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#michel/paresse
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CC pointing out the differences in her ships got me thinking about the differences between my ships with Paresse and OUP I fixated on my OTPs
The original, the OTP, Rage/Paresse thing is very much "I see myself in you and it scares but thrills me."
Rage is exhausted. He's tired. He just wants to lay down. He's always going, always full of this electricity, this energy, this ANGER, he just can't fucking STOP. And Paresse is that stop embodied. Paresse is a lack of energy, a quiet restful state. He doesn't have any energy. He's stagnant, unmoving. It terrifies Rage to think of never moving again, but he's so fucking tired.
On Paresse's end of the spectrum, he is angry. He is full of spitfire and vinegar and piss, but he can't do shit about it. He's chained down by his slothfulness and has to endure what is thrown at him. He wants to lash out, destroy, crush, devour. And that's exactly what Rage is. Rage is an unstoppable force. A powerful vengeance that doesn't have a timelimit. That doesn't have a fuel tank always running on low.
They spark off each other and ignite. Paresse is always the one to fall in love first, or at least the one to realize it. But when Rage gets his shit figured out, there's nothing coming between them. They always balance one another out. Rage keeping Paresse from rotting in his own brain and Paresse keeping Rage from frying himself alive. They're a dangerous power couple for their balance alone. Oppositely charged magnets so strong no mortal could pry them apart.
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Fussa/Paresse is absolutely my excuse for domestic hurt/comfort, healing, self expression and discovery fics.
Paresse and Fussa both have a lot of relatively fresh trauma and have a lot of shit to discover about themselves. In fics set during the canon timeline they're very much two tired and broken people who just find a little piece of solace in one another. The war--or wars, in Paresse's case--have worn them down, but they still have to fight. But there's just enough quiet in each other's arms.
In post-canon it's far more domestic and cute and fluff. Slice of life weirdos accepting their weirdness and falling in love along the way. Post-canon their love forms at a much more natural pace, a good slow burn.
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Michel/Paresse ?
It's the doomed loved and angst.
That's it that's the analysis.
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dear-indies · 2 years
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hello!! i’m looking for an indigenous latina fc, as in, she is an Indigenous person from latin america (besides the great Yalitza Aparicio). i’m having trouble finding someone i like - preferably over 30, not too young looking. thank you so much!!!!
Maria Telon (1958) Kaqchikel,
Julieta Venegas (1970) Yaqui, French, Basque.
Mayra Sérbulo (1970) Zapotec and Nahua.
Daniella Alonso (1978) Quechua, Japanese / Puerto Rican.
Marilyn Sanabria (1980) Taino, possibly other
Jessica Pimentel (1982) Dominican [Taino, Malian, Iberian, Irish, Italian].
Nathalie Kelley (1985) Quechua and Argentinian.
Danielle Keaton (1986) Quechua and Ashkenazi Jewish.
Cherie Jimenez (1987) Taino, Puerto Rican, Dominican, Italian, Spanish.
Teresa Ruiz (1988) Zapotec / Unspecified Mestizo.
Mabel Cadena (1990) Nahua.
Michelle Paress (?) Taino, Arawak, and European.
Hey anon! Please note that I'm only listing those who have specified their tribes!
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raisongardee · 2 years
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“Les Horreurs de la démocratie pourraient avoir comme sous-titre : "Inventaire des poisons secrétés par une démocratie hors de contrôle." Et il n’est que de nous souvenir, pour avoir une image vivante de la situation engendrée par cette dernière, du "portrait spirituel du démocrate" – selon les mots de Shimon Markish – "ce prédateur impérialiste typique que l’on retrouve dans la foule ignorante et capricieuse qui croit diriger les affaires alors qu’en fait ses chefs, des ambitieux intéressés, la manipulent à leur gré" ; ce modèle n’a peut-être jamais été aussi parlant que dans le dialogue La République de Platon, qu’il cite dans son livre Le Crépuscule de midi : "Dans son âme toutes les passions trouvent leur place, il recherche tous les plaisirs avec avidité, sans distinguer ceux qui sont respectables et ceux qui sont indignes et sans les faire passer devant le tribunal de la raison et de la vérité… C’est ainsi qu’il vit au jour le jour, aujourd’hui s’enivrant au son de la flûte, demain ne buvant que de l’eau, tantôt se vouant totalement aux exercices du corps, tantôt paressant et ne se souciant de rien… Tantôt il se passionne pour les affaires de l’Etat, tantôt il envie les militaires et se mêle de leurs affaires, ou encore il se préoccupe des marchands… Sa vie ne connaît ni ordre ni règles rigoureuses, et cependant il estime que ce genre d’existence est le seul agréable, libre et heureux. Tel il est, tel est aussi l’Etat démocratique."”
Samuel Brussel, préface à Nicolás Gómez Dávila,Les Horreurs de la démocratie, trad. Michel Bibard, 2003. 
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abdou-lorenzo · 2 years
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Mais si tu crois un jour que tu m'aimes
Ne le considère pas comme un problème
Et cours, cours jusqu'à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m'aimes
N'attends pas un jour, pas une semaine
Car tu ne sais pas où la vie t'emmène
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S'installe en toi
Pense à moi
Pense à moi.
Mais si tu.....!!
🪶🦋
Michel Berger..🪶🌹
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lboogie1906 · 2 days
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Lawrence Gilliard Jr. (September 22, 1971) is an actor who has appeared in films, television series, and theatre. He portrayed D’Angelo Barksdale on The Wire, a role which earned him critical acclaim. He is known for his role as Bob Stookey in The Walking Dead. He was in the cast of The Deuce, which premiered in September 2017 and concluded in October 2019. He has had roles in movies such as Straight Out of Brooklyn (1991), Next Stop Wonderland (1998), and Gangs of New York (2002). He was born in New York City. He and his family moved to Baltimore when he was seven years old.
