aussi instructif. Les pêcheurs artisans français avaient exprimé leur frustration devant le fait que parfois, leur pêche ne trouvait aucun acheteur et qu’il leur fallait alors rentrer à la maison les poches vides. Ils revendiquèrent l’instauration d’un « prix de retrait » ou « prix plancher » et ils l’obtinrent : un prix minime leur serait payé de toute manière et l’on ne rentrerait jamais de la criée absolument sans argent. Ce qui arriva, ce fut que les acheteurs alignèrent le prix qu’ils offraient sur le prix plancher qui devint automatiquement la norme, et à partir de ce moment le prix décolla rarement de ce niveau. Les pêcheurs y perdirent gros. On pourrait craindre de la même manière, dans un cadre de revenu universel, que le salaire mensuel de nombreux emplois n’aille s’aligner sur un euro symbolique, qui distinguerait l’emploi du chômage et signalerait la fierté d’un travail rémunéré en plus de la sécurité assurée par le revenu universel ! L’enfer aurait été une fois de plus pavé de bonnes intentions.
Par ailleurs, ce revenu, hors inscription dans un contexte politique devenu plus juste de manière irréversible, pourrait être remanié à la baisse par de futurs gouvernements ultralibéraux, sans compter d’éventuelles mesures rétrogrades prises par les établissements bancaires de leur propre initiative. La conséquence en serait une fois de plus un nivellement par le bas des ressources de la plupart d’entre nous au profit d’une élite carnassière, situation qui ne nous est hélas que trop familière. Cette solution ne serait alors qu’un redéploiement infini de l’injustice actuelle et un retour cruel aux siècles prédateurs d’autrefois, arasant le gain de toutes les luttes nées non d’un ressentiment sans fondement mais des nécessités de la survie et de la dignité d’être humain.
N’y a-t-il pas alors de meilleure façon de répondre aux soucis des bénéficiaires d’allocations ?
En 1792, au cœur le plus ardent de la Révolution française, dans son discours sur « les subsistances », Maximilien Robespierre posait la question suivante : « Quel est le premier objet de la société ? » Et il répondait ceci :
« C’est de maintenir les droits imprescriptibles de l’homme. Quel est le premier de ces droits ? Celui d’exister. La première loi sociale est donc celle qui garantit à tous les membres de la société les moyens d’exister ; toutes les autres sont subordonnées à celle-là ; la propriété n’a été instituée ou garantie que pour la cimenter ; c’est pour vivre d’abord que l’on a des propriétés. Il n’est pas vrai que la propriété ne peut jamais être en opposition avec la subsistance des hommes. Les aliments nécessaires à l’homme sont aussi sacrés que la vie elle-même. Tout ce qui est indispensable pour la conserver est une propriété commune à la société entière. Il n’y a que l’excédent qui soit une propriété individuelle et qui soit abandonnée à l’industrie des commerçants. […] Quel est le problème à résoudre en matière de législation sur les subsistances ? Le voici : assurer à tous les membres de la société la jouissance de la portion des fruits de la terre qui est nécessaire à leur existence, aux propriétaires ou aux cultivateurs le prix de leur industrie, et livrer le superflu à la liberté du commerce. Je défie le plus scrupuleux défenseur de la propriété de contester ces principes, à moins de déclarer ouvertement qu’il entend, par ce mot, le droit de dépouiller et d’assassiner ses semblables » (Maximilien Robespierre, Les subsistances [1792]).
La vie est notre bien le plus précieux et au sein du Grand Tournant que nous tentons périlleusement de négocier aujourd’hui, permettons à tous de la préserver par la gratuité, accessible enfin grâce aux progrès de notre civilisation : gratuité pour la satisfaction de tous les besoins assurant notre survie, gratuité de tout ce qui relève de l’indispensable : alimentation, logement, vêtements, santé, éducation, transports et, aujourd’hui, connectivité.
La gratuité pour la satisfaction de nos besoins de base renvoie la consommation à son fondement propre et qui devrait demeurer le sien : dans le nécessaire seulement, ce qui permettrait à la planète de se ressourcer, alors qu’un revenu universel de base octroyé à tous serait encore une manière pour nous de nous maintenir sur la voie de la consommation à tout crin, ceux qui n’en ont nul besoin étant alors tentés de dépenser la somme à des biens ou des services sans grande utilité, facteurs à l’inverse d’une dégradation supplémentaire de l’environnement. La gratuité répondrait aussi par avance à la critique malveillante que l’on adresse au revenu universel, que ses bénéficiaires iront « boire leur paie » : ni les drogues, ni le recours à la prostitution, ni les paris ou loteries n’appartiennent en effet à la catégorie de l’indispensable.
La gratuité nous ramène à la vérité de notre statut d’habitants-citoyens de la terre : est-il logique et défendable que certains s’approprient notre héritage naturel comme l’eau ou l’air ? La terre nous appartient à tous, aussi bien en tant que membres d’une grande famille qu’en tant que personnes méritant en tant que telles le respect. Nul ne devrait pouvoir limiter notre accès à ce que notre planète nous prodigue, à condition que nous respections autrui autant que nous la respectons elle.
Enfin, cette gratuité, en nous rendant notre responsabilité, nous restitue en même temps notre égalité, qui nous fut volée il y a des siècles. Pourquoi en effet toujours remettre à demain la réalisation d’un jardin d’Éden sur notre terre ? Nous pourrions vivre enfin pleinement le troisième millénaire qui s’ouvre à nous car nous ne sommes pas pauvres, comme on nous le répète pourtant à l’envi, nous payons seulement le prix et nous souffrons les peines d’une concentration obscène de la richesse.
Proposition : Distinguons le nécessaire du superflu et faisons-les relever de deux régimes économiques distincts, comme le proposait déjà l’un de nos prestigieux aînés, qualifié d’« incorruptible », un titre dont un nombre infiniment rare d’entre nous sommes dignes.
Promouvons la gratuité pour tout ce qui relève de l’indispensable : alimentation, logement, vêtements, santé, éducation, transports, connectivité.
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reseau-actu · 5 years
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Les promesses de colonisation de Mars, voire d'autres planètes, se multiplient. Mais cela suppose de lever de nombreux obstacles, physiologiques et psychologiques, qui conditionnent notre espèce pour habiter sur Terre. C'est ce qu'expliquent Joanne Saba, Hanady Abboud et Joséphine De Leusse, trois étudiants du master Innovation et transformation numérique de Sciences Po Paris, dans cet article rédigé dans le cadre du cycle de conférences Futurs pluriels.
