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#comment faire revenir les sentiments de sa femme
mediumbabavigan · 4 days
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Comment faire revenir les sentiments de sa femme. / Comment faire revenir les sentiments de sa femme ou son homme. - FAIRE REVENIR LES SENTIMENTS DE MON BIEN AIME.
Comment faire revenir les sentiments de sa femme. / Comment faire revenir les sentiments de sa femme ou son homme. - FAIRE REVENIR LES SENTIMENTS DE MON BIEN AIME.
Raviver les Sentiments de Ton Bien-Aimé avec l’Aide d’un Medium : Le Guide Complet Baba Vigan. Comment faire revenir les sentiments de sa femme, l’amour est souvent comparé à une flamme : il peut brûler intensément au début, mais au fil du temps, il peut s’affaiblir si on ne prend pas soin de la relation. Lorsque les sentiments de ton bien-aimé semblent s’éteindre, il peut être difficile de…
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assogba · 2 years
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EST-IL TOUJOURS POSSIBLE DE RECONQUÉRIR SON EX
EST-IL TOUJOURS POSSIBLE DE RECONQUÉRIR SON EX EST-IL TOUJOURS POSSIBLE DE RECONQUÉRIR SON EX ?Est-il Toujours possible de reconquérir son ex. Dominer votre vie au lieu de la subir. Faire revenir son amoureux parti pour cause d’infidélité ou pour d’autres raisons diverses. Vous Rencontrer de soucis au Sein de Votre Couple. Faite Appel au Service Du Grand Marabout ROI ASSOGBAVous êtes…
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maraboutdjemey · 4 months
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Quel est le comportement d'une personne envoutée ?
A quoi sert l’envoûtement du retour amoureux de l’ex aimé par les différentes sortes de magie? L’envoûtement de retour amoureux (ou ensorcellement) est une opération de magie blanche, de magie noire ou de haute magie, consistant à effectuer un sortilège
Envoûtement de magie noire sert à faire du mal à une personne tandis que les envoûtements de magie blanche servent à faire le bien. La personne effectuant un sortilège envoûtement de retour amoureux magie blanche est généralement appelée mage tandis que celle effectuant un sortilège de magie noire est appelée sorcière, ou sorcier. Elle se sert d’un support concernant la cible (la personne) à…
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e642 · 10 months
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"Il m'a apporté de la légèreté dans certaines périodes dures, il m'a aussi appris à gérer ma colère et réguler mes émotions." Un apport bien maigre par rapport à ce qu'il te fait vivre, développé ?
Passif agressif cette question. Ma foi, j'avais pris le soin de spécifier que ce n'était pas l'objet de la précédente question d'où le fait que je n'ai pas développé mais je peux le faire. En vrac et sous forme de liste voici les raisons de pk mon mec n'est pas entièrement une odieuse personne dénuée de sentiments.
La légèreté: en effet cette année a été ce que l'on pourrait qualifier de virage à 180° supplément trafic dense et verglas. J'ai eu d'importants pb de santé et des grosses décisions à prendre (Cf période des masters). Là où j'ai aimé son côté léger c'est que pendant cette période, je n'avais pas envie de parler de ça, de mes angoisses et mon malaise, je voulais qu'absolument tout le monde me foute la paix avec les questions type "tu vas faire quoi l'année pro ?", "Et ça donne quoi les masters alors ?", "Roh une licence pour rien ?", "T'en as pas marre d'être tjrs malade ?", ect. Lui n'a jamais abordé ces questions car il savait que j'avais juste pas envie d'en parler et ça m'a fait du bien de rester dans une atmosphère safe dans le sens loin de tout ça. Ya des pb dont t'as besoin de parler pour aller mieux et d'autres dont tu veux absolument éviter de ne seulement que laisser une emprunte vocale dans l'univers. Peut-être que c'est aussi qu'il en avait rien à foutre mais peu importe la raison, le fait est que j'ai apprécié ne pas avoir à me justifier.
La tolérance: c'est quelqu'un qui aime pousser les autres dans le retranchement et qui ne connaît pas même ses propres limites pour certaines choses. J'ai appris à me détendre un peu, à rester tranquille avant de le démarrer. Il m'a appris, ou plutôt, il m'a permis de mettre en pratique le fait de réagir à froid et non plus à chaud. Au lieu d'exploser de colère à son égard direct, bien que ça ait été mérité, j'ai appris à exploser de colère de mon côté, me calmer et revenir vers lui avec l'esprit clair. Le meilleur exemple reste le jour où il m'a avoué sa tromperie, avant de l'agresser verbalement et me mettre en situation de difficulté où je serai reprochable, j'ai pris la décision de me calmer et revenir lui demander tranquillement de me raconter.
La confrontation avec moi: ma rupture précédente, il y a quelques années, m'a mise à terre. J'ai réussi à en tirer des leçons et à me sentir reconnaissante même de cet évènement. En effet, sans cette rupture, je n'aurais pas eu certains déclics. La vérité c'est que jusque là, c'était des mantras, je me disais "ok dans ma prochaine relation faut que je fasse ci, que je fasse ça", mais je n'avais jamais eu l'occasion de remettre en pratique. Savoir que la communication est la clef c'est bien, réussir à ne pas se braquer, à aller vers l'autre, à discuter sans frontalement reprocher et se mettre l'autre à dos en est une autre. Je découvre une réelle congruence entre comment je veux réagir et comment je réagis vraiment, c'est signe de travail. Et je dirais que ça l'aide, je lui donne les bons gestes, les bonnes réactions selon mes critères, il en fait ce qu'il veut. Si c'est perdu, ça ne sera jamais pour moi.
La rigueur: je pourrais me comporter comme une merde, aller revoir mon ex, me venger pour la tromperie, être franchement condescendante voire méchante. Pourtant, j'ai décidé d'être carré avec lui jusqu'à la fin pour lui montrer qu'une femme peut avoir une réelle bienveillance à son égard. Que tout n'est pas une question de calcul.
Les traumas: il en a, issu d'une famille éclatée par la tromperie, enfant du milieu jamais calculé et ex particulièrement toxique, il y a des choses à panser. Je ne me mets pas en position de sauveuse, je veux seulement dire que son passé impacte son présent et du coup son futur. La seule chose que je peux faire pour lui c'est être fidèle, lui donner de l'importance et lui faire comprendre que le relationnel, les relations sentimentales ne sont pas une vaste compétition de qui brisera l'autre en premier, de qui insérera ses doigts plein de sel dans les plaies de l'autre en premier. Et je le sens plus ouvert, il fait un travail sur lui. C'est pas avec moi qui sera la meilleure version de lui même mais avec la prochaine, autant essayer de lui redonner une vision claire des choses et une balance correcte. Rien n'est binaire en ce qui concerne les émotions.
Le sexe: il m'a permis d'ouvrir mon regard sur le sexe en se montrant particulièrement safe, non jugeant, et dans le moment. Il fait très bien l'amour, ça me permet de dire qu'il n'est pas profondément teubé non plus. Il sait écouter, enregistrer et appliquer. Bizarrement, je me suis rarement autant régalée qu'avec lui car bien qu'il ait des failles à ce niveau là, il fait preuve d'une étonnante douceur et bienveillance. Je n'ai jamais reçu une remarque reevant de près ou de loin du body shame de sa part, pourtant il y aurait matière (mutilation, peau acnéique, vitiligo dans le dos, ectt). Il a tjrs été très rassurant en ce qui concerne les règles, les poils, le corps. C'est normal oui, mais les normes ont changé, c'est donc rare et donc à souligner.
Les petites attentions: bien qu'il en loupe des évidentes (Cf arriver 20 min en retard à la gare et me laisser croupir sous la flotte), il est capable de faire des petites attentions (m'apporter un redbull, me complimenter, retenir un truc qui m'a plu ect).
Naturel: Il est nature peinture et c'est appréciable, il a désacralisé -sans se rendre compte- le rôle de la meuf qui doit être parfaite, fifille, pudique, qui fait pas caca. Il me permet d'être dans une certaine mesure moi. Il n'y a qu'avec ce mec que j'ai pu aller faire des randos à 3h du mats, aller voir des couchers de soleil, instaurer une baignade par mois, ect. J'ai tjrs été une meuf qui aime bien la nature, les trucs atypiques et lui aussi, donc c'est agréable.
bonus: j'ai un toc qui consiste à m'arracher frénétiquement la peau autour de mes ongles sans même m'en rendre compte ou encore à bouger sans cesse mes jambes même quand je pionce, bah du plus loin que je me souvienne avec lui, il a tjrs pris mes doigts ou mis ses jambes sur les miennes pour que j'arrête et ça signifie bcp pour moi
Je m'arrête là, j'ai pas écrit tout ça pour le protéger, faire changer d'avis ou encore le faire mieux paraître. Juste, je liste ce qu'il fait de bien ou provoque de bien. Il faut dire quand c'est de la merde mais aussi quand c'est bien. Donc à bon entendeur, perso, je prends pas de parti, c'est quelqu'un de bien mais un peu immature
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manue-ringo · 5 months
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Sentiments dévoilés partie 2
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Un sourire narquois se dessina sur les lèvres de Parker alors qu'elle reprenait la parole, sa voix teintée d’une ironie qui trahissait son anxiété intérieure :
J’ignore comment tu t’y es pris pour parvenir à tes fins, car j’avoue que j’ai encore du mal à y croire. Surtout que, visiblement, j’étais souffrante. Tu m’expliques ? Dit-elle, sa nervosité transparaissant dans la montée de sa voix.
Mulder se redressa légèrement, contrarié par les sous-entendus de son amie. Il prit une grande inspiration, essayant de garder son calme :
Il n’y a rien à expliquer, Andrea. Tu refuses de voir l’évidence, c’est tout. Tu te fais du mal pour rien. Pourquoi refuses-tu de l’admettre ? Demanda-t-il, sa frustration se mêlant à une sincérité palpable.
Parker, l'air songeur, commençait à regretter amèrement sa venue. Elle sentait la tension monter en elle, une tempête d’émotions qu’elle peinait à contrôler. Elle décida de jouer la carte de la provocation, espérant percer la carapace de Mulder. Elle déclara, un peu rougissante mais les yeux fixés sur lui :
Oui, je pense avoir compris. Tu as profité de mon état pour tenter de me baiser, hein ? C’est ça ? Avoue-le !
Mulder crut mal entendre. Les paroles blessantes de Parker le mirent dans tous ses états, son cœur se serrant à la pensée qu’elle puisse vraiment le croire capable d’un tel acte. Il reprit, la mine outrée, une douleur visible dans ses yeux :
Comment peux-tu dire une chose pareille ? J’espère que tu ne penses pas ce que tu dis ! Je pensais sincèrement qu’on avait dépassé ce stade. Je te parle à cœur ouvert, et toi, tu t’évertues à… C’est quoi ton problème ?
Parker fit la moue, évitant soigneusement son regard foudroyant. Elle sentait ses défenses s’effriter sous la pression des émotions refoulées, mais elle ne voulait pas céder. Mulder, quant à lui, semblait décidé à mettre fin à ce jeu de dupes une bonne fois pour toutes. Il reprit, la voix chargée d’une gravité nouvelle :
Tout ce que je te demande, c’est de te montrer enfin honnête avec moi. Pourquoi est-ce si difficile pour toi ?
Je n’ai pas besoin de te prouver quoi que ce soit, Mulder. Tu connais déjà la réponse ! Après ce qu’on a vécu là-bas, je pensais que ça te suffirait ! Tu ne peux pas savoir à quel point j’ai eu peur de te perdre ! Je t’avais pourtant prévenu. Notre semblant de relation nous a rendus vulnérables aux yeux de notre ennemi ! Il t’a utilisé pour m’avoir, et ça a failli marcher. Répondit-elle subitement, sa voix tremblante d’émotion. Elle semblait sincère, ses yeux brillants d’une inquiétude sincère.
Mulder marqua une pause, absorbant les paroles de Parker. Il ressentit un mélange de douleur et de compréhension. Il reprit sur un ton plus calme, son regard adoucissant les mots :
C’est très juste, en effet. Merci de le reconnaître. Mais il y a une chose que j’ai apprise à travers mon amitié avec Scully, c’est qu’elle m’a rendu plus fort. Sans elle, je n’aurais jamais trouvé la force de continuer à me battre. Tu n’as donc pas à t’en faire pour ça.
