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#la science cqfd
maaarine · 11 months
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"C'est assez différent selon les pays, ce n'est pas inévitable qu'il n'y ait pas de filles en mathématiques.
Dans les pays du nord, il y a une meilleure parité. En Italie, les filles étaient pas loin de 35-40%.
L'Allemagne était pire que la France, mais depuis 15 ans, elle fait des efforts considérables, qui ont des effets significatifs: elle est passée de 15% à 23% de femmes mathématiciennes.
Alors qu'en France, il n'y a pas d'évolution. (…)
Plus y a de choix, plus les filles auront tendance à éviter les sciences.
Il y a sans doute des normes sociales qui font qu'elles sont meilleures globalement que les garçons dans le système éducatif.
Quel que soit le niveau, quelle que soit la discipline. Sauf en math, où il y a des petites différences au niveau du lycée, qu'on a du mal à comprendre.
Elles sont vraisemblablement liées à des menaces de stéréotypes: le fait de dire aux filles que là elles sont moins bonnes, fait que c'est une prophétie auto-réalisatrice.
Mais sinon, partout ailleurs elles sont meilleures.
Donc en fait, comme elles sont bonnes partout, elles vont se répartir équitablement.
Alors que les garçons, ils sont plutôt moins bons en lettres. Et puis il y a le stéréotype qui dit qu'un garçon va plus aller dans les sciences.
Donc eux ils ont moins de choix, parce qu'ils ne vont pas là où ils sont moins bons. (…)
Une étude montre que les lycéennes s'estiment moins aptes que les garçons à se diriger vers les filières scientifiques.
Parmi celles dont la moyenne excède 14/20 dans ces matières, 43% pensent être capables de suivre une formation en école informatique, contre 78% des garçons. (…)
En fait c'est vraiment la société qui leur dit que ce n'est pas leur place.
Par exemple, les études de médecine sont aussi difficiles, voire plus difficiles, que les études de mathématiques, et elles y vont et y réussissent en masse, parce que la société leur dit qu'elles peuvent.
Il y a vraiment quelque chose de très puissant, de culturel."
Source: La Science, CQFD: Mathématiques : debout les femmes !
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entomoblog · 4 months
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La Science, CQFD du lundi 3 juin : table ronde de l'actualité des sciences
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Une heure dédiée à toutes les sciences, et à leurs problématiques éthiques, politiques, économiques et sociétales qui font l’actualité.
  La Science, CQFD, le podcast scientifique de France Culture à écouter en ligne
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via La Science, CQFD sur X, 31.05.2024
  "Et lundi, on se retrouve pour une table ronde de l'actualité des sciences avec nos collègues de @maglarecherche @Epsiloon_mag @pierrekerner @SeBohler ! Ce sera à 16 sur @franceculture #ScienceCQFD https://t.co/aeP5jkBi0l"
  https://x.com/ScienceCQFD/status/1796560848410054991
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ecouterradio · 7 months
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La Methode scientifique #FranceCulture #podcastFranceCulture
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zehub · 10 months
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Natacha Triou dans "La Science, CQFD" : "le premier rempart contre les fake news, c'est la parole scientifique"
Du lundi au vendredi de 16h à 17h sur France Culture, Natacha Triou présente "La Science, CQFD", une émission de vulgarisation scientifique qui donne la parole aux chercheuse
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isabelle201180 · 11 months
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ActuSF repris : un nouveau départ ?
J’ai appris hier soir que les éditions ActuSF avaient trouvé un repreneur. Le mois dernier, elles avaient déposé le bilan et semblaient avoir jeté l’éponge. Lors de l’émission La Science CQFD consacrée aux difficultés de l’édition de SF en France (voici la page de l’émission qui mérite d’être écoutée), Jérôme Vincent, le directeur des éditions […]ActuSF repris : un nouveau départ ?
