Tumgik
#mur-dur!
crossingintostardust · 3 months
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SJM Characters as Classic Vine -
Lucien :"When will you learn that your actions have consequences?"
Cassian : Mother trucker dude, that hurt like a butt cheek on a stick."
Dorian : "Do it for the vine”
Chaol : “Staaaahp! I coulda dropped mah croissant!”
Manon: “I love you, bitch. I ain’t never gonna stop loving you… bitch”
Nesta: "I brought you Frankincense." "Thank you." "I brought you Myrrh." "Thank you." "Mur-dur!" "Huh...Judas..no!"
Aelin : “Zach stop you’re gonna get arrested”
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chifourmi · 4 months
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Voilà on s'est appelé avec le Dieu Grec et on a conclu que c'était mieux qu'on s'arrête là. Parce qu'il n'est vraiment pas prêt à tenter quelque chose de sérieux. Il m'a dit qu'il s'était construit un mur et que c'était impossible de le détruire parce que c'est déjà arrivé l'année passée et quand ça arrive ses émotions sont décuplées et il peut aller loin. Je ne sais pas à quel point mais c'est bien le redflag que j'avais aperçu. Il m'a dit qu'il avait beaucoup travaillé sur lui et qu'il travaillait encore sur lui à ce niveau là. Et je me dis que c'est bien qu'il s'en rende compte et qu'il ne prenne pas le risque de blesser d'autres personnes. C'est mieux que ça n'aille pas plus loin du coup. Mais ça m'énerve que des sentiments soient apparus parce que ça a gâché ce qu'on avait. C'était trop beau, c'était léger, c'était adorable.
Il m'a dit qu'il n'avait jamais eu de relation comme ça aussi longue et il trouvait ça fou que ça se soit aussi bien passé et qu'il n'y ait jamais eu d'embrouille. Ça a duré 8 mois. Il m'a dit que j'étais quelqu'un de vraiment bienveillant, que j'étais une trop chouette personne, qu'il aimait bien que j'aille vers tout le monde tout le temps avec le sourire.
C'était trop beau notre appel, c'était trop touchant. Je lui ai dit ce que j'aimais chez lui, que j'aimais trop le fait qu'il parle beaucoup parce que moi j'adore écouter, que j'aimais trop son côté passionné aussi. Puis on a tout mis au clair pour qu'il n'y ait plus aucun non-dit. J'aurais tellement voulu le voir une dernière fois mais il m'a dit que c'était pas une bonne idée parce que ça me ferait encore plus mal. Je sais qu'il a raison mais c'est dur. Limite l'appel m'a fait ressentir encore plus de choses pour lui. Il m'a dit que je lui manquerais et c'est bête mais avant l'appel j'avais l'impression de n'être absolument personne pour lui. Et j'ai compris que c'était archi faux. Il m'a dit que j'avais bien fait de le faire maintenant parce que pendant ses examens ça aurait été dur pour lui. Et il m'a demandé si j'avais prévu des choses de mon côté pour ne pas trop ruminer.
J'avais tellement de mal à raccrocher.
Je me sens tellement légère, j'ai plus du tout cette boule au ventre. J'avais tellement besoin qu'on parle. Je suis tellement heureuse et tellement triste en même temps. J'arrive pas à croire que je le verrai plus et que je n'aurai plus jamais de messages de sa part. J'ai envie de pleurer sans m'arrêter et en même temps j'ai pleins de beaux souvenirs en tête. C'était trop beau ce qu'on a vécu.
(18/05/2024)
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cricxuss · 1 month
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PLAISIR DE LECTURE
--- TEXTE EROTIQUE de LOUISE DUMONT
Tu es étendu sur le lit, tout nu, la lumière tamisée, tu te crois seul, mais je vient de rentrer. Je t’entends bouger doucement, je t’observe, je vois tes mains qui caressent doucement ton torse, qui glissent sur tes hanches, sur ton sexe qui palpite à ton toucher. Tu joues avec les poiles qui l’entoure, une de tes mains va plus loin vers tes couilles. Ta main droite glisse tout autour de ton gland et le serre lentement, je vois une goute de sperme qui brille, j’entends un petit gémissement, je crois que tu t’imagines des choses érotiques, ton sexe gonfle, s’érige, tu le serres plus fort, un vas-et-viens, j’ai des frissons d’un coup, j’ai envie de poser ma bouche, de te prendre entre mes lèvres et continuer mais je reste te regarder. Tes gémissements se font plus fortes, ta main caresse, masse, joue avec le bout de ton gland, jusqu’à ses racines, tes autres doigts prends tes boules, les serrent pour plus de plaisir. Un cri étouffé, tes hanches qui ondulent, se soulèvent, tu écartes tes jambes plus fort, tu t’abandonnes à des milliers des sensations solitaires, je m’enivre, je mouille, alors, je descends ma main et je me touche, mon clitoris qui réagit violement, je me mords les lèvres pour ne pas gémir et t’effrayer.