He played clarinet and studied classical music at the Baltimore School for the Arts. He attended Juilliard School for three years as a clarinet performance student, he decided to pursue acting instead of music. He studied acting at the American Academy of Dramatic Arts, The Acting Studio – New York, and the Stella Adler Conservatory.
He has appeared on numerous television crime dramas such as Law & Order, Homicide: Life on the Street, The Wire, New York Undercover, and CSI: NY. Film roles include a love-struck ghetto teen in LottoLand (1995), an earnest college football player in The Waterboy (1998), and a member of the Dead Rabbits in Gangs of New York (2002).
He is a stage actor. He received positive reviews for his role of Booth in a production of the Pulitzer Prize-winning play Topdog/Underdog.
He married to actress Michelle Paress (2004-20). #africanhistory365 #africanexcellence
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christophe76460 · 1 year
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𝐋𝐄𝐒 𝐌𝐀𝐑𝐀𝐁𝐎𝐔𝐓𝐒 𝐄𝐓 𝐋𝐄𝐒 𝐅𝐄́𝐓𝐈𝐂𝐇𝐄𝐔𝐑𝐒 𝐎𝐍𝐓 𝐂𝐎𝐌𝐏𝐑𝐈𝐒 𝐐𝐔𝐄 𝐁𝐄𝐀𝐔𝐂𝐎𝐔𝐏 𝐃𝐄 𝐂𝐇𝐑𝐄́𝐓𝐈𝐄𝐍𝐒 𝐒𝐎𝐍𝐓 𝐍𝐀𝐈̈𝐅𝐒 𝐄𝐓 𝐌𝐀𝐍𝐈𝐏𝐔𝐋𝐀𝐁𝐋𝐄𝐒.
ILS SONT NOMBREUX SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX.
𝑀𝑎𝑡𝑡ℎ𝑖𝑒𝑢 7:15 « 𝐺𝑎𝑟𝑑𝑒𝑧-𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑎𝑢𝑥 𝑝𝑟𝑜𝑝ℎ𝑒̀𝑡𝑒𝑠. 𝐼𝑙𝑠 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑒𝑛 𝑣𝑒̂𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑏𝑟𝑒𝑏𝑖𝑠, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢 𝑑𝑒𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑙𝑜𝑢𝑝𝑠 𝑟𝑎𝑣𝑖𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟𝑠 »
Alors, ils ont pris les identités masquées et trompeuses de serviteurs de Dieu en se présentant comme des prophètes, des voyants, ou des personnes ayant la connaissance des grands mystères.
Ainsi, ils exploitent les peurs et les ignorances de ceux qui sont dans le besoin après avoir identifié les expressions qui attirent la clientèle, comme le poisson se fait piéger par l'hameçon. Les expressions telles que "blocage", "malédiction", "délivrance", "esprit de mort", "mariage", "guérison", "richesse", "sorcellerie"...
Pour que cela fonctionne ? La canne qui tient l'hameçon consiste à invoquer le nom de Jésus et à citer des versets bibliques. Et malheureusement, cela fonctionne !
Usant de leur pouvoir occulte et de manipulation, ils attirent en privé ceux qui mordent à l'hameçon pour leur prescrire des méthodes de délivrance qui trahissent leur identité réelle. Ils demandent des photos, des cheveux, et exigent l'usage de sel, d'huile, des prières particulières à des heures précises. Ils rentrent dans les rêves pour avoir des relations sexuelles et finissent par vider les comptes en banque.
Après, les victimes se retrouvent avec des problèmes spirituels en ayant ouvert des portes aux entités démoniaques. Les malédictions sont envoyées aux victimes qui demandent leur argent ou qui se plaignent. Les vies deviennent alors compliquées avec des attaques spirituelles permanentes et des visitations démoniaques.
La paresse spirituelle, le refus d'acquérir une connaissance spirituelle de la Bible, le désir de solutions simples, rapides et automatiques pour obtenir des bénédictions seront vos points faibles que l'ennemi exploitera.
Faites-vous aider et témoignez, si vous vivez honteusement ce genre de situation en cachette.
Des serviteurs de Dieu seront prêtes à vous aider :
Pascal Kossi Azanledji
Fortuné Balet
N'guessan Guy Ghislain
Edwige Lawson
Rebecca Lhomme
Michelle Pambou
Carmelle Ngatse
Shalom Gloria
Mbog Jean-Moise
Simon De Jésus Obame
Antoine Dion
Richel BN
Blanchine Mazanga
Bonne journée
Guy Rémi Pambou
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La problématique de la pauvrete' en Afrique:(chapitre3): lorsque les grands dirigeants de la planète se prononcent sur l'Afrique(en dehors des safaris et autres parcs animaliers),c'est en général avec un zeste de pitie' ou de reproches:"un continent de merde"(président Donald Trump),"l'Africain n'est pas suffisamment entre' dans l'histoire...le paysan africain travaille au rythme des saisons"(président Nicolas Sarkozy),"la France n'a pas vocation a' recevoir toute la misère du monde"(premier ministre français Michel Rocard) "Trade not aide"(président Bill Clinton).Ceux-sont ces propos peu amenes qui incitent a' exposer les différentes thèses et opinions concernant les causes et les aspects de la pauvrete' en Afrique.(1)Les causes de la pauvrete' en Afrique: lorsque l'on évolue d'une théorie a' une autre,l'on note que la grande pauvrete' en Afrique a des fondements structurels et des origines conjoncturelles.(A)Les causes structurelles de la pauvrete' en Afrique: **La traite négrière:le terme traite négrière ou traite des noirs désigne le commerce des esclaves déportés d'Afrique durant près de 13siecles.Phenomene historique en raison des dizaines de millions de victimes déportées d'un continent a' l'autre.Certains estiment que la traite négrière du fait de la déportation d'individus les plus robustes,sains de corps et d'esprit,a prive' l'Afrique de personnes qui auraient pu,par leur force de travail et leur intelligence booster son développement.**Les facteurs géographiques:Certains pensent que la présence du désert du Sahara et de la forêt dense en zone équatoriale a concouru a' décourager les échanges entre l'Europe,la Chine d'une part,et l'Afrique noire d'autre part.D'ailleurs la plupart des explorateurs européens qui parvenaient a' franchir ces obstacles mouraient moins de trois ans après de suite de malaria,maladie du sommeil,paludisme,fièvre jaune et autres.