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#parc pasteur
rayhanargentique · 4 months
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3| Parc Pasteur 3/3
Un tour du parc Pasteur à travers une Planche Contact.
Cet article est proposé gratuitement temporairement, n’hésitez pas à souscrire un abonnement pour voir ce qu’il y a à venir. 3| Parc Pasteur (3/3) «La sculpture» On y trouve aussi un monument à la gloire de Léon CHENAULT (1853-1930), horticulteur et botaniste qui a participé aux choix des arbres pour ce parc. Sculpture de Charles MILLION, 1931. La vison de la charmante dame surplombée par le…
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gillesvalery · 7 months
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En hommage à Jean et Madeleine Zay, une monumentale Table du banquet installée au parc Pasteur à ORLEANS
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from-derry · 5 months
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Les créatures
On en sait peu sur les créatures.
Personne ne sait quelle est leur véritable apparence. Elles sortent la nuit tombée, adoptent le physique et la voix de personnes familières à chaque habitant de Derry. Elles peuvent être des reliques de votre passé, proche décédé, personne que vous avez laissée en dehors de Derry. Mais parfois leur présence est plus trompeuse car elles prennent la forme d’un voisin, d’un camarade, parfois même du shérif ou du pasteur. Elles semblent toujours savoir ce qui vous fera réagir, aussi leur apparence vous est-elle personnelle mais rarement la même.
Elles frappent aux portes et fenêtres closes, parlent d’un ton doux et rassurant pour vous convaincre de les laisser entrer. Lorsqu’elles arrivent à pénétrer dans la pièce, elles dévorent celles et ceux qui s’y trouvent, en laissant derrière elles un corps affreusement mutilé, vidé de ses organes et de son sang. À partir du moment où elles sont à l’intérieur, plus personne ne peut en réchapper. 
Elles s’adaptent à toute situation : vous proposer de l'aide si vous êtes blessé·e, vous demander asile si vous êtes seul·e chez vous. Impossible, dès qu’il fait nuit, de faire la différence entre une personne réellement dans le besoin et une créature. Afin d’éviter toute tentation, il faut calfeutrer toutes les ouvertures la nuit venue pour ne pas les voir. S’il y a des personnes dépendantes ou trop jeunes pour tout à fait lutter contre la tentation, clouez les fenêtres.
La seule manière de ne pas subir leur attaque : ne les laissez pas entrer. Elles ne sont pas capables d’ouvrir elles-mêmes une porte ou une fenêtre closes, et doivent donc attirer leurs victimes pour agir à leur place. Attention ! Elles profiteront de la moindre ouverture pour s’y engouffrer.
Elles sont rusées et ont l'air agréables lorsqu'elles s'approchent de vous, tout sourire, des mots gentils plein la bouche, mais surtout, SURTOUT ! Ne les laissez pas faire, fuyez, elles n'aiment rien tant que la chasse, mais c'est votre seule chance d'y échapper !  
A Derry, tout le monde n’est pas d’accord sur la façon de les nommer. Le plus souvent, on les appelle les choses, mais certains préfèrent monstres, créatures ou fantômes - d’autres trouvent des noms plus originaux. 
Vous pouvez formuler toutes les hypothèses sur la vérité qui se cache derrière ces choses. Personne n’a jamais rien découvert et les rares qui connaissent la vérité ne sont plus de ce monde pour la partager.   
Il n’existe aucune religion, croyance ou acte spécifique qui permet de chasser les créatures. Aucun rite, aucune prière ne vous sauvera d’elles. Elles paraissent insensibles à tout type de blessure : leur tirer dessus ne les fait pas reculer, et elles ne semblent pas saigner. 
La coutume veut qu’on mette un talisman gravé dans chaque bâtiment afin de s’en protéger. Personne ne sait vraiment si ces gri-gri ont un effet réel ou non, mais d’aussi loin qu’on s’en souvienne, les gens de Derry les utilisent. 
Elles s’attaquent parfois au bétail, poules, vaches, cochons et les laissent en morceaux dans tout le champ… N’oubliez pas de les rentrer, parce que si on s’entend généralement sur la fréquence des agressions d’animaux, souvent les nuits sans lune, il y a déjà eu des incidents non prévus.
Il est possible de s’aventurer dehors de nuit, mais à vos risques et périls.