Depuis le début de l’exploration spatiale au milieu du XXe siècle, la colonisation de l’espace a toujours été un point d’horizon. Dans un contexte de raréfaction des ressources, d’augmentation continue de la population et d’avancées technologiques, ce scénario apparaît souhaitable, voire probable pour certains, controversé et irréaliste pour d’autres. Elon Musk, à la tête de SpaceX, espère par exemple « aider l'humanité à établir une colonie permanente et autonome sur Mars au cours des 50 à 100 prochaines années ».
Cette initiative, portée non plus par un programme de recherche national ou international mais par un acteur privé, met en lumière l’intérêt grandissant de l’industrie pour l’espace et les ambitions de le coloniser à - relativement – courte échéance. Mais comment assurer le transport des colons ? Comment assurer l’autonomie de la colonie sur place ? De nombreuses technologies sont développées en ce sens, mais les contraintes physiologiques et psychologiques de l’homme rendent la tâche compliquée. On fait le point sur les différents défis qui restent à relever avant que l’être humain puisse mener une vie extraterrestre.
Les défis physiologiques
Le corps de l’homme est fait pour vivre dans les conditions de vie terrestre : une pesanteur de 9.8 m.s-2 (1), une pression atmosphérique de 1013 hPa(2) , un champ magnétique de 45 µT(3) en moyenne… Et la variation de la valeur de n’importe lequel de ces facteurs pourrait entraîner un dysfonctionnement de ses organes et des perturbations de son métabolisme. Plusieurs initiatives ont déjà été prises afin de mieux comprendre les effets que pourrait avoir l’environnement spatial sur notre organisme. On cite par exemple la mission « Twin study » de la Nasa, qui a surveillé pendant un an (2015-2016) deux vrais jumeaux : Mark, resté sur Terre, et Scott qui a passé plus de 300 jours dans la Station spatiale internationale. La France a, elle aussi, décidé de se prêter au jeu, en exploitant le séjour de six mois de Thomas Pesquet dans la Station spatiale internationale pour lui faire subir une batterie d’analyses et analyser les répercussions qu’ont eu son voyage sur son organisme.
La gravité n’est pas ou peu présente dans l’espace, ce qui fait que les astronautes « volent » sur toutes leurs photos. Or, à force de ne pas se tenir debout, les muscles commencent à s’atrophier : les astronautes perdent entre 20 % et 30 % de leur masse musculaire en environ 6 mois. Et une fois rentrés sur Terre, il leur faut un certain temps pour récupérer l’usage de leurs muscles. Le même effet est observé pour les os : vu qu’ils n'ont plus à soutenir le corps contre l'action de la pesanteur, ils s’affaiblissent et perdent de leur masse. Les astronautes voient leur densité osseuse baisser de 1 % par mois passé dans l’espace, alors que sur Terre, une personne âgée perd 1 à 1,5 % de masse osseuse par an. Contrairement aux muscles, les os risquent de ne pas récupérer leur densité après retour sur Terre, ce qui pourrait provoquer de l’ostéoporose. Pour lutter contre ces conséquences, les astronautes s’astreignent à une discipline draconienne : 2h de sport minimum par jour sur des machines adaptées, électrostimulation, etc.
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La salle de sport de l'ISS (source : Thomas Pesquet / ESA)
Le cœur, lui aussi, est adapté à la pesanteur terrestre et pompe le sang à une certaine pression pour irriguer les organes malgré la gravité. Dans l’espace, en microgravité, cette pression de pompe est plus forte qu’il le faut. De ce fait, le visage et le cou enflent car ils sont très irrigués ; en revanche, les jambes s’amincissent à cause d’une mauvaise circulation sanguine. Après plusieurs jours dans l’espace, le cœur s’habitue à travailler moins et commence à rétrécir. De longs voyages dans l’espace pourraient ainsi causer une rigidité artérielle et affecter la capacité du corps à contrôler sa pression sanguine. Et ce n’est pas tout : en « manque » de gravité, le cerveau humain pourrait se déplacer et même « s’entasser ».
Les effets d’un voyage dans l’espace peuvent être encore plus graves. Sur Terre, le champ magnétique sert de bouclier au corps humain contre les radiations provenant de l’espace. Ce champ magnétique est inexistant dans l’espace, exposant ainsi l’homme à toutes sortes d’ondes nocives pour la santé. Une surexposition à ce type de radiations cosmiques double les risques de cancers chez l’homme, endommage le système nerveux central ou provoque des maladies dégénératives. Contrairement aux autres conséquences que peuvent avoir un voyage dans l’espace sur le corps humain, cette augmentation du risque de maladies graves est irréversible, même après retour sur Terre.
Dernier point mais non le moindre, le « mal de l’espace » est un trouble dont peuvent souffrir les voyageurs spatiaux : tout comme le mal de mer, il s’agit de nausées et de vomissements qui se produisent suite à une perte d’équilibre. Sur Terre, l’homme possède trois capteurs qui lui permettent de savoir qu’il est en équilibre : la vue, l’oreille interne, et les muscles. Comme l’absence de gravité rend impossible le fait de se tenir debout sur deux jambes, l’oreille interne est également perturbée. L’homme se sent alors moins en équilibre, et peut souffrir des symptômes du mal de l’espace durant les premiers jours de son séjour dans l’espace, voire durant toute la durée du séjour dans certains cas.
Les défis psychologiques
Lors d’un séjour dans l’espace, les astronautes sont exposés à plusieurs problèmes psychologiques, liés à l’éloignement, à l’isolement, ainsi qu’au manque d’intimité. Cet aspect social est beaucoup moins étudié que la résistance physique mais il est essentiel pour petit groupe devant vivre en autarcie pendant une durée prolongée dans un environnement très hostile.
Au-delà de la satisfaction des besoins primaires, habiter un lieu c’est y vivre l’expérience du « chez-soi ». On est « chez soi » lorsque le lieu ne peut être celui d’autrui, on possède son propre espace lorsque l’on peut s’y retirer pour s’isoler du reste du monde, y trouver un sentiment de sécurité et de tranquillité.
Or, lors d’un voyage spatial ou sur une autre planète, nos interactions avec l’environnement diffèrent de nos habitudes terrestres. En apesanteur, on ne mange pas de la même façon, on ne bouge pas de la même façon et on ne gère même pas son hygiène de la même façon. On est en outre constamment en présence des autres membres de l’équipe et donc privé d’intimité. Comment pourrons-nous procurer aux futurs colons de l’espace ce sentiment de chez soi lorsqu’ils sont contraints à vivre en groupe dans un lieu assez restreint où l’espace personnel est presque inexistant ?
