#les risques du vrai portefeuille

[grandmaraboutorogan]

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[vodoungnon]

Jeune homme reconnaissant envers le Grand marabout vodoungnon medjo, témoignage incroyable du vrai portefeuille magique, un vrai bedou magique Abidjan

Le seul marabout qu’il vous faut pour la résolution de vos problème , marabout honnête et sérieux dans ses rituel . Marabout vraiment puissant dans ses différent rituel. Si vous avez de n’importe quelle problème n’hésite pas a le contacter au +229 55 62 11 43 Bonjour je me norme Michel depuis Abidjan. Je suis la pour les bienfaits du marabout vodoungnon medjo Moi j’ai été étonnée par un grand…

[omagazineparis]

Adoptez le Dry January sans modération !

Adoptez le Dry January sans modération ! Terminés les excès des fêtes : maintenant, place aux bonnes résolutions. Originaire du Royaume-Uni, cette pratique vise à ne pas boire d’alcool durant tout le mois de janvier. Découvrez ses bienfaits positifs pour la santé ! Aux origines du Dry January : une campagne de santé publique Lancée en janvier 2013, le Dry January nous vient d’outre-Manche. Son objectif ? Ne pas boire une goutte d’alcool durant tout le mois de janvier. Comme son nom l’indique (« Janvier sec », ndlr), une campagne fut lancée pour lutter contre l’alcoolisme. Sous la houlette de l’association britannique Alcohol Change UK, cette opération vise à sensibiliser les citoyens sur la question. Au nombre initial de 4000, les participants se comptent aujourd’hui en millions. Un succès qui dépasse les frontières de son pays d’origine. En somme, le défi du mois sans alcool est devenu un vrai phénomène amplifié grâce aux réseaux sociaux. Après la période exhaustive des fêtes, rien de telle qu’une remise à niveau au niveau de la santé. Finis les excès, place aux bonnes résolutions ! Bref, cette détox ne serait-elle pas l’occasion de démarrer 2020 sous les meilleurs hospices ? En 2019, 8% de la population adulte britannique a participé à l’opération du mois sans alcool. Depuis, plus d’une dizaine de pays ont adopté cette initiative. Parmi les bons élèves, nous pouvons citer les États-Unis avec 23% de participants. Un succès mondial qui démontre un réel changement des mentalités sur l’alcool. Les bienfaits du Dry January : des résultats probants sur le long terme pour la santé Arrêter de boire de l’alcool peut s’avérer bénéfique avec en substance, l’argument de la santé. En effet, cette abstinence représente un bienfait pour plusieurs raisons. Parmi les bénéfices positifs du Dry January, nous pouvons citer : - Une perte de poids significative. - Une meilleure qualité de sommeil : l’alcool étant le moteur qui provoque les insomnies et apnées du sommeil. - Plus d’énergie à dépenser. - Une capacité à mieux réfléchir. - Limiter les risques de maladies comme les problèmes de foie. - Des effets positifs sur la peau. - Une économie non négligeable sur le portefeuille. - Une meilleure prise de conscience sur notre rapport à l’alcool. A lire également : Comment se débarrasser rapidement des carences Quelques conseils pour éviter de trinquer durant le Dry January Conseil #1 : communiquez votre initiative à votre famille et vos amis. Comme dirait l’adage, mieux vaut prévenir que guérir. De fait, en expliquant votre démarche, votre entourage fera preuve de compréhension et d’empathie à votre endroit. Conseil #2 : l’eau sera votre meilleure alliée mais pas que ! Il est important de s’hydrater. Aussi bien en janvier, Dry January ou non, que durant toute l’année. Afin de ne céder à la tentation, vous pouvez aussi consommer des cocktails voire des bières sans alcool. Conseil #3 : échangez autour de soi sur la question. Discuter de l’alcool est un excellent moyen de revoir ses modes de consommation. Se poser les bonnes questions. Se remettre en cause. En somme, autant de problématiques qui méritent d’être posées. Conseil #4 : trouvez des activités pour rompre le besoin d’alcool. Plutôt que de rester isolé, favorisez les activités qui vous permettront de penser à d’autres choses. Physiques ou culturelles, à vous de choisir. En vous consacrant à fond dans un loisir, le mois sans alcool passera plus vite que vous ne le pensez ! Conseil #5 : pensez aux bienfaits du Dry January sur le long terme. Comme évoqué juste avant, les bienfaits du mois sans alcool incitent à l’effort. La récompense ? Une meilleure santé sur le long terme. Un beau projet qui mérite bien une pause sans alcool, non ? En définitive, s’il ne fallait retenir qu’une seule chose de cet article, ce serait le mot suivant : santé ! Read the full article

[christophe76460]

*Méditation du 27 Août 2023*

*J’ai appris à être content dans les situations où je me trouve. Je sais être dans le dénuement, je sais aussi être dans l’abondance… Je peux tout en [Christ] qui me fortifie.*

Philippiens 4. 11-13

*Promesses trompeuses*

Depuis un certain temps, quelqu’un qui se dit chrétien envoie sur mon smartphone des messages qui ressemblent à peu près à ceci : “Aujourd’hui ton portefeuille sera rempli et ta santé sera bonne. Tous tes rêves et aspirations s’accompliront, tes plans réussiront. Passe une très bonne journée. Dieu te bénisse”.