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jalonvie · 4 months
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QU'EST-CE QU'UN SERVITEUR DE DIEU ?
Un texte de Joël Badjonné
Maintenant que la foi chrétienne est devenue dans le monde un amalgame de toutes sortes de choses, il est aussi devenue difficile d'avoir une bonne connaissance des choses basiques de la bonne doctrine de l'évangile de Jésus-Christ. Il me souvient un temps où les chrétiens avaient un peu plus de respect de la part du monde à cause de leur Dieu qu'aujourd'hui. C'est dommage de constater que le milieu chrétien général maintenant devienne toujours plus éloigné de la volonté de Dieu que jamais.
Quelle image a t-on d'un serviteur de Dieu aujourd'hui ? Tant de choses se disent, tant de choses se font que les gens ont perdu de vue ce qu'est un vrai serviteur de Dieu. Et plusieurs âmes sincères envers Dieu ne savent plus qui suivre, tant les séducteurs, les manipulateurs et les imposteurs sont en grands nombres. Il est vrai que de manière générale, tous les enfants de Dieu sont des serviteurs et des servantes de Dieu parce que tous servent d'une manière ou d'une autre leur Seigneur qui les a racheté et qui a fait d'eux des sacrificateurs pour Dieu. Mais Dieu a voulu réserver et mettre à part quelques hommes qui le servent d'une façon particulière. C'est d'eux que nous parlons.
Aujourd'hui, un serviteur de Dieu, aux yeux des gens, c'est un homme qui est orateur, éloquent et capable de développer des sujets intéressants. Il a reçu une formation officielle dans le milieu pour être un prédicateur professionnel (car c'est maintenant sa fonction sociale). Il a ainsi un diplôme ou une attestation de réussite de ladite formation, qui certifie qu'il est un professionnel et qu'il peut exercer partout où on reconnaît cette attestation de profession, même s'il n'a aucun appel de Dieu à servir.
Il a un titre, et il y tient, il en va de ses honneurs. Le titre peut lui avoir été donné de ses précepteurs. Mais il peut aussi lui même prétendre être du rang d'un tel ou d'un tel autre. On ne peut l'appeler que par son titre, et il ne doit jamais être considéré, pas une seule fois, comme un simple frère comme les autres enfants de Dieu.
Il a une église, où il est un conducteur principal. Il a le dernier mot sur tout et il ne se trompe jamais, il n'apprend pas des autres, c'est lui seul qui doit prêcher aux autres. Sa place est spéciale, et peut-être mieux que cela. Si les autres s'assoient sur une simple chaise, pour lui, un trône royal est requis. Son entrée lors d'un culte doit attirer l'attention de tout le monde, sa montée sur un pupitre pour prêcher doit requérir des ovations (acclamations), son vêtement doit être distingué de celui des autres, etc.
Il a une femme qui l'accompagne dans le ministère. Non, plutôt il a une femme qui est son associé dans le ministère. S'il est pasteur, sa femme l'est aussi automatiquement. S'il est prophète, sa femme l'est aussi. S'il est apôtre, sa femme l'est aussi. On parle alors de couple pastoral, prophétique ou apostolique. Eux seuls sont mis en valeur sur la chaire, sur les affiches, sur les lèvres et dans les émissions radio ou TV.
Il a une autorité outre mesure qu'il impose aux autres. Il a un ton intimidant et une fierté mal placée. Quand il le veut il peut chasser quelqu'un de l'église. On le consulte comme on consulterai un PDG d'entreprise, et très souvent, par un long protocole.
Mais ce ne sont pas seulement là les choses qui décrivent les serviteurs de Dieu, aux yeux du peuple. D'autres, par contre, pensent qu'un serviteur de Dieu, c'est quelqu'un de zélé, qui aime parler de Jésus, qui est actif dans l'évangélisation, etc. Mais la vérité, c'est que ce ne sont pas là les choses qui permettent de reconnaître un serviteur de Dieu. Et l'on doit comprendre que l'activisme, ce n'est pas le service de Dieu, non plus que la simple direction d'une église ou l'habitude à parler régulièrement de Dieu.