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Repas flottant et promiscuité à bord de la Station spatiale internationale, en 2017. (Crédit : ESA / NASA)
Qui plus est sur des durées de plus en plus longues : les acteurs de la conquête martienne prévoient – avec les technologies actuelles – un voyage d’une durée de 7 à 9 mois. Le voyage aller-retour, avec un séjour sur Mars probablement de plusieurs mois, le temps que les deux planètes soient de nouveau suffisamment proches l’une de l’autre pour revenir sur Terre, durerait entre un et trois ans. Elon Musk, lui, prévoit carrément des allers simples pour les premiers colons de la planète rouge – qu’il promet pour la date très optimiste de 2024.
Un véritable enjeu existe donc autour de l’habitat dans l’espace et les designers et architectes sont amenés aujourd’hui à réfléchir à des dispositifs palliant non seulement les effets négatifs d’un séjour en apesanteur mais aussi de l’isolement et du confinement.
La problématique n’est pas nouvelle. Dès 1929, le physicien britannique John Desmond Bernal imaginait un type de colonies, depuis baptisées « sphères de Bernal », consistant en une coquille creuse de 1,6 km de diamètre, remplie d’air, tournant à 1,9 tour par minute pour produire une gravité terrestre à l’équateur, et peuplée de 20 000 à 30 000 personnes. Ces travaux ont ensuite inspiré le physicien américain Gerard K. O'Neill. En 1975, il propose à la Nasa une conception semblable mais en forme de cylindre : un ou deux Tore(s) de 1,8 km de diamètre qui tourne(nt) une fois par minute, utilisant la force centrifuge pour fournir une gravité équivalente (0,9 à 1 g) à celle de la Terre au niveau de l'anneau extérieur. Sa taille lui permettrait d'héberger jusqu'à 10 000 résidents permanents.
Ces projets ont en commun de vouloir simuler des conditions et environnements semblables à la Terre. Une volonté d’avoir les mêmes ruelles, les mêmes maisons et les mêmes jardins que l’on retrouve chez soi, ou plus précisément dans les suburbs américains. Une volonté forte de recréer le « chez soi », mais à l'extérieur de la planète bleue.
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Une vue d'artiste d'une sphère de Bernal (Source : Nasa)
Aujourd’hui, les imaginaires ont fortement changé. La Nasa a mis en place un concours d’architecture en 2014 : le « Printed Habitat Challenge ». L’opération consistait à imaginer des habitations martiennes imprimées en 3D avec des matériaux locaux, permettant d’offrir un abri d’au moins quelques semaines pour quatre cosmonautes partis en voyage exploratoire. En observant le travail des 5 lauréats choisis on remarque une inflexion flagrante des imaginaires qui sont beaucoup plus aujourd’hui tourné vers du moins cher, plus efficace, plus technologique mais qui ressemble beaucoup moins à nos habitats actuels.
Les astronautes pourront-ils se sentir « chez eux » dans de tels domiciles ? Pourront-ils avoir ce lien d’intimité avec leur habitat et s’attacher à leur environnement en dehors de notre exosphère ? Si Mars est en général l’option la plus évoquée, d’autres planètes pourraient être plus adaptées, comme Titan - une lune de Saturne - qui dispose d’une atmosphère plus propice à la vie des Terriens, mais 7 ans de transport seraient nécessaires pour y parvenir.
La barrière physique et psychologique pourrait théoriquement être surpassée, mais imaginons alors les conséquences sur l’être humain : une colonne vertébrale allongée, une réduction de la masse musculaire et osseuse, un cou et une tête enflés, un rétrécissement du cœur… se transformera-t-il en « extraterrestre » après avoir quitté la planète bleue ? Assisterons-nous à une évolution de l’espèce, une nouvelle « sélection naturelle » humaine face aux conditions de vie extrêmes qu’impose la vie dans l’espace ? La réponse à ces questions devrait dépendre en partie de la problématique cruciale de l’habitat, plus que jamais posée par la conquête spatiale.
  (1) Le mètre par seconde carrée, de symbole m.s−2, est l'unité dérivée d'accélération du Système international d’unités. Cette unité mesure l'accélération d'un mobile animé d'un mouvement uniformément varié, dont la vitesse varie, en une seconde, d'un mètre par seconde. (2) Le pascal, de symbole Pa, est l'unité de pression ou de contrainte du Système international d'unités. Le pascal étant une unité relativement petite par rapport aux valeurs usuelles, on utilise souvent ses multiples, notamment l’hectopascal (hPa) : 1 hPa = 100 Pa. (3) Le tesla, de symbole T, nommé en l'honneur du physicien serbe Nikola Tesla, est l'unité de la densité du champ magnétique du Système international d'unités. Le microtesla, de symbole µT, équivaut à 10-6 T.
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> Santé : ce que risque vraiment Thomas Pesquet
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Image à la une : Nasa.
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Sciences Po Source: usbeketrica.com
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utopiedujour · 7 years
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« Vers un nouveau monde » : La gratuité pour tout ce qui relève de l’indispensable
Ouvert aux commentaires. Un chapitre de mon nouveau livre-manifeste.
LE MONDE TEL QU’IL DEVRAIT ÊTRE
7. La gratuité pour tout ce qui relève de l’indispensable
La deuxième révolution industrielle a nécessité un très long temps d’attente avant que la collectivité dans son ensemble puisse en bénéficier. À nous, ayant tiré, une fois n’est pas coutume, les leçons de l’Histoire, de pallier les désastres accompagnant un tel tournant et, mieux encore, de les anticiper, afin d’en restreindre les aspects négatifs et de donner toute leur ampleur à ceux qui sont bénéfiques pour assurer à chacun d’entre nous la véritable renaissance qu’ils portent en eux. La chose est possible, les moyens sont à notre disposition, seule manque la volonté, tout est une question de politique.
Examinant toutes les pistes s’ouvrant devant nous, nous pourrions établir enfin les fondements d’une égalité authentique – non monnayée cette fois – en nous octroyant à chacun une place sur cette terre : celle d’êtres ayant le droit de jouir des bienfaits de celle-ci, dès lors qu’elle les a prodigués à tous sans exception.