Une existence à l’abri de tout souci, où toutes les portes s’ouvrent et où tout s’arrange pour le mieux, est-ce vraiment cela que Dieu promet au chrétien ? Si c’est le cas, que penser si j’ai un accident, si je tombe malade ou si je perds mon travail ? Faut-il en déduire que Dieu me punit ou m’abandonne, ou qu’il me prive de sa bénédiction ? Ou encore, que je manque de foi ?

Une telle vision du christianisme est fausse. Elle risque de plonger dans le trouble les chrétiens que Dieu juge bon de faire passer par des situations difficiles.

La simple lecture du Nouveau Testament nous montre de nombreux chrétiens confrontés à toutes sortes d’épreuves et de difficultés. L’apôtre Paul lui-même n’a-t-il pas connu la faim, le froid, les naufrages, la prison, etc. (2 Corinthiens 11. 23-27) ?

Chrétiens, nos bénédictions sont au ciel, avec Christ. Dieu nous forme sur la terre, il dirige les circonstances de notre vie, et veut nous faire connaître son amour dans les moments difficiles. Nous le connaîtrons alors comme “le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation” (2 Corinthiens 1. 3). Cela, non en vue d’un bien-être terrestre et passager, mais pour notre vrai bien, céleste et éternel !

[pdj-france]

La police nationale de la cybercriminalité des Philippines a publié un document intitulé "Comprendre le risque du schéma de jeu de crypto-monnaie" dans lequel elle met en garde ses citoyens contre les risques associés à la perte d'argent et aux NFT dans le célèbre jeu Axie Infinity. Pour participer au jeu "play-to-earn", qui donne la possibilité de gagner des crypto-monnaies, il y a en effet un investissement initial important à entreprendre et durant son voyage il y a une forte probabilité de perdre son argent virtuel. Axie Infinity était devenu très populaire aux Philippines fin 2021, une période où les volumes de ventes de NFT avaient explosé, alors qu'ils semblent désormais passer un mauvais moment. Voyons tous les détails ensemble. D'après les autorités philippines, les utilisateurs ont un risque élevé de perdre leur argent et leurs NFT sur Axie Infinity L'agence philippine d'application de la loi sur la cybercriminalité (PNP ACG) a examiné les schémas dans lesquels les jeux de jeu pour gagner pourraient nuire aux finances de ses citoyens dans un article intitulé "Understanding Scheme Risk of cryptocurrency gaming". Parmi tous, le célèbre jeu métavers Axie Infinity et ses différents NFT qui lui sont liés sont apparus aux yeux de la Police Nationale. Ce dernier, qui s'appuie sur la blockchain Ronin (sidechain Ethereum) est un "play-to-earn" dans lequel les participants peuvent gagner des jetons AXS simplement en combattant d'autres joueurs dans l'arène, en raflant des trophées et en interagissant avec le marché et avec les leurs. terres virtuelles sous la forme de NFT. Aux Philippines, où le salaire moyen est d'environ 270 $, Axie Infinity est devenu très populaire à partir de 2021 car avec les projections de revenus qu'il proposait, il était perçu comme un vrai travail par la population. Les forces de l'ordre du pays ont prévenu les citoyens de la psychologie subtile liée à ce jeu, où pour commencer à être compétitif et vraiment gagner de l'argent, il est nécessaire de faire un investissement initial d'environ 300 $ en achetant divers NFT et accessoires de jeu. Il s'agit d'une moyenne résolument élevée, en particulier aux Philippines, vu que le coût moyen des jeux traditionnels qui ne reposent pas sur le web3 est de 100 dollars par utilisateur. Source : OpenSea De plus, comme si cela ne suffisait pas, le PNP ACG a mis en avant dans son déclaration toute une série de risques liés à Axie Infinity et plus généralement au monde de la crypto, où perdre de l'argent et ses NFT est vraiment très simple. En fait, il y a plusieurs dangers qui courent au coin de la rue à l'approche des mondes décentralisés. Avant toute chose, la volatilité du marché signifie que votre investissement initial peut baisser considérablement s'il est effectué au mauvais moment. Si vous n'êtes pas prudent et méticuleux dans la gestion de votre portefeuille, perdre tous vos fonds en envoyant les actifs à une adresse de contrat intelligent ou à la mauvaise adresse est un jeu d'enfant.De plus, les menaces de piratage et les escroqueries en ligne ajoutent un autre facteur d'adversité dans ce contexte. En référence à tous ces dangers, le département de police philippin a commenté dans les termes suivants : "Ce n'est pas car la blockchain sous-jacente d'un jeu est sécurisée que son moteur ou son marché sont sécurisés." Le PNP ACG conseille à ses citoyens d'être prudents avec les investissements liés aux actifs cryptographiques et de toujours faire les recherches nécessaires avant de miser de l'argent dans les NFT et les programmes de jeu pour gagner tels que Axie Infinity, de même que d'être très prudent dans les environnements en ligne dans général. NFT : analyse des volumes de ventes de jeux Play-to-Earn Le jeu Play-to-Earn Axie Infinity est devenu extrêmement populaire aux Philippines depuis mai 2021, mois au cours duquel les volumes de transactions de ses NFT ont commencé à décoller pour atteindre le cap des 30,9 millions de dollars de ventes (informations CryptoSlam).

