Tumgik
#je veux être riche
je-suis-ronflex · 1 year
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Je suis quand même très tenté racheter le DLC du dernier jeu Pokemon sur switch mais financièrement c'est pas une bonne idée du coup en tant qu'adulte responsable et professionnel, je vais sûrement l'acheter
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perduedansmatete · 7 months
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@wonderbandersnatch m'a taggué il y a mille ans pour répondre à un genre de questionnaire de proust donc je m'exécute enfin tant bien que mal:
ma vertu préférée
je copie mais l'empathie c'est une super vertu
le principal trait de mon caractère
dévouée je dirais
ce que j'apprécie le plus chez mes ami.e.s
chez mes meilleurs amis je pense que ce que je préfère c'est leur désinvolture et leur capacité à faire n'importe quoi comme si on était encore adolescents
mon principal défaut
l'indécision
mon occupation préférée
le quatuor gagnant: être à un concert, dormir, baiser et faire des listes
Votre idée du bonheur
ne pas vivre dans l'angoisse d'absolument tout
Votre idée du malheur ?
mourir sans jamais avoir eu de chat à soi
Ce que je voudrais être
je n'en ai aucune idée actuellement mais petite j'ai voulu être chanteuse d'opéra pendant un temps pour les raisons suivantes: je pensais que j'avais du talent (ceci dit jusqu'à longtemps j'ai pu chanter l'air de la nuit de la flûte enchantée et j'adorais la réputation que ça me donnait), je me disais que je gagnerais plein d'argent, que je travaillerais dans de beaux décors et surtout que je serais pas hyper connue comme si j'étais une rockstar et ça je trouvais ça cool d'être tranquille mais riche voilà et je trouve encore que c'est un bon plan finalement donc allez chanteuse d'opéra
le pays où je désirerais vivre
je sais pas si j'aimerais y vivre mais je suis obsédée par l'islande, j'ai failli y aller il y a quelques années mais covid oblige ça a été annulé bref.
la couleur que je préfère
franchement je porte que du noir donc bon, mais j'aime les couleurs reposantes sinon comme les couleurs pastel et aussi j'adore le bordeaux bien profond (mais du coup noir quand même)
la fleur que j'aime
j'aime beaucoup les petites fleurs des champs et les boutons d'or!!!
l'oiseau que je préfère
les hirondelles <3
mes auteur.e.s favori.te.s en prose
j'ai lu trop de sartre à cause de ma prof de philo de terminale dont j'étais amoureuse pour ne pas le nommer, sinon despentes, les sœurs brontë et après je ne sais pas trop car je lis rarement plus de deux ou trois ouvrages d'une même personne bouuuh la nullos
mes poètes préféré.e.s
rimbaud, baudelaire, éluard, plath et... lana del rey mouhahaha j'écris ce que je veux
mes héros favoris dans la fiction
bojack, perceval dans kaamelott mdr, le prêtre dans fleabag, scott pilgrim ce gros loser et j'ai pas trop d'autres d'idées car j'aime pas les hommes pardon (sauf les nuls et ceux qui font pitié)
mes héroïnes favorites dans la fiction
jane eyre, fleabag, amélie poulain, thelma ou louise? louise ou thelma? je sais pas donc les deux car l'une ne va pas sans l'autre, lou et reine amy dunne
mes compositeurices préféré.e.s
je sais pas si par compositeur c'est juste à l'ancienne ou compositeur de musique en général... si c'est à l'ancienne je dirais satie car je l'écoutais beaucoup fut un temps pour me calmer et j'ai pas d'autres noms car j'en écoute pas assez pour avoir des compositeurs où je me dis ouaaaa c'est mon préféré celui-là
mes peintres favori.te.s
munch, klimt, mucha, o'keeffe, schiele et pas mon père (bien qu'il adore peindre, il est plus doué avec son stylo bic qu'avec un pinceau)
le personnage historique qui me déplaît le plus
thatcher car j'ai déjà dit que j'aimais pas les hommes donc comme ça j'équilibre
ma nourriture et ma boisson préférées
j'adore manger coréen depuis toujours et je pourrais ne boire que des bloody mary (ou de l'eau, c'est très bon l'eau)
mes noms favoris
si seulement on ne m'avait pas volé mon téléphone avec ma fameuse liste de prénoms préférés parmi toutes mes listes... mais pour en donner un je vais dire anouck. je trouve ça classe.
ce que je déteste par-dessus tout
le capitalisme
le don de la nature que je voudrais avoir
là comme ça j'aimerais bien pouvoir voler ça m'éviterait de prendre le métro et tout ce que ça implique
comment j'aimerais mourir
version suicide: me balancer d'une falaise
version tout va bien dans ma vie: dans mon sommeil comme ça c'est tranquille je le vois pas venir, classique, pas de regret, tout est bien qui finit bien
mon état d'esprit actuel
frustrée, énervée, triste, j'aime pas cette journée alors je me suis dit que j'allais enfin répondre à ce questionnaire pour m'occuper l'esprit mais deux de mes caractéristiques premières étant l'indécision et l'incapacité à savoir quelles sont mes choses préférées c'est compliqué donc je suis d'autant plus frustrée!!!! mais j'arrive au bout donc je suis quand même contente...
les fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence
franchement j'en ai aucune idée, je crois que je suis très indulgente en général avec les fautes des autres sauf si c'est des pures merdes
ma devise favorite
le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder il avait bien raison celui là si vous voulez mon avis
voilà fini!! et je tague personne car il faut être motivé pour y répondre mais si quelqu'un a envie go car c'était quand même sympa à faire alors merci @wonderbandersnatch <3
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selidren · 1 month
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Automne 1923 - Champs-les-Sims
5/7
Quand à Noé, elle ne fréquente plus le jeune Kleber dont je vous avais parlé. Je ne sais pas si elle s'est entichée d'un autre jeune homme depuis, mais je ne le pense pas. Elle passe ses journées à travailler, et elle ne quitte jamais le domaine, ou presque. Savez vous qu'elle a convaincue ses soeurs de venir aider à la vendange comme les faisaient autrefois les femmes de la famille. J'y ai moi-même pris part et c'était très stimulant. La chaleur était atroce, mais je pense que cela a fait du bien à tout le monde et renforcé les liens entre les filles. Je suis curieuse de voir quel jeune homme captera son regard, un futur époux peut-être. Cela vous semblera peut-être un peu vain de ma part, mais j'aimerai que ma fille épouse quelqu'un de son propre choix et pas quelqu'un choisi par Madame Eugénie, comme l'aïeule y aspire.
