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#la vrai valise magique
vodoungnon · 3 months
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Définition du vrai portefeuille magique, explication du vrai portefeuille magique, un vrai bedou magique qui attire beaucoup d'argent, seul marabout du monde papa vodoungnon medjo
les avantages du vrai portefeuille magique, vrai liste des vrais marabout du bénin, vrai avantages du portefeuille magique, vrai secret du portefeuille magique, vrai explication portefeuille magique, comment fonctionne le portefeuille magique vrai, vrai bedou magique, je veux un vrai magnifique portefeuille magique, je cherche un vrai compétent du portefeuille magique, vrai définition du…
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grandmaraboutorogan · 4 months
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valise magique sans conséquence,sans dangers du Grand Marabout Parfait (00 229) 91 32 34 ,la vrai valise sans dangers et sans conséquence,payer sa valise chez le Grand Marabout HONNETE OROGAN...
Il vous aie déjà arriver un temps ou vous avez assez de travailler et de souffrir avant de trouver l’argent ? Il vous ait déjà arriver de manquer de l’argent et vous êtes incapable de pouvoir payer même un pain pour pouvoir nourrir votre famille , Il vous ait déjà arriver un temps ou touts le monde se moque de vous parce que vous êtes pauvre et misérable tout simplement parce que vous manquer de…
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Le secret de la grande richesse du roi DJAFA, la valise magique, le vrai portefeuille magique ou le bedou magique
Le secret de la grande richesse du roi DJAFA, la valise magique, le vrai portefeuille magique ou le bedou magique
Le vrai portefeuille magique-le bedou magique-la valise magique d’argent-la calebasse magique d’argent-le vrai secret de la richesse du roi DJAFA. Depuis des années de l’antiquité, la richesse du roi DJAFA étonne le monde et plusieurs personne se posent la question de savoir d’où est-ce que ce grand Roi des temps anciens tire vraiment sa richesse. Et pourtant la source de la grande richesse du…
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lauragerlain77 · 5 months
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Le château de la baise
Le château de la baise
(100% histoire vraie)
Mon dieu (et encore lui!) 
Comme c'est difficile pour moi de revenir sur le plus beau weekend de toute ma vie. Mais il le faut. Pour le bien être de l'humanité. Non. Juste pour le mien. Et c'est déjà bien...
Il y a 11 ans, je tombais éperdument amoureuse d'un gars rencontré sur le site de folledingues -je vous le donne en mille- Doctissimo...J'avais alors posté une annonce pour trouver un partenaire sportif, et le pseudo NouveauDépart m'avait alors répondu.
Passons les détails de notre rencontre qui sera pour une prochaine fois, Cyrille m'avait organisé un weekend surprise au Château de Montvillargene à Chantilly.
Je ne savais pas où nous allions et lorsque j'ai découvert l'endroit, je fus émerveillée.
Cyrille était et restera le grand amour de ma vie. Et moi le sien.
Tout avec lui était incroyable. Manger était devenu une expérience sensorielle intense, faire du vélo dans tout Paris notre passe-temps favori (et même si le lendemain je ne pouvais plus bouger!), voir des films nous rapprochait encore plus, faire l'amour avait un véritable sens et plus rien n'avait d'importance sauf être près de lui.
Je vivais littéralement pour lui. J'en délaissais même mes enfants. Il n'y avait que lui qui comptait, et mon envie de lui.
Nous étions vendredi soir, en février 2013. Le château était magnifique. Illuminé de toutes parts. J'avais rarement vu un endroit aussi féérique.
Et c'était l'endroit qu'il avait choisi pour abriter notre amour le temps d'un weekend durant lequel nous n'allions pas beaucoup quitter la chambre...
Me replonger dans ces jours merveilleux me demande un effort presque surhumain, tant j'ai essayé ces dernières années de ne plus y penser du tout et pourtant...ces souvenirs resteront les plus beaux de notre vie à tous les deux (nous sommes d'accord sur ce point).
Alors non, ce ne sont pas mes accouchements ou mon mariage les plus beaux jours de ma vie. Le mariage vient juste derrière. Mais ce weekend surpasse tout. 
Je n'avais jamais été aussi heureuse de ma vie. Jamais je ne me suis sentie aussi aimée, désirée. Tout était parfait. Et fou. Dans la démesure. C'était à l'image de notre amour.
Encore maintenant, je ne sais pas comment laisser partir cet homme. Il ne quitte jamais ma mémoire ni mon coeur. 
Hier, je me suis refait l'intégralité de nos mails. Bien que j'en ai effacé les trois quarts. Et me replonger dans tous ces souvenirs ne m'aide pas non plus.
J'ai bon espoir que lorsqu'ils seront sortis ici, je pourrai les laisser s'envoler et me sentir plus légère. Je ne sais pas à qui je mens en disant ça.
Nous étions donc vendredi soir, dans cet endroit féérique, magique, incroyable.