Je sens les coups de tes reins dans mon ventre en feu, je sens mes doigts qui glissent, qui te remplacent, je m’imagine ton sexe dur qui m’enfonce, je te regarde toujours, tes mouvements de plus en plus rapides, j’ondule, je me frotte contre le mur, ma tête en arrière, je te regarde, encore et encore, plaisir exquise de voleuse de sensations, tu t’attrapes avec les deux mains, tu serres fort, tu cris presque, ton sexe érigé et gonflé à l’extrême, un jet de sperme qui jailli d’un coup de râle animal que je ressens au plus profond de moi-même. Tu te relâches doucement, je reprends mon souffle, je glisse au long du mur et je ferme les yeux dans une chaleur béate…
P: Louise Dumont
ART Stephane CZYBA
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e642 · 6 days
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Plus j'avance et plus j'introspecte, plus je remarque qu'une chose dont je souffre c'est aussi et sûrement un complexe d'infériorité. Ça vient, je pense, du fait que mes parents et surtout mon père, m'aient toujours rabâché que j'étais banale. Je me souviens d'une phrase de mon père "ta mère et moi on a toujours été banals, on a rien fait de grand, on s'est toujours contentés d'être moyen et tu devrais le faire aussi, tu es comme nous". Un manque assez criant de fierté à mon égard pour tout ce que j'ai toujours entrepris, du moindre saut d'un grand mur quand j'étais gosse, à ma licence, en passant par mon permis. Ça a toujours été médiocre, normal de faire ce que je faisais car il n'y a pas de quoi être fière de s'engager dans quelque chose. Si on s'y engage, c'est a priori que, on se sent capable de le faire, on a pas soulevé des montagnes. Ça m'a donc souvent induit ce sentiment tenace d'incompétence pour tout et n'importe quoi. Dès que je ratais je me sentais honteuse parce que je m'étais trop évaluée pour eux. La moindre chose est devenue frustrante car j'ai une phobie à la fois de rater car c'est normal je ne suis pas incroyable mais aussi de réussir car c'est normal que ça fonctionne. J'ai jamais trop su où me mettre sur ce curseur là car je n'ai jamais vu de réelle différence de réaction. C'est pour ça que chaque minuscule petite chose triviale me tend parce qu'en réalité je crois que j'ai envie de prouver. Un échec qui a été dur ça a été quand j'ai redoublé ma terminale, l'année de ma tentative de suicide, j'ai eu peu de soutien de leur part. Mais si je dois ouvrir cette réflexion, je dirais que relationnellement parlant, j'ai toujours attendu qu'on me fasse me sentir spéciale, qu'on relève ce que je faisais, qu'on justifie la relation par un "tu nes pas n'importe qui". Parce que jusque là, on m'a toujours laissé penser et j'ai toujours accepté cette pensée, que j'étais n'importe qui car je ne ferais rien qui sortirait des sentiers battus. Personne à ce jour m'a même une seule seconde fait réaliser que j'étais quelqu'un de particulier pour elle/lui. J'ai seulement coché les attendus. Je ne veux pas dire spéciale dans le sens mes actions dépassent l'entendement de la bienveillance, de la sympathie, de l'amour et de l'humanité, j'en suis loin, mais spéciale dans le sens quelque chose qui émane de moi. J'ai voulu marquer les gens que je rencontrais, les gens avec qui je vivais mais ça n'est jamais arrivé. J'espère que je ne vivrais pas toute la vie dans cette sorte de prisme d'incapacité et d'insuffisance. J'espère aussi qu'un jour on me fera naturellement me sentir comme moi et pas comme tout le monde. Je ne crois pas que ce soit exagéré ni pathologique d'avoir ce besoin de singulier et d'unique en somme. Je ne suis pas dupe, l'unicité au sens large concernant l'être humain n'est pas concevable, peut-être juste alors faire découvrir une personne que les gens n'ont pas encore découvert. Juste être un bibelot de plus dans la palette de gens qu'on croise, de corps qu'on épouse, de personnalité qu'on s'amourache. J'ai peur d'être ce quelqu'un qui ne fait même pas froncer un sourcil, éveiller une seule pensée, allumer une seule flamme.
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lexiie-xd · 1 month
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16 août 24
Quand tu discutes avec un mec sur Wannonce en fin de soirée et qu'il t'invite à passer chez lui.
Quand tu as tellement envie de baiser que tu traverses Mulhouse à 1h du matin.
Quand tu découvres qu'il vit dans un quartier que même ton GPS ne trouve pas l'adresse.
Quand il n'y a plus d'éclairage de rue et que tu dois marcher une plombe en talon dans l'obscurité pour rejoindre son immeuble.
Quand tu te dis que tu as vraiment faim pour en être là.
Quand tu te dis aussi que c'est tellement agréable de marcher dans la rue habillée comme une pute.
Quand tu arrives au 7ème étage (avec ascenseur... ouf!!!) et que tu te rapproches du bonheur.
Quand le mec ouvre et te dit qu'il a fait une connerie en te disant de venir parce qu'il est shooté à mort!