Il s'agit d'une augmentation monstrueuse des volumes si l'on pense qu'en janvier 2021 seulement, la collection NFT d'Axie a enregistré un nombre de transactions égal à 930 000 $. Le réussite du jeu n'a cessé de monter en flèche pendant 2021 atteignant le chiffre insensé de 869 millions de dollars de ventes en août 2021. Le FOMO des acteurs du métaverse, qui sont à 95% placés aux Philippines et au Venezuela, a démarré à chuter de façon spectaculaire au cours de 2022 parallèlement au marché baissier du Bitcoin et de l'ensemble du secteur de la cryptographie. En février 2022, les volumes de transactions NFT sont tombés en dessous de 100 millions de dollars alors qu'en décembre 2022, nous ne totalisions que 1,86 million de dollars. Par rapport au dernier mois de l'année précédente, la réduction était d'environ 172 fois. En janvier 2023, nous avons assisté à une brève reprise de la tendance, avec des volumes doublant par rapport au mois précédent, poursuivant environ 2 à 3 millions de dollars de ventes par mois jusqu'en mai 2023. En revanche, juin et juillet ont connu une faible activité de trading, portée aussi et surtout par la baisse de l'intérêt général pour le monde de la crypto durant cet été. Hier, les volumes de transactions quotidiens s'élevaient à 93,51 milliers de dollars : un très petit nombre si l'on considère qu'en pleine explosion de la mode Axie Infinity ses NFT totalisaient plusieurs dizaines de millions de dollars chaque jour. Source : DappRadar Les NFT ne sont pas les seuls éléments cryptographiques de l'écosystème Axie Infinity à avoir marqué une forte baisse depuis 2021 : le jeton de gouvernance et d'utilité AXS, utilisé comme jeton de récompense de jeu, a aussi connu deux années oubliables. Partant de son plus haut historique, atteint 160 $ ​​la première semaine de novembre 2021 (cours de clôture hebdomadaire des bougies), la crypto a perdu près de 97 % de sa valeur, atteignant 5,36 $ aujourd'hui. Quand la police de la cybercriminalité des Philippines a parlé des risques de volatilité a propos le marché de la cryptographie, elle faisait référence à ces scénarios. Quiconque a investi dans le jeton AXS en novembre il y a deux ans ou a démarré à se consacrer au jeu Axie Infinity et à ses NFT a certainement perdu de l'argent, de même qu'un temps précieux. Graphique hebdomadaire du prix Axie Infinity (AXS/USDT)

[patern29]

Comment choisir entre un catamaran ou un monocoque?

Quel que soit le projet, une croisière côtière, une transatlantique vers les Antilles ou un tour de la Méditerranée, le choix du bateau est important. Et cela commence par choisir entre un multicoque ou monocoque. Choisir entre un catamaran, un trimaran et un monocoque, c’est choisir entre plusieurs programmes, différents types de navigation. Mais ce choix dépendra aussi de votre état d’esprit. Le volume habitable ne sera pas le mêmes sur un catamaran et un monocoque. Les sensations ou le confort en navigation, n’auront rien à voir, non plus. Ce choix va donc dépendre de ce que voulez faire en mer et en escale. Si vous souhaitez naviguer en équipage réduit ou inviter tous les amis et voisins à bord de votre voilier. Nous allons voir les avantages et inconvénients d'un monocoque ou multicoque, catamaran ou trimaran.

Le monocoque pour sa manoeuvrabilité

  Le choix d'un voilier monocoque sera important pour certains programmes. Partir dans le grand nord, fendre les glaces et longer des côtes sauvages sera plus facile sur un monocoque en aluminium, même si certains chantiers proposent des catamarans alu maintenant. Un monocoque permettra aussi de mieux remonter au vent et se dégager d’une côte. Les sensations, en navigation sont aussi plus plaisantes pour les mangeurs d'écoutes. L'autre intérêt du monocoque est son côté passe partout. Beacher avec un dériveur dans la moindre petite crique n'est plus un problème. Arriver un peu tard dans une marina non plus, il y aura plus facilement de la place pour un monocoque que pour un catamaran ou trimaran. Côté budget aussi, c'est plus simple. De la place de port à l'entretien en passant par la manutention, tout est plus accessible pour le portefeuille.

Le catamaran pour son volume habitable

Le catamaran est de plus en plus prisé par les candidats au départ. En effet, le volume habitable est inégalable sur ces multicoques. Possibilité d'avoir plusieurs cabines dans chaque coque, avec plus d'intimité, plusieurs salles d'eau, un carré et coin cuisine de plein pied avec le cockpit. Attention, cependant, ce gain de volume n'est vrai qu'à partir de 12 mètres. En dessous, le monocoque est plus intéressant que le catamaran, de par sa largeur et sa hauteur sous barrot. Le confort en navigation est, lui aussi, beaucoup plus important. Le catamaran étant beaucoup plus stable qu'un monocoque, la navigation est plus paisible. Attention, là aussi à la taille. Sous les 12 mètres, le catamaran peut être inconfortable par mer formée. La plate forme, elle, doit être assez haute pour rester à l'abri des vagues. Dans le même temps un petit catamaran, pour rester confortable au mouillage, risque d'avoir du fardage. Cela signifie une importante prise au vent, et donc des difficultés des manœuvres. Dans tous les cas, ce confort en navigation est au dépens des sensations. Il faut aussi savoir que le mauvais temps est plus difficile à appréhender quand le vent monte. Le catamaran ne permet pas de remonter au vent aussi facilement qu'un monocoque. Mais certains chantiers s’en sortent mieux, maintenant. C'est le cas de chantiers comme Catana, avec des dérives. Le principal inconvénient d'un catamaran est le manque de place dans certaines marinas et son coût d’entretien ( longueur et accastillage, 2 moteurs,…)

Pourquoi pas un trimaran pour la croisière?