Je me souviens de cet escalier immense qui menait aux chambres. Il avait l'air d'être en or.
Jamais je n'en ai pris autant plein les yeux (et plein le cul- que je suis vulgaire!) qu'en entrant dans ce château enchanteur. 
Notre chambre était incroyable, on aurait dit un grand appartement de type Louis XIV. 
Le lit, qui allait en voir de toutes les couleurs, était immense. Le plus grand lit que nous n'ayons jamais vu. 
Il y a des moments dans la vie que l'on sait à l'avance très forts. Qu'ils nous marqueront à jamais. 
Des moments qui ne reviendront jamais. C'était cela que nous allions vivre.
Nous étions en plein rêve, persuadés de s'aimer plus fort que les autres (c'était sans doute vrai) avec l'espoir que nous passerions au dessus de toutes les difficultés de la vie.
Rien que le fait que j'ai pu laisser mes enfants trois jours sans remords (à l'époque c'était très rare, ils étaient très petits et j'avais l'impression qu'ils avaient besoin de moi pour tout, même pour respirer) était une victoire.
Nous sommes arrivés dans notre chambre et à la seconde où nos valises furent posées sur le sol, nous savions déjà ce que nous allions faire.
Il était assis sur le bord du lit, je vins à sa rencontre, m'asseyant sur lui. Nous commencions à nous embrasser, à nous dire des je t'aime, et des je suis trop heureux/heureuse.
Il me coupa dans mon élan de paroles et me dit "excuse moi, mais là il faut vraiment que je te prenne tout de suite!".
J'adorais quand il avait ce genre de pulsions. Ca lui arrivait quand même assez régulièrement. Parfois juste un regard entre nous et nous nous sautions dessus.
Je me levai alors et me déshabillai à la vitesse de l'éclair. Il fît de même. Nous étions nus et nous avions tout ce temps et tout cet espace pour laisser libre court à notre imagination et à notre amour.
Nous avions cet immense lit à notre disposition et pourtant nous avons terminé sur le sol.
Je m'allongeai tout doucement en le regardant, et une fois sur le dos, j'écartai les jambes en lui demandant de venir. Il s'arrêta un instant, embrassant l'intérieur de mes cuisses, puis remonta sur mon ventre et mes seins.
Puis, n'y tenant plus, il me pénétra presque aussitôt. Je me mis à gémir de plus en plus fort.
Mes jambes enroulées autour de ses fesses l'appuyait toujours plus au fond de moi. 
J'avais chaud. Je me sentais aimée. Je le voyais aimer ce qu'il faisait. Il me regardait avec des yeux remplis d'amour et de désir. Un désir brûlant. 
Il me retourna et me mit à quatre pattes. Je lui criai alors comme souvent "encule-moi!"
J'aimais me sentir entièrement à lui, qu'il me prenne de n'importe quelle façon.
J'ai toujours aimé la sodomie mais je ne viens à en parler qu'au bout du douzième article!
Tiens donc, mais pourquoi?
J'avais quelquefois pratiqué avec des hommes de passage, mais Cyrille fût vraiment le premier à me faire adorer ça. Si bien que nous le faisions à chaque rapport. 
Il est à noter qu'ultérieurement j'ai compris l'importance de ne pas interchanger sans arrêt le sexe anal et vaginal (merci les infections urinaires- oui oh! je vous dis tout hein, nous ne sommes plus à ça près) mais pourtant ce fût le seul homme avec qui je pus le faire sans qu'il ne m'arrive jamais rien ensuite.
Comme si nous étions sous protection divine. J'exagère juste un peu.
Il me prenait indifféremment devant ou derrière, et j'aimais ça à un point!
Les meilleurs orgasmes étaient ceux où il se trouvait dans mon cul. Rien que d'en parler...
Il entrait en moi comme dans du beurre, tellement j'étais toujours bien mouillée. 
Et il en était de même pour la sodomie. Il aimait me faire crier. C'était son truc.
Plus je criais, et plus ça l'excitait. Ce weekend-là, je n'eus jamais crié autant de ma vie.
Il m'encula en me tenant par les bras. Il bandait tellement fort que ça me faisait mal.
Mais j'aimais avoir mal. Il le savait. Je ne sais pas qui était dans les chambres à proximité, mais elles étaient si grandes que je me dis l'espace d'une seconde que personne n'entendrait rien.
Aussi, je me lâchais complètement et n'eus pas besoin de contrôler l'intensité des mes cris.
Il criait tout aussi fort que moi. Il me traitait de pute, de salope (j'adore ça) en m'enculant toujours plus profondément, me tenant fermement par les bras.
Il se mit à jouir au bout de quelques instants. Nous nous étalions alors sur les tapis de cette immense chambre, repus.
Au bout de quelques minutes, nous nous sommes mis au lit difficilement.