Parker semblait pensive à cet instant. Elle dut reconnaître qu’il n’avait pas tout à fait tort là-dessus. La jeune femme commençait à regretter de s’être emportée de cette façon avec lui. Elle reprit, une lueur de remords dans ses yeux :
Pardon de m’être emportée, je ne sais pas ce qui m’a pris. C’est juste que… Cette putain d’amnésie est en train de me rendre dingue, tu comprends ? Je me fiche de ce qu’on a bien pu faire au final. Ce qui m’importe vraiment, c’est de guérir. Le reste n’a aucune importance.
Mulder hocha lentement la tête, comprenant la détresse sous-jacente de Parker. Il posa doucement sa main sur la sienne, lui transmettant une chaleur rassurante :
Bien entendu, c’est ce que je souhaite au plus profond de moi également. Nous sommes tous avec toi dans ce combat. Ce qui compte, c’est que tu guérisses à tout prix. Je suis sûr qu’on trouvera une solution. Et pour revenir à notre conversation, ça n’aurait jamais marché de toute façon. Dit-il, le regard perdu ailleurs.
Un silence pesant s’installa entre eux, chacun absorbé par ses propres pensées. Parker reprit, quelque peu agacée par les dernières paroles de son partenaire :
Tu y croyais vraiment, n’est-ce pas ? Tu sembles extrêmement déçu. Écoute, Mulder, je vais être claire avec toi. Au vu de mon état, il est évident qu’une quelconque histoire entre nous serait un échec cuisant, à cause de ces pertes de mémoire. Je veux dire que, si tel était le cas, il serait regrettable de ne pas pouvoir me souvenir de ces moments passés ensemble où on s’enverrait en l’air chaque soir après le boulot. Imagine un peu ça. Dit-elle dans un rire sans joie, ses yeux brillants d’une lueur d’amusement désabusé.
Mulder ne sut quoi répondre. Les paroles de Parker le laissèrent quelque peu troublé, incapable de démêler le sérieux de l’ironie. Il reprit, tentant de cacher sa gêne évidente par un sourire maladroit :
Je suppose que c’était ironique. Cela dit, dans un tel cas, j’aurais surtout tout intérêt à tenir le rythme avec toi. Dit-il en riant nerveusement, son cœur battant la chamade.
Parker fut surprise par la réponse du jeune homme, un sourire espiègle se formant sur ses lèvres malgré elle. Elle réfléchit un instant, quelque peu rougissante, puis répondit, le regard brillant de malice :
Je ne te le fais pas dire, chéri. Laisse-moi d’abord le temps de me remettre sur pied, et j’y réfléchirai.
Elle lui lança un clin d’œil complice, un geste qui allégea brièvement l’atmosphère lourde qui pesait sur eux. Elle reprit en s’éclaircissant la gorge, un léger tremblement dans la voix :
Bon, j’en ai trop dit, je dois partir. Dit-elle en se relevant de sa chaise, l’air confuse mais déterminée.
Mulder, intrigué par les paroles de la jeune femme, se leva à son tour pour la retenir, une urgence dans la voix :
Attends une minute ! Qu’est-ce que je dois comprendre ?
Parker s’arrêta un instant, ses yeux croisant ceux de Mulder avec une intensité inattendue :
On en reparlera plus tard. Sur ce, il faut vraiment que j’y aille. Dit-elle en se rapprochant de lui pour déposer un baiser léger sur le coin de ses lèvres.
C’est plus clair là ? Allez, salut.
Mulder fut pris de frissons incontrôlables à son contact, ses sens en alerte maximale. Il la regarda s’éloigner, son cœur battant à tout rompre. Il se tenait là, incapable de réfléchir de façon raisonnée, un mélange de doute et d’espoir vibrant en lui. Ses doutes se dissipaient, laissant place à une lueur d’espoir. Peut-être y avait-il quelque chose de plus entre eux, un avenir à envisager ? Ou s’agissait-il encore d’une manœuvre sournoise pour le manipuler ? Il ne pouvait s’empêcher de se poser la question alors qu’elle disparaissait de sa vue.
Ce soir-là, Parker fut tourmentée par des cauchemars terrifiants. Dans son rêve, elle se retrouvait dans un long couloir sombre et oppressant, ses pas résonnant dans le silence glacial. Une silhouette familière l'attendait au bout du couloir : le Fumeur, son visage à peine éclairé par une faible lueur, ses yeux glacials fixés sur elle. Le cœur battant, Parker tenta de fuir, mais ses jambes semblaient lourdes, comme paralysées par la peur.
Soudain, le docteur Rains surgit devant elle, son regard implacable bloquant toute échappatoire. Elle fit volte-face, mais se retrouva face à son persécuteur, l’arme pointée directement sur elle. Le Fumeur ne prononça pas un mot. Il la fixa intensément avant d'appuyer sur la détente.
Parker se réveilla en sursaut, le souffle court, trempée de sueur. Sa respiration était haletante, son cœur battant à tout rompre. Elle était terrifiée. Que venait-elle de vivre ? Était-ce une manifestation de son esprit troublé, ou ces images cauchemardesques étaient-elles des fragments de souvenirs réels, enfouis dans les recoins sombres de sa mémoire ?
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mompreneuse-life · 1 year
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🌅 L'Art de la Routine : Reprendre en Douceur après les Congés en Tant qu'Indépendant 🚀
Chers tous,
J'espère que vous allez tous bien ! Cela fait maintenant un peu plus d'une semaine que j'ai repris le travail, et j'aimerais partager avec vous une réflexion que j'ai eu un matin sur l'importance de la routine pour les travailleurs indépendants, en particulier après une période de congés bien mérités. Revenir au travail après des vacances peut être un défi, mais en tant qu'indépendante, j'ai découvert que la routine peut être un allié puissant pour une reprise en douceur. En effet, l'ayant instaurée depuis quasiment le début de mon activité, je me suis rendue compte la semaine passée que c'était tout naturellement que je l'avais reprise dès le second jour (oui, il faut tout de même faire le deuil de ses merveilleuses vacances au moins une journée 😂). Mes proches se moquent souvent gentiment de moi avec mes 3 agendas colorés, mais sans routine ni organisation, je ne vois pas comment mes journées remplies de multi casquettes pourraient se dérouler : femme, maman, entrepreneure et apprenante (car oui, je reste persuadée que nous restons étudiant toute notre vie !).
En réalité, ma réflexion a fait écho à une conversation que j'ai eu il y a de nombreuses années de cela avec une collègue devenue amie très proche, qui me disait qu'elle ne se voyait pas partir en indépendante car l'auto discipline était de rigueur et qu'elle craignait ne pas l'être assez, mais qu'elle avait totalement confiance en moi et mes routines. Cela soulève la question intéressante de savoir pourquoi la nécessité d'être encore plus organisé en tant qu'indépendant que lorsque l'on est salarié. 🤔
Le Retour au Quotidien Facilité par la Routine
Reprendre le rythme après des vacances peut être délicat, que vous soyez indépendant ou salarié. Cependant, en tant qu'indépendant, j'ai trouvé que la mise en place d'une routine structurée m'a permis de retrouver ma productivité et ma créativité plus rapidement. Une routine bien conçue peut offrir des repères rassurants dans une période de transition, aidant à réduire le sentiment d'incertitude. 🌟
L'Organisation : Un Impératif pour les Indépendants
Être indépendant signifie avoir la liberté de travailler à sa manière, mais cela vient également avec une plus grande responsabilité en matière d'organisation. Alors que certains peuvent considérer que les travailleurs indépendants ont plus de flexibilité, la réalité est que nous devons être encore plus organisés que nos homologues salariés. La gestion de notre propre emploi du temps, la planification des tâches et la coordination des projets nécessitent une discipline et une structure rigoureuses. 📅
Les Avantages d'une Routine bien Conçue
Productivité Améliorée : Une routine bien établie nous aide à minimiser le temps perdu à décider par où commencer. En sachant ce qui doit être fait à chaque moment de la journée, nous pouvons nous plonger directement dans nos tâches, ce qui augmente notre productivité. ⏰
Équilibre entre Vie Professionnelle et Vie Personnelle : Travailler en tant qu'indépendant peut facilement empiéter sur notre temps personnel. Une routine permet de définir des limites claires entre le travail et la vie personnelle, favorisant ainsi un meilleur équilibre. ⚖️
Réduction du Stress : La prévisibilité offerte par une routine peut réduire le stress lié à la gestion du temps et à la réalisation des tâches. Cela libère l'esprit pour se concentrer sur le travail créatif et stratégique. 🧘‍♂️
En conclusion, si reprendre le travail après des vacances peut sembler une corvée, l'implémentation d'une routine efficace peut transformer cette transition en une opportunité de démarrer en force. En tant qu'indépendant, la discipline et l'organisation sont nos meilleurs alliés. En fin de compte, c'est la capacité à créer et à maintenir une routine qui fait la différence entre une transition en douceur vers le travail et une reprise chaotique. 💪
Mes outils pour mon organisation au quotidien📅 sont (cliquez sur chaque agenda pour voir la référence) :
le classique agenda papier 📓: idéalement, un semainier dont toute la semaine est sur 2 pages, vous permettant ainsi de noter heure par heure toute ce que vous faîtes. Cela vous permet également de visualiser votre productivité. En look, je les aime à spiral afin de pouvoir y glisser un stylo pour la praticité. Je mets tout dedans : mes RdV perso, pro, familiaux. TOUT! Il s'agit de mon cerveau, en papier 😂
l'agenda mémoniak 📔: j'utilise cet agenda depuis la naissance de mon aîné. J'aime le fait qu'ils aient pensé à tout le nécessaire pour l'organisation et le bon fonctionnement d'une famille : entre les encarts pour les choses à mettre dans la liste de course, les menus, les tâches de chacun à la maison. J'y mets également les rendez-vous familiaux qui sont en dehors de nos temps de travail/étude.
l'application FamilyWall 📲: l'application idéale pour les familles geek! Pour moi, elle est une alternative au Memoniak, sauf que vous pouvez rajouter en plus le téléphone de tous les membres de la famille ! Ainsi, lorsque vous attribuez une tâche à faire à une personne, cette dernière reçoit une notification. Très pratique ! 😊
Google Calendar 📲: bien évidemment, le classique ! Je l'utilise, mais uniquement pour mon activité professionnel 😉
Voilà pour moi !
N'hésitez pas à partager vos propres expériences avec la routine après les congés ou à rejoindre la discussion sur la manière dont l'organisation diffère entre les travailleurs indépendants et les salariés. Vos perspectives sont précieuses ! 🗣️
Au plaisir d'échanger avec vous tous,
Nhu Lan 🌈
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edolasft · 1 year
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De la Lumière au Ténèbres : Chapitre 5
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D E S  M O T S  E M O U V A N T S .
Seuls. Ils étaient maintenant seuls dans la salle de soin, où la fenêtre entre ouverte fait légèrement voler le rideau blanc. Les femmes de la guilde semblaient mettre beaucoup d'espoir sur les épaules du rosée qui avait visiblement une grande responsabilité. Celle de faire revenir Lucy. Si cette magie noire peut être battue par la seule force des sentiments, Natsu allait tout faire pour la faire revenir. Comme dans ses plus beaux combats, le mage de feu allait se laisser guider par la force de ses amis, par la force de ses sentiments, qui est sûrement la force la plus brûlante et la plus puissante qu'il connaisse. Observant son amie se débattre contre elle, le rend malade et fou de rage. Il bouillonne sur place, se retenant de ne pas partir au quart de tour pour aller massacrer ce mage de pacotille qui sème la terreur avec ses objets magiques.