Transcription :
Arsinoé « Tu es venu ! »
Jean « Je n’ai qu’une seule parole Mademoiselle Noé. »
Arsinoé « En fait, je n’étais pas sûr que tu trouverais mon billet… »
Jean « J’ai attendu que Monsieur Barbois regarde ailleurs. Tu sais, je ne suis pas le seul ouvrier qu’il doit surveiller pendant les vendanges. Mais tu as tout de même de la chance que personne n’ai trouvé ton mot avant moi. Sois plus prudente la prochaine fois. Dissimule-le dans ma hotte par exemple. »
Arsinoé « J’avoue que je n’y avais pas pensé… Enfin, le plus important c’est que tu sois là ! »
Jean « Oui, nous allons enfin avoir un peu de temps pour parler. »
Arsinoé « Et plus encore j’espère ! Enfin… hum, je voulais dire en apprendre un peu plus l’un sur l’autre, ce genre de choses. »
Jean « Ouf, tu m’as fichue une de ces frousses. Je ne veux pas… bref… Je fois rester raisonnable devant la fille du patron. »
Arsinoé « En fait, c’est moi la patronne.»
Jean « Pardon ? »
Arsinoé « Oui, enfin, quand j’aurai vingt-et-un an j’en deviendrai la gérante officielle. »
Jean « Mince… Tu ne plaisantes pas ! C’est toi la fille Le Bris ? »
Arsinoé « Tu imaginais que j’étais qui au juste ? Je ne lui ressemble absolument pas à Adelphe pourtant. »
Jean « Le patron… ton oncle a plusieurs filles non ? Je pensais que tu en étais une et que Noé était un diminutif pour Noëlle, et pas Arsinoé. Bah mince alors, je sors le soir avec la fille à marier la plus riche de la région ! »
Arsinoé « N’exagérons rien… Je ne suis pas à marier, et nous ne sommes pas si riches que cela. »
Jean « Si, j’en suis positivement sur. A Seraincourt, tout le monde sait qui sont les Le Bris de la Butte au Chêne. Arsinoé… pardon… Mademoiselle Le Bris… tu… pardon vous êtes sure que vous voulez que nous continuions à nous voir ? »
Arsinoé « Seigneur… Pour commencer, à part mon père, personne ne m’appelle Arsinoé. C’est juste Noé. Ensuite, ne me vouvoie pas en me donnant du Mademoiselle… sauf si c’est pour me taquiner. »
Jean « Bon sang… Si il apprend que j’ai tutoyé et parlé de façon familière à une fille de bonne famille, mon père va me tuer, c’est sur ! »
Arsinoé « Alors oublie tout ça! J’ai envie de passer une bonne soirée avec toi. Après tout, on s’en fiche de qui je suis non ? Je suis une fille banale, tu es un garçon banal. Et nous avons décidé de se voir en cachette, tels les deux amoureux que nous sommes, derrière chez moi avant que quelqu’un ne remarque mon absence. »
Jean « Dire que ce palais est là où tu vis... »
Arsinoé « Allez Jean, on oublie ça aussi ! »
Jean « Bon d’accord… Noé. »
Arsinoé « Mon pauvre, tu as l’air tout chamboulé. Viens donc dans mes bras... »
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swedesinstockholm · 1 month
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28 juillet
je me suis forcée à sortir pour aller au vide-grenier au maybachufer parce que j. m'a demandé quel était mon plan pour la journée et je voulais pas dire rien. même si j'avais pas envie de dépenser de l'argent et que de toute façon j'ai pas de place pour ranger mes habits dans ma petite chambre. la moitié de mes affaires sont toujours dans ma valise et ce qu'il me faut c'est pas des habits mais une planche pour pour m'en servir comme étagère pour poser les habits que j'ai déjà.
je suis allée me promener après et je me sentais vide. j'avais faim, donc je me sentais encore plus vide. je me sentais fantomatique. j'étais un fantôme qui marchait sans but en suivant des gens au hasard, notant des bribes de leurs conversations mais rien de bien intéressant. au bout d'un moment j'ai décidé de juste avancer tout droit. c'était moche, tout était moche et sale et délabré. je me suis rendu compte que depuis que j'étais ici j'avais pas vu de gens chics. des bourges avec des habits bien coupés, des gens en costume, des gens riches. les gens que j'avais l'habitude de croiser au luxembourg quand je sortais de la maison. ici je vois que des pauvres ou alors des jeunes qui sont probablement des enfants de bourges mais qui sont habillés comme des pauvres. mon environnement ici c'est des restaurants turcs avec des photos de plats sur les devantures, des bars à chicha qui sentent la réglisse avec des hommes vautrés dans leurs fauteuils, des squares glauques jonchés de bouteilles en verre, des graffitis, des odeurs de pisse, des graffitis, des objets en tout genre qui trainent sur le trottoir (l'autre jour j'ai vu un tampon ensanglanté) eux aussi recouverts de graffitis (pas le tampon), des sans-abris qui s'excusent d'être là et des détraqués qui rôdent. j'aime bien sentir l'odeur de réglisse quand je passe devant les bars à chicha, même si n. dit que ça sent pas du tout la réglisse. et j'aime bien être constamment surprise par ce que je vais trouver au prochain coin de rue. mais un de ces jours je vais aller me promener dans les rues de mitte chez les bourges avec les magasins élégants, même si j'y rentre pas, juste pour le réconfort. c'est pas dans l'air du temps d'aimer les riches mais j'aime le luxe c'est comme ça je suis indécrottable.
depuis que j'ai eu ma révélation là devant la téléréalité lesbienne dans le bar et que j'ai compris que j'arriverais sans doute jamais à lâcher prise sans aide thérapeutique je me demande ce que je fais ici de nouveau. étant donné qu'un de mes buts en venant à berlin c'était de goûter à la fête, même si j'osais à peine me l'avouer tellement ça me semblait ambitieux. maintenant ça me semble encore plus utopique et je me sens un peu découragée.