Si les monocoques et les catamarans sont les plus présents sur les mers du globe, le trimaran se fait sa petite place auprès des passionnés de vitesse. En effet, les sensations sous voiles sont les plus importantes. Et question sécurité,c'est sans doute le top, à l'image du Tricat 30. Cependant, le gros frein pour ce type de bateau est son espace habitable limité. En effet, le volume habitable est concentré sur la coque centrale, plus étroite que sur un monocoque. Ceci n'est cependant pas valable pour le Neel 65, mais très atypique. Retrouvez notre dossier sur le trimaran en croisière. Pour résumer, multicoque ou monocoque est choix qui sera très personnel. certains ne voient que par le monocoque qui mouille quand d'autres ne veulent plus entendre parler d'autre chose que du catamaran. et vous, qu'en pensez vous? Découvrez nos annonces de voiliers ici Read the full article

[vinon0]

Portefeuille magique Suisse, portefeuille magique temoignage, portefeuille magique,le vrai portefeuille: Voyant Marabout Germain Likossi

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Portefeuille magique Suisse, portefeuille magique temoignage, portefeuille magique,le vrai portefeuille: Voyant Marabout Germain Likossi La richesse, c’est comme la santé : ça doit être pour tout le monde,” tient à souligner l’auteure. Or, certains schémas familiaux peuvent entraver l’accès à la richesse, comme l’explique Lila Rhiyourhi : “Si une conscience de pauvreté imprègne vos schémas…

[woldpress]

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[dahzedran]

Les dangers du portefeuille magique

Les dangers du portefeuille magique

Quel sont les risques et conséquences du portefeuille magique. Les dangers du portefeuille magique ou la valise magique est une question très nécessaire a qui avoir une réponse avant de se lancé pour ne pas être surpris au fil du temps.D’abord il faut savoir que le portefeuille ou la valise magique existe vraiment mais peu de marabout en ont les vrais secrets.Le portefeuille ou la valise magique…

[vodoungnon]

vrai témoignage sur le portefeuille magique du Grand Marabout Vodoungnon Medjo

PAPA VODOUNGNON MEDJO est un excellent médium, d’une justesse la plus parfaite et extrêmement gentil. Il est également un très bon conseiller… Je vous le recommande vivement! Fait lui confiance c'est un marabout très honnête Contactez le dés-maintenant

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[omagazineparis]

Adoptez le Dry January sans modération !

Adoptez le Dry January sans modération ! Terminés les excès des fêtes : maintenant, place aux bonnes résolutions. Originaire du Royaume-Uni, cette pratique vise à ne pas boire d’alcool durant tout le mois de janvier. Découvrez ses bienfaits positifs pour la santé ! Aux origines du Dry January : une campagne de santé publique Lancée en janvier 2013, le Dry January nous vient d’outre-Manche. Son objectif ? Ne pas boire une goutte d’alcool durant tout le mois de janvier. Comme son nom l’indique (« Janvier sec », ndlr), une campagne fut lancée pour lutter contre l’alcoolisme. Sous la houlette de l’association britannique Alcohol Change UK, cette opération vise à sensibiliser les citoyens sur la question. Au nombre initial de 4000, les participants se comptent aujourd’hui en millions. Un succès qui dépasse les frontières de son pays d’origine. En somme, le défi du mois sans alcool est devenu un vrai phénomène amplifié grâce aux réseaux sociaux. Après la période exhaustive des fêtes, rien de telle qu’une remise à niveau au niveau de la santé. Finis les excès, place aux bonnes résolutions ! Bref, cette détox ne serait-elle pas l’occasion de démarrer 2020 sous les meilleurs hospices ? En 2019, 8% de la population adulte britannique a participé à l’opération du mois sans alcool. Depuis, plus d’une dizaine de pays ont adopté cette initiative. Parmi les bons élèves, nous pouvons citer les États-Unis avec 23% de participants. Un succès mondial qui démontre un réel changement des mentalités sur l’alcool. Les bienfaits du Dry January : des résultats probants sur le long terme pour la santé Arrêter de boire de l’alcool peut s’avérer bénéfique avec en substance, l’argument de la santé. En effet, cette abstinence représente un bienfait pour plusieurs raisons. Parmi les bénéfices positifs du Dry January, nous pouvons citer : - Une perte de poids significative. - Une meilleure qualité de sommeil : l’alcool étant le moteur qui provoque les insomnies et apnées du sommeil. - Plus d’énergie à dépenser. - Une capacité à mieux réfléchir. - Limiter les risques de maladies comme les problèmes de foie. - Des effets positifs sur la peau. - Une économie non négligeable sur le portefeuille. - Une meilleure prise de conscience sur notre rapport à l’alcool. A lire également : Comment se débarrasser rapidement des carences Quelques conseils pour éviter de trinquer durant le Dry January Conseil #1 : communiquez votre initiative à votre famille et vos amis. Comme dirait l’adage, mieux vaut prévenir que guérir. De fait, en expliquant votre démarche, votre entourage fera preuve de compréhension et d’empathie à votre endroit. Conseil #2 : l’eau sera votre meilleure alliée mais pas que ! Il est important de s’hydrater. Aussi bien en janvier, Dry January ou non, que durant toute l’année. Afin de ne céder à la tentation, vous pouvez aussi consommer des cocktails voire des bières sans alcool. Conseil #3 : échangez autour de soi sur la question. Discuter de l’alcool est un excellent moyen de revoir ses modes de consommation. Se poser les bonnes questions. Se remettre en cause. En somme, autant de problématiques qui méritent d’être posées. Conseil #4 : trouvez des activités pour rompre le besoin d’alcool. Plutôt que de rester isolé, favorisez les activités qui vous permettront de penser à d’autres choses. Physiques ou culturelles, à vous de choisir. En vous consacrant à fond dans un loisir, le mois sans alcool passera plus vite que vous ne le pensez ! Conseil #5 : pensez aux bienfaits du Dry January sur le long terme. Comme évoqué juste avant, les bienfaits du mois sans alcool incitent à l’effort. La récompense ? Une meilleure santé sur le long terme. Un beau projet qui mérite bien une pause sans alcool, non ? En définitive, s’il ne fallait retenir qu’une seule chose de cet article, ce serait le mot suivant : santé ! Read the full article