Quand tu te dis qu'il faut vite se barrer parce que les mecs drogués c'est pas ton truc.
Quand tu lui dis que c'est pas grave et que tu penses le contraire mais que tu ne veux pas faire d'histoires.
Quand tu redescends les 7 étages (avec ascenseur... ouf!!!) complètement frustrée et encore plus en manque.
Quand tu traverses le hall de l'immeuble et qu'un mec rentre.
Quand tu dois assumer d'être habillée comme une pute en croisant un mec dans un hall d'immeuble éclairé.
Quand tu dis bonsoir le plus naturellement possible.
Quand le mec te répond gentiment et que tu vois dans son regard qu'il a mis moins de 3 secondes à comprendre la situation.
Quand il y a un flottement dans l'action en cours.
Quand le mec s'arrête, te sourit, te montre son bas ventre et une porte à côté de toi.
Quand tu lis sur la porte que c'est la cave et que tu as peu de temps pour te décider.
Quand le mec te sourit toujours et te dit "on y va?"
Quand c'est trop dur de réfléchir, que tu es encore sous la surprise, que t'as un peu peur et beaucoup envie.
Quand tu suis bêtement le mec dans la cave.
Quand à peine arrivée en bas des escaliers il te plaque le dos contre le mur en béton.
Quand tu es surprise, apeurée et qu'il t'embrasse à pleine bouche sans te laisser le temps de respirer.
Quand il défait sa ceinture et baisse son jean en t'embrassant toujours à pleine bouche.
Quand tu penses à ton rouge à lèvres qui va faire la gueule et que déjà il te pousse à te mettre accroupie devant lui.
Quand il te met sa queue déjà dure dans la bouche et que tu n'as encore pas pu prononcer un mot.
Quand tu as la tête coincée contre le mur et qu'il te bourrine la gorge.
Quand tu commences à étouffer, que tu baves carrément et que tu n'arrives plus à réfléchir.
Quand d'un coup il te relève, te retourne face au mur, qu'il t'enlève ta veste et t'arrache ton string violemment.
Quand il t'embrasse dans le coup et te mordille la nuque en te traitant de salope.
Quand décidément tu n'as toujours pas pu parler, ni pu réfléchir.
Quand tu as moins peur.
Quand il te rentre sa queue bien gonflée en continuant à te mordiller la nuque et en te tenant par le hanches.
Quand tu peux enfin réfléchir, tu te dis qu'il aurait pu te lubrifier et mettre une capote.
Quand tu te dis finalement qu'au minimum il aurait au moins pu te le demander.
Quand il te besogne à fond et que tu te dis que visiblement ce n'est pas le genre de mec à poser des questions.
Quand tu en es là de tes réflexions et que tu sens qu'il s'active plus vite.
Quand tu as le visage contre le béton froid et qu'une de ses mains est toujours sur ta hanche.
Quand son autre main t'écrase la gorge et que tu te demandes s'il va vraiment t'étrangler.
Quand il fini de s'activer et qu'il te lâche la gorge.
Quand il reste immobile au fond de toi pour savourer son plaisir.
Quand tu comprends que ton plaisir il s'en fiche.
Quand il sort et qu'il te dit de lui nettoyer la bite avec la langue.
Quand tu t'éxécutes sans discuter parce que tu as compris que c'était inutile.
Quand tu t'accroupis avec le cul encore ouvert.
Quand tu penses à la flaque que tu vas laisser par terre à la femme de ménage.
Quand tu finis de lui nettoyer la queue et qu'il te dit de te casser.
Quand devant lui tu attrapes vite fait ton sac à mains et ta veste et que tu te sauves, en bredouillant un merci.
Quand il te répète de te casser vite fait, salope.
Quand tu finis d'enfiler ton manteau dans le hall de l'immeuble et que tu penses à ton maquillage.
Quand tu retraverses le quartier dans l'obscurité, un filet de jus qui coule sur les cuisses, en espérant ne rencontrer personne.
Et bien finalement tu te dis qu'il existe encore des vrais mecs!
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lisaalmeida · 11 months
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VOIX
J'aime les pierres, les étoiles et la lune qui embrasse les herbes du raccourci sombre J'aime les eaux de l'indigo et le doux regard Parmi les animaux, divinement purs. J'aime le lierre qui comprend la voix du mur Et les crapauds, le doux tintement Des cristaux qui s'éloignent lentement, Et de ma santé visage dur. J'aime tous les rêves qui se taisent Des cœurs qui sentent et ne parlent pas, Tout cela est infini et minuscule! Une aile qui nous protège tous! Immense, hoquet éternel, qui est la voix De notre grand et misérable destin! ...
