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details-beast · 30 days

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35 - Commencer une scène improvisée

"Qu'est-ce que je fous là..." - improvisateur X, le regard vide, au début d'une impro

Vous galérez en début de scène ? Vous ne savez pas quoi faire ? Vous pensez que vous vous en sortez, mais avez la sensation que vous les commencez toujours de la même manière ? Vous avez envie de poser des bases solides, lisibles et riches dans vos débuts d'histoires, ou cherchez simplement de nouvelles pistes ?

Formidable ! Parlons un peu de ces premières secondes, où nous passons d'un Espace vide à une scène, où se jouent des histoires, des situations ou des games.

Cette entrée en jeu sera souvent un teaser de l’improvisation à venir. Elle est fragile, il faut donc en prendre le plus grand soin. Il est essentiel d'y mettre les bonnes informations, claires, de ne pas se tromper, de bien comprendre qui sont les personnages, où on est, à quoi on joue, et d'avoir des super idées pour que cette rencontre avec l'autre soit géniale ! Si vous avez tout ça en tête avant de jouer ou pendant que vous jouez, félicitations ! Vous êtes en train de paver votre route vers... le mur !

Le syndrome du bon élève

L'improvisation n'est pas le territoire des "bons élèves". J'entends par là qu'il n'y a pas une liste exhaustive des choses à faire et à ne pas faire pour obtenir une bonne improvisation. Respecter les règles, poser le plateau / la plateforme (qui, quoi, où), en somme, établir un plan logique et structuré ne sera jamais suffisant pour créer une improvisation intéressante, ça sert surtout à poser une improvisation compréhensible. De plus, tous les débuts d'impro ne se construisent pas systématiquement suivant un schéma narratif. Attention, fuir les "règles" et la simplicité n'assure rien de bon non plus. Il ne s'agit pas de chercher l'originalité à tout prix, mais de rester ouvert à d'autres types d'écriture.

Nous connaissons énormément de mantras comme "oui et", "sois précis", "pose un plateau rapidement", "ne pose pas de question", "ne joue pas de négociations", "ne fais pas de scène d'enseignement" etc. Ces phrases chocs, ces "règles", semblent chargées de bon sens et pourtant, comme le dit très bien Mick Napier dans son ouvrage Improvise - Scenes from the inside out, non seulement elles ne font pas mieux jouer, mais elles peuvent également être destructrices. Oui, on peut observer certains comportements redondants dans les scènes qui ne fonctionnent pas, mais ils sont davantage une conséquence qu'une cause.

"Une bonne improvisation ne doit rien au respect des règles, mais penser aux règles (NB. sur scène) peut empêcher une bonne improvisation"

Nous apprenons à observer ce qui ne fonctionne pas, à y faire attention et à garder tout ça dans un coin de nos esprits. Or, entrer sur scène avec le cerveau chargé d'informations sur ce qu'on ne doit pas faire, c'est entrer sur scène dans un état de tension (cause). Et ça ne nous fera jamais mieux jouer, c'est assurément se priver d'un espace mental pour faire autre chose (conséquence). Pourtant, pour progresser et pour affiner nos qualités de jeu, il faut bien apprendre un sacré paquet de choses sur la narration, les styles littéraires, la mise en scène, l’interprétation et il faut comprendre les comportements de jeu qui nous font défaut. Mais au moment de jouer, il faut avant tout croire en ce qu’on a travaillé. Faciladir !

L'état et l'impro

L'ÉTAT (vous !) : Trop réfléchir à ce qu'il faut faire ou ne pas faire = tension, préparation et construction du mur qui vous sépare de votre partenaire. Bien entendu, puisque vous êtes en train de cogiter, vous n'êtes pas présents sur scène. Vous imaginez être à la base de l'histoire et que sans vous, rien ne se passera. Or... on se moque de vos connaissances et de votre technique si vous n'êtes pas en état de vous en servir, alors lâchez votre envie de bien faire et soyez "là".

Ça tombe bien, l'improvisation est l'art de l'instant présent avant tout autre chose : tout ce qui se passe ou ne se passe pas contribue à l'écriture de la scène. Si vous n'êtes pas attentif à ce qui se passe maintenant, vous allez davantage fabriquer, parfois avec brio, mais vous ne serez pas en train de jouer ce que la scène propose, vous serez en train de peindre ce que vous avez en tête et c'est tout. Ce n'est pas QUE ça l'improvisation... (mais c'est un peu ça quand même). Il s'agit également de dessiner les scènes avec nos sens, avec nos réactions, et avec nos sensations, pour éviter de rester en surface.

L’IMPROVISATION (l'enjeu !) : Notez que je ne parle pas d'objectif, qui peut contraindre notre esprit à une finalité et donc nous priver d'écoute et de perméabilité - on sait où on va... et il y a un risque qu'on écoute POUR aller dans notre vision plutôt que dans la dynamique de la scène. Et puis on sait très bien ce que notre cerveau veut faire : il veut nous rassurer, comprendre vite à quoi on joue et bien mettre les jalons pour rester en sécurité le long du trajet. Mais alors comment définir l'enjeu sans s’enfermer ? Je crois que c'est tout simplement donner de l'intérêt à la scène que vous jouez, que ce soit en lui donnant du sens, de l'émotion, de la forme, et même du fun ! Cela ne contraint pas à une narration ou à un style.

Au risque de passer pour Captain Obvious, si vous prenez uniquement soin de vos fesses, mais pas de la scène, elle a peu de chance d'avoir de l'intérêt.

Être plus qu'un individu

Je disais plus haut qu'il s'agit, un peu, de peindre ce qu'on a en tête, quoi que ce soit, et de se laisser affecter par les répercussion. Si c'est la même chose pour votre partenaire, vous êtes en train de créer une scène qui sera probablement unique.

On a peut-être trop entendu parler de "ping pong" pour les échanges en impro, comme si nous nous passions la responsabilité de la scène, comme si c'était chacun son tour. Et si nous voyions davantage les gens comme une onde, liée en toutes circonstances ? Nous serions, le temps de la scène, la somme de nos propositions, et de nos réactions. Moins effrayant, plus riche... tout bénef ?

Si on n’a pas grand chose en tête, il suffit de faire un choix, n'importe lequel, et d'avoir le courage de le défendre (et par là j'entends bien : ne te dis pas que c'est nul, assume ce que tu as entamé). Bien sûr, tout ça n'a d'intérêt que si tu n'oublies pas ton fkn partenaire ! C’est mieux quand les gens sont contents de jouer avec toi.

J'espère être on ne peut plus clair là-dessus : votre état détermine votre capacité à ÊTRE et à ÊTRE AVEC. Être, c'est devenir un personnage prêt à être traversé par des propositions, prêt à réagir, prêt à renvoyer ce qu'il traverse à un public. Si vous êtes coincés dans le besoin de démontrer ce que vous savez faire, vous parlerez aux cerveaux des gens et à leur analyse de ce qui est drôle, malin etc, mais le personnage devient juste quand le public croit en ce que nous jouons. Il ne peut pas exister si nous n'y croyons pas.

Être avec, parce que ce personnage ne devient concret que dans ses interactions avec l'autre, avec le contexte, avec ce qu'on va pouvoir révéler de lui. Encore une fois, si vous n'êtes pas sincèrement en train de jouer avec l'autre, vous resterez en surface. La précision et les qualités d'écriture que vous aurez vous permettront de mieux lire et de mieux développer les scènes que vous commencez.

Raconter quelque chose ensemble

Le plateau - QUI, QUOI, OÙ - est un outil pour préciser votre connexion à l'autre, mais la qualité des informations ne remplacera jamais la qualité de la connexion avec l'autre. Par contre, à partir du moment où jouer avec l’autre devient facile pour vous, vous avez tout intérêt à vous pencher sur cette notion : bien utilisée, ce n’est pas un mur qu’elle vous offrira, mais un tremplin ! Mettre des personnages dans un contexte inhabituel, jouer une scène a priori classique mais dans un lieu inapproprié, tout ça devient possible quand vous avez une lecture de ce qui se passe en début de scène. Vous l’aurez compris, ce n’est pas sur le plateau que je tape en début d’article, mais sur l’improvisateur bloqué dans sa tête.

Si vous êtes en train de commencer un game avec l'autre, c'est la même chose : il sera important d'être bien présent pour que le jeu se développe et évolue.

Coucou, c'est Nabla !

Merci Eddy de me donner le clavier le temps d'un paragraphe ! :)

Pour celleux qui ne me connaissent pas, j'ai hâte de vous rencontrer et de commencer des scènes improvisées avec vous !

Je me permets de remettre une phrase marquée juste au-dessus, parce que je la trouve capitale : "Le plateau est un outil pour préciser votre connexion à l'autre". J'ai même envie d'aller plus loin :

La scène improvisée, pour moi, c'est un jeu.

L'espace scénique, c'est un plateau de jeu.

La plateforme / Le plateau, ce sont les règles du jeu auquel on veut jouer, ensemble !

Je m'explique avec un exemple :

- Si je commence par dire "Chérie, attention où tu mets tes mains !", je dis à ma partenaire que je veux jouer à un jeu où je m'inquiète pour elle.

- En me répondant ''Mais papa, je veux juste caresser le lion !", ma partenaire me dit qu'elle veut jouer à une enfant dans un zoo ! Et en plus, elle m'aide à jouer l'inquiétude, parce que c'est un lion quand même ! Elle est super ma partenaire.

- Si je termine en disant "Je préfère qu'on aille voir les oiseaux, ils ont des perroquets magnifiques. Tu aimes ça, les perroquets ma chérie ?", je continue à jouer le jeu que je veux jouer (l'inquiétude) tout en jouant le jeu de ma partenaire (une enfant dans un zoo).

Nous avons nos règles : maintenant, nous n'avons plus qu'à jouer avec engagement en attendant - de manière active - les imprévus qui rendront le jeu intéressant (pour mes partenaires, pour le public, pour la régie, pour le monde).

Plus haut, nous voyions que la plateforme sert surtout à poser une improvisation compréhensible : je préfère penser que la plateforme sert surtout à poser un jeu commun compréhensible.

Je rends le clavier maintenant, ma fille caresse les lions, bordel !

"ON A COMPRIS !"

Je suis dans le bon état, et maintenant ?

Et si nous parlions technique ! Pour pouvoir faire des choix en entrant, il faut avoir conscience de ce qui est possible dans ce fameux espace vide. Je préfère le dire tout de suite, si vous n'avez pas envie de charger votre cerveau au point de le voir fumer, il est inutile d'essayer de tout mettre d'un coup sur votre démarrage. Prenez UN élément, puis montez la dose à mesure que vous serez à l'aise. Si vous devez rester concentré pour tenir un personnage (ex : un tic) et que ça détériore votre écoute, vous en faites déjà trop.