29 juillet
je dois changer quelques chose à mes journées. elles sont pas équilibrées. je passe trop de temps à procrastiner. je veux faire trop de choses en même temps et à la fin j'avance dans rien. au rythme où je vais je vais mettre mille ans à finir mon livre. je dois aussi arrêter de sortir sans but. aujourd'hui je suis partie à mitte et prenzlauerberg mais c'était pas un but assez précis. j'ai fait du lèche-vitrine (ça existe encore ce mot?) dans la alte schönhauser strasse et je me suis rappelé de la fois où j'avais essayé une robe marimekko dans un des magasins blancs minimalistes avec des habits aux coupes épurées. je suis passée devant le magasin ace & tate où j'avais essayé des lunettes roses transparentes pour tenter de compenser mes nouveaux cheveux courts que j'aimais pas. près du berliner dom au bord de l'eau où j'avais eu une conversation stressante au téléphone avec maman l'été avant de déménager à paris parce que j'avais toujours pas commencé à chercher des apparts. devant un chantier que j'avais pris en photo en 2016 et qui n'est plus un chantier. devant le café où j'allais tous les soirs en haut de la kastanienallee pour pleurer sur miriam dans mon journal. le tout petit cinéma où j'étais allée voir le doc sur audre lorde. le rosenthaler platz où on avait mangé dans un resto indien avec robert l'américain qui m'avait dit de lire norwegian wood de murakami you know like the beatles song mais non je connaissais pas. le rosenthaler platz où six ans plus tard j'ai failli m'effondrer sur le trottoir en hurlant parce que je me sentais seule et que j'avais besoin qu'on fasse attention à moi. aujourd'hui ça allait. j'avais mangé avant de partir et je suis rentrée avant d'avoir l'impression de disparaitre. je suis passée chez lidl et je me suis fait un énorme plat de linguine aux courgettes-mozza. hier soir j'ai mangé des chips et du chocolat. à chaque fois que je passe à côté de gens qui mangent en terrasse je me demande ce qu'ils font pour gagner de l'argent.
30 juillet
j'ai recommencé à poster mon journal sur tumblr. j'attendais la fin du mois pour m'y remettre. je l'attendais avec impatience, comme s'il me tardait de raconter la suite de l'histoire à mon tout petit lectorat fidèle. comme si c'était vraiment une histoire. ou comme si j'étais une youtubeuse mais sans arrière-pensée et qui s'adresse à personne à part à elle-même. ce soir je suis allée voir une performance dans un studio d'artistes dans une arrière-cour à kottbusser tor. j'avais demandé à n. de m'accompagner et elle voulait absolument que j'aille parler à la performeuse à la fin pour lui dire que moi aussi je faisais de la performance pour essayer de gratter des contacts mais évidemment j'ai pas osé. elle m'a dit remember in berlin you're someone who talks to people! mais j'ai dit it doesn't work like that. je peux pas devenir quelqu'un d'autre en claquant des doigts. elle a dit alcohol helps et j'ai dit but i don't drink et je me suis sentie comme une cause perdue. lara tu fais vraiment tout à l'envers. finalement c'est elle qui est allée lui parler et moi j'ai rien dit parce que j'avais rien à dire.
j'ai moyennement aimé la performance. je savais que j'allais moyennement aimer rien qu'en lisant le texte de présentation qui sonnait creux avec tous ses concepts à la mode qui veulent rien dire là, mais je lui ai laissé le bénéfice du doute. on m'a fait poser mes chaussures et manger un bonbon au gingembre ignoble, n. m'a dit pourquoi tu l'as pas recraché? et ça m'était pas venu à l'esprit. j'ai bien aimé la partie où l'artiste a fait lire un texte intitulé the curse of the undercurrent à une participante et c'était une liste de mots en under- comme underkissed, undertouched, underloved et plein d'autres mais évidemment c'est ceux-là qui m'ont interpellée et puis quelqu'un d'autre a lu le spell of the undercurrent qui était l'antidote et c'était juste une répétition du mot understanding. elle a demandé à plusieurs personnes de l'enregistrer avec leur téléphone et puis de jouer tous les enregistrements en même temps mais pas synchronisés. j'ai trouvé ça cool, mais c'est tout. j'ai rien compris à ce qu'elle voulait dire à la fin. j'ai dit à n. que j'étais plus intéressée par les trucs moins artsy et plus divertissants, avec une histoire plus facilement discernable, de la musique, des trucs concrets.
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aisakalegacy · 2 months
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Hiver 1922, Hylewood, Canada (2/3)
Vous avez dû le lire dans le journal, mais le protectorat britannique vient de prendre fin et l’Egypte a obtenu son indépendance. Le conflit va enfin s’apaiser. Connaissant Constantin, il doit déjà être en train de préparer son voyage. J’ai cru comprendre que la Grande-Bretagne allait y maintenir une présence, mais je n’en connais pas encore les termes.
[Transcription] Layan Bahar : Il est déjà tard… Il faut que je retourne travailler, habibti (ma chérie). Layla Bahar : Déjà ? Mais tu n’es restée qu’une heure… Layan Bahar : Ne te plains pas. Tu as beaucoup de chances de vivre dans cette grande maison. Layan Bahar : Tu as l’école, la nourriture, les beaux vêtements, tout ce que tu veux. Sois reconnaissante. Layla Bahar : Je suis reconnaissante… Layan Bahar : Tu viendras passer la journée avec moi vendredi. Layla Bahar : J’ai école le vendredi… Layan Bahar : Alors tu me rejoindras en sortant de l’école. Layla Bahar : Maman… Quand est-ce qu’on pourra vivre ensemble à nouveau ? Layan Bahar : Quand je serai vieille et cassée, tu t’occuperas de moi ? Layla Bahar : Bien sûr ! Layan Bahar : Bon. Alors en attendant, travaille bien pour devenir une belle dame riche qui pourra me soigner. J’y vais, habibti. Je te vois vendredi.
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orageusealizarine · 10 months
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COMMENT être pleinement vivante ?
Vous m'avez dit laisse tomber les concours et les livres, sors des bibliothèques (s'il te plaît) et de l'amour du dix-neuvième siècle : ne te prostitue pas pour de l'argent (et je sais combien tu en aurais envie, d'épouser n'importe quel.le riche pour son argent seulement), abandonne l'idée du confort et ose, viens, rencontre-moi, allons où tu voudras
Vous m'avez dit d'écrire, de me mettre à nu, de sécher mes larmes et de continuer de rire et de danser, vous m'avez dit des silences qui furent comme des coups de poignard anonymes et des tremblements ; tu m'as dit VIS, JE T'EN PRIE, tu m'as dit à quel point la réalité était un courage et que mon écriture avait toute l'exigence de la violence,
Et vous m'avez dit et répété que mes mots déchiraient, déchiraient ce réel auquel j'en veux tant, étaient plus forts, plus forts - mes mots à moi ; vous m'avez nimbée de je ne sais quelle oracle ; je me suis désertée de ma propre enveloppe : je me suis faite à l'image de n'importe quel miracle.
