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#mathieu qui
norellenilia · 2 months
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En train de capter un truc : les mercenaires humains venus chercher Erika à l'épisode 13 et dont on a jamais réentendu parler, je viens de comprendre le délire en fait !
Je repense à un post de ChiNoMiKo (que j'avais reblogué de mémoire) où elle donnait la vision qu'elle avait eue du personnage de Leiftan. Et dans sa version de l'histoire, qui n'a visiblement pas été retenue (ou pas dans la durée), Papounet était au courant pour Eldarya AVANT la potion, je crois qu'il débarque à Eldarya quand Erika est petite et très malade et bute les parents adoptifs de Leiftan pour choper de la flotte de la fontaine ou de la rivière de la mère de Leif qui est une naïade afin de soigner sa fille, ou un truc dans ce goût-là.
Du coup oui les mercenaires ça semble logique que ça vienne de cette version-là de l'histoire, où Papounet soupçonnerait sa fille d'avoir disparu à Eldarya, potentiellement il sait qu'elle et lui ont du sang faëry, du coup il envoie des gens pour la retrouver.
Sauf que bah du coup ça colle pas avec le canon établi par la saison 2, dans laquelle Papounet ne découvre l'existence d'Eldarya qu'APRES qu'Erika a bu la potion : il comprend pas pourquoi il se souvient de sa fille et personne d'autre, il fait des recherches et tombe sur l'histoire du moine et du fermier, etc.
Donc oui ok je pense que l'épisode 13 avait été écrit avec le canon de ChiNo en tête, sauf qu'il y a eu des changements de scénaristes et sans doute plein d'autres bordels, et la saison 2 n'a pas du tout pris en compte ce qui a été écrit en saison 1 sur le sujet (ni sur plein d'autres, d'ailleurs), du coup on se retrouve avec... Bah une grosse incohérence, où des mercenaires sont sortis d'un trou en scénarium pour retrouver Erika, et l'explication elle existait (ils viennent de Papounet), mais la version où elle existait n'a pas survécu assez longtemps pour qu'on l'ait, ce qui fait que de notre point de vue, y'a des types qui soi-disant connaissaient Erika, sont venus la sauver, mais qui, pourquoi, comment, on saura jamais.
J'invente sûrement pas le fil à couper le beurre mais je voulais le consigner quelque part parce que dans ma tête ça a fait :
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Mdr
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jules-and-company · 4 months
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ENFIN je vois ces costumes en couleur
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jakez19 · 2 years
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jamiesansible · 8 months
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I’m sure everyone remembers the article from 2020 where researches found three-ply cordage made by Neanderthals.^
But did you know that in the supplemental material for the article, it mentions that pine needles can be made into textiles?^^ As someone who works with textiles myself, I had come across pine needles as a dye stuff, but not as a fibre.
The source is listed as "L’acquisition des matières textiles d’origine végétale en Préhistoire" by Fabinne Médard. It talks about how other fibres, including brambles and broom could have been used prehistorically for a similar purpose, as well as flax. However, it contains only one metion of pine needles.
“Les aiguilles du pin sylvestre (Pinus sylvestris L.) fournissaient, après rouissage, une matière textile appelée « laine des forêts » qui remplaçait la ouate et l’étoupe dont on faisait également des tissus (Mathieu [1858] 1897)" * The needles of the Scots pine (Pinus sylvestris L.) provided, after retting, a textile material called “forest wool” which replaced wadding and tow from which fabrics were also made.
So Scots pine needles were processed, spun and woven, or simply used directly after processing, potentially prehistorically.
If you follow the source for the quote above, it takes you to a book from 1860 called Flore forestière; description et histoire des végétaux ligneux qui croissent spontanément en France et des essences importantes de l'Algérie. It says:
“On fabrique depuis quelques années, avec les faisceaux fibreux, allongés, et tenaces des aiguilles, une espèce de drap grossier.” ** For several years, we have been making a kind of coarse cloth using the fibrous, elongated and stiff bundles of the needles.
So this processing of pine needles was also happening in the 1800s.
Another souce from the 1840s describes the texture of forest wool as resembling "...horsehair, and has been used for stuffing mattresses"** and that an industry sprung up in Humboldtsau, near Breslau for processing it. Manufacturies for forest wool then spread to Sweden, Holland and France, which may explain the mention in the 1860 Flore forestière.
Despite looking a bit more, but couldn't find much else on the subject expect a recent masters thesis in German (which I couldn't access) and an article on the designer Tamara Orjola.