Debout a côté du lit de la mourante, il faut avouer que le mage ne savait pas comment s'y prendre. Que devait-il lui dire ? Est ce que ses camarades attendent de lui une chose en particulière ? Hormis de la ramener a elle ? Toutes ses interrogations ont tendance a perturber le mage qui décide finalement de prendre place sur le bord du lit. La vision qu'il avait de sa partenaire le dérange, la voir ainsi attacher au lit, ses poignées et chevilles marqués par le frottement des cordes .. Le mage décide de lui ôter ses liens pour qu'elle est moins de douleur a subir. Mais en faisant cela, il permet a Lucy de se remettre a bouger dans tous les sens, gesticulant sûrement pour essayer de gérer la douleur, la combattant de l'intérieur. Pour éviter qu'elle ne se blesse a nouveau, le rosée s'approche d'elle et la maintient contre lui. Partageant alors contre la peau opaline de la blonde, sa chaleur naturelle. En sentant cette présence, la mage stellaire semble se calmer quelque peu et ses lèvres rosées se mirent a bouger soufflant dans un son presque inaudible le prénom du mage a ses côtés.
Ce son, Natsu avec son ouïe sur développée pu l'entendre, c'était presque comme un appelle au secours. Etrangement, le jeune homme en la voyant ainsi, ne put s'empêcher de culpabiliser, de se dire qu'elle souffrait autant dut a sa faiblesse, il fut incapable de la protéger comme il lui avait promis. Cette rage et ce regret qu'il éprouve l'empêche presque de prononcer des mots, pourtant il sait qu'il devait le faire. Car il ne voulait pas que Lucy reste ainsi, ressemblant a un pantin guidait par la souffrance qui allait la conduire a une souffrance mortelle. Prenant son courage a deux mains, le rosée reste sur le lit, la blonde dans ses bras et commence a lui lâcher des mots sans réellement réfléchir a ses paroles. : 
« Lucy, pourquoi tu te fais souffrir comme ça ? Je t'en pris, revient a toi ! Tout le monde t'attend, je t'attends. On a besoin de toi, sans toi on est plus l'équipe il manque une personne .. Tss', tous ça ne te serait pas arrivée si j'avais pu te protéger ! Ecoute ton coeur, revient vers nous, n'écoute pas ses cauchemars qui te rongent ! Je te promets que si tu reviens, je ne rentrerais plus par la fenêtre de ton appartement sans prévenir ! Et je ferais même une mission de ton choix ! J'te promets ! Allez Lucy ... Ecoute moi !  »
Le mage se retrouve a dire des choses qu'il ne dirait pas habituellement, face a ses mots il eut le droit a un gémissement grisé de la part de la blonde, qui soupire a nouveau le prénom de l'homme. Comme si elle bataillait pour remonter a la surface, comme si elle avait entendu les paroles de son ami et partenaire de mission. Natsu n'allait rien lâcher, il allait la faire revenir bien que ce genre de chose ne soit pas habituel pour lui, il allait tout faire pour ne pas perdre patiente. Derrière la porte de la salle se trouvait Cana, qui visiblement, se retrouve chagrinée et touchée par les propos du mage. Se surprenant a penser que son ami pouvait parfois être doux et avoir des pensées censées. Elle reste derrière la porte, les bras croisées sur sa poitrine espérant que les mots du mage touche directement la constellationniste. La salle était silencieuse, apportant presque une atmosphère gênante et pesante pour le mage, qui se retrouve là face a son amie qui était incapable de s'exprimer. Cependant, une réaction de la part de la mage, va redonner espoir au dragon slayer. La blonde vient agripper la veste du mage s'accrochant fermement a lui alors que son visage était crispé par la douleur. En la voyant ainsi, le mage pose sa main sur la sienne. Et il souffle son prénom. 
Mais une fois que ce soupire fut prononcé, la blonde se met a hurler a nouveau se cambrant dans une douleur visiblement insoutenable. Ce cris fait réagir le rosée mais également la mage des cartes qui étaient juste derrière la porte. Elle entre en trombe et vient vers le lit. Elle attrape les bras de la blonde et hurle a Natsu de parler a la jeune femme pour que cette dernière revient a elle. 
« Lucy ! Réveille toi ! Je suis là , je te laisserais plus ! Ouvre les yeux bordel ! On t'attend tous ! - Lucy !, fit la brune en la regardant. - Même Cana est là , Lucy ! Je t'en pris ... N'abandonne pas , bat toi ! »
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Comment faire revenir mon ex : rituel pour récupérer son ex
Comment faire revenir mon ex : rituel pour récupérer son ex
Comment faire revenir mon ex copain : rituel pour récupérer son ex copain Si vous êtes sur cette page, c’est que votre femme ou votre mari ou copain ou un parent vous a quitté. Vous désirez donc la récupérer. Vous pensez avoir tout essayé ?. Mais avez-vous déjà entendu parler du Sorcier Jules OWO SIKA ?. Comment donc récupérer son ex mari ou femme ou copain ou ex amour ? : Grâce aux nombreux rituels de magie blanche, il est possible de récupérer son ex-mari ou son ex-femme, son ex-conjoint (si vous n’êtes pas mariés), ou encore sa copine ou son ex-copain.
Rituel pour faire revenir son ex copain
Tu es complètement désemparé(e), car l’amour de ta vie vient de te quitter ? Tu n’arrives pas à reprendre goût à la vie ?. Ou tu restes également bloqué(e) sur votre courte relation qui vient de s’achever de façon abrupte ? Voulez-vous faire revenir votre amour perdu? Ou voulez-vous que votre amoureux pense à vous tout le temps? Vous cherchez un rituel magie blanche amour avec photo ou retour de l' être aimé cher qui fonctionne vraiment immédiatement? alors croyez-moi, vous êtes au bon endroit.
Rituel magie blanche pour faire revenir son amour avec la photo. Comment faire un rituel pour récupérer son ex mari femme ou copain ? Le « rituel d’amour puissant avec photo » est cependant considéré comme un puissant rituel et détient un grand pouvoir pour ramener l’amour perdu dans la vie. Cela aide donc à maintenir une connexion amoureuse stable et ficelle les deux personnes et à éliminer les risques de rupture ou de divorce dans leur relation / mariage. Cette sorcellerie amoureuse a en effet pour but de reconquérir ou faire revenir son ex. Elle est donc simple, rapide et puissante.
 Comment récupérer son ex mari ou femme ou copain ?
Les ingrédients pour cette sorcellerie blanche sont très simples :
un fil de coton rouge,
une bougie rouge,
une photo de votre ex,
des allumettes. L’exécution de ce rituel de retour d’affection
Allumez une bougie rouge à l’aide des allumettes.
Croisez une photo de votre ex par un fil de coton rouge et faites le nœud à l’arrière de la photo. Faites sept nœuds (en somme, y compris le premier nœud).
Regardez la flamme de la bougie et concentrez-vous sur votre sentiment d’amour. Imaginez les moments agréables de votre vie, que vous étiez heureux ensemble.
Rassemblez l’énergie de ce bonheur dans la boule lumineuse et l'envoyer mentalement à votre ex.
Appliquez la cire fondue de la bougie sur les nœuds sur la photo et dites avec toute la force de votre amour et de foi dans la puissance de ce rituel magie blanche : « Ainsi soit fait ! ».
Éteignez la bougie. Gardez la photo dans un lieu secret, personne ne doit la voir. Il est préférable d' aller au lit et ne pas communiquer jusqu’au matin après l’exécution du rituel.
Comment récupérer donc son ex mari ou femme ou copain ?
Règles d’exécution de rituel pour récupérer son ex mari femme ou copain. Tout d’abord spécifiez correctement votre tâche pour que l’action de retour affectif ne puisse avoir un double sens. Il faut dans ce cas croire en la force de l’incantation. Il n’est donc pas recommandé catégoriquement de faire un rituel du retour d’affection par la magie pour le fun ou un clash.
Ne passez pas le rituel de la curiosité ou de la «juste au cas où». Il ne faut pas faire plus qu’un rituel pour récupérer son ex pendant trois jours. Faites cependant votre rituel magie blanche en secret, ne dites à personne ce que vous allez faire un sort ou une conjuration ou ce que l’avez déjà fait. Passez le rituel magique dans un lieu calme, où rien et personne ne vous dérange.
Moment que l’on peut réaliser ce rituel
Le retour affectif efficace et rapide par rituel de magie blanche se fait lorsque la lune est croissante (consultez le calendrier lunaire en ligne). Le jour est de préférence vendredi, parce que ce jour est sous le contrôle de la Vénus. Cela ne signifie pas qu’il est impossible d’effectuer le rituel du retour affectif puissant un autre jour.
Comment récupérer donc son ex mari ou femme ou copain ?
Cela veut dire que le vendredi pendant la lune croissante l’énergie de l’amour est la plus forte. Vous ne devriez pas avoir de pensées extérieures pendant le rituel de magie. Votre volonté, visant à l’exécution de votre désir de l’amour, donne de la force à votre conjuration pour ce rituel d'amour efficace et rapide. Ayant fait un rituel pour récupérer son ex-copain, il faut prendre du temps pour son action, ne vous précipitez pas pour le faire à nouveau le lendemain. Si la bougie s’éteint, transférez l’exécution d’un rituel à un autre jour.
Récupérer son ex copain avec la magie blanche
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Faire revenir son ex avec photo
lorsque vous êtes amoureux, vous trouverez toujours des moyens d’être toujours avec la personne que vous aimez. mais cela ne se produit pas toujours. Parfois, les malentendus, les problèmes familiaux et des problèmes comme les relations extra-conjugales créent des problèmes dans la vie amoureuse de la personne et, à cause de cela, même les relations les plus aimables se terminent par le divorce ou la rupture. avant qu’une telle chose désastreuse ne se produise dans votre vie amoureuse ou votre relation, essayez le puissant » rituel magie blanche amour avec photo » et triez toutes les mauvaises choses qui se produisent dans votre vie amoureuse / conjugale. Ces sorts sont également connus sous le nom de « faire revenir son ex avec photo ».
Comment commander un rituel magie blanche pour faire revenir son amour avec photo
Comment commander un rituel magie blanche pour faire revenir son amour avec la photo? Je propose d’effectuer le retour affectif de la magie blanche. Ma première étude est actuellement gratuite.Il s’agit de l’étude de faisabilité (pour savoir si un rituel est possible). Pour cela, il suffira de m’indiquer la situation actuelle ainsi que vos attentes. Généralement, je demande le prénom de la personne concernée et des photos récentes. Dans certains cas, je vous demanderai d’autres informations complémentaires. Par la suite, je reviendrai rapidement vers vous pour vous indiquer mes possibilités. Si le retour est faisable, alors mes rituels seront payants. J’insiste sur le fait que je travaille gratuitement. En effet, élaborer un rituel de magie blanche demande du temps, de l’énergie et consomme des ingrédients.
Le tarif commence à 150e ce qui correspond à un rituel de retour affectif ou amoureux. Si vous désirez me contacter, vous pouvez utiliser le formulaire ci-dessous, ou aller dans la partie «contact pour rituels de magie blanche ».
Quelque mot clé sur le rituel pour récupérer son ex copain
Comment faire revenir l'être aimé avec une photo? Faire revenir l'être aimé avec une photo: comment faire revenir un amoureux Vous souhaitez vous épanouir sexuellement ? Alors vous faites face à l’impuissance ou vous souhaitez enfanter ?, Vous souhaitez séduire l’homme / la femme de votre vie ? L’être aimé s’éloigne, est indécis, et vous voulez mettre tout en œuvre pour éviter la séparation ? Votre relation de couple est-elle au bord de la rupture ? Je suis là pour vous aider ! Les exemples ne manquent pas ,tout le monde a déjà entendu parler, ou fait face personnellement à ces situations désagréables et complexes.
Savoir comment envoûter un homme ou une femme avec sa photo peut être très utile. Pourquoi envoûter quelqu’un ? -Pour le séduire, provoquer une attirance, -le faire revenir, le reconquérir, -le rendre fou amoureux, l’épouser, -se venger de son ex, éloigner une rivale, -trouver l’amour, rencontrer l’homme idéal de sa vie, -raviver la vie conjugale et la vie amoureuse, -surmonter des problèmes de couple, -lui faire l’amour, améliorer sa libido. Pour un envoûtement amoureux sur photo, la photographie est un moyen pour envouter quelqu’un.
