#maison saint cyr

[recherchestetique]

Icon of Art Noveau. Balcony in Maison Saint Cyr, Brussels , Belgium, by Gustave Strauven, 1903.

[wgm-beautiful-world]

Maison Saint - Cyr in Brussels, BELGIUM

[derkabobhall]

Édifices. Audrey Hepburn. (Bruxelles 2023)

[castelnou]

maison saint-cyr (1901/03)

architecture by gustave strauven

brussels (belgium)

[fashionbooksmilano]

Christian Dior pour Claude Saint-Cyr

Dessins de chapeaux

Gourguff Gradenigo, Montreuil 2022, 192 pages, 22x29cm, ISBN 978-2353403752

euro 60,00

email if you want to buy booksinprogressmilano@yahoo.it

En 1937 Claude Saint-Cyr qui a récemment inauguré sa maison rencontre le jeune Christian Dior qui n'est pas encore le couturier mondialement connu. A la suite de cette rencontre, le jeune prodige propose des dessins à Claude Saint-Cyr qui en sélectionne une centaine et s'en inspire pour ses collections. Illustré des dessins du couturier et des photos des chapeaux qu'ils ont inspiré à la modiste, ce livre célèbre cette rencontre entre Christian Dior et celle dont les réalisations tiendront le haut du pavé parisien jusqu'à la moitié des années 1960.

21/12/23

[mote-historie]

Claude Saint-Cyr (Millinery) 1951 Fashion Photography Capeline Hat.

Claude Saint-Cyr (1910–2002) was a milliner French. Claude Saint-Cyr is the pseudonym of Simone Naudet. He did his apprenticeship in the most important workshops of the 20s and 30s. He comes out of it, knowing all the secrets of high millinery. In '37, he opened a maison in Paris and his creations had, for their elegance and their rigor, an immediate success. In 1949, his Oblique line, a game of asymmetrical draperies invented by chance, caused a sensation. He became the official milliner of Elizabeth of England, collaborating with Norman Hartnell, the Queen's tailor. It is she who solves the problem of the head of the crown too wide on the day of the coronation. When, in the 60s, fashion repudiated hats, he retired to his own small boutique. He closed in 1972, but, for a time, continued to work as a consultant for high fashion. (x)

[unarbreenflandres]

Des tombes de cinq générations d’ancêtres dans la famille DEQUIDT

Mon habitude de visiter les cimetières

Je n’ai jamais eu de réticence à visiter les cimetières parce que, lorsque j’étais enfant, chaque été mes grands-parents maternels nous emmenaient rendre visite aux morts. Le cimetière était un peu comme une petite ville dont nous parcourions les rues et je me souviens que sur la future tombe de mes grands-parents, il y avait deux niches remplies de petits cailloux blancs et nous disions que c’étaient des bonbons pour eux quand ils occuperaient les lieux car mon grand-père, Paul DEHAENE,  était très friand de sucre et de chocolat.

photo M.N. Salvetti

Cela se fait beaucoup, dans ma famille et certainement en Flandres et même ailleurs, d’acheter son caveau bien en avance et d’y faire ériger un monument funéraire. C’est bien quand on est implanté dans une région depuis toujours et qu’on sait qu’il y aura de la famille pour entretenir et visiter la tombe. Mais de plus en plus, maintenant et surtout dans les grandes villes on recourt à la crémation.

Dans mon enfance, je n’ai été confrontée à la mort qu’une seule fois par la perte de mon grand-père paternel, Cyr DEQUIDT, lorsque j’avais neuf ans. Je me souviens de quelqu’un d’un peu distant, sans doute à cause de l’âge. Mes grands-parents paternels avaient soixante-neuf et soixante-deux ans lorsque je suis née et ils n’ont pas voulu être parrain ou marraine parce qu’ils s’estimaient trop vieux.

 Je ne les voyais pas très souvent. Nous étions invités chaque année chez mes grands-parents paternels le lendemain de Noël, à l’occasion de la saint Etienne. Ce n’était pas à proprement parler un jour férié mais il était de coutume, dans les Flandres, de ne pas travailler le 26 décembre dans le monde agricole. Nous devions y retourner quelques jours plus tard pour présenter nos vœux de nouvel an mais c’était de façon tout à fait informelle.

Je me souviens, aussi, que mes grands-parents maternels nous emmenaient, ma sœur et moi, rendre visite à nos grands-parents paternels, à l’occasion de notre séjour d’été dans les Flandres. Nous restions assises sur notre chaise et nous écoutions ce que racontaient les « grandes personnes ». J’aimais bien quand on faisait le tour de leur grand jardin.