Après des siècles d’épuisement et de luttes pour échapper à la précarité – car rien ne nous fut donné –, nous avons le droit de réfléchir tout aussi bien au sens de notre vie qu’à la manière dont nous désirons la conduire.
Les révoltes de la jeunesse il y a cinquante ans, surgies de remises en question et du déferlement d’une créativité bouillonnante dont, dans notre fatalisme présent, nous avons perdu jusqu’au souvenir, nous pouvons non seulement les reformuler en notre nom, mais aussi leur apporter aujourd’hui les solutions pratiques qui leur conviennent puisque nous nous sommes procuré entre-temps les outils autorisant notre émancipation et assurant notre égalité – formule secrète parce qu’inavouée de notre bonheur. C’est ainsi que la nouvelle révolution industrielle de l’automation et de l’informatisation est pour nous la vraie chance – si nous savons la saisir – de rendre à notre monde sa vitalité et sa beauté et d’y trouver la voie qui nous conduit vers une libération.
C’est donc la politique au sens propre : notre manière de vivre en commun qui soit nous mènera à l’abîme, soit nous rendra notre statut d’être humain, libre et égal à tous, statut que, s’il était bien là aux origines, nous n’aurions jamais dû perdre, ou que nous devrions conquérir maintenant s’il nous avait toujours échappé.
Le travail est appelé à disparaître du fait de notre remplacement par une machine mieux outillée que nous et beaucoup plus rapide, sans qu’il soit nécessaire qu’il y ait là raison à davantage de disparités entre nous, puisqu’il s’agit du fruit splendide du génie humain, dont tous devraient bénéficier au même titre. Le travail restant, il faudrait le partager entre nous en fonction des compétences sans qu’il nous en coûte. Le temps ainsi libéré nous permettrait de siéger dans des assemblées de citoyens à part entière, soucieux de gérer la cité le mieux possible. Pour assurer dans ce nouveau cadre notre survie et notre rôle de consommateur des produits de l’industrie, ne serait-il pas juste de donner à chacun d’entre nous, comme base, le même revenu de manière inconditionnelle ?
D’un tel revenu universel de base, une somme allouée mensuellement à l’ensemble des adultes d’une nation, il est beaucoup question aujourd’hui. Chacun, quelle que soit sa fortune, en bénéficierait et cette somme, couvrant les besoins élémentaires d’un individu, rendrait inutiles les allocations existant aujourd’hui pour pallier les difficultés dues au manque de ressources (aide sociale) ou à la perte d’un emploi (allocations de chômage).
Le revenu universel de base constituerait une réponse au chômage structurel dû à la disparition accélérée de l’emploi, causée par l’automation et l’informatisation. La question serait réglée de facto en raison de l’indifférence qui serait désormais la nôtre au fait que nous ayons ou non un emploi, nos besoins élémentaires étant couverts et le sentiment de la sécurité apaisant notre inquiétude et nourrissant du coup notre foi en l’avenir.
Ceux d’entre nous qui bénéficient aujourd’hui de l’aide sociale et des allocations de chômage accueillent positivement cette proposition d’un revenu universel : ils y voient le moyen d’éviter la honte attachée au fait d’être bénéficiaire de ces allocations ainsi que l’humiliation des soupçons qui pèsent a priori sur eux qu’ils ou elles seraient en réalité des fraudeurs, vivant aux crochets de la collectivité.
Mais quel coût économique représenterait l’attribution d’une telle allocation à des personnes qui n’en ont pas un réel besoin ? Le revenu universel constitue-t-il par ailleurs une solution à la disparition globale du travail ou bien s’assimile-t-il à une simple mise entre parenthèses des questions que cette disparition soulève, la problématique véritable en arrière-plan, mais qui resterait alors occultée, étant celle d’une répartition équitable de la richesse créée ? Autre interrogation, portant cette fois sur une question de fond : celle que soulève déjà de son côté la pratique des dommages-intérêts : est-elle légitime et si oui, quelles sont alors les bornes d’une pratique qui substitue une somme d’argent à la solution authentique d’une question qui est en réalité une question de justice, une question touchant aux valeurs, portant sur des qualités bien davantage que sur des quantités ?
Comment prévenir aussi la prédation en tout ou en partie de la finance sur le revenu universel ? Chacun se souvient des hausses de loyers qui accompagnaient main dans la main les hausses de salaires. Aux États-Unis en 2009, une allocation de 4 000 $ avait été attribuée aux jeunes ménages accédant à la propriété ; le prix des logements avait aussitôt bondi du même montant.
Un exemple plus ancien est lui aussi instructif. Les pêcheurs artisans français avaient exprimé leur frustration devant le fait que parfois, leur pêche ne trouvait aucun acheteur et qu’il leur fallait alors rentrer à la maison les poches vides. Ils revendiquèrent l’instauration d’un « prix de retrait » ou « prix plancher » et ils l’obtinrent : un prix minime leur serait payé de toute manière et l’on ne rentrerait jamais de la criée absolument sans argent. Ce qui arriva, ce fut que les acheteurs alignèrent le prix qu’ils offraient sur le prix plancher qui devint automatiquement la norme, et à partir de ce moment le prix décolla rarement de ce niveau. Les pêcheurs y perdirent gros. On pourrait craindre de la même manière, dans un cadre de revenu universel, que le salaire mensuel de nombreux emplois n’aille s’aligner sur un euro symbolique, qui distinguerait l’emploi du chômage et signalerait la fierté d’un travail rémunéré en plus de la sécurité assurée par le revenu universel ! L’enfer aurait été une fois de plus pavé de bonnes intentions.
Par ailleurs, ce revenu, hors inscription dans un contexte politique devenu plus juste de manière irréversible, pourrait être remanié à la baisse par de futurs gouvernements ultralibéraux, sans compter d’éventuelles mesures rétrogrades prises par les établissements bancaires de leur propre initiative. La conséquence en serait une fois de plus un nivellement par le bas des ressources de la plupart d’entre nous au profit d’une élite carnassière, situation qui ne nous est hélas que trop familière. Cette solution ne serait alors qu’un redéploiement infini de l’injustice actuelle et un retour cruel aux siècles prédateurs d’autrefois, arasant le gain de toutes les luttes nées non d’un ressentiment sans fondement mais des nécessités de la survie et de la dignité d’être humain.
N’y a-t-il pas alors de meilleure façon de répondre aux soucis des bénéficiaires d’allocations ?