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pierrecarree · 1 year
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Distinguer les dyslexies phonologiques ou de surface, c'est has-been
En réponse à cet article sur un livret de description des différents types de dys, Stéphane Clerc m’a indiqué un épisode de La science, CQFD sur France Culture. Alors pouf, je suis allée écouter cela, car c’était bien intéressant. Je ne sais pas si j’ai écouté le bon épisode, mais il parlait de dyslexie. Source Yann Mikaeloff, neuropédiatre, professeur des universités à la faculté de médecine…
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mikaelpetitjean · 1 year
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[La science, CQFD] Comment maîtriser notre maîtrise ?  #laScienceCqfd
https://podcastaddict.com/la-science-cqfd/episode/159915811 via @PodcastAddict
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mikaelphilo · 1 year
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[La science, CQFD] Théories physiques versus big data : qui l’emportera ? #laScienceCqfd
https://podcastaddict.com/la-science-cqfd/episode/158529417 via @PodcastAddict
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inventiondemorel · 2 years
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‘Pataphysique : les pieds dans le potache
"‘Pataphysique : les pieds dans le potache" sur https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/la-science-cqfd/pataphysique-la-science-par-l-absurde-9717831 via @radiofrance
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entomoblog · 5 months
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Odorat des insectes : comment molécule odorante et récepteur olfactif se contorsionnent ensemble
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Contrairement aux mammifères, les récepteurs olfactifs des insectes sont composés de plusieurs unités qui forment un tunnel au cœur duquel va venir se déposer une molécule odorante. Une nouvelle étude est parvenue à mettre en évidence comment un ligand parvient à aller toucher sa cible.
  Avec sciences
Alexandra Delbot
Vendredi 5 avril 2024
  "C'est un enjeu essentiel au-delà de la simple recherche fondamentale : comprendre comment sont perçues les molécules odorantes par les insectes nous permettrait de détourner le fonctionnement des plus invasifs d’entre eux. Et qu’on soit un insectes ou mammifères, l’odorat implique deux choses : un ligand et un récepteur. Le ligand c’est une petite molécule odorante et le récepteur, c’est une grosse protéine où va venir se loger ce ligand et c’est cette liaison qui va ensuite déclencher toute une cascade de signalisation, de neurones en neurones, pour dire que quelque chose a été senti.
  Quelles différences entre olfaction des mammifères et insectes dans la structure de leurs récepteurs ? Comment le ligand parvient à se frayer un chemin pour atteindre sa cible ? Une nouvelle étude dévoile comment un ligand et récepteur se contorsionnent ensemble. Jérémie Topin est maître de conférences à l'Institut de Chimie de l'Université Côte d'azur à Nice et co-auteur de cette étude parue dans Nature Communications."
  Elucidation of the structural basis for ligand binding and translocation in conserved insect odorant receptor co-receptors | Nature Communications, 11.12.2023 https://www.nature.com/articles/s41467-023-44058-5
  À écouter : Odorat : un sens en stéréo
Avec sciences
  À écouter : Déclin des insectes : la pollinisation a le bourdon
La Science, CQFD
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ecouterradio · 8 months
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La Methode scientifique #FranceCulture #podcastFranceCulture
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un-monde-meilleur · 4 years
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Selon le Pr RAOULT, pour prendre du recul sur l’évolution de l’épidémie, il faut faire de la Science. Mais malheureusement, en France, le séquençage du virus est très en retard. La France est à la 71ème place mondiale, derrière 18 pays africains. Il en appelle ainsi à faire preuve de modestie de la part des grands communicants.
Par ailleurs, le point essentiel de cette interview montre que plus la population augmente, plus on meurt. De plus, les décès liés au Covid concernent principalement les plus de 65 ans, et même plutôt les plus de 75 ans. Ce qui revient à dire que plus on vieillit, plus on a de chance de mourir.  C’est quand même stupéfiant de la part du gouvernement de mettre en place des mesures sociales désastreuses pour protéger une population vieillissante qui a toutes les chances de mourir avec ou sans mesures sociales.
Enfin, pour ceux qui ne croient pas en le Pr RAOULT, il est dit dans cette interview que ceux qui aiment les fake news sont ceux qui n’aiment pas les vraies nouvelles ! CQFD
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kradify · 4 years
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Rien ne peut tester la psychanalyse de manière concluante car toute réfutation devient une instance de confirmation. Ce qui ne peut être réfuté n'est pas une science. Cqfd... (à Gare de Villeneuve-Saint-Georges) https://www.instagram.com/p/CDD8vgiBbNM/?igshid=1vgdf9x0b5zwt
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claudehenrion · 5 years
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Le ''Cygne noir'' : ''méta probabilité'' ou simple aléa de l'Histoire ?