Voici une liste non exhaustive de ce qu'on peut poser en début de scène:

style (plutôt burlesque, littéraire, naturel/dramatique)

relation (qualité, titre)

personnage (caractère, personnalité, physicalité, état, émotions)

météo (chaud, froid, pluie etc)

action (geste simple, répétitif ou évocateur)

couleur (j'entends le ton de la scène, l'ambiance)

mise en scène (!!!)

lieu (ouvert, fermé, identique au partenaire ou pas)

promesses (y-a-t-il des non-dits ? Un objet mystérieux ?)

catégories (si c'est un match)

titre/thème (on y reviendra)

(!!!) - La mise en scène kesako ? Et bien comment vous mettez en scène votre jeu : un solo centre scène qui raconte quelque chose, quatre au fond et un devant, une contée où le conteur raconte sa propre histoire et passe de conteur à personnage etc. Tout est possible, mais c’est à vous d’imaginer ce qui est possible !

Les meilleurs ennemis ! (bonjour à Zazie et à Pascal)

Quoi qu'il en soit, les premiers choix que vous ferez poseront la base de votre scène. Si vous êtes mal à l'aise, ou peu expérimenté, il y a de fortes chances que votre début de scène ressemble à :

A - (fait une action imprécise sans regarder son partenaire)

B - (traverse la scène, vient coller A) : "Tu n'as pas fait le nécessaire."

A - (arrête son action) : "De quoi tu parles ?"

B - "On avait dit qu'on invitait les voisins ce soir"

A et B - (passent la moitié de la scène à essayer d'avoir raison)

Et on obtient une de ces fameuses scènes de personnes face à face, dans un espace théâtral vide*, qui se renvoient la balle pour essayer d'avoir raison, comme si la réponse allait rendre la scène plus intéressante. Tout ce qu'on doit savoir est dit, parce que c'est le public qu'on essaye de convaincre (et de la pire manière puisqu'on lui explique). On est en train de le séduire, pas de lui raconter une histoire. Or, on se moque de savoir qui a raison, on veut savoir ce que ça implique pour les personnages et ce que ça révèle d'eux. On veut voir comment ça se traduit dans leurs attitudes, leurs respirations, leurs regards, leurs gestes et à la fin, peut-être, dans leurs paroles. Alors seulement, nous pourrons commencer à avoir des personnages nuancés et subtils.

Si vous voulez jouer un conflit, nourrissez-le physiquement (intérieurement hein, il ne s'agit pas d'envoyer des mandales), pensez à ce qu'une défaite impliquera pour vous et sachez perdre si c'est nécessaire parce qu'on veut voir de quel bois est fait votre personnage. Laissez le silence et l'espace nourrir votre personnage et votre relation.

"La distance offre de la tension, de la puissance et du potentiel" Joe Bill

Par espace théâtral, j'entends espace imaginaire, par opposition à l'espace scénique, qui est l'espace réel que vous voyez. L'espace théâtral peut être beaucoup plus grand ou petit que la réalité, la température peut être différente, la hauteur du plafond aussi etc.

Improviser sous contrainte

Enfin, il faut parler de ce qu'implique une improvisation avec un thème ou sans thème. Sans, il y a la peur de ne pas savoir quoi jouer pour commencer, et avec, il y a la peur de ne pas être inspiré ou enfermé dans le thème. La peur pousse à produire trop d’informations, trop vite : il y a toujours une bonne raison de fuir le vide et la peur qui va avec. Mais... il n'est pas nécessaire de résoudre le thème d'entrée de jeu ! Vous avez le temps de l'amener, toutes les improvisations ne sont pas dans l'obligation d'être une mise en image du thème évoqué. Prenez déjà le temps d'être quelqu'un, ensuite on verra ce qu'on fait de ce thème, idéalement avec le partenaire. Réaction après réaction, n'essayez pas de forcer la scène à devenir la matérialisation de vos idées. On a le temps, et on pourrait bien avoir des surprises si on avance par étape, plutôt que de vomir notre vision avec des logorrhées didactiques !

Si ça peut aider, je rappelle que : improvisation≠histoire. On aura rarement le temps de raconter une histoire complète en 3 ou 4 minutes, ce qui n’empêche pas de commencer la scène proche de la fin, et dans l’absolu de trouver une fin. On peut choisir de n'en raconter qu'une partie. Ça évite de faire des bascules sur des scènes de 20" où on ne raconte pas grand-chose, et de les enchaîner frénétiquement pour faire avancer "l'histoire". Keith Johnstone nous disait dans Impro qu'une histoire n'est pas qu'une succession d'évènements et d'actions. Avancer, pourquoi pas, mais on fait avancer QUOI ?

Bien bien bien... et si on s'entrainait un peu à faire ça ?

Exercices solo

Non verbal et lieu; nb joueurs: 1, durée 2 min+

Vous entrez dans un espace imaginaire et jouez une scène sans parole. Votre but est de travailler votre attitude dans ce lieu mais également de chercher comment le rendre clair pour un public (même si vous êtes seul chez vous, essayez de vous rendre compte si ce que vous faites évoque un lieu précis, car un geste réaliste n'est pas toujours facile à interpréter). L'occasion de voir si votre personnage est à l'aise dans ce lieu, comment il regarde l'espace ou d'autres personnages imaginaires. Dans un second temps, essayez avec la parole.

Description de lieu à la chaîne; nb joueurs: 1, durée 5 min+

Vous pouvez le faire assis dans un premier temps. Mettez un minuteur qui sonne toute les 30" (à défaut celui là); à chaque nouveau top décrivez un lieu dans lequel vous pourriez jouer, essayez d'être précis, mais que cette précision soit jouable (la couleur est plus difficile à jouer que la texture par exemple). Aussi, faites l'effort de rester factuels - n'entrez pas dans une narration, vous ne faites que poser un lieu. Faites quelques rounds, puis si un lieu vous a inspiré, faites une mini scène dans cet espace, et voyez ce que vous trouvez à jouer. Ce n'est qu'un lieu, n'enfermez pas votre histoire dans les objets et les détails posés, car il n'y a que vous qui seriez visibles d'un éventuel public, servez-vous-en pour affecter votre personnage et son attitude. (NB : testez la notion de météo, de température, et de comment les jouer. Par exemple si vous avez froid, vous n'allez pas passer votre scène les bras croisés à vous taper sur les coudes en murmurant "brr").

Exercices duo

La rencontre; nb joueurs: 2, durée 2 min max

Joueur A commence une scène solo, son premier objectif est de poser un lieu clair, car il sera rejoint par le joueur B dans cet espace dès que celui-ci aura compris le lieu. Laisser B prendre le temps de comprendre, puis imposer des entrées plus rapides au fil de la séance. B n'interagit pas d'entrée de jeu avec A - il peut donc se permettre de rentrer tôt et de s'assurer du lieu un peu après. TRÈS IMPORTANT : A et B ne se calculent pas du tout d'entrée de jeu, ils existent simplement dans le même lieu. On s'exerce ici à poser son personnage avant de sauter sur l'autre pour du bavardage. C'est le moment de la rencontre et les échanges verbaux et non-verbaux qui vont suivre qui nous intéressent.

Plusieurs étapes à pratiquer :

A et B ne se connaissent pas du tout

A connaît B, mais pas l'inverse (et NON ce n'est pas un oubli de B)

A et B se connaissent vaguement

A et B se connaissent bien

A et B se connaissent bien mais ne se sont pas vus depuis longtemps

La rencontre est fortuite, ce n'est pas un RDV. L'idée est de travailler les différentes attitudes lors de ces rencontres - l'état dans lequel je me trouve après la rencontre, ce que ça provoque chez moi, et comment je donne du détail et de la précision dans ces premiers échanges, que je connaisse bien la personne ou pas. Oui, ce sont toujours des débuts de scène, mais on n’a pas de temps à perdre pour autant, on s'entraine à donner de la matière aux personnages rapidement. Il faut essayer chaque étape pour s’entraîner à trouver des nuances et des rythmes de connexions avec l’autre qui soient justes. Le jeu non verbal varie énormément en fonction des étapes !

Voilà, la liste d'exercices n'est pas exhaustive bien entendu, vu qu'il y a déjà un article consacré à ça. Comme d'habitude rien n'est gravé dans le marbre et on peut discuter de ces sujets quand vous voulez !

#improvisation #improv #theater #french

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omagazineparis · 1 month

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Les accessoires de luxe : pourquoi nous font-ils rêver

Ils sont jeunes, beaux, riches et connus... Il faut bien se rendre à l'évidence : le mode de vie des people nous influence. Leur style tapageur et les objets luxueux qu'ils arborent remplissent les pages des magazines et nous donnent envie de les imiter. D'autant que, du nouveau sac Gucci aux baskets Vuitton, du tee-shirt Balenciaga au trench coat Burberry's, les accessoires de luxe se déclinent à l'infini ! De nombreuses marques proposent ainsi une multitude de produits frappés de prestigieux logos. Leur succès ne se dément pas, malgré des prix exorbitants. Alors, pourquoi les accessoires de luxe nous font-ils autant rêver ? Impressionner les autres Arborer un article de luxe, comme un vêtement griffé, permet d'affirmer son statut social. Celle qui a les moyens de s'offrir des biens vendus à prix d'or est naturellement apparentée à une classe sociale élevée. Tout dans son mode de vie, de même que dans les vêtements et accessoires qu'elle porte, semble nous dire qu'elle a de l'argent. À l'opposé, une adolescente de 16 ans issue de cité ne s'affichera pas avec un sac Hermès. Ainsi, nous nous servons de nos vêtements pour envoyer un message à ceux qui nous entourent : nous voulons les persuader que nous sommes riches et que notre vie est un phénoménal succès ! Le luxe un moyen de se faire remarquer Posséder un bel objet attire le regard et permet aux individus de se faire une idée immédiate de leur interlocuteur. De plus, chaque marque a son style et un axe défini de communication. Si l'on porte un sac Chanel, le message n'est pas le même que si on porte un sac Off White. Dans le premier cas, on projette une image classique, chic et intemporelle. Dans le deuxième cas, cette image demeure luxueuse, certes, mais elle est aussi plus jeune : elle colle aux dernières tendances de la rue. Ainsi, lorsqu'on achète un objet de marque, on bénéficie de l’image véhiculée par cette dernière. Porter un accessoire de luxe tendance booste la confiance en soi et change le regard des autres. Puisque les rapports sociaux sont fondés sur les apparences, il convient d'y attacher la première importance ! Des accessoires rares et inaccessibles aux autres Depuis l'avènement du bling, nous en voulons toujours davantage et la courbe de notre appétit suit celle des prix des biens de luxe. Ils sont toujours plus chers ! Dans notre esprit, voilà comment on justifie leur prix astronomique : la qualité et la finition sont incomparables ! De nombreux produits de luxe sont ainsi garantis "à vie". Certaines pièces se rapprochent même d'œuvres d’art. Outre leur finition parfaite, elles sont faites à la main en quantités très limitées, quand elles ne sont pas tout simplement des pièces uniques. Dessinées et conçues par de grands créateurs issus de la haute couture, elles pourraient tout aussi bien figurer dans la collection d'un musée. En réalité, tous les articles ne valent pas le prix inscrit sur leur étiquette. De plus, la notion de luxe peut varier en fonction des moyens dont on dispose. Cela vaut-il la peine, par exemple, de se payer une jolie robe Versace, si l'on doit manger des pâtes pendant le reste du mois ? À chacune la définition de ses priorités ! A lire également : La montre Christian Millers, un accessoire indispensable Ça fait rêver parce que c'est cher et beau Le prix influence-t-il notre jugement sur l'esthétique de l’accessoire de luxe ? S'il était moins cher, le convoiterait-on toujours autant ? Comment ne pas être poussée à le désirer fortement, après avoir été soumise aux campagnes de presse impactant nos goûts, de même qu'aux avis convergents de nos amis, qui à leur tour nous influencent ? Pour échapper à ce cercle vicieux, il est capital de cultiver un style et un goût propres. Bien se sentir dans ses baskets, voilà ce qui compte finalement -- indépendamment du prix qu'elles ont coûté ! Chères lectrices, vous laissez-vous influencer par la publicité ou par votre entourage, au point de parfois commettre des folies en achetant des accessoires de luxe hors de prix ? Comment vous sentez-vous dans ce cas ? Quelle démarche adoptez-vous pour vous préserver de céder à la tentation ? N'hésitez pas à nous confier votre témoignage dans la section des commentaires ci-dessous ! Read the full article

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radioprogres · 6 months

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Une fin d'année en osmose

L'année se termine progressivement. Elle aura été riche de sens Radio Progrès et beaucoup de choses se sont en réalité passées.

