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#pédiluve
artlimited · 7 days
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Comme Quoi Même Les Pédiluves Devraient Mettre Une Écharpe by Yann Grancher https://www.artlimited.net/yann.grancher/art/photographie-comme-quoi-meme-les-pediluves-devraient-mettre-une-echarpe-numerique-construction/en/407407
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valavelo · 11 months
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J34 ~ "Nada mejor que volver a casa"
Faro~Huelva (111km)
Le mauvais temps s'est calmé et me laisse reprendre mon chemin. Après un petit tour sur les quais du port de Faro, me voilà reparti. Je prends la route pour gagner du temps. Dernier jour sur les routes portugaises, ça vaut bien de prendre encore quelques risques.
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J'arrive assez tôt à Vila Real de Santo António, la dernière ville avant l'Espagne. Ici il faut prendre un ferry pour Ayamonte en Espagne. Le bateau est bien plus petit que ce que j'avais imaginé. Sur le ferry je rencontre un couple d'allemands assez âgés. La communication n'est pas évidente car ils parlent encore moins bien anglais que moi ! J'arrive quand même à comprendre que le monsieur a réalisé des films documentaires sur Hambourg et que je devrais les trouver sur Youtube. Embarquement sur le ferry à 13h30 pour une traversée d'un quart d'heure; arrivée côté espagnol à 14h45 (C'est ça la magie des fuseaux horaires).
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Me voilà du côté espagnol et honnêtement, j'ai un peu l'impression d'être rentré à la maison. Il faut le dire, ma maîtrise du portugais est plus qu'approximative, ce qui n'aide pas à entrer facilement en contact avec les gens. Et puis il y a la route, source d'insécurité, de stress et d'énervement. Rouler à nouveau en Espagne est vraiment très plaisant. Cela demande un petit temps d'adaptation. Je trouve les automobilistes tellement courtois de ce côté-ci qu'ils en paraissent un peu mous !
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Je traverse maintenant une zone de marais très sauvage. Le parcours est rendu un peu difficile par les fortes pluies de la veille qui ont transformé le chemin en pédiluve. Il me faut slalomer sans cesse entre d'énormes flaques d'eau. Je tente de récupérer une route afin de me donner une chance d'arriver à Huelva avant la nuit.
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À l'approche de la ville, je choppe le wifi d'un Mc Donalds pour repérer un hotel disponible où me poser. A Huelva c'est vendredi soir le centre ville est très animé. Sur la Plaza de las Monjas il y a toutes les générations, des enfants qui jouent au foot aux anciens vissés sur leur bancs qui discutent en parlant fort. Tout autour de la place, rien que des bars et restaurants aux terrasses pleines à craquer. C'est aussi tout ça qui contraste avec l'ambiance un cran plus sage de toutes les villes où j'ai pu passer au Portugal.
🎶 Dans le ferry, le commandant met la radio à fond, alors ça reste en tête :
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catherine-geoffray · 2 years
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07–02–23 Je me tiens dans le salon de la sœur de mon mari. Ses filles sont là avec leurs amis après un lendemain de fête. Par inadvertance, je heurte l’écran géant de la télévision dans lequel j’étais en train de regarder mon reflet. Le grand verre est fêlé. La brisure dessine une jolie arborescence blanche. Je crains la réaction de ma belle-sœur, mais elle m’embarque au sous-sol pour me montrer sa nouvelle salle d’eau. Un grand pédiluve précède la lourde porte d’accès isotherme qui me fait penser à celle des chambres froides des boucheries. Il faut enjamber une haute margelle pour accéder à une pièce entièrement carrelée dans laquelle se succèdent trois bassins de taille et de température différentes. Je lui demande comment elle fera quand elle devra laver ses petits-enfants avec toutes ces différences abruptes de niveaux. Ce n’est visiblement pas sa priorité du moment. Sa fille ainée a écrit un livre qui va peut-être recevoir le prix Femina. Je ne savais pas qu’elle écrivait. Sa petite sœur me tend un recueil de poésie qu’elle a déjà publié. Je le parcours rapidement car souvent la poésie m’ennuie.