FLORBELA ESPANCA
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swedesinstockholm · 7 months
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23 février
j'ai entendu une humoriste sur france inter qui disait qu'elle se sentait tellement seule qu'elle allait se faire faire des manucures pour que quelqu'un la touche et les gens dans le studio ont poussé des exclamations de dégoût choqué, les gens ne sont clairement pas prêts pour mon livre. et puis ce matin, toujours sur france inter, j'ai entendu un écrivain que je connaissais pas qui parlait de son travail d'homme à tout faire et de sa situation d'ultra précarité et que parfois c'est dur mais bon c'est lui qui l'a choisi (avant il était photographe et il portait des costumes dior). il est publié chez gallimard mais il est quand même homme de ménage et archi pauvre, il peut pas chauffer plus d'une pièce de son appartement que j'imaginais tout pourri à la bordure d'un paris imaginaire avec de la tôle rouillée et des murs qui suintent. il faut que j'arrête de voir la publication comme une finalité. je veux de l'argent, tant pis pour la liberté, ça veut rien dire la liberté. il me faut un plan de carrière.
25 février
encore en train d'écouter le nouvel album d'mgmt, je crois que je commence à l'adorer. j'étais un peu partagée au début. j'ai regardé des interviews et ça m'a replongée en 2008 dans mes jours de groupie en chef d'andrew vanwyngarden. ils sont inextricablement liés à mon adolescence de bloggueuse insupportable mais touchante (quelqu'un m'avait dit ça un jour dans les commentaires et je trouve que c'est une bonne description). dans une interview on leur demande pourquoi ils sont pas sur les réseaux sociaux et andrew dit qu'à leur époque c'était pas cool de s'auto-promouvoir et que faire un selfie c'était le truc le plus embarrassant du monde et ça m'a fait réaliser que beaucoup de temps avait passé depuis... je sais pas, que je suis née? aussi j'ai toujours honte de faire un selfie en public.
andrew a 41 ans. il est verseau, comme r. et comme a. j'ai réécouté leurs deux premiers albums hier, après m'être promenée sur le campus du lycée pour me rouler dans la nostalgie. la nostalgie de quoi, je sais pas trop parce que j'étais aussi déprimée à 17 ans qu'aujourd'hui, le seul truc bien c'était la musique les concerts et ma double vie de bloggueuse populaire où les gens me disaient que je leur manquais quand je partais en vacances. la première fois que j'ai écouté mgmt c'était un dimanche matin sur youtube, c'était le printemps et j'avais 17 ans et j'étais assise au pc dans la pièce de l'ordi et il faisait probablement soleil. le soleil et le printemps sont des composantes importantes de ma relation à mgmt. leur musique me rend nostalgique de plein de choses que j'ai connues et pas connues. comme wildflower des avalanches. 
les choses pas connues: les époques avant les années 90; les états-unis. les choses connues: un truc doux et joyeux de l'enfance, une piscine chaude où il fait bon vivre; les sapins, la forêt de manière générale; le soleil (PLEDGE ALLEGIANCE TO THE SUN); le jardin de la maison quand j'étais petite, les fleurs de ma grand-mère, les habits que j'aimais quand j'étais petite (le tshirt avec les papillons, du rose barbie et du vert fluo, du jaune bordé de rouge, des pois, des fleurs); du bois (meubles).
6 mars
je me force à écrire. je suis en crise. j'ai envie d'exploser et d'imploser en même temps. j'ai envie de manger du sucre mais j'en ai pas envie, j'ai juste besoin de combler un vide, HA, à chaque fois je crois avoir trouvé un truc profond mais après je me rappelle que ça existe déjà et que c'est archi commun. j'essaie d'écrire un texte sur les mythes pour un appel à textes mais je me sens submergée par l'ampleur du thème et par les choses que j'ai à dire mais en même temps j'ai rien à dire. j'ai trop pris goût à avoir mes textes publiés dans des revues, c'est en train de devenir addictif, comme mon addiction aux annonces de location immobilières bruxelloises sur fb. je suis accro aux photos d'apparts dans lesquels me projeter et je suis accro à voir mon nom imprimé sur du papier.
mon texte sur a. tiré de bluettes que j'ai été assez naïve d'envoyer à deux revues différentes a été sélectionné par les deux revues et j'ai du choisir entre les deux et ça m'a stressée toute la journée lundi. j'en avais mal au ventre, comme à chaque fois que je dois faire un choix, ça a pris des proportions de vie ou de mort, j'avais peur de faire le mauvais choix et de le regretter toute ma vie. j'arrive pas à accepter l'idée selon laquelle y a pas de mauvais choix. dans ma vision des choses, y en a toujours un qui est forcément mieux que l'autre. j'arrive pas à voir les choses à égalité, tout est en compétition. alors j'ai demandé conseil à j. de paris, vu qu'elle a fait des meilleurs choix de vie que moi, je me suis dit que son intuition fonctionnait mieux que la mienne, et je l'ai suivie.
j'ai écrit aux deux revues en rentrant de la chorale et j'avais l'impression d'être dans the voice quand les candidats doivent choisir un coach et qu'ils s'excusent auprès des autres de pas les avoir choisis, sauf que ça aurait été mille fois plus facile de choisir un coach de the voice (mika). j'arrivais pas à croire que j'étais en train d'écrire un mail à une revue pour leur dire qu'elles pouvaient pas publier mon texte, j'avais l'impression de me tirer une balle dans le pied. en plus elles m'ont dit que ça leur faisait rien à elles que mon texte soit publié ailleurs. j'arrive pas à m'en remettre. l'autre revue m'a dit que c'était un beau luxe de pouvoir choisir mais entre la peur de faire le mauvais choix et la déception de pas être publiée dans mouche j'arrivais à peine à savourer le goût du succès.