En 1792, au cœur le plus ardent de la Révolution française, dans son discours sur « les subsistances », Maximilien Robespierre posait la question suivante : « Quel est le premier objet de la société ? » Et il répondait ceci :
« C’est de maintenir les droits imprescriptibles de l’homme. Quel est le premier de ces droits ? Celui d’exister. La première loi sociale est donc celle qui garantit à tous les membres de la société les moyens d’exister ; toutes les autres sont subordonnées à celle-là ; la propriété n’a été instituée ou garantie que pour la cimenter ; c’est pour vivre d’abord que l’on a des propriétés. Il n’est pas vrai que la propriété ne peut jamais être en opposition avec la subsistance des hommes. Les aliments nécessaires à l’homme sont aussi sacrés que la vie elle-même. Tout ce qui est indispensable pour la conserver est une propriété commune à la société entière. Il n’y a que l’excédent qui soit une propriété individuelle et qui soit abandonnée à l’industrie des commerçants. […] Quel est le problème à résoudre en matière de législation sur les subsistances ? Le voici : assurer à tous les membres de la société la jouissance de la portion des fruits de la terre qui est nécessaire à leur existence, aux propriétaires ou aux cultivateurs le prix de leur industrie, et livrer le superflu à la liberté du commerce. Je défie le plus scrupuleux défenseur de la propriété de contester ces principes, à moins de déclarer ouvertement qu’il entend, par ce mot, le droit de dépouiller et d’assassiner ses semblables » (Maximilien Robespierre, Les subsistances [1792]).
La vie est notre bien le plus précieux et au sein du Grand Tournant que nous tentons périlleusement de négocier aujourd’hui, permettons à tous de la préserver par la gratuité, accessible enfin grâce aux progrès de notre civilisation : gratuité pour la satisfaction de tous les besoins assurant notre survie, gratuité de tout ce qui relève de l’indispensable : alimentation, logement, vêtements, santé, éducation, transports et, aujourd’hui, connectivité.
La gratuité pour la satisfaction de nos besoins de base renvoie la consommation à son fondement propre et qui devrait demeurer le sien : dans le nécessaire seulement, ce qui permettrait à la planète de se ressourcer, alors qu’un revenu universel de base octroyé à tous serait encore une manière pour nous de nous maintenir sur la voie de la consommation à tout crin, ceux qui n’en ont nul besoin étant alors tentés de dépenser la somme à des biens ou des services sans grande utilité, facteurs à l’inverse d’une dégradation supplémentaire de l’environnement. La gratuité répondrait aussi par avance à la critique malveillante que l’on adresse au revenu universel, que ses bénéficiaires iront « boire leur paie » : ni les drogues, ni le recours à la prostitution, ni les paris ou loteries n’appartiennent en effet à la catégorie de l’indispensable.
La gratuité nous ramène à la vérité de notre statut d’habitants-citoyens de la terre : est-il logique et défendable que certains s’approprient notre héritage naturel comme l’eau ou l’air ? La terre nous appartient à tous, aussi bien en tant que membres d’une grande famille qu’en tant que personnes méritant en tant que telles le respect. Nul ne devrait pouvoir limiter notre accès à ce que notre planète nous prodigue, à condition que nous respections autrui autant que nous la respectons elle.
Enfin, cette gratuité, en nous rendant notre responsabilité, nous restitue en même temps notre égalité, qui nous fut volée il y a des siècles. Pourquoi en effet toujours remettre à demain la réalisation d’un jardin d’Éden sur notre terre ? Nous pourrions vivre enfin pleinement le troisième millénaire qui s’ouvre à nous car nous ne sommes pas pauvres, comme on nous le répète pourtant à l’envi, nous payons seulement le prix et nous souffrons les peines d’une concentration obscène de la richesse.
Proposition : Distinguons le nécessaire du superflu et faisons-les relever de deux régimes économiques distincts, comme le proposait déjà l’un de nos prestigieux aînés, qualifié d’« incorruptible », un titre dont un nombre infiniment rare d’entre nous sommes dignes.
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utopiedujour · 7 years
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« Vers un nouveau monde » (à paraître le 23 août) : La gratuité pour tout ce qui relève de l’indispensable
Ouvert aux commentaires. Un chapitre de mon nouveau livre-manifeste.
LE MONDE TEL QU’IL DEVRAIT ÊTRE
7. La gratuité pour tout ce qui relève de l’indispensable
La deuxième révolution industrielle a nécessité un très long temps d’attente avant que la collectivité dans son ensemble puisse en bénéficier. À nous, ayant tiré, une fois n’est pas coutume, les leçons de l’Histoire, de pallier les désastres accompagnant un tel tournant et, mieux encore, de les anticiper, afin d’en restreindre les aspects négatifs et de donner toute leur ampleur à ceux qui sont bénéfiques pour assurer à chacun d’entre nous la véritable renaissance qu’ils portent en eux. La chose est possible, les moyens sont à notre disposition, seule manque la volonté, tout est une question de politique.
Examinant toutes les pistes s’ouvrant devant nous, nous pourrions établir enfin les fondements d’une égalité authentique – non monnayée cette fois – en nous octroyant à chacun une place sur cette terre : celle d’êtres ayant le droit de jouir des bienfaits de celle-ci, dès lors qu’elle les a prodigués à tous sans exception.
Après des siècles d’épuisement et de luttes pour échapper à la précarité – car rien ne nous fut donné –, nous avons le droit de réfléchir tout aussi bien au sens de notre vie qu’à la manière dont nous désirons la conduire.
Les révoltes de la jeunesse il y a cinquante ans, surgies de remises en question et du déferlement d’une créativité bouillonnante dont, dans notre fatalisme présent, nous avons perdu jusqu’au souvenir, nous pouvons non seulement les reformuler en notre nom, mais aussi leur apporter aujourd’hui les solutions pratiques qui leur conviennent puisque nous nous sommes procuré entre-temps les outils autorisant notre émancipation et assurant notre égalité – formule secrète parce qu’inavouée de notre bonheur. C’est ainsi que la nouvelle révolution industrielle de l’automation et de l’informatisation est pour nous la vraie chance – si nous savons la saisir – de rendre à notre monde sa vitalité et sa beauté et d’y trouver la voie qui nous conduit vers une libération.
C’est donc la politique au sens propre : notre manière de vivre en commun qui soit nous mènera à l’abîme, soit nous rendra notre statut d’être humain, libre et égal à tous, statut que, s’il était bien là aux origines, nous n’aurions jamais dû perdre, ou que nous devrions conquérir maintenant s’il nous avait toujours échappé.