**La Malnutrition:la malnutrition se caractérise par un manque de nutriments dans le corps.Les causes possibles sont un régime desequilibre',les troubles de la digestion ou une maladie.Les symptômes de malnutrition sont la fatigue,des étourdissements et une perte de poids.Une malnutrition non traitée peut également entraîner une incapacité physique ou mentale.L'on a constate' que l'alimentation africaine comporte beaucoup de lipides,qui semblent être propices a' l'hypertension artérielle,a' la goutte,et a' l'arterosclerose .Le sel consomme' par plusieurs africains renferme peu ou pas d'iode.Le manque d'iode dans l'organisme provoque l'hyperthyroïdie,porte ouverte au goitre exolphtalmique ou a'l'agitation physique et au manque de concentration.La malnutrition peut également provoquer l'hypothyroïdie qui se traduit concrètement par la passivité et la paresse.**Les guerres tribales et civiles:Les génocides et purifications ethniques mobilisent les populations non pas vers des objectifs nobles de développement et de production mais dans une optique de destruction a' travers les achats d'armes,de mines,de grenades et autres machettes massacrante en minis morceaux de viande fraîche. **L'attitude face à la richesse:Beaucoup d'africains s'imaginent a' tort ou a' raison que l'on est riche parceque l'on a eu a' sacrifier dans la sphère sorcière une partie de sa progéniture,son frère,sa mère ou un membre de sa famille ou que l'on a pactise' avec le diable;ne pas le dire relèverait de la politique de l'autruche ou ce serait faire preuve de mauvaise foi.
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dixvinsblog · 2 years
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Contes et légendes-Louise Michel (1830-1905) - La vieille Chéchette
Il y a des êtres tellement disgraciés de la nature, tellement étranges à voir ou à entendreque leur seul aspect est un sujet de tristes études pour les uns, de folles moqueries pour les autres.Plusieurs de ces êtres-là n’ont pas toujours été ainsi : les uns ont eu quelque accident au moralou au physique, les autres, à force de se laisser mollement aller à la fatigue ou à la paresse, sontdescendus…
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selidren · 3 years
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Automne 1878 - Champs-les-Sims
4/5
TW : validisme
Par ailleurs, en cette année, mes plus jeunes soeurs ont atteint l’âge de dix-huit ans et demandent à présent à ce qu’on les traite en femmes. Mais encore une fois, pour des façon complètement opposées.
De son côté, Hélène se plait à nous montrer son indépendance en aidant à la vigne comme Clémence le faisait avant de devenir mère. Et il faut reconnaître qu’elle se montre d’une grande efficacité. Son souhait de rentrer dans les ordres est resté inchangé et déclenche encore de nombreuses disputes avec Mère qui préférerai qu’elle se marie et ait des enfants. Chacune est devenue radicale dans ses positions. Si Hélène ne veut pas en entendre parler, ce à quoi je peux souscrire, le fait que je ne sois pas “mariable” a exacerbé l’envie de notre mère d’avoir de nombreux petits-enfants.
Daphné, quand à elle, ressemble à une future épousée modèle. Elle se montre d’un grand calme et d’une grande obéissance. Il ne faut pas se fier aux apparences cependant, car elle est pourvue d’une puissante volonté qui m’a fait que ce renforcer au fil des ans, et elle met tout en ordre pour atteindre son objectif : épouser Louis Michel de Chastel. En ce sens, elle a commencé enfin à se cultiver, ce qui ne l’intéressait guère jusque là. Malheureusement, je ne pense pas que le manque d’intelligence de ma petite soeur soit du fait de la paresse. Entre nous, Maximilien et moi parlons parfois de déficience tant il lui est parfois difficile de saisir le sens de certains propos. Quand à Mère, elle soutient bien entendu Daphné, et nous répond souvent qu’être simplette l’aidera davantage à trouver le bonheur.
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Paresse watched with only a touch more than passive observation, as Mizho trained.
The rapid thump-thud of her shins against the dummies and the crack-snap of her cane, too.
He shifted his weight. She was a little off-beat. Rusty. Muscle memory that still needs to be fine tuned.
She pushes herself too hard. She nearly falls over when her adrenaline fades. He has to carry her back to her bedroom and bandage the places where sharp shinbone broke through fragile, young skin.
She regards the gentle and intimate actions with impassive boredom, but he sees the way her shoulders relax just a bit.
Paresse smiles to himself where she can't see it. He's so glad to have found her again. And he thinks she's happy to see him again, too.
She's different. Younger, a bit more filled out, more fragile. But it's her. She says she doesn't care what he calls her. And sometimes 'lieutenant' slips out without thinking. But he thinks 'she' fits her quite nicely.
It's not something he would have thought of if asked nearly a hundred years ago. He would have said survival suited Michel's face best. He wouldn't have tolerated the thought of his master carefully sliding eyeliner onto her eyes, even after remembering who she was. It wasn't a matter of keeping up a mask or trying to be someone she wasn't. Michel... Mizho... she wouldn't bother putting in that kind of effort for any reason other than her own satisfaction. She genuinely seemed pleased with herself when she got it right.
Though she has a terrible limp for a few days, and eventually has to get crutches, she keeps going. The crutches become her new rifle, and eventually her scythe. After a year, she brandishes them as lethally as a sword.