Orjola's work investigates the modern use of pine needle fabric, showing there is still interest in it. She says:
"Forest Wool began with research on the forgotten value of plants. Valuable local materials and techniques are left behind due to the unwillingness of mass-production to adopt more sustainable practices. In the old days the pine tree was used as food, remedies, to build homes and furniture and for many other purposes. Nowadays, it is only valuable for its timber." ***
I find the line from prehistory to now facinating - that people have looked to something as mundane as a pine needle to spin, especially as researchers are discovering a lot of what they thought was linen fabric is actually ramie (from nettles).
As far as I can tell, only Pinus sylvestris L. and one other variety was used. I am not sure what makes that tree more suitable than other pine trees, or if it was simply a question of availability. In terms of processing, the answer as far as I can tell is retting, presumably followed by scutching and hackling - similar to how flax is processed. However I have not done that myself and cannot speak to the specifics.
It would be something intresting to try though.
________
^ https://www.nature.com/articles/s41598-020-61839-w#MOESM1
^^ https://static-content.springer.com/esm/art%3A10.1038%2Fs41598-020-61839-w/MediaObjects/41598_2020_61839_MOESM1_ESM.pdf
* https://journals.openedition.org/nda/602
** https://www.proquest.com/openview/276605d708970d416923b94e8856d20b/1?pq-origsite=gscholar&cbl=41445
*** https://lampoonmagazine.com/article/2021/05/15/recycled-wood-pine-needles-byproduct/
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sunflower-eddiediaz · 4 months
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«C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien. Mais l'important c’est pas la chute, c’est l’atterrissage.» — Hubert Koundé, in La Haine (1995), written by Mathieu Kassovitz
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coolvieilledentelle · 9 months
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La nuit de l'Epiphanie
Épiphanie vient d’un mot grec signifiant “apparition”. Le jour de l’Épiphanie, on célèbre la visite des mages à l’Enfant Jésus. Selon l’Évangile de Saint Mathieu, ces mages venus d’Orient auraient été guidés par une étoile mystérieuse jusqu’à la crèche de Bethléem, où est né l’Enfant Jésus. Au Moyen Age, la légende évolue. Les mages deviennent des rois et on leur attribue les noms de Gaspard, Melchior et Balthazar.Les Rois qui adorent l'Enfant de Bethléem représentent la terre entière devant le nouveau-né.
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aurevoirmonty · 3 months
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« La fin du monde a bien eu lieu. Elle n’a pas eu lieu un jour précis, mais s’est étalée sur plusieurs décennies. Le monde qui a disparu était un monde où la plupart des enfants savaient lire et écrire. Où l’on admirait les héros plutôt que les victimes. Où les appareils politiques n’étaient pas encore devenus des machines à broyer les âmes. Où l’on avait plus de modèles que de droits. Un monde où l’on pouvait comprendre ce que voulait dire Pascal quand il affirmait que le divertissement nous détourne d’être vraiment hommes. Un monde où les frontières garantissaient à ceux qui y vivaient une façon d’être et de vivre qui leur appartenait en propre. C’était un monde qui avait aussi ses défauts et qui fut même parfois horrible, mais la vie quotidienne du plus grand nombre y était au moins réglée par des dispositifs de sens aptes à dispenser des repères. Par le truchement des souvenirs, ce monde reste familier à beaucoup. Certains le regrettent. Il ne reviendra plus. Le nouveau monde est liquide. L’espace et le temps y sont abolis. Délivrée de ses médiations traditionnelles, la société est devenue de plus en plus fluide et de plus en plus segmentée, ce qui facilité sa marchandisation. On y vit sur le mode du zapping. Avec la disparition de fait des grands projets collectifs, autrefois porteurs de visions du monde différentes, la religion du moi -un moi fondé sur le désir narcissique de liberté inconditionnée, un moi producteur de lui même à partir de rien- a abouti à une « détraditionnalisation » généralisée, qui va de pair avec la liquidation des repères et des points fixes, rendant l’individu plus malléable et plus conditionnable, plus précaire et plus nomade. Depuis un demi-siècle, l’ « osmose idéologique de la droite financière et de la gauche multiculturelle » (Mathieu Bock-Côté) s’est employée, sous couvert de « modernisation » émancipatrice, à faire confluer libéralisme économique et libéralisme sociétal, système du marché et culture marginale, grâce notamment à la récupération marchande de l’idéologie du désir, capitalisant ainsi sur la décomposition des formes sociales traditionnelles. L’objectif général est d’éliminer les communautés de sens ne fonctionnant pas selon la logique du marché… »
Robert de Herte
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margaux-saltel · 3 months
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Un post pour mettre des mots sur ma tristesse et ma colère que j'ai depuis plusieurs jours à force de voir les commentaires sous les publications d'artistes qui prennent position.