Vous m'avez dit combien au mot "bonheur" je répondais "réalité", comme si, comme si cette réalité était la condition du bonheur (puisqu'il n'y a pas de bonheur imaginé - il n'y en a qu'un seul, grandiose, qui se vit à l'instant même), oui, tu m'as dit à quel point j'étais intransigeante et je tapais des pieds, à quel point mon propre ego me faisant mal : tu m'as dit sors de ta prison - est-ce que j'étais folle, enfermée ou si j'étais libre de mes mouvements, qu'est-ce qui m'empêchait de courir, partir ?
Vous m'avez dit ose, vis, sois
Pleinement -
Et je suis
Plus grande que mes malheurs - une esthète, une œuvre d'art, délicate et généreuse - mieux : rayonnante
Et je serai - chaleureuse, altruiste, pleine de santé, tonique, je plongerai mes mains dans la terre - amicale - mes yeux ont la beauté des étoiles - magnifique la vie que je voudrais répandre sur tous ceux qui m'entourent
Tremblante, ma voix amoureuse, dans les parcs et les magasins, tant et trop de délicatesse - la feuille à peine détachée de l'arbre, légère, légère, tourbillonnante
Je voudrais m'offrir, je voudrais m'offrir - à toutes les belles âmes qui meurent de froid, donner toute ma beauté et la richesse de mon être - ça serait vivre !
Être encore autre chose qu'un soleil, et plus réelle qu'un astre - ma chaleur et mes enthousiasmes à donner - tout ce qui brille dans mon cœur, tout ce qui déborde, ce que mes bras ne peuvent contenir et encore toute mon âme
Je voudrais tout offrir, tout, tout donner, répandre des morceaux de moi, le meilleur de ma chair, le plus clair de mes mots, le plus pur de mes baisers et ma tendresse et ma sensibilité - j'ai tout et tant à embrasser et la largesse de mon cœur à contenter, à déverser, à ravir,
Mes yeux à ras bords de toutes les merveilles de la terre - que j'aime et que j'aime et que j'aime
Et vous - que je voudrais tant aimer
Pour oser, pour vivre, pour être - dans la clarté du jour, la majesté des soirs, toute la beauté qui m'étreint - pour vous dire mon ivresse d'être en vie, le bonheur qui est encore autre chose et qui n'a rien d'un mystère
Buvez-moi comme un alcool - si seulement, si seulement mon extase pulsante, vibrante, vivante vous prenait à vous aussi - vous parvenait de n'importe où et d'ailleurs...
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poetesse-verte · 5 months
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Errances
J'aimerais siroter un café sur une terrasse parisienne, dessiner des cœurs cabossés à volonté. J'ai envie de revisiter la tour Eiffel, de griffer mes genoux sur le sol et d'en rire, de me moquer de ma légendaire maladresse ! Je veux que mon verre de vin soit mon verre de fin, voir les lumières se refléter sur la Seine, râler sur le prix de l'addition puis partir sans payer. Avoir les joues douloureuses, lever les bras si haut que je pourrais presque toucher le soleil, ou la lune, ou un nuage noir rempli d'orage. Être à l'arrière d'une Vespa et fuir les vagues qui s'écrasent le long des rochers. Fumer, puis regretter, accumuler des objets inutiles, les vendre, devenir riche. Prendre le train avec une impatience palpitante. Partager un dessert, déguster des macarons géants du 4e arrondissement, chasser mes vieux démons, courir autour d'un feu de joie, laisser mon cœur sur le quai de la gare, revenir le chercher. Danser. Stop. Encore danser ! Voir le monde flou, retirer un caillou de ma botte. Attendre au feu rouge avec mille pensées qui fourmillent. Soupirer, confectionner une robe avec le rideau d'un hôtel. Débattre de la couleur de mes yeux ; sont-ils verts, sont-ils bleus, vert-bleu, bleu-vert... Toujours croire que je peux toucher le soleil, ou la lune, ou ce nuage... Mettre mon réveil, l'entendre sonner, et ne pas me lever à l'heure... Oh et puis tant pis ! Vivre.
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Je veux vivre ma vie sans stress ni soucis.. je ne veux pas être célèbre ou riche... je veux juste être heureux ❤️
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laurierthefox · 9 months
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J'espère que vous avez toustes passé de bonnes fêtes de fin d'année, ou à défaut, pas trop épuisantes. Les miennes ont été sereines et joyeuses avec ma famille choisie, même si je suis complétement épuisé maintenant
Je profite de cette note pour faire un petit point annuel sur mon travail ! BILAN 2023
Cette année à été très riche en terme de rencontre, marchés, dédicaces, interventions, commandes ! Un atelier BD et une conférence dans une université à Amiens, le début de mes streams sur Twitch, des interventions auprès de lycéen'nes à Nantes, des dédicaces en Belgique, des marchés de créateurices à Nantes et au Havre, un salon du livre queer à Metz, Quai des Bulles à St Malo...etc
Cela fait 11 ans que je suis à mon compte et 2023 à été la première année ou j'ai pu enfin me dégager un vrai salaire ! Et c'est aussi en grande partie grâce à mes mécènes sur Patreon qui me soutienne depuis un an déjà. Ce soutien me permet de mieux choisir mes commandes ou interventions, de refuser du travail gratuit sous prétexte de visibilité et de pouvoir -parfois- prendre mes week end pour me reposer.
Dans les points moins joyeux, le stress et la fatigue m'ont amené à une crise violente de ma maladie de Crohn pendant les mois de Mars-Avril-Mai 2023 et j'ai dû changer de traitement, l'ancien ne faisant plus effet. Le nouveau est plus efficace mais à aussi plus d'effets secondaires du fait que c'est un immuno-modulateur. Il défonce mes défenses immunitaires, ce qui fait que le moindre rhume risque de me clouer au lit pour 15 jours.
Je vous parle de tout ça, non pour faire pleurer dans les chaumières mais juste pour vous tenir au courant.