Tout d'abord, la webradio a été fermée pour des raisons de sécurité et les serveurs de diffusion ont été arrêtés et abandonnées durant une période à l'époque qu'on a considéré comme indéterminée le temps que les problèmes rentrent dans l'ordre. Nous avons dû suspendre également notre participation à l'émission le Duplex avec nos partenaires d'Isekai-Online. Cela s'est avéré comme un choix difficile, mais nécessaire pour notre sécurité. Ce temps s'est avéré particulièrement long, particulièrement pénible, car nous avons au cœur de faire vibrer notamment chez nos amis des centaines d'auditeurs tous les vendredis et samedi soir. Une phase de doute s'est installée notamment en ce qu'il concerne l'idée même de faire de la webradio et du grand projet que l'on porte depuis février 2022.

Ensuite, la webradio a été rouverte en août au travers de la possibilité de pouvoir remettre sur pied les programmes musicaux que nous pensions juste à différents égards. Cette remise sur pied s'est réalisée progressivement. Nul doute qu'en l'espace de quatre mois, nous n'aurons pas pu accomplir toutes les choses que nous aurions souhaité, mais l'expérience s'avère particulièrement enrichissante et cela génère aussi une forme de réussite collective.

Puis, il y a eu la reprise du chemin du travail d'un de nos animateurs afin de soutenir structurellement et financièrement les différents frais de la webradio afin de la pousser vers d'autres chemins en la développant notamment au travers de nombreux outils. Dernièrement, nous avons changé de CMS afin d'accélérer la transformation qui va s'opérer dans les prochains mois et prochaines années afin d'aller sur une idée plus neutre, plus apolitique et différente de tout ce que nous avons réalisé ces derniers temps. Nous avons appris également par l'expérience chez nos amis iskénautes que la seule voix devait passer par ce chemin pour pouvoir poursuivre un développement sur le long-terme.

Il semble aussi nécessaire que nous réfléchissons aussi à changer de logiciel pour automatiser notre radio et cela va se baser sur des critère en lien avec les investissements que nous avons déjà réalisé.

Au travers de ces quatre mois, tout repose aussi sur une idée de créer à terme une webradio professionnelle dans les dix prochaines années avec à la clef une structure associative ou entrepreneuriale. L'idée même d'une fusion avec Isekai-Online peut s'avérer intéressante, mais cela n'est pas encore à l'ordre du jour au vu des différents éléments actuels.

Enfin, nous aurons le plaisir de vous faire vibrer la nuit du jour de l'An pour un Duplex inédit au travers d'une émission d'une durée de huit heures afin de vous faire vibrer tout au long de la nuit et cela sera même plus long en fonction de comment se passe la soirée.

#Radio #Webradio #Radio Progrès #Musique #Le Mans #Isekai-Online #live #discord

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nagorie · 8 months

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Arts martiaux japonais: histoire et pratique

Les arts martiaux japonais captivent depuis toujours par leur grâce, leur discipline et leur profonde histoire. Ils ne sont pas simplement une série de mouvements physiques, mais un mélange complexe de philosophie, d'histoire et de culture. Au-delà du combat, ils offrent une voie de développement personnel et d'équilibre mental. Mais qu'est-ce qui les rend si uniques et comment ont-ils évolué à travers le temps ? Plongeons dans ce monde fascinant.

Sommaire :

Origines et histoire des arts martiaux japonais

Philosophie et spiritualité

Impact sur la culture moderne

Les bienfaits des arts martiaux

Comment débuter ?

Questions fréquentes

Conclusion

Origines et histoire des arts martiaux japonais

Au fil des siècles, le Japon a vu naître et se développer une multitude de disciplines martiales. Les arts martiaux japonais, connus sous le nom de Budo, ont des racines profondes. Lorsqu'on évoque ces arts, on plonge dans une histoire riche, marquée par la guerre, la paix, la philosophie et la culture.

L'une des périodes les plus marquantes est sans aucun doute l'ère féodale du Japon. C'était une époque où la nécessité de se défendre et d'affirmer son territoire était vitale. Dans ce contexte, les samouraïs, guerriers emblématiques du Japon, sont apparus comme des figures centrales. Non seulement ils étaient des combattants hors pair, mais ils ont également perfectionné de nombreuses techniques, de la maîtrise des épées aux combats au corps-à-corps.

Jiu-jitsu: Ce nom évoque la souplesse et la subtilité. Originellement créé pour neutraliser l'ennemi sans armes, le Jiu-jitsu permettait aux guerriers de se défendre lorsque leur épée était hors de portée. C'est un art qui prône la maîtrise de soi, utilisant la force de l'adversaire contre lui-même.

Kendo: Pour les amoureux du sabre, le Kendo est un incontournable. Transposant l'art ancestral des duels samouraïs dans un cadre moderne, il s'agit ici de la manière de manier le sabre. C'est une discipline qui requiert une concentration absolue, une posture impeccable et un respect profond pour l'adversaire.

Aikido: Si le Jiu-jitsu est l'art de la subtilité et que le Kendo est l'expression de la puissance, alors l'Aikido est la danse harmonieuse entre les deux. Se focalisant sur l'harmonie avec l'adversaire pour le contrôler, l'Aikido ne cherche pas à vaincre par la force brute, mais plutôt à canaliser l'énergie de l'opposant.

Il est fascinant de voir comment, au fil des siècles, ces arts ont évolué, adaptant leurs techniques tout en restant ancrés dans les principes qui les ont fondés. Alors que le monde changeait autour d'eux, les arts martiaux japonais sont restés un pilier de la culture et de l'identité nationale.

Philosophie et spiritualité

Au cœur de chaque mouvement, derrière chaque technique, se cache une profonde philosophie. Les arts martiaux japonais ne se limitent pas à des enchaînements de coups et de défenses. Chaque posture, chaque frappe a une signification qui transcende le simple fait de combattre. C'est une danse, une expression de l'âme, un voyage vers la connaissance de soi.

L'Intention derrière chaque mouvement

Chaque geste dans les arts martiaux est exécuté avec une intention précise. On ne frappe pas simplement pour frapper, ni ne bloque pour simplement parer. Derrière chaque coup, il y a une intention. Cette focalisation est au cœur de la pratique, forgeant non seulement le corps, mais aussi l'esprit.

La Croissance spirituelle

Contrairement à certaines idées reçues, les arts martiaux japonais ne sont pas uniquement tournés vers la confrontation. Ils prônent une harmonie entre le corps et l'esprit. L'adversaire n'est pas tant celui en face de vous, mais celui qui réside en vous-même : vos peurs, vos doutes, vos limites. En affrontant ces adversaires intérieurs, le pratiquant grandit spirituellement, évoluant vers une meilleure version de lui-même.

Méditation et connexion à soi

La méditation est un pilier de nombreux arts martiaux japonais. Avant et après la pratique, un moment est souvent dédié à la méditation, permettant de se connecter à soi, d'évacuer les distractions et de se recentrer. Cette pratique développe la concentration, la patience et la persévérance.

La Respiration: le lien entre le corps et l'esprit

La respiration n'est pas qu'un simple mécanisme biologique. Dans les arts martiaux, elle est le pont entre le corps et l'esprit. Elle rythme chaque mouvement, chaque technique, et permet d'harmoniser le physique et le mental.

Discipline mentale

L'apprentissage des arts martiaux japonais nécessite une discipline mentale inébranlable. La persévérance, la détermination et le respect sont des qualités essentielles pour tout pratiquant. C'est cette discipline qui permet de surmonter les épreuves et d'avancer, malgré les obstacles.

"Le véritable guerrier n'est pas celui qui remporte la victoire, mais celui qui conquiert ses propres démons intérieurs." - Miyamoto Musashi

En somme, la philosophie des arts martiaux japonais nous enseigne que chaque coup porté n'est pas une fin en soi, mais un moyen d'expression, une quête de soi et de vérité. Ce n'est pas la victoire sur l'adversaire qui compte, mais la victoire sur soi-même.

Impact sur la culture moderne

Les arts martiaux japonais ont toujours été un élément central de fascination dans la culture moderne. Leur influence s'étend bien au-delà des frontières japonaises, marquant de leur empreinte de nombreux domaines allant du cinéma à la littérature. Essayons de décortiquer cet impact impressionnant.

Bruce Lee : Le Phénomène Bien que Bruce Lee ne soit pas d'origine japonaise, son influence a été fondamentale dans la popularisation des arts martiaux asiatiques en Occident. Enter the Dragon, l'un de ses films emblématiques, a été un catalyseur pour beaucoup, suscitant un intérêt mondial pour les arts martiaux. Grâce à lui, le monde s'est intéressé de plus près aux arts martiaux japonais.

Films et séries télévisées Le cinéma hollywoodien n'a pas été en reste. Des films comme Karate Kid ont mis en avant la philosophie et la discipline des arts martiaux japonais. Plus récemment, des séries comme Cobra Kai ont ravivé cette passion, en insufflant une nouvelle vie à ces histoires classiques.

Jeux vidéo : Combattants virtuels Les arts martiaux japonais ont trouvé leur chemin dans les jeux vidéo. Pensez à Street Fighter ou Tekken. Ces jeux ont non seulement introduit des techniques de combat réalistes, mais ils ont également présenté des histoires profondes et complexes centrées sur des personnages maîtrisant ces arts.