She still goes too hard training, but she always did.
After Vice's return, after their first full meeting, she sits in silence with him in her bedroom. Her on her bed, him on his usual place on the floor. She asks him if he still thinks she's the same person.
He never even considered she would be uncertain about that. Of course she is. Life's just easier now.
Even if she wears skirts and paints her nails? Even if she writes with a pink pen and dots her kanji with little skulls and hearts? Things that she never could have known she would have liked before.
He just nods. She's his master, she's still the same brutal and deadly person she was. She just gets to kick-box with a skirt that twirls pretty when she breaks a man's nose.
She gnaws on the lollipop in her mouth and sits up. She's looking at his lap. And she makes a brief comment about it being cold. It's a lie. He knows it's a lie. He leans back and moves his arms out of the way for her to come sit there, like she used to.
He marvels to himself, internally, at how small she is now. But he dares not say anything, wrapping his arms around her and setting his chin on her head. It's a little tighter of a curl than he would admit out loud. But he knew she'd also never admit to pressing into it.
They are sloth. Apathy. They do nothing that doesn't benefit them, they care for no one but themselves, they do only what they please. Perhaps it makes them weaker as an evil douji-master pair to care for one another. Perhaps it's foolish to run his fingers through her hair and whisper how much he missed her.
But he doesn't care.
That's what makes him what he is.
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oanthore · 3 years
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L'homme est fait pour raconter. Dès qu'il sait écrire ou lire, il s'atrophie et dégénère. La paresse l'envahit. Sa mémoire ne lui sert plus à rien, et l'esprit d'escalier prend le pas sur la répartie.
Michel Déon - Un taxi mauve
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tournevole · 4 years
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Autoportrait
La mer , l’océan, le bleu le rose, le rouge, le thé, le thé noir, vert, parfumé, mon préféré le lapsang souchong, le coca-cola, les bieres artisanales, et celles de la brasserie lindemans, la joie, les doutes, se promener dans les bois, l’histoire du petit chaperon rouge, alice , tim burton, mathias malzieu, la femme chocolat, petit bout de chocolat noir 90% à fondre sous la langue chaque soir, faire la grasse matinée, prendre le temps de ne rien faire, trier les livres dans la bibliothéque , René char, Man Ray, Henri Cartier-Bresson, lucien clergue, jacques -henri Lartigue, frida khalo, femme, feministe, parité , égalité, sororité, fraternité, j’ecris ton nom liberté, on n’est pas serieux à 17 ans, zelda sayre-fitzgerald, années folles, champagne, cave à vin, amis-amitié, rire, sourire, heureuse, amour, ma famille, mes enfants, amande, noisette, cerise, mangue, figue, abricot, sexe, faire l’amour, petit geste tendre sur ta peau, respect des silences de l’autre, , regarder les oiseaux, regarder les fleurs, se trouver si petite devant l’immensité de la foret, avoir peur des legendes contes et mystères, la mythologie, le reve d’Icare, magritte, dada, andré breton, picasso, fougita, astro boy, naoki urasawa, hoayo miyazaki, anna karina, benjamin bioley, tom waits, bruce springsteen, des camels, des philipp morris, de la sativa, steve reich, pina bausch, martha graham, philip glass, Merce-angelin-trisha, le sacre du primtemps d’igor stravinsky, l’oeuvre de satie, debussy. le louvre, le grand palais, le musée de l’homme,lucy- toumaï , yves coppens, michel serres, huberts reeves, aurlien barrau,Nietszche Friedrich, spinoza, le bons sens des gens de la terre, apprendre, etre curieuse de tout, saoulante, 2d degré, cinema, théatre, comedie française, théatre de l’odeon, théatre des amandiers, l’opéra garnier, l’olympia, le sud ouest, le sud-est natal, une ford mustang, le vent dans les cheveux, lunettes de soleil, odeur de la pluie d’été sur le bitume. soleil caché par les feuillages, paresse, jouer de la musique, les musiciens, la transmission, dire que je parle chinois en vrai, que j’ai pris l’ascensur avec david bowie, que j’ai assité à un concert de bob marley 1 an avant sa mort,  les savoirs partagés, la chaleur d’un cou, enlacer, faire des rencontres, croire en l’amitié homme-femme, artiviste, ne plus croire au prince charmant, se blinder,les couronnes de fleurs, la legende du roi athur, Morgane, les fées , les sorcières, les sortilèges, la bretagne, ne pas savoir ce qu’est une brosse à cheveux, ne jamais être parfaite, préférer l’être à l’avoir, mon monde interieur, my little mess, mon petit desordre, je n’aime pas choisir, je prefere l’alléatoire, que le destin en decide pour moi, or je ne souhaite pas avoir une vie toute tracée, j’aime le risque,chaque matin est une nouvelle vie, la routine loin de rassurer, m’enferme à tout jamais dans une norme. je suis en perpetuelle revolution, évolution, créative, 100 idées a la minute, foutraque, bordélique, la nouvelle vague, françois truffaut, faire des crepes, cuisiner, suivre son instinct, jeanne Added, etienne Daho, Paolo Conte, Abba- thiefaine, higelin -supertramp, pink floyd, Wish you were here, ne rien comprendre à la physique, au quantique mais m’obstiner, changer une roue, tri selectif, seconde main, manger bio, les amap, l’autre. 
et tant d’autre
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haitilegends · 4 years
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PLAIDOYER EN FAVEUR DE NOS DANSES FOLKLORIQUES ET DE NOTRE MUSIQUE
Par Louis Carl Saint Jean
Mon ami Loubert " Michou " François, fils du légendaire musicien gros-mornais Dieujuste François m’a envoyé un joli vidéoclip dans lequel on peut admirer le talent de danseur du peuple haïtien et la richesse et la diversité de notre culture. Je prends un immense plaisir à le partager avec vous autres qui appréciez encore la belle culture haïtienne. Ce délice a été filmé à Gris Gris, section communale des Côtes-de-Fer.