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jeannettepouetpouet · 2 years
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Toulouse pédiluve
Juin 2022
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neant-blanc · 3 years
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Sirop de citron Citror : Sirop Sport
                                                               *
Contraintes :
Le texte doit contenir les mots : trousseau de clés, souffle, cratère. Le texte doit être un souvenir, il doit se finir avec de l’eau, il doit contenir une métamorphose.
                                                              *
J’ai souvenir de cet été juste après le passage à l’an 2000. J’étais chez ma grand-mère, celle du côté paternel : dure, fière, pas très causante, voyez ?
La chaleur cette année là avait atteint des sommets. Et comme la mer se trouvait à deux pas de la maison, on décidait d’aller à la vieille piscine municipale du quartier. Un truc immonde. Un pédiluve aux allures de marre au canard sans canard, un unique bassin surpeuplé de quinqua, sexa et plus-génaires, un petit toboggan trop petit même pour les plus petits… Bref, la sortie s’annonçait longue.
Pour une histoire de trousseau de clés, celles de la porte d’entrée, qu’on croyait perdu par mon père, qu’on a cherché pendant des heures, et qu’on avait finalement retrouvé dans un des nombreux sacs à main de ma mamie, pour cette histoire donc, ma grand-mère était dans sa phase « volcan endormi ». Une montagne de silence contenu dont les cratères sensibles gonflaient sous la pression à fleur de roche. Mon père ne pipait mot, attendant l’orage sous le soleil de plomb de ce mois de juillet.
Crème solaire, ombres accueillantes des parasols, transats usés parfaitement alignés au bord de l’eau clapotant… Ma mamie, telle une reine courroucée et digne, écarta du même geste ces viles précautions et sa serviette de bain avant d’effectuer, sous les regards médusés de mon frère et moi, une superbe bombe au beau milieu de la piscine. Les corps blancs et paraffinés s’écartèrent à peine ; pour moi d’ailleurs, ils n’existaient déjà plus. Il n’y avait plus que ma grand-mère en maillot de bain vert sombre au beau milieu de l’eau claire.
J'allais sur mes cinq ans et pour moi à cette époque, ma grand-mère représentait les valeurs d’une noble fermeté, quelque chose d'impeccable et d’implacable. De strict. Dont rien ne transpire, vous me suivez? Alors la voir couler gracieusement ainsi dans les abysses douteux de la piscine municipale, comme si elle lâchait toutes ses prises sur la réalité restée en surface, ça me fascina.
La bouche en rond et retenant mon souffle je fixais ce maigre corps doublement ridé par la surface de l’eau ondulante et par l’âge. Je pouvais voir distinctement ses bras et ses jambes totalement détendus. Son visage toujours sévère inspirait à ce moment une touchante tranquillité avec ses yeux mi-clos et ses petites bulles roulants entre ses lèvres pâles.
Alors, par quelques effets de lumières, ma grand-mère se changea en poisson. Ses membres rétrécirent et vinrent se coller à son torse, ses pieds s’allongèrent en une queue palmée, sa peau fripée s’écailla et pris la teinte bleu-argenté d’une petite sardine. Couchée au fond de la piscine, immobile entre les paires de jambes pâlottes, ma mamie (se) reposait.
On la (re)pêcha bien vite cependant, à demi-consciente, crachant rageusement quelques goulées d’eau saumâtre.
Depuis, le simple fait de tremper ses lèvres dans un verre d’eau pure lui donne la nausée. C’est pour cela que ma mamie a toujours une grosse bouteille de sirop de citron dans sa cuisine. Et qu’elle en ajoute quelques gouttes dans la grande carafe d’eau à chaque repas. Quelques gouttes seulement, histoire de diluer le souvenir de son plongeon dans le bassin de la piscine municipale du quartier.