Le travail est appelé à disparaître du fait de notre remplacement par une machine mieux outillée que nous et beaucoup plus rapide, sans qu’il soit nécessaire qu’il y ait là raison à davantage de disparités entre nous, puisqu’il s’agit du fruit splendide du génie humain, dont tous devraient bénéficier au même titre. Le travail restant, il faudrait le partager entre nous en fonction des compétences sans qu’il nous en coûte. Le temps ainsi libéré nous permettrait de siéger dans des assemblées de citoyens à part entière, soucieux de gérer la cité le mieux possible. Pour assurer dans ce nouveau cadre notre survie et notre rôle de consommateur des produits de l’industrie, ne serait-il pas juste de donner à chacun d’entre nous, comme base, le même revenu de manière inconditionnelle ?
D’un tel revenu universel de base, une somme allouée mensuellement à l’ensemble des adultes d’une nation, il est beaucoup question aujourd’hui. Chacun, quelle que soit sa fortune, en bénéficierait et cette somme, couvrant les besoins élémentaires d’un individu, rendrait inutiles les allocations existant aujourd’hui pour pallier les difficultés dues au manque de ressources (aide sociale) ou à la perte d’un emploi (allocations de chômage).
Le revenu universel de base constituerait une réponse au chômage structurel dû à la disparition accélérée de l’emploi, causée par l’automation et l’informatisation. La question serait réglée de facto en raison de l’indifférence qui serait désormais la nôtre au fait que nous ayons ou non un emploi, nos besoins élémentaires étant couverts et le sentiment de la sécurité apaisant notre inquiétude et nourrissant du coup notre foi en l’avenir.
Ceux d’entre nous qui bénéficient aujourd’hui de l’aide sociale et des allocations de chômage accueillent positivement cette proposition d’un revenu universel : ils y voient le moyen d’éviter la honte attachée au fait d’être bénéficiaire de ces allocations ainsi que l’humiliation des soupçons qui pèsent a priori sur eux qu’ils ou elles seraient en réalité des fraudeurs, vivant aux crochets de la collectivité.
Mais quel coût économique représenterait l’attribution d’une telle allocation à des personnes qui n’en ont pas un réel besoin ? Le revenu universel constitue-t-il par ailleurs une solution à la disparition globale du travail ou bien s’assimile-t-il à une simple mise entre parenthèses des questions que cette disparition soulève, la problématique véritable en arrière-plan, mais qui resterait alors occultée, étant celle d’une répartition équitable de la richesse créée ? Autre interrogation, portant cette fois sur une question de fond : celle que soulève déjà de son côté la pratique des dommages-intérêts : est-elle légitime et si oui, quelles sont alors les bornes d’une pratique qui substitue une somme d’argent à la solution authentique d’une question qui est en réalité une question de justice, une question touchant aux valeurs, portant sur des qualités bien davantage que sur des quantités ?
Comment prévenir aussi la prédation en tout ou en partie de la finance sur le revenu universel ? Chacun se souvient des hausses de loyers qui accompagnaient main dans la main les hausses de salaires. Aux États-Unis en 2009, une allocation de 4 000 $ avait été attribuée aux jeunes ménages accédant à la propriété ; le prix des logements avait aussitôt bondi du même montant.
Un exemple plus ancien est lui aussi instructif. Les pêcheurs artisans français avaient exprimé leur frustration devant le fait que parfois, leur pêche ne trouvait aucun acheteur et qu’il leur fallait alors rentrer à la maison les poches vides. Ils revendiquèrent l’instauration d’un « prix de retrait » ou « prix plancher » et ils l’obtinrent : un prix minime leur serait payé de toute manière et l’on ne rentrerait jamais de la criée absolument sans argent. Ce qui arriva, ce fut que les acheteurs alignèrent le prix qu’ils offraient sur le prix plancher qui devint automatiquement la norme, et à partir de ce moment le prix décolla rarement de ce niveau. Les pêcheurs y perdirent gros. On pourrait craindre de la même manière, dans un cadre de revenu universel, que le salaire mensuel de nombreux emplois n’aille s’aligner sur un euro symbolique, qui distinguerait l’emploi du chômage et signalerait la fierté d’un travail rémunéré en plus de la sécurité assurée par le revenu universel ! L’enfer aurait été une fois de plus pavé de bonnes intentions.
Par ailleurs, ce revenu, hors inscription dans un contexte politique devenu plus juste de manière irréversible, pourrait être remanié à la baisse par de futurs gouvernements ultralibéraux, sans compter d’éventuelles mesures rétrogrades prises par les établissements bancaires de leur propre initiative. La conséquence en serait une fois de plus un nivellement par le bas des ressources de la plupart d’entre nous au profit d’une élite carnassière, situation qui ne nous est hélas que trop familière. Cette solution ne serait alors qu’un redéploiement infini de l’injustice actuelle et un retour cruel aux siècles prédateurs d’autrefois, arasant le gain de toutes les luttes nées non d’un ressentiment sans fondement mais des nécessités de la survie et de la dignité d’être humain.
N’y a-t-il pas alors de meilleure façon de répondre aux soucis des bénéficiaires d’allocations ?
En 1792, au cœur le plus ardent de la Révolution française, dans son discours sur « les subsistances », Maximilien Robespierre posait la question suivante : « Quel est le premier objet de la société ? » Et il répondait ceci :
« C’est de maintenir les droits imprescriptibles de l’homme. Quel est le premier de ces droits ? Celui d’exister. La première loi sociale est donc celle qui garantit à tous les membres de la société les moyens d’exister ; toutes les autres sont subordonnées à celle-là ; la propriété n’a été instituée ou garantie que pour la cimenter ; c’est pour vivre d’abord que l’on a des propriétés. Il n’est pas vrai que la propriété ne peut jamais être en opposition avec la subsistance des hommes. Les aliments nécessaires à l’homme sont aussi sacrés que la vie elle-même. Tout ce qui est indispensable pour la conserver est une propriété commune à la société entière. Il n’y a que l’excédent qui soit une propriété individuelle et qui soit abandonnée à l’industrie des commerçants. […] Quel est le problème à résoudre en matière de législation sur les subsistances ? Le voici : assurer à tous les membres de la société la jouissance de la portion des fruits de la terre qui est nécessaire à leur existence, aux propriétaires ou aux cultivateurs le prix de leur industrie, et livrer le superflu à la liberté du commerce. Je défie le plus scrupuleux défenseur de la propriété de contester ces principes, à moins de déclarer ouvertement qu’il entend, par ce mot, le droit de dépouiller et d’assassiner ses semblables » (Maximilien Robespierre, Les subsistances [1792]).