Manga et Anime : L’art en mouvement Le manga, comme Baki ou Kenichi, a magnifiquement illustré la rigueur et la passion pour les arts martiaux. Les adaptations en anime ont ensuite donné vie à ces histoires, avec des séquences de combat époustouflantes qui respectent et glorifient les techniques traditionnelles.

La mode et le lifestyle Il n'est pas rare de voir des personnes arborer des tenues inspirées des arts martiaux japonais. Les kimonos, les bandanas, et même les tabis (chaussettes japonaises) ont fait leur chemin dans la mode urbaine. De plus, la philosophie de ces arts influence de nombreux adeptes à adopter un mode de vie plus équilibré et conscient.

En résumé, les arts martiaux japonais ne sont pas seulement une pratique traditionnelle au Japon. Ils ont tissé une toile complexe à travers la culture moderne, devenant une source d'inspiration et d'admiration pour beaucoup. Ce n'est pas seulement un art de combat; c'est un art de vivre.

Pour en savoir plus sur l’art et la culture japonaise

Lire: le Kintsugi, ancienne technique japonaise de réparation des céramiques.

Les bienfaits des arts martiaux

Lorsque l'on parle des arts martiaux japonais, il est courant de penser d'abord à des combats intenses ou à des mouvements d'autodéfense. Cependant, ces arts offrent bien plus que cela. Plongeons ensemble dans les profondeurs des avantages qu'ils peuvent apporter à la vie quotidienne.

1. Bénéfices physiques:

Endurance: La pratique régulière des arts martiaux améliore considérablement l'endurance. Les sessions d'entraînement, qu'il s'agisse de sparring ou de kata, poussent le corps à ses limites, augmentant ainsi la capacité cardiaque et respiratoire.

Force: Il ne s'agit pas seulement de la force brute, mais de la capacité à utiliser efficacement son corps. En pratiquant des techniques comme les coups de pied ou les frappes, on renforce les muscles de manière fonctionnelle.

Flexibilité: Les étirements font partie intégrante des sessions d'entraînement. Ceci améliore la mobilité articulaire et permet de réaliser des mouvements plus complexes avec moins de risque de blessure.

2. Bénéfices mentaux:

Discipline: La répétition des mouvements et la mémorisation des katas nécessitent une discipline mentale inébranlable. C'est un trait qui, une fois acquis, bénéficie à tous les aspects de la vie.

Concentration: En arts martiaux, un moment d'inattention peut signifier une défaite. Les pratiquants apprennent à focaliser toute leur attention sur la tâche à accomplir, qu'il s'agisse d'anticiper les mouvements d'un adversaire ou de maîtriser une nouvelle technique.

Confiance en soi: Apprendre à se défendre et à maîtriser son corps procure une confiance en soi incomparable. Cette assurance transcende le dojo et se manifeste dans la vie quotidienne.

3. Bénéfices pour les entreprises:

Il pourrait sembler étrange d'associer les arts martiaux au monde professionnel, mais les compétences acquises dans le dojo ont un impact direct sur la vie professionnelle.

Cohésion d'équipe: Les dojos insistent sur le travail d'équipe et l'entraide. Dans un contexte d'entreprise, cela se traduit par une meilleure synergie entre collègues et une plus grande collaboration.

Prise de décision: Confrontés à des situations de pression, les pratiquants d'arts martiaux développent une capacité à prendre des décisions rapides et efficaces. Dans le monde des affaires, cette compétence est inestimable.

En somme, les arts martiaux japonais offrent bien plus que des techniques de combat. Ils façonnent le corps et l'esprit, tout en apportant des compétences précieuses qui peuvent être appliquées dans le monde professionnel et au-delà.

Comment débuter ?

Se lancer dans l'apprentissage des arts martiaux japonais peut sembler intimidant pour beaucoup. Cependant, avec la bonne approche et la bonne préparation, ce voyage peut être l'une des expériences les plus enrichissantes de votre vie. Voici quelques étapes pour commencer.

Recherchez vos motivations: Avant tout, il est essentiel de comprendre ce qui vous pousse vers les arts martiaux. Est-ce pour la forme physique, la défense personnelle, l'épanouissement spirituel, ou une combinaison de ces éléments ? Savoir ce que vous voulez vous aidera à choisir l'art martial qui vous convient le mieux.

Trouver le bon dojo: Cette étape est fondamentale. Un bon dojo ne se juge pas seulement à sa renommée, mais aussi à la qualité de son enseignement et à son environnement. Il est vital de se sentir à l'aise et accueilli. Rendez-vous sur place, observez un cours, posez des questions. Assurez-vous que les méthodes d'enseignement correspondent à vos attentes.

L'importance de l'esprit ouvert: Les arts martiaux japonais ne sont pas seulement une série de mouvements; ils portent une philosophie profonde. Abordez votre apprentissage avec curiosité et respect. Soyez prêt à apprendre et à déconstruire certaines de vos idées préconçues.

Équipement et tenue: Bien que la plupart des dojos fournissent l'équipement de base pour les débutants, il est bon d'investir dans votre propre équipement à mesure que vous progressez. Une bonne tenue (souvent appelée "gi") et d'autres équipements essentiels vous aideront à vous engager davantage dans la pratique.

Engagez-vous sur le long terme: La maîtrise ne vient pas du jour au lendemain. C'est un voyage qui nécessite patience, détermination et engagement. Fixez-vous des petits objectifs pour maintenir votre motivation.

Participez aux événements et stages: De nombreux dojos organisent des stages avec des experts ou des maîtres d'arts martiaux venant directement du Japon. Ces sessions peuvent grandement enrichir votre apprentissage.

Intégrez la communauté: Le soutien des camarades de dojo peut être un atout précieux. Partagez vos expériences, vos challenges et vos réussites. C'est en s'entraînant ensemble que l'on grandit.

En conclusion, s'initier aux arts martiaux japonais est une aventure profondément enrichissante. Avec les bonnes ressources, une détermination sans faille et un esprit ouvert, vous vous lancerez sur un chemin de découverte et de maîtrise qui peut transformer votre vie. Alors, êtes-vous prêt à enfiler votre gi et à vous lancer dans cette passionnante aventure?

Questions fréquentes

Quel est le meilleur art martial japonais pour débuter ? Cela dépend de vos objectifs. Le Karaté est souvent recommandé pour les débutants. Cependant, l'Aikido est excellent pour la spiritualité. Les arts martiaux sont-ils adaptés à tous les âges ? Oui, il existe des dojos qui proposent des cours pour enfants, adultes et seniors. Faut-il être en bonne forme physique pour commencer ? Non, les arts martiaux japonais vous aideront à développer votre condition physique progressivement. Comment choisir un dojo ? Recherchez des avis, vérifiez les qualifications du sensei et rendez visite à plusieurs dojos avant de vous décider. Puis-je pratiquer à la maison ? Oui, mais il est recommandé d'avoir au moins quelques leçons avec un instructeur qualifié pour éviter les mauvaises habitudes.

Conclusion

Les arts martiaux japonais ne sont pas qu'une simple discipline physique. Ils incarnent une philosophie, une histoire et une manière de vivre. Pour les Japonais, c'est bien plus qu'une tradition, c'est une partie intégrante de leur culture. Pour ceux qui souhaitent s'y plonger, c'est un voyage vers une meilleure connaissance de soi, une maîtrise physique et mentale. Et pour les acheteurs ou les passionnés, c'est une opportunité unique de s'imprégner d'un art millénaire et de ses bienfaits incommensurables. Alors, prêt à débuter l'aventure?

#kimono #yukata #japanese culture #geisha #edo period #cape

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courspatisserie · 8 months

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Percer les secrets sucrés : cours de pâtisserie à Toulouse

Toulouse, la Ville Rose, est non seulement connue pour son riche patrimoine culturel et son industrie aérospatiale, mais aussi pour ses délicieuses expériences culinaires. L’un des joyaux cachés de la ville réside dans ses cours de pâtisserie, où les passionnés peuvent s’adonner à l’art de la pâtisserie française. Si vous avez envie de maîtriser le délicat équilibre entre douceur et précision, ne cherchez pas plus loin que le cœur de l'Occitanie.

Cours de Pâtisserie Toulouse : une douce aventure vous attend

Embarquer dans un Pastry lesson in Toulouse, c'est une immersion dans un monde de saveurs et de techniques. Ces cours, dispens￩s par des chefs p￢tissiers qualifi￩s, s'adressent aussi bien aux boulangers d￩butants qu'aux confirm￩s. Ils offrent une exp￩rience pratique, guidant les participants tout au long du processus de cr￩ation de d￩licieuses p￢tisseries ￠ partir de z￩ro.

Les D￩lices de Toulouse : Nich￩s dans les charmantes ruelles, ces cours t￩moignent des prouesses culinaires de la ville. Avec des cours adapt￩s ￠ diff￩rents niveaux de comp￩tence, des amateurs aux aspirants professionnels, chaque participant est accueilli dans le monde aromatique de la p￢tisserie.

Pourquoi choisir des cours de pâtisserie à Toulouse ?

Maîtriser les classiques français : des couches feuilletées de croissants à l'art complexe des macarons, ces cours vous permettent de percer les secrets des classiques de la pâtisserie française.

Saveurs locales, techniques mondiales : les cours de pâtisserie de Toulouse mélangent des recettes françaises traditionnelles avec des influences mondiales, offrant une fusion unique de goûts et de styles.

Conseils d'experts : Dirigés par des chefs pâtissiers expérimentés, ces cours offrent une attention personnalisée, garantissant que chaque participant perfectionne ses compétences à la perfection.

Apprentissage interactif : les cours sont interactifs et immersifs, encourageant les participants à poser des questions, à expérimenter des ingrédients et à apprendre par la pratique.

Créativité libérée : Au-delà des classiques, ces cours nourrissent la créativité. Les participants sont encouragés à expérimenter, à créer de nouvelles recettes et à insuffler leur touche unique dans chaque pâtisserie qu'ils préparent.

Les douces récompenses de l’apprentissage

Participer à un cours de pâtisserie à Toulouse, ce n'est pas seulement apprendre des recettes ; il s’agit de cultiver une passion qui dure toute la vie. En fouettant, en pliant et en cuisant sous la direction de chefs experts, vous acquérez non seulement des compétences culinaires, mais vous gagnez également en confiance dans la cuisine.

De plus, ces cours offrent plus que de simples connaissances : ils offrent l'occasion de se connecter avec des personnes partageant les mêmes idées, de partager des expériences et de créer une communauté passionnée par l'art de la pâtisserie.

Conclusion

Au cœur de Toulouse, un monde de merveilles culinaires se dévoile à travers le Cours de Pâtisserie. Que vous soyez un aspirant pâtissier, un boulanger amateur passionné ou quelqu'un simplement en quête de douce aventure, ces cours offrent une expérience sans précédent. Embarquez pour ce délicieux voyage et laissez les arômes des pâtisseries fraîches et la joie de la création envahir vos journées dans la Ville Rose. Rejoignez un Cours de Pâtisserie Toulouse dès aujourd'hui et laissez les aventures culinaires commencer.