Nos corps qui se frottaient nus l'un contre l'autre recommencèrent à s'exciter rapidement...
Nous avons passé cette nuit-là, ainsi que presque chaque seconde de ce weekend à faire l'amour.
Nous avons mangé deux fois en trois jours! et encore la seconde fois, nous avons écourté le dîner dans un restaurant indien car, assis l'un en face de l'autre, nous n'arrivions à rien manger. Nous nous dévorions du regard. Au bout de trente minutes, je lui dis les yeux remplis de désir "on s'en va?"
Il me répondit immédiatement sans réfléchir, dans un soupir de soulagement "on s'en va!"
Nous avons tout de même testé la piscine et le hammam. Mais c'était strictement la même chose: l'envie était trop forte pour y résister.
Il me prit debout dans les douches communes. Heureusement, il n'y avait pas grand monde.
Nous n'arrêtions pas. Rien d'autre ne comptait à part ce besoin de se sentir l'un dans l'autre tout le temps.
Nous n'avons rien fait d'autre à part baiser durant ce weekend.
A part découvrir un groupe de musiciens incroyable que nous sommes allés voir un peu plus tard en concert, John Butler Trio. Je me souviens, j'étais en train de me lisser les cheveux et il cherchait de la musique à écouter.
Nous sommes tombés en admiration devant ces chansons, et les avons écoutées jusqu'à la fin du weekend, en baisant dessus, bien entendu.
D'ailleurs, quand nous nous sommes revus chez lui il y a cinq mois, il avait mis un de leur cd. Petit clin d'oeil à ce weekend incroyable.
Dans la voiture, sur le retour, nous n'avions aucune envie de nous quitter.
Je me souviens encore du désespoir que cela a engendré par la suite.
Nous étions accro l'un à l'autre, impossible de se séparer sans en souffrir.
Il y a encore tellement d'histoires incroyables avec lui. Comme la première fois que nous avons fait l'amour dans le parc de Bercy, la fois où il a sauvé la soirée et mes chaussures avec du scotch (grand moment!), nos dîners chez Loulou à Saint-Michel, bref tant de souvenirs que j'évoquerai sans doute une prochaine fois.
Je n'ai jamais été si sincère avec un homme de toute ma vie. Je ne voyais rien en dehors de lui. Et c'est sans doute ça qui nous a perdu...
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tournesolaire · 10 months
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(J'ai reçu mon premier courrier du club et j'étais comme une enfant en l'ouvrant. J'ai l'impression de faire partie de l'aventure pour de vrai. L'impression de pouvoir vivre ce que j'aurais aimé vivre avec Fauve quand j'avais 13 ans. J'étais tellement contente quand j'ai vu le petit autocollant et les photos)
Lundi soir finalement on a pas été au yoga avec Nathan, on s'est dégonflés à la dernière minute mais du coup on a été se poser tranquillement à l'appart, on a bu du vin en regardant la télé pendant que je finissais ma dissert c'était chouette
A un moment Anubis a voulu sortir alors j'ai sauté sur l'occasion et j'ai eu envie de pleurer de joie, on est restés plus d'une heure en promenade c'était vraiment trop trop bien j'étais super fière de lui (en rentrant on a ri parce que la grille était fermée alors on a du passer au restaurant récupérer les clés, Fred était super étonné de le voir la)
Le soir même on a fait une petite soirée avec Nathan (il était complètement rebs et il a fait des grandes déclarations hehe) et quand on s'est retrouvés que en amoureux Fred a pris soin de moi c'était trop mimi. Je me suis encore endormie dans ses bras devant Games of Throne alors il m'a fait des papouilles, il m'a bien bordée et il m'a même donné mon plaid tout doux et Nain Jaune sans me réveiller (il a aussi enlevé mes lunettes, c'est adorable)
Mardi on a été a la police comme c'était prévu et ensuite on a fait un tour au soutien actif (il a récupéré un super poste vinyle, on l'a essayé tout a l'heure il est incroyable), j'ai trouvé une jolie robe de sorcière et une veste en daim couleur camel
On est des vrais amoureux, un couple de vieux hehe c'est trop mimi
On a aussi été faire les courses a Aldi avant de rentrer
Petite soirée chill, on a fait un mini apéro avec le blanc pêche et il a préparé des genre de raviolis au pesto c'était délicieux
Ce matin c'était joli, je me suis pas mal réveillée sur le matin et on faisait que de se chercher dans le lit parce qu'on voulait être collés l'un à l'autre