La vie est notre bien le plus précieux et au sein du Grand Tournant que nous tentons périlleusement de négocier aujourd’hui, permettons à tous de la préserver par la gratuité, accessible enfin grâce aux progrès de notre civilisation : gratuité pour la satisfaction de tous les besoins assurant notre survie, gratuité de tout ce qui relève de l’indispensable : alimentation, logement, vêtements, santé, éducation, transports et, aujourd’hui, connectivité.
La gratuité pour la satisfaction de nos besoins de base renvoie la consommation à son fondement propre et qui devrait demeurer le sien : dans le nécessaire seulement, ce qui permettrait à la planète de se ressourcer, alors qu’un revenu universel de base octroyé à tous serait encore une manière pour nous de nous maintenir sur la voie de la consommation à tout crin, ceux qui n’en ont nul besoin étant alors tentés de dépenser la somme à des biens ou des services sans grande utilité, facteurs à l’inverse d’une dégradation supplémentaire de l’environnement. La gratuité répondrait aussi par avance à la critique malveillante que l’on adresse au revenu universel, que ses bénéficiaires iront « boire leur paie » : ni les drogues, ni le recours à la prostitution, ni les paris ou loteries n’appartiennent en effet à la catégorie de l’indispensable.
La gratuité nous ramène à la vérité de notre statut d’habitants-citoyens de la terre : est-il logique et défendable que certains s’approprient notre héritage naturel comme l’eau ou l’air ? La terre nous appartient à tous, aussi bien en tant que membres d’une grande famille qu’en tant que personnes méritant en tant que telles le respect. Nul ne devrait pouvoir limiter notre accès à ce que notre planète nous prodigue, à condition que nous respections autrui autant que nous la respectons elle.
Enfin, cette gratuité, en nous rendant notre responsabilité, nous restitue en même temps notre égalité, qui nous fut volée il y a des siècles. Pourquoi en effet toujours remettre à demain la réalisation d’un jardin d’Éden sur notre terre ? Nous pourrions vivre enfin pleinement le troisième millénaire qui s’ouvre à nous car nous ne sommes pas pauvres, comme on nous le répète pourtant à l’envi, nous payons seulement le prix et nous souffrons les peines d’une concentration obscène de la richesse.
  Proposition : Distinguons le nécessaire du superflu et faisons-les relever de deux régimes économiques distincts, comme le proposait déjà l’un de nos prestigieux aînés, qualifié d’« incorruptible », un titre dont un nombre infiniment rare d’entre nous sommes dignes.
Promouvons la gratuité pour tout ce qui relève de l’indispensable : alimentation, logement, vêtements, santé, éducation, transports, connectivité.
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utopiedujour · 7 years
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« Vers un nouveau monde » (à paraître le 23 août) : L’État de bien-être ne doit pas être soumis aux aléas de la croissance
Ouvert aux commentaires. Deux chapitres complémentaires de mon nouveau livre-manifeste.
LE MONDE TEL QU’IL EST
7. L’État de bien-être
Cet État-Providence, dont le deuxième terme de l’expression perd davantage son sens de jour en jour, nous est envié par d’innombrables êtres humains aux quatre coins de la planète, n’hésitant pas malheureusement trop souvent à mettre leur vie en jeu pour être admis au statut de l’un de ses bénéficiaires.
L’État-Providence, qu’il faudrait appeler, plutôt que par ce terme de dérision, « État de bien-être », comme le font les Anglo-Saxons, est l’un des rares modèles de structure sociale à caractère véritablement humaniste. Nous devrions en être très fiers, car il a été construit au fil d’âpres luttes et représente à ce jour le creuset des nécessités propres à l’être humain, indéniables aussi à travers l’Histoire.
Sa construction s’est édifiée sur celle de la solidarité, valeur suprême qui nous a permis de forger notre destin. C’est par elle que nous avons franchi infiniment d’obstacles, tant au niveau de notre survie matérielle qu’au niveau de notre besoin – inhérent à notre condition d’être humain – d’appartenir à un groupe dans lequel nous pouvons reconnaître autrui et en être reconnus.
Cet État transcende l’appartenance laïque ou religieuse, il représente au mieux ce que sont les véritables droits de l’homme, tant critiqués et remis en cause aux temps sombres que nous vivons aujourd’hui. Ce berceau de notre identité s’efface devant les coups de boutoir que lui portent les ennemis de l’humanisme historique.
Nous le constatons d’abord au niveau matériel lorsque, malgré le travail de toute une vie, nous accédons à une retraite nous permettant à peine de subsister, alors que d’autres, habitués à l’oisiveté, jouissent d’une santé et d’un revenu défiant l’éternité.
Nous sommes fragilisés aussi lorsque, vivant dans des régions où des industries d’un autre âge ont disparu, nous sommes mis en demeure de trouver un emploi dont l’occurrence n’a qu’une faible probabilité car cette fonction pourrait de plus en plus souvent être assurée par une machine. Le devenir propre à l’Histoire s’est retourné contre nous, sans que nous puissions répondre, tant est répandu le préjugé que nous sommes, individuellement, responsables et redevables même de notre existence. Notre atomisation est extrême et nous nous demandons à quel titre nous pourrions encore nous rattacher à la société qui exige férocement de nous des comptes tout en nous acculant à l’isolement. Nous en arrivons à nous sentir inutiles et ce sentiment suscite en nous la tentation nihiliste de tout détruire autour de nous ou de disparaître nous-mêmes.
Enfin, si nous devions tomber malades, nous craignons de plus en plus une consultation médicale ou une intervention, même banale, car les soins médicaux nous semblent inaccessibles du fait de leur coût. À l’opposé, nous nous voyons abreuvés d’images ou d’informations concernant un certain transhumanisme, un paradis au sein duquel nous pourrions récupérer quelques forces, mais nous comprenons d’emblée qu’il est destiné à une classe qui nous est étrangère, son attention fixée sur des objectifs égoïstes de perfectibilité et d’immortalité dans une vie tout entière privée de sens car coupée de l’échange avec les autres. Ce contraste nous est insoutenable lorsque la majorité de la population mondiale n’a pas accès à des soins médicaux de base.