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the-ninth-moon · 5 months
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𝟿𝔱𝔥 𝔪𝔬𝔬𝔫 𝔰𝔢𝔞𝔯𝔠𝔥𝔦𝔫𝔤
Instant pub, les ami·es. Car 9th moon, c'est la maison, un forum rpg med-fan cosy à la commu a-do-rable. Des inspirations à la frontière entre the witcher, bottero, lotr, the fitz and the fool. On attend plus que v o u s. Je vous présente ici quelques recherches, magnifiées par les icons de memory card VIII.
🗨️ 𝔴𝔢 𝔴𝔢𝔯𝔢 𝔞 𝔣𝔞𝔪𝔦𝔩𝑦. ( Lil, 1f )
attendue par Nelis et Jasper Aurdoza.
Rêveuse, elle en avait le caractère avant d'embrasser le pouvoir de l'imagination et du dessin. [...] Elle a disparu depuis ce début d'année, sans qu'on sache si c'est un enlèvement.
🔥 𝔡 𝔦 𝔳 𝔦 𝔫 𝔢 𝔬𝔯𝔭𝔥𝔞𝔫𝔰. ( m ; f ; n ; 1 / 5 )
KEYWORDS. orphan, gosses comme des armes, chaos, f i m j i r, sorcellerie, sacrifices, flames. attendu·es par Elio, Nithya, Morwen et Ashara.
L'orphelinat d i v i n e, murs éclatés aux froideurs noctambules, le brasier toujours avivé aux abords du jardin, les cris des gamins qui se sont tus. Il y a là quête d'une armée, gosses récupéré·es sur les bords de la route, esseulé·es, éperdu·es, qui finissent par se vautrer dans le silence et la peur, avant les ardeurs de la mort.
🌙 𝔪𝔬𝔬𝔫 𝔞𝔫𝔡 𝔰𝔱𝔞𝔯. ( 2f )
(en cours) KEYWORDS. famille, troubled peace, soldats, gathering storm, équilibre attendues par Beren Azantys.
The Moon. f 50yo+ ;; Elle est la glace, il est le feu. Elle est son phare dans la tempête, celle qui le raccroche aux choses essentielles. Il doute parfois, Beren. Elle, jamais. The Star. f 25yo ;; Tempérament flamboyant, petite fille devenue jeune femme. Son père éprouve des difficultés à la laisser voler de ses propres ailes. Il veut la protéger, elle le défie.
🏴󠁧󠁢󠁳󠁣󠁴󠁿 𝔭𝔬𝔲𝔡𝔯𝔢 𝔫𝔬𝔦𝔯𝔢. ( m ; f ; n )
KEYWORDS. dark flames, cœur de lion, homme de l'ombre, secret lies. attendu·e pa Ringer Bellona.
Il garde le corps et les cœurs, ombre parmi les ombres, la plus loyale de toutes, celle qui a tout vu, tout compris, tout acquis, sans pour autant avoir pris parti. Le laëris est connu pour son goût prononcé pour les secrets et la droiture.
🗯️ 𝔲𝔫𝔠𝔥𝔬𝔬𝔰𝔢𝔫 𝔣𝔞𝔪𝔦𝔩𝑦. ( 2m )
KEYWORDS. famille dysfonctionnelle, laeris, politique, riche, âmes en peine, rage, docilité attendu·es par Iris Dragan.
Père. m 50yo+ ;; Homme riche, statut élevé, il a pourtant fait un mariage d'amour. Sa femme, c'était son joyaux, sa lumière. [...] Retrouvailles... Elle, libre et lui, ivre de rage qu'elle soit partie. Jumeau. m 31yo ;; Iris et lui étaient proche, fusionnels. Et puis, elle l'a abandonné. Juste une note dans son lit pour lui dire au revoir. Parce que ça aurait été trop dur pour eux deux. Elle ne sait pas s'il lui en veut, aujourd'hui. Peut-être. Il en aurait le droit.