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clhook · 5 years
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Moi : j'ai lu un livre sur une fille qui a travaillé dans une maison close à Berlin et j'ai appris plein de choses, genre il y a une douche dans chaque chambre et les clients sont tenus de prendre une douche avant
Mon frère : ah oui comme un pédiluve avant la piscine
Moi : un péniluve mdr
Mon frère : mdr
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leoecrit · 4 years
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La mère d’Opa était une acharnée de la zenitude, du feng-shui et de tous ce genre de choses, qu’elle réinterprétait à sa manière. Cela expliquait en partie le pédiluve creusé dans le sol de l’entrée.
Artémis, OC de mon nouveau roman (oui c’est n’importe quoi j’assume)
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2019 - La piscine
Il y a celui qui traverse le pédiluve en tongs. Il y en a deux qui ne devraient pas tarder à rejoindre leur chambre d’hôtel en courant. Il y a celui qui confond ses palmes avec un steamboat. Il y a le chauve qui ne voit pas pourquoi il mettrait un bonnet. Il y a deux mini bombes qui tentent de vider le bassin. Il y a la mamie qui patauge ici depuis cinquante ans. Il y a ma Dame qui se prend pour une torpille. Il y a les parents qui filment la noyade de leur petit premier avec une tablette. Et il y a moi, accroché à une frite verte et qui ne saurai donc jamais nager.
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bl0905 · 2 years
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bouillon de pédiluve
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artlimited · 3 years
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Comme Quoi Même Les Pédiluves Devraient Mettre Une Écharpe by Yann Grancher https://www.artlimited.net/yann.grancher/art/photographie-comme-quoi-meme-les-pediluves-devraient-mettre-une-echarpe-numerique-construction/en/407407
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la-bucolie · 6 years
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Je me demande pourquoi les oiseaux bougent si vite. Pas le temps pour une réponse, Colette me fait un signe. Au milieu du groupe, c'est la seule qui me parle. Sinon, il y a Nico. Mais lui, il ne parle à personne, alors c'est comme s'il me parlait. J'essaie d'éviter la pluie, je boitille à cause des cloques, je patauge dans les flaques. Dans ma vie, je n'ai pas eu peur de grand-chose, sauf des verrues.
Quand j'étais petite, avec tous les autres petits, on avait un abonnement à la piscine municipale. Il fallait qu'on apprenne à être propres, et moi je me faisais pipi dessus encore à six ans. C'était toute une histoire. Le groupe attendait dispersé, pour qu'on nous chasse pas, et nous les petits, avec Colette, on allait se laver. Comme on avait souvent des poux, elle nous coupait un par un les cheveux dans une cabine de toilettes. On prenait le savon des lavabos, quand on n'en trouvait pas dans une cabine, et c'était la fête à la mousse. On prenait une bonne douche avant et après la piscine. C'était notre privilège, pouvoir nous laver, et jouer une petite heure dans l'eau avant de repartir. Souvent on sortait quand c'était le soir, on vérifiait dans les distributeurs s'il restait une pièce ou une barre chocolatée. Colette avait rempli son sac à dos avec mes pantalons souillés qu'elle avait frottés à l'abri des regards. C'étaient les meilleurs moments de ma vie, jusqu'à ce que l'été arrive. Comme il y avait du monde, il y avait des cheveux partout, des traces de chaussures, de la gadoue dans les cabines et dans les pédiluves. Même nous les crasseux on était dégoûtés, mais pas assez encore pour refuser de venir. La chaleur était assommante et la piscine bondée. On nageait dans ce bouillon de culture trouble qui laissait un film collant sur la peau, on s'éclaboussait. C'est là que j'ai attrapé des verrues. Sur les deux pieds. Ça faisait mal, ça piquait, je boitais. Le vieux Paul me prenait souvent sur son dos quand j'avais trop mal. J'ai gardé mes verrues un an, jusqu'à ce qu'on réunisse assez d'argent pour m'acheter un produit pour les brûler. Tant que je n'étais guérie, on m'avait interdit de retourner à la piscine. C'était Nico, de deux ans mon aîné, qui y allait à ma place. Je me souviens que je le détestais à l'époque. Je pleurais beaucoup. Et quand il est devenu sourd, j'ai cru que c'était de ma faute, parce que je lui avais souhaité trop de mal.