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freelance-informatique · 11 months

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Vacances d'été : quelques idées d'activités ludiques pour occuper les enfants

Nous sommes en plein été ! C'est le moment idéal pour planifier des activités ludiques et éducatives pour nos enfants. De la maison aux grands espaces, voici quelques suggestions pour un été inoubliable et adapté à tous les âges. Les activités pour les vacances d'été : des souvenirs durables Planifier des activités estivales pour vos enfants n'est pas seulement un moyen de les divertir pendant les vacances. C'est une occasion unique de stimuler leur imagination, d'encourager leur curiosité et de renforcer les liens familiaux. Préparer un programme ludique et éducatif La chaleur de l'été, ses journées longues et débordantes de soleil sont là. Cette période de l'année tant attendue par nos enfants est une occasion idéale pour organiser des activités qui stimulent leur créativité, leur autonomie et leur soif d'aventures. Qu'il s'agisse de jeux à domicile ou de découvertes en plein air, la planification de ces activités est essentielle pour rendre cet été mémorable. Pour certains, ça restera des souvenirs qu'ils garderont; pour d'autres, des activités qu'ils partageront à leur tout avec leurs enfants. A voir aussi : Tout savoir sur la maladie des écrans : symptômes, dangers L'importance du choix des activités Prendre en compte l'âge de vos enfants lors de la planification des activités estivales est aussi essentiel. Les plus jeunes apprécieront sans doute des activités plus simples, tandis que les plus âgés pourront être stimulés par des défis plus complexes. Voici quelques petits conseils pour éviter que les enfants ne s'ennuient pendant les vacances d'été : Faire explorer des univers variés aux enfants L'été offre un monde de possibilités pour les jeunes curieux. Diversité des lieux et richesse des activités forment un cocktail parfait pour garantir l'émerveillement. Rester à la maison La maison pourrait devenir un terrain de jeu idéal pour organiser des compétitions culinaires amusantes. Transformez la cuisine en un restaurant cinq étoiles et laissez les petits chefs exprimer leur talent, de la confection de délicieux biscuits aux recettes de salades estivales. Aller chez les grands-parents Et pourquoi ne pas se rendre chez les aînés ? Un espace de transmission et de partage, où nos enfants peuvent apprendre à édifier des refuges avec leurs grands-parents, à partir de matériaux naturels ou recyclés. Ce type d'activité non seulement les divertit, mais leur enseigne aussi des compétences précieuses et utiles. Lire également : Éveil & Nous : Avis sur les formations Montessori de Lucie pour les enfants D'autres destinations Vos enfants ont un penchant pour l'aventure ? Les destinations plus lointaines comme les stations balnéaires ou les montagnes sont également à envisager. Ils pourront s'adonner à des séances de pêche, des chasses aux trésors ou encore se lancer dans des compétitions de fortifications sablonneuses sur les plages. Alors, chers parents, préparez-vous à un été riche en aventures, découvertes et moments inoubliables ! ________ Important : Nous conseillons à tous les visiteurs de notre site web de consulter un médecin en cas de problème de santé. Retrouvez toutes les infos santé et bien-être sur notre page Google Actualités ou sur notre page Pinterest. Read the full article

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spotjardin · 1 year

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Le persil tubéreux

Récolte de persil tubéreux

PRÉSENTATION

Le persil tubéreux est un légume aromatique ancien et très confidentiel car il est très peu connu. D'ailleurs, beaucoup de jardiniers ne le cultivent pas. Seuls certains chefs le cuisinent et éventuellement des curieux peuvent le connaitre. Son feuillage est utilisé comme celui du persil commun. Il fait partie de la famille des Apiacées. Il s'agit d'une plante bisannuelle. On l'appelle également persil de Hambourg, persil d'Angleterre, gros persil, persil à grosse racine ou bien encore Petroselinum crispum var. tuberosum qui est son nom scientifique. Sa culture est facile ainsi que son entretien. Son besoin en eau est moyen. Le persil tubéreux se cultive essentiellement pour sa racine qui mesure une quinzaine de centimètres. Cette dernière a un air de ressemblance avec le panais. Ses feuilles sont également consommées comme celles du persil commun.

CULTURE

Le semis du persil tubéreux doit s'effectuer directement en pleine terre dans les régions douces pendant les mois d'avril et mai hors période de gel. Dans les autres régions attendez la mi-mai quand les risques de gelées tardives sont écartées. Choisissez-lui un emplacement ensoleillé sur un sol frais, humifère, profond et surtout bien drainé. Si vous avez une terre trop lourde, ajoutez-y du terreau mélangé avec du sable. Commencez par préparer l'emplacement à l'aide de votre grelinette pour rendre le plus possible le sol meuble en profondeur. Il est impératif de rendre ce dernier propre en supprimant les racines des plantes concurrentes ainsi que les cailloux qui peuvent faire fourcher les racines. Avant d'effectuer votre semis, je vous conseille de faire subir à vos graines un trempage dans de l'eau de 24 à 48 heures. Semez quelques graines tous les 12 à 15 centimètres. Prévoyez un espacement d'une trentaine de centimètres entre chaque rang. Quand vous constatez la levée de votre semis (quand 3 vraies feuilles apparaissent), effectuez un éclaircissement en gardant les plants les plus robustes de telle manière à garder un espacement entre chaque pied d'une douzaine de centimètres minimum. Pour terminer, arrosez-les après cet éclaircissement et paillez-les afin de lui conserver un peu de fraicheur.

ENTRETIEN

Le persil tubéreux ne vous demande pas d'entretien particulier si ce n'est de maintenir le sol légèrement humide ce qui est nécessaire à son bon développement.

PERSIL TUBÉREUX ET SANTÉ

Le persil tubéreux a des propriétés médicinales. Il est riche en carotène, en vitamines A, c, et K.

PARASITES & MALADIES

Le persil tubéreux est très résistant aux parasites et aux maladies. Nos amies les limaces sont à surveiller car elles sont très friandes des jeunes pousses, tout comme les rongeurs (mulot, campagnols.. Etc..). Je vous conseille d'éviter de mouiller le feuillage du persil tubéreux car l’oïdium peut faire son apparition. Si c'est le cas, supprimez immédiatement les parties atteinte avec un ciseau bien affuté et désinfecté. Ces dernières sont à jeter à la poubelle impérativement et en aucun cas ne les laissez jamais trainer sur le sol de votre jardin.

RÉCOLTE

En règle générale il faut attendre 3 mois environ après le semis pour commencer à récolter les feuilles au fur et à mesure de vos besoins. Pour vous donner une idée, les tiges doivent avoir au moins 20 centimètres de hauteur pour pouvoir effectuer la cueillette des feuilles. Cueillez-les avec parcimonie afin de ne pas ralentir le développement de la racine. Quant aux racines, il faut compter 6 mois pour commencer votre récolte qui doit s'effectuer de mi-septembre jusqu'aux premières gelées.

CONSERVATION

Si vous souhaitez une consommation pendant la saison hivernale, vous devez arracher les racines à la fin du mois d'octobre. Laissez-les ressuyer 24 à 48 heures sur le sol à l’abri du soleil trop direct (surtout dans les régions du sud). Supprimez le feuillage au raz du collet. Faites un tas de vos racines pour être conservées en cave. Vous pouvez également les conserver dans du sable sec. Il est aussi possible de les congeler. Pour cela, coupez-les en dés et faites-les blanchir 2/3 minutes dans une eau salée au préalable et bouillonnante. Arrêtez la cuisson et plongez-les dans l'eau froide. Égouttez-les et séchez-les minutieusement. Et pour terminer, ensachez-les pour mettre dans votre congélateur. Elles se conservent 6 mois au maximum.

MULTIPLICATION

Le persil tubéreux peut se multiplier par semis en récupérant les graines au début de la saison automnale (septembre, octobre). Pour cela, il faut conserver quelques racines en place pour ensuite les transplanter dans le courant du mois de mars en les espaçant de 25/30 centimètres. Lorsque les ombelles brunissent, vous devez les couper pour les faire sécher de préférence à l'ombre. Quand elles sont bien sèche, égrainez-les et conservez-les dans un endroit sec et frais. Elles peuvent se conserver 2 ans environ.

ASSOCIATION

Le persil tubéreux fait très bon ménage avec le poireau, la tomate, la carotte, l'oignon, l'ail et l'asperge. Par contre il y a incompatibilité d'humeur avec le pois, la lavande, la salade et le céleri. Donc évitez de cultiver le persil tubéreux à proximité de ces plantes.

ET POUR TERMINER, JE VOUS PROPOSE CETTE RECETTE

Pintade aux deux persils, ail et amandes : Coupez en morceau pintade. Brossez une racine de persil tubéreux, épluchez-la si la peau vous semble un peu épaisse et dure. Rincez-la et coupez-la en dés. Ensuite, épluchez 6 gousses d'ail que vous devez couper en deux. Lavez 2 poireaux. Émincez-les. Hachez finement une botte de persil plat avec ses tiges. Mettez dans une cocotte 2/3 cuillères d'huile d'olive et faites revenir les morceaux de pintade. Lorsque la volaille est bien dorée, ajoutez dans la cocotte les poireaux émincés, le persil tubéreux, les gousses d'ail et le persil plat. Ajoutez 100 g d'amandes émondées et un peu de piment d'Espelette. Ajoutez 2 verres de bouillon (1 cube de bouillon de poulet ou de pot au feu dissous dans de l'eau bouillante). Couvrez et laissez cuire à feu très doux pendant 1 h 15, voire 1 h 30. Je vous conseille de surveiller régulièrement la cuisson. Ajoutez éventuellement un peu d'eau si nécessaire. 10 minutes avant la fin de cuisson, ajoutez 4 ou 5 cuillères à soupe de poudre d'amande pour lier la sauce ou bien de la sauceline. Bon appétit !! INSCRIPTION SUR LE SITE Vous devez vous inscrire sur le site pour recevoir une alerte par mail à chaque nouvel article mis en ligne. ABONNEMENT A LA LETTRE MENSUELLE Vous pouvez également vous abonner à la lettre mensuelle du site. Si vous avez aimé cet article n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux en utilisant les boutons ci-dessous. Read the full article

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beatlesonline-blog · 2 years

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actu-france · 2 years

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Agence de SEO expérimentée

Ce que vous pouvez attendre d'une agence de SEO expérimentée

En matière d'optimisation des moteurs de recherche, il est important de trouver une agence expérimentée dans ce domaine. Elle peut vous aider à optimiser les pages, à créer des liens et à assurer un référencement continu, ce qui peut aider votre entreprise à accroître sa visibilité et sa réputation. Il est également essentiel que vous trouviez une agence qui corresponde à votre marque et à vos besoins.