RECONNAITRANS
Mon but en ouvrant une page Patreon, en plus de pouvoir payer mes factures pendant les mois ou je n'avais pas de commandes/BD/marchés..etc, était de pouvoir finir les derniers témoignages de ReconnaiTrans qui patientent dans ma boite mail depuis des mois et mettre un point final à ce projet (en tout cas pour l'instant). Mais comme cette année à été, de façon très positive, assez intense en terme de travail (mais aussi des soucis de santé) je n'ai pas réussi à atteindre cet objectif.
Je ne vais pas abandonner pour autant, ce projet est très important pour moi et surtout je ne veux pas laisser tomber les témoignant'es qui patientent pour que je fasse leur récits. Je vais donc essayer cette année de mieux maitriser mon emplois du temps pour pouvoir mener cela à bien et poster au moins tous les 2 mois un nouveau témoignage.
NOUVEAUX PROJETS ET RÉSOLUTION
Cette année j'aimerais beaucoup réussir à faire quelques unes des notes de blog / webcomics qui remplissent mes tiroirs. Niveau sujet il y à pèle-mêle : tranche de vie, sujets féministes, sujets LGBTIA+, sujets peronnels/autobio, fiction medfan (médieval fantastique).
Mon agente est toujours en train de démarcher plusieurs de mes projets BD et jeunesse mais pour l'instant cela n'a pas l'air d'intéresser les éditeurs. Je me dis que si ça continue je vais peut être devoir publier uniquement en ligne gratuitement, quitte à faire un Ulule si cela plait.
On viens enfin de nous installer la fibre, donc je vais pouvoir refaire des lives twitch de temps en temps. Mon objectif est surtout de streamer des dessins ou illus que j'aurais en cours, mais pour cela il faut que je me dégotte un meilleur micro que celui de mon casque et que je teste mon set up actuel. Donc si tout va bien (et selon mes finances pour le micro) peut être que je pourrais streamer correctement vers Mars/Avril.
CONCLUSION
Je sais qu'il ne faut pas que je me fixe des objectifs trop haut, qui du point de vue de ma santé et de ma vie quotidienne (gestion de la maison, ménage, animaux, administratifs, rendez vous médicaux, gestion de mon shop, dédicaces, commandes, relations amicales et amoureuses...) serait juste impossible à réaliser. Mais je vais faire du mieux que je peux ^^
Je vous souhaite une belle année 2024, pleine de promesses, douceur, bienveillance mais aussi de manifs, militantisme et d'humanité.
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aurianneor · 1 year
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Limiter la richesse individuelle
Les frères Gracchus, Gaius et Tibérius, étaient tribuns, l'équivalent de nos députés et ils ont voulu s'attaquer aux problèmes de l'époque. Les riches étaient peu nombreux mais possédaient presque toutes les terres. Comme ils produisaient toutes les céréales, ils se mettaient d'accord entre eux pour fixer un prix élevé et faisaient venir des étrangers pour travailler à des salaires très bas que les citoyens romains n'acceptaient pas. En 133 avant J-C, Rome était plongée dans une pauvreté généralisée qui tourmentait Rome. Les frères Gracchus ont fait voter une loi qui s'appelait propriété et elle affirmait que la propriété avait une limite en quantité au-delà de laquelle elle était toxique pour la société et une limite d'usage selon laquelle ce n'est pas parce que c'est à moi que je peux en faire ce que je veux. Les frères Gracchus ont été saisis par les riches et leurs hommes de main et jetés dans le Tribe. S'en est suivi 100 ans de guerre civile entre la plèbe et les riches avant que l'empereur Auguste n'instaure les lois des frères Gracchus profitant de l'émoi causé par la mort de Jules César. Quatre cent ans de paix et de prospérité ont suivi. 
En 1930, en France, des juges ont crée le service public de l'eau, nationalisant les sources. Cela a montré que la propriété privée n'est pas sacrée. Ils ont exproprié les propriétaires, et c'était normal. Léon Blum a été harcelé et a quitté sa fonction. 
La victoire du Labour en 1945 au Royaume-Uni a permis d'exproprier les propriétaires de mines. La propriété n'est pas absolue. Les propriétaires sont devenus moins riches et cela les a fait passer en-dessous de la limite de toxicité.
Le 24 novembre 2013, en Suisse, est votée une loi limitant les salaires à 250 fois le salaire minimum. Cela veut dire que pour que les salaires les plus hauts augmentent, il faut augmenter les salaires les plus bas. A titre de comparaison, en France en 2019, les patrons du CAQ40 gagnaient 1128 fois le salaire de leurs employés les plus modestes. Les riches sont très heureux en Suisse.
En 2022, en Ukraine, profitant de l'opportunité de pouvoirs exceptionnels liés à la guerre, le président Zelensky a nationalisé les banques, les chaînes de télévision et les industries possédées par les oligarques. Ceux-ci étaient tellement riches qu'ils décidaient de tout dans le pays, les caisses ukrainiennes étant vides.
Quand Elon Musk intervient dans la guerre en Ukraine, c'est trop. Quand Mark Zuckerberg favorise l'élection de Trump pour s'enrichir, c'est trop. Quand une personne est suffisamment riche pour avoir un propre programme spatial ou a plus d'argent qu'un pays, c'est trop. Quand tes décisions peuvent ruiner la vie de millions de gens alors que tu n'as pas été élu, c'est trop. Quand les 1% les plus riches de l'humanité émettent 100 fois plus de gaz à effet de serre que ceux qui émettent les 99% autres, c'est trop. 
Ces gens méritent d'être riches mais pas à ce point. Ils n'ont jamais rendu à la société ce que la société leur avait donné en premier lieu. La société a formé leurs employés avec des écoles et des universités; ceux-ci sont en bonne santé grâce aux hôpitaux, il y a des routes, des chemins de fer et des aéroports pour transporter leurs biens. Il y a une police et une armée pour les protéger et une justice pour faire valoir leurs droits. Il y a des ressources naturelles pour alimenter leurs industries, etc.