Explication sur le rituel affectif
En se concentrant sur une photo, l’intervenant envoûte la personne concernée. Le jeteur de sort peut à partir d’un simple cliché réaliser son travail. Pour lancer des sortilèges, les photos sont un produit de qualité. Dans le passé, les sorciers, Les marabouts, les chamanes, les magiciens, et les mages devaient mémoriser le visage de la personne désignée. Avec l’apparition de la photographie, c’est terminé. Il suffit de l’avoir devant ses yeux, puis d’avoir une pensée déterminée, de bien se concentrer. Ainsi, l’opérateur peut influer sur les choses et les personnes. La photo devient alors une représentation symbolique et archétypale de l’effet souhaité. Une image peut être employée magiquement parce qu’elle renferme l’empreinte astrale de la personne photographiée.
Préparer le rituel
De manière à rendre cette photographie opérante ou « vivante », vous devez la « charger » en suivant les directives qui suivent:
Placez la photographie à charger devant vous, sur votre autel ou sur votre espace de travail. Adoptez ensuite une position confortable que vous serez en mesure de conserver pendant un moment.
Fermez les yeux et imaginez que votre corps est un réceptacle vide et que vous vous trouvez en ce moment même au centre d’une boule de feu aussi brillante que mille soleils.
Ressentez maintenant la chaleur intense qui se dégage de ce feu à travers tout votre corps. Prenez tout le temps nécessaire pour parvenir à ressentir cette chaleur de manière tangible.
Visualisez ensuite que ce Feu accumule la Lumière dans votre corps et que peu à peu, celui-ci commence à s’emplir. Ressentez, tout comme un ballon que l’on gonfle, que votre corps s’étend sous la pression qui s’intensifie en vous.
Continuez à ressentir et accumuler cette force électrique intense en respirant lentement et profondément, jusqu’à ce que vous ayez pratiquement l’impression d’être sur le point d’éclater comme un ballon que l’on aurait trop gonflé.
Indication sur le retour affectif
Lorsque vous vous sentez prêt, compresser ce fluide électrique de toutes vos forces dans la partie droite de votre corps, faites-le passer dans la main droite et projetez-le enfin par l’index, de manière à ce qu’il devienne une puissante étincelle électrique que vous logerez mentalement au centre de la photographie. – Répétez ensuite les six premières étapes avec le fluide magnétique. Le processus est identique, sauf que vous devrez vous représenter et ressentir cette force comme une sphère froide et humide d’une couleur bleue irradiante.
Procédez de la même façon que vous l’avez faite plus tôt et décompressez le fluide magnétique, mais cette fois dans la partie gauche de votre corps, puis projetez la sphère électrique par l’index de la main gauche sur la photographie.
Rituel d’amour avec photo
Si vous avez réussi ces deux « compressions » il ne devrait rester, dans votre image mentale, qu’une petite sphère bleue qui entoure toute la forme de la photographie. Votre volt est alors dûment créé. Imprégnez maintenant de votre désir spécifique, par exemple: « Tu es Lisa et à chaque jour, tes facultés mentales deviennent de plus en plus aiguisées… » Et déterminez la durée de cette action: une journée, une semaine, un mois, etc. -Votre photographie est maintenant prête pour un usage magique. Il ne vous reste plus qu’à poursuivre avec le Rituel de votre choix, lequel sera en analogie avec la charge que vous venez tout juste d’accomplir. N’oubliez pas que vous devez absolument charger chacune des photos que vous utiliserez pour les rituels. Rituel avec photo pour faire revenir son ex: rituel d’amour avec photo Pour un envoûtement amoureux sur photo, la photographie est un moyen pour envouter quelqu’un.
Envoûtement Amoureux rapides
Envoûtement amoureux rapides avec photo, Rituel pour faire revenir son mari,  Envoûtement amoureux puissant en 24h est une magie noire pratiquée par les sorciers. En effet, quelle que soit votre situation personnelle, réhabiliter un enfant, un proche ou un ami, c’est vouloir remédier à une séparation douloureuse. Souvent, les ruptures mènent à la dépression parce que nous avons affaire à quelqu’un qui ne veut plus nous parler ou qui nous aliène.
Vous pensez ainsi avoir tout fait pour récupérer votre proche ? Une lettre, un message, un silence radio… peu importe ce que vous essayez, cela ne servira à rien. Si vous ne savez pas comment faire, lisez cet article.
Dans cette section, je vais vous expliquer ce qu’est la « rétroaction émotionnelle », son fonctionnement et les résultats possibles…  
Envoûtement amoureux
Mais en plus, elle doit faire l’objet d’une purification avec, par exemple, une pincée de sel. Pour envoûter un homme avec sa photo, les magies et les rituels les plus utilisés sont : La magie blanche, la haute magie blanche, la magie rouge et la magie noire. Vous avez besoin de faire réaliser un envoûtement par photo ? Contactez moi rapidement Rituel de Retour Affectif Puissant Avec Bougie Rouge- Rituel de Retour Affectif Avec Photo Personnalisé. Les ingrédients nécessaires pour accomplir un rituel retour affectif puissant avec une bougie rouge
une bougie rouge,
une feuille de papier,
un feutre rouge,
des allumettes.
une photo de vous et de votre amoureux
L’exécution du rituel de retour affectif :
Allumez une bougie rouge,
Prenez une feuille de papier et écrivez votre nom, par exemple, Emilie, ensuite dessinez un symbole « plus » ,
écrivez le nom de votre être aimé, par exemple, Alexis, et tracez une ligne.
Dessinez un cœur sous la ligne.
Définissez votre tâche, précisez votre désir clairement par quelques mots avec une attitude positive.
Mettez une image devant la bougie.
Concentrez-vous sur l’énergie d’amour qui est en vous.
Processus du rituel
Visualisez le processus d’envoi de l’énergie d’amour dans le cœur et dans l’esprit de votre chéri en regardant une bougie allumée pendant quelques minutes. -Éteignez la bougie, roulez le papier dans un tube mince et mettez ce tube dans un lieu secret dans votre chambre à coucher en prononçant sept fois la formule magique suivante : « Vient, (le nom de votre chéri), ton cœur est ici ».
Et une fois les derniers mots dans lesquels vous devez mettre de l’âme et de la foi en l’efficacité de ce rituel amour : « Ainsi soit fait ! ». Il est préférable de ne pas communiquer après l’exécution du rituel jusqu’au matin. Réussite 100% garantie, ou remboursement.
Appel/WhatsApp: 00229 51267332
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mediumbabavigan · 4 days
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Perte de sentiments amoureux du jour au lendemain. / La perte de sentiments est elle irréversible - Faire revenir les sentiments de sa femme ou son homme. Il dit ne plus avoir de sentiments.
La Perte de Sentiments est-elle Irréversible ? Comment Medium Baba Vigan Peut Aider à Réparer une Relation. Les relations amoureuses sont souvent comparées à un voyage : elles connaissent des hauts et des bas, des moments de passion intense et des périodes de calme relatif. Toutefois, l’une des situations les plus déstabilisantes dans une relation est la perte de sentiments. Cette érosion…
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mediummaraboutdako · 2 years
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Comment récupérer son ex magie blanche
Comment récupérer son ex magie blanche
Comment récupérer son ex magie blanche votre ex vous manque et vous ne savez plus quoi faire pour le récupérer. Vous avez supplié, menacé, lu des bouquins et suivi tous les conseils de vos amis, mais rien n’y fait, vous n’arrivez pas à oublier votre ex et vous ne savez plus comment le faire revenir ? C’est dans ces situations là que nous avons tous pensé un jour ou l’autre à connaitre le secret…
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onepiecereactions · 3 years
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Le vice-amiral Smoker et les joies de l’administration
Smoker Os
Humour
Attention vulgarité
2250 mots
Version Française
Tashigi, Kizaru, Garp, Smoker.
Le vice-amiral Smoker et les joies de l’administration
Smoker détestait rentrer de mission. Ne vous méprenez pas, il adore son métier ! Mais deux choses l’énervaient au plus au point dans ces moments.
D’une part, cela voulait dire ne plus prendre la mer avant au moins quelques semaines. En effet, Marineford avait établi un système complexe de roulement des hauts gradés pour que, sauf exception, au moins 3 vices amiraux soient toujours présents sur la base en cas de nécessité.
La sensation de liberté, sentir l’air sur son visage, ne pas être enfermé entre quatre murs, c’était ça qui rendait Smoker heureux au plus profond de lui. Ça et le sentiment d’avoir aidé les citoyens et rétablit un peu de justice dans ce foutu monde, évidemment.
D’autre part, revenir à la base signifiait une montagne administrative titanesque. Et rien que d’y penser, des maux têtes migraient déjà dans le crâne du vice-amiral. Heureusement pour lui, Tashigi était toujours prête à l’aider et à s’acquitter d’une partie de ses tâches pour le laisser se reposer.
C’est donc avec le cœur lourd que Smoker posa le pied sur la base pour la première fois après de longs mois de mission, le cœur lourd. Tandis que Tashigi fonçait déjà dans son bureau dans la ferme intention de travailler toute la nuit pour rendre ses comptes-rendus en temps et en heure, Smoker marchait mécaniquement vers ses appartements privés. Il balança sa veste en lambeau par terre, prit une longue douche brûlante et s’engouffra dans son lit, maudissant déjà la journée infernale de demain.
Le lendemain matin, le vice-amiral se réveilla de mauvaise humeur. Il saisit sa veste qu’il avait abandonnée sur le sol trempé de sa salle de bain et soupira : elle était fichue. Aussi résistants soient les vêtements confectionnés par la marine, rester intact quand on se prend des boulets de canons dans le dos c’est compliqué. Et Smoker, contrairement à de nombreuses femmes présentes sur la base, détestait se balader torse nu.
Sa première résolution de la journée fut donc d’aller dénicher une veste potable. Et évidemment, il allait demander à Tashigi de le faire à sa place. Au début, en homme intègre, Smoker avait des remords à laisser autant de ses tâches à sa collègue, même si celle-ci s’en sortait à merveille. Mais après plusieurs années dans la Marine, honnêtement, maintenant il s’en foutait.
Il s’empara donc de son den den mushis et appela la brune. Après plusieurs secondes à attendre, l’épéiste ne décrocha pas. Smoker s’en inquiéta, s’était très inhabituel de la part de la jeune femme qui avait la réputation de décrocher même quand elle dormait.
Il prit alors rapidement deux cigares dans sa réserve, mit sa veste en lambeau sur son dos et partit rapidement vers ses bureaux.
Un malheur n’arrivant jamais seul, évidemment, en chemin il croisa l’amiral Kizaru. Ce dernier le rejoignit dans sa course vers ses bureaux et en profita pour discuter. L’amiral jaune avait la réputation d’être une vraie pipelette, au grand malheur de Smoker qui aimait par-dessus tout le calme.
« Oh, dis moi cher ami, c’est une nouvelle mode les trous dans la veste ? Je sais que je ne suis plus tout jeune mais quand même, cela me dépasse. Est-ce que c’est pour offrir un système de ventilation ? Ne me dis pas que tu as de la fièvre mon cher ami ? Veux-tu que j’appelle les chers soignants du »
Kizaru n’eu même pas le temps de finir son monologue qu’il se prit la porte du bureau de Smoker en pleine figure. Ce dernier avait déjà broyé ses cigares pour se retenir de frapper le haut-gradé en pleine poire.
Une fois qu’il fut certains d’entendre le singe jaune repartir, il s’affala dans le fauteuil en face de son bureau et plongea sa main dans le deuxième tiroir pour en extraire deux nouveaux cigares.
Après quelques secondes à profiter de la fumée rejoignant ses poumons, Smoker s’empara du den den mushi fixe de son bureau et, alors qu’il allait appeler Tashigi, une note collée sur le dos de son appareil l’intrigua.
« Même si je vous ai prévenu hier soir, que je vous ai envoyé un courrier officiel 48 heures avant et que j’ai glissé un mot sous la porte de votre appartement, je tiens à vous rappeler, au cas où, que je suis absente ce jour jusqu’à 19h30. Tous les capitaines ont une réunion urgente. Je vous souhaite une très bonne journée. Capitaine TASHIGI. »
Et merde. Pour un peu Smoker aurait pu pleurer. C’était certainement l’une des pires annonces qu’il pouvait recevoir. Pas de Tashigi. Pas de Tashigi pendant toute une journée ! Un lendemain de mission en plus ! Tous les appels et missions qu’elle recevrait aujourd’hui seront directement ramenés à lui, son supérieur ! En plus de son travail il allait devoir faire le sien ! Avec des trous dans le dos en plus.