Un vrai serviteur de Dieu l'est par appel et par sa vie. Ce n'est qu'ensuite que son service est considéré. Par appel, cela signifie que Dieu l'appelle à Le servir de façon pratique dans un couloir de Son œuvre. Dieu l'appelle simplement comme il a appelé Simon, Jean, Jacques, André, Lévi, Paul, Barnabas, etc. L'appel n'est pas un talent oratoire. L'éloquence a son utilité lorsqu'il est bien utilisé mais il n'est qu'un talent naturel et n'a rien avoir avec l'appel de Dieu à servir. Plusieurs sont appelés et utilisés par Dieu, mais ne sont que de piètres orateurs. Bien parler ne fait pas un vrai serviteur aux yeux de Dieu, même si les hommes acclament et disent amen.
Un serviteur de Dieu l'est ensuite par sa vie. C'est ici le point le plus négligé aujourd'hui. Pourtant, un bon arbre porte de bons fruits, cela est connu de tous. Et on reconnaît un vrai serviteur de Dieu à sa vie, et pas à son titre, mais cela les gens n'y prêtent pas attention. Celui que Dieu envoie, Dieu le sanctifie et l'amène à se consacrer profondément, Dieu le façonne à l'image de son Fils afin que le serviteur ressemble à Jésus-Christ dans son caractère et sa manière de servir. Dieu l'équipe du dépôt nécessaire pour servir et lui donne des instructions par rapport à comment servir.
La vie du serviteur de Dieu est alors une première prédication, avant toute parole parlée. Avant qu'il ne prononce douceur, on voit la douceur dans sa vie. Avant qu'il ne recommande de ne pas se metre en colère, lui-même sait se maîtriser et rester calme, et on le voit régulièrement maître de lui-même. Avant de prêcher de s'abstenir du péché, lui-même montre un exemple strict de sanctification et de justice selon Dieu. Avant d'exhorter les autres à manifester l'amour de Dieu et la compassion, on le verra être charitable, et plein d'attention.
Un vrai serviteur de Dieu, je le répète, l'est d'abord par sa vie, avant son service. S'il ne peut avoir une vie digne d'un serviteur de Dieu, une vie exemplaire de vertu, de grâce, de patience, de support et de bienveillance, il ne peut pas non plus exercer son service comme Dieu le veut. Toute sa vie doit être la concrétisation de sa doctrine, sinon il perd son temps.
Un serviteur de Dieu, ce n'est pas un homme à la belle allure, bien habillé. Tout le monde peut se procurer un costume élégant. Mais celui-là est un vrai serviteur de Dieu qui est un homme brisé, qui s'humilie et ne cherche pas à être estimer, qui n'a pas le cœur aux plaisirs du monde et à l'orgueil de la vie, mais qui concentre son coeur sur la vie de Dieu et la pureté de sa voie.
Il ne cherche pas être servi, mais il cherche à servir les autres. Il ne cherche pas à ce qu'on lui donne, il cherche à donner aux autres et se sent heureux de vivre ainsi. S'il reçoit des autres, il est reconnaissant, et continue son chemin. Il ne cherche pas à ce qu'on lui donne de grands honneurs, quoi qu'il inspire l'honneur par sa vie, mais il sait s'appliquer à honorer les autres d'une façon juste, à honorer ses aînés, à honorer même l'un de ces plus petits dans le royaume des cieux. Dans une assemblée locale, il sera celui qui rend le plus service aux autres, celui qui est le plus disposé à soutenir les autres spirituellement, et émotionnellement, voire financièrement.
Avant d'être un bon prédicateur sur une chaire, il est d'abord un bon mari dans son foyer, attentionné envers sa femme et ses enfants, doux dans ses paroles et non blessant, patient et tempérant dans ses actes et non agressif ou dominateur. S'il est colère, et s'emporte rapidement dans ses décisions et ses relations, son service finira par s'avilir et perdre de sa valeur devant Dieu. S'il ne vit pas seul, Il est un bon cochambré digne d'être admiré par son compagnon de chambre. Si à l'église on le loue, et que ceux qui vivent avec lui dans la même concession n'ont que son nom dans la bouche en mal, il perd son temps à servir.
Avant d'être immergé pleinement dans son ministère pour le Seigneur Jésus-Christ, il manifeste une vie de piété qui convient à un serviteur de Dieu. Dans sa vie de tous les jours, il est un exemple à suivre, tant en paroles qu'en actes, par sa douceur, par sa patience, par sa clémence, par sa simplicité, par sa rigueur envers les choses de Dieu, par sa consécration, par son zèle, par sa vie de prière et d'obéissance, par sa promptitude à être utile aux autres, etc.