Nous allions plus souvent voir mes grands-parents paternels lorsque mon grand-père est tombé malade. Je me souviens lui avoir rendu visite alors qu’il était alité et très maigre. Je ne sais pas si c’est le même jour mais j’ai vu mon père pleurer en rentrant à la maison et dire à ma mère « Ҫa ne va plus aller ».

Je me vois encore à l'enterrement de mon grand-père dans mon manteau bleu-marine. Il y avait un peu de neige et le sol était si glissant que je suis tombée devant l'église. Après l'enterrement, nous avons pris un repas dans une auberge à proximité. Il y avait beaucoup de monde. Il nous a été servi du pot au feu et du fromage. Ce qui m'a fortement marquée c'est qu'il n'y avait pas de dessert, en signe de deuil. C'est le seul repas d'enterrement auquel j'ai assisté. Maintenant, on sert seulement des boissons et des brioches.

les communes où se trouvent les tombes de mes ancêtres Dequidt sont marquées d'un point rouge (capture Google Maps avec l'aide de Gemini)

L’opération « Sauvons nos tombes » de Généanet

Récemment, Généanet, dans le cadre de son opération « Sauvons nos tombes » a mis en ligne des relevés photographiques du cimetière de Cassel et cela m’a permis de revoir la tombe de mes arrière-arrière-arrière-grands-parents, Jean François DEQUIDT et Marie Jeanne TRASSAERT. Malheureusement, les dates inscrites sur la tombe ne sont pas correctes. Jean François DEQUIDT est né le 15 janvier 1765 à Cassel et non en 1785 et il est décédé, à Cassel, le 10 avril 1849 et non en 1840, à l’âge de quatre-vingt-quatre ans. La pierre tombale était sans doute usée et les chiffres ont été gravés de nouveau  mais sans vérifier les dates exactes. Pour son épouse, Marie Jeanne TRASSAERT, les dates sont exactes mais il manque un E à son nom. Elle est née le 25 février 1770 à Steenvoorde et elle est décédée le 26 juillet 1857 à Cassel, à l’âge de quatre-vingt-sept ans. Ils ont eu douze enfants.

photos laboyeur sur Geneanet

Au cimetière de Cassel, se trouve également la tombe de mes arrière-arrière-grands-parents, Alexis DEQUIDT et Reine AMMEUX. Alexis DEQUIDT est né le 25 juillet 1802 à Cassel et il est décédé le 15 février 1885 à Cassel, à l’âge de quatre-vingt-deux ans. Reine AMMEUX est née le 17 août 1814 à Hardifort et elle est décédée le 14 févier 1886 à Cassel, elle avait soixante et onze ans. Ils ont eu onze enfants.

photos sebadera sur Geneanet

Il faut aller au cimetière de Steenvoorde pour trouver la tombe de mon arrière-grand-père Emile DEQUIDT. Cette tombe était très imposante dans sa version d’origine mais la stèle menaçait de tomber. Une nouvelle tombe a pris la place de l’ancienne en 2016, soit cent ans après la mort de mon arrière-grand-père. Emile DEQUIDT est né le 19 août 1851 à Cassel et il est décédé le 23 juin 1916 à Steenvoorde. Il avait soixante-quatre ans.

photo bmarcant sur Geneanet

Il avait perdu sa première épouse Adeline VITTU (qui était mon arrière-grand-mère) le 10 février 1891 à Winnezeele. Elle n’avait que trente-quatre ans et avait mis au monde huit enfants. Elle était née le 16 avril 1856 à Winnezeele.

Vingt mois après le décès d’Adeline, Emile se remariait avec Eléonore DESCHODT. Il a encore eu six enfants de sa deuxième épouse.

J’ignore pourquoi, à l’occasion de son remariage, Emile a quitté la ferme de Winnezeele qui avait été reprise aux parents d’Adeline et s’est installé sur une autre ferme à Steenvoorde. Les enfants du premier mariage d’Emile dont mon grand-père Cyr DEQUIDT, ont été placés dans la famille pendant son veuvage.

photo Martine Ryckebusch

Mes grands-parents, Cyr DEQUIDT et Irma DENAES ont leur tombe à Bavinchove puisque c’est là qu’ils se sont retirés après avoir laissé leur ferme de Wormhout à leur fils Cyr. Mon grand-père Cyr DEQUIDT est né le 8 décembre 1883 à Winnezeele et il est décédé le 4 décembre 1962 à Bavinchove. Il était à la veille de ses soixante-dix neuf ans. Ma grand-mère, Irma DENAES est née le 27 avril 1890 à Cassel et elle est décédée le 11 mars 1978 à l’hôpital d’Hazebrouck, à l’âge de quatre-vingt-sept ans.