J'ai eu beaucoup de mal à émerger alors il est parti chercher un petit dej et il m'a réveillée avec des bisous et des croustillons <333
On avait prévu de faire pas mal de choses mais la journée est restée relativement tranquille
De base on devait aller faire un tour en forêt ou aux viennes pour récupérer de la mousse et des petites plantes mais il était tard et il faisait déjà presque nuit alors on a seulement été au foyer aubois et on a trouvé plein de jolies choses
En conclusion on a: un nouveau meuble trop mignon (que je voulais acheter quand j'avais vu le même au soutien actif il y a un moment) pour poser le poste et Aphrodite, des vinyles qu'on a choisis ensemble, une petite lampe magique, une table a repasser, une valise en cuir et un livre
On a essayé un canapé en velours vert, il était superbe et on a vraiment hésité
On commence à acheter des meubles ensemble
Je suis tellement heureuse
J'ai jamais été si heureuse ni si amoureuse de toute ma vie
Je l'aime tellement
Et je suis tellement reconnaissante qu'il partage ma vie
Tellement reconnaissante qu'on construise notre vie à deux
Qu'on soit ensemble au quotidien
Qu'on vive des si jolis moments même dans la vie du quotidien
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maraboutbadou · 1 year
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COMMENT ACTIVER SON PORTEFEUILLE MAGIQUE
COMMENT ACTIVER SON PORTEFEUILLE MAGIQUE A DISTANCE Vous avez commandé un portefeuille, Bedou magique ou encore votre valise magique multiplicateur d’argent. Par un marabout dont l’activation n’a pas réussir. Sachez très bien que beaucoup de marabout ont souvent échoué à cette étape. Car c’est la grande partir du vrai rituel du portefeuille magique dont beaucoup n’ont pas le pouvoir.Confiez-vous…
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omagazineparis · 2 years
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Guide des livres à emporter avec vous cet été
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Les livres sont une vraie richesse pour le monde. Source inépuisable de savoir et de connaissances, les livres vous permettent de vous évader, d'apprendre et de faire fonctionner votre imagination... Certains sont "à la mode ", d'autres plus anciens, mais contiennent tous une richesse extraordinaire : la connaissance ! Que vous soyez une grande lectrice/un grand lecteur ou non, voici un petit tour d'horizon des livres à avoir absolument avec soi cet été ! Les livres de développement personnel Très en vogue actuellement, ils sont très intéressants et font appel à votre "Vous" intérieur, un questionnement sur soi-même, pour mieux se comprendre et améliorer ses relations sociales au quotidien , voici quelques titres passionnants : "Les 4 accords Toltèques" par Don Miguel Ruiz  Notre avis : un choc de lecture ! passionnant ! le guide des nouveaux accords à faire avec soi-même pour un état d'esprit harmonieux. A lire absolument. " Le pouvoir du moment présent " par Eckhart Tolle Notre avis : un peu difficile à lire au début, un guide à lire et relire pour bien comprendre et mettre en pratique " Ta deuxième  vie commence lorsque tu comprends que tu n'en a qu'une " par Raphaëlle Giordano Notre avis : pour débuter sa connaissance du développement personnel, raconté sous forme d'histoire ! sympa ! Les guides de voyages Les valises sont prêtes ? passeport à la main ? vous êtes en route pour une destination exotique ? Il vous manque le fameux guide de voyage ? Privilégiez surtout un guide plutôt léger et qui regroupe surtout les informations qui vous intéressent : nul besoin d'acheter un guide sur les Etats-Unis si vous prévoyiez de faire uniquement New-York par exemple. Vous pouvez en choisir un avec des cartes et des photos, qui soit agréable à lire plutôt qu'un livre type dictionnaire sans goût ni couleur car c'est par là que débute vos vacances. Quelques exemples de guides : Les "Lonely Planet " : valeur sûre du marché, ils sont agréable à lire Les guides michelin : existent depuis longtemps, bien détaillés Les guides du Routard : valeur sûre également Les petits Futé : des efforts ont été fait ces dernières années, sur les couleurs et le contenu, agréable à lire. A noter tout de même, que si tout le monde lit ces guides il y aura forcément un peu de monde dans les endroits qu'ils citent car ils auront lu le même guide que vous ! Rien ne vaut bien sûr la spontanéité mais ils donnent une bonne base