S'il n'est pas marié, il sait s'éloigner de l'impudicité avec sagesse et garder son coeur de tout ce qui pourrait l'éloigner de la vie qui est en Christ, de peur d'être entraîné loin de la pureté et de devenir une occasion de chute pour les âmes. S'il est marié, il sait gérer son mariage pour avoir à être un époux aimant, aimable, et compréhensif, et un père avec les mêmes qualités. S'il est occupé à un travail, il sait bien faire son travail et cherche toujours à être un modèle afin de laisser derrière lui un bon témoignage partout où il passe. Et s'il n'a pas toujours un travail fixe, il sait néanmoins ne pas être toujours à la charge des gens avec le prétexte d'être serviteur de Dieu devant vivre de l'évangile. Bien qu'il soit respecté au milieu des saints, il sait aussi respecter son patron au travail, ou s'il est patron, respecter ses employés et les féliciter. Il ne se limite donc pas à être un bon moralisateur dans les réunions de l'église, mais est littéralement un exemple à suivre dans tout ce qu'il fait. C'est par un tel serviteur que le service est louable devant Dieu et les hommes spirituels.
Un serviteur de Dieu est un homme simple dans sa vie comme Jésus-Christ l'était, humble et pieux dans ses sentiers, brisé dans ses sentiments, et prude dans son allure. C'est un homme bon, bienveillant, hospitalier, joyeux et capable de communiquer la joie aux autres. C'est un homme vertueux, affable et agréable à Dieu et aux hommes par sa sympathie et sa gentillesse. C'est aussi un homme qui prêche droitement la parole de Dieu selon que le Seigneur Jésus-Christ l'a envoyé. Il ne s'écarte pas du chemin que Dieu a tracé pour lui, juste parce qu'il convoite le titre ou la position de quelqu'un d'autre. Il ne cherche pas à plaire aux gens dans son évangile, mais cherche avant tout l'approbation de Son Seigneur à qui il sait qu'il doit rendre des comptes, quitte à déplaire à la majorité de ceux qui l'écoutent.
Le critère de réussite dans le ministère, pour lui, n'est pas tant le nombre de fidèles qu'il instruit ou évangélise, ou le nombre de ceux qui le reconnaissent comme un serviteur de Dieu. Il ne mesure pas son succès en voyant à la beauté des décorations des chapelles d'église, ou à sa durée dans le ministère. Mais il mesure le succès de son service en voyant au nombre de ceux qu'il a concrètement bâti en Jésus et à la qualité de leur vie devenue accomplie et affermie, et pour qui il a travaillé dur en souffrant les douleurs de l'enfantement jusqu'à ce que Christ fut formé en eux. Il évalue sa réussite en découvrant et en considérant ce que Dieu lui a ordonné, le comparant à ce qu'il fait, savoir si cela est en accord et en accomplissement de ce pour quoi il a été appelé. Ainsi il sera capable de dire : j'ai combattu le bon combat, et j'ai achevé ma course et mon service. C'est là un serviteur de Dieu, peu importe le don qu'il a dû recevoir pour servir dans le champ de Dieu. C'est là un serviteur que Dieu aime et un serviteur dont Dieu est fort fier.
Es-tu ce genre de serviteur de Dieu ? Si oui, gloire soit rendue à Dieu, continue donc à suivre ce chemin étroit que peu empruntent. Si non, qu'attends-tu pour le devenir, toi à qui tant de reproches sont faits tous les jours ? Es-tu un serviteur aventurier qui n'a jamais été appelé spécifiquement par le Seigneur et qui continue néanmoins à être actif ça et là sans être là où Dieu veut que tu sois ? Et toi, projettes-tu de servir Dieu dans l'avenir pour vivre comme les prédicateurs modernes parce que tu admires leurs richesses et leur éloquence, et pas plutôt en aspirant à te dépouiller, renoncer à toi-même, et attendre que Dieu t'envoie où il souhaite que tu le serves et dans le couloir qu'il veut, même si c'est au détriment de ta fierté ?
Et toi, quel genre de serviteur de Dieu suis-tu ? Sur le modèle de qui marche-tu ? Qui aspire-tu à imiter ? Les enseignements et la conduite de qui reçois-tu ? Qui est-il, ce serviteur de Dieu ? Dieu le considère-t-Il comme Son serviteur, comme toi tu le considères ?