Smoker décida de faire grève. Le planning de cette journée était déjà bien trop effrayant pour pouvoir la vivre. Il aurait mille fois préféré se battre contre Monkey D Luffy et vivre toute une journée de réunion comme Tashigi plutôt que de vivre ça.
Il décida alors qu’il ferait le strict nécessaire. Il se releva rapidement de son siège, sortit avec fracas de son bureau et courut presque vers le bâtiment C. Il était à peine neuf heures du matin mais le vice-amiral cru défaillir quand il vit l’énorme file d’attente devant la porte. Evidemment, on était lundi, et ces abrutis du secteur administratif ne travaillaient jamais le week-end.
Il fit alors comme tout le monde, s’approcha de la porte pour s’emparer d’un ticket numéroté, s’assit sur l’un des rares sièges libres et patienta.
A sa gauche se trouvait un soldat quelconque, sans chemise et pantalon, juste son sous-vêtement. Smoker put sentir une odeur familière de magma. Akainu avait encore fait des siennes pendant l’entrainement de ses subordonnés.
Smoker regarda son ticket, numéro 38 et soupira. Alors qu’il allait s’improviser une petite sieste en attendant son tour, son den den mushis portable sonna.
« Vice-amiral Smoker, j’écoute. » Dit-il lassement.
Le soldat à l’autre bout de la ligne sembla surpris de tomber sur le vice-amiral et non la capitaine. « La capitaine Tashigi est en réunion, ses appels me sont redirigés. Si ce n’est pas urgent raccrochez ». Sans plus de cérémonie, le soldat raccrocha pour le plus grand bonheur du vice-amiral.
1 heure plus tard.
« Je jure devant Gol D Roger que si ce maudit escargophone sonne encore une fois je lui explose le crâne contre le mur ». Maugréa le marine pour la troisième fois en une minute.
Après une heure d’attente et 15 appels, le vice-amiral fut enfin appelé pour entrer dans la pièce.
Il arracha presque sa veste de son dos, la posa violemment sur le bureau tout en essayant de garder ses nerfs et fusilla du regard la femme en face de lui qui restait de marbre.
« Vice-Amiral Smoker, matricule XXXX, j’ai besoin d’une nouvelle veste modèle 3 série AB taille 98 avec l’option 13 ». Smoker avait été clair, précis et presque pas énervé.
La femme, qui avait bien entamé sa cinquantaine, le regarda avec indifférence.
« Ça ne marche pas comme ça amiral. » fit-elle d’une voix lasse, comme si elle parlait au premier abruti du coin.
Smoker eu du mal à ne pas broyer ses cigares à nouveau mais se révisa en pensant qu’il serait difficile d’affronter cette épreuve sans cigares.
« Alors comment est-ce qu’on fait dans ce cas-là » Demanda-t-il sèchement.
La femme ne prit même pas la peine de lui répondre, elle se contenta de lui fournir un formulaire. Smoker cru à une vaste blague quand il se retrouva avec un document de cinq pages recto verso dans les mains.
« Vous vous foutez de moi ? Cinq putains de pages pour une putain de veste ? Vous ne pouvez pas juste écrire 22 putains de mots sur un putain de post it et qu’on en parle plus ? » Beugla le vice-amiral qui commençait déjà à se transformer en fumée sous l’énervement.
« blblblbl, blblblbl, blbllb » l’escargophone commença à sonner, mettant à mal les dernières forces de Smoker pour rester calme.
« C’est pas de ma faute ». Commença la femme d’une voix lente et ennuyante.
Blblblbl, blbllblb, blbllb
« Si vous être trop neuenu »
Blblblb, blblbl, blbllb
« Pour remplir un simple formulaire »
Blblbllbbl, blblbl
« Que même Kizaru arrive à »
Blblbl, SCRATCH.
L’escargophone du vice-amiral vola à travers la pièce pour finir sa course dans le mur.
A la voix lente de la femme s’ajouta donc les pleurs de l’escargophone.
« PUTAIN DE » Hurla Smoker alors qu’il sortit avec violence de la pièce pour s’assurer que son poing ne finisse pas dans le visage de la femme. Il sortit comme un fou et s’enferma dans son bureau pour essayer de retrouver calme et sérénité.
Il s’empara d’un troisième cigare et après une dizaine de minutes de relaxation, il commença à remplir le fichu formulaire. Il n’en était qu’à la moitié quand la porte de son bureau s’ouvrit avec fracas, mettant à mal le bois lustré qui avait déjà reçu pas mal de coups.
« Ah mon cher ami, je me suis rendu à l’infirmerie et je t’ai obtenu un médicament pour faire baisser ta température. Mais attention, c’est un suppositoire ! ».
Smoker sentit son cœur cesser de battre quand il aperçu le visage de l’amiral jaune devant son nez.
Blblblb, blbllb
« A mon cher ami je crois que quelqu’un essaye de te joindre sur ton escargophone fixe. »
Blblblb, blbllb
« Tu devrais peut être répondre, c’est peut être urgent, tu ne penses pas ? »
Blblblbl, blbllb
Smoker eut une vision. L’escargophone fixe, enduit de haki, en plein milieu du visage de l’amiral, le nez en sang.
Il fallut un self control phénoménal à l’amiral pour ne pas reproduire ses pulsions. Une énième fois, il choisit la fuite.
Il emporta un stylo avec lui et s’empressa de finir de remplir ce fichu dossier devenu complètement illisible tant il l’avait massacré.
Il se retrouva devant la porte de la lingerie, passa devant tous les soldats et rentra comme un fou dans le bureau. Il eut à peine le temps de poser un pied à l’intérieur qu’il sentit une agrafeuse lui traverser le visage grâce à sa fumée.
« JE NECROIS PAS AVOIR APPELE VOTRE NUMERO ! » Hurla la femme qui l’avait « renseigné » tout à l’heure.
Smoker broya la poignée de la porte mais se résolut. Il fit demi-tour, arracha un ticket de la machine qui se prit son poing droit et s’assit sur le seul siège disponible : celui à côté du vice-amiral Garp ».
Smoker soupira et pria tous les dieux pour que ce vieux fou le laisse en paix.
Il s’installa donc à ses côtés et l’inspecta discrètement. Il se rendit alors compte que l’uniforme du vieux était impeccablement porte si l’on omettait les traces de gras sur sa chemise à cause de tous les beignets qu’il engouffrait. Mais le héros de la marine ne portait pas de chaussettes.
« Pose pas de questions gamin ». Lui dit simplement le grand-père quand il croisa le regard de Smoker.
« Tiens Smoker, j’ai entendu dire que tu en avais après mon petit fils. Tu savais que quand il était jeune il s’amusait à mettre son doigt dans son nez pour manger ses crottes de nez ? Sauf que cet abruti, comme il est élastique, il bien il finissait toujours par saigner du nez. Du coup il se mettait à hurler et à courir dans tous les sens. La majeure partie du temps il se prenait un arbre ou un mur et tombait dans les pommes, le temps que le saignement finisse. Tu savais aussi qu’il a été propre très tard ? J’ai du lui acheter des combinaisons avec une poche ouvrable sur les fesses parce qu’il n’arrivait jamais à défaire ses boutons et finissait par se faire caca dessus ? Ah et aussi la fois où ».
Smoker avait envie de : mourir.
Blblblb, blbllbl
Un mirage ? une hallucination ?
« Vice-amiral Garp, j’écoute. Ah salut Sengoku, comment vas-tu ? Une partie de pêche ? Maintenant ? Ah j’arrive. Au fait, tu n’aurais pas des paires de chaussettes à me prêter ? » Et c’est ainsi que le vice-amiral disparut dans le labyrinthe de couloirs, au plus grand bonheur de Smoker.
Il fallut pas moins de quarante cinq minute d’attente supplémentaire pour que Smoker puisse enfin déposer le fichu dossier dans le fichu bon tiroir qui comme par hasard se trouvait dans le bâtiment A et comme par hasard aucun soldat administratif n’était disponible pour emmener le papier qu’il devait donc déposer lui-même.
Le même jour, à 22h.
« Un appel pour vous vice-amiral Smoker. » Le barman tendit l’escargophone au vice-amiral qui prit une dernière gorgée de saké avant de répondre.
« Bonsoir vice-amiral, j’espère que vous avez passé une bonne journée ! » Commença Tashigi. « Je me demandais pourquoi vous ne répondiez ni à votre escargophone fixe ni le mobile… J’ai reçu un document officiel pour vous. Il s’agit d’une amende pour « irrespect envers un collègue administratif » ainsi qu’une interdiction de deux semaines de revenir dans le bureau de la lingerie. Est-ce que tout va ».
« JE PREFERE ENCORE ME PROMENER A POIL QUE DE REVENIR DANS CE BUREAU A LA CON ».
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alexar60 · 4 years
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Contes anciens... contes oubliés
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Il se dressait devant moi, fier d’être toujours debout. Ses feuilles devenues vertes remuaient aux caresses du vent, telles des poils sur un bras dénudé. Je l’admirai en cherchant à voir la cime de cet arbre légendaire. On racontait des légendes à son sujet. Il était vieux, si veux que des rois eussent ordonné justice à ses pieds. Combien de manants ou de seigneurs repartirent heureux ou déçus par les décisions de leur suzerain ?
Je ne savais pas comment m’y prendre. Je ne savais pas si cette histoire était réelle ou non. Je posai mon sac, regardai autour. Le soleil reflétait sur le lac offrant un paysage féerique. Je m’attendais à voir débarquer sous mon nez quelques farfadets en train de danser sans tenir compte de ma présence. Même l’atmosphère n’avait rien d’ordinaire. Il régnait un parfum de fleurs et de fraicheur, c’était un parfum de printemps alors que nous étions déjà au dernier jour de l’automne. Ici, je retirai ma veste et cherchai un coin pour lire.
J’avais pris un livre parce qu’il ne répondait jamais de suite. Je fis le tour de cet arbre centenaire. En passant entre lui et la rive du lac, je crus distinguer ses racines au fond de l’eau. C’était à se demander s’il n’était pas la source de ce lac à l’aspect arthurien. Finalement, je revins à l’endroit où je m’étais présenté à lui. Je regardai une nouvelle fois les alentours et rassuré, je me collai à son tronc sans pouvoir l’encercler de mes bras. Mon sentiment d’être ridicule s’effaça pour laisser place à une sensation de bien-être. Dès lors, je demandai mon souhait à haute voix comme la tradition l’exige, qu’il me raconte une histoire. Mais je ne voulais pas n’importe laquelle, je voulais entendre le premier de tous les contes.
Comme prévu, il ne répondit pas. D’ailleurs, cela aurait été incroyable qu’un arbre puisse parler. Je m’assis sous lui, profitant de sa fraicheur ombragée pour commencer à lire. Je me sentais bien, la vue du lac reposait, le bruit de quelques insectes volants m’amusait, le gazouillis des oiseaux accentuait ce bien-être particulier. Avant de commencer ma lecture, je repensai à une gravure de Merlin et Viviane la fée enlacés sous un arbre. J’avais cette impression d’être au même endroit. Je ne sais plus combien de pages je lus avant de m’assoupir. Bercé par le vent, je fis un rêve que je ne suis pas prêt d’oublier.
Une femme marcha entre les arbres, elle cherchait à sortir de l’obscurité et s’avançait vers la lumière de l’horizon. Pendant qu’elle avançait avec attention, une voix d’homme vint à mes tympans résonnant dans mon cerveau comme un vieux disque de présentation. Il ne commença pas avec un : « il était une fois…» mais par : « Au début, il n’y avait rien. Puis le monde est né du ciel et de la terre, de l’eau et du vent. Ensuite apparut les végétaux. Je suis né à ce moment. Puis, ce fut le tour des animaux. L’homme arriva tardivement, par hasard, un peu perdu dans un monde qui lui était dangereux. L’homme vivait caché dans la forêt, car il ne survivrait pas au-delà. Il resta donc longtemps auprès des miens, s’amusant à nous utiliser comme son terrain de jeu. Des fois, il se battait avec ses cousins plus poilus. Des combats respectueux où personne ne mourrait. Mais toujours, il restait, vivant entièrement nu, mangeant nos fruits, dégustant les plantes qui faisaient son jardin. De temps en temps, il appréciait un corps perdu, une carcasse oubliée par des animaux plus dangereux. Il les trouvait à l’orée de la forêt, là où il ne devait pas aller. »
La jeune femme sortit à ce moment du bois. Un paysage de savane se présentait devant elle. Elle observa comme j’observai les troupeaux de cervidés courir et s’arrêter pour manger au soleil tandis qu’à l’ombre d’un grand arbre en forme de baobab, un groupe de lions à dents de sabre surveillait du coin de l’œil leur garde-manger. D’autres animaux plus extraordinaires les uns que les autres, se promenaient autour d’un immense point d’eau. En son milieu, un nombre incalculable d’échassiers, de canards et de poules d’eau se délectaient des poissons qu’ils attrapaient.