Optimisation sur page

L'optimisation sur page est essentielle pour obtenir un bon classement dans les résultats des moteurs de recherche. Cette stratégie consiste à rédiger un contenu riche en mots clés pour votre site Web. Bien que le bourrage de mots-clés ne soit pas recommandé, il est important d'inclure naturellement votre mot-clé cible dans le contenu. L'optimisation sur page est essentielle pour que votre site reste pertinent pour les robots des moteurs de recherche et les utilisateurs.

Pour augmenter le taux de clics, des métabalises personnalisées peuvent améliorer la visibilité de votre site. En particulier, la balise titre doit contenir votre mot-clé ciblé vers le début du texte. En effet, les balises de titre sont la première chose que votre public voit lorsqu'il trouve votre site Web. En outre, Google examine la balise titre lorsqu'il évalue le contenu de votre page.

Lorsque vous choisissez des mots clés pour votre site Web, assurez-vous qu'ils ont un volume de recherche élevé. Vous éviterez ainsi de perdre votre temps et votre argent avec des mots clés qui n'ont qu'un faible trafic. En outre, vous devez utiliser des mots-clés courts et longs dans votre contenu. Cela vous aidera à obtenir un meilleur classement dans les résultats de recherche.

youtube

Création de liens

L'une des meilleures façons d'augmenter le trafic d'un site Web et la notoriété d'une marque est de créer un portefeuille de liens. Plus un site Web possède de liens retour, plus il est intéressant pour les moteurs de recherche comme Google. Cela peut également améliorer les références de bouche à oreille et le rappel de la marque. Tous ces avantages améliorent la crédibilité d'une marque et aident les clients à se sentir en confiance pour confier leur marque à une agence de création de liens.

Le link building peut être un service extrêmement rentable, mais il nécessite également une quantité importante de main-d'œuvre et de nouveaux outils. En fait, le link building peut être la composante la plus coûteuse des services d'une agence de SEO. En outre, il peut nécessiter de nouvelles relations avec les fournisseurs, ce qui peut être difficile si vous n'avez pas d'expérience dans ce domaine. Par conséquent, l'externalisation du link building auprès d'un prestataire de services vous aidera à économiser de l'argent et à allouer les ressources financières plus efficacement.

Afin de contrôler efficacement la progression du link building, les agences de SEO doivent suivre les tendances historiques. C'est aussi une bonne idée d'utiliser un outil de reporting automatisé pour fournir un rapport mensuel aux clients. Le rapport doit inclure le nombre de nouveaux backlinks et les domaines de référence. Ces mesures aideront les agences à comprendre l'efficacité de leurs efforts.

Référencement continu

La première chose à savoir sur le référencement permanent est qu'il n'est pas statique. Les algorithmes de Google font l'objet de modifications constantes qui affectent le classement de votre site Web. Google apporte environ 500 à 600 modifications par an, et certaines de ces modifications ont un impact majeur sur votre classement. Vous devez rester au courant de ces changements pour ne pas prendre de retard.

Le référencement permanent est plus efficace que le référencement ponctuel. Il permet de maintenir votre site Web à jour grâce aux fréquentes mises à jour des algorithmes, et vous aide à garder une longueur d'avance sur vos concurrents. Vous devez également prendre en compte le coût de l'embauche d'une agence de SEO qui offre ce type de service. Il y a de nombreux avantages à embaucher une agence de SEO pour vous aider avec le référencement continu.

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reign-of-chaos · 3 years

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♕ reign of chaos

Je vous présente le forum sur lequel je travaille depuis deux mois déjà, accompagnée de reddie. Il s’agit d’un forum sombre et gang, inspiré de séries telles que Peaky Blinders et gangs of London. Je vous laisse le contexte pour vous faire une idée de l’ambiance et je vous donne également le lien vers le discord du forum. Nous sommes déjà une vingtaine là-bas et beaucoup d’annexes ont été dévoilées (elles seront postées ici également, patience ;)). N’hésitez pas à nous rejoindre, même juste par curiosité !

Discord : https://discord.gg/8FF2ykD3dP

octobre 2021 — la londonienne pleure ce soir, enterre un enfant arraché par la traitrise. au loin, le brouillard se dissipe sur le corps sans vie du don. couronne ensanglantée au sol, à la merci de tous. ils rôdent les charognards, la rage au ventre, l'ambition au bout des doigts. le roi n'est plus et le royaume s'effrite, s'effondre. pendant longtemps, sa parole était sacrée, ses règles respectées, léthales si critiquées. un équilibre parfait entre les clans, des territoires tracés à l'encre. désormais, place se libère et déchaine les passions. la silhouette de l'aîné s'impose, prête à reprendre le flambeau du défunt fléau, mais d'autres, tapies dans le noir, lisent l'opportunité dans le sang. tous avancent leurs pions et les ambitions se dessinent. le règne des cortesi a pris fin que, déjà, un nouveau inspire l'horizon.

INFORMATIONS IMPORTANTES l'écart entre les riches et les pauvres s'étire de jour en jour à Londres, provoquant une montée de la criminalité - un nouveau chef inspecteur de la police a été nommé pour lutter contre la guerre des gangs qui se dessine et la corruption au sein des rangs de la police.

#forum rpg #rpg #contexte #forum gang

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not-gomez-addams · 3 years

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Bonsoir, ou bonjour, Monsieur Saulter !

Je sais que vous êtes très attaché à l'esthétique des années 1920... du coup, je voulais savoir s'il y avait des films de cette période que vous avez vu, et que vous appréciez particulièrement ! :D Je pensais moi-même m'y pencher...

@carwyn-gibson

Bonsoir, Carwyn !

Je suis navré du temps qu'il m'a fallu pour répondre à cette question, ma foi tout à fait passionnante. Vois-tu, je me suis peut-être laissé emporté... ! Le début du vingtième siècle est très riche en cinéma, comme tu peux t'en douter. En effet, j'ai eu l'occasion de regarder beaucoup de films de cette époque, principalement entre 1910 et 1920. Le Cinéma, à cette époque, est une discipline encore naissante, mais qui recèle déjà de cette qualité artistique que nous lui connaissons. Je pourrais vous parler de Georges Méliès, bien sûr, et l'exemple surprenant de son Cendrillon de 1899, bien moins connu que son Voyage sur la Lune, mais parfaitement remarquable malgré tout. Je pourrais vous parler d'Alice Guy, la toute première réalisatrice de l'histoire du cinéma, qui, par ses reconstitutions de célèbres tableaux, pourrait être tracée comme inauguratrice du genre des péplums. Je pourrais vous parler de Victorin Jasset, Louis Gasnier, Louis Delluc... de beaucoup de personnes, sommes toutes, et peut-être que cela sera le sujet d'un autre poste. Aujourd'hui, pourtant, j'aimerai vous parler d'un réalisateur, et, plus particulièrement, de l'une de ses œuvres.

Laissez moi vous présenter J. Searle Dawley.

Mr. Dawley était un réalisateur et scénariste américain, qui me semble relativement méconnu. Et l'oeuvre en question, Carwyn, devrait vous être familière, puisque j'ai pu constaté que vous aviez récemment lu le roman duquel elle est adapté : il s'agit de son Frankenstein de 1910. Et vous avez beaucoup de chance : le film, d'une durée de treize minutes environ, se trouve sur YouTube ; je vous en fourni le lien.

youtube

C'est une œuvre que j'affectionne particulièrement, et, si vous m'en permettez l'indulgence, j'aimerai vous faire un petit commentaire dessus ; il n'y a pas que le cinéma moderne qui mérite d'être décortiqué. Il s'agit, en effet, de la toute première adaptation du roman de Mary Shelley, et, s'il diffère à bien des égards du roman, il en retient certains des thèmes les plus passionnants.

L'ubris de Victor Frankenstein.

Bien sûr, vous n'êtes pas sans savoir que l'un des nœuds principaux du roman réside dans la folie créatrice de son héros, le Docteur Victor Frankenstein ; et par là-même, son ubris, sa volonté à défier les lois naturelles, défier l'ordre des choses, défier Dieu lui-même en se prétendant Le remplacer. C'est un élément que nous retrouvons, par ailleurs, dans toutes les adaptions- l'acte sacrilège de vouloir dépasser la loi des choses, de remplacer la mort par une vie éternelle, voir pire : de créer soit même la vie.

Voyez donc la première apparition de Frankenstein, sur l'image que je vous offre. Vous pouvez remarquer, bien sûr, que la mise en scène est particulièrement parlante dans ce genre d'œuvre ; chaque détail y est millimétré. Le voici présenté sur un trône, entouré de squelettes, jouant avec des crânes : une représentation très baroque, très excessive, et très shakespearienne- la référence à Hamlet ne vous aura certainement pas échappée. Le positionnement du personnage est parlant, également. Sur la gauche de l'image se trouve le squelette, sur la droite, le vivant : l'ordre des choses est bouleversée, la mort se présente avant la vie, ou la vie se propose comme une continuation de la mort. L'atelier du Docteur a tout de celui d'un apprenti sorcier. Le voilà bien jouasse, sur son trône, l'établi couvert de morceau humain, d'une tête grotesque. Voilà donc, bien sûr, le tableau d'un savant fou- et vous remarquerez que le terme "tableau" est toujours particulièrement parlant, à cette époque. J'y reviendrais.

"The most perfect human being that the world as yet to known", déclare le Docteur. Le voici, l'ubris, l'égo créateur : la folle volonté de vouloir dépasser le travail de Dieu. Vous vous doutez bien qu'à l'époque, et plus encore à celle de Mary Shelley, c'était là un bien grave blasphème à avancer. Frankenstein, le Prométhée Moderne, qui joue a créé l'homme de sa propre glaise, est ici parfaitement représenté, selon moi- du moins, dans la première partie de ce film : son rôle créateur, en effet, se construit comme une parodie de celui de Dieu.

Prenez l'exemple du processus de création de la créature, à partir de 2m11. "I shall create into life", nous annonce le panneau. Le terme "into" est particulièrement parlant : il s'agit de faire surgir la vie depuis le néant, une image de la création ex-nihilo observée dans la génèse, et qu'on retrouve, seulement dans cette adaptation, dans la fabrication de la créature. Voyez comme elle se forme, petit à petit, morceau par morceau, sans intervention extérieure, comme sous l'influence d'une forme de magie dénaturée ! Vous pouvez également noté l'omniprésence du rouge, qui n'est que très rarement une couleur positive, et des flammes qui l'entourent (le feu étant évidemment un motif récurrent dans le mythe de Frankenstein : à l'image de Prométhée, c'est celui qui donne la vie, tout en restant destructeur, dangereux, à craindre- le feu étant lui-même craint par la créature, notamment dans l'adaptation de 1931 par James Whales).

Bien sûr, une fois la créature formée, le docteur fuit devant son œuvre macabre, cette parodie de vie ; et, détail intéressant, pour revenir sur cette idée de tableau- voyez comme la mise en scène est, une fois de plus, extrêmement parlante.