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maaarine · 1 year
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Le Journal des sciences: Dépression : le microbiote intestinal communique avec le cerveau par le nerf vague
"De plus en plus d’indices pointent vers un rôle du microbiote dans les troubles psychiatriques, l’anxiété et la dépression, mais pour l’instant chez l’humain il s’agit de corrélations.
On sait qu’une dysbiose, donc un dérèglement du microbiote est associé aux troubles dépressifs mais cela ne dit rien du lien de causalité, qui est la cause et qui est la conséquence.
En revanche chez la souris, on en sait davantage, notamment parce qu’on peut les étudier dans des conditions stériles.
Une modification de la composition du microbiote murin entraîne des changements comportementaux et cognitifs : des troubles de l'attention, de la perception, de la mémoire, d’interaction avec les autres congénères et des symptômes dépressifs.
Et oui, les symptômes dépressifs s’observent aussi chez la souris.
Pour explorer un lien causal entre microbiote et dépression, ces scientifiques ont induit un état dépressif chez ces animaux par de petits stress chroniques, avant de transférer le microbiote de ces souris dépressives à des souris saines.
Résultat, le transfert de microbiote suffit à déclencher des troubles dépressifs et cette information passe par un lien physique qui est le nerf vague.
Entretien avec Eleni Siopi maîtresse de conférence à l’Université Paris cité.
Elle est l’autrice principale de ces travaux menés lors de son post-doctorat à l’Institut Pasteur et parus dans Molecular Psychiatry."
Eleni Siopi:
"Nous avons vu qu'il existe une voie anatomique directe qui lie les intestins et le cerveau, qui s'appelle le nerf vague.
Le microbiote intestinal a accès à ce nerf, il peut influencer l'activité de ce nerf vague.
Nous avons constaté que le microbiote perturbé par le stress chronique induit une augmentation de l'activité du nerf vague chronique.
Cette suractivation du nerf vague est suffisante pour complètement perturber la neurotransmission au niveau du cerveau.
Pour vraiment prouver ce lien entre microbiote, nerf vague, et cerveau, vous avons effectué une vagotomie.
Nous avons constaté qu'en dissociant les intestins et le cerveau via la coupure du nerf vague, les souris ne sont plus déprimées suite à une inoculation avec le microbiote perturbé.
Cette étude permet d'envisager des stratégies thérapeutiques alternatives pour soulager la dépression.
C'est important de souligner qu'il n'y a que 30% des personnes traitées avec les antidépresseurs qui ressentent un effet bénéfique, donc l'efficacité n'est pas du tout satisfaisante.
Bien sûr, on ne peut pas couper le nerf vague chez l'humain, mais on peut montrer que le bien-être du nerf vague est important pour notre sommeil et respiration.
La prochaine étape serait d'identifier s'il existe comme des protéines ou récepteurs qui soient spécifiques pour le nerf vague et qu'on pourrait utiliser pharmacologiquement pour agir spécifiquement au niveau de ce nerf."
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alain-keler · 2 years
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Vendredi 18 février.
Ballade vers l’impasse Pasteur à Chamalières. Je vais jusqu’à l’immeuble où nous habitions. Je crois que c’était au troisième étage. Les volets sont fermés, un peu abimés par le temps sans avoir été repeints récemment. Peut-être sont ils restés fermés depuis notre départ ?
Mairie de Chamalières, dans le parc Mont Joly. Giscard a été maire de Chamalières et maintenant c’est son fils.
Je descends l’avenue de Royat vers le centre. Il fait très doux. Un léger vent me caresse le visage, comme pour me dire « tu te souviens comme la vie était belle ».
L’après midi nous allons à Orcines. Je n’avais pas eu de réponse du maire à mon mail du 15 février. Je peux le rencontrer dans sa petite mairie. Il me reçoit dans son bureau. Je lui explique mon projet. D’abord prudent, il est sans doute rassuré par mes propos. Il me parle des estives sur les flancs du Puy de Dôme. Elles commencent fin mai, et début juin je reviendrai.