[paul123love]

Quel sont les risques et conséquences du portefeuille magique-marabout voyant Les risques et conséquences du portefeuille magique ou la valise magique est une question très nécessaire a qui avoir une réponse avant de se lancé pour ne pas être surpris au fil du temps.

[claudehenrion]

Le jour d'après - ''saison  II'' : la situation initiale est pire que pire !

  De l'appartement parisien où je suis confiné, l’air finaud, je découvre avec stupeur ce que cette crise du coronavirus révèle de l’état de notre pays. Ayant occulté totalement la pression migratoire aux portes de la Grèce comme, d’ailleurs, tous les autres problèmes, cette pandémie ébranle nos certitudes incertaines et met en lumière nos trop nombreux points sombres. Au-delà des mesures d'urgence absolue qu’impose l’extinction de cet incendie sanitaire, il sera bientôt temps de nous pencher sur les corrections structurelles qui devront suivre ce drame.

  Le jour d’après, ça commence par le défilé ininterrompu  des pseudo ''experts du 20 heures'', dont personne ne dit jamais pourquoi ils sont là, au titre de quoi, choisis par qui sur quels critères. Mais si Anne-Claire Coudray le dit, c'est sûrement le meilleur choix possible, et la parole du type qui répète mot pour mot les poncifs que tous les autres bla-blatent depuis deux mois, est donc, pour les nuls que nous sommes, à écouter religieusement. D'un autre côté, il est vrai que, à partir du moment où on ne prie plus Dieu que pour lui intimer l'ordre de rester dans le placard, n'importe qui peut s'intituler expert, spécialiste, ''gourou'', demi-dieu ou dieu à plein temps, sur les plateaux. On croule de trissottins, à ne plus savoir où les mettre ! Vous allez voir que ''on'' va nous ressortir du fond de tiroirs poussiéreux Attali et Minc (qui le sont aussi !)... pour leur demander ce qu'ils prévoient : au moins, on saura ce qui n'arrivera jamais : ils se trompent par définition ! Une question me taraude : Pourquoi ce pays écoute-t-il plutôt ceux qui mentent que ceux qui, depuis des décennies, annoncent ''ce qui va se passer pour de vrai’’ ?

  On verse des lames de crocodiles (enfin ?) sur la désindustrialisation de la France, désormais incapable de produire des masques, des respirateurs, et tant d'autres choses fondamentales. La menace de dizaines de milliers de morts ouvre enfin les esprits (j'avais écrit : ''les consciences'', mais on n'en est pas encore là !) aux vertus de l’indépendance nationale. Les nuls découvrent ''la Nation'', cet ex- ''unique objet de leur ressentiment'' qui est en réalité le seul rempart, la seule protection, le seul réconfort que les pauvres ''gens normaux'' puissent espérer avoir.... La production nationale (y compris de ''PQ'', si j'ose !), qui est un des critères incontournables de toute grande nation, n’est pas du tout un slogan réactionnaire --comme on nous en rebat les oreilles-- mais l'assurance de ne pas être soumis, pour notre survie, au bon vouloir de pays étrangers. La France, ex-cinquième puissance mondiale, se voit contrainte de quémander l’aide de la Chine pour recevoir en urgence 1 million de masques... quand il en faudrait 2 ou 3 milliards ! Qu'aurions-nous fait si les chinois n’avaient pas décidé qu'ils allaient faire croire an monde ébahi qu'ils avaient endiguer l’épidémie en l’espace d’un clin d’oeil...  ou deux, histoire de reprendre au plus vite leurs activités économiques ?