A votre gauche, l'extrait du film, baigné dans sa couleur écarlate ; de l'autre, Le Cauchemar de Füssli, peint au XVIIIème siècle. Nul besoin de longue déclaration pour que la créature apparaisse comme ce qu'elle est : un cauchemar d'un autre monde.

La deuxième partie du film, dès lors, dévie grandement du roman ; mais elle conserve un élément particulièrement important, particulièrement central : le dédoublement du monstre, le renversement entre créateur et créature.

Ambiguïté du monstre : le créateur qui se perd dans sa création.

"Il n'y a pas qu'un seul monstre, dans mon récit, mais deux", écrit Mary Shelley. Je vais m'octroyer une brève, très brève, et très superficielle analyse de ce point précis dans le roman. La construction des rôles de Frankenstein et de sa créature sont similaires, et peut-être l'avez vous remarqué. Leur première apparition, dans le journal de bord du capitaine, est identique : tout deux apparaissent sur leurs traîneaux, apparitions surprenantes et mystérieuses. Nous pouvons également souligner l'aspect même du Docteur, sa dégradation physique qui accompagne la folie de sa fièvre créatrice ; au fur et à mesure que le corps de la créature se forme, le sien se dégrade. Tout deux, également, sont plongés dans la folie, la solitude. Finalement, le créateur se trouve dépassé par sa création. "Vous êtes mon créateur," dira d'ailleurs la créature, "mais je suis votre maître." Une construction en miroir, donc. Et savez vous où nous retrouvons, assez littéralement, un miroir ? :D

Et oui ! Dans l'adaptation de Mr. Dawley !

Voyez la scène qui commence à 7 minutes 45. Voyez comment s'opère le jeu du miroir. Le monstre, dans un premier temps, est dans la pièce, Frankenstein apparaît dans le miroir ; et puis, inversement ! Le monstre se retrouve dans le miroir, Frankenstein, dans la pièce. La frontière est toujours présente, mais bien mince, puisque les rôles sont interchangeables, tant et si bien que le monstre finit par être, littéralement, le reflet de Frankenstein. Tout le cœur et la morale de ce film réside dans cette ambiguïté là : dans la relation entre l'humain et son double "monstrueux". Ici, la créature n'est plus seulement une création blasphématique et monstrueuse. Elle est la représentation du "mal" caché en l'homme, de son inconscient, de sa difformité. En cela, bien sûr, la fin dévie du roman d'origine.

"The monster is overcomed by love and disappears." La fin, peut-être, peut sembler décevante, en ce qu'elle est bien plus optimiste que celle de Mary Shelley : c'est que le message de l'oeuvre est différent. Ici, l'homme surpasse ses démons, par le biais de valeurs (très chrétiennes, par ailleurs, mais je ne compte pas me lancer plus en avant dans un débat sur le lien qu'entretient le mythe de Frankenstein avec la religion) positives. En treize minutes seulement, donc, ce film de 1910 parvient à raconter une histoire tout à fait passionnante, et sans conteste riche ; pas seulement au travers de ses dialogues -inexistants, sans les panneaux- mais également, et surtout, par le soin apporté à sa mise en scène.

Et... Comme je vous l'avais dit, je me suis laissé emporté ! Il faut dire que le sujet est passionnant, et j'aurais encore beaucoup à dire. J'espère vous avoir fait découvrir quelque chose d'intéressant. N'hésitez pas à me dire si ce genre de post vous intéresse - vous, Carwyn, ou peut-être d'autres personnes. Je vous souhaite en tout cas une excellente soirée ;)

#J. Searle Dawley #1910's cinema #cinema #frankenstein #frankenstein monster #victor frankenstein #analyse de film #old movie review #mary shelley

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omagazineparis · 1 month

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Les accessoires de luxe : pourquoi nous font-ils rêver

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christian-dubuis-santini · 2 years

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La "réussite sociale" rapportée aux seuls critères du discours dominant est l’une des formes les plus pathétiques de l’échec.

Des "losers" et des "pauvres" à "ceux qui ne sont rien" (Macron), aux "sans dents" (Hollande), aux "gilets jaunes"... : deux ou trois mots sur l’idéologie du mépris à l’époque de l’obscurantisme postmoderne.

«Tout ordre, tout discours, qui s’apparente du capitalisme laisse de côté ce que nous appellerons simplement les choses de l’amour, mes bons amis.» (Jacques Lacan)

L’un des stigmates par lequel se reconnaît instantanément le sujet du Discours Capitaliste (le discours dominant dont se soutient l’idéologie "libérale") consiste en ceci que pour lui, le monde met toujours en scène une classe de gens qui font office de repoussoir, une catégorie où il classe des "individus imaginaires" confinant a "l’abstraction réelle" (Marx) et vis à vis desquels il se définit lui-même per negativem: "ceux qui ne sont rien" (Macron) les "sans dents" (Hollande), les "losers", les "pauvres"...

Cette "identification négative", qui permet au sujet du Discours Capitaliste de considérer comme quantité négligeable une part importante, voire l’immense majorité de ses congénères conforte la "pensée statistique" caractéristique de l’idéologie libérale-libertaire qui sous-tend l’organisation capitaliste.

Mais la "pensée calculante" n’est pas pensée, restant en deçà du seuil dialectique. Qu’est ce que ça veut dire?

L’obscurantisme postmoderne s’est indexé sur l’outil technologique dont le fonctionnement déteint sur le langage, non seulement dans sa fonction de représentation, mais dans sa structure même.

L’évacuation du réel par la novlangue des modélisateurs amène les sujets du discours dominant à une faillite de la logique dont ils n’ont pas la moindre idée car l’accès à la dialectique leur fait défaut, la dialectique requérant toujours trois termes (le langage, ce qui n’est pas le langage, et ce qu’il y a entre les deux) contrairement au code informatique qui n’est pas un langage puisqu’il reste binaire (tout comme l’opinion...)

Des faux-concepts comme l’égalitarisme par exemple (les -ismes) ne correspondent en rien à la traduction du terme allemand pour concept, qui se dit "Begriff", dont la forme même laisse entendre la prise, la saisie par la pensée de quelque chose de réel qui aurait été "attrapé" par des mots...

Pour montrer qu’on ne saurait trouver d’égalité dans la nature, Leibniz amenait ses étudiants dans un parc en automne et il leur demandait de trouver deux feuilles identiques.

L’égalité est une construction mentale qui concerne exclusivement des énoncés: si x=y et que y=z, alors x=z. D’un côté la réalité (qui concerne des choses: res=chose en latin), de l’autre le langage.

Le langage procède par des oppositions excluantes qui n’existent pas dans la nature où la fleur laisse dialectiquement et progressivement place au fruit.

Ainsi les riches ne sont-ils que des pauvres avec beaucoup d'argent. Mais cette proposition n'est pas réversible. On ne peut pas dire: les pauvres sont des riches sans argent.

Il n'y a pas un genre neutre: "les gens" divisé en deux espèces: les pauvres et les riches, le genre est "les pauvres" auquel il faut ajouter la differentia specifica "l'argent" pour obtenir son espèce "les riches"...

À l’opposé de cette faute logique, qui est une faute d’amour, il y a l’humanité, la parole, l’esprit d’Henri Michaux: «Chacun est extraordinaire. Il est seul à s'en apercevoir. Découragement! Enfin, il finit par s'y faire... puisque personne d'autre que lui ne le remarque.

Mais voilà que dix, quinze ans passent et quelqu'un d'autre, également, le trouve extraordinaire. Merveille. Être aimé. Et l'autre aussi, comme c'est étrange, justement l'autre aussi est extraordinaire, unique, vraiment unique. On n'eût pu l'imaginer... et elle est, naturellement, belle, mais surtout unique, unique.

Amour! Il est soulagé du poids de sa personne, du poids de sa vie, de ses journées, de ses occupations et soulagé de la propriété à la fin lassante de sa personne.

Quelle merveille! Qu'est-ce qui ne va pas arriver? Plus rien n'est impossible. Il atteint sans effort le haut du monde.»

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claudehenrion · 3 years

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Syrie : Dix ans plus tard...

C'est la quatrième fois que l'actualité nous ramène en Syrie, ce pays autrefois si beau, si riche de toutes les civilisations qui se sont suivies, combattues, aimées ou haïes sur ce sol où elles ont vécu parfois en harmonie, souvent en opposition, mais sans atteindre (jamais ?) la haine actuelle, qui voit l'une des cultures, partout où elle est présente, n'accepter les autres que sous forme de cadavres… et encore ! Ce beau pays était, disait-on alors, dirigé par un dictateur dont aucune des idées qui rendaient là-bas la vie agréable (j'en atteste), ne venait du corpus gauchiste ! Haro, donc, sur le Hafez el-Assad et son fils : la haine de la Gauche ne s'éteint jamais.

Depuis le 15 mars 2011 et le début --dix ans pile, déjà !-- de cette terrible guerre civile aussi féroce qu'inutile, la France refuse toujours de faire un pas vers toute forme de négociation, fidèle contre toute intelligence aux énormités de Hollande. Que de mal il a fait ! Devant une telle complexité, un “retour sur images’’ facilitera, comme toujours, la compréhension des enjeux réels de ce drame fabriqué, qui aurait évidemment pu et dû être évité, au moment où de nouvelles élections vont donner... le résultat attendu. (Question : pourquoi l'Occident tient-il tellement à exporter son modèle ''démocratique'' --qui réussit pas mal, mais pas toujours et irrégulièrement-- dans des pays et des civilisations qui n'en veulent à aucun prix et ont leurs propres systèmes --qui ne marchent pas mieux, mais qui sont ''les leurs'' ?)

La Syrie a été un carrefour depuis 20 000 ans avant notre ère. C'est ici que sont nées l'irrigation et la culture des céréales, la métallurgie, les toutes premières villes (Byblos, Alep), les premiers écrits (les graphèmes d'Ougarit, si émouvants)… Ici sont passés les hébreux libérés par Cyrus, les macédoniens d'Alexandre le Grand, les légions romaines, les premiers chrétiens précédant de sept siècles les guerriers d'Allah, les byzantins, les croisades, les mamelouks et les ottomans, et tellement d'autres… J’ai toujours été ébloui par les strates de l'histoire qui s'offraient à moi dans ce berceau de toutes les civilisations qui ont irrigué le ‘’monde ancien’’, et lieu de rencontre des hommes... mais également lieu de leurs oppositions, hélas !

La première question qui s’imposait, pour qui connaissait ce pays avant que l'Occident n'y commette les mêmes fautes qu'en Iraq, en Libye, en Afghanistan, au Ruanda... ou ailleurs, où la bonne volonté affichée mais polluée par un parti pris ostensible, n’amène des résultats à l’opposé des discours, était : comment voulez-vous que les idées réductrices, simplistes... et fausses de nos cuistres aussi diplômés qu'incultes et aussi formatés que myopes à tout ce qui n'est pas eux puissent voir, comprendre et intégrer une situation si compliquée ?