sécurisante tout de même ! Les livres sur les récits de vie Il s'agit là de livres relatant des histoires vraies de gens à travers le monde, cela peut être des aventuriers, des hommes politiques, Mr et Mme Tout-Le-Monde.... Une petite préférence avec un été ensoleillé pour les récits de Mike Horn et Nicolas Vanier : ces grands aventuriers nous font rêver avec leurs aventures à travers le monde : "Vouloir toucher les étoiles " de Mike Horn Notre avis : pliez bagages tout de suite on pars avec lui ! Touchant, il raconte son histoire personnel et comment il est arrivé jusque là ! "L'école buissonnière " de Nicolas Vanier Notre avis : poétique, magique, de beaux décors plantés et une histoire touchante. Pour conclure : soleil et légèreté, aventure ou engagé, que de choix dans toute ces richesse de livres et de savoir ! C'est à vous ! nous vous souhaitons un bel été et de belles lectures ! Kristen Read the full article
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vodoungnon · 4 months
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Les avantages du vrai bague magique, Vrai bague magique du papa vodoungnon medjo, vrai bague magique pour la richesse
BAGUES MAGIQUES PUISSANTES – BAGUE MAGIQUE POUR L’AMOUR – BAGUE MAGIQUE POUR AVOIR L’ARGENT – – BAGUE MAGIQUE POUR LA SANTE – BAGUE MAGIQUE POUR REUSSITE ET DE LA RICHESSE +229 55 62 11 43 OU +229 57 99 00 35 Bagues magiques mystiques. Un bague magie est un article des bijoux qui semblent pouvoir dessiner sur des puissances magiques et passer ceux au porteur. Des bagues magiques ont été employés…
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grandmaraboutorogan · 4 months
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Témoignage de la multiplication des billets, le billet de banque ,Témoignage du portefeuille,marabout vrai, un vrai marabout du monde, marabout africain,marabout de confiance,blanchissement d'argent…
CONTACTE WHATSAPP +229 91 32 34 67 OU +229 53 83 81 14 POUR UN BON PORTEFEUILLE SANS DANGER
Je m’appel Michel, je témoigne aujourd’huit sur le grand marabout PARFAIT OROGAN qui ma montré la réalité de la multiplication d’argent réel . Voici la sommes d’argent qu’il ma envoyer ce matin comme prévus. Après beaucoup d’échec chez des marabout ,je n’es pas confiance dès le début que j’ai pris son numéro ,je voulais essayer avec la multiplication d’argent et après pour le portefeuille . Il ma…
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VALISE MAGIQUE DE RICHESSE ET LE PORTEFEUILLE MAGIQUE OU PORTE MONNAIE MAGIQUE
VALISE MAGIQUE DE RICHESSE ET LE PORTEFEUILLE MAGIQUE OU PORTE MONNAIE MAGIQUE
VALISE MAGIQUE DE RICHESSE ET LE PORTEFEUILLE MAGIQUE OU PORTE MONNAIE MAGIQUE Valise magique de richesse beaucoup se demandent aujourd’hui si la valise magique existe pour de vrai, et bien ça existe belle et bien et je détiens les secrets que m’ont confier mes ancêtres depuis la nuit des temps il en à de même pour le portefeuille magique ou porte monnaie magique. La valise magique que je fais…
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VALISE MAGIQUE EN EURO
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VALISE MAGIQUE EN EURO
VALISE MAGIQUE EN EURO,VOUS NE VOUS ÊTES JAMAIS DEMANDÉ SUR QUOI EST BASÉ LEUR RICHESSE EN RÉALITÉ ? AUJOURD'HUI VOUS AUSSI VOUS AVEZ LA CAPACITÉ, LE POUVOIR DE DEVENIR RICHE EN UN JOUR, C'EST-À-DIRE DU JOUR AU LENDEMAIN.
LA VALISE MAGIQUE EN EURO TRÈS REDOUTABLE EFFICACE ET PRÉCISE QUI VOUS PROCURE AU MOINS 10.000.000 D'ARGENT PAR JOUS SELON LA DEVISE DE VOTRE MONNAIE ET CELA DÉPEND DE LA FORMULE INCANTATOIRE MAGIQUE QUE VOUS PRONONCER, AUTREMENT DIT VOUS POUVEZ PRODUIRE AU MOINS 100.000 € VOIRE 6 MILLION D'EUROS, OU 150.000 DOLLARS VOIRE 9 MILLIONS DE DOLLARS OU 25 000 000 DE FRANC CFA PAR JOUR. LA VALISE MAGIQUE SERA LIVRÉE AVEC UNE BAGUE MAGIQUE AVEC SON MODE D'EMPLOI.
CHAQUE JOUR QUI PASSE, VOUS CROISEZ DES GENS TRÈS RICHES, DES GENS QUE VOUS CONNAISSEZ PEUT ÊTRE QUI ÉTAIENT PAUVRES ET DEVIENNENT RICHES DU JOUR AU LENDEMAIN.
COMMENT UTILISER ?: RESTER DEVANT LA VALISE MYSTIQUE EN EURO AVEC LA BAGUE AUTOUR DE VOTRE AURICULAIRE DROIT ET PRONONCER LES PAROLES INCANTATOIRES QUE JE VOUS AURAIS DONNÉ, VOUS VERREZ AUTOMATIQUEMENT APPARAÎTRE BEAUCOUP D'ARGENT DANS LE PUISSANT SAC MYSTIQUE. PRENEZ LA PEINE DE COMPTER ET VOUS VERREZ QU'IL Y AU MOINS AURA 25.000 000 D'ARGENT DE VOTRE MONNAIE DEVISE.