La Columbia University estime que 100 millions de dollars est une limite. C'est largement suffisant pour la personne et pas assez pour être toxique. (Putting a Limit On Wealth - Stephen H. Unger: http://www1.cs.columbia.edu/~unger/articles/wealthLimit.html)
What, if Anything, is Wrong with Extreme wealth: https://www.tandfonline.com/doi/epdf/10.1080/19452829.2019.1633734?needAccess=true&role=button
Having too Much - Ingrid Robeyns: https://www.openbookpublishers.com/books/10.11647/obp.0338
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Les autorités illégitimes: https://www.aurianneor.org/les-autorites-illegitimes/
“The world has enough for everyone’s need, but not enough for everyone’s greed”: https://www.aurianneor.org/the-world-has-enough-for-everyones-need-but-not/
You can’t get enough… Enough!: https://www.aurianneor.org/you-cant-get-enough-enough-the-same-companies/
Qui se cache derrière le drapeau?: https://www.aurianneor.org/qui-se-cache-derriere-le-drapeau/
Riche: https://www.aurianneor.org/riche-cetait-une-belle-journee-et-le-paysage/
Liberté et vivre ensemble: https://www.aurianneor.org/liberte-et-vivre-ensemble/
Tomorrow – Chap 4: La démocratie: https://www.aurianneor.org/tomorrow-chap-4-la-democratie-the-panama/
Solidarité Hélvétique: https://www.aurianneor.org/solidarite-helvetique-democratie-semi-directe/
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perduedansmatete · 9 months
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ok journée chez des inconnus riches dans la campagne alsacienne j'ai adoré il est deux heures je suis bourrée depuis treize heures on a rigolé on m'a offert un cadeau alors que j'étais pas prévue et du coup le gars de ma sœur m'avait laissé un cadeau en plus au cas où, je l'aime, mon personnage préféré c'était le mari de sa grand-mère avec qui elle est toujours mariée car ça ne se fait pas de divorcer mais elle a un mec depuis que le gars de ma sœur est né presque et son mari est peut-être plutôt une mari(e) les gens ont pas l'air de vouloir le comprendre je pense mais moi je l'aime il était trop gentil et il nous a raccompagné jusqu'à strasbourg ce soir où on a retrouvé des potes dont romain qui a dit à elyas qu'il était pas dans la même ligue que moi en mode il a pas confiance en lui mais moi je le veux je l'ai fait rire j'ai tenu son bras après demain on fait un père noël pas surprise tous les deux dans un père noël surprise et ce soir aussi on se voit j'ai trop hâte je veux mon bisou c'est tout ce que je veux car j'ai compris qu'il était trop timide mais il est tellement mignon et genre mature je l'aime c'est atroce
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e642 · 9 months
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Mdr j'étais pas contre faire le nouvel an avec lui, j'voulais juste un truc calme, bon repas, faire l'amour, dodo. Parce qu'en vrai j'aime pas ce jour. Pas pour rien que je l'ai passé seule l'année dernière et que c'était génial. À la place son père m'a proposé de venir skier. Le truc c'est que je suis pauvre et je ne sais pas skier. Puis, ça veut dire aussi que je vais pas baiser et avoir froid, et être seule et potentiellement me briser la colonne vu la chance de 2023. Et en fait ça m'énerve parce que c'est un pb de riche. Enfin riche. J'ai maintenant 19€ jusqu'au 10. Je sais tjrs pas comment faire. Mais ce que je veux dire c'est que je sais que j'ai de la chance de cette proposition mais en fait ça me crée beaucoup d'angoisse, genre ça me rend un peu malade en vrai.
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xvi-1 · 1 year
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The Gentleman from the bar - part 2
#theoriginals #klausmikaelsonxreader
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Tu étais donc chez les Mikaelson pour passer la nuit. Klaus était en train de te faire visiter la demeure. Sûrement l'un des plus beau bâtiment de la Nouvelle Orléans à ton avis. Tu trouvais chaque pièce plus magnifique que la précédente.
Klaus t'emmena ensuite dans ta chambre pour la nuit. Elle était ravissante, toute ornée d'or, pour une petite étudiante tu étais époustouflée.
"- Si as le souffle coupé pour cette chambre tu devrais venir voir mon bureau, se moqua t-il gentiment.
- Oh non je ne vais pas déranger plus que nécessaire, souris-tu
- Mais tu ne me dérange absolument pas luv, repondit Klaus d'un air sérieux.
- Tu habite seul ici ?
- Non mes frères et ma sœur reviennent demain. Tu les rencontreras peut être avant de nous quitter."
Tu hocha doucement la tête. Tu avait à la fois hâte de rencontrer sa famille et en même temps tu étais stressée, après tout ils étaient riches, élégants et tu n'étais qu'une étudiante qui boss comme serveuse et qu'il c'est incrustée chez eux.
Comme si Klaus pouvait entendre tes inquiétude il posa doucement une main dans ton dos et caressa légèrement avec son pouce.
"- Alors tu veux le voir ce bureau, ou pas ? Tu sais il sert de bibliothèque aussi, tes yeux s'illuminèrent.
- Avec joie !"
Klaus rit légèrement et te dirigea vers la pièce somptueuse. Tu en avais le souffle coupé, tous ces livres anciens magnifiques. Ton regard se posa sur le bureau au centre de la salle.
Tu t'approcha de l'imposant bureau en bois. Passa délicatement le bout de tes doigts sur ses rénures. Tu sentis Klaus dans ton dos. Il était si près que tu pouvais sentir la chaleur qui émanait de son corps irriguer me tien.
Son souffle s'avança vers ton oreille et il chuchota, "Je peut te sentir frissonner"
Tu ferma les yeux quand ses lèvres se posèrent dans ton cou. Tu pouvais sentir le suçon qu'il creusait dans ta peau.
Tu te retourna vivement vers lui et il s'avança encore plus dans ta direction. Tu te retrouva collée au bureau, les mains sur le bois pour te maintenir.
"- Avoue que tu en meurs d'envie luv. Dit que tu me veux...
- Klaus, je te veux. Je te veux en moi, gemis-tu."
Il saisit brutalement tes lèvres et t'embrassa. A bout de souffle vous vous séparairent. Tu le fixa quelques instants et le réembrassa enfin. Il posa sa main sur ta nuque et approfondit le baiser, il passa sa langue sur ta lèvre inférieure. Tu ouvris un peu la bouche pour le laisser entrer dans ce qu'il prit joyeusement, il enroula ses bras autour de ta taille et t'attira incroyablement près de lui. Il a ensuite déplacé sa main du bas de votre taille pour serrer vos fesses, vous avez gémi dans sa bouche à ses actions. Il s'écarta légèrement de ta bouche, « saute », te ​​dit-il et tu suivis ses ordres.
" Klaus et si quelqu'un entre ?"