La vidéo de Nota Bonus La dernière de Rhinocéros L'insta de Mathieu Burgalassi
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prosedumonde · 7 months
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Elle le regardait se débattre et devinait tout ce qui lui tournait dans la poitrine, le désordre de mots et de contradictions, cette pelote des sentiments, indémêlable à force de silences.
Nicolas Mathieu, Rose Royal
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journaldenimportequi · 3 months
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Lundi 8 juillet 2024
Comment lui dire adieu
Ce n'est pas la grande forme. Je veux dire, mentalement, parce que physiquement, je vais pas trop mal, enfin, je grossis, les gens pensent que je ne fais rien de mes journées mais c'est faux : je grossis.
Mais je déprime pas mal, épisodiquement. Là ça m'a encore repris hier, dans la nuit, envie de crever. J'ai réfléchi et j'ai pensé qu'il fallait que j'aille manger, alors je suis allé manger du Saint Nectaire avec du saucisson, ça m'a remonté le moral, la bouffe, ça fait du bien.
Je souffre un peu, oh, c'est rien par rapport aux gens qui ont de vrais raisons de souffrir (malades et handicapés, je les surnomme les infortunés lorsque je les croise, et je que me réjouis d'être bien portant). Mais voilà, c'est la misère affective qui provoque mon désarroi. Quand est-ce que je vais arriver à être heureux tout seul ?
J'essaye de rencontrer des filles, ça me coûte même pas mal de pognon, sur Tinder... je match avec des filles et puis on discute, quand elles daignent me répondre mais ça ne va jamais plus loin. Mais enfin, de quoi je me plains, après tout cela ne fait que 10 mois que je suis célibataire ! Whatever...
Je me suis forcé à écrire ce soir, j'ai eu raison, parce qu'au fur et à mesure où s'écrivent ces lignent ma peine s'envole, le pouvoir de l'écriture...
Il faut que je vous dise, le mois dernier, il est arrivé un malheur, malheur prévisible hélas, mais voilà, Françoise Hardy est morte.
Et, un peu sur un coup de tête, j'ai décidé de me rendre à ses obsèques.
Alors me voilà une semaine plus tard à Paris, où j'ai loué un Airbnb, et je suis allé au Père Lachaise (que je commence à connaître, parce que ce n'est pas la première fois que je m'y rendais).
Que dire de l'événement... au début, j'ai trouvé que c'était un peu un cirque digne de Cannes en période de festival, tous ces gens qui commentaient l'arrivé des people... il en est arrivé un paquet, de Nicolas Sarkozy (avec la fidèle Carla) à Mathieu Chedid, en passant par Etienne Daho qui est passé à côté de moi, arrivant par le côté du public, reconnaissable malgré son bonnet et ses lunettes noires, et puis la première dame, Brigitte Macron, et puis bien sûr Thomas et Jacques Dutronc, qui ont été applaudis.
Et puis le cerceuil est apparu et en l'apercevant ma gorge s'est serrée, je l'avoue.
Ensuite retentit une musique : Et Si Je M'en Vais Avant Toi, j'ai trouvé ça très beau.
J'avais acheté une fleur, une rose blanche, et je me trouvais un peu bête parce que je ne savais pas où la déposer, de plus, bizarrement, quasiment personne n'est venu avec des fleurs... J'ai fini par la déposer quelque par à côté d'une photo de Françoise et de quelques fleurs qui avaient été accrochées là.
Je ne me suis pas éternisé. J'ai dû rester une heure et demi. Et puis je suis reparti, après la cérémonie. Je n'ai pris aucune photo, je pensait bêtement que ce serait indécent en telles circonstances mais j'avais probablement tort puisque la plupart des gens prenaient des clichés à tout va.
Quelques temps plus tard après ma sortie, j'étais sur un banc non loin de l'entrée du Père Lachaise, lorsqu'on m'a abordé. Il s'agissait de Benoît, une homme que je connais via les réseaux sociaux (et particulièrement par le forum « Sugar Montain »). Cela fait trois fois en un an que je me fait accoster comme ça par une connaissance des réseaux. C'est plutôt agréable, parce que ça me fait socialiser. Benoît était accompagné d'un jeune ami à lui et ça m'a permis de faire aussi sa connaissance. Depuis, nous nous suivons mutuellement sur Instagram.