POUR VOTRE INFORMATION LA VALISE MAGIQUE QUE JE FAIS EST TOTALEMENT SANS CONSÉQUENCES, ET L'ARGENT PRODUIT PAR LA VALISE MAGIQUE VOUS POUVEZ TOUT FAIRE AVEC, ÉPARGNER C'EST-À-DIRE DÉPOSER DANS UN COMPTE EN BANQUE, CONSTRUIRE DES IMMEUBLES, OU INVESTIR BREF TOUT
CONTACT: TEL : +229 51 73 09 55 WHATSAPP: +229 51 73 09 55 gmail: [email protected]
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maraboutguezovignon · 2 years
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La valise magique multiplicateur d'argent
La valise magique multiplicateur d’argent
La valise magique gratuit La vrai valise magique La valise magique qui produire des billets de banque oui c’est bien possible la preuve c’est que moi je le fais oui je vais vous faire une valise qui vas produire des billets de banque. Il vous suffit de mettre un billet dedans et de suivre les rituels que je vais vous donner et le lendemain la valise seras remplir de billets de banque. CONTACT…
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mediumhounkpe · 2 years
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EXPERT MAITRE MARABOUT COMPETENT
EXPERT MAITRE MARABOUT COMPETENT
EXPERT MAITRE MARABOUT COMPETENT EXPERT MAITRE MARABOUT COMPETENT: CALEBASSE MAGIQUE, le vrai calebasse magique de richesse vous aide a réaliser tout vos rêves il suffit de mettre sur un bout de papier la somme que vous voulez mais chaque sommes avec son sacrifice a faire aussitôt la somme trouver vous avez une semaine pour fait le sacrifice Elle est très puissante et les esprit du monde noir et…
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lalignedujour · 2 years
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Je ne décidai pas de voyager, et je voyageais quand même. C'était une sorte de digital detox. Pas de téléphone, pas d'ordinateur, pas d'enceinte connectée, même pas d'argent sur moi. En fait, j'avais rien dans les poches : peut-être un mouchoir, un porte-clé ou un caillou, mais même pas sûr. J'avais entre 2 et 12 ans, je voyageais juste avec ma mère. Je n'avais rien pour écrire, c'était très oral. Les paroles glissaient dans mes oreilles, les images glissaient sur mes yeux, et les odeurs sont encore dans mon nez. C'était expérientiel, on pourrait dire. Je ne comprenais pas la langue que parlait ma mère, à part peut-être les mots les plus habituels (bonjour, merci, combien, au revoir, les noms des lieux, les noms des fruits) et les mots tendres d'une mère pour son enfant (les noms des fruits faisaient aussi partie de cette catégorie). J'entendais aussi souvent le suffixe qui indique la dizaine d'un nombre. C'est comme en Allemand, la dizaine se dit après l'unité. La conversation était un flou, mais ce son frisait à la fin du mot comme la pousse d'une plante grimpante et il m'accrochait, il continue de m'envelopper. Si la voix de ma mère résonne encore longtemps, ce sera avec ce son, cette syllabe de la fin des chiffres en Arabe.
On avait dû faire beaucoup de choses pendant ces longues semaines, plusieurs fois par an pendant toute mon enfance. Mais j'en garde seulement quelques-unes. Les panneaux stop qui ont la même forme et la même couleur qu'en France mais c'est marqué stop en Arabe. L'air plein de sable, ça rendait l'horizon un peu jaune, on s'en rendait compte surtout sur les routes toutes droites. L'odeur de sapin magique surchauffé dans les taxis, la musique dans les taxis, la difficulté à trouver un taxi, les modèles de taxi (souvent des Opel Corsa), la couleur jaune d'œuf des taxis, cette folie d'entrer toujours dans un véhicule similaire avec le même rituel mais jamais exactement avec les mêmes sièges jamais avec le même chauffeur jamais avec les mêmes trucs suspendus au rétroviseur et toujours avec une déficience différente (la manivelle à fenêtre bloquée ou un trou dans la banquette ou un moteur enrhumé ou une absence d'amortisseurs), et ma mère qui parle fort au chauffeur en frisant la fin de ses chiffres d'un air scandalisée pour pas se faire arnaquer.
A part les trajets, je me souviens des petites poires du jardin du grand-père que je n'ai pas connu. (Il y avait aussi des grenades et des coings, mais ça je ne les voyais que dans la valise de ma mère quand elle y avait été toute seule, parce qu'en septembre il y avait école et mon père ne voulait pas que je rate l'école.) Je me souviens de la terrasse en trois ou quatre parties différentes, avec un nombre irrégulier de marches entre ces zones, et ses garde-corps pas réglementaires, pas finis car mon grand-père est mort à ma naissance et ça a tétanisé tout le monde, et faut croire que personne a été acheter des parpaings. (Je suis presque sûr que sa vieille Mercedes aux phares verticaux dort encore au milieu de la végétation.) Je me souviens du sable en permanence dans mes sandales, qu'on soit ou non à la plage. Je me souviens du goût des boissons gazeuses aux taux de sucre pas réglementaires. Mais, c'est vrai, je me souviens surtout des trajets.