« Alors, sa curiosité poussa Gwraig a entrer dans ce monde interdit malgré la vue des ossements blanchis de ceux qui avaient profané ce paradis ». Elle ne remarqua pas le regard intéressé d’une lionne aux longues dents pointues. Cette dernière, se leva doucement et protégée par les hautes herbes, elle prit en chasse la jeune Gwraig. L’aventurière avança en écartant les brindilles, elle voulait voir cette mare au bord de laquelle les animaux buvaient. Elle marcha sans se soucier du danger imminent. Il n’était pas loin, il avançait à petit pas avec en bouche le goût du dernier homme attrapé. Gwraig trébucha sur une grosse branche. Elle se retrouva allongée lorsque les oiseaux les plus proches s’envolèrent subitement. Elle comprit vite ; quelque-chose se tramait! Elle s’accroupit attendant que le danger passe. Elle regretta d’être venue ici, elle regretta son monde, sa famille, ses amis.
Soudain, un terrifiant rugissement surgit en même temps que la lionne. Elle bondit au-dessus de la jeune femme qui eut l’instinct de s’allonger. Elle se releva rapidement, vive, le fauve avait fait demi-tour et toisait ce petit être qu’il éventrera au premier coup de griffes. Gwraig sentit la panique la dominer, elle ne courut pas longtemps. La lionne bondit sur son dos, les dents prêtes à mordre la gorge de l’humaine qui se débattait quand elle sentit quelque-chose s’enfoncer dans le ventre. Aidée du morceau de bois en forme de lance, Gwraig venait de vaincre sa peur en perforant l’estomac de la lionne. L’animal recula, la douleur la tenaillait. Gwraig se releva, sa peau couverte du sang de la lionne, elle tendit le bout de bois afin de tenir à distance la bête. Tout comme Gwraig, elle tremblait. Ses rugissements devinrent plus faibles, la lionne repartit en laissant une trainée de sang derrière elle. « Elle mourut auprès de ses sœurs un peu plus tard dans la nuit » indiqua la voix.
« Gwraig retourna auprès des siens. Elle montra le morceau de bois qui l’avait aidée. Elle montra le sang qui n’était pas le sien collé à sa peau. Tous furent surpris de savoir qu’il appartenait à un monstre dans la savane. Le lendemain, armés de morceaux de bois similaire à celui de Gwraig, un groupe partit se promener dans la partie interdite. Puis ils partirent plus loin, encore plus loin. D’autres partirent vers d’autres endroits. Ils découvrirent des forêts, des lacs, des montagnes. Ils utilisèrent les lances, confectionnèrent d’autres outils pour tuer afin de se nourrir et s’habiller car plus ils s’éloignaient, plus il faisait froid. »
L’arbre arrêta de s’exprimer dans mon songe. Je voyais exactement ses propos comme une réalité, comme une régression. J’ai vécu ce temps, j’ai participé à cette expédition et l’arbre ravivait ce souvenir perdu. Ensuite, nous avons construit des maisons, nous avons utilisé les peaux et le bois des arbres. Nous avons coupé les frères de ce chêne multimillénaire pour en faire nos habitats, nos meubles. Nous avons détruit la nature qui s’offrait à nous en l’exploitant. Seule Gwraig refusait ce mode de vie. Elle montra de la colère, elle n’accepta pas les ordres, la hiérarchie imposée par notre nouvelle société. Elle est partie vivre en marge de notre village, gardant ses distances tout en continuant de nous parler.
«Elle vit ses frères touchés par des maladies inconnues apportés par les animaux qu’ils capturaient pour les élever. Elle vit la mort s’amuser à frapper dans le village. Et elle vit la jalousie de ceux qui ne vivaient pas comme eux les attaquer. Alors, l’homme coupa plus de bois pour se barricader et protéger son bien. Il détruisit la forêt, son lieu d’origine, son Eden. Elle regretta d’avoir fait entrer le loup dans la bergerie. Elle s’opposa aux règles, aux lois adoptées par les plus forts. Elle voulut organiser un autre monde aussi libre et égalitaire entre hommes et femmes que le précédent. Car elle voyait ses frères rapetisser à travailler la terre et ses sœurs mal nourries se contenter des restes que l’homme nouveau, le guerrier, lui donnait. L’humanité se scindait en castes dans lesquelles la femme, pour avoir sa place, n’était plus qu’un ventre.»
La jeune femme s’éloigna plus profondément dans la savane. Elle cherchait une nouvelle forêt. Dans mon rêve, je ne l’ai pas vue la trouver. Il y eut un énorme noir, j’avais l’impression de flotter dans l’espace. Je tournai afin de trouver une lumière ou un point lumineux. Mais il n’y avait rien à part la voix qui revint à mes oreilles.  « De ses exploits, il ne reste rien. Pourtant ils furent racontés. Gwraig fit rêver les enfants qui voulaient devenir comme elle. Par contre, l’homme retint son refus d’obéissance. Il ne conserva que cette minuscule partie de son existence. Au fil des siècles, sa légende se déforma. De Gwraig, la femme brave et chasseresse, il ne restait qu’une rebelle indomptable et dangereuse rebaptisée Lilith. Elle fut même décrite en une Pandore naïve et curieuse qui ouvrit une boite permettant à l’homme de lui reprocher ses maux. Ainsi, se termine le premier des contes de l’homme, oublié parce que le premier héros de l’humanité est une femme car l’homme, empreint de jalousie, rongé par des règles qu’il a adaptées à sa façon, n’acceptait pas que la femme lui soit au-moins son égale. »
Je me réveillai, les derniers mots tournaient toujours en boucle dans ma tête. J’avais soudainement froid. Le soleil avait disparu derrière quelques nuages. Je rentrai chez moi avec une nouvelle histoire à écrire et décidé de revenir un jour prochain pour entendre un autre ancien conte. Mais qui me croirait si je dis que c’est un arbre qui me les raconte?
Alex@r60 – août 2020
Photo de Nona Limmen
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pauline-lewis · 4 years
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Wherever I have played the blues have run the game
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L'image qui m'a le plus marquée ces deux dernières semaines, c'est le visage de Cameron à la fin de la saison 2 de l'excellente série Halt and Catch Fire. Cameron attend un homme qui ne viendra pas, assise dans l'avion. Elle n'est en général pas trop portée sur l'effusion de sentiments mais le visage expressif (et sublime, il faut bien le dire) de Mackenzie Davis raconte ce que ses mots ne disent pas. Dans ses grands yeux, dans cet avion, on peut lire la joie d'un nouveau départ et la tristesse de devoir couper certains liens. Cette scène retranscrit parfaitement ce qu'est un lieu de transition. J'ai repensé au trajet en train du retour de Brest, le 1er janvier, où tout se mélangeait : la violence de revenir à deux, la tristesse de ne pas savoir quand nous pourrions revenir, l'envie désormais pressante de ne plus avoir à retourner à Paris et puis le sentiment étrange de sentir son corps être projeté en avant quand son cerveau est, lui, complètement figé. Il y avait là une dissonance presque agressive. Dans Halt and Catch Fire, le corps de Cameron est contenu dans l'avion, mais le son voyage au rythme de Heaven de Talking Heads grâce à la voix, la guitare, la batterie. Son esprit est ailleurs. Et les larmes montent aux yeux, aux yeux de Cameron (et un peu aux miens aussi, parce que ce personnage me touche beaucoup).
Les sentiments sont exacerbés en ce moment et quand je n'aime pas un film je le déteste vraiment au plus profond de mon être (le jaune pisseux et les cadres de travers de Bagdad Café m'ont, en cela, rendue un peu trop furieuse for my own good) mais je tourne aussi en boucle sur tout ce qui "fait du bon" comme on dit chez la psy. Je brode sur mon canevas avec la certitude que quelque chose de magique se déroulera dès que j'aurai serré le dernier point sur la toile. J'ai parlé de pensée magique l'autre jour et pile à ce moment Molly en a parlé avec sa psy dans l'épisode d'Insecure que je regardais. Une coïncidence ! Ça, ça fait du bon. Revoir l'épisode de Seinfeld dans lequel Elaine trouve l'idée de son paragraphe sur les Himalayan Walking Shoes.
But my feet, my feet are resilient !
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En ce moment j'ai développé une nouvelle activité, que je pratique pour remplir les moments de rêverie au travail ou pendant que je tricote des pulls rouges qui ont pour vocation d'égayer mon quotidien. J'imagine que, dans ma future et hypothétique maison, j'installe une pièce pour moi. Dans mes moments de vide je la remplis. Plus je me sens sombrer, plus cette pièce déborde de tous les objets qui, ici, n'ont pas trop leur place. Une grosse fresque au mur dessinée par Aurore, des sérigraphies accrochées partout, une grande table pour mon puzzle, une machine à tricoter, une imprimante laser pour mes futurs zines, un panier pour mon tricot, des figurines des Moomin sur les étagères, des piles de livres par terre, ma machine à coudre avec tout le tissus qui déborde de partout, des tasses anglaises pour prendre le thé et le petit bric-à-brac qui m'accompagne partout. Aucun goût, aucune énergie de "catalogue ikea", ça je ne serai jamais dans les pages inspiration de Marie Claire maison : j'y mets seulement des choses qui prennent de la place et de la poussière. Et devant la fenêtre, il y a une toute petite table pour écrire un peu, parfois. Souvent mon chat fait son apparition dans ce rêve parce que je lui ai bien évidemment prévu un petit coussin cousu par mes soins, mais je dois lui dire qu'il ne sera pas de cette aventure-là. Cette pièce n'a aucune portée politique de la chambre à soi de Virginia Woolf. Elle n'a qu'un but : me faire tenir, encore un peu, jusqu'à demain, jusqu'à la semaine prochaine, jusqu'au mois prochain, jusqu'aux beaux jours.
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Pick-up on South Street de Samuel Fuller (1953)
Apparemment je me spécialise ces derniers temps dans les films d'espionnage, puisqu'après Ministry of fear de Fritz Lang, j'ai beaucoup aimé Pick-up on South Street de Samuel Fuller, un film qui commence par un vol dans le métro. Candy se fait dérober, sous le regard de la police, un microfilm qu'elle devait rapporter à son ancien petit ami. Tout le film déroulera ensuite la relation entre le voleur, la voleuse, la police et l'ancien amant. Dans ce film, tous les hommes sont violents, ce qui attire irrémédiablement les femmes qui y voient l'expression de leurs blessures profondes, un stéréotype du film noir qui me défrise toujours un peu, mais passons.
J'ai particulièrement aimé le personnage de l'indic/vendeuse de cravates, interprétée par Thelma Ritter. Elle trahit, elle vend des informations, elle met les autres en danger mais elle est aussi vraiment bouleversante puisqu'elle essaie comme elle peut de mettre de l'argent de côté pour se payer un enterrement digne de ce nom. Dans une scène particulièrement émouvante, elle monologue sur la difficulté de sa vie, sur ses conditions de vie indigentes et la fatigue qu'elle ressent dans ses os à force de devoir marcher toute la journée pour gagner assez d'argent. Je me disais qu'il était rare de voir une femme d'un certain âge, pauvre de surcroit, qui parle de son corps dans un film des années 50. La manière dont elle est filmée, son phrasé, puis le plan large qui fait comprendre au spectateur ce qui l'attend — tout est magistral dans cette scène. Et puis ce film date de l'époque où les films n'étaient jamais jaunes (parce qu'ils étaient en noir et blanc), c'était le bon temps non ?