photo M.N. Salvetti

Bien que demeurant à Coulogne, mes parents avaient choisi, dans les années soixante-dix, d’être enterrés à Ledringhem, suite à une demande de Marie-Louise, la sœur de mon père, de partager à quatre un emplacement double. C’est ainsi qu’ils ont longtemps eu leur nom gravé sur leur tombe, sans date.

Mon père, Michel DEQUIDT est né le 5 mai 1914 à Wormhout et il est décédé le 30 août 2005 à Coulogne. Il avait quatre-vingt-onze ans. Ma mère, Marie-Paule DEHAENE est née le 2 février 1922 à Zermezeele et elle est décédée  le 25 novembre 2014 à Embrun. Elle avait quatre-vingt-douze ans.

photo M.N. Salvetti

Il est plutôt exceptionnel de retrouver les tombes de cinq générations d’ancêtres, à moins de faire partie de la noblesse. Du côté DENAES, je ne connais que la tombe de mes arrière-grands-parents à Cassel. Du côté DEHAENE, les tombes de mes grands-parents et de mes arrière-grands-parents se trouvent au cimetière de Wormhout et du côté VANBREMEERSCH, la tombe de mes arrière-grands-parents est visible dans le cimetière d’Arnèke.

photo bboidin sur Geneanet

[canonming]

Dimanche 22 10 2023 vers 10H30 sur la D82 à Bondilly 86130 à 8O Métres environs de l'intersection de Dissay,Vouneuil sur vienne et bonneuil Matour Des tirs.Quatre détonations avec des intervalles très réguliers. Probablement une arme automatique. A l'approche de l'intersection un Français ,la trentaine, plutôt sport est visible à la fenêtre désigner. Sur la route de Vouneuil sur Vienne,une cinquante de mètres après l,intersection,le joogeur observe une ferme sur la droite qui pourrait correspondre au poste de tir.Une forte résonnance pour ces détonations, amplifiées par les constructions, du pâté de maison. Dominique de Parigny poursuit son footing en direction de Beaumont. Probablement un groupe hostile au sport, ou l'édifice d,une magistrale conspiration dans la catégorie du dysfonctionnement acoustique. Une pancarte chasse en cours sera visible environs deux cents métres avant Saint Cyr,sur la gauche .A l,horizon le silence contrairement à son arrivée sur cette zone.A l'extrémité de la côte de la D 82 en sortant de Saint Cyr 86130 en direction de la dites intersection des voix et des jappements sont audibles dans le bois situé a droite et en profondeur. Des bruits identiques sont également audibles dans le bois situé à l'entrée de Bondilly,à droite et en  profondeur.Timing OH59 pour un jour de mauvais temps.Doit_on parler de l'exploitation d,une ambiance particuliére,propice pour la réalisation d,une relation affective,dans le domaine du sport,le footing ?

[beardedmrbean]

1. 'Ruins of nationalism' are not talked about enough, says Belgian PM

During a lecture at the Brussels VUB University on Tuesday evening, Belgium's Prime Minister Alexander De Croo strongly criticised the "call of simplicity" of nationalism in the run-up to the Belgian federal elections next year. Read more.

2. Not a luxury good: Public transport still too expensive in Belgium

When it comes to the affordability of public transport in European countries, Belgium scores relatively highly. However there is still much to be done to improve the accessibility of services and make them a more popular option, Greenpeace insists. Read more.

3. Waffling on: 14 of the best Belgian jokes

Belgium is best known for its chocolate, its frites, its waffles, and, of course, its beer. But perhaps it's time to add humour to the list too, as we reveal the country's comic side with these 14 quick quips. Read more.

4. Zelenskyy in the Netherlands to meet with International Criminal Court officials

Ukrainian President Volodymyr Zelenskyy is on unannounced visit to the Netherlands on Thursday to meet with officials from the International Criminal Court (ICC) and the Dutch government. Read more.

5. Qatargate: EU proposes new anti-corruption measures after scandal

The European Commission has proposed a series of new anti-corruption measures aimed at tackling graft both inside and outside the EU, as the bloc attempts to prevent a repeat of the corruption scandal which has engulfed European politics over the past few months. Read more.