Tu n'obtiens pas de réponse, à la place sa bouche est dos à la tienne et il te tient contre lui avec tes jambes autour de sa taille. Il vous a ensuite assis sur le bureau et s'est complètement éloigné de vous, il a apprécié à quel point votre visage était rouge et à quel point vous étiez à bout de souffle juste après qu'il vous ait embrassé. Il sourit en déboutonnant ton pantalon et le glissa lentement le long de tes jambes.
"- Klaus c'est ma première fois.
- Je vais prendre soin de toi luv."
Il glissa un doigt sur tes plis mouillés.
"- Tu est tellement mouillée pour moi luv.
- Mmmh... Continue s'il te plaît.
- C'est ce que je pensais, te sourit-il à nouveau avant de tomber à genoux pour te dévorer."
Klaus avait sa main sur le bas de votre ventre pour vous maintenir en place alors qu'il léchait un long stipe jusqu'à vos plis. Il a sucé votre clitoris pendant une seconde, puis a retiré et léché ses doigts avant de frotter des cercles sur votre clitoris avant de les frotter et de les insérer à l'intérieur et à l'extérieur de sa bouche sur vous. Vous avez jeté votre tête en arrière et mis votre main sur votre bouche pour réduire vos bruits. Tu cambrais le dos et t'agrippais aux cheveux de Klaus. Il le faisait si bien et c'était si nouveau, ça t'excitait honnêtement plus que tu ne l'as jamais été auparavant quand tu es toute seule. La combinaison de ses doigts entrant et sortant de vous à un rythme si rapide et sa langue travaillant si bien votre clitoris, vous avez joui.
"Je n'ai pas l'intention d'arrêter l'amour."
Vous avez souri, "Je n'en demande pas moin."
Klaus avait débouclé son pantalon qui commençait sérieusement à le serrer et en sorti sa verge. Il voulait presque se moquer de toi, ton visage vira au pourpre et il pouvait sentir l'inquiétude dans tes yeux ; c'est vrai qu'il était plutôt gros rt assez long. Quoi qu'il en soit, Klaus s'est caressé plusieurs fois et tu as écarté tes jambes autant que possible et enroulé tes cuisses autour de sa taille, Klaus a ensuite poussé à l'intérieur. Tu rejetas la tête en arrière à cette sensation et Klaus t'inspira, tu n'avais jamais ressenti ça avant et tu ne voulais pas que ça s'arrête. Klaus s'était agrippé à tes hanches assez brutalement et t'avait baisé impitoyablement, tu étais au point d'avoir les larmes aux yeux à cause du plaisir. Klaus avait mis sa main entre vous deux et frotté votre clitoris, vous vous tortilliez encore plus maintenant.
"Tu corp est si sensible a mon touché luv."
Vous avez juste hoché la tête à son commentaire et agrippé plus fort ses bras alors que vous vous rapprochiez de plus en plus de l'éjaculation. Klaus est venu et il vous a rapidement amené à votre orgasme peu de temps après, vous avez de nouveau cambré le dos et vous vous êtes accroché à lui pour ne pas basculer du bureau.
"- Oh luv ce qui est sur c'est que tu es faite pour le sexe, dit-il avec un sourire en coin."
Il posa son front contre le tien. Tu étais en sueur, souriante et lez cheveux en bataille quand tu pris la joue de Klaus dans tes mains et déposa un petit baisé sur ses lèvres.
"- C'était fantastique."
Klaus sourit, satisfait et se retira de toi. Vous vous rhabillèrent et allèrent vous coucher, épuisés. Bientôt évidemment tu dormis avec Klaus dans sa chambre.
Here is the second part of the story on Klaus Mikaelson. Would you like a part 3 ?
Tell me what you have thinking about this chapter pls.
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aisakalegacy · 1 month
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Printemps 1923, Hylewood, Canada (2/7)
Les filles sont plus grandes, j’ai donc un peu de temps pour moi cette année. Nous avons entrepris des travaux dans la maison, arraché les tapisseries poussiéreuses et abimées, changé les rideaux et les tapis, aménagé une chambre au deuxième étage qui soit vraiment digne de Lulu. Je m’inquiète de ces dépenses. Jules ne semble pas se rendre compte de notre situation économique de plus en plus tendue, et il continue de vivre au-dessus de nos moyens. Je dois lui faire confiance, il a toujours su ce qu’il faisait.
Cela fait plusieurs années que nous n’avons plus de cheval à la maison et que nous avons transformé l’ancienne écurie en garage. Entre nous, vu la taille de l’île sur laquelle nous vivons, avoir une automobile est superflu… Ces changements ont eu le mérite de libérer de la place dans notre ancienne grange, où on stockait le fourrage tantôt, et les filles ont y élu domicile en y établissant un club dans le secret duquel elles emportent leur goûter. Layla a neuf ans, Lola en a six, elles sont inséparables.
[Transcription] Dolorès Le Bris : Capitaine, c’est une catastrophe ! Layla Bahar : Que se passe-t-il, moussaillon ? Dolorès Le Bris : Si on ne trouve pas de vivres bientôt, nous n’aurons pas assez pour survivre à la traversée. Dolorès Le Bris : Nous allons mourir de faim et de soif ! Layla Bahar : Arrêtons-nous sur cette île, nous trouverons peut-être de la nourriture. Mais que vois-je ? Un trésor brille au fond de cette crique ! Il a dû être laissé là par quelque pirate ! Layla Bahar : Grâce à tout cet argent, nous sommes riches et pouvons nous acheter un immense manoir. Je serais la rouge, et tu serais le vert. Dolorès Le Bris : Mais je ne veux pas le vert, c’est un garçon. En plus, ta robe est verte. C’est toi qui devrait l’avoir. Maria Mayordomo : ¡Niñas, a la mesa! (Les filles, à table !) Layla Bahar : Viens, on rejouera après manger. Dolorès Le Bris : D’accord, mais cette fois-ci, ce sera moi la capitaine.
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ecologieeteconomie · 11 months
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L'architecture tout un art !
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Du 13 au 15 octobre ont lieu les journées de l’architecture. Elles visent à mettre en lumière l’importance de l’architecture dans la vie de tous les jours, mais aussi comme témoin du passé et tremplin vers le futur. 
L’architecture entre art et réalité 
J’ai entendu à la radio un truc qui m’a fait tiquer, dit Gaétan. Le journaliste a déclaré que le gouvernement veut faire naître des vocations au cours des journées de l’architecture. 
Qu’est-ce que ça a de choquant ? demande Inès. 