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soeurdelune · 11 months
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hello! je n'ai pas de reco à faire, je voulais juste te dire que wow tes avatars sont sublimes, je suis tombée par hasard sur ton tumblr et franchement j'adore ton style, tes compos sont dingues. ☆ aussi, j'aimerais te demander où est-ce que tu trouves généralement tes ressources (textures, brush etc.) ? notamment les 'larmes' (visibles sur un avatar d'adria arjona) qui m'intéresse mais je n'arrive pas à les trouver (j'dois pas utiliser le bon keyword i guess). merci d'avance. ♡♡
hi! c'est tellement gentil comme message, merci beaucoup ♡♡ pour répondre à ta question, je fais mes brush à partir de mes propres photos/textures et/ou de photographies gratuites/libres de droit sur internet (je fouille souvent sur des sites comme pexels, unsplash, pixabay, ou sinon wikimedia commons et flickr en utilisant les bons filtres, je recommande toujours ces sites comme base plutôt que de passer par pinterest par exemple)
des textures c'est pas si dur à faire si tu as un téléphone portable avec une caméra pas trop nulle, un peu de temps libre, et du matériel ou des trucs jetables chez toi! (papier froissé, vieux vêtements, les reflets d'une fenêtres sur un mur ou de la peinture qui s'écaille, y a moyen d'être assez créatif!)
concernant les larmes que j'utilise sur mes avatars, je les dessine moi-même directement donc je ne saurais quelle ressource téléchargeable te conseiller à ce propos... mais je pense qu'en bidouillant des photos comme celle-ci, y a sans doute moyen de créer des effets de larmes plus réalistes qui pourraient être assez chouettes, à tester!
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mmepastel · 5 months
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Rholala, quelle merveille.
Je n’aurais pas cru me passionner pour une histoire de mariage à la cour des Médicis au XVIe siècle, mais la magie de Maggie O’Farrell a encore frappé. Comme pour Hamnet, elle s’est emparé d’un personnage un peu oublié de l’histoire, ici Lucrèce de Médicis, et s’est intéressée à elle, aux silences de l’histoire. Elle est allée dans le sens des rumeurs qui entourent sa mort, un an après ses noces, et a vraiment réussi à faire revivre une époque, des mœurs, des lieux très éloignés de nous, le tout dans une prose éblouissante. Le texte est vraiment très beau, presque précieux, érudit, orné, tout autant que son héroïne est nue, seule, comme une bête sauvage en cage (une tigresse par exemple ?), qui doit pourtant s’efforcer de complaire à tous, et notamment à son ombrageux mari, le duc de Ferrare.
Imaginez, mariée à quinze ans, morte à seize. Ayant vécu certes parmi les privilégiés de son temps, mais entièrement soumise à sa fonction : étendre le pouvoir de ses parents, puis celui de son mari.
C’est drôle, parce qu’au fond, j’ai un peu eu l’impression de lire du Lola Lafon : la fillette, dont on scrute les menstrues avant de lui faire épouser le duc (puisque sa promise -la sœur de Lucrèce ! -est morte de tuberculose), la femme qui doit se taire, obéir à son époux même lorsqu’il se montre effrayant, l’utérus sur pattes qu’elle devient avec son mariage, sommée de donner naissance à un héritier, vite !
Le corps comprimé dans des habits, ou dans les rideaux du lit à baldaquin, sous le corps musculeux de son mari enfiévré, ou entre les murs d’un palais glacial, ou encore empêché, figé, pour permettre une peinture luxueuse, le fameux portrait qui donne le titre au livre.
Malgré toutes ces entraves, ces noeuds serrés autour d’elle, elle réussit, dans la souffrance mais avec un panache intérieur, à s’échapper artistiquement, à saisir la beauté, à comprendre les cœurs, à laisser le sien invincible. Sa force -que lui donne la fiction de l’autrice - est très émouvante. Son histoire devient un conte féministe anachronique, nié par les faits, mais auquel on croit, dur comme fer, même si ce n’est que littérature…
C’est aussi à ça que servent les histoires, réécrire, transformer la laideur en beauté… ce récit est son tombeau, aussi impressionnant que digne et lumineux.
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e642 · 6 months
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Journée plutôt morose. J'ai pas dormi de la nuit, entre terreurs nocturnes, insomnies, réveil tôt, travaux. J'ai ouvert les stores et il pleuvait. Je n'ai jamais aimé la pluie, même dans un foyer où il fait chaud, avec son amoureux, sous la couette, ça m'a toujours inspiré du chagrin. Loin de l'apaisement que certain.e.s peuvent ressentir. Voir en continu des crashs de gouttes sur le sol, ça m'a toujours fait quelque chose. Ça ne me réconforte pas la pluie, ça me conforte dans une sorte de léthargie. Je fume ma énième clope à la fenêtre. Je ne me sens pas mal, seulement vide, et je crois que c'est pire pour moi. Je fais les cents pas. Je ne sais pas par où commencer ma journée étant donné que je me languis qu'elle se finisse. L'impression de perdre mon temps est à son apogée. Remarque, il y a très peu de moments où je n'ai pas cette sensation désagréable que tout m'échappe et que je pourrais combler les minutes si je le voulais vraiment. Je constate toujours que mon appartement est en bordel très rapidement mais mon énergie ne se recharge pas aussi vite. Alors je slalome entre les objets en désordre, les trucs qui traînent, certains n'ont pas bougé depuis mon emménagement, je vois la poussière s'accumuler, ça me fait me dire que ça fait déjà longtemps que je suis entre ces 4 murs. Tout est une question de constant dans ma vie. Je me sens loin de tout et tout le monde. J'ai pas spécialement envie de parler à des gens, ni les voir, partager ou raconter quoi que ce soit. J'ai des inquiétudes presque triviales du fait que tout le monde les a et que de toute manière je suis soumise au paramètre temps. Dur de m'en détacher, douloureux de continuer à ne pas le faire. J'apporte rien et on ne m'apporte rien. Mon esprit est boulimique de l'insolvable, du compliqué et pourtant si restrictif quand il s'agit du léger, du récréatif. Toujours à réfléchir aux moindres choses qui finalement n'ont rien de complexe et qui ne demandent même pas de réflexion de prime abord. L'art de rendre tout plus indigeste. Pourtant c'est pas un concours, ni me faciliter la vie. Il y a si peu de jours qui semblent déterminants comparés à ceux qui semblent si inféconds.