6. Only 8% of Belgians don't use online banking

Belgians are increasingly shunning visits to the bank in favour of online banking, a survey commissioned by Febelfin reveals. While 92% of respondents use online banking services, only 43% actually go to the bank more than once per year. Read more.

7. Hidden Belgium: Maison St-Cyr

You can’t miss it. The Maison Saint-Cyr at Square Ambiorix 11 is one of the most flamboyant art nouveau houses ever built in Brussels. Or anywhere. Read more.

[tvfsud]

REPORTAGE / #actualités / #économie  / #entreprise  / LE #LOFT à Saint Cyr sur mer / Espace de CO-WORKING Lory Borel M Immobilier La Maison Digitale RetroCab Renaissance de Soi Nora Mkl Davina Gariboli.

[if-you-fan-a-fire]

"FAITS DIVERS: Vol de coupons," Le Devoir. April 14, 1943. Page 10. --- Un quatrième inculpé s'avoue coupable - Un autre détenu comme témoin - 7 ans de pénitencier - Inondations --- La Gendarmerie royale du Canada a arrêté hier Harry Dubuc, 6085, des Erables, en rapport avec l'affaire des vols de coupons de rationnement de gazoline. Dubue recevra sa sentence le 16 avril prochain. Il s'est reconnu coupable, lors de sa comparution en correctionnelle. Un autre individu non encore identifié est détenu pour fins d'interrogatoire, d'ici la fin de l'enquête dans cette affaire. Mort tragique Jack Ballon, 62 ans, sans domicile connu, est mort hier au Jewish Hospital of Hope, à Tétreaultville. On l'a trouvé dans sa chambre portant des entailles à la gorge et aux poignets. On croit qu'il s'est servi d'une lame de razoir. Le cadavre est à la morgue.

Au pénitencier Roland Lemire, 25 ans, coupable de 7 vols à main armée commís entre novembre et mars sur des camionneurs devra passer 7 ans au pénitencier dans chaque cas. Le juge Omer Legrand a aussi condamné Jean Dubois, 22 ans, et Lucien Duval, 26 ans, tous deux complices de Lemire, à 3 ans de pé- nitencier dans le premier cas et 2 ans dans l'autre. Le juge Amédée Monet a condamné Ovila Riendeau, 19 ans, et son frère Jean-Paul Riendeau, 22 ans, à 2 ans de pénitencier pour avoir reçu des marchandises volées. Illégalités Le juge J.-C. Langlois a condamné hier V. Lefebvre, épicier, 6500 blvd Monk, à une amende de $50 pour avoir vendu des oeufs à un prix prohibitif et Albert Sauvé, directeur de Miller Awning, 911 Notre-Dame ouest, à une amende de $25 pour avoir haussé le taux de son stock d'entreposage.

Le juge E. Guérin a condamné Joseph Charlebois, de chez Wilson Frères, 2537 Notre-Dame est, à une amende de $50 pour avoir défoncé le maximum sur la vente du coke.

La plus forte amende de la journée a été imposée par le juge J.-C. Langlois à la firme T. Beauregard et Cie, 7905 Saint-Denis. Cette maison paiera $75 pour avoir accorde un crédit illégal sur des marchandises vendues.

Morts subites J. Janofsky, 80 ans, 5479, Hutchison, est mort subitement hier à la gare Windsor où il attendait son train.

Jean Gagnon, 68 ans, 5312, chemin de la Côte-St-Paul, est mort subitement hier, à son domicile.

Georges Mandeville, 3 mois, 1210, Delcourt, est mort subitement, hier, chez ses parents.

Le coroner du district, Me Richard-L. Duckett, a rendu un verdict de mort naturelle dans le cas d'Arthur Houle, 65 ans, 349, boulevard des Prairies, et de Mme Rachel Charat, 62 ans, de Huntindgdon, décédés subitement.

Mort accidentelle Le coroner a également rendu un verdiet de mort accidentelle dans le cas de Mme Célina Brosseau, 66 ans, 5530, 11ème avenue, Rosemont, morte à l'Hôtel-Dieu des suites de blessures qu'elle s'était infligées le 20 mars, en tombant sur le trottoir.

Grièvement blessé Jean-Yves Bacon, 3 ans, rue des Voltigeurs, est hospitalisé à Ste-Justine, à la suite des blessures que lui infligeait hier un camion conduit par M. Alfred Pinelle, 3340, boul. La Salle, Verdun. L'accident s'est produit rue Notre-Dame, près Maisonneuve. L'enfant souffre probablement d'une fracture du crâne et de multiples érosions au visage.