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Je vois des antennes partout de Julie Delporte (éditions Pow Pow)
J'avais beaucoup de livres sur ma table de nuit avec la rentrée littéraire, et je m'étais gardé Je vois des antennes partout de Julie Delporte pour le moment où j'aurai fini ma pile de “lectures-boulot” (même si, bien sûr, la ligne entre lecture-boulot et lecture-plaisir est très très poreuse). Dimanche, j'ai donc lu ce récit autobiographique sous ma couette. Julie Delporte raconte un moment de sa vie où elle s'est mise à se sentir agressée physiquement par les ondes, et par l'illusion du confort moderne. Elle est atteinte de maux de têtes violents et elle devient sensible aux portables et aux antennes qui semblent se multiplier autour d'elle sans qu’elle ne puisse rien y faire. Comment pourrait-on se couper de ce qui nous est imposé ?
L'autrice accepte l'offre d'une de ses amies d'aller vivre quelques temps dans le chalet de son grand-père au nord du Québec, "loin des antennes de téléphone". Commence alors une méditation autour de la nature, des angoisses, de la nuit, des ruptures. "C'est trop tard pour faire reculer le monde" écrit Julie Delporte — et sous ma couette, en pleine pandémie, cette phrase m'a frappée en plein cœur.
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J'ai déjà parlé plus que de raison de l'effet à la fois immédiat et très profond qu'a l'œuvre de cette autrice sur moi, et ce livre l'a encore une fois confirmée. Sa manière de dessiner la nature, de rendre compte de ses angoisses, de trouver les couleurs, les mots et les traits pour raconter des sentiments sur lesquels je n'aurais jamais réussi à mettre de mots m'émerveille vraiment. Ses livres pourraient me rendre triste mais ils me donnent ce sentiment précieux d'être moins seule. Merci Olivier de l'avoir mis au pied du sapin <3
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Chercher du sens avec Moominland Midwinter de Tove Jansson
En 2020 je devais partir en Finlande sur les traces des Moomin, c'était un voyage que j'avais planifié rapidement mais qui avait l'air super sur le papier. Après l'avoir annulé j'ai souvent regardé les photos du logement que nous avions loué avec ses petites chaises près du lac. Ça ne me rendait pas triste, je fermais les yeux et je m'y installais tranquillement.
Ce week-end je m’y suis finalement rendue via les mots de Tove Jansson. Le conte Moominland Mindwinter m'est apparu comme étant étrangement de saison : Moomintroll se réveille de son hibernation prématurément, alors que l’hiver vient tout juste de commencer. Évidemment, tout le monde dort toujours. Il se retrouve donc obligé de découvrir l'hiver, et tout au long de son aventure il découvre la résilience, la manière dont le familier peut changer selon la saison,  le sens de la compagnie et des amitiés improbables. Il découvre aussi un peu d’où il vient. Bref, ce récit m'a fait beaucoup de bien parce qu’il raconte toutes les manières dont on peut s’habituer à des événements angoissants. Et parce qu’il parle d’aventure, et qu’on en manque un peu ces jours-ci.
He looked at the cupboard in the corner and thought of how nice it was to know that his own old bath-gown as hanging inside it. That something certain and cosy still remained in the middle of all the new and worrying things.
(à un moment, un événement triste intervient, et Tove Jansson nous encourage, dans une note de bas de page, à consulter une page de la fin du livre pour nous rassurer. Je me suis dit que c'est ce que j'aimerais bien faire en ce moment, aller voir à la fin du livre de cette année pour voir si cela peut me rassurer.)
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Les chansons que j’écoute en boucle
J'ai fait une playlist en janvier pour mettre dedans toutes les chansons que j'écoute, pour des raisons inconnues, en boucle en ce moment. Je la partage comme ça, si jamais votre mois de janvier n'a aucun sens et que vous voulez voir ce qui passe en random dans mon cerveau. 
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poesiecritique · 4 years
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hier high life
je ne connais pas le cinéma de Claire Denis, je ne connais pas Claire Denis, je ne cesse d’entendre: le cinéma de Claire Denis, sans point de suspension, avec juste une question : tu ne connais pas ? et puis une autre, presque la même : ah ? tu ne connais pas ? 
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plus précisément, jusqu’hier, jusqu’à High Life, je ne connais pas le cinéma de Claire Denis, donc je ne pourrais dire d’High Life que ce que j’en ai vu, sans perspective, sans autre perspective de son histoire, de son cinéma, du cinéma de Claire Denis
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j’ai vu du vide, des espaces vides dans le vide de l’espace, presque jamais montré, montré comme on montre l’intérieur d’un ventre le vide intersidéral, le vide, le vide creusé à pleines mains errant dans un vide sidéral qui est tout aussi bien l’infini qu’un ventre, j’ai vu des corps, des corps violents, des corps qui gravent au tesson, qui tuent et sont tués, j’ai vu un corps nu qui femme et âgé spasmodique jouit dans une boîte noire, un corps qui refuse toute jouissance et qui corps d’homme est violé, un autre corps que la violence d’un homme ne parvient pas à violer mais qui femme le sera par la même femme que celle qui viole le corps d’homme, comme l’on viole l’espace que l’on veut inséminer de notre présence, et comme l’espace digère, pour le moment, dans sa lumière, sans conséquence, des corps qui tuent, qui devenus fous d’espace infini et d’huis clos tuent et sont tués pour pouvoir mourir le choisissant
“même dans l’espace ce sont les noir-es qui meurent les premiers” nous rappelle Claire Denis, et cette femme qui meurt la première, cette femme isolée, racisée, ce n’est pas l’homme racisé du groupe en vrille qui la protège, je pense à Audre Lorde, et les femmes et les hommes, et quels rapports entre eux, ce n’est pas cet homme, c’est envers laquelle la violence s’exerce répétée sans même qu’elle ne puisse se défendre, une seule autre, pas toutes les femmes, une seule autre femme qui, à répétions, tout le temps, dès que possible, la protège
j’ai vu le temps s’écouler, le temps à rebours, le temps lent, la lente mise en place d’une torsion, d’aucunes diraient narration, en flashback qui n’en sont plus, j’ai pensé à Stalker de Tarkowski, j’ai pensé à 2001 de Kubrick, appris compris se plaçant au même endroit réflectif, dans la même esthétique temporelle, l’avancée impossible, et les images qui viennent de temps immémoriaux, qu’on ne peut plus, que celles et ceux embarqués ne veulent ne peuvent veulent désirer veulent détruire, virales images, celles des souvenirs dans les souvenirs qui ici, dans le vide de l’immense emmène, un meurtre pour un chien, le meurtre d’une jeune femme pour la mort d’un chien qui été aimé, tenu en laisse et aimé, adoré, et cette laisse, cette laisse défaite du cou du chien, c’est peut-être toute l’histoire d’High Life, toute l’histoire d’une liberté paradoxale retrouvée dans le cœur de la mort, la vacillance d’une vie,    
il y a deux plans d’une matérialité étrange, une main au dessus d’un puits qui lâche quelque chose auquel répond celui d’un navire interstellaire qui dans l’infini reste immobile, c’est à dire se meut par un mouvement de caméra supposé - tout est parfois si lent que les mouvements de caméra parfois s’absentent de notre percpetion ; et j’en oublie un troisième, celui du monstre que chevauche dans la boîte noire à fantasmes, à jouissance, le monstre que chevauche la scientifique, l’infanticide, y a-t-il un mot pour dire celle qui tue son mari, que chevauche la scientifique, la tueuse, la violeuse, l’ensemenceuse, peut-on dire que la sorcière dans toute sa force vitale chevauche un monstre informe un énorme étron avant que vieille et jeune, ses cheveux serpents, avant qu’elle ne flotte ses cheveux épars tout autour d’elle se laissant glisser dans le vide, dans l’espace, dérivée habillée auréolée de ses cheveux noirs et longs dansant encore alors qu’elle est morte, l’est-elle ?, tout y est de la sorcière qui est aussi celle qui crée la vie, une vie, car peut-être sans elle cette vie sans tous ces mort-es aussi serait advenue, les parents déjà commençaient à se sourire, commençaient, pouce sur la mâchoire et follette, commençaient à nous promettre, Caire Denis commençait à nous promettre que peut-être dans le vide, deux êtres, peut-être, allaient s’aimer ?
j’ai vu des images très plates, sans perspective, très rares sont les perspectives, tout est filmé contre, tout contre, tout le temps, et il n’y a de la distance qui apparaît seulement quand l’espace se vide,
j’ai eu le souffle suspendu, qu’est-ce ?, qu’est-ce qui s’est passé ?, que se passe-t-il ?, qui ?, j’ai vu comme le tournevis qui s’échappe dans l’infini tous les ressorts des histoires de genre, du genre de la science-fiction, comme la panne, comme le manque de ressources, comme la catastrophe venue de l’environnement, comme l’extra-terrestre, être écartés, inopérants ; dans l’espace et l’infini toujours encore la mort et la vie venue des êtres humain-es ; j’ai pensé à ces expériences étranges qui ont lieu, ont eu lieu dans le ventre de Moscou, Mars500, ces expériences étranges où des hommes, de futurs cosmonautes qui ne partiront peut-être jamais dans l’espace sont enfermés pendant 500 jours pour voir, voir comment à quel moment l’équilibre, la bienveillance s’arrêtaient, d’où naissent les frustrations, pour mettre en équation les sentiments, pour imaginer comment rendre possible la vie dans un espace confinée le reste de la vie, 
j’ai vu un jardin, un petit jardin bleu et vert, dans lequel il est possible de vivre comme de mourir, qui permet de vivre comme de mourir j’ai entendu “ne mange pas ta pisse, ne mange pas ta merde, même si c’est recyclé, c’est tabou”, dit à une toute petite enfant, pour laquelle le mot tabou devient un jouet sonore, ta-boo, ta-boo, ta-boo ; j’ai vu une ellipse, pas d’éducation, “qu’est-ce que tu fais ? - je prie - tu pries quel dieu ? - je ne sais pas, j’ai vu faire ça dans les images qui nous parviennent de la terre, je voulais voir ce que ça fait” ; juste l’advenue d’une jeune femme étrange et sage - “est-ce que je ressemble à ma mère ?” ; ta-boo ; ta-booh ! ; ce mot est un ressort que Claire Denis, comme le premier tournevis, égare, nous égare, et nous confronte au tabou de l’inceste, à nous même, nos constructions mentales, sociales, nos peurs, mes peurs, entre ce père et sa fille, que va-t-il advenir, que peut-il advenir, jusqu’à quel point irons-nous dans l’espace, l’infini et le vide, 
j’ai vu des couleurs, de très belles couleurs, pleines, vertes, jaunes, bleues, oranges, noires, pleines, rythmant stéréoscopiques
je me suis demandée : science-fiction post-patriarcale, oui, non, oui les femmes et les hommes même si genrés sont désassignés, la violence des femmes est rarement celle de l’impuissance, de la folie peut-être, mais celle qui transforme, transmute, femmes et hommes, femmes puis hommes puis femmes, jusqu’à une résolution qui ne dit rien, ne rien dire c’est déjà ne pas imposer, la suspension est souvent vertueuse, ouvre, permet de revenir, comme dans le jardin vert et bleu du navire interstellaire n°7, gros container maritime, y revenir, continuer à y penser, qu’est-ce que c’est cette lumière, la lumière du trou noir, est-ce que la douceur qui finalement est née de la violence va-t-elle y disparaître ?    
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Jeudi 2 avril 2020
Linda
A l'eap, on aime bien les symboles, les signes, les synchronicités, les correspondances, les hasards curieux... bref, tout ce qui peut faire réflexion, rebond, lien, sens... quitte à forcer un peu le trait, je le reconnais. 
Ainsi il ne m'a pas échappé que c'est principalement à partir d'un rassemblement religieux évangélique de près de 2500 personnes s’étant tenu à Mulhouse du 17 au 21 Février que le virus s'est propagé. Ce culte évangélique porte le nom prédestiné de "La porte ouverte", le hasard a parfois un humour incroyable.