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holographicditz · 8 months
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tisiphone is the most bimbo coded character in Hades because people try to talk to her and shes like "umm mur-dur?🥰"
serve mommy
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ivo-oz · 8 months
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💧💧💧
ℌ𝖊𝖊𝖇𝖊𝖘 : 𝕲𝖊𝖓𝖊𝖘𝖊
〖chapitre 2 〗
Attention, ce texte sera peut-être modifié à l'avenir afin de le perfectionner
Hurlé...
J'ai hurlé
Je leur ai hurlé toute l'amertume qu'ils avaient créée en moi.
J'aurais préféré préparer ces mots, les imbiber d'émotion pour qu'ils ressortent plus impactant.
Je suis le sujet. . . le sujet de leur murmure
Mais au lieu d'une belle éloquence, il en ressortit...
Des gémissements puérils et grossiers.
Des mots gorgés de haine et de saleté...
Vilain Petit canard tu ne fais qu'interrompre l'harmonie d'une belle famille en plein repas. Tes mots sale sont sortis noir d'inutilité.
Il y eut le calme, il y eut le cri, il suivit le silence.
Des regards se levèrent, tous orientés vers moi.
La table entière dévisageait mon visage ruisselant de larmes.
Ils se lancèrent dans des murmures indiscrets en n'articulant que les mots susceptibles d'être blessants.
Le salé avait remplacé l'amer.
On me regardait enfin.
« Sors de cette table ! » ordonna grand-père.
Vos yeux ne peuvent pas traverser les murs ; au-delà de cette salle, je redeviendrais étrangère.
Ces mots n'atteignirent pas mes oreilles.
Je regagnai ma chaise en enlevant de mon visage ces larmes qui n'avaient plus lieu d'être.
Les murmures s'intensifiaient.
Grand-père essayait tant bien que mal de se faire obéir.
Il élevait graduellement sa voix d'un ton menaçant à chacune de ses phrases, pendant que je contemplais silencieusement les traits déformés de son visage.
Noyé dans cette apothéose.
Et dans cette escalade d'hourvari toujours plus bruyante, Il finit lui aussi par crier.
Quel bonheur, il est si dur de profiter de toutes les nuances d'émotion que sa colère me procure.
Submergé dans ce torrent d'attention, mes l'armes débordèrent de nouveau.
C'est comme ça que je veux me sentir, c'est comme ça que je veux vivre.
C'est dans cette nuit de novembre que Héebe est née.
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444namesplus · 7 months
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Ba Bahihl Balt Ban Bava Be Behl Bemehl Bemord Ben Berd Bi Biga Biger Bimor Bin Binir Bir Bisuhl Bitha Bo Boha Boso Bu Bufi Buga Buhehl Buhl Bukyils Bumehl Bur Da Dar Darirk Datihl De Degihl Dehl Deli Demeld Den Denahl Di Diba Dife Digohl Disark Disihl Dityor Dofun Doko Dono Du Duban Dubu Dult Dumu Dunuhl Dur Duro Duthu Duve Dyape Dye Dyifar Dyome Dyopi Dyubo Dyun Dyuvan Fa Falin Fate Fe Fefi Fehu Femin Fer Fera Fi Fidi Fifar Fir Fison Fisyuhl Fivu Folork Fose Fulir Fur Ga Gakyar Ganirs Gars Ge Gefurs Gehl Gelehl Gemon Gi Gilu Gitehl Godark Gofi Gope Goro Gothahl Gu Gudan Guferk Guhl Gulihl Guse Gusen Gutin Ha Haha Hameld Hamult Hart He Hefo Hegar Hekyuhl Hene Henir Hevehl Hevun Hi Hiferd Himo Hin Hirs Hivo Ho Hofuld Hon Hosu Hothohl Hoto Hu Hugohl Hukyur Kaders Kadolk Kalols Kana Kapihl Kar Ke Keba Kelur Ki Kifor Kirun Kisalk Kityahl Ko Kobo Kogi Kovi Ku Kude Kun Kuvor Kya Kyapu Kyede Kyemo Kyi Kyifo Kyivers Kyoka Kyonon Kyor Kyore Kyupu La Lalo Lamu Lar Le Lebor Lefehl Lege Lehl Len Lepi Ler Lethalt Li Libirs Lima Limur Lin Lir Lirs Lisir Lisye Lo Lodu Lofin Lohahl Lothahl Lu Ludo Luhahl Lupolk Lur Lurd Lure Lurehl Lurk Lurt Lutirk Lutu Ma Mahl Make Man Mareld Mebo Men Meno Mer Mera Mesa Methon Mi Midihl Mikyu Milk Min Mir Mise Mohl Mon Mosi Moson Muber Mukun