Et au bout des trajets, j'étais toujours dans une maison différente, pour un temps indéterminé - parfois on dormait sur place (je rappelle que je ne comprenais pas les conversations). Je mangeais ce qu'on me servait, je dormais où on me disait, je jouais avec qui il y avait et l'été passait comme ça. Pendant ces semaines-là, les gens de la famille éloignée étaient les personnes les plus importantes de ma vie : je recevais énormément de bisous pour dire bonjour et au revoir (ça durait très longtemps, on me disait de mettre mes sandales et en fait, les adultes discutaient encore, alors on pouvait jouer autour de la maison, je me souviens de l'odeur de certaines mauvaises herbes qu'on a pas ici). Je recevais plein de bisous même si j'étais plus blanc que les autres, et c'est peut-être parce que dans leur esprit, je remplaçai mon grand-père - leur frère, beau-frère, oncle, leur père. On me parlait un peu en français, mais vraiment surtout, on me parlait en bisous.
Parfois, ma mère décrochait du groupe et s'adressait juste à moi. C'était mon instant de bonheur. Elle le faisait d'abord en Arabe, pour montrer qu'elle parlait à son enfant en Arabe. Puis elle constatait avec déception et culpabilité que je ne comprenais pas, précisément parce qu'elle ne m'avait jamais vraiment parlé en Arabe. Alors, elle reprenait en français. Ce n'était pas moins confu : elle me parlait en "façon de parler", elle me disait que cette maison, c'était chez nous - j'ai compris plus tard que c'était "comme chez nous". Elle me disait que ce monsieur était mon tonton - j'ai compris plus tard que c'était son oncle à elle et que c'était "comme mon tonton". Bref, je n'avais pas les refs, pas la notion du temps, les liens de parenté n'étaient pas clairs, je ne comprenais pas les conversations, c'était une digital detox hard-core. Presque une thérapie pour control-freak.
Aujourd'hui, beaucoup de ces gens sont morts, ou sur le point de mourir, et je ne sais toujours pas qui c'est pour moi. Un jour, ça a été la dernière fois que j'y ai été. Je ne le savais pas, personne ne le savait, on s'est dit au revoir et ce n'était pas un au revoir.
Aujourd'hui, le pays a changé. Les femmes doivent se couvrir un peu plus que ma mère et ses cousines si elles veulent être tranquilles dans la rue, je crois. Toute l'agglomération de Tunis a changé, s'est densifiée, les routes ne sont plus les mêmes, j'imagine : plus aussi droites, fluides et ouvertes aux vents du désert. Et je ne veux pas y penser.
Si je n'y retourne pas, je garde mes images mentales, chéries et rapiécées par le temps. Je reste un peu enfant.
Cette famille floue est toujours là et m'aime toujours.
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tournevole · 4 years
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Dans ma solitude, je me chante la berceuse douce, si douce, que ma mère me chantait, ma mère sur qui la mort a posé ses doigts de glace et je me dis, avec dans la gorge un sanglot sec qui ne veut pas sortir, je me dis que ses petites mains ne sont plus chaudes et que jamais plus je ne les porterai douces à mon front. Plus jamais je ne connaîtrai ses maladroits baisers à peine posés. Plus jamais, glas des endeuillés, chant des morts que nous avons aimés. Je ne la reverrai plus jamais et jamais je ne pourrai effacer mes indifférences ou mes colères. Je fus méchant avec elle, une fois, et elle ne le méritait pas. Cruauté des fils. Cruauté de cette absurde scène que je fis. Et pourquoi? Parce que, inquiète de ne pas me voir rentrer, ne pouvant jamais s'endormir avant que son fils fût rentré, elle avait téléphoné, à quatre heures du matin, à mes mondains inviteurs qui ne la valaient certes pas. Elle avait téléphoné pour être rassurée, pour être sûre que rien de mal ne m'était arrivé. De retour chez moi, je lui avais fait cette affreuse scène. Elle est tatouée dans mon cœur, cette scène. Je la revois, si humble, ma sainte, devant mes stupides reproches, bouleversante d'humilité, si consciente de sa faute, de ce qu'elle était persuadée être une faute. Si convaincue de sa culpabilité, la pauvre qui n'avait rien fait de mal. Elle sanglotait, ma petite enfant. Oh, ses pleurs que je ne pourrai jamais n'avoir pas fait couler. Oh, ses petites mains désespérées où des taches bleues étaient apparues. Chérie, tu vois, je tâche de me racheter en avouant. Combien nous pouvons faire souffrir ceux qui nous aiment et quel affreux pouvoir de mal nous avons sur eux. Et comme nous faisons usage de ce pouvoir. Et pourquoi cette indigne colère? Peut-être parce que son accent étranger et ses fautes de français en téléphonant à ces crétins cultivés