  Gouverner c’est prévoir. Exercer le pouvoir, c’est anticiper et non répondre au coup par coup aux caprices de la météo ! Ce n'est évidemment pas se cacher piteusement, dans une urgence proche de la panique, derrière les préconisations ''des scientifiques'' (sic ! C'est dans le texte !). Mais l'Elysée, que je sache, n’est pas une annexe de l’Académie des Sciences, pas plus qu’il ne devrait en être une des Chambres de commerce ou d'un parti politique sans colonne vertébrale ! C'est sans doute une ''première'' dans l'Histoire, que le Politique, terrifié à l'idée de prendre une décision, se cache derrière un groupe de gens qui ont cent fois démontré leur docilité envers le Pouvoir, leur conformité à la pensée ambiante et leur nullité dans les domaines extérieurs à leur spécialité –où ils excellent, à n’en pas douter !  

  Ce ''si vous êtes bon ici, faites donc le boulot à ma place, là'' s'appelait, dans ma jeunesse, ''le Principe de Peter''. Aucun de ces ''pontes'' (une ponte, c'est un tas d’œufs !) n'est à la hauteur de la responsabilité implicite qu'on lui refile sans le dire. Vous, par exemple, confieriez-vous votre portefeuille à un Delfraisy ou à un Yazdanpanah ? Moi, pas ! Didier Rouault, le seul ''qui en a'' –pardonnez-moi !--, a été contraint de démissionner, et Juvin dit ''ce qu'il faut''... depuis le parking des urgences de l’Hôpital Pompidou... Dans leur nullité ahurissante, nos gouvernants se sont s'imaginé que la déesse Economie (ouverte, bien entendu) allait pacifier le monde et unifier la société selon un modèle parfait (Ah ! Les cons !). Ils découvrent que ce sont les décisions humaines qui font l’Histoire et le devenir d’une Nation, et non des ''flux'' livrés à eux-mêmes. Ils apprennent, à leurs dépends et surtout aux nôtres, ce qu’est ou devrait être l’action politique, la vraie... et l'aptitude à l'exercer. 

  Je les écoute s'affoler des risques de pénuries fabriquées par eux ! Ils découvrent que leur mondialisation caricaturale a entraîné la délocalisation de nos activités stratégiques. Et les mêmes qui, jusqu’alors, voyaient dans une ''économie de service à haute valeur ajoutée'' la seule solution à on ne sait trop quoi, viennent de découvrir que l’agriculture, la santé, l’énergie, la défense ou le transport, sont autant de secteurs vitaux, dans un monde en tension et aux ressources finies. Mais une ''relocalisation'' impliquerait de tourner le dos à leur logiciel économique qui date des années 70, à ce ''credo'' pourri qu'on enseigne  à l’ENA (dont Emmanuel Macron est un pur produit), et qui a contaminé  l’UE. Encore un effort, et ils découvriront que le capitalisme a entraîné un individualisme qu'ils espéraient voir remplacer toute morale et toute transcendance, après avoir érigé leur pernicieux ''mon désir, mes envies et ma liberté-qui-ne-saurait-connaître-de-limites'' comme fondement d'une soi-disant démocratie libérale revisitée, et après avoir détruit la matrice nationale, presque le seul vecteur naturel de fraternité.

  Etre confiné, ça laisse plus de temps pour regarder le Président jouer au chef de guerre et tenter vainement de se hisser à la hauteur des événements, après son incroyable décision du maintien des élections, sa sortie au théâtre pour rassurer les illettrés et les honteuses déclarations de son ancienne (mais rancunière) ministre de la santé. J'écoute ce Président m’enjoindre de me laver les mains et de ne pas céder aux sirènes du ''repli nationaliste'' (comme si c'était de circonstance ! Il est complètement ''à côté de la plaque''!), et appeler à son secours sa lamentable Europe, qui a foiré une fois de plus (ce dont lui seul est surpris !) alors que tous nos voisins ferment leurs frontières un à un. La ragougnasse ''sans-frontiériste'' est particulièrement indigeste en ce moment, et ce qu'il décrit dans ses discours, sans même s'en rendre compte, c'est la faillite de son progressisme à l'ancienne.

  Pendant ce temps, nos soignants sont sur le pont sans compter leurs heures, s’exposent à la contamination, sont confrontés à des choix éthiques douloureux faute de pouvoir soigner tous les malades ; ceux qui étaient à la retraite reprennent temporairement du service pour soulager les équipes actuelles ; les services de réanimation sont saturés faute de place et de matériel : nous assistons donc en direct, à travers leurs difficultés, à la faillite de l'Etat, même si la responsabilité n’incombe pas seulement au gouvernement d’Emmanuel Macron mais date des années Mitterrand. Mais rien n’ayant été fait depuis pour ‘’corriger le tir’’, c’est aujourd’hui qu’on se rend compte que l'Etat a tourné le dos à son temps, au monde, au réel... et aux nouveaux défis du monde, l'Etat confisque 50 % de la richesse nationale aux citoyens, l'Etat claque 200 milliards pour la branche maladie de la sécurité sociale et distribue 750 milliards de prestations sociales par an mais est incapable de fournir des masques à tous ceux qui sont ''sur la ligne de front'', ou de tester massivement la population française –ne serait-ce que partiellement !