Moi, « une journée de » est l’occasion de mettre en lumière les enjeux et spécificités d’un domaine, d’une pathologie, d’une pratique culturelle et sportive. C’est aussi mon point de vue dit Inès, mais je ne vois pas bien en quoi cela gêne la naissance d’un intérêt pour un zp sais, vocation est un terme positif qui renvoie cette à une notion de travail, mais en corrélation avec le plaisir et le sentiment d’être à sa place. Je trouve ça plutôt heureux, moi. 
C’est vrai que je ne l’avais pas vu sous cet angle. Je pense que je suis trop dans l’idéalisation et que le mot architecture renvoie systématiquement chez moi à l’amour des vieilles pierres. 
L’architecture, une séparation illusoire
- Architecture et amour des vieilles pierres sont évidemment intimement liés et nombre de nos contemporains séparent l’architecture artistique ou culturelle liée à des constructions anciennes et l’architecture moderne dont le seul but serait de construire des pavillons et des supermarchés. La réalité est comme souvent bien plus complexe que cela. Le métier d’architecte est toujours aussi riche et peut-être même encore plus. 
- Que veux-tu dire par là, Inès ? la questionne Gaëtan. 
- L’architecture moderne a pour mission de construire des bâtiments publics, des maisons individuelles, des immeubles et des centres commerciaux, entre autres points. On lui demande en outre de prendre en considération des contraintes environnementales et de s’adapter à de nouveaux matériaux de construction. L’architecte peut être amené à concevoir un édifice qui prend corps au sein d’un édifice plus ancien qui crée un pont entre deux édifices existants.  Si je te comprends bien, l’architecture est à la fois un métier et un art. Elle doit s’adapter sans cesse à de nouvelles normes et contraintes et en même temps traduire des réalités en langage universel. 
- Tu essaies d’expliquer des choses simples avec un langage alambiqué. Je rêve, s’exclame Inès. 
L’architecture, un témoignage du passé
- Excuse-moi, j’ai dit les choses telles qu’elles me venaient.
- Ouais, mais fait le tri la prochaine fois. 
- Ce que j’ai voulu dire, c’est que l’architecture est comme un pont historique qui s’ancre dans le passé pour nous ouvrir la porte de l’avenir. 
- C’est joliment dit et c’est une partie de la vérité. L’architecture est une discipline complexe qui a beaucoup d'impacts sur notre vie quotidienne. Elle structure nos villes et nos maisons, traduit l’identité culturelle d’un pays ou d’une région (Longère en Normandie ou maison à colombages en Alsace). Elle est aussi utilisée pour fluidifier les déplacements et améliorer le confort. Certaines initiatives s’en servent pour améliorer les liens sociaux. 
- Tout ça méritait bien des journées, s’enthousiasme Gaëtan. 
Et toi pour ces journées, tu vises plutôt l’architecture historique ou la version plus moderne ? Réponse souhaitée en commentaire. Merci. 
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selidren · 1 year
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Printemps 1906 - Champs-les-Sims
14/19
A dire vrai, la bonne humeur de Grand-Mère est antérieure à notre retour. Alors que nous étions en Egypte, elle s'est un jour agacé de s'ennuyer à l'hôtel. Elle s'est alors rendue dans un souk non loin de là où vont parfois s'encanailler les voyageurs européens en mal de fantaisies orientales. Elle y a payé une consultation chez une voyante, même si je ne sais dans quel but. Sans doute cela a-t-il à voir avec l'avenir matrimoniale de Cousine Blandine ou des enfants de votre soeur Jeanne.
Transcription :
Rhabba : Bien le bonjour bonne Madame, qu'est-ce que Rhabba peut faire pour vous ?
Eugénie : Vous parlez bien le français pour une égyptienne.
Rhabba : Mon père est algérien, je le parle depuis ma plus tendre enfance.
Eugénie : Fort bien. Je m'adresse donc à la bonne personne.
Rhabba : Il n'y a pas mieux que Rhabba dans toute la ville du Caire Madame. Que désirez vous ? Je lis les cartes de tarot et dans les boules de cristal. Je pratique également l'oniromancie et l'astrologie. Sous peu, votre avenir n'aura plus de secrets pour vous.
Eugénie : Je suis une vieille femme, mon avenir ne m'intéresse pas.
Rhabba : Celui de vos proches alors. Ne désirez-vous pas savoir si vos petites-filles feront de bons mariages ?
Eugénie : Vous pourriez me dire cela ?
Rhabba : Bien entendu. Je pourrai même vous révéler combien d'enfants elles auront et combien d'entre eux seront des fils.
Eugénie : Et bien, tout cela est très tentant, mais je ne suis pas venue pour cela.
Rhabba : Intéressant. La plupart de mes clients veulent connaître leur avenir.
Eugénie : Je ne suis pas n'importe quelle cliente. Je vous paierai bien si vous pouvez entrer en contact avec les morts. Il y a une chose dont je veux avoir le coeur net.
Rhabba : Bien sûr Madame. Rhabba peut invoquer l'esprit des morts, et cela dans le moindre danger. A qui voulez-vous parler ? Votre père ? Votre mère peut-être ?
Eugénie : Mon mari en réalité. Il nous a quitté il y a fort longtemps.
Rhabba : Bien évidemment. Il vous faudra juste répondre à quelques questions si voulez que je vous convoque votre époux.
Eugénie : Fort bien. Je vous écoute.
Rhabba : Votre mari était-il un homme ambitieux ?
Eugénie : Pour sûr, il ne souhaitait rien tant que devenir un homme riche et important.
Rhabba : Vous avez fait un mariage d'amour n'est-ce pas ?
Eugénie : Oh ! Comment le savez vous?
Rhabba : Etait-il un homme aux traits avenants et aux cheveux clairs ?
Eugénie : Exact ! Vous êtes douée Madame !
Rhabba : A-t-il connu une fin tragique ?
Eugénie : D'une certaine façon c'est le cas.
Rhabba : Je crois que j'ai ce qu'il me faut. Pour invoquer l'esprit de votre mari, je pense qu'il est judicieux de commencer par la boule de cristal. Elle fournit une résonnance idéale pour les brumes spirituelles produites par les manes des défunts. De plus, chacun sait que le verre est un matériau sacré, à même de convoquer les âmes du Paradis.
Eugénie : Et celles de l'Enfer ?
Rhabba : Bien entendu. Il me faut à présent commencer mes incantations.
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