Je commence la parution de mon projet BNF. Au final il y aura un rendu de dix photographies, choix qui se fera cette semaine. Beaucoup de photos, que j’appellerais « intermédiaires », non choisies mais importantes dans le cadre de mon histoire paraitront dans ce journal. Elles seront le ciment de ce projet personnel qui dépassera la commande. Néanmoins chaque parution sera précédée de cette mention :
"Cette photographie a été produite dans le cadre de la grande commande nationale "Radioscopie de la France : regards sur un pays traversé par la crise sanitaire" financée par le Ministère de la culture et pilotée par la BnF."
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raisongardee · 1 year
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“Ils ne comprendront rien parce que le peuple n’est pas fait pour comprendre, mais simplement pour obéir et être heureux, autant qu’on le puisse être sur la terre en obéissant. Or, cette vocation est si forte que toutes les fois que le peuple n’obéit plus à l’élite des gens de bien qui sont ses légitimes pasteurs, il faut nécessairement qu’il obéisse à l’élite de la canaille. C’était pour protéger ces irresponsables qu’il existait autrefois un gouvernement. C’était pour écarter les animaux malfaisants et les prédicateurs, si volontiers écoutés, de l’égoïsme universel et du pillage social. Aujourd’hui, nous n’avons plus de gouvernement. Tout le monde en convient, et l’un des miracles historiques les plus faits pour accabler la raison, c’est la France respirant encore et ne s’abîmant pas d’un seul coup dans un océan d’immondices et de boue sanglante.”
Léon Bloy, « La Guerre des mercenaires », avril 1884. 
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franckdoutrery · 1 year
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Demain l’apocalypse
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Le ciel est barbouillé de cinquante nuances de gris. Une épaisse purée de pois a effacé la ligne d’horizon. Le soleil et la lune se sont éclipsés. Pour rentrer chez lui, l’homme perd son chemin et ses clés en coupant par l’intérieur. Les médias regorgent de meurtres, d’adultères, de beuveries, d’éruptions volcaniques, de séismes sur l’échelle de Richter et d’autres catastrophes. En Afrique du Sud, où il pleut rarement, les gens médusés ont vu une pluie de grenouilles ou de crapauds. En tout cas de batraciens anoures. En Westphalie, un pasteur allemand s’est fait mordre par un berger. Allemand lui aussi. En Arabie saoudite, la mise bas des chamelles est retardée, comme le prévoit le Coran en signe précurseur de la fin du monde. 
Tout porte donc à croire que cette fois c’est la fin. Les Juifs pensent que le Messie est sur le point de revenir. Il était déjà revenu plusieurs fois, notamment dans la personne de Sabbataï Tsevi en 1666, nombre de la Bête de l’Apocalypse. Cette année-là, les temps messianiques étant arrivés, les gens se mirent à vendre tous leurs biens et donnèrent le reste aux pauvres. Ce ne furent que brocantes, vide-greniers et marchés aux puces. Tout le monde comptait suivre le Messie en Palestine, où selon la prophétie les douze tribus d’Israël devaient se retrouver. Or l’échéance dut être reportée, parce que Monsieur Tsevi, menacé de la peine capitale par le sultan ottoman, renonça à son rôle messianique et sauva sa tête en se convertissant à l’islam. Ce ne fut donc que partie remise. 
Aujourd’hui le calcul est réamorcé. Et c’est plus sérieux. Avec les guerres, les pandémies, le dérèglement climatique, comment ne pas croire à l’apocalypse ? C’est donc pour un de ces jours. La seule question qui reste, c’est quel jour, quelle date sur l’almanach. Afin d’en avoir le cœur net, j’ai consulté un cartomancien émérite. Il a bien voulu me tirer les tarots, a caressé sa longue barbe et m’a regardé d’un air consterné, comme s’il hésitait à révéler ce qu’il lisait dans son brelan. Il m’a même demandé si je persistais à vouloir connaître l’avenir. Sinon, on pouvait s’arrêter là et se quitter bons amis. Il ferait payer la séance à un tarif préférentiel. Mais comme j’insistais, il a de nouveau regardé ses tarots, a hoché la tête comme pour refuser sa vision, et m’a dit d’une voix de confessionnal : « C’est pour bientôt ! » Et comme si cela faisait partie de la même prophétie, il a ajouté, avec le verbe au futur : « Ce sera cinquante euros ! »
Ravi de savoir que les tarots de Marseille confirmaient mon appréhension, j’ai pourtant voulu obtenir quelques précisions sur ce « bientôt ». Pris dans son sens habituel, le mot dénote un avenir proche, une date qui exclut en tout cas une remise aux calendes grecques. Je suis donc allé voir Madame Irma, qui est une pythonisse hors pair. Elle n’a pas son pareil pour lire dans les astres, le marc de café et les lignes de la main. Ne pouvait-elle me donner une date plus précise, pour que je puisse rédiger mon testament, régler mes affaires en suspens et embrasser une dernière fois les miens ? A ma question « Est-ce pour bientôt ? » les oscillations de son pendule répondirent par l’affirmative. Sa lecture dans le marc de café confirma ce délai rapproché, sans qu’elle permît de cocher une date sur l’agenda. En déployant ensuite un éventail de thèmes astraux, elle perçut une avalanche de cataclysmes ultimes dans un avenir relativement proche. Restait enfin sa boule de cristal. Lorsqu’elle l’ausculta en plissant les jeux, elle y discerna un spectacle affreux, qui fit apparaître l’épouvante sur sa figure. Une même épouvante me saisit en apprenant le coût de la séance divinatoire. A payer en espèces !