Ce vidéoclip confirme deux déclarations que je n’ai jamais cessé de répéter depuis ces vingt dernières années. D’abord, tous les genres musicaux haïtiens sont dansants et dansables. Ensuite, on n’a pas besoin de se rendre à une boîte de nuit huppée à Port-au-Prince, à Pétionville, au Cap-Haïtien, à Jacmel, aux Cayes ou dans n’importe quelle autre ville du pays pour danser et se divertir. On peut se récréer n’importe où, dans un luxueux salon d’une grande ville comme sous une humble tonnelle " andeyò ".
Pour parler dans le contexte des dénennies 1940 à 1960, à la Capitale et ses environs, il n’y avait pas que les " happy few " à se la couler douce les samedis soir. Ceux-ci allaient faire bombance à Cabane Choucoune, au Club Camaraderie, à Djoumbala et ailleurs au son de grands orchestres, tels que le Jazz Chancy, le Jazz Rouzier, l’Orchestre Issa El Saieh, l’Orchestre Ernest Lamy, etc.
Le peuple se réjouissait également, tant mieux que mal, avec les moyens du bord. Il le faisait au son de nos danses traditionnelles exécutées par de simples groupes " grenn siwèl " ne disposant que des instruments de fortune. On en trouvait, par exemple, chez Hermann Petit-Homme, à Lakou Bréa, chez Ti Boutt à la rue Saint Martin, au Bel Air, chez Miracule au Portail Léogâne, chez " Bèl Gouyad " au Corridor Bois-de-Chêne, etc. Les habitués de Bann Hermann ont toujours dit du plus grand bien de nos danses folkloriques, spécialement de notre dyouba. C’est un classique que notre " Wa ya… wa ya… Lamiral O, Lamiral O, fè dyouba mache, fè dyouba mache pou larènn danse".
J’ai été on ne peut plus émerveillé par la danse de modestes et jeunes paysans haïtiens au son d’une musique haïtienne jouée par des musiciens qui ne sont ni Antalcidas Murat, ni Guy Durosier, ni Michel Desgrottes, ni Murat Pierre, ni Raoul Guillaume, ni Félix Guignard, ni Edner Guignard, ni Gérard Dupervil ni aucune autre sommité de la musique haïtienne. Toutefois, ils ont joué de façon admirable. Les fêtards, eux, ont dansé avec quelle grâce, quelle classe, quelle décence, quelle élégance, quel charme! Selon moi, dans une certaine mesure, cela fait partie du génie haïtien. Le peuple haïtien est capable d’accomplir des merveilles. Il ne le fait par parce que tout simplement il lui manque l’encadrement et l’encouragement de ceux qui le gouvernent.
Oui, ce vidéoclip a prouvé effectivement que tous les rythmes haïtiens sont dansants et dansables. En plus, ils sont tous commerciaux. Cela est dit pour rassurer les businessmen qui, peut-être sans le savaoir et sans le vouloir, sapent les véritables fondements de la culture haïtienne. On ne les danse pas et on ne les commercialise pas pour une seule raison: nous avons toujours mis de côté tout ce qui nous vient de la paysannerie haïtienne, à part, bien sûr, ses denrées alimentaires. Et là encore, on n’en trouve presque plus puisque nous importons tout, même les œufs!
Donc, sans le vouloir et sans le savoir, sur le plan culturel et sur le plan artistique, nous avons réduit le pays à sa plus simple expression. Certainement, des efforts sont faits ça et là pour limiter les dégâts. Mais au point de vue national, comme c’était le cas en 1946 grâce à la vision et au patriotisme de l’Honorable président Dumarsais Estimé, depuis le 10 mai 1950 (la chute d’Estimé) rien n’a jamais été fait de manière concrète pour permettre un essor de l’art et la culture de notre pays.
Qui pis est, sans nous en rendre compte, nous pratiquons le " rejete ", un " rejete " fait sans Elie Lescot. Et c’est ce qui rend les choses encore plus dangereuses. Nous perdons la culture du pays. Oui, nous faisons un " rejete " sans Lescot et sans la bénédiction du clegé breton! Et c’est grave!
Et cette exclusion de la paysannerie haïtienne est pratiquée dans tous les aspects de la vie nationale. On ne le fait pas seulement dans le cadre de la musique haïtienne. On le fait (ou l’a fait dans le passé) dans le domaine sportif également. Par exemple, dans le football, autrefois chez nous (je me limite aux années 1940 à la décennie 1970), il n’y a pas eu une " sélection nationale " à proprement parler. Nos entraineurs avaient toujours aligné au sein de la sélection dite nationale des joueurs évoluant à la Coupe Pradel, à la Capitale.
Que je sache, le seul Port-au-Prince, ma ville natale, n’est pas Haïti. Mais, pour notre malheur, nous l’avons toujours traité en Haïti, traitant en parent pauvre toutes les autres villes du pays, spécialement les sections communales, celles qui constituent le vrai moteur de la nation. Surtout au point de vue culturel et artistique!
J’adorais la majorité des joueurs des sélections de 1970 et encore plus ceux de 1974. Je ne peux et ne dois rien enlever à leur mérite. Nous n’allons jamais oublier l’équipe " Tout pou yo ", l’exploit des Henri Francillon, Pierre Bayonne, Wilner Nazaire, Ernst Jean-Joseph, Arsène Auguste, Jean-Claude Désir, Philippe Vorbe, Guy Saint Vil, Emmanuel Sanon, Claude Bathelemy, Guy François, etc. Je les considère comme des gloires sportives haïtiennes.