Tombé du toit Wilfrid Larose, 9 ans, 1705, Panet, s'est infligé un traumatisme du cou. hier, en tombant du toit d'un entrepôt de bois et de charbon. Affaire d'alambic Le procès des frères Charles et Camille Deur, Léon et Sylvain Fournerie et Amédée Roby, accusés de conspiration pour frauder, le fise fédéral de $100,000, en exploitant un alambic à Lacoste, dans la région du Nominingue, en 1942, se continue, devant le juge en chef Perrault, des Sessions de la Paix, après un ajournement de deux semaines. La défense produit ses té moins aujourdhui

Acquitté Les Trois-Rivières, 14 - Le juge F.-X. Lacoursière a acquitté Jean Cyr, accusé d'avoir causé des lésions corporelles, entrainant la mort de Mme Edmond Pothier, le 29 juillet 1942.

Voies de fait Christie Angelis, restaurateur, rue Windsor, a été trouvé coupable hier de voies de fait sur la personne de P. Rath, photographe ambulant, par le juge C.-E. Guérin, en Cour des sessions de la paix.

Pelle et cheval Le juge René Théberge entendra le 30 avril la cause de Noël Janvier, fils, de la Côte de Liesse, à Dorval, accusé par la Société protectrice des animaux d'avoir frappé son cheval avec une pelle, le 6 mars.

[ladylilitu]

Mad Art Nouveau - Maison Saint-Cyr von John Hackston Über Flickr: A mad building in the square Amborix

[wgm-beautiful-world]

ART NOUVEAU - Balcony in Maison Saint Cyr, Brussels, BELGIUM

[josefavomjaaga]

The real marshals, according to Thiébault

General Thiébault in his memoirs is quite outspoken about those whom he considers worthy of the title »marshal«, and of those he does not. It’s an interesting list.

Yes, to make such a dignity worthy of envy, it was necessary to award it at all times to the most deserving, that is to say, to Masséna first, to Saint-Cyr, as great tactician; to Kellermann, as the victor of Valmy; Jourdan, as the victor of Wattignies and Fleurus; Lannes, as man of inspiration; Bernadotte and Suchet, as men of capacity; Ney, as a man of vigour; Murat, as a man of valour; this is the honour of our marshal's baton, an honour to which Dumouriez, Pichegru, Moreau, as soldiers, not as Frenchmen, Hoche, Marceau, Championnet, Dugommier, Kléber, Desaix, Joubert, if they were not already dead, and Vandamme, if he had been appointed, would have been added but, under the Empire, Soult, a man of cabinet, not of battle, Berthier, Pérignon, Sérurier, Augereau, Lefebvre, Bessières, Mortier, in spite of his coup de collier at Krems, Brune, whose success in Switzerland cannot be described by the word victory, and who in Holland only defeated the English thanks only to the vigour of Vandamme, as Davout defeated the Prussians at Auerstædt thanks only to the generals Legrand, Morand and Gudin who commanded his divisions, Marmont, Macdonald, Oudinot, despite his chivalrous valour, Grouchy, and, under the Restoration, Clarke, Beurnonville, Vioménil, Maison; such choices scandalize instead of enlighten; they tarnish the lustre which the great dignity of the marshalate would have had without them, and, to return to the first promotion, when he received this dignity, which thirty-six years later Sébastiani was to complete to bring it down, I remember the tone, half of anger, half of disdain, with which General Masséna replied to my congratulations with this quip: "We are fourteen!"

So, according to Thiébault the only real marshals were

Masséna

Lannes

Ney

Murat

Bernadotte

Suchet

Saint-Cyr

Kellermann

Jourdan

I guess there’s little discussion about the first four. The others I find at least somewhat surprising. As to those missing, I’m not surprised about Berthier and Soult, he hated both. His hatred of Brune astonishes me, but the real shock of course is Davout.

[northernmariette]

Where Were They in 1791?

This might be for nerds only, but here is a list that fascinated me. It appears in Mortier’s biography by his great-nephew, Edouard Frignet-Despreaux. The author first describes the sort of people who enrolled in  1791, quoting another author: 

"The volunteers of 1791 included in their ranks a large number of educated young men, full of enthusiasm, driven by a deep sense of duty and by a fortitude which they communicated to their comrades. Not one general, not one officer, failed to praise their ardour and their dedication. They constituted the elite of the nation and they were, as has been said, the true volunteers, the only ones who deserved this title, the only ones who were worth anything.“

This fulsome praise was written by an author called Susane, in his Histoire de l’Infanterie francaise. No first name, date, or page given. This is praise that applies to those appearing in the great-nephew’s list below. To remove all ambiguity, it must be noted here that the soldiers of the Revolutionary armies elected their own officers. I’m not sure how long this system lasted. One thing is certain, some spectacularly incompetent individuals managed to get elected. 