Muper Mur Murk Na Nadalk Nagen Nalalk Nan Nar Nator Nava Navor Ne Nedo Nedyi Nela Nele Ner Nere Netihl Nihen Nir Nird No Nofu Nohl Nolurk Noma Nomin Nomu Noren Nork Nors Nu Nufa Nukyar Nulk Nurt Nuvalt Pafahl Pafo Pakin Pan Par Pe Pefer Pegerk Pehl Per Pi Pipihl Pirs Po Pofir Pohu Pon Por Pothehl Pova Pu Pube Pukihl Pulen Pun Pusa Puthar Ra Rahl Raso Re Rekuhl Relan Rerer Ri Ribi Rihl Rilk Rilo Rils Rimork Ritha Ro Rodu Ron Ror Rork Rota Ru Rubehl Ruda Rufo Rukyur Same San Sark Savork Se Sedyu Sehl Sen Senird Sevils Si Sihl Silo Sima Site Sofohl Sotye Su Suku Sulk Suruld Susu Syebu Syehon Syir Syiri Syon Syubahl Syuni Ta Talk Tapi Tard Tave Te Tedyo Tehl Telals Tema Tepald Teper Ter Teta Tha Thabird Thadi Thaha Thar Thart The Theden Thekahl Theld Thepo Therk Thi Thihert Thikir Thild Thilk Thimor Thin Thine Thir Thisor Thofen Thonon Thopilk Thork Thoser Thota Thu Thun Thutor Thuvo Ti Tibur Tifen Tihi Tikalk Tikirk Tili Tir Tisu To Togo Tomur Tudu Tuli Tun Tupin Tuta Tya Tyafe Tyakye Tyalo Tyikard Tyilk Tyimin Tyin Tyofe Tyu Va Valo Van Vatan Vegi Vehl Veke Ver Vetihl Vi Vikyur Vimuhl Vinu Vipehl Vonult Vor Voru Voto Vu Vukye Vurehl
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fabian5 · 1 year
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tu es là, immobile, nu, tu as senti un frôlement comme un courant d'air, tu frissonnes, ta respiration devient plus saccadée, l'envie te vient qu'il violente un peu ta chair, la fasse rougir, tu as le dos tourné et tu ne le vois pas, tu sens simplement ce qui se passe dans ton dos, le sexe dur désiré et désirant qui glisse sur tes fesses, tu gardes le dos tourné obstinément, tu le sens, oui, tu le sens, tu poses tes mains sur le mur, tu t'ouvres, tu attends le va-et-vient incessant qui bientôt en toi...
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bazarpoetique · 11 months
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14 Août 2021
Photo que je viens de retrouver dans mon portable.
Il y a comme un air de nostalgie à la regarder. Le temps passe trop vite et on a si peu de temps pour faire ce dont on a vraiment envie avec toutes les contraintes que la vie nous impose.
A cette époque, je rêvais d'être ailleurs que là où je suis aujourd'hui. A cette époque, qui n'est pas si loin, j'étais certaine que je serais un jour pleinement heureuse.
Nous voici le 13 Novembre 2023, j'ai bien entendu évoluer depuis, j'ai réussi une partie de ce que je désirais réussir, et pourtant cela ne me comble pas. Parce qu'il me manque encore des choses, parce que je ne suis toujours pas là où je voudrais être.
On me dit que je me pose trop de questions, que je cherche trop, qu'il faut prendre la vie comme elle vient. Les gens se lèvent, vont travailler même s'ils n'aiment pas ce qu'ils font, même si leur collègues sont horrible et rentrent chez eux le soir, et c'est pas grave même si c'est dur parce qu'ils ont leurs enfants, leur partenaire et de l'argent qui rentre tous les mois.
Ce système de vie ne me convient pas. Et pourtant à la maison, je ne supporte plus de voir les mêmes murs et d'être enfermé et à l'extérieur, je ne supporte pas la superficialité ambiante qui m'empêche de nouer ne serait-ce qu'une relation amicale.
J'aimerais juste pouvoir vivre et profiter de la vie. Mais pas vivre pour faire marcher l'économie du pays, pas vivre pour rendre des comptes, vivre pour moi, ma famille, découvrir le monde même si mon monde se limite à mon pays où à ma région.
Mais comme Jane Eyre le dit, certainement plus joliment que moi : je ne supporte plus de voir l'horizon en me disant que je ne pourrai jamais y aller.
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