On arrive sur le parking de la piscine. Depuis toujours on a vécu dans cette ville, et aujourd'hui Paul a trouvé une camionnette, alors on s'en va. Je regarde Colette qui papillonne entre les grandes poubelles de l'hypermarché d'à côté. Elle fait comme les moineaux qui picorent avec frénésie les bouts de pain sur les trottoirs. Je me glisse sur un siège arrière. J'espère que Nico s'assiera près de moi, mais il se met sur le siège juste devant. Collé à moi, l'un des petits, qui a grandi, celui qu'on appelle Fauve, qui est presque roux et qui est très grand pour ses douze ans. Paul démarre et j'ai presque envie de pleurer. Je regarde la piscine s'éloigner, je me retourne sur mon siège pour ne pas la lâcher des yeux, mais nos affaires entassées bouchent la vitre arrière. Nico m'a vue, il fait passer sa main derrière son siège pour que je la prenne. Je souris, et Colette, quand on prend de la vitesse, crie : "Bon voyage !"
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holidays-events · 2 years
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Fête des Pères
Father's Day
Fête des Pères : Célèbrons tous les papas du monde !
Ce qui devait arriver arriva. Après toutes ces sessions à la piscine et les nombreux allers-retours dans le pédiluve, votre petit a attrapé une verrue. Depuis quelques semaines, impossible d’en venir à bout malgré vos nombreuses tentatives. Faut-il intervenir ? Comment s’en débarrasser ? On vous explique.
Aujourd’hui, nous mettons à l’honneur les papas qui, chaque jour, s’impliquent avec bonheur dans la vie de leur enfant. Souvent associé à l’autorité, le papa sait aussi faire preuve de tendresse pour démontrer tout l’amour qu’il porte à ses chères têtes blondes. Il est donc normal de consacrer une journée entière, pour lui offrir un super cadeau et lui écrire un petit mot pour lui dire à quel point vous l’aimez !
Une fête instaurée en 1949
En France, la fête des Pères est l’initiative d’une marque de briquets. En effet, en 1949, la marque bretonne Flaminaire lance une publicité le 3e dimanche du mois de juin pour inciter les enfants à offrir un briquet lors de la Fête des Pères. À l’époque, cette fête existait déjà, à cette même date, aux États-Unis. L’entreprise s’est donc inspirée de cet événement outre-Atlantique pour sa publicité, qui fut une réussite.
Aussi étonnant que cela puisse paraître, c’est la réalité ! Ce n’est qu’en 1952 que la Fête des Pères est officialisée à la date que nous connaissons.
Mais au final, peu importe que cette fête soit officiellement proclamée ou pas, le plus important étant de la célébrer avec sincérité.
Un Tour du monde de la Fête des Pères
Il n’y a pas qu’en France que nous célébrons les papas. Le Monde entier leur consacre une journée rien que pour eux. Les dates diffèrent, mais les intentions restent les mêmes : profiter de ce jour pour dire aux papas combien nous les aimons.
Dans les pays où la religion est forte, comme le Costa Rica, cette fête est célébrée à la Saint-Joseph. Il est courant de mettre également à l’honneur les pères spirituels comme les prêtres. En Inde et au Népal, ils associent la Fête des Pères avec l’apparition de la Nouvelle Lune. À Taïwan, la célébration a lieu le 8 août, huitième jour du huitième mois, car ce chiffre se prononce "bā", alors que papa se dit "bà". La phonétique est si proche que ce jour est donc devenu le jour des papas.
L’origine de l’instauration de la Fête des Pères est aussi différente selon les endroits. Par exemple, aux États-Unis, ils célèbrent cette journée depuis 1910 grâce à Sonora Smart Dodd. Cette jeune fille, orpheline de mère et élevée par son père, s’est battue pour que cette célébration existe. Le Président Calvin Coolidge exauça son vœu en 1910.
Chaque pays à sa tradition propre et sa façon de célébrer ce jour, mais au final, nous sommes tous réunis par la même raison de le faire : la reconnaissance et l’amour envers l’homme qui nous a élevés.
