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#lesidoles
vincythomas · 6 years
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Les idoles #thetare #stage #christophehonore #paris #lesidoles (à Odéon - Théâtre de l'Europe) https://www.instagram.com/p/BtWAIkUgVSf/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=130er503zvqm3
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malloquen · 6 years
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Ce soir c’est @marinafois la boss à #burgerquiz sur #tmc ! Également à l’affiche du @theatreodeon dans le rôle de Hervé Guibert avec #lesidoles de #christophehonore qui rend hommage à #cyrilcollard #sergedaney #jacquesdemy #herveguibert #jeanluclagarce #bernardmariekoltes https://www.instagram.com/p/Bss7NiXAN6k/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=19gghkklng6m3
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misslynch · 5 years
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Écriture de soi précise, ventre noué à la lecture, beauté d'un texte qui tutoie la mort à chaque page. Lu il y a quelques mois, A l'ami qui ne m'a pas sauvé la vie, d'Hervé Guibert, est remarquable. Passons à la suite : Le protocole compassionnel 📚 Et merci Christophe Honoré ! #herveguibert #alamiquinemapassauvelavie #leprocolecompassionnel #bookstagram #bookstagrammer #bookworm #bookaddict #booknerd #book #livre #bookish #lireenfolio #frenchliterature #folio_livres #livre #instalivre #lecture #lire #livres #livrestagram #instalivre #book #bookstagram #christophehonore #lesidoles (à Paris, France) https://www.instagram.com/p/BzI6S0Wibo1/?igshid=46gtyog0fe4q
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theildam-l · 8 years
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ATHANASÉ – J'attends la fin définitive du monde, l'extinction de la race humaine comme une délivrance. À cause des radiations de ces centrales nucléaires abandonnées, mes jambes, elles ne peuvent plus me porter, mes os se rouillent, mauvaises vis, ça fait si mal. Les poussières, les remords, les pertes, pénètrent mes narines, s'infiltrent dans mon cœur, je suis rongé, mes organes sont des gruyères. (il se lève, fait quelques pas, puis tombe au sol, violemment) Je ne veux pas passer ma vie à ramper. Si je suis infirme, s'en est fini de moi. Je passerai la fin de mes jours à vagabonder sur un fauteuil roulant aux allures de loques industrielles, usant mes mains sur les pneus coupants comme des lames de rasoir, jusqu'à ce que la douleur anéantisse mon esprit et ma raison, que la peur de me faire éventrer par l'armée développe mon instinct animal de survie, qu'il ne reste que la rage de se maintenir en vie, par pure procuration, parce qu'il le faut, c'est la seule chose qu'il reste dans les systèmes nerveux, et cette force nerveuse dénuée d'intelligence me rendra faible, putride, et je moisirai sur ce fauteuil, incapable de me défendre, paralysé par la peur, la faim, la soif, la douleur. Il faut que je me relève. Je ne veux pas finir sur un fauteuil. On les appelles les fantômes sur déambulateur, les invalides. Ils errent dans les rues vides, à peine éclairées par un lampadaire agonisant sa dernière étincelle, dans le noir, si maigre qu'ils en deviennent transparents. Quand ils meurent, leurs machines poussent un cri de rouille qui se faufile dans les fissures des murs et les fenêtres brisées des bâtiments en ruine. Ils sont toujours assis dans leur fauteuil et descendent les rues de la même manière que lorsqu'ils étaient vivants. On est mort, une fois assis dans un fauteuil. Il n'existe plus d'hôpitaux. Tous les médecins sont morts, ou possédés par une forme maléfique de complexe du sauveur parce qu'autour d'eux, il n'y a que des cadavres. Devant ces hommes en fauteuil, même le plus sadique des tueurs en série, celui aux pulsions de haine ultra violentes, abaisse son arme et tire plutôt au creux de sa carotide, que dans leur cœur. Ils ont ce regard de ceux qui contemplent les immenses surfaces vides d'un monde dénué de sens. Ce regard qui saisit l'absurde sans le comprendre. On ne peut pas tuer ce regard. Il détient une clé de l'espèce humaine. Celle d'attendre sans espoir et rempli de vacuité, la fin d'un monde vide et monstrueux, dans le froid d'un dossier de chaise en métal et la souffrance d'un corps sectionné.
(parce que j’aime bien faire des métaphores un peu nulles du système scolaire)
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