J'avais parlé de Berlin, ici, il y a quelques temps. Ce projet est tombé à l'eau, comme souvent, en fait. Avec mes amies on fait des plans excitants et au final ils ne se réalisent pas, c'est une habitude. Mais je garde cette envie de voyage. J'ai réfléchi et il me semble qu'en économisant seulement quelques mois (c'est à dire en cessant de dépenser des centaines d'euros en bouquins chaque putain de mois) je pourrais facilement me payer un autre séjour à New York. Ca me trotte dans la tête depuis un moment. J'ai rêvé de New York pendant toute ma vie, et puis j'y suis allé, et depuis, je ne rêve que d'y retourner. Ce projet se concrétisera t il ? Ou sera t il empêché par ma tendance maladive à procrastiner ? J'aurai voulu y aller avec mon frère, histoire qu'il s'occupe de régler toutes les choses pratiques que j'ai la flemme de prendre en main, mais selon lui, il ne peut plus se rendre aux USA pendant plusieurs années parce qu'il a fait un voyage à Cuba. Cette idée me semble surprenante mais c'est en tout cas ce qu'il prétend. Et si j'y allais seul ? Justine, ça ne l'intéresse pas. Mais peut être que Canel serait encore enthousiasmé par cette idée, alors je pourrais y aller avec elle...
On verra, mais en tout cas si ça se fait ce sera en 2025.
Je me suis rendu qu'on d'une chose, récemment : je suis un artiste sans œuvre, et ça, c'est une vraie tragédie.
Dans 3 jours je me rendrai à nouveau à Lyon pour le concert de Cat Power, donc je vous parlais dans la dernière note, vous savez, celui où je suis censé rentrer gratuitement sur invitation en échange d'un papier. Ca me remontera peut être le moral.
Allez, je vous laisse, j'ai écris deux pages, c'est déjà pas mal, non ?
Bande son : The River, Bruce Springsteen
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abridurif · 6 months
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C’est l’odeur bien avant la lueur qui nous a dégrisés. J’étais adossé à l’orme, épuisé par cette brusque rupture des retenues, s’il y avait eu un dieu je l’eus alors prié de prolonger la grâce de ce silence dans lequel nous étions plongés, quoique pour de bien dissemblables raisons, l’un d’une petite joie tendre, l’autre d’une hésitation naissante, Antoine et moi, sur un fil incertain, une odeur d’herbe sèche, un souffle de vent léger, une avancée, un moment, une esquisse de rencontre. Ou bien peut-être les prémices de longues années de vide, de vaines poursuites, de spéculations hasardeuses : on est toujours entre deux guerres, à son corps défendant en train de se faire voler un geste, une affection, une parole d’amour ou un désir de mort par la perspective sans cesse renouvelée d’un désert d’encre noire à devoir traverser. Mathieu Riboulet, Mère Biscuit, Éditions Maurice Nadeau, 1999
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norellenilia · 1 year
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Par contre on rigole mais je réalise que Leiftan il a vraiment servi à rien cette saison c'est terrible, non seulement il allait en mission sans y avoir sa place mais vraiment il a RIEN FAIT pour faire avancer l'histoire en fait, il aurait pas été là que ça aurait rien changé, j'ai l'impression que la seule fois où il a vaguement servi à quelque chose c'est quand il a buté tout le monde à la commanderie mais bon à part ça... Et encore, les seules conséquences que ça a eues c'est que Karenn et Chrome sont allé-e-s sur Terre et nous ont posé des questions après.
Après je l'avais pas en CDC donc c'est peut-être différent quand c'est le cas mais genre Nevra il a un rôle de bras droit/chef, il a l'épisode de Yaqut, Lance il a son passif, il participe aux missions et à l'action, Mathieu il est l'humain qui vient des templiers et il a aussi son rôle à travers les relations avec d'autres persos comme Koori et Chù (malgré les problèmes desdites relations), Leiftan il a rien en fait dans l'histoire en elle-même... Il participe pas à l'action, il participe à peine aux décisions, sa seule particularité c'est qu'il essaie de retrouver ses pouvoirs via la méditation, et encore selon nos choix il nous jarte quand on essaie de méditer avec lui mdr.
J'aime pas le personnage mais c'est quand même con, c'est un CDC et il n'apporte absolument rien de concret à l'histoire, quoi.
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ce-sac-contient · 2 years
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Güther Uecker - Rote Fahne (Red Flag), 1963
Painted nails on cloth on wood (87 x 87 x 8 cm)
❝ Aujourd’hui, à l’issue de cet épisode lamentable de la réforme des retraites, que reste-t-il d’Emmanuel Macron, de ce pouvoir si singulier, sorti de nulle part, fabriqué à la hâte, « task force » en mission libérale qui a su jouer du rejet de l’extrême droite et de la déconfiture des forces anciennes pour « implémenter » son « projet » dans un pays où si peu de citoyens en veulent ? Que reste-t-il de ce pouvoir, de son droit à exercer sa force, à faire valoir ses décisions, que reste-t-il de sa légitimité ?  [...]
Bien sûr la République est toujours là, avec ses ors, son ordre vertical, sa police, son droit, ce roi bizarre à son sommet, une Constitution qui exécute ses caprices, des fondations qui plongent dans deux siècles et demi de désordres et de guerres civiles. La machine tourne, légale, indiscutable aux yeux des juristes, chaque rouage à sa place, placide sous le drapeau. [...]
Que dire de ce pouvoir assis sur une noisette d’assentiment et qui gouverne comme après un plébiscite, méprise les corps intermédiaires, la rue, les salariés, l’hôpital, l’école, reçoit en pleine crise sociale Jeff Bezos pour le médailler alors qu’il n’aura pas daigné entendre ceux qui l’ont porté là ?  [...]
Savez-vous quelle réserve de rage vous venez de libérer ? [...]
Non, vous n’y avez pas pensé. Eh bien ce monde-là est une nappe d’essence et vous n’êtes que des enfants avec une boîte d’allumettes. ❞
— Nicolas Mathieu,« Savez-vous quelle réserve de rage vous venez de libérer ? » in Mediapart, 18 mars 2023.
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C'est finalement Mireille Mathieu qui chantera. Anti social aux Jeux Olympiques 😆😆😆
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turuin · 7 months
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Nella canzone della Amoroso "durante il volo piano dopo piano mi ripeto / fino a qui tutto bene" è una citazione di La Haine, mirabile film di Mathieu Kassovitz che, se non l'avete visto, chevvelodicoaffà. Un minuto di silenzio per Vinz, Hubert e Said.
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aurevoirmonty · 8 months
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Ni wokisme, ni cosmopolitisme : la Révolution arc-en-ciel. Ce que nous vivons n’est pas fortuit, pas plus la disparition de la paysannerie que l’appauvrissement des Français ou les émeutes de banlieue, Il n’y a ni crise ni déclin inévitable, il y a une révolution concertée, révolution mondiale et mondialiste, totale et totalitaire, touchant l’économie, les lois, les mœurs, la culture la pensée, les us, les croyances. C’est une révolution par le haut, par l’argent mais pas pour l’argent. Une révolution non aversive, maîtrisant l’ingénierie sociale et le temps long. Une révolution par la peur qui soumet les esprits à des dogmes faux, des « vérités à cours forcé », pour les couper de la réalité. Elle est spirituelle, elle a pour ambition de créer un homme nouveau dans un monde nouveau. Je l’ai dénoncée en octobre 2019 dans La Révolution arc-en-ciel et en mars 2020 dans L’Empire arc-en-ciel, annonçant avant le covid que l’un des moyens de cette révolution serait l’instrumentalisation des pandémies. Je l’ai nommée révolution arc-en-ciel parce qu’elle a choisi de se désigner ainsi par ses drapeaux. Ils prétendent à tort représenter le Bien que symbolisait à l’origine l’arc-en-ciel : arc-en-ciel du pacifisme d’extrême gauche, arc-en-ciel de l’antiracisme représentant la nation arc-en-ciel de Mandela et Desmond Tutu, arc-en-ciel du Rainbow Warrior, navire amiral de l’écologisme, arc-en-ciel LGBTQ enfin. On constate que leur explication du monde est semblable, que leurs méthodes d’agitation sont communes, leurs bassins de militants poreux, leurs objectifs communs, d’ailleurs revendiqués par la « convergence des luttes ». En somme la révolution arc-en-ciel est une réalité objective et subjective, et elle est opératoire. Depuis, des livres sont parus, d’abord au Canada sous la plume de Mathieu Bock-Côté, puis au Royaume-Uni, sous celle de Douglas Murray, pour dénoncer le wokisme. Ils reprennent une partie de la critique de l’arc-en-ciel, en se focalisant sur l’islam, d’un point de vue néo-conservateur, sans concevoir l’unité de cette révolution polymorphe. Un bref tour d’horizon de cette révolution montre qu’elle n’est ni hyperlibérale, ni prévue par George Orwell, ni l’effet d’une dictature des minorités, ni le produit d’un « wokisme » qui serait en perte de vitesse à en croire les augures – c’est la révolution arc-en-ciel.
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