Ne connaissant toujours pas la date ni l’heure, j’interrogeai les passants dans la rue. Car on a beau faire, l’homme aime bien croire au changement définitif. Rien ne lui est plus ennuyeux que le train-train quotidien. Dites-lui que vous voulez changer la vie, il votera pour vous. Annoncez-lui la fin des temps, il est prêt à vous suivre. Il lui faut des prophéties, des quatrains de Nostradamus, des calendriers Maya. C’est pourquoi aujourd’hui encore, il n’en démord pas : cette fois la chose est certaine. Dès lors une question se pose : faudra-t-il se réfugier sur le mont Ararat, où accosta jadis l’arche de Noé ? Ou sur un col de troisième catégorie du Tour de France ?
En attendant cette heure funeste, préparons-nous comme Noé. Mais au lieu de construire une arche, fabriquons un bateau à pédales ! Ou, mieux, un pédalo ! Car comme l’avoue la réclame : « Depuis des années, le pédalo est l’embarcation la plus fun sur tous types de plans d’eau. » Et des plans d’eau, s’il faut en croire la météo, il y en pleuvra comme à Gravelotte. Un seule consolation néanmoins : si nous sommes parmi les élus, il nous sera donné, comme à Brassens dans sa supplique, « de faire du pédalo sur la vague en rêvant ». Et de passer notre mort en vacances ?
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🟢🇫🇷 BERGER ET HYPNOSE? Hypnose DCS unique au monde
🟢🇫🇷 BERGER TROUPEAU PERSONNE TV?!9 personnes sur 10 abandonnent parce qu’elles croient au berger ! 🧐😳 pourquoi? Car le pasteur a montré au fil des années qu’il n’y a pas d’autre solution que lui ! A qui et à quoi est-ce que je fais référence ? Au fait que même s’ils tentent tout en plus, 9 personnes sur 10, ne vont pas plus loin car ils disent et répètent et répètent que tout le monde leur a…
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              samedi 17 juin 2023 : ¤
Emmanuel
   Il faut que fasse ce post aujourd’hui, ce soir. Je viens d’être touchée, en plein cœur. J’ai pleuré, de reconnaissance.
   Il fallait que je fasse ce post sur ce que j’ai vécu durant la campagne du pasteur Dag Heward-Mills à Libreville, jeudi et vendredi. Je repoussais l’écriture de ce post, pour prendre le temps de le faire, au moment venu. Cette campagne s’intitulait “Jésus qui guérit”.
   Je bénis tellement le Seigneur. Je le bénis pour tout ce qu’il fait dans ma vie, pour les endroits dans lesquels il m’amène, je lui rends grâce, parce qu’à chaque prière que je fais, chaque demande que je fais, il répond, à sa manière, avec le temps qui lui correspond. Son plan est parfait. Si je lui demande de me fortifier, il le fait. Si je lui demande de me rassurer, il le fait. Si je lui demande de me confirmer une pensée, il ne se fait pas attendre, il me montre, il m’enseigne, il me guide, je loue le Seigneur, je loue son nom, je rends grâce pour la façon dont il me transforme, et me fait miroiter la joie d’être dans ses commandements.