Des citations pour célébrer papa
Les pères ont aussi inspiré les personnalités à travers les âges… Voici 5 citations qui mettent à l’honneur les papas et leur rôle si important dans notre vie :
"C'est une ivresse d'être mère, une dignité d'être père" - Anne Barratin (De vous à moi) - 1892.
"Dans les bras de papa, on trouve le meilleur refuge au monde" - Jean Gastaldi (Petit livre de papa) - 2000.
"Le rêve du héros, c'est d'être grand partout et petit chez son père." - Victor Hugo
"Dans une prochaine vie, papa, j’aimerais te reprendre comme père" - Bernard Werber  (Toi mon père, Récits et témoignages) – 2000.
"Un père a deux vies : la sienne et celle de son fils."  - Jules Renard
Profitez de cette journée spéciale pour dire à votre papa tout l’amour que vous lui portez, que ce soit en utilisant les citations ci-dessus ou vos propres mots. L’important, c’est que les paroles viennent du cœur. C’est ce que mérite celui qui contribue chaque jour à faire de vous un être meilleur, en vous éduquant et en vous protégeant.
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evafontan · 3 years
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Bande dessinée pour le fanzine “Pédiluve”
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toilette-prise · 3 years
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adelepainchaud · 4 years
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Bande dessinée pour un fanzine sur le thème de « Pédiluve ».
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confifi · 4 years
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Jour 15 Je la ferai courte aujourd'hui : on a bu du canada dry jusqu'à minuit trente, et j'ai le cerveau comme une petite boule de patafix usée.
L'attestation du jour nous vient de Saint Jean de Cuculles, dont la société de chasse milite pour une chasse au grand gibier exclusivement pratiquée en battue. On salue la démarche, et ça donne sens au fait que la chasse soit autorisée envers et contre tout.
Au niveau de ladite attestation : c'est plutôt propre et bien exécuté. Petit souci au niveau d'une bi-pagination qui n'est pas vraiment motivée, mais on a choisi de valider malgré tout. Madame monsieur, vous avez bien fait d'utiliser l'attestation sur le terrain.
Par contre, on se permet quelques petits avertissements :
- Il y a un taux de religiosité qui frise les 2 grammes de dévotion par ligne dérogatoire. Compte tenu du contexte actuel, on a fait un signalement au service du vivre ensemble du ministère de l'intérieur. On vous transmet leur réponse : 
"Après le grand schisme de 2015 entre le fascisme laïque apaisé et l'islamo-gauchisme excuseur d'envahisseurs intérieurs, il a été décidé d'expurger toute démarche administrative de quelque mention identitaire que ce soit. A l'exclusion de tout ce qui est judéo-chrétien-blanc-européen-viril-hétéro-pascal-praud".
Donc tout va bien Marie. 
- Et dans le même ordre d'idée, toujours au rayon de la pédagogie bienveillante, à un moment donné, vous écrivez "Sera-ce jusqu'à sept fois?". Phonétiquement, on entend le mot "race", or ce dernier a été banni du langage courant depuis que le blanc est devenu la norme colorimétrique civilisationnelle officielle, et qu'on a décidé que les réflexions décoloniales étaient un délit passible d'une peine de 72h de CNEWS paupières contraintes. 
- Pour finir, c'est très gentil à vous de proposer de payer une amende majorée pour soutenir l'Afrique mais 1) l'Afrique, c'est très très loin. 2) l'Afrique souffre beaucoup moins de l'épidémie que votre Géant Casino le plus proche 3) il y a un projet de pédiluve géant à Notre Dame de Paris - dans la perspective de la lutte contre la covid 19 - où votre soutien sera bien plus apprécié et pertinent.
Et pour vous emboîter le pas Marie, la bible dit que "la chair qui a touché quelque chose d'impur ne sera point mangée: elle sera brûlée au feu." Lévitique 7:19-21. Alors surtout, n'oubliez pas d'utiliser du gel hydro-alcoolique et bonne journée de relance à 1km de chez vous.
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