Il ne m'a pas échappé non plus que de grands rassemblements avaient déjà eu lieu dans le Grand Est et devaient se poursuivre notamment pour fêter les 500 ans de la Réforme protestante. Luther afficha ses 95 thèses en 1517 et c'est au mois de janvier 1521 qu'il fut officiellement excommunié par le pape. C'est donc cette période symbolique qui marque l'avènement de la Réforme protestante.
Le changement qu'apporta la Réforme ne fut pas une simple scission religieuse créant deux courants allant chacun leur chemin. La remise en question de la Réforme toucha en profondeur l’essence du Christianisme. En voulant éradiquer la dépravation qui avait incontestablement gangréné l'église, Luther fit imploser le contenu subversif du message chrétien donnant ainsi un coup d'arrêt irrémédiable à l'élan de cette religion qui ne fit alors que perdre, sa dimension sacramentelle aussi bien chez les protestants que chez les catholiques. Les Protestants voulurent revenir à un christianisme primitif d’inspiration paulinienne avec le risque de provoquer des dérives sectaires, quant aux Catholiques, ils proposèrent une contre-réforme qui ne fit que figer le message divin.
Sans la reprise de ce substrat théologique par la philosophie, et notamment par les idéalistes allemands ou encore l'inclassable Kierkegaard, il serait aujourd’hui difficile de trouver au Christianisme une haute valeur théologique tant le fond a disparu sous une liturgie squelettique, répétitive et évidée de son caractère sacré.
Alors si la science de son côté s'est perdue en autonomisant la raison de toute réflexion sur l'homme, on peut aussi dire que la religion en Occident s'est pareillement égarée bien que ce soit pour des raisons différentes.
 Le fait que la principale propagation du virus soit due à ce rassemblement est comme une piste qui amène à interroger le sens du religieux aujourd'hui. Là encore, le sentiment que nous touchons à la fin d'une période est perceptible. Il ne s'agit certes pas de céder aux tentations orientalistes ni aux mouvements New âge. L'heure n'est pas à l'amour tout azimut, mais à la dure et difficile compréhension du constat de ce que l'homme historique est devenu, notamment sous l'impact de son émancipation religieuse.  Le temps n'est plus à la préservation du mystère mais à son dévoilement et c'est le caractère subversif et il est vrai ésotérique du texte chrétien qui nous interpelle. Peut-être nous faut-il réfléchir à cette incroyable faculté de guérison que le Christ sème sur son parcours généralement assorti par un énigmatique : " Va et ne pèche plus " comme si le passage par une maladie et surtout sa sortie était susceptible de conduire l'homme sur un chemin moral plus rigoureux.
 René
Nous allons aujourd’hui ouvrir une première piste de réflexion permettant de cerner le dire d’un virus. Cette piste relève du fait qu’un virus a besoin d’un minimum de population humaine pour se faire entendre dans le monde, entre 200000 et 500000 personnes selon les virus. Ceci explique qu’ils ne sont apparus sur le plan pathogénique que tardivement dans l’histoire de l’homme. Ils veulent donc participer à plus de 50% du chorus immunitaire où plusieurs voix se font entendre de façon à ce que l’homme puisse construire son identité. Sinon, elle le déterminerait une fois pour toute, comme pour le monde animal. Paradoxalement, les virus appartiennent donc à l’élément attractif et centralisant du parlement immunitaire et témoignent de la qualité de la structure collective pour l’individu. Nous prendrons pour étude la variole dont tout le monde a quelque image en tête avec ses pustules ressemblant à la varicelle. 
La variole a certainement été la manifestation virale la plus meurtrière de l’histoire avec des millions de morts à son actif. Que peut vouloir dire une telle hécatombe qui a dévasté des pays entiers ? Le symptôme majeur de la variole est cutané avec l’apparition de pustules dures se transformant en vésicules séreuses et laissant des traces définitives après guérison. Cette éruption ou plutôt ébullition de la peau peut recouvrir tout le corps, provoquant une envie irrésistible de s’arracher la peau. Comme toutes les virémies, la variole s’accompagne d’une crise immunitaire entraînant un risque mortel d’infections secondaires. Le signe clinique caractéristique de la variole est donc cutané, ce qui nous amène à réfléchir sur la fonction de la peau chez l’homme. 
La peau est une enveloppe limitante et contenante de notre unité corporelle telle une combinaison de plongeur. Ceci explique la tradition de l’emmaillotage des nourrissons, car ceux-ci n’ont pas encore construit leur confinement identitaire. Dire que l’on est bien ou mal dans sa peau atteste du rapport de la peau à l’être et donc à une source identitaire cachée dans nos profondeurs, mais rassurante. 
La peau se présente donc comme la surface d’une sphère miroitante intérieure permettant de centrer les premières formations identitaires. Ainsi, la peau réveille l’essence même du toucher, le toucher de soi comme centre, mais aussi comme périphérie, c’est-à-dire comme espace clos ou l'unité formelle se détermine elle-même, pour elle-même. 
Cependant, comme pour toute frontière, ligne ou surface de démarcation, la difficulté est de savoir comment s’inscrit la relation de soi à soi et de soi au monde sur la peau en tant que lieu constitutif et constituant de l’ajustement du contenant au contenu, ou encore du soi au monde. Un toucher le monde doit aussi être un toucher le soi. 
Pour le nourrisson, le monde se résume à la mère et cette première relation détermine la qualité médiatrice de la peau qui permet au nourrisson de se connaître dans sa sphère miroitante comme différent de la mère tout en étant aussi du même qu’elle. 
La mère est le fond tain du miroir permettant de polir la réflexion de l’image qu’elle renvoie et sur laquelle se centrent les rayons tissant le premier noyau identitaire. La mère figure le monde et permet ainsi au nourrisson de se l’approprier sous une forme sensible idéelle. 
Il est ici soulevé toute la sublime dynamique affective de la dyade mère-enfant et de son évolution. Il est donc intéressant de noter que le premier moment de confirmation de  l'autonomie identitaire du nourrisson est sanctionné par l’apparition de la rougeole dont le virus est purement humain et donc fait intégralement partie de l’histoire de notre humanisation. 
Cependant, malgré l’évolution de la peau vers un accroissement de puissance médiatrice renforçant ainsi l’identité individuelle, elle demeure extrêmement réactive car s’y tisse en permanence la relation de soi au monde transitant par la relation de soi à la mère. Autrement dit, la peau va peu à peu refléter la relation à l’autre, l’autre de la mère qui est cette fois le monde réel et non plus idéel. 
Je prends l’exemple d’une consultation avec une mère et sa fille qui avait à l’époque huit ans. La mère était une jeune femme dynamique possédant tous les atouts de la modernité c’est-à-dire assurance, intelligence et volontarisme. Il était donc difficile pour cette enfant de trouver un chemin vers le monde puisque la mère en cernait toutes les issues. Au début de la consultation, la mère s’aperçoit qu’elle a oublié quelque chose dans la voiture et rassure vivement sa fille en lui disant plusieurs fois qu’elle revenait  aussitôt.  Voilà donc cette enfant seule dans le bureau avec moi qui suis alors mis en situation de représenter l’autre réel. Cette situation va très vite provoquer une forte angoisse chez cette enfant encore totalement fixée sur l’autre de la mère. Il n’a pas fallu plus de dix secondes pour que l’enfant se précipite vers la porte en hurlant.  
Si l’autre de la mère est bien le réel du monde, ce réel échappe à la mère et là réside toute la complexité de l’évolution de la dyade originelle. Si l’origine se donne par la mère, celle-ci n’en dit rien et l’incarne sous le mode d’une insondable vérité.
L’autre qu’est la mère est donc bien le monde réel, mais celui-ci est vu par l’enfant comme le voile de la vérité provenant de cette donation originelle de son être par la mère. L’énigme de l’être venant à lui-même au foyer lumineux de son propre miroir demeure totale sauf à relever d’une caresse aussi bien du regard que de la main de la mère. La vérité reste voilée telle qu’y convoque la littérature romantique avec le voile d’Isis.
Ceci nous permet de comprendre que les crises identitaires avec leur corrélat cutané vont donc scander l’évolution de l’homme dans son rapport au réel ou encore à l’Autre comme à sa vérité.
La scansion de base menant de l’autre à l’Autre est la rougeole, la varicelle et l’acné à l’adolescence, la variole étant donc une forme d’échec de la structuration de la relation à l’Autre et concerne la société.
Deux aspects majeurs de la construction de nos sociétés s’imposent : 
Tout d’abord le poids de l’instance maternelle. La donation de l’être dans sa dimension la plus idéelle et affectueusement tactile demeure le miracle d’une transmission mère-enfant. Cet être tissé de fils de lumière doit se confirmer peu à peu dans sa relation au réel qui a trouvé une formulation théorique majeure en psychanalyse autour du concept de relation d’objet.
En second lieu, comme cela existe dans la plupart des sociétés africaines, il faut des rituels de passage confirmant l’accès à l’Autre sans passer par des pathologies virales. Ces rituels de passage, qui ont certainement joué un rôle majeur dans la construction immune des sociétés, interrogent sur le concept même de passage : qu’est ce qui se passe pour le sujet ? Il peut paraître simple d’y répondre en définissant le passage comme le transfert du pouvoir de la mère au père. Ce n’est pas faux, mais plus fondamentalement, il s’agit du passage de la langue au langage.  
 La réalisation de ce passage tient à l’exploit de la puissance de la parole qui profère et fixe une valeur de sens situant l’homme dans une histoire possédant un début qui augure d’une fin.
La parole donne ainsi un cadre ou une peau à une société, en détenant l’art de toucher aux frontières du dicible. Il serait facile de convoquer les dialogues de Platon pour le démontrer. 
La variole se présente donc comme un jugement sur la valeur des signifiants qui déroulent le sens d’une histoire, celle du sens de la présence de l’homme à ce monde. L’Autre se montre dans le monde, il en constitue la trame logique constitutive de la raison de notre provenance.
Si la parole ne sait pas signifier le monde en illustrant la raison qu’il déploie, il ne reste qu’une vie naturelle dont aucun habit scientifique ne donnera le moindre sens et donc la moindre indication sur les fins de l’homme. Nous atteignons alors le mur du néant et appelons les virus à la rescousse car on ne peut arrêter l’évolution.
 On a remarqué qu’il y avait plus d’hommes touchés par le coronavirus que de femmes. Cela confirme le rôle important de la conservation d’une posture œdipienne dans la venue de la pathologie. Quant aux femmes qui contracte le virus, il faut soupçonner à l’inverse une relation difficile à la mère. Les pères sont pour l’instant dans l’épreuve d’un dire qui renouerait avec une quête de valeurs plus hautes que notre horizon techno-économique.
 Je voudrais terminer ma réflexion en évoquant la variole contractée par le très célèbre et génial Goethe. Ce grand esprit a contracté la variole et il n’existe aucun doute sur le diagnostic étant donné les éléments cliniques qu’il a lui-même décrit. Comment cela s’inscrit-il dans notre piste de réflexion ? La seule faiblesse existentielle de Goethe, ouvertement déclarée, fut celle de sa vie affective. Il choisit comme compagne une femme de la campagne, de forte constitution et étrangère au milieu intellectuel et raffiné qu’il fréquentait. Il avait besoin d’une assurance sur le bon sens terrestre et ses valeurs éprouvées. Il finira par épouser sa compagne suite à des évènements extrêmement émouvants, démontrant ainsi son profond attachement à cette femme. Goethe avait donc gardé un lien fort à la terre mère de nos origines, expliquant ainsi le fait que Faust sera in fine pardonné par les mères protectrices de l’esprit de la terre. Il fut tout de même, et avant tout, un fils. Goethe avait donc besoin de ce rituel variolique pour marquer à la fois la force de son lien à la mère-nature et son émancipation en tant que fils prodigue et prodige. Cette épreuve clinique fut sévère pour Goethe car l’atteinte oculaire le rendit aussi aveugle, telle est la vraie conséquence d’un retour dans la chrysalide et les métamorphoses internes qui s’y opèrent. Une preuve éclatante de cette histoire mérite d’être méditée : les cicatrices de la variole sont connues pour être indélébiles, or Goethe ne garda aucune trace extérieure de cette aventure dont la vraie suite fut totalement intérieure.
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dassari · 1 year
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