Car il ne suffit pas de se gargariser d'oppositions stériles telles que démocrate et autocrate ou démocratie et dictature, pour avoir une chance de comprendre quoi que ce soit : il faut vouloir, savoir, et pouvoir s'adapter au réel. Mais quand on pense que, sous prétexte de rendre les rebelles sympathiques à l'opinion publique mondiale, nos journalistes inconscients n'ont pas hésité à inventer des insultes à la vérité et à l’intelligence comme ''les arabo-progressistes'' (NDLR : avec ''Dieu est mort'', le rapprochement de ces 2 mots est sans doute le plus gros mensonge de l'Histoire !), on se dit que ceux qui ont osé mettre un tiret entre les mots ‘’Islam’’ et ‘’progressiste’’ sont des fauteurs de guerre qui ont commis, eux, des ''crimes contre l'humanité'' : ils sont les vrais responsables de toutes les horreurs qui ont suivi..

Deuxième facteur primordial : la Syrie moderne, créée dans les années 1850, est un des rares pays où l'islam n'a pas réussi à s'unifier autour d'un seul des grands courants de sa foi, les maḏhâhib al ijtihad : chi'isme et sunnisme se trouvent là, en compétition entre eux et en luttes fratricides avec les courants Druze et Alaouite… A Hama, par exemple, l'antique Epiphania où les ruines actuelles étaient des jardins fleuris qui mettaient en valeur d'incroyables ”norias“ grinçantes de dix à quinze mètres de diamètre, j'avais été frappé à chaque séjour de voir que les répressions de Hafez el Hassad, le père, hantaient les esprits quinze ans après.

Les batailles entre baassistes et frères musulmans avaient fait officiellement plus de 10 000 morts (donc... le double ?), et les habitants étaient heureux de pouvoir en parler sans contrainte avec un européen arabophone : on racontait qu'une moitié du peuple syrien surveillait l'autre… et vice-versa ! Mais outre une paix civile réelle dans tout le pays, ce régime permettait à une importante minorité chrétienne (environ 20 % de la population) et aux Yazidis (zoroastriens) de vivre en sécurité, ce qui était une réelle exception, dans le monde musulman, Egypte comprise.

La triste vérité, si difficile à ''avaler'' pour nous, est que, comme en Irak ou en Libye, seule une poigne de fer pouvait ’‘tenir” un pays parcouru par tant d'influences centripètes… fût-ce au prix d'un certain nombre d'erreurs que les mentalités occidentales, dont tous les systèmes politiques reposent sur notre vieux socle chrétien, ont énormément de mal à admettre, même si c'est ‘’ailleurs’'… Aussi, lorsque, en mars 2011, des manifestations portant sur le coût de la vie ou la “démocratie” (sic !) ont eu lieu, elles étaient pacifiques, les photos en attestent... jusqu'à ce que des tirs visent la police et entraînent une réaction musclée : la contestation est devenue confrontations entre partisans du régime de Bachar el Assad et opposants, encouragés par les sunnites (Arabie et Qatar) et les chi'ites (Iran), pour une fois unis pour abattre cet empêcheur de ‘’djihadiser'' en rond. Les opposants de la première heure (l'ASL) ont rapidement été phagocytés par les Frères musulmans puis les djihadistes salafistes… eux-mêmes vite dévorés par Al Nosra (al Qaïda) et les radicaux du Taqfir wal Hijra, que glorifiait cet idiot de Fabius, et qui empoisonnent depuis nos vies, et mettent en péril le futur du monde civilisé.

Si l’ Occident avait compris, même un tout petit peu, le monde arabe, un soutien (ne serait-ce que verbal) au régime en place aurait suffi à éteindre ces mouvements, intrinsèquement mauvais pour tous… Mais les myopes qui ne voient le monde qu'à travers leurs lunettes déformées ont reproduit ce qui a échoué en Afghanistan, au Pakistan, en Irak, etc… alors que leur échec était prévisible dès le début : ce qui est arrivé avait été annoncé dans ce Blog. Résultat (partiel) : dix ans de guerre, 400 000 morts et 4 millions de réfugiés (chiffres officiels. Sans doute faux, mais ce sont les seuls), un pays détruit, des trésors millénaires perdus à jamais, des monuments irremplaçables réduits en poussière, des villes devenues amas de ruines… Poutine, bien moins bête que ses détracteurs, a eu du flair et a vu où se trouve la seule chance d'une solution. Mais la pauvre France, entraînée par le dogmatisme de Hollande, persiste dans son erreur grossière, et se retrouve durablement engluée dans ses attitudes incompréhensibles, alors que notre rôle historique devrait faire de nous un des maîtres du jeu. Nos dirigeants sont pitoyables et ne se sont jamais posé la question : ’'Si Assad était tombé, que se passait-il et qui aurait pris le pouvoir ? “. Toutes les réponses possibles font froid dans le dos : Daesh ? E.I. ? Erdogan ? On frémit d’horreur, rétrospectivement !

Avec ces nouvelles élections, évidemment ''pipées'' comme elles ''doivent l'être là-bas, l'Occident va-t-il enfin ouvrir les yeux , avoir une lueur de sagesse, et renouer le dialogue avec Assad, seul acteur qui ait un futur. Il n'est pas sympathique ? La civilisation et l'intelligence ne débouchent-elles que sur un ''on ne parle qu'à ceux qu'on adore'' ? Serait-ce trop demander à nos dirigeants que d'avoir une vision non-rétrograde, et trois ou quatre grains de lucidité non-politiquement correcte ?

H-Cl.

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argent-guide · 3 years

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5 Idées de systeme AP intelligentes 2021

Que vous essayiez d'épargner de l'argent pour quelque chose de spécial ou que vous essayiez de construire un empire, le systeme AP est une chose qui pourrait vous aider à atteindre ce but.

On estime que le millionnaire moyen dispose de sept sources de revenus. Cela ne signifie pas sept emplois. La plupart des millionnaires ont trouvé d'autres sources de revenus que celles qu'ils ont habituellement.

Voici quelques idées de systeme AP pour vous aider à constituer votre patrimoine personnel.

1. GAGNER DE L'ARGENT GRÂCE À VOS ACTIVITÉS QUOTIDIENNES

Gagnez de l'argent en rachetant de l'argent sur vos achats quotidiens.

Lorsque vous utilisez des Swagbucks, vous gagnez des points pour les achats que vous faites déjà en ligne dans des endroits comme Amazon, Walmart et Starbucks. De plus, vous gagnez des points supplémentaires en regardant des vidéos sur divers sujets, en naviguant sur le web et en répondant à des enquêtes. Vous pouvez ensuite échanger ces points contre des cartes-cadeaux dans vos magasins préférés ou obtenir une remise en argent via PayPal.

Tout comme Swagbucks, InstaDollar vous permet de gagner un revenu résiduel en faisant en ligne des choses que vous faites déjà, mais vous êtes également payé pour effectuer une plus grande variété de tâches que vous faites avec Swagbucks, comme consulter vos e-mails et jouer à des jeux. Dans l'ensemble, le concept et les structures de récompense sont presque identiques. Avec InboxEuros, vous recevez un bonus d'inscription de 5 $, mais vous ne pourrez pas le percevoir tant que vous n'aurez pas accumulé 30 $ de récompenses.

2. FAITES TRAVAILLER VOTRE VOITURE POUR VOUS

Une autre activité quotidienne que vous pouvez transformer en systeme AP est la conduite automobile.

Si vous conduisez déjà pour faire des courses, pourquoi ne pas prendre un passager ou deux ? Conduire votre voiture avec Uber vous aidera à gagner de l'argent en conduisant les gens à la destination qui leur a été assignée.

Vous pouvez également placer des publicités sur votre voiture pour gagner de l'argent pendant que vous conduisez.

Vous pouvez même gagner de l'argent lorsque votre voiture n'est pas utilisée pendant que vous êtes en vacances, en voyage ou simplement pendant une journée de travail normale. Avec une application comme Getaround, vous pouvez gagner des milliers d’euros en louant votre voiture lorsque vous ne l'utilisez pas. De plus, les propriétaires de voitures Getaround bénéficient des meilleures places de parking en ville, d'un crédit mensuel de 50 euros pour louer le véhicule de leur choix et d'une couverture d'assurance primaire d'un million d’euros.

3. OBTENIR UN COMPTE D'ÉPARGNE À HAUT RENDEMENT

Les banques en ligne ont commencé à proposer des taux d'intérêt attrayants qui peuvent vous aider à gagner de l'argent sur votre épargne.

Avec CIT Bank, vous pouvez obtenir un rendement de 1,55 % sur votre épargne. Ce n'est pas de l'argent qui vous rendra riche, mais c'est de l'argent gratuit. Et comme il n'y a pas de frais mensuels, c'est un double gain pour CIT Bank.

Une autre option est Discover. Comme CIT Bank, Discover offre des taux compétitifs sur leurs comptes d'épargne. Le grand avantage de Discover est qu'il n'y a pas de solde minimum à l'ouverture du compte.

4. LOUER UNE CHAMBRE DANS VOTRE MAISON

Si vous disposez d'une chambre d'appoint, vous pouvez la louer par l'intermédiaire d'Airbnb. Il vous appartient de décider quand la chambre est disponible, quel est le tarif journalier et vous fixez les règles pour vos invités.

Un excellent moyen de gagner de l'argent pendant vos vacances ou votre absence est de louer votre chambre entière sur Airbnb.

Cela peut sembler bizarre de laisser votre chambre entre les mains d'étrangers, mais heureusement, Airbnb dispose d'une assurance pouvant aller jusqu'à un million d’euros en cas de problème. Il existe également un système de notation, qui vous permet de vérifier la réputation du locataire avant de le laisser louer votre logement.

5. INVESTIR DANS DES BIENS IMMOBILIERS FINANCÉS PAR LE PUBLIC

Avec seulement 500 euros, vous pouvez commencer à investir dans l'immobilier grâce à un portefeuille de démarrage de Fundrise. Vous pourrez profiter d'un REIT (fonds de placement immobilier) avec plus de flexibilité et des rendements potentiellement élevés. Les rapports de performance indiquent que vous obtiendrez un rendement de 12,25 % sur votre investissement initial.

Une autre plateforme de financement de l'immobilier à considérer est RealtyShare. Elle est similaire à Fundrise, mais l'investissement minimum est de 5 000 $. Avec cette plateforme, il y a plus de contrôle et vous êtes autorisé à choisir les propriétés dans lesquelles vous voulez investir, au lieu de dépendre de la performance de l'ensemble du portefeuille.

Si vous choisissez l'une ou l'autre de ces options, gardez à l'esprit que puisqu'il s'agit de fonds privés et non d'actions publiques, vous ne pourrez pas facilement liquider votre investissement et accéder à vos liquidités immédiatement. Vos investissements peuvent être bloqués pour une période allant de six mois à cinq ans. Toutefois, vous continuerez très probablement à recevoir des paiements mensuels ou trimestriels, en fonction de l'opportunité d'investissement que vous aurez choisie.

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