   Le week-end dernier, je parlais à mon homme de cette campagne. J’avais trouvé la biographie du pasteur sur EMCI, pour moi, ça attestait d’une certaine crédibilité. J’envoyais à No, je lui en parlais, je lui proposais de regarder une vidéo. Il me dit “Non”, assez catégoriquement. Bon. Moi ça m’intriguait quand même. Lundi, alors que j’étais au travail, je demandai à mon chéri les plans de sa soirée car j’avais invité un ami qui venait d’être quitté par sa copine, il me répondit qu’il irait en fait au stade de Nzeng Ayong pour la campagne du pasteur. What. Je lui en parlais depuis des jours ! Je ressentis une certaine irritation. Je lui en fis part. Je lui dis que j’aimerais y aller dans la semaine. Je ne crois pas avoir pensé à y aller en fait auparavant. Je ne sais pas pourquoi je lui ai dit cela. C’est comme si le fait que lui voulait finalement y aller m’avait motivée. Mais j’étais dans l’amertume, seule dans ma salle de classe. J’ai demandé au Saint-Esprit d’apaiser mon cœur, ce qu’il fit. Calmée, je demandai à mon homme s’il avait reçu qu’il devait y seul. Il me dit qu’il le pensait peut-être, que l’idée lui était venue ce jour, après avoir prié et lu la Bible. Avec douceur, je lui fis cette fois part de ma compréhension. Je sais qu’il faut écouter les commandements de Dieu, ce sont les plus importants. Alors je n’eus rien à redire à cela. Je dis à No que j’irais certainement avec mon ami Wilson dans la semaine, que je lui proposerai. Il me dit de venir ce soir, que ça lui serait sûrement profitable. Mais ce soir j’avais envie d’être au calme à discuter. C’était ok pour moi. Mon chéri partit donc pour le stade, tandis que moi je retrouvai chez moi mon ami pour manger et discuter. A 22h mon homme rentra, nous précisant qu’en fait il était arrivé à la fin, mais qu’il y avait de la force là-bas. Il avait cependant marché depuis le stade jusqu’à la maison, faute de taxis disponibles, il était très fatigué, mais il semblait touché aussi. Wilson partit, et je parlai un peu à No. Wilson ne pouvait pas se libérer jeudi, jour durant lequel j’aurais aimé aller écouter le pasteur. Mais je n’ai confiance qu’en Wilson et lui pour faire attention à moi dans le quartier un peu chaud de Nzeng Ayong, avec la foule. “Alors nous irons jeudi.”
   Le lendemain et le surlendemain, trop occupé, il ne put partir. Le mardi soir, il me parla de ce qu’il avait reçu, ce qu’on peut retrouver dans mon post “Abba, Père”.
   Le jeudi après-midi, donc, il vint me chercher au travail, et nous allâmes ensemble au stade. Je ne savais pas trop dans quel esprit j’allais là-bas. C’était la première fois pour moi que j’allais assister à un tel événement, une véritable croisade africaine, campagne d’évangélisation. Le genre d’événement que l’Occident voit d’un très mauvais œil, qui nuit à l’Afrique selon un très grand nombre d’Européens, de Français, même de mon entourage. C’est aussi ce que je pensais je crois, avant. Je n’y allais pas dans cet esprit. Mais j’avais comme une sorte de curiosité. Cependant, j’espérais trouver quelque chose. Quoi ? Je ne savais pas. Je n’allais pas chercher une onction spécifique. J’allais pour constater. Quelque chose.
   Lorsque nous avons posé le pied sur la pelouse, j’ai senti. Le Saint-Esprit. C’était fort, vraiment très fort. Il y avait étrangement peu de monde. En fait, l’horaire avait changé, nous ne le savions pas mais nous avions deux heures d’attente devant nous. Mais comme tout arrive pour une raison, c’est ainsi que nous nous sommes retrouvés assez près de la scène, sur la pelouse. Nous avons pu nous reposer un peu avant le début. Je sentais, je ressentais la présence de Dieu ! Et pourtant, je ne me sentais pas très bien non plus. Je compris qu’il se passait quelque chose à l’intérieur, comme si des démons, le Diable, tentaient désespérément de me dissuader d’être ici, ou à défaut, de croire, de conserver ma foi. C’était très déroutant. 
   Les chants ont commencé. Je me suis placée devant No. Je ne le voyais pas derrière moi. J’avais mis du coton dans mes oreilles car le son était très fort et me faisait mal aux oreