#péripatéticienne

[lespalimpsestes]

[plumedepoete]

Péripatéticienne - Isa Soares

P.ar une nuit froide E.lle met son manteau de vison R.ien en dessous I.l fait frisquet P.our un mois de février A.vec juste un déshabillé et des bas nylon T.oi qui voulais faire quelque chose de ta vie E.lle attend ses premiers clients T.u as tout gagné I.ci il n'y a personne C.'est le désert total I.l faut attendre et attendre E.n pensant qu’une personne viendra ! N.on je ne pourrais pas N.e m’en voulez pas ! E.t elle partie.   Le 20 février 2023 Isa 💋 Read the full article

[furrypersonalover]

The Notebooks of Kendoka 🙏

Ma geisha aux yeux biais m'attend, l'esprit

mi-clos,

Son regard est soumis, éducation ancienne,

Sa bouche est écarlate, son teint de poudre d'os,

Courtisane le jour, péripatéticienne

Les nuits de lune pleine, j'aime comme un

péril

Serrer son cou gracile.

Diyana 🌷💞

[aurevoirmonty]

Le pays est devenu une déchetterie, le pays est plus sale qu’un J9 de péripatéticienne, mais ça n’a pas l’air de déranger grand monde.

Nicolas Bonnal

[quentinyhk]

La Bible

[Quelle meilleure méthode, pour se forcer à la lire en entier, que de la réécrire patiemment ? Cette tâche s'interrompra d'elle-même quand elle devra cesser, si et seulement s'il le faut vraiment. Entreprise amusante et instructive. Quentin Cavellier.] - Juda et Tamar Après la disparition de Joseph, vendu comme esclave, Juda s'éloigna de ses frères. Il trouva refuge auprès d'un homme d'Adullam qui s'appelait Hira. Ces circonstances l'amenèrent à faire la connaissance de Schua, fille d'un Cananéen. Il l'épousa. Elle tomba enceinte et accoucha d'un fils qu'elle appela Er. Puis elle enfanta à nouveau et donna naissance à un autre garçon auquel elle donna le nom d'Onan. Elle eut ensuite un troisième fils qu'elle appela Schéla. Tandis qu'elle accouchait, Juda, lui, se trouvait à Czib. Juda pour épouse, à son fils aîné Er, une femme dont le nom était Tamar. Il se trouve que le premier-né de Juda était un homme très méchant. Et l’Éternel le fit mourir. Onan fut invité à s'unir à Tamar par Juda qui tenait à ce que son fils aîné mort ait une descendance. Voyant que les enfants qui résulteraient de cet accouplement ne seraient pas considérés comme les siens, mais comme ceux du défunt Er, Onan obéit à Juda à sa manière : il s'unit à Tamar mais se déchargeait au préalable de sa semence en la jetant au sol. Cette pratique déplut à l’Éternel qui fit périr Onan. Alors Juda dit à Tamar de retourner vivre chez son père, en sa qualité de veuve, et d'y attendre que Schéla soit en âge de s'accoupler avec elle. La belle-fille s'exécuta. Juda, de son côté, craignait fort que son troisième et dernier fils ne périsse à son tour. Mais ce fut sa femme Schua qui mourut ensuite. Lorsque le deuil de cette épouse fut achevé, Juda se rendit à Thimna pour aller voir les personnes chargées de tondre ses brebis. Il était accompagné de son ami Hira l'Adullamite. Tamar eut vent de cette excursion. Elle retira ses habits de deuil qu'elle portait depuis la mort d'Er, enveloppa son corps dans grand voile dont elle couvrit son visage et se posta sur le chemin de Thimna, à l'entrée d’Énaïm. Elle savait que Schéla était en âge de s'unir à elle et constatait avec dépit qu'elle n'était pas invitée à s'accoupler avec lui, laissée à son veuvage chez son père. En la voyant, Juda crut qu'elle était une prostituée quelconque, car elle gardait son visage dissimulé dans son voile. Il voulut s'accoupler avec elle. Schéla marchanda : - Et que me donneras-tu en échange ? - Je te ferai parvenir un chevreau de mon troupeau. - En attendant, il faut que tu me laisses quelque chose en gage. - Que pourrais-je te laisser ? - Ton cachet, ce sceau qui te sert de signature et que tu portes au bout de ton bâton, pendu à un cordon tressé. Voilà ce que je veux en gage. Il lui remit ces trois objet. Ils s'unirent. Elle tomba enceinte. Elle le quitta puis, délaissant son déguisement de prostituée, remit ses habits de veuve. Juda dépêcha auprès d'elle son ami Hira l'Addulamite avec le chevreau qu'il lui avait promis, mais elle était partie. Avec les objets qui lui avaient été laissés en gage. Hira interrogea les gens qu'il trouva sur place : - Où est donc passée la prostituée qui travaillait ici ? Il lui fut répondu qu'aucune péripatéticienne ne vivait à proximité. Hira retourna donc bredouille auprès de Juda en lui annonçant : - Je ne l'ai pas trouvée. Même les gens du coin ne voient pas de qui il s'agit. - Et bien qu'elle garde mon sceau ! déclara Juda, résigné à la perte de cet objet. En le cherchant davantage, je m'exposerais à un grand déshonneur. Pour ma part, j'ai respecté mes engagements en essayant de lui faire parvenir le chevreau convenu. Trois mois plus tard, on apprit Juda que sa belle-fille Tamar s'était prostituée et qu'elle attendait un enfant. - Qu'on la brûle ! dit Juda.

[ciggi3s4ever]

idée chanson, vibe musique de grand corps malade ou petit organisme fracassé (selon votre préférence de taille/mood) pour accouplement humain (avec ou sans conséquence naissance enfant), ou pour pleurer en fixant votre plafond à 3h du matin de la nuit en pensant à votre ex ce balourd, ce sot, cet ignorant, ou votre ex cette petite gourgandine, cette fleur de macadame (j'irai même jusqu'à dire cette péripatéticienne mais ce serait pousser le bouchon un peu trop loin Maurice j'ai pas raison la team?). il/elle ne vous méritait pas soyez-en assurément assurés.

"BONNE NUITÉE LES PETIOTS" - Godefroy de Montmirail (les visiteurs - 1993)

En d'autres mots, à plus dans le bus/à demain dans le train

[heroslitteraires]

Un personnage haut en couleur!

David Goudreault.

Maple. 267 pages.

Stanké.

« Quand même pas tous les jours qu’une péripatéticienne bien mûre arrive à résoudre un paquet de crimes, à doubler la police et à neutraliser un tueur en série du même élan. Ça vaut la peine d’être raconté. Attachez vos tuques avec de la broche à dents, ça va fesser fort. »

Mon avis :

Je m’étais ennuyée de l’univers et de l’écriture de David Goudreault. Maple, le personnage principal, est tout un numéro. L’auteur sait comment bien décrire la personnalité de chacune des personnes qui sont dans son roman. Les mots sont juste, on a l’impression d’être vraiment dans la tête de Maple. Elle a toujours, ou plutôt elle veut avoir toujours raison. Elle voit la vie et sa mission hors de la prison à sa façon, sans vouloir nécessairement faire ce qu’il faut pour s’intégrer dans la société.

J’ai déjà hâte au prochain roman. Aimez-vous ce roman?

[elmagotisalive]

Mots doux

[mesillusionssousecstasy]

Les péripatéticienne au bordel 

(Eva C., Sabrina S. et Withlovefrmkristiana).

[alexlefan]

yo! youtube ! the f- is this !!! 

seriously che look like a péripatéticienne !!!! èé  >(

[desviesennoiretblanc]

"Chambres de rendez-vous", ainsi étaient nommées les pièces souterraines dans lesquelles les égoutiers de Paris revêtaient leurs habits de travail. Elles sont devenues aujourd'hui "lieux d'appel".

Un "en-tout-cas" était autrefois une petite ombrelle.

Le mot "péripatéticienne" vient du grec peripatétikos, de péripateîn, qui signifie se promener. 

Dans les pays anglo-saxons, l’adultère était appelé "criminal conversation".

[phyghyver]

36. Favorite clean word?

37. Favorite swear word?

36. Favorite clean word?

Canard.

37. Favorite swear word?

Péripatéticienne

@captzexx

[furrypersonalover]

The notebooks of Kendoka 🙏

Ma geisha aux yeux biais m'attend, l'esprit

mi-clos,

Son regard est soumis, éducation ancienne,

Sa bouche est écarlate, son teint de poudre d'os,

Courtisane le jour, péripatéticienne

Les nuits de lune pleine, j'aime comme un

péril

Serrer son cou gracile.

Diyana 🌷💞

[madi4son]

L’Étang d’à côté #1

Moi c’est Ethan, j’ai dix-sept ans et je suis en dernière année au Newport Harbor High School. Mes parents biologiques m’ont abandonné il y a seize ans. J’ai  enchainé les familles d’accueil durant deux ans. J’ai finalement été adopté à l’âge de trois ans et emménagé dans une nouvelle famille. Je me rappelle de pas grand-chose concernant mon installation, juste que tout était immense ; les pièces, les objets, le lustre du salon et celui de la salle à manger ; j’étais haut comme trois pommes à l’époque, comme me le répète ma mère dès qu’elle est prise de nostalgie. Notre maison se trouve à Newport Beach dans le comté d’Orange, pas très loin de mon lycée. J’ai toujours fréquenté les écoles privées locales et j’ai donc eu la chance de tisser des liens avec certaines personnes dont ma meilleure amie Océane. Elle habite à Irvine, à environ quinze minutes de chez moi. Tout les vendredis, je suis convié à déguster les lasagnes maison de sa mère. Notre relation est l’une des très rares choses qui comptent pour moi.

Ce soir là, devant chez elle, j’aperçois une magnifique jeune femme accompagnée d’un homme certainement plus âgé qu’elle. Il avait la moustache bien taillée et très grise, les cheveux court avec un début de calvitie. Il était vêtu d’un pull en cachemire en col-roulé bleu foncé, d’un pantalon classique noir et d’une veste de la même couleur. La jeune femme quant à elle portait une robe assez moulante et courte, semblable à celles que les péripatéticiennes pourraient porter. Après m’être fait remarqué à cause de mes regards insistants, j’appelle  Océane pour la prévenir que je suis arrivé devant chez elle. L’odeur des lasagnes de sa mère inhibe tout le quartier. A la fin du repas, je remercie Mary, sa mère, alors qu’Océane m’attire dans sa chambre. Un petit film sur Netflix puis je repars chez moi. 

J’arrive vers vingt-deux heures à la maison, Renée et Carlisle sont dans leur chambre et regardent la télé. Je frappe pour les prévenir de mon arrivée et leur souhaite une bonne nuit. Je retrouve ma chambre, pas comme je l’ai laissée avant de partir, là elle est rangée. Je redécouvre cette pièce. J’avais oublié à quel point elle était spacieuse à cause du désordre constant que j’y mets. Avant de profiter de cette chambre  “clean”, je pars remercier ma mère et m’écroule sur le canapé avant d’allumer la télé. Je reste à zapper les chaines jusqu’à tomber sur un bon film d’horreur. Un autre a suivi et au final, je n’ai pas dormi de la nuit. J’ai repris des forces toute la journée, réveillé à plusieurs reprises par Renée qui venait s’assurer que tout allait bien.

Le lendemain, mes parents et moi nous rendons à la plage de Newport, comme tous les dimanches. Journée terminée, nous louons un DVD et commandons une pizza. Huit heures, j’embrasse tout le monde et monte dans ma chambre. Je prépare mes affaires pour demain et consulte mon emploi du temps. Notre prof d’anglais étant en congés maternité, elle est remplacée demain, j’espère juste de ne pas la regretter. 

Huit heures trente, mon réveil sonne. Je ne veux pas me réveiller plus tôt, mais j’arrive tout le temps en retard en cours. Les deux heures de maths sont passées très rapidement puis est venu le tour du cours d’anglais. La nouvelle prof est canon ! Dieu merci elle n’est pas fripée, même si elle est vache avec les élèves, je pourrais au moins me divertir les yeux. Vers le milieu du cours, après sa présentation, une ampoule ma littéralement éclairé le cerveau. La femme que j’ai vu près de chez Océane… Non ?!?! Ce n’est pas possible ! Après il est vrai que les enseignants ne sont pas si bien payés que ça… mais non! La prof ne peut pas être une prostituée, je ne pouvais pas y croire. Elle n’arrête pas de m’observer maintenant. Merde je suis grillé! La sonnerie retentit, j’essaie de m’éclipser le plus rapidement possible mais…

Jeune homme, s’il vous plait !

Je fais comme si de rien était. « Ethan, la prof t’appelle je crois ». Plus possible de faire demi-tour. Je me retourne avec un grand sourire hypocrite vers elle. 

Oui madame ?

Est-ce que tout va bien ? Vous aviez l’air ailleurs durant toute la séance.  

Euh…? Je ne vois pas de quoi vous parlez. Je décide de faire l’ignorant.