Cependant, rendez-moi fol ou sage, à l’époque, certaines autres villes du pays regorgeaient de footballeurs qui auraient dû faire partie de notre " onze national ". Je crois que, renforcée de joueurs tels que Joseph Gemedy ou Pierre Donatien du Cap-Haïtien ou Elias Bendell des Gonaïves (sans compter d’autres), notre " sélection nationale ", aurait pu obtenir un bien meilleur résultat tant en 1969 face au Salvador qu’en 1974 face à l’Italie, la Pologne et l’Argentine, lors du tournoi de la Coupe du Monde de Football disputé en Allemagne Fédérale.
Mais comme on le fait depuis 1804, on a toujours donné la priorité et l’exclusivité à la " République de Port-au-Prince ". Et le résultat, dans presque tous les domaines, n’a pas toujours été trop convaincant.
Retournons à nos danses folkloriques et à notre musique. Tous nos rythmes sont dansants, dansables et commerciaux. Tout produit est commercial. D’ailleurs, dans le dernier cas, pour qu’il y ait commerce, il faut l’offre et la demande, loi qui détermine les prix dans un marché. Dans les années 1970, n’avait-on pas commercialisé chez nous le parfum " My Dream"? Des publicités très bien conçues l’avaient rendu très populaire. Par exemple, au Cap-Haïtien, Raymond Piquion, dans son émission " Pitit Kay ", sur les ondes de Radio Citadelle, et d’autres animateurs de la Capitale, sur celles de Radio Caraïbes, Radio Cacique, la MBC et d’autres stations de radio avaient vanté et rendu populaire ce produit, qui, admettons-le, était loin d’être d’agréable qualité.
Tout ce que nous devons faire est une publicité pour nos danses folkloriques qui se perdent lentement et sûrement, immolées sur l’autel de l’indifférence, de la démission collective, de l’ignorance, de la paresse et de la médiocrité. Nous devons nous rendre compte que nous avons une belle culture, un merveilleux patriomoine culturel et artistique à sauvegarder. Mais le tout s’évanouit malheureusement devant nos yeux.
Nous perdons nos édifices historiques, nos chants, nos danses, nos contes. Et cela se passe comme si de rien n’était. La dégradation de la société semble ne plus alarmer la majorité. Nos étudiants ne sont presque plus intéressés à notre littérature. Plus d’un est resté indifférent. Nos héros de Vertières ne sont plus glorifiés. Et presque personne semble s’en inquiéter. Les 17 octobre, 7 avril, 18 novembre sont devenus des jours réguliers. On aurait pris le 1er janvier pour un jour comme tous les autres, si on n’avait pas la fameuse " soupe joumou " à manger. C’est dommage, dommage et dommage! Pour reprendre le cri de Piram dans " Pèlen Tèt ": " Se domaj ki fè domaje! "
Nous avons au moins 160 rythmes, qui sont tous de très bonne qualité, tant mélodique que rythmique. Nous les avons souverainement méprisés, galvaudés. Nous avons oublié que nos paysans, eux aussi, peuvent nous offrir ce qu’il y a de plus beau et de plus noble dans notre art, dans notre culture. Mais nous n’avons fait aucune demande de leur art, de leur génie. Mao Tse Toung s’était écrié une fois: " Seul le peuple est artiste! " En 1976 ou 1977, chez le peintre Luckner Lazard, au 1068 New York Avenue, à Brooklyn, l’ancien président, le professeur Leslie François Manigat avait dit: " Le peuple est le vrai détenteur de la culture haïtienne. " (Référence: William Pierre, témoin oculaire et auriculaire.)
Chers amis, je vous encourage vivement à regarder ce vidéoclip. Vous n’allez pas le regretter. Vous allez jouir de sept bonnes minutes de de danse haïtienne, de musique haïtienne. Vous allez admirer des frères et sœurs en train de danser, de s’amuser sainement et décemment. L’Haïtien de 2020 comme celui de 1920 doit exhiber la même décence, le même décorum quand il diffuse notre art. Il doit le faire où il puisse se trouver, dans un beau et grand salon comme sous une tonnelle. Compliments à ces humbles musiciens de Gris Gris! Bravo aux excellents danseurs et aux danseuses. Ils sont tous des artistes merveilleux. Ils ont droit à mon respect.
Oui, tous les 160 rythmes haïtiens sont dansables. Même si je serai le seul et le dernier à le faire, je ne cesserai jamais de parler haut et fort et de faire l’éloge de nos danses folkloriques, parmi elles des danses biséculaires, voire multiséculaires: lancier, polka créole, menuet, martinique ou dyouba, ibo, contredanse, pétro, yanvalou, congo, méringue et de nos autres danses nationales.
Oui, tous les rythmes haïtiens sont dansables. On ne doit ni les rejeter ni les immoler sur l’autel immonde du commerce. Ce sont des dons de nos ancêtres. Ils récréent le corps, l’âme et l’esprit.
Louis Carl Saint Jean
3 mai 2020
HAÏTI⭐LEGENDS
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claudehenrion · 5 years
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Après l’échec inévitable du progressisme…                                    ( II ) : peut-on rattraper ses folies ?
  Michel Houellebecq qui, à sa façon un peu “tordue”, sait si bien parler de notre échec actuel, a compris que, ayant perdu notre ancienne identité, nous en sommes réduits à la quête perpétuelle d’une caricature d'adolescence prolongée. Les Hommes ont traité leur civilisation par dessus la jambe,et c’est elle, en retour, qui les abandonne, en les privant du sens de la “profondeur’‘ : en surface, seuls les frémissements du vent sont perceptibles, mais tout ce qui est vrai est invisible ! Le monde actuel est un gigantesque iceberg dont, obsédés par la partie visible, nous refusons de voir les sept huitièmes immergés, qui sont les seuls qui comptent !