  Un lecteur curieux (mais ne le sont-ils pas tous ?) me demande d'expliquer la théorie dite ''du cygne noir'', évoquée ici dernièrement. Ma conscience de mon immense nullité me donne envie de répondre : ''j'sais pas, moi !'', mais l'ambiance confinée me suggère de me jeter à l'eau : coincés pour coincés, autant parler d'autre chose que de coronavirus ! D'abord, en rappelant que le préfixe ''Méta'' vient du grec μετά (meta) : après ou au-delà de, exprime le changement, la succession, le ''à côté de, entre ou avec, voire profond,ou grand''. (NDLR – Devant la richesse de cette langue, les hellénistes disent : ‘’le grec est intraduisible’’. C'est vrai.
  La semaine dernière, nous avions comparé le ''coronavirus'' à un ''cygne noir''. Pour les statisticiens, cette expression désigne un certain type d'événements imprévisibles et ayant une faible probabilité de se dérouler (ce sont les''événements rares'', en probabilités) qui, s'ils se réalisent, ont des conséquences d'une portée considérable. Cette théorie permet de constater d'abord, et d'expliquer ensuite le rôle disproportionné d’événements dont il est impossible de calculer la probabilité d'occurrence, de prévoir le rôle incertain mais massif dans l'histoire, et enfin de décrire les ''biais cognitifs'' qui rendent les gens comme aveugles devant eux, individuellement et collectivement. On peut noter, en passant, que c'est exactement la situation dans laquelle nous met la ''crise sanitaire'' actuelle ! (Décidément ! Il est difficile de ne pas être obligé de revenir vers ce satané virus, ces jours-ci !)
  La théorie du Cygne noir est un cas d'application d'une problématique plus large : ''le problème du cygne noir'' des philosophes, dont le champ d'application est plus vaste, englobe tout ce qui, pouvant être considéré comme des données aberrantes extrêmes, joue en outre un rôle bien plus important que les faits ordinaires, en eux-mêmes comme dans la perception collective. La représentation que se font les humains de ces ''choses'' imprévisibles dans leur occurrence et dans leurs conséquences est parfois appelée ''le dilemme de Diagoras'' (dit ''de Melos'' ou ''l'Athée''), un légiste et philosophe grec qui vivait au V ème siècle avant Jésus-Christ et qui a posé le premier les bases de l'athéisme en refusant la logique de la soumission aux dieux de l'Olympe, contre les sophistes de son temps (qui, déjà, détestaient ceux qui ne pensaient pas comme eux ! ''Nihil novi sub sole''!).
  ''Ce qui nous conduit souvent à nous tromper, disait Diagoras, c’est notre obsession du parce que'' : les hommes veulent que toute chose ait une cause identifiable, et ils se précipitent souvent sur celle qui leur convient le plus, refusant le hasard. Il faut souligner la formidable actualité de cette observation, en ce moment précis ou ''Homo unetvigintesimus saeculus'' (= l'homme du XXI ème siècle, notre semblable) ''ne peut faire son deuil'' (mort accidentelle ou pas, accident d'avion, épidémie, ou toute cause due au hasard ou sans explication facile, logique ou simple) que si un coupable a été trouvé –et puni. L'homme, affirmait Diagoras, est prisonnier de son besoin de ''parce que'', et le ''cygne noir'' vient contredire notre idée (injustifiée mais omniprésente), que tous les cygnes sont blancs. (NDLR : il faut (sic !) qu'un virus nouveau devienne pandémie et tue par millions, même si 98 % des personnes contaminées guérissent totalement,  CQFD ! Ce chiffre étant passé de 80 à 98 % en dix jours, les premiers chiffres auraient-ils été ''bidouillés'' ?).
  Allons plus loin : pour les théoriciens de cette approche (si ancienne et tellement moderne), nous nous sommes conditionnés à ne pas croire aux ''cygnes noirs'', en refusant de voir ceux que nous rencontrons, et en n'acceptant qu'une idée fausse de leur chance de surgir. Dans De natura deorum, Cicéron décrit  notre tendance à ne rechercher que les événements qui viennent conforter notre interprétation. Diagoras aurait, raconte Cicéron, été frappé par le spectacle de dévots qui offraient des portraits d'eux aux dieux, pour les remercier de les avoir fait survivre à un naufrage... Diagoras leur demanda alors où étaient les portraits de ceux qui avaient prié aussi... mais qui avaient été noyés... (silence gêné dans l’assistance...).
