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#pété le nez
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Ma fille avant hier m'a pincé
Je lui ai mis une claque, elle m'a mordu
Je lui ai arraché l'oreille en tirant sur sa boucle
Elle m'a éclaté les burnes d'un coup de pied... m'a cassé une dent. Je lui ai pété le nez
... non je déconne!
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alleralafete · 5 months
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Elle avait choisi un sac en forme de coquillage
Aux oreilles des astronautes et au poignet une lune.
Une pleine.
Elle avait aimé que l'eau coule sous les ponts.
Faux.
Mais une respiration telle une passerelle.
C'est plus léger c'est plus abordable.
Ça tremble un peu.
Ça divague.
Elle les vagues, elle en a pris.
L'essoreuse elle avait donné une bonne fois pour toute.
Le nez pété sans un rocher.
En transparence, on lit mythologie.
En apparence, peut-être, une personne saurait.
Du sable sur le tapis du train.
Ça se joue à rien. Ou alors à tout.
L'alchimie des possibles. Le sien.
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comme-du-monde · 7 months
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Val-Terreur 14 Lettres d'Ordiglâbre le Traître au prétorien Félirodme
Salut Félirodme. Je sais pas si tu te souviens de moi. Ça fait déjà une couple de printemps qu’t’es parti servir l’Empereur pis on s’est pas vraiment déjà parlé sauf la fois qu’Èstraflim t’avait pété le nez parce que j’t’avais stoolé après que t’aies pris une bouchée de son givrefruit. Anyway j’t’écris parce que ça commence à chauffer pas pire dans les Hauts. Y’a presque pu personne qui cueille pis j’ai bin peur que ma prochaine livraison à Passage Sud va être ma dernière. On est rendu qu’on pige din réserves de l’hiver prochain pis quand je pose des questions au Père il répond vaguement en me disant que toute va être correct. Le pire, c’est que pas mal tout le monde dans le clan boit le même Kool Aid. J’ai beau les avertir qu’à la minute qu’on arrête de fournir la Capitale en fruits on va perdre nos privilèges impériaux, ils me disent tous la même affaire. Bin non Ordiglâbre! Fais-toi s’en pas Ordiglâbre! Continue comme ça, fais tes livraisons! Fak je cache ce mot-là dans une boîte d’iricourge, tes préférées. Je vais faire la même chose le mois prochain. ---
Félirodme, j’espère que t’as trouvé ma dernière lettre pis que tu vas trouver celle-là. Un soir, voyant que j’avais rien d’autre pour la Capitale qu’un sac de pelures, j’ai suivi le Père jusqu’à sa hutte. Normalement, lui pis la Mère ont un stash d’urgence pour la ponte d’hiver. Comme je l’ai vu descendre dans le caveau, j’ai décidé de le suivre pis je suis pas encore certain de comprendre ce que j’ai vu. En premier je pensais que le vieux parlait tout seul, mais en m’approchant j’ai entendu son interlocuteur. C’était un son à mi-chemin entre un murmure pis deux pierres à aiguiser qui se frottent. La pièce baignait dans une lueur rouge qui modulait son intensité en même temps que les étranges murmures incorporels. C’est dans ce rouge-là que j’ai remarqué que le caveau était plein. Pas plein de fruits, mais plein de longs bâtons avec des couteaux de cueillette attachés au bout par de la fibre d’iricourge. Y’avait aussi des baguettes en bois, plus petites, avec des noyaux de givrefruit à une extrémité pis des plumes d’ogalbecque à l’autre. De l’autre côté du Père étaient empilés des genres de murets portatifs avec une petite poignée. Pis la sinistre voix, qui sortait d’un coffre ouvert aux pieds du Père, arrêtait pas de parler d’une affaire que j’avais jamais entendue avant : gai riant– ou guériya ou quelque chose de même. Félirodme, je sais pas comment je vais faire pour te transmettre ma prochaine lettre, mais fais bien attention si tu remets les pieds dans la jungle. ---
Guérilla. C’était «guérilla».
Le Kool Aid coule à flots dans le clan maintenant. On s’entraîne à la lance, à l’arc à flèche et au bouclier chaque jour. On a même fait sécher des gousses d’arbre à dents qui projettent leurs épines au moindre choc pour les enterrer un peu partout le long des routes impériales. On apprend à se camoufler, à travailler en formation et à se déplacer en tenailles. Nos vivres sont entreposés un peu partout dans la jungle et cinq des sept clans se sont joints à la cause et participent activement aux activités de sabotage.
J’ai confronté le Père à propos de ce que j’ai vu dans le caveau. Il dit qu’il l’a trouvé au dernier pèlerinage reproductif, quand les Pères pis les Mères des sept clans se rejoignent sur l’Île féconde. Quelques nuits avant la traversée, il s’est mis à voir des éclairs rouges dans le ciel pis il s’est levé pour finir par le trouver dans un trou. Pas plus gros qu’un noyau d’ogal, chaud comme une pierre au soleil. C’est seulement huit jours après leur retour que Mars a commencé à parler au Père, dans notre langue à nous à part de ça! Mettons que le Vieux et Mars s’entendaient pour dire que le deal qu’on avait avec l’Empire c’était d’la marde.
Je laisse cette lettre au même endroit où je laisserai les prochaines : dans la bouche du malheureux légionnaire qui tourne le dos à la jungle.
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Arrêtez d’envoyer vos légionnaires mourir dans la jungle! On les brise comme les falaises brisent  les vagues! Pis le Patriarche qui jubile! Une vie c’t’une vie! Impériale ou non! Félirodme, si vous changez pas de stratégie, on va continuer de massacrer votre jeunesse pis je vais avoir de la misère à convaincre les clans de pas aller mettre la Capitale à feu et à sang. Mars ressemble maintenant à un bracelet que le Père porte et caresse en donnant ses ordres. J’attends le bon moment pour les séparer. Vous trouverez une carte des zones à éviter au dos de cette lettre. Par pitié Félirodme, raisonnez l’Empereur! ---
Mars a pris la forme d’un heaume– écarlate, brûlant. Il ne quitte plus ma tête. Il est mon confident, mon conseiller, mon protecteur et mon serviteur. C’est lui qui a guidé mon poignard quand il s’est plongé dans le cœur du Père. C’est lui qui prend la parole quand je m’adresse aux troupes, c’est lui qui forge mes songes quand la nuit tombe. Métallurgie, chimie, psychologie, maintien du moral des troupes, manufacture, projectiles, bombes. J’en peux plus Félirodme. J’ai fait construire un temple– une prison. Je pense que c’est là que Mars dormait avant qu’on le trouve. Je te le donne. Mon armée et moi quitterons le territoire de l’Empire si vous permettez aux deux clans pacifiques de joindre l’Empire sans persécution.
Soyons clairs : nous ne capitulerons pas. Les idoles sont une malédiction et l’avarice de l’Empereur ne connaît aucune limite. Nous serons un refuge pour les gens de toute origine qui s’opposent aux pratiques destructrices de l’Empereur Adofar I. J’achète ma liberté et celle de mon peuple avec Mars. Ses frères et ses sœurs reposent dans les abysses. Que mes lettres servent de manifeste! --- ---
Ces cinq lettres furent découvertes sporadiquement au cours des trois années qui précédèrent la Première Expansion de l’Empire. Les deux premières dans une cargaison de fruits en route pour la Capitale et les trois autres dans la bouche de trois légionnaires morts au combat.
Félirodme, emprisonné– puis exécuté, ne put jamais lire ces lettres.
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ernestinee · 2 years
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J-1!
Tout n'est pas prêt mais on ne se met pas la pression.
Sauf que.
1. Hier, le lave-vaisselle décide d'arrêter de fonctionner.
2. Le chauffe-eau aussi. Le technicien vient le 8 septembre. Mon côté optimiste a ri 30 secondes en disant "haha c'est le camping avant l'heure, y aura qu'à mettre la douche solaire dans le jardin" Puis mon côté réaliste lui a mis une grande claque dans la tronche. Le technicien viendra le 8 septembre POUR UN DEVIS. Même pas pour réparer. Pour commander au mieux les pièces de rechange,au pire un nouveau chauffe-eau qu'on voudra moins énergivore. Et donc attendre qu'il arrive. A vue de nez, on est partis pour de l'eau froide jusque fin septembre. Mes cheveux vont retrouver leur côté soyeux, ma peau va être top. Et mon côté réaliste met une nouvelle claque dans la tronche de ce foutu optimisme. Les capacités d'adaptation c'est bien, c'est sympa, mais c'est de l'inconfort que naît le mouvement et pfff. Je ne suis pas du tout prête à me lever pour filer sous une douche d'eau froide. Non. Mais vraiment pas. Mais je n'aurai pas le choix. Fin tout ça nous attendra au retour de vacances, pendant lesquelles, au risque de me répéter, on vivra avec une douche solaire de 10 litres pour trois + mes cheveux. Oui ça vaut une personne, il faut bien rincer sinon ça gratte, sorry hein.
3. L'homme s'est pété le dos. Il m'a déjà fait le coup le matin d'un concert de Stromae. On a revendu les places. Là il a fait un faux mouvement l'autre jour à Ostende en marchant dans le sable, et la position assise de cette semaine au boulot a amplifié le truc enfin résultat c'est qu'il marche comme un papy de 150 ans, qu'il se tient à deux mains pour descendre l'escalier, qu'il avance au ralentit et que la seule position qu'il tolère est horizontale. Voilà. Du coup j'ai fait la vaisselle toute seule, j'ai nettoyé toute seule, j'ai préparé absolument tout, toute seule, et ça continue demain avec les derniers détails, les dernières courses, les valises de vêtements, et mon côté pessimiste se réveille et me souffle dans l'oreillette que je vais probablement conduire les 1000 km jusqu'à Turin, et les 3000 km en van sur les 12 jours qui suivront. Et les 1000 km retour. Mon côté optimiste n'ose plus rien dire, de peur de se prendre une torgnole bien méritée.
4. Les chats sont chez ma mère. Ils ont hurlé à la mort pendant le voyage en voiture, au point que l'ado est allé sur le siège arrière et qu'on les a laissés se promener dans l'habitacle. Finalement ils se sont couchés près de l'ado, rassurés. Bon, c'est des chats, ça s'adapte, tout va bien se passer mais cette horrible sensation de les abandonner, de ne pas pouvoir leur expliquer ce qu'ils font là, et qu'on va revenir. Enfin on a expliqué mais ils n'ont sûrement pas compris les détails. L'ado a eu une larmichette.
Voilà pour l'instant c'est pas vraiment des vacances.
Vivement le retour.
Ça vaaaa! Vivement Turin, allez ^^
En attendant j'ai déjà écrit un peu dans le carnet et j'ai ajouté des photos.
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On sera à Vérone le jour de nos 18 ans ❤️
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pas-de-la-kaamelott · 2 years
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✨les boys✨ en cours
« en fait arturus c’est de gaulle quand on y pense » « il fait un mètre deux les bras levés qu’est-ce que tu me chantes »
« yo soy depresso » « arturus il a de l’expresso dans sa bouteille si tu veux » « ta gueule »
« les philosophes romains j’les emmerde et pis c’est tout les grecs c’est mieux » « t’es italien pauv’ con les philosophes romains c’est tes racines » « je renie l’Italie ici et maintenant » « même la bouffe ? » « …je suis fier d’être italien »
« keynes et bourdieu ils disent que de la merde, le seul qui vaille c’est marx »
« si je vois encore une fois un logarithme je me défenestre »
« agression sur un prof ça s’élève à combien ? » « ça dépend, pourquoi tu veux agresser un prof ? » « le prof de géo. il nous a remis trois chapitres sur la mondialisation » « *protestations variant en politesse et en volume sonore* »
« tu me piques encore ma serviette et je te noie » « tu sais à peine nager, connard »
« c’est qui cette fois ? » « de qui tu parles ? » « mec t’as le même niveau de baise qu’un lapin au printemps, te fous pas de moi »
« salut les mecs ! » « falerius. » « quoi ? » « il fait -10 dehors. » « eh bah » « eh bah pourquoi t’es en t-shirt, connard »
« T’INQUIÈTE PAPINIUS ON A DES SACS À VOMI ALLEZ ALLEZ ALLEZ TU PEUX LE FAIRE TU PEUX FINIR CE PUTAIN DE 2x800 »
« salut » « mani sur ma vie si t’avais pas l’arcade sourcilière pétée j’te foutrais une avoine en pleine gueule »
« mani. » « ouai- oh putain la vache ils t’ont pas raté ce coup-ci. t’as le nez pété ou je rêve ? » « ta gueule et aide-moi, je suis en train de dégueulasser le lino avec le sang là »
« eh. » « quoi ? je suis occupé là » « ils ont tapé papinius. » « ….ok bouge pas j’arrive, ils sont combien ? » « trois. » « eh bah parfait on en prend un chacun et on leur nique la gueule »
« eh ´scuse-moi t’as pas un- » « *collective NAN* »
« mange, ça va être froid » « j’ai pas faim. » « arturus tu manges ou je demande à caius de te forcer à bouffer » « …..depuis quand tu fais preuve d’autorité comme ça papinius »
« allez bouge là ! » « pourquoi, mais pourquoi je suis pote avec vous ?! » « tu la met en veilleuse et tu nous aides à faire la courte échelle »
« dix balles je descend plus vite que toi ! *se casse la gueule dans les escaliers* »
« t’as eu combien au truc sur la première guerre mondiale ? » « assez pour me faire commettre un crime de guerre »
« y’a quoi à la cantine ? » « des lentilles » « la vie de moi j’vais commencer à faire le mur pour aller bouffer autre part »
« arturus on voit ta bite »
@hatoyume
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chezledawson · 3 years
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Saison 4 épisode 21: Separation Anxiety
Tout le monde se fait la tronche depuis le bal de promo. 
Dossone n’a pas reparlé à Gretchen et Joer à Pacey. 
Mais Guèle dit à Dosson que Gretchen lui a donné son préavis et qu’elle quitte la ville. 
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Dosson va alors la trouver avec le prétexte de signer son album souvenir du lycée (?). 
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  Gretchen lui explique qu’elle s’est inscrite à des cours d’été pour rattraper son année et qu’avant ça elle part faire un petit road trip. 
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ça mouline dans la tête de Dossone le forceur qui a une super idée: JE VAIS VENIR FAIRE LE ROAD TRIP AVEC TOI!!
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Gretchen a l’air ra-vie
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Elle lui donne rdv le lendemain pour le grand départ mais eheh quand Dossonne arrive, Gretchenne s’est en fait déjà barrée pendant la nuit (en lui laissant un petit mot dans son album souvenir mdr)
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Eheh bien ouej la Gretch. 
Côté Pacey et Joey: le mec de l’université où va Joer qu’on avait déjà vu dans l’épisode de noël là où elle arrêtait pas de chouiner (un des épisodes) revient à Capeside (est-ce que ces gens n’ont pas une vie importante plutôt que de passer leur temps au yach club de port-barcarès sérieux?) pour une autre soirée de rencontre entre les futurs étudiants. 
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Il demande à Joer si elle peut emmener Pacey parce qu’ils avaient bien accroché l’autre fois et il a une proposition à lui faire.
Joey fait des moues et des phrases alambiquées pour dire qu’ils sont séparés mais que ILS SONT EN BONS TERMES (mdr on la connait celle-là) et qu’il viendra.
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Elle pense qu’ils ont un programme spécial dum-dum à l’Université que Pacey pourrait intégrer et que c’est sûrement pour ça que le doyen veut le voir!
Elle va trouver Pacey (qui est bientôt re-homeless vu que Gretchen s’est barrée et que c’est elle qui payait la barak), lui explique le bouzin et Pacey lui dit qu’elle lui manque. 
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Ils vont à cette soirée ensemble, j’adore les cheveux de Joer franchement ils ont enfin trouvé une coiffeuse potable sur le plateau, bravo. 
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C vrai.
Et bon, en fait le doyen propose à Pacey un job de matelot sur son bateau cet été, pas du tout un truc pour un programme spécial pour aller à l’université.
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Pacey fait sa tête de dépression-je-suis-un-nullos, Joey est #triss de l’y avoir fait croire. 
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    Sinon side story un peu plus réjouissante: Jen se retrouve nez à nez avec Stéphane Plaza et Sophie Fergiani chez la mémé:
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La mémé a mis la maison en vente! Sans le lui dire!
Et en plus pour aller vivre dans une maison de retraite...
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Jen comprend que c’est pour financer ses études que la mémé se sacrifie, et elle est colère.
Elle veut aller voir la dite Brea pour se faire une idée, et ça ressemble plutôt à une prison avec une mémé garde qui les engueule.
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Calmos Brenda. 
   Je comprenais pas pourquoi c’est la mémé qui devait s’occuper de financer les études de Jen vu que ses parents sont pétés de tunes, mais on comprend que Jen a refusé l’argent de ses vieux. 
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Ah ben on est bien maintenant, on pousse la mémé à l’ehpad parce qu’on a des principes? Pas bravo Jen. 
  Et puis bon 15000 dialogues plus tard, après en avoir discuté avec Jack, Jen propose à la mémé de venir s’installer à Boston (où elle a choisi d’aller à l’université) où elles vivront ensemble. 
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J’adore cette idée. 
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Trop adorables pour Capeside.
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rarougrougrou · 3 years
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4, 32 et 58 pour emilianne, 44 pour ysé
Emilianne
4: Do they have any siblings? How many? Are they older or younger? Which sibling are they the closest with?
Aaaaah mais faut lire ay’lonit pour savoir ça mon ptit pote, pour le coup jpeux pas répondre en détail, à part que c’est pas une enfant unique non
32: what is their self esteem like?
Elle a plutôt confiance en elle sur certains points. Elle a conscience de ses capacités, elle sait se battre, elle trouve qu’elle a une bonne mémoire, qu’elle est travailleuse et déterminée.
58: what is their most noticeable physical attribute?
Le fait qu’elle ait un visage androgyne, et de façon générale les inconnus peuvent avoir le doute voir la prendre pour un homme quand ils la voient pour la première fois parce qu’elle a la voix entre eux et sa poitrine est assez petite, sa cicatrice au visage qui lui barre du sourcil droit jusqu’à la pommette, et son nez qu’elle a pété plusieurs fois, même si de base il était un peu aquilin
Ysé
44: do they have any scars? If so, what are the stories behind those scars?
Il a tout un panel de petites cicatrices qu’on se fait quand on est enfant et qu’on est con à courir partout, et la plus grosse, c’est une qu’il a sur tout l’ensemble du dos. Quand il avait environ 15 ans, il a voulu apprendre tout seul à invoquer la foudre. Résultat, ça a très très bien fonctionné comme premier essai : il se l’est pris dans la tronche
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clhook · 4 years
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J'avais jamais vu le coup de boule de Zidane pendant la finale de 2006 et j'ai toujours pensé qu'il avait mis un énorme coup à l'autre genre au moins il lui avait pété le nez quoi même un petit traumatisme crânien ! Et je viens de voir la vidéo en fait il lui met juste un petit coup dans le torse ? Et on a perdu pour ça ?? Je vais aller brûler l'italie
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quemajoiedemeure · 5 years
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Hier j'arrivais pas à m'endormir parce que je pensais à tous les gens qui se sont retrouvés en chômage partiel parce qu'ils sont plus en capacité de travailler à cause du confinement et j'imaginais que sur tous ces gens qui ont un travail pas essentiel certains ont des jardins chez eux où ils peuvent lire et faire la sieste, des enfants qu'ils avaient pas côtoyé plus de 12h d'affilée depuis leurs trois ans, qu'ils se retrouvent avec une tonne de temps libre qu'ils savent pas trop comment utiliser puisque c'est interdit de taper un voyage organisé ou une croisière, et j'imagine que sur tous ces gens là certains vont se rendre compte qu'effectivement leur taf pas vital n'a aucune utilité concrète autre que celle d' occuper la majorité de leur temps, et du coup ils vont laisser tomber et tout envoyer chier et c'est comme de regouter aux vacances les vraies celles que t'as pas eues depuis tes 15 ans parce qu'après on te forçait déjà à faire un taf d'été pour apprendre la vie, ils vont retomber dedans et se remettre à lire et à connaître leurs enfants pour de vrai, eux aussi pour la première fois depuis des décennies il vont oublier quelle date on est et ils voudront plus de leur job de marketing pété dont personne n'a rien à foutre, quand tout sera redevenu calme et qu'on osera enfin mettre le nez dehors dans des rues qui sentent la javel à se jeter des regards en coin mi-méfiants mi-soulagés ils feront comme moi ils prendront tous leurs poches encore vivants pour les emmener voir la mer et peut-être que là ils réaliseront que toutes ces années avant c'était de la pure blague et qu'il est hors de question que la vie redevienne comme avant, que les choses méritent d'avoir un minimum de sens et que le travail pour le travail c'était profondément ancré mais que maintenant c'est terminé
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Mais quelle année de merde. Du début à la fin une année de merde. Un deuil en novembre, un blocage en décembre, une crise sanitaire de mars à la fin de l’année.
Dès le premier jour de maternelle, tu t’es pété le nez sur la cour de l’école. Tu t’accroche comme tu peux depuis la primaire, tu t’es tapée des instits méga sévères à la limite de l’abus. Tu te retrouves avec une bande d’huluberlus au collège qui se croyaient dans American Pie, qui te faisaient chier avec des trucs de cul qui n’étaient clairement pas de notre âge et qui harcelaient selon leur bon vouloir. Et tu as passé 4 ans avec le même groupe. Tu en chie comme pas possible au lycée, parce que, manque de pot, le bahut de ton secteur était le premier au classement du département. Tu galère comme c’est pas possible, parce que tu as pris la filière S alors que tu es littéraire mais tu ne peux pas aller en L pour éviter toutes les garces de ton ancienne classe de collège. A la fac, tu n’as pas de logements, pour ne pas être défaillante, tu te tapes tous les trajets, 2 heures par jour dans les transports en commun, avec des cours de 8h à 20h parfois. En L3, tu passes tes partiels dans l’ambiance joyeuse de violences policières suite aux blocages. Et ta dernière année va se finir comme ça. 
Et tu vas débarquer sur le marché du travail en plein milieu d’une crise financière avec le covid.
Le voilà mon parcours scolaire. Un désastre du début à la fin.
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break-the-soul · 4 years
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CHAPITRE 1
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29 Mai, Année 22.
Depuis que j'ai revu Namjoon au début du mois, je me pose mille et une questions. Je me dis que j'aurais dû lui parler. Mais je crois que j'ai eu peur. Ce même jour, je suis quasiment sûr d'avoir entre aperçu Jungkook, dans son uniforme de lycéen. Je nous ai revu tous les sept, portant ce même uniforme. Depuis ce jour, je me demande comment vont les autres. Yoongi, Jimin, Hoseok, Jungkook, Taehyung et Namjoon. Cela fait deux ans et demi que j'ai disparu du jour au lendemain sans laisser la moindre trace. Mais c'était la meilleure solution, du moins c'est ce que je croyais.
Je regarde mon reflet dans le miroir avant de jeter un œil au ticket de station service daté du 11 Avril, jour et lieu où j'avais revu pour la première fois Namjoon, sans oser lui parler. J'attrape finalement ma veste et je quitte mon appartement, je grimpe dans mon pickup et je roule en direction de la station service. Lorsque je me gare sur le parking de la station service, je ne vois pas Namjoon, je fronce les sourcils. Est-ce son jour de repos ? Est-il à la boutique ? Je descends de ma voiture. J'ajuste ma veste, je vérifie mon reflet dans mon rétroviseur, je passe ma main dans mes cheveux châtains pour les ramener un peu en arrière et je m'élance en direction de la boutique.
Je passe les portes et vois un homme plongé dans un magazine de people. Je balaie la boutique des yeux, à la recherche de cette grande perche à casquette, mais aucune trace. Je m'avance alors doucement vers cet homme et je me racle la gorge doucement, une fois, deux fois, à la troisième, je prends la parole.
« _ Excusez moi monsieur...
_ Tu cherches quelque chose gamin ? me lance l'homme en baissant à peine son magazine.
_ Hm et bien... ai-je commencé en me frottant l'arrière du crâne un peu gêné. Je cherche Kim Namjoon, monsieur, il travaille ici il me semble.
_ Ah... Namjoon...Il ne travaille plus ici... bredouille gêné l'homme en remontant ses lunettes de son épais index.
_ Avez-vous une adresse... ? Un numéro peut-être... ? Je...je suis un ami du lycée...
_ Namjoon est actuellement en détention...pour destruction de bien d'autrui...Il a détruit la voiture d'un de nos plus gros clients, le 11 Avril »
Namjoon ? En détention ? Je regarde l'homme avec de grands yeux avant de secouer la tête et de remercier l'homme pour ses informations. Ce dernier se plonge de nouveau dans son magazine alors que je regagne ma voiture, sous le choc. Le 11 Avril...cela s'est passé le jour où je l'ai vu, ici même à la station service...Ce jour où je suis reparti sans prendre le temps de lui parler. Je dois le voir !
Je démarre ma voiture et je roule jusqu'au centre pénitencier de la ville. Je m'avance à l'accueil avant de demander à voir Kim Namjoon. La femme de l'accueil prend en compte ma demande et me demande de patienter un moment. Un gardien vient me chercher après une grosse demi-heure, je le suis avant d'entrer dans une salle, séparé par une vitre. Je m'assois sur le siège disposé devant moi et j'attends quelques minutes avant que la porte de l'autre coté de la vitre ne s'ouvre, dévoilant un Namjoon vêtu de l'uniforme pénitencier, une combinaison orange des plus criardes. Le gardien annonce que nous avons 10minutes.
Namjoon semble surprit de me voir ici. Je fini par lui sourire doucement, comme si nous nous retrouvions dans un café et je me lance.
«_ Ca fait longtemps Namjoon...pas vrai ? Hm...j'ai appris que tu étais détendu ici...c'est le gars de la station essence qui m'en a parlé...
_ En effet Seokjin, ca fait longtemps. »
Sa voix était neutre, presque éteinte, ce qui me surprend. Namjoon a toujours eu une voix chaleureuse, malgré toutes les galères qu'on a pu traverser, il a toujours été optimiste et croyait en la bonté de chacun. Qu'est-il arrivé à ce Namjoon que j'admirais tellement. Je racle de nouveau ma gorge avant de me lancer.
«_ Qu'est ce qui s'est passé Namjoon ?
_ Il s'est passé que je n'ai pas d'argent Seokjin...Je ne suis qu'un minable sans un sous, qui se fait cracher dessus six fois par jour par des gosses de riches pété de thune qui me traitent comme un vulgaire déchet de la société...
_ Namjoon...si...si je peux faire quoi que ce soit pour t'aider...
_ Il n'y a rien à faire...l'affaire est close...Je ne peux pas payer la caution...Je...je n'ai pas d'argent...C'était ma destinée...au moins...je mange chaud tous les jours... Rentre chez toi Seokjin, continue ta vie comme tu l'as si bien fait jusqu'à présent...Oublie moi... »
Je sens ma gorge se serrer. Où est passé le Namjoon que je connais ? Namjoon a l'air si...brisé. Qu'est ce qui a pu arriver pendant mon absence ? Que s'est-il vraiment passé pour que Namjoon en arrive à ce point. Son optimiste a disparu, il ressemble à tout sauf à l'homme combattant et fort que j'ai toujours connu, que j'ai toujours admiré. Namjoon était un exemple de force et de droiture. Il était sincère et honnête. Aujourd'hui, il est en prison. Une question vient tout d'un coup brûler mes lèvres. Je mordille mes lèvres quelques seconde puis j'hésite longuement avant d'oser demander.
«_ Et les autres... ? Tu...tu es toujours en contact avec eux... ? Ils vont bien ? »
Son visage stoïque s'est durci à l'énoncé de ma question. Ai-je dis une bêtise ? Je ne pense pas. Namjoon relève enfin ses yeux vers moi pour me regarder. Un sourire étiré ses lèvres, de pure ironie.
« _ Alors tu n'es au courant de rien...
_ Au courant de rien ? De quoi parles-tu Namjoon ? »
Je vois Namjoon détourner les yeux de moi pour fixer un point invisible de la vitre, baissant les yeux par la même occasion alors qu'il commençait ses tirs à balles réelles, car ce qu'il m'apprend a l'effet d'une bombe.
« _ Jungkook est mort...Yoongi aussi, Hoseok a eu un accident assez grave, il est à l'hôpital...Je...je n'ai jamais revu Jimin...Quant à Taehyung...J'en sais rien...je ne l'ai pas revu depuis deux mois et demi...A vrai dire...nous n'avons pas vraiment gardé contact...
_ Messieurs ! La visite est terminée, Détenu veuillez retourner à la porte »
Namjoon se lève et quitte la salle. Me laissant seul, figé sur place, alors que les mots de Namjoon résonnent encore dans ma tête comme un écho lointain.
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Namjoon, 1 octobre. Année 15
Il était plus de minuit quand j'ai enfin été libéré de mon travail. Aujourd'hui c'était mon premier jour. Après mes heures au collège, j'ai rejoins mon lieu de travail en vélo. Je venais d'être engagé dans un restaurant pour faire les livraisons dans tout le quartier. J'ai pédalé toute la soirée pour de livrer au plus vite les commandes, voulant faire bonne impression. Ce fut avec mon enveloppe dans les mains que je suis sorti du restaurant. Mon corps tout entier me faisait mal, je n'avais même plus la force de remonter sur le vélo tellement j'avais pédalé dur. Je rêvais de retrouver mon lit. J'ai fini par m'asseoir sur un banc afin de regarder à l'intérieur de l'enveloppe. Il y avait environ soixante dix mille wons. J'ai plié l'enveloppe avant de la fourrer dans la poche interne de mon sac et j'ai pris mon courage à deux mains pour remonter sur mon vélo, plus vite je serais rentré chez moi, plus vite je pourrais retrouver mon lit et oublier la douleur.
J'ai mis une dizaine de minute à rejoindre la maison, mes petites sœurs étaient déjà couchées, maman était déjà partie à son travail et papa...papa était avachi dans le canapé complètement défoncé à on ne savait quelle substance encore. J'ai embrassé mes deux petites sœurs en remontant la couverture correctement sur elles, avant de prendre une douche. Une douche à l'eau froide car papa avait volé l'argent de la facture d'eau chaude pour s'acheter de l'alcool, alors l'agence nous avait coupé l'eau chaude.
Après ma douche, j'ai pris un bol de riz et un peu de kimchi avant d'aller dans ma chambre afin de manger, je mourrais de faim après cette soirée de travail intense. Quand le bol fut vide, je l'ai déposé sur le carton qui faisait office de table de nuit et j'ai attrapé mon sac et de sortir mes bouquins. J'ai travaillé environ deux heures, afin d'être prêt pour mes cours du lendemain avant de m'endormir sur mon livre d'histoire, les lunettes encore sur le nez. Ce soir, après l'école, je devrais de nouveau retourner travailler, ma famille a besoin de cet argent. Le seul salaire de maman ne suffisait pas. Il était hors de question que mes sœurs manquent de quoi que ce soit, et maman mérite un peu d'aide après tout ce qu'on a traversé cette année. Entre l'emprisonnement de mon frère, le départ de ma sœur ainée à l'étranger et les dépendances de papa qui pesaient de plus en plus dans le budget restreint de la famille. Je voudrais que mes petites sœurs ne manquent de rien. Alors je suis prêt à travailler tous les soirs s'il faut pour offrir un peu de répit à maman et mes deux petites sœurs que je chérissais plus que ma propre vie.
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dariamarx · 4 years
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Le pire date
C’était le pire date de l’histoire des dates. J’étais arrivée en avance, dans ce bar trop propre aux serveurs bien peignés mais mal tatoués qui font semblant de te reconnaître alors que tu n’y as jamais mis un pied. Je déteste la fausse sympathie commerçante des limonadiers, non, je ne veux pas profiter de l’happy hour, non, je ne veux pas de cocktail exotique à la glace pilée. Un mauvais allongé, une table sous la terrasse couverte pour pouvoir fumer, un œil qui traîne sur son fil Instagram pour être sûre de la reconnaître, j’étais parée.
Elle était au téléphone quand elle est venue vers moi, elle s’est assise, m’a fait un signe de la main pour me faire patienter, elle parlait trop vite, l’air excédée. Je ne suis pas particulièrement à cheval sur les conventions sociales, mais c’était mal parti. La meuf finit par raccrocher, je me penche pour l’embrasser, elle se détourne et se lève, elle part pisser. Bon. Premier vent pour une première bise, mon cœur de grosse se met à palpiter, je me dis qu’elle avait peut-être mal regardé mes photos, qu’elle ne s’imaginait pas que j’étais à ce point un gros tas, j’ai envie de me casser, et puis je me souviens que moi non plus, je ne suis pas particulièrement séduite par cette boss-lady, je respire, je reprends une gorgée. Mon café est froid lorsqu’elle revient s’asseoir, elle est différente, comme exaltée, je me demande si elle a pris quelque chose, je scrute ses narines, elle doit me prendre pour une folle, je regarde ses pupilles. Elle parle toujours trop vite, avec des mots qui finissent par –ing, elle me raconte son travail, le stress, le marché, moi j’écoute à peine, j’essaie de faire mes plus jolis ronds de fumée, ca ne l’amuse pas, elle voudrait bien savoir, pour qui je travaille et qui je connais. C’est la petite épreuve stressante de la géographie lesbienne, est-ce qu’elle connaît mon ex, est-ce que j’ai couché avec sa coloc, est-ce qu’on milite dans des collectif ennemis qui se foutent sur la gueule en manif ? Rien de tout ça, je ne dis rien sur personne, elle ne connaît pas tout cela, elle est hors sol, elle trouve que le milieu c’est très surfait, qu’il ne faut pas s’y enfermer, elle trouve que ca fait ghetto, elle préfère les soirées hétéros. Je me demande si je suis dans une caméra cachée ou dans une sorte de blague cosmique, je me repasse son profil Tinder en boucle, y’avait bien un emoji arc-en-ciel et deux danseuses de flamenco, on a parlé du nouveau L World et d’Adèle avant de se rencontrer, mon radar ne peut pas être complétement pété. Plus elle parle, plus je me tais, j’ai même arrêté de faire semblant de m’intéresser, j’ai sorti mon portable, on vit deux réalités superposées, elle croit qu’elle me parle, je crois que je vais me casser.
Elle attaque sa dernière gorgée de vin, j’annonce que je vais décoller, j’ai du boulot, et puis je dois sortir le chien, ses yeux se voilent une seconde, je crois qu’elle comprend qu’elle a merdé, je laisse des pièces sur la table, je ne fais pas semblant de vouloir l’embrasser. Je récupère mon scooter, j’écris un texto aux copines avant de démarrer, ca a duré 18 minutes, encore raté, je jure de ne plus retourner sur Tinder, je mets mon casque et je me barre. Dans l’ascenseur, je me demande si je dois quand même lui envoyer un message, si je dois lui dire merci mais non merci, t’es jolie mais t’es conne, t’es bonne mais t’es chiante, et puis je trouve ca présomptueux, elle n’a rien dit non plus, c’est peut-être moi la conne, c’est peut-être moi la moche. Demain il y aura un autre match, demain un autre bar, mon choix cette fois, je classe cette fille dans la catégorie des erreurs de casting, pas de mal, pas de rancune, next, c’est la vie.
Il est une heure du mat, je suis perdue dans un méandre de merdes sur Youtube, quand je reçois un message d’elle. Une vidéo en fait. Elle est sur une terrasse bondée, elle a du boire, elle m’engueule gentiment, de ne pas être restée, de ne pas voir parlé plus, elle me dit qu’on peut se revoir, qu’elle était stressée. Je la trouve mignonne, toute éméchée, sa frange de travers, les yeux un peu mouillés, elle a l’air moins conne maintenant qu’elle est vulnérable, est-ce que ca fait de moi une horrible personne de penser ca ? Je ne devrais pas, mais je réponds, pas en video, faut pas déconner, mais j’envoie un truc un peu mignon, genre deuxième date accepté. Elle me dit de venir, maintenant, la rejoindre, qu’il n’est pas tard, qu’on est vendredi, qu’il faut saisir le moment, et si j’étais pas si confortablement calée, ca me ferait presque bouger. Je dis que c’est pas raisonnable, qu’elle a bu, je fais genre la féministe qui ne veut pas profiter, mais en vrai, j’ai juste la flemme de remettre un jean. Je m’avance un peu en lui parlant de son état, comme si elle avait déjà envie de consentir à quoique ce soit. Ca marche. Elle a envie, je crois. A partir de la, tout va un peu trop vite, y’a encore 5 minutes j’imaginais jamais revoir cette fille, et voilà que je reçois une copie d’écran de son trajet en Uber pour arriver chez moi. J’ai 18 minutes pour planquer la misère, allumer quelques bougies stratégiques, changer mes draps et mettre la bonne playlist. Et remettre un jean.
L’interphone sonne alors que je suis perdue dans ma housse de couette, tant pis pour mon image de bonne ménagère, je la regarde sortir de l’ascenseur, y’a comme un flottement devant ma porte, elle me regarde une seconde de trop, comme si elle décidait, comme si elle s’assurait de son désir. Elle me dit, tu me dis pas de rentrer. Alors je lui dis de rentrer. Elle me dit tu me proposes rien à boire ? Alors je lui propose à boire, je me sens maladroite, pas douée, est ce qu’il faut que je la plaque contre le mur, qu’est ce qu’elle est venue chercher, de quoi j’ai envie, pourquoi est-ce qu’on prend des décisions le vendredi après minuit ? je sors de la cuisine, je lui tends son verre, elle boit, je la regarde, je crois que j’aime bien me taire, je crois qu’elle sait que je ne vais pas parler. Tu dis rien ? Je secoue la tête pour dire non. Tu fais rien ? Alors je m’approche d’elle, juste contre elle, mon nez touche presque le sien, et je ne fais rien. C’est elle qui vient, sa joue d’abord contre la mienne, puis sa bouche, timide d’abord, des baisers chastes qui finissent par m’agacer, je force ma langue à travers ses lèvres, je l’embrasse, pour de vrai, elle recule, son dos plaqué contre la porte d’entrée. Je m’arrête pour respirer, ca va ? oui ca va, ma jambe droite se bloque entre ses cuisses, elle s’appuie sur mon genou et je la sens vaciller, je mords son cou, je prends ses cheveux à grosses poignées dans mes mains, je tire un peu trop fort, elle soupire, j’arrête. Je la regarde. Je ne dis rien. Elle dit encore. Mes mains sur sa poitrine, la porte vibre derrière elle, mon genou s’enfonce, mes dents sur son oreille. Elle laisse tomber son verre, enfin. Ca ne m’arrête pas, ma main droite se glisse sous son jean, ma paume sur son pubis, sans bouger, c’est elle qui se frotte, c’est elle qui me cherche, je la regarde se tordre et ses yeux me supplier, mes doigts bougent à peine, ils écartent juste ses grands lèvres à travers le tissu de sa culotte, c’est mouillé. Son clitoris bandé entre le majeur et l’index, entravé par le coton trempé, ma bouche dans son cou, et soudain je m’arrête pour la trouver belle, sa frange trempée de sueur, son haleine vodka orange, alors je lui dis, t’es belle, et je la branle brusquement, un peu trop fort, un peu trop vite, ma main presque écorchée par la boucle de sa ceinture, je sens le poids de son corps tomber dans ma paume, comme si tout entier elle se coulait là, ses dents se ferment sur ma langue et ses doigts s’enfoncent dans mes épaules, elle tremble, elle gueule, je crois qu’elle a joui. Il me semble que je la porte quelques minutes encore, sa chatte dans la paume de ma main, que je la berce en silence, que je l’étreins, et que c’est elle qui vient démonter l’engrenage en se redressant, son corps repoussant naturellement ma main. Je ne dis rien. Je ramasse le verre, je le pose sur l’étagère. Elle reprend son sac, elle ouvre la porte. C’était pas le pire date.
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negativelifestream · 5 years
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Les MMD, c’est un piège. A peine je remets le nez dedans que je suis certain de ne pas en décrocher de toute la journée... soirée... nuit. Et du coup, j’en ai trouvé de nouveaux qui me plaisent bien. ^^
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(Ça, c’est le genre de vidéo qui... me retitille le cerveau dans des endroits où on ne devrait pas le titiller (Il est suffisamment pénible comme ça, merci bien !). Parce qu’à force... je vais vraiment finir par l’écrire, mon projet complètement pété de la Shinra qui serait une écurie à boys band. Et j’en aurai honte jusqu’à la fin de mes jours, mais... j’imagine que mon cerveau sera satisfait et ce sera toujours ça de gagné.)
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(Bon allez, j’avoue, dans le fond, j’aime bien le Angeal / Genesis)
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En fait ce genre de créations ne cessent de m’impressionner. Je n’imagine pas la patience que ça doit demander de créer ces vidéos. Le peu de fois où j’ai essayé de jeter un œil au “mais comment que ça se fabrique ces machins ??”, j’ai vite été paumé. (Mais si personne ne se décide, un jour, à m’en faire un ou deux, ou même trois, de chouettes avec les Incarnés, je sens que je vais être obligé de m’y mettre quand même, parce que c’est la frustration, vraiment !)
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Et ici je trouve le visuel plutôt sympa. :) Un petit manque au niveau des expressions du visage, mais ça doit pas forcément être ce qu’il y a de plus simple à animer. (Et ça doit être bien, bien chiant aussi, surtout !) Ce qui me fait penser que KH est vraiment une licence à côté de laquelle je suis passé. Je sais qu’il y a plusieurs persos de FF7 qui y apparaissent, et c’est donc l’une de mes principales motivations pour rattraper un jour mon retard, mais... argh ! Le temps ! Le manque de temps ! (Dis celui qui trouve par contre le temps de glander sur Internet afin de dénicher ce genre de vidéos)
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poupao-wong · 5 years
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Conversations:
-Mais Yves, pourtant je t’avais dit, il ne fallait pas manger! Le restaurant est spécialisé dans les vins, ils ont une super cave, avec il y a des petites choses à grignoter, pourquoi tu manges avant d’aller au restaurant?
-Oh tu sais moi je connais pas le quartier ça fait longtemps.
-Mais quoi...quel... Le quartier bien sûr que tu connais.
-Ça fait des années ! Je reconnais rien du tout. Tu sais moi je sortais du métro, j’allais droit à la boutique, voilà je sais plus.
-Mais si regarde, l’Eglise là c’est Saint-Sulpice, et en face sur la place tu te rappelles c’est la que je travaillais.
-Tout se ressemble de toute manières, je confonds. Voilà, c’est des immeubles hausmaniens, des longues rues avec des boutiques, en plus c’est toujours les mêmes.
-Tu sais il y en a des supers dans quartier, regarde celle-là c’est sublime. Et là j’ai fait l’ouverture.
-... .... ....la boutique Acoté? Ah oui c’est joli..
-Mais non Yves! C’est un magasin pour femmes tu vois bien! Pourquoi j’irai à l’ouverture d’un magasin pour femme? Là, le Agnes B. Homme! Enfin réfléchis un peu, je te montre un truc, en plus de la main et toi tu regardes pas. C’est pas possible tu fais aucun effort.
-Je me rappelle de la boutique de chaussures là ! C’était la première fois que j’achetais des chaussures Weston, j’étais venu te chercher et j’étais allé là.
-Oui ce sont d’excellentes chaussures. Très belles.
-Et là c’est le Lutetia, c’était connu à l’époque pour être le siège de la Gestapo.
-...
-Enfin de toutes façons je reconnais rien c’est tout pareil.
-Mais Yves, arrête ! Arrête ! Fais un effort! Écoute... c’est vraiment gentil de venir, ca me fait très plaisir. Mais il faut que tu te concentres un peu, que tu te réveilles ! Le panneau, y a écrit quoi? Lis!
-...il y a écrit Sevres Babylone.
-Voilà, Sèvre Babylone! Alors maintenant me dit pas que tu sais pas où on est. Allez on y est on va descendre.
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-Paris c’est dur, je sais pas comment les gens font, et puis tout le monde se la pète, regarde-le celui-là le nez en l’air.
-Oui c’est le quartier qui fait ça aussi... je sais pas, les premiers jours c’est dur et puis au bout d’un moment je crois qu’on oublie, ça devient normal.
-Il y a du monde, les gens s’insultent, le métro c’est... c’est la violence cette ville.
-C’est pour ça que c’est important d’avoir ses petits répères même si c’est vrai que dur de les trouver ! Surtout dans ce quartier! C’est pour ça que les petits coins, la pâtisseries viennoise, la Reflet Médicis, ça fait du bien d’être dans des petites rues on se sent caché. Les petites veilles de la pâtisserie je crois que c’est des copines, elles sont pas particulièrement gentilles avec moi tu vois mais quand même ça fait plaisir de les voir. Et puis tu sais que je me suis acheté un chausson aux pommes ce matin et dedans il y avait des noisettes fraîches ! Où tu trouves ça en vrai? Des belles noisettes entières et pas des miettes toutes pilés?
-Oui t’as sans doute raison. Je crois que c’est le début c’est difficile et ça prends des proportions... Mais c’est solitaire aussi, pourtant il y a des gens, j’ai des amis, les gens passent souvent sur Paris et puis là on aménage le salon pour que accueillir tout le monde. Mais quand même... ce qui manque en fait c’est les amis du quotidien. Pour faire les trajets, la bibliothèque, passer du temps côte à côte.
-Oui juste quelqu’un avec qui rien faire. Avant Paris je supportais pas de rester glander dans les apparts des autres à fumer toute la journée et je me plaignais tout le temps qu’on faisait rien. Maintenant si on se voit c’est pour faire quelque chose. J’aimerais juste qu’on se voit parce qu’on à envie d’être ensemble, mais on peut faire une activité c’est sûr, mais on choisit après.
—-
-Et oh mon dieu comme si c’était pas assez dur comme ça les services funèbres mais quelle bande de bras cassés ! J’étais tellement désolée.
-Mais meuf pleure pas! T’inquiète! T’imagines pas comment l’enterrement de mon grand-père c’était n’importe quoi! Y a un porteur qui s’est littéralement pété la gueule dans le cimetière. Mais voilà, enfin... c’est con de dire ça mais j’imagine que c’est la vie, quand tu penses les mariages, ça foire toujours! Les enterrements t’as pas de temps pour les préparer alors clairement y a trop moyen d’avoir des emmerdes ! La musique pourrie, le curé qui se trompe de nom voire qui croit qu’on est à un baptême..
-Ouais c’est vrai que si on y pense vaut mieux en rire. Non mais les gars ils venaient directement d’Espagne pour y envoyer le cercueil, écoute, ils ont même pas réussi à trouver le chemin de l’appart, genre les gars ils se sont perdus! Et après t’imagines, les vieux espagnols à côté de la plaque qui font à mon amie, ah mais tu es une belle jeune fille alors et qui tapent la conversation alors que deux secondes plus tôt ils ont cru qu’ils pouvaient soulever le cercueil à deux et évidemment gars, ça marche pas! Mais c’était tellement pas le moment que c’était limite à crever de rire.
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bluejevergade · 6 years
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Jour 8 : Free Day
Oh no you didn't
-Hum… Chéri ?
Hiccup leva le nez du magazine qu'il lisait.
-Oui ?
-Bon anniversaire, fit son mari en lui tendant un petit paquet bleu.
-Ce n'est pas mon anniversaire, dit-il suspicieusement en regardant la boîte.
-Ah, tu es sûr ? Je croyais pourtant…
Hiccup posa son magazine.
-Okay, qu'est-ce que t'as fait ?
Jack soupira et s'assit à côté de lui dans le canapé.
-Tu sais que j'ai tendance à être maladroit.
-Oui. Et ?
-Tu te souviens du service à thé que tes parents nous ont offert quand on a emménagé ensemble ?
-Oui.
-Je… Je l'ai cassé.
-Ce n'est pas grave, soupira Hiccup.
-Nan, je te jure, je n'ai pas fait exprès.
-Ce n'est pas grave, je te dis. Déjà on ne boit pas de thé. Et mon père a fait exprès de choisir le plus moche qu'il a trouvé. Je veux dire, des petites fleurs ?
-Alors… Tu n'es pas fâché ?
-Nan. Et comme tu dis, tu es maladroit, j'ai l'habitude, maintenant, sourit-il.
-Okay. C'est cool. Parce que j'ai aussi cassé le vase que ta mère t'a offert à ton anniversaire.
-Ce n'est pas grave. Et je ne sais pas ce qu'ils ont à m'offrir des trucs avec des fleurs…
Il rouvrit son magazine.
-Et puis ce sera pour la fois où j'ai cassé ton téléphone, ajouta-t-il d'un ton neutre.
-Alors c'était toi ?
Il regarda son époux qui fulminait.
-Ah… C'est vrai que j'avais accusé le chat...
Jack sembla furieux puis souffla et se clama.
-Okay, pas de soucis. C'était il y a un moment, et j'en ai un nouveau.
-Voilà, sourit Hiccup, faut relativiser.
-Oui. Comme la fois où j'ai rayé la voiture.
-Hein ? Tu as dit que c'était un gars sur le parking et que toutes les autres voitures avaient été abîmés !
-Oui. Beh j'ai menti.
Hiccup soupira et serra son magazine.
-Ce n'est pas grave. Ce n'est pas grave.
Il essaya de lire, mais il n'arrivait pas à desserrer sa mâchoire.
Jack s'en alla et Hiccup lança.
-Tu te souviens que t'as appelé Nick pendant une heure l'autre fois parce qu'il avait vomi sur tes chaussures au premier de l'an ?
Il entendit Jack se retourner.
-Ce n'était pas lui, ajouta le brun.
-Oui. Et c'était pas Rustik qui a foutu le feu au jardin.
Hiccup se retourna, choqué.
-C'était toi ?! Tu n'as pas fait ça ?!
-Si. Accidentellement, mais c'était moi.
-On a failli perdre la maison !
-Et t'a vomi sur mes chaussures !
-Et t'a rayé la voiture !
-Et t'a pété mon téléphone !
-Et t'a cassé la vaisselle que mes parents nous ont offerte!
-Tu l'aimais même pas cette vaisselle.
Hiccup voulut répliquer mais se retrouva à court d'arguments.
-C''est vrai. Mais ce n'est pas une raison, dit-il plus calmement.
-Je n'ai pas fait exprès.
-Je sais.
-Et je n'ai pas fait exprès aussi de presque brûler la maison…
Hiccup sourit, fatigué.
-Je sais. J'espère bien.
Jack tritura la boîte bleue qu'il avait dans les mains.
-Câlin de la paix ?
Hiccup sourit.
-Câlin de la paix.
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lalignedujour · 2 years
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Bien que cela fonctionne pour à peu près tout
Il existe des maux (le souvenir d'un cou)
Dont la masturbation ne peut venir à bout
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Les lapins naissent dans les terriers. Les merles naissent dans les nids. Et les déceptions naissent dans les zones d'ombre.
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J'aime ces relations carton perforé. Elle m'a raconté qu'en CP, elle avait été au coin parce qu'elle avait pété. Je lui ai dit que ce que je préférais dans les festivals, c'était les panneaux en bois et leur typographie fantasie, mais que la musique bof. Elle m'a dit qu'elle avait un ex qui était maintenant une femme trans. Elle a remarqué que j'aimais pas les oignons crus. J'ai remarqué qu'elle avait un bon accent en Arabe. Je lui ai dit que j'avais déjà été à Cholet.
Je sais qu'elle a une sœur, mais pas si elle a encore ses parents. Elle sait que j'ai un enfant, mais pas si c'est un garçon ou une fille.
On a pris un carton vierge, on a fait des trous à des endroits au hasard, c'était un plaisir. C'était bien aussi de laisser certains points obstrués, volontairement ou non.
Ça fait que quand on joue ensemble, on met le carton dans l'orgue de barbarie, et ça fait une mélodie unique, qu'on a avec personne d'autre.
Quand je superpose les cartons perforés de toutes mes relations, il n'y a que quelques trous alignés : mon prénom, mes mots préférés, ce genre de trucs.
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Il ne pétille pas comme avant. Dans quels yeux as-tu perdu ton regard ?
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Ma mémoire lutte contre l'oubli. Je me souviens parfaitement du visage de la dernière personne que j'ai aimée il y a six mois. De ses hanches en jean, en robe, nues. De ses mains avec des restes de pâte à pain séchée quand on faisait une belotte entre deux rabats.
Et elle lutte contre l'attachement inadéquat. J'ai déjà oublié le visage de la personne avec qui j'ai couché dimanche. Quoique. Je me souviens en fait nettement de la zone entre ses sourcils et le bas de son nez, qui, de près, ressemblait exactement à celle de mon amour perdu.
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