m'avaient gêné. Je ne les entendrai plus jamais, ses fautes de français et son accent étranger. Vengé de moi-même, je me dis que c'est bien fait et que c'est juste que je souffre, moi qui ai fait, cette nuit-là, souffrir une maladroite sainte, une vraie sainte, qui ne savait pas qu'elle était une sainte. Frères humains, frères en misère et en superficialité, c'est du propre, notre amour filial. Je me suis fâché contre elle parce qu'elle m'aimait trop, parce qu'elle avait le cœur riche, l'émoi rapide et qu'elle craignait trop pour son fils. Je l'entends qui me rassure. Tu as raison, Maman, je n'ai été méchant qu'une fois avec toi et je t'ai demandé un pardon que tu accordas avec tant de joie. Tu le sais, n'est-ce pas, je t'ai totalement aimée. Comme nous étions bien ensemble, quels bavards complices et intarissables amis. Mais j'aurais pu t'aimer plus encore et tous les jours t'écrire et tous les jours te donner ce sentiment d'importance que seul je savais te donner et qui te rendait si fière, toi humble et méconnue, ma géniale, Maman, ma petite fille chérie. Je ne lui écrivais pas assez. Je n'avais pas assez d'amour pour l'imaginer, ouvrant sa boîte aux lettres, à Marseille, plusieurs fois par jour et n'y trouvant jamais rien. (Maintenant, chaque fois que j'ouvre ma boîte aux lettres et que je n'y trouve pas la lettre de ma fille, cette lettre que j'attends depuis des semaines, j'ai un petit sourire. Ma mère est vengée.) Et le pire, c'est que j'étais quelquefois agacé par ses télégrammes. Pauvres télégrammes de Marseille, toujours les mêmes: «Inquiète sans nouvelles télégraphie santé». Je me hais d'avoir télégraphié une fois en réponse, le parfum d'une nymphe encore sur mon visage: «Je me porte admirablement bien lettre suit». La lettre n'avait pas vite suivi. Chérie, ce livre, c'est ma dernière lettre. Je me raccroche à cette idée que, devenu adulte (ça a pris du temps), je lui donnais de l'argent en cachette, ce qui lui procurait la joie désintéressée de se savoir protégée par son fils. J'aurais dû lui offrir un aspirateur à poussière. Elle en aurait eu un poétique plaisir. Elle serait allée lui rendre visite de temps en temps, l'aurait chéri, regardé sous toutes ses faces avec un recul artiste et une respiration satisfaite. Ces choses étaient importantes pour elle, fleurissaient sa vie. Je me raccroche aussi à cette idée que je l'ai beaucoup écoutée, que j'ai participé hypocritement aux dissensions de famille qui l'intéressaient tant et qui m'ennuyaient un peu. J'abondais dans son sens, je l'approuvais de critiquer tel parent en disgrâce, le même qu'elle portait aux nues, deux jours plus tard, si elle en recevait une lettre aimable. Je me raccroche à cette pauvre consolation que je savais régler mon pas sur son pas lent de cardiaque. «Toi, au moins, mon fils, tu n'es pas comme les autres, tu marches normalement, c'est un plaisir de se promener avec toi.» Je pense bien, on faisait du trois cents mètres à l'heure. Ce qui me fait du bien aussi, c'est de me dire que j'ai su la flatter. Quand elle mettait une nouvelle robe, qui n'était jamais nouvelle mais toujours transformée, et qui lui allait assez mal, je lui disais: «Tu es élégante comme une jeune fille.» Elle rayonnait alors d'un timide bonheur, rougissait, me croyait. A chacun de mes énormes compliments, ce geste mignon qu'elle avait de porter sa petite main à la lèvre. Elle vivait alors extrêmement, était réhabilitée. Que lui importait d'être une isolée et une dédaignée? Elle s'abreuvait de mes louanges, avait un fils. Mais le seul vrai réconfort, c'est qu'elle n'assiste pas à mon malheur de sa mort. Me frottant les mains pour essayer d'être gai, je viens de confier cette pensée à ma chatte qui a ronronné courtoisement. Un autre remords, c'est que je considérais tout naturel d'avoir une mère vivante. Je ne savais pas assez combien ses allées et venues dans mon appartement étaient précieuses, éphémères. Je ne savais pas assez qu'elle était en vie. Je n'ai pas assez désiré ses venues à Genève. Est-ce possible? Il y a donc eu un temps merveilleux où je n'avais qu'à envoyer un télégramme de dix mots pour que, deux jours plus tard, elle débarque sur le quai de la gare, avec son sourire conventionnel de timide, ses valises toujours un peu démantibulées et son chapeau trop étroit. Je n'avais qu'à écrire dix mots et elle était là, magiquement. J'étais le maître de cette magie et je l'ai si peu utilisée, idiotement occupé que j'étais par des nymphes.
Albert COHEN - Le livre de ma mère
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maraboutamawa1 · 3 years
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