Nous sommes d’ailleurs à peine surpris lorsqu’un film de science-fiction à grand spectacle, Elysium, nous brosse le portrait d’un monde non pas d’après-demain, mais de demain déjà, où l’humanité s’est scindée en deux sous-espèces distinctes : alors que l’une poursuit sa vie sur une terre où les villes ont toutes régressé au rang de bidonville, entourées d’un environnement pollué et dégradé pareil à un terrain vague s’étendant à perte de vue, l’autre portion du genre humain, privilégiée, elle, vit dans un monde idéal de villas luxueuses au sein de parcs impeccablement toilettés, dont chacune possède, comme un meuble de salon, un sarcophage permettant de guérir de toute maladie et garantissant du coup une immortalité meublée seulement de loisirs infinis. Nous sommes à peine surpris car ce monde de demain, scindé, à deux vitesses, nous en lisons le projet déjà bien avancé dans celui d’aujourd’hui.
Le talon d’Achille de l’État de bien-être est que l’État lui-même est depuis près de quarante ans conçu comme une entreprise commerciale. Faute pour l’État de bien-être d’avoir véritablement été inscrit dans nos institutions, la capacité de l’État à nous aider est devenue inextricablement liée à la croissance économique, très affaiblie par les temps qui courent.
Ainsi, le sort aussi bien que le but de cet État se trouve-t-il détourné de manière perverse de sa voie initiale, celle de protéger les plus démunis d’entre nous, au profit du marché triomphant.
Le monde tel qu’il devrait être
5. Faire de l’État-Providence une institution irréversible et intangible
Pendant que disparaît notre travail, un autre pilier de notre vie se fragilise parallèlement, qui la structurait et la confortait : ce que nous appelons l’État-Providence, mais que nous devrions désigner, à l’instar des Anglo-Saxons, « État de bien-être ». Son aide est en effet de moins en moins perceptible lorsque la maladie nous force à recourir aux soins de santé, lorsque nous cherchons désespérément une activité rémunératrice ou lorsqu’au soir de notre vie, nous avons besoin d’être aidés, car la vieillesse et ses handicaps prennent possession de nous.
Cette prétendue « Providence », soyons-en pleinement conscients, c’est bien nous qui l’avons appelée de nos vœux et conquise comme fruit de nos revendications, lorsque nous croulions sous le poids de longues journées de travail mal payées et d’une exploitation sans merci. Nous étions en quête d’un repos minimal, d’une assistance pour les jours où notre force de travail s’éteindrait après de nombreuses années sans plainte, ou lorsque la vie se serait montrée particulièrement cruelle envers nous. Luttant ensemble contre sa précarité, nous avons réussi à bâtir un édifice basé sur la solidarité car nous savions que seuls, nous étions impuissants face à la somme de malheurs que nous subissions. Cette solidarité a heureusement porté ses fruits. C’est elle qui nous a rendus plus forts et, au-delà de l’assistance matérielle, nous a rendu notre liberté d’expression et de revendication lorsque les circonstances l’exigent. C’est là un héritage dont nous pouvons être fiers et qui donne ses lettres de noblesse à notre humanité.
Alors que nous ressentons avec acuité le besoin d’être épaulés, dans le climat présent de disparition de l’emploi et d’une destruction massive de notre habitat qui est le produit d’une économie de marché « fondamentaliste », le reflux de la structure de l’État de bien-être nous laisse à l’abandon, nous reléguant au rang de spectateurs impuissants de nos malheureuses tribulations, n’arrivant pas à distinguer clairement qui vraiment nous dirige et quelles sont les instances auxquelles nous obéissons réellement.
Le malheur qui nous envahit nous est justifié par un principe plus que fallacieux selon lequel puisque la croissance diminue, il est normal que l’assistance de l’État se réduise d’autant. Ce retranchement arbitraire, nous le vivons comme une injustice brutale.
Nous vivons la troisième Révolution industrielle, nous n’avons guère le choix face au changement technologique immense qui bouleverse notre vie et nous devrions nous-mêmes assumer individuellement cette transition en nous proclamant auto-entrepreneurs (mais entrepreneurs de quoi ?) et en nous assurant nous-mêmes auprès de firmes à la recherche du profit, pénalisant du coup par une « prime de risque » ceux d’entre nous qui devraient au contraire bénéficier du meilleur soutien.
C’est bien le vent de l’ultralibéralisme qui souffle sur nos contrées, tendant à nous obliger, comme aux États-Unis, à nous prémunir nous-mêmes des accidents de la vie. Ce nouveau type de libéralisme prône, encore plus que l’ancien, le modèle de l’individualisme, de la compétitivité, l’admiration de celui qui « ose » prendre des risques, alors que c’est la collectivité qui paie de manière générale les pots cassés de ses engagements hasardeux.
Face à l’arrogance de ces apprentis « maîtres du monde » se tient la foule faite de nous autres, de plus en plus inquiète et malheureuse, livrée à elle-même et aux vicissitudes du destin comme lors de ces jours de grève que la faim et le désespoir rendaient interminables.
Au moment où beaucoup doivent choisir entre manger et se loger, se soigner et apprendre – et la liste est longue de ces cas de figure tragiques –, l’arrogance des très mal nommées « élites » nous enjoint de ne nous en prendre qu’à nous-mêmes pour ce déplorable état de fait.
Or, les ressources sont là, matérielles, intellectuelles, grâce à la technologie, et aussi humaines, grâce au sens de la solidarité qui nous a amenés jusqu’ici à nous montrer fraternels pour compenser les inégalités naturelles. Il est donc inacceptable de proclamer avec outrecuidance la mort de l’État de bien-être au nom d’une croissance qui ne reviendrait pas, essentiellement parce que ses fruits sont confisqués plutôt que partagés.
Bien au contraire, c’est l’État de bien-être qui doit nous offrir, grâce à l’autonomie qu’il nous procure, la possibilité de croître, de sortir grandis de notre traversée d’une période de transition sombre sans doute, mais nécessaire car elle trace la voie vers une renaissance. C’est à l’État de maintenir ce phare de l’État de bien-être au milieu de la nuit qui nous encercle, en l’inscrivant dans notre Constitution et en le mettant une fois pour toutes à l’abri des aléas de la croissance.
Proposition : Faisons de l’État-Providence une institution irréversible et intangible, en mettant fin à la dépendance qui le lie aujourd’hui à la croissance et subordonne son existence aux caprices de celle-ci, et en inscrivant la nécessité de leur consubstantialité dans la Constitution.
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