Oui, vous étiez absent. Je veux juste m’assurer que ce n’est juste passager et que vous vous investirez plus durant les semaines à venir. Insiste t-elle.

Euh oui. J’ai beaucoup de chose en tête en ce moment. “Notamment le fait que vous soyez une...” STOP ! J’interromps la voix dans ma tête. 

Bon et bien dans ce cas, j’espère que vous ferez le tri rapidement. Il ne faudrait pas que tout ça ait des répercussions sur votre travail. 

Oui évidemment, lui dis-je. 

Bonne journée, Ethan c’est ça? 

Bonne journée à vous également.

Au moment de partir, je décide de jouer carte sur table et me retourne vers elle, au moins si je me trompe, je serai fixé.

En fait, vous avez raison. J’ai été perturbé surtout parce que je connais votre secret et ça m’a intrigué pendant tout le cours.

Mon secret? Répond t-elle complètement déroutée.

Je sais que vous êtes une prostituée.

Pardon? Mais d’où tenez-vous ces propos ? Elle devient rouge de rage, de honte, de stupéfaction. 

Je vous ai vu accompagnée d’un homme beaucoup plus âgé que vous l’autre soir, et disons que vous étiez vêtue d’une robe très… comment dirais-je… ? …très alléchante. 

Non mais je rêve là, c’est ça ? Dit-elle d’une voix sévère et vexée. Je plains votre mère d’avoir éduqué un enfant aussi petit d’esprit et impoli, et je dirais même enfantin avec un soupçon de perversité si ce n’est pas plus. Ça n’en restera pas là jeune homme. Hors de ma vue ! 

Je crois que je regrette mes propos maintenant. Je me sens tellement mal, pas pour elle mais pour moi, comment ai-je fait pour être aussi con?  Penser que la prof était une pute. Quel débile mental. Quoi qu’elle n’a pas vraiment démentit mes propos non plus. Non stop ! Il faut que j’arrête, ça va beaucoup trop loin. 

Désolé madame, je suis vraiment désolé. Je bégayais tellement j’étais mal à l’aise. Je ne trouvais plus mes mots. Vraiment désolé. 

Elle me jette un coup d’œil froid alors que je me dirige vers la sortie limite en titubant de nervosité et de malaise. 

[quentinyhk]

L'amitié s'achète. Mais pas forcément avec de l'argent. On fréquente autrui par intérêt, pour obtenir des faveurs ou des avantages, pour devenir meilleur (changement de statut, de perception de soi, de salaire), pour satisfaire à cette pulsion de vie qui me semble résumée et contenue toute entière dans le verbe anglais "to get". L'enfant d'une femme divorcée ne va-t-il pas, par exemple, déclarer amoureusement à sa Maman qu'il la préfère de très très loin à son Papa, afin qu'elle le récompense en acceptant de lui acheter ces bonbons de supermarché qu'il désire tellement avoir ? Les comportements des petits humains ressemblent parfois beaucoup à ceux de péripatéticiennes. Cette remarque me fait penser à une déclaration de la chanteuse Mylène Farmer, un propos retransmis à la télévision publique dont je me souviens approximativement et dont le sens était, il me semble : "On est toujours la prostituée de quelqu'un ou de quelque chose". Donc oui, l'amitié s'achète. On ne devient que rarement pote avec plus démuni que soi. Ou alors il y a une arrière-pensée : se valoriser, pour s'aimer mieux ou obtenir des honneurs, rendre autrui redevable, (comportement rapace de créancier, de pêcheur offrant un asticot au poisson pour mieux l'attraper avec un hameçon). Et pour finir, je ne comprends que l'on puisse s'indigner de voir des êtres nécessiteux vendre sans détour leur amitié. Passer du temps avec quelqu'un en tout bien tout honneur contre rétribution est nettement moins avilissant que de se prostituer.

J'ai fait le test : en moins de trois minutes, il m'a été possible de proposer des services d'escort-boy sur Internet, avant de trouver clients en quelques heures à peine. Et notre société, qui rend toujours la prostitution aussi accessible et facile au premier venu, peut-être même à des mineur(e)s, s'offusquerait de voir des individus payer pour un peu d'amitié ?

[alicelacalisse]

Pendant très longtemps je confondais ce qu'était une puériculture et une péripatéticienne et je vous avoue que ça ne m'a pas exactement facilité la vie ni la normalité de mes discussions