   Autre récit de Cicéron (que les latinistes de mon âge se sont ''tapé'' en 3 ème) : ''Le bateau où était Diagoras traversait une forte tempête..Equipage et passagers apeurés par la violence des éléments, l'accusèrent d'être un impie, ce qui attirait sur eux la colère des dieux...ce à quoi Diagoras répondit : ''Regardez les autres navires en ce moment dans la même tempête que nous. Croyez-vous que je suis aussi sur chacun de ces bâtiments ?'', et en conclut : que vous viviez bien ou mal,  ce n'est pas ce qui fera ou détruira votre fortune. On comprend que cet original ait été mal vu, a Athènes ! Il sera d'ailleurs condamné à mort et sa tête sera mise à prix (un talent mort, deux talents, livré vivant... comme dans un bon western !)...
  Au delà de ces anecdotes, ce serait par la recherche de causes qui n’en sont pas.que se fabriquent les partis-pris et la désinformation. Un exemple ? Le succès de ces livres qui ''expliquent'' comment on ''réussit'' (?) dans la vie professionnelle, en cherchant des caractéristiques communes à quelques dirigeants ayant réussi : courage, capacité à prendre des risques, optimisme, fumer (ou pas), chanter (ou pas : tout est bon !) et en en déduisant ''ce qu’il faut faire pour réussir comme eux''. Mais en chemin, ils oublient tous les autres dirigeants, aussi courageux et optimistes, et qui ont pris des risques... mais qui se sont ''plantés'' et sont d’autant plus facile à oublier que ceux qui échouent écrivent rarement leurs mémoires.  
  La réalité est que que l’évolution est une succession de hasards, parfois heureux, parfois malheureux, avec des cygnes blancs ET des cygnes noirs, mais que les Hommes se donnent un mal fou pour ne voir que les premiers, un peu comme si, en voyant sortir de riches joueurs d'un casino, on en déduisait que le goût du jeu est bon pour l’espèce humaine puisque (?) jouer permet d'être riche. C'est ainsi qu'est née la croyance largement répandue que l’évolution, le progrès, la science, la technique, les idées, etc... vont toujours dans le bon sens, pour nous mettre dans le meilleur des mondes. Ce qui’est ''n'importe quoi'' !
  Il y a en nous comme un besoin quasi-obsessionnel de croire que toute chose a une cause identifiable, et de nous précipiter sur celle qui nous convient le mieux (par exemple, seul le coronavirus serait responsable des décès par polypathologies dans les Ehpad). Nous refusons le hasard et lui préférons la nécessité d'un ''parce que'' que rien, pourtant, ne justifie : que ce soit après un accident d'avion ou d'auto, un réchauffement planétaire, une épidémie... il faut un responsable, de nos jours, comme si toute chose devait avoir une cause identifiable. Orgueil, sans doute, résultant de notre naïveté à croire que le fait (?) d'avoir ''tué Dieu'' (sic, encore une fois !), a fait de nous les maîtres du destin, des événements, du hasard... et de la nécessité ! Mais les cygnes noirs se moquent de notre prétention à avoir une influence sur… ce sur quoi nous n'en aurons jamais la moindre ! Il serait temps, tout de même, que nous nous en rendions compte !
H-Cl.
(Post-scriptum : Nassim Nicholas Taleb est un professeur libano-américain que j'ai connu à New-York. Spécialiste de l'épistémologie des probabilités et des mathématiques financières, Professeur d'ingénierie du risque à l'Institut polytechnique de NYU, il a écrit The Black Swan (= le cygne noir), ''l'un des 12 livres les plus importants depuis la seconde guerre mondiale'' d'après le Sunday Times. Je lui dois (aussi) d'avoir su décortiquer tous les ouvrages sur le succès personnel (''Je peux faire comme Bill Gates, puisque je suis, comme lui, blond aux yeux bleus et que je bois du Coca'') et sur le pourquoi du nombre de ''start-ups'' qui se cassent la gueule apparemment sans raison... ce qui est normal ! Merci à lui... )
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lejourjemens · 5 years
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L’art nous plait car il suggère. Il n’explique pas. Dans les interstices de sa monstration, il laisse l’espace pour que chaque imagination humaine y dépose ses croyances et ses rêves.
C’est dans la possibilité d’erreur qu’il offre que l’art puise sa capacité à donner l’impression de la vérité. Il faut permettre à chacun d’instiller son erreur pour qu’il se croie en présence d’une manifestation du vrai.
La science à l’inverse n’offre pas une telle liberté. Face à la vérité scientifique, il faut se taire et admettre. (Sauf les antivax bien sûr, parce que complot des Big Pharma CQFD.)
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