Now here is where it gets interesting. For true Napoleonic nerds, there is hardly an unfamiliar name here. Those still alive in 1814 had been at war for 23 years. No wonder so many were eager for Napoleon to abdicate. Interesting too to see where they stood respective to each other at that early date in their careers. I put the name of future Marshals in bold characters; and the names of those who died before 1814 in italics. No particular date in 1791 is given, so I’ve indicated in parenthesis the age of the Marshals as of December 31, 1791. 

Most of the battalions of 1791 chose as their leaders men whose merit and past services they already knew. The 1st battalion of the Lot was commanded by Bessières (23); the 6th of the Drôme, by Championnet; the 3rd of the Yonne, by Davout (21); the 2nd of the Var, by Gazan; the 8th of the Marne, by Hardy; the 2nd of the Haute-Vienne, by Jourdan (29); the 7th of the Jura, by Lecourbe; the 1st of Eure-et-Loir, by Marceau; the 1st of Ille-et-Vilaine, by Moreau; the 3rd of the Meuse, by Oudinot (24); the legion of the Pyrenees, by Pérignon (37); the 4th of Ardèche, by Suchet (22); the 5th of Bouches-du-Rhône, by Victor (27).

In Paris, the battalion of the Arsenal elected Friant; that of Molière, Lefebvre (36), etc.

Among the captains were Dessaix (legion of Allobroges), Duhesme (1st of Saône-et-Loire), Gouvion Saint-Cyr (27) (1st of the Parisian Volunteers), Maison (9th of the Federated), Morand (7th of Doubs), Molitor (4th of Moselle), Soult (22) (1st of the Haut-Rhin).

Among the adjutants-majors Brune (28) (2nd of Seine-et-Oise), Masséna (33) (2nd of Var).

Amongst the lieutenants Leclerc (2nd of Seine-et-Oise), Mouton (9th of Meurthe).

Among the second lieutenants Lannes (22) (2nd of the Gers).

Amongst the sergeant-majors Pajol (1st of Doubs).

Interesting to see Victor of the Lorraine down south, and Soult of the Languedoc up north. Dessaix is not to be confused with Desaix, who died at Marengo. Dessaix eventually became a general and lived at least long enough to fight in Russia. Leclerc, presumably, is Pauline Bonaparte’s first husband, who died in Haiti, in 1802 I believe.

The original French version of this can be found here, on pages 34 and 35:

 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5038582/f44.item

[arsenicetvieillesenseignes]

Louis Neyron, né en 1856 à Nantua dans une lignée de notaires de l’Ain, s’oriente avec passion vers l’industrie textile. Il crée dès 1882 sa première société. Puis ami du Dr Rasurel, il fonde la société « Rasurel ». Cette bonneterie fabrique un fil de laine d’Australie associé à la ouate de tourbe de Hollande, fil qui est tricoté à la machine donnant un tissu de maille. Dans ce matériau novateur, isolant, antiseptique et souple, la bonneterie crée des draps, des couvertures puis toute une gamme de sous-vêtements très agréables à porter, contrastant avec la toile raide et rêche qui existait auparavant. Rasurel exporte dans le monde entier. A l’aube du XXème siècle, Louis Neyron acquiert la notoriété d’un grand  capitaine d’industrie. Il épouse en secondes noces Marie Félicie du Louvat de Champollon. Dotée d’une forte personnalité, Félicie va beaucoup soutenir son mari. Quand Louis Neyron meurt en 1917 d’un arrêt cardiaque, elle dirige l’affaire elle-même. Elle transmet Rasurel à son fils Pierre, athlète complet : équitation, natation, nautisme, ski, etc. Il développe la marque vers le Sportswear à coup d’opérations publicitaires sensationnelles, d’insertions dans les magazines, et de textes peints sur les façades des maisons le long des routes de France. Il se retire en vendant la marque Rasurel à Messieurs Bugnon, propriétaires de Lejaby. Cette Société, malgré plusieurs changements de propriétaires conserve encore le nom de la marque Rasurel pour les maillots de bain à haut niveau de qualité fabriqués en France.

Saint-Cyr.