  Nous payons, ''cash'', des décennies de choix politiques qui ont sacrifié la puissance nationale et le ''régalien'' sur l’autel d’un Etat prétendu ''providence'', en vérité ruiné par l’immigration, un faux humanisme criminel, une administration pléthorique, les dogmes pervers de l’Union européenne, et des dizaines de lois absurdes, depuis les 35h  jusqu'aux atteintes au bonheur vrai de l'Humanité que sont toutes leurs ''lois sociétales''qui sont, en vérité, scélérates. En détruisant le socle de notre civilisation, ils ont détruit tout l’édifice érigé, siècle après siècle…

 Au moment où il va bien falloir reconstruire cet édifice qu'ils ont volontairement bousillé, ils ne vont retenir comme futures bases que... tout ce qu'il faut surtout supprimer, abolir, anéantir, et oublier, à jamais. Bayrou a déjà commencé, dès hier matin (cf. le Figaro), à ressortir de leurs ergastules toutes les mauvaises idées qui nous ont amenés au point dramatique où nous en sommes tombés, aujourd'hui !

H-Cl.

[jbgravereaux]

«Marighella», de Wagner Moura, est un biopic sur un guérillero communiste et noir éliminé par la dictature militaire en 1969. Photo O2 FILMES                                                                                                                                                          LE CINÉMA BRÉSILIEN VIT «LE DÉBUT D’UNE ÉPOQUE DE TERREUR CULTURELLE», par Chantal Rayes Correspondante à São Paulo  LIBÉRATION— 24 septembre 2019                                                                                                                                                                                                                        Depuis son arrivée au pouvoir, Bolsonaro mène la guerre au secteur de la culture, en particulier au septième art, très dépendant des financements publics.                                                                                                                                                                                                                                              Chico Buarque est au Brésil ce qu’un Brassens ou un Ferrat sont à la France : un monstre sacré de la chanson. Et pourtant, le documentaire Chico : Artista brasileiro vient d’échapper in extremis à la censure de l’ambassade brésilienne en Uruguay, qui a tenté d’empêcher sa projection lors d’un festival prévu à Montevideo le mois prochain. Le chanteur est une figure emblématique de la gauche et, comme la plupart des artistes brésiliens, un détracteur du président Jair Bolsonaro. Qui le leur rend bien. Au pouvoir depuis le début de l’année, le chef de file de l’extrême droite populiste et ultraconservatrice a supprimé le ministère de la Culture (remplacé par un secrétariat dépendant d’un autre portefeuille) et drastiquement baissé le plafond des crédits d’impôts qui financent la création. Mais c’est surtout sur le cinéma qu’il porte sa vindicte.                                                                                                                                «Parce que le cinéma a plus de visibilité et qu’il est plus dépendant du soutien de l’Etat que d’autres domaines artistiques, le gouvernement en a fait la "vitrine" de son entreprise de destruction de la culture, analyse la journaliste spécialisée Maria do Rosário Caetano. C’est d’ailleurs par ce biais-là qu’il s’est attaqué à Chico Buarque.» Et d’ajouter : «Nous vivons le début d’une époque de terreur culturelle, où tout sera mis en œuvre pour imposer la pensée unique.»                                                                                                                                                                                                                                          «Filtres»                                                                                                                                                                                                                                                  Annoncé le 19 septembre, le report sine die de la sortie en salles du très attendu Marighella, salué à la Berlinale, n’a donc surpris personne. Cette adaptation de la biographie d’un guérillero communiste et noir de surcroît, éliminé par la dictature militaire (1964-1985), ne peut que déplaire au chef de l’Etat, louangeur de la junte et de ses tortionnaires… Le film a bien obtenu - avant Bolsonaro - des budgets de l’Agence nationale du cinéma (Ancine, le CNC local), qui finance et régule le secteur. Mais l’Ancine, habituellement accommodante, a refusé cette fois d’anticiper le calendrier de ses versements afin de permettre de lancer le film le 20 novembre, date commémorative de l’émancipation noire. Un refus publiquement salué par un des fils du Président.                                                                                                                        Partenaire d’O2 Filmes, la maison de production de Marighella, et par ailleurs réalisateur du célèbre la Cité de Dieu (2002), Fernando Meirelles veut calmer le jeu : «L’Ancine n’était pas obligée d’accepter, dit le cinéaste à Libération. Ils n’ont pas voulu aider le film, c’est vrai, mais ce n’était pas de la censure. Du moins pas ce coup-ci.» «Si le climat politique était autre, la décision de l’agence aurait peut-être été différente», insinue, lui, Wagner Moura, le réalisateur de Marighella. Tout comme la Cinémathèque brésilienne, devenue poste avancé de la lutte contre un supposé «marxisme culturel», l’Ancine est au cœur de l’offensive présidentielle. Pour mieux contrôler l’agence, dotée en principe d’une large autonomie, Bolsonaro veut la transférer, au moins partiellement, de Rio à la capitale, Brasília. Et nommer à sa tête un président «terriblement évangélique» afin d’imposer des «filtres» à la production. «Les deniers publics ne peuvent pas financer la pornographie», a-t-il martelé. Ses critiques à l’encontre de productions télévisées sur la thématique LGBT ont entraîné la suspension des subventions destinées à celles-ci. «Pour survivre, les cinéastes vont devoir céder à l’autocensure, craint une source interne à l’Ancine. Le cinéma brésilien risque à nouveau l’étranglement», comme après l’extinction, en 1990, de l’entreprise publique Embrafilme.                                                                                                                                                                                  Censure                                                                                                                                                                                                                                                  La création de l’Ancine, en 2001 (sous l’ancien président centriste Fernando Henrique Cardoso), a joué un rôle clé dans la retomada, la reprise de la production : aujourd’hui autour de 170 longs métrages par an, sans compter plus de 3 000 heures de programmes pour la télé. Sa principale source de financement est le Fonds sectoriel de l’audiovisuel (FSA), alimenté par des taxes versées par les opérateurs de télécoms et de télévision payante. Pour cette année, le FSA dispose de l’équivalent de près de 160 millions d’euros… dont pas un sou n’a encore été attribué. «Aucun nouveau projet ne peut être approuvé tant que le gouvernement ne nomme pas un comité de gestion,reprend cette source interne, qui parle d’un blocage délibéré. Résultat, les maisons de production ferment les unes après les autres.» Et le pire est à venir : les apports du FSA ont été amputés de 43% pour 2020.                                                                                                                                                           A LIRE AUSSI  «Bacurau», place de résistance                                                                                                                                                                                    «La solution pour le cinéma brésilien, c’est la fin du gouvernement Bolsonaro, lâche André Klotzel, producteur et réalisateur. En attendant, nous essayons de lui faire entendre raison, en avançant l’argument du poids économique du secteur. Mais nous ne céderons pas sur la censure, une pratique anticonstitutionnelle.» Klotzel réfute le discours présidentiel selon lequel «on peut produire ce qu’on veut à condition de ne pas recourir aux deniers publics». «Le cinéma brésilien n’a que 14% de son propre marché, dominé par la production américaine, reprend-il. Il est de surcroît fragilisé par l’absence de quotas de contenus sur les services de streaming. Dans ce contexte, seuls les réalisateurs consacrés arrivent à lever des fonds privés. L’Etat doit donc investir pour pallier ce manque.» «Si j’existe en tant que cinéaste, c’est grâce aux mécanismes publics de soutien», renchérit Fernando Meirelles. Pour lui, l’offensive de Bolsonaro pourrait entraîner un courant de solidarité internationale, via des coproductions, d’autant que le cinéma brésilien est en plein rayonnement. Et Meirelles d’ironiser : «C’est un bien mauvais timing pour s’y attaquer.»                                                                                                                                                                                                                                    Chantal Rayes Correspondante à São Paulo

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5 indispensables à avoir dans son sac à main

Votre fidèle compagnon du quotidien, votre sac à main, vous suit partout dans le moindre de vos déplacements. Il contient souvent bien plus de choses que nécessaire, c'est bien connu ! Outre votre portefeuille, vos clés ou encore vos papiers personnels, Ô Magazine vous révèle aujourd'hui les cinq objets vraiment indispensables à avoir dans votre sac à main. Avant toute chose, un conseil : organisez votre sac à main avec différentes petites trousses. Ainsi, vous retrouverez beaucoup plus facilement vos affaires. Une trousse pour le maquillage, une trousse pour vos papiers ou encore une trousse pour les médicaments. Vous verrez, ce sera déjà nettement plus facile ! Nouveau et essentiel, le gel hydroalcoolique Lorsqu'on prend les transports ou qu'on mange un sandwich pour le déjeuner, le gel hydroalcoolique se révèle être un indispensable. Pratique et nomade, il sait se substituer à l'eau et au savon. Que serait un sac à main sans le vaporisateur de parfum ? Léger,  il est facilement transportable. Peu importe le parfum que vous portez, il existe des contenants d'environ 15 millilitres. Vous les trouverez en parfumerie. Vous pouvez le remplir de n'importe laquelle de vos fragrances préférées. Féminine en toutes circonstances ! Un sac tissu pliable Un sac en tissu est vraiment indispensable ! Les magasins qui ne proposent plus de sacs sont de plus en plus nombreux. Certes, c'est écologique, mais parfois on se retrouve les bras chargés d'emplettes et ça devient vite très embarrassant. Un sac en tissu, une fois plié dans votre sac à main, ne prend pas beaucoup de place et est très léger. A lire également : Duren, la marque dans l'air du temps Un bon livre est toujours bienvenu dans votre sac à main. En cas d'attente chez votre médecin ou dans les transports en commun, laissez tomber votre téléphone portable. Et là, dégainez votre bon vieux Agatha Christie et le temps s'arrête. Cependant, faites attention à ne pas rater votre tour ou votre station ! L'indispensable agenda Il est vrai qu'aujourd'hui, on a tout sur notre smartphone. Cependant, il est parfois nécessaire de savoir rester traditionnel. Un agenda papier est bien plus pratique que sur téléphone. Vous y avez accès rapidement et avec lui, il n'y a pas de risque que la batterie flanche… Quelle que soit la taille de votre sac, il existe des millions de possibilités pour l'organiser en fonction de chacune. Évidemment, cette liste n'est pas exhaustive, n'hésitez pas à partager avec nous vos indispensables dans votre sac à main ! Read the full article