  C'est alors qu'on se met ’'en recherche du Père”, disait Freud… Mais aujourd'hui, le personnage du “Père”, maudit par les fous (et les folles, et les grandes folles), est prié sans douceur de se mettre aux abonnés absents. Œdipe, en 2019, est sommé d'assassiner un Père... qu'on lui interdit d'avoir, en plus. Et comme on lui fait croire qu'il a, avant ça, déjà tué Dieu, il lui reste la névrose ! Mais comme tout se tient (cette constatation, pleine de sagesse s'oppose à l'intenable “et en même temps” cher à notre Président –qui manque décidément complètement de socle, de “thésaurus” et de références historiques, philosophiques et autres…), la fin de l'Homme est inscrite, par définition pourrait-on dire, dans “la mort de Dieu”, ce cauchemar inventé par des non-penseurs à courte vue. Ce que je sais le mieux, c'est mon commencement, écrivait sagement Racine (dans “les Plaideurs”). Mais l'homme moderne a cru possible et malin de tourner délibérément le dos à la sagesse… sans voir à quelles catastrophes il ouvrait la porte, alors que, sans “commencement”, il ne saurait, bien sûr, y avoir une “suite”…
  D'autre part, comme les extrêmes s'attirent, le nihilisme et l'utopisme partagent la même addiction pour le vide (par fascination du néant pour l'un, et par attirance pour une société parfaite – à la fois rêve impossible et cauchemar– pour le second). Ces deux échecs de la pensée moderne se rejoignent dans les mensonges et les raisonnements fallacieux, qui partagent une sorte de  (mauvaise) foi dans une fausse logique pseudo-universaliste, peuplée de faux bons sentiments qui ravagent tout et qui détruisent la France et l'Europe à toute vitesse, par exemple en interdisant de dire que certaines populations sont plus (ou moins) assimilables que d'autres. Celui qui oserait avouer qu’il a des pensées aussi saines tomberait sous le coup d'une accusation imméritée (mais socialement pénalisante) de racisme dit sélectif et d'anti-progressisme. Haro sur le baudet !
  Tout le monde connaît cet énorme bobard, repris en boucle par toute la presse et, plus généralement, par tous ceux qui ont remplacé la réflexion par des formules incantatoires –mais fausses : le “Nous sommes tous des fils d'immigrés” (nous en parlions, il y a peu) a contaminé une majorité de citoyens français. Cet énorme mensonge nous conduit à être notre propre bourreau et le responsable de notre propre décadence, puisque cette absurdité voudrait faire croire, contre toute vérité et toute logique historique, que l'existence de la culture d'un pays ne soit que le résultat de discriminations hégémoniques multi-séculaires… elles-mêmes fruits de préjugés ethnoculturels illégitimes dus aux hasards de l'Histoire (NDLR : les populations ‘’indigènes’’, réfractaires à cette lecture de l'histoire, devront bien entendu être rééduquées pour devenir plus “progressistes”. Tout le monde dit ça’’… et Emmanuel Macron le tout premier, pour notre malheur !). En tous cas, de ceux de mes arrière grands-parents, que j'ai connus, qui sont venus des Pays Bas ou d'Italie pour devenir français, aucun n'a jamais invoqué une double nationalité ni refusé d’adopter les us et coutumes du pays d'accueil qu'ils aimèrent plus que tout !
  Le concept de racisme automatique, présupposé, global et systémique, a ceci de bon ou de mauvais qu'on peut l'étendre à qui on veut : les retraités, les juifs, les conservateurs, “les autres”, les catholiques, les automobilistes, les paysans, les mangeurs de porc, le hommes qui aiment les femmes… et plus généralement, à tous les mâles blancs, hétérosexuels, de plus de 50 ans (et s'ils sont cathos, leur cas est encore plus grave !), qui sont seuls responsables de tout ce qui ne tourne pas rond depuis l'homme de Neandertal. Mais comme ils sont coupables par principe, toute référence au peuple ou à la nation comme réalités historiques est donc désormais assimilée explicitement au racisme, devenu une obligation dite sacro-sainte (en réalité, ni l'une, ni l'autre, bien entendu !) de sacrifier aux stupidités à la mode, dont la christianophobie ambiante, réelle, et une pseudo islamophilie par système, inventée mais réputée inversement homothétique.
  A chaque instant, des forces immenses mettent la planète en danger de guerres qui pourraient vaporiser des continents entiers, mais nos nains politicards politicards qui se voient en géants se contorsionnent intellectuellement (et autrement !) pour hâter la fin de tout ce qui, qu'ils le veuillent ou non, marchait infiniment mieux que tout ce qui nous est proposé... depuis que la gauche a réussi à se mettre dans la posture du leader d'opinion qu'elle n’a pas vocation d’être.
  La vraie question qui se pose, bien plus que celle qui sert de titre à ce “billet”, est : “comment faire pour que les choses rentrent dans l'ordre, que les gens ouvrent enfin les yeux, pour que les systèmes de référence qui ont fait leurs preuves reprennent le pas sur ceux qui n'ont réussi qu'à semer des pleurs et des grincements de dents”… et pour que les choses qui étaient et allaient mieux, hier, ne sombrent pas, par amalgame, avec tout ce qui va si mal, aujourd'hui ! 
  Nous libérer des erreurs intrinsèques au progressisme prendra du temps. Mais cela ne pourra se faire qu'en tournant le dos à tous les vrais mensonges et les fausses évidences qu'il trimbale derrière lui et qu'il réussit trop souvent à faire triompher, grâce à, ou plutôt à cause de notre manque de lucidité devant ce qui se passe… Et, pourquoi ne pas le dire, à cause d’une paresse et d’un “je m'en fichisme” envahissants... qui risquent de nous coûter très, très cher, bientôt.
H-Cl.
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rmi-ra · 4 years
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Il nous faut dépasser la diplomatie « moraline »
Il nous faut dépasser la diplomatie « moraline »
«  L’histoire se répète. Mais il serait vain et ridicule de souscrire à la scie musicale marxiste selon laquelle ce qui apparaît la première fois sous forme de tragédie revient toujours sous forme de comédie. Fausse pensée de vrai, paresse intellectuelle et facilité rhétorique ». Michel Onfray.« Grandeur du petit peuple, éditions Albin Michel. p.7 »  Ce que veut dire Onfray par le biais de cette…
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anachoretism · 6 years
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The other day I tagged you to name 11 films that describe your aesthetic, and after your post, I want to inquire: what are the 10 books that influence your aesthetic? [Hope you have a nice day!]
Thank you for asking me, it was a delight to make! I couldn’t limit myself to 10 (I’m not sorry) (in no particular order).I’ll probably post english translations in the next few weeks if I have the time.
1. Joris-Karl Huysmans, A Rebours.Il s'égarait dans les songes qu'évoquaient pour lui ces stances aromatiques, ramené soudain à son point de départ, au motif de sa méditation, par le retour du thème initial, reparaissant, à des intervalles ménagés, dans l'odorante orchestration du poème.
2. Jules and Edmond de Goncourt, Manette Salomon.Il se faisait, à cette heure, une magie dans la forêt. Des brumes de verdure se levaient doucement des massifs où s'éteignait la molle clarté des écorces, où les formes à demi flottantes des arbres paraissaient se déraidir et se pencher avec les paresses nocturnes de la végétation. Dans le haut des cimes, entre les interstices des feuilles, le couchant de soleil en fusion remuait et faisait scintiller les feux de pierreries d'un lustre de cristal de roche. Le bleuissement, l'estompage vaporeux du soir montait insensiblement; des lueurs d'eau mouillaient les fonds; des raies de lumière, d'une pâleur électrique et d'une légèreté de rayon de lune, jouaient entre les fourrés. Des allées, du sable envolé sous les voitures, il se levait peu à peu un petit brouillard aérien, une fumée de rêve suspendue dans l'air, et que perçait le soleil rond, tout blanc de chaleur, dardant sur les arbres toutes les flammes d'un écrin céleste. La fenêtre de Rembrandt, où il y a un prisme, et où jouerait la Titania de Shakespeare dans une toile d'araignée d'argent, c'était ce paysage du soir.
3. Stéphane Mallarmé, Poésies.L'Angoisse ce minuit, soutient, lampadophore, / Maint rêve vespéral brûlé par le Phénix
4. René Char, Fureur et Mystère.La couleur noire renferme l'impossible vivant. Son champ mental est le siège de tous les inattendus, de tous les paroxysmes. Son prestige escorte les poètes et préparent les hommes d'action.
5. Jean Racine, Athalie.Le Ciel même a pris soin de me justifier. / Sur d'éclatants succès ma puissance établie / A fait jusqu'aux deux mers respecter Athalie.
6. Jules Barbey d’Aurevilly, Les Diaboliques.Nous vivions en plein azur du ciel ; seulement ce ciel était africain, et cet azur était du feu.
7. Honoré de Balzac, La Fille aux yeux d’or.[…] ce n'est pas seulement par plaisanterie que Paris a été nommé un enfer. Tenez ce mot pour vrai. Là, tout fume, tout brûle, tout brille, tout bouillonne, tout flambe, s'évapore, s'éteint, se rallume, étincelle, pétille et se consume. Jamais vie en aucun pays ne fut plus ardente, ni plus cuisante.
8. Gustave Flaubert, Hérodias.[…] on ne savait pas si elle pleurait un dieu ou se mourrait dans sa caresse.
8b. Gustave Flaubert, La Tentation de Saint-Antoine.Les gouttes de pluie nous meurtrissent, les sons faux nous écorchent, les ténèbres nous aveuglent. Composés de brises et de parfums, nous roulons, nous flottons – un peu plus que des rêves, pas des êtres tout à fait…
9. Émile Zola, La Faute de l’Abbé Mouret.Les troncs se ployèrent comme sous un grand vent ; les herbes laissèrent échapper un sanglot d’ivresse ; les fleurs, évanouies, les lèvres ouvertes, exhalèrent leur âme ; le ciel lui-même, tout embrasé d’un coucher d’astre, eut des nuages immobiles, des nuages pâmés, d’où tombait un ravissement surhumain.
10. Nietzsche, Dionysos-Dithyramben (All the poetry really) (I haven’t read most of the philosophy yet though)J'aperçois un signe : / Du plus lointain des lointains / Vers moi lentement descend, étincelante, une constellation… (Transl. Michel Haar)
11. Donna Tartt, The Secret History (obviously, no point quoting this one)
12. Jean de la Croix, all the poetrySa clarté jamais n'est obscurcie / et je sais que toute lumière d'elle est venue / malgré la nuit […]
13. Lautréamont, Chants de Maldoror.Il y avait du vague dans mon esprit, un je ne sais quoi épais comme de la fumée ; mais, je sus franchir religieusement les degrés qui mènent à votre autel, et vous avez chassé ce voile obscur, comme le vent chasse le damier.
14. Paul Valéry, Poésies.[…] D'où s'exhale d'un dieu l'acte retentissant.
15. Oscar Wilde, Salomé.Thy voice was a censer that scattered strange perfumes, and when I looked on thee I heard a strange music.[…]  I was chaste, and thou didst fill my veins with fire.
16. Maurice Maeterlinck, Serres chaudes.Seigneur, ayez pitié du verbe ! / Laissez mes mornes oraisons / Et la lune éparse dans l’herbe / Faucher la nuit aux horizons !
16b. Maurice Maeterlinck, La Princesse Maleine.Il faudrait toute l’eau du déluge pour me baptiser à présent.
17. Marcel Schwob, Le Livre de Monelle.Ne souille pas tes mains le long des lignes usées. Purifie tes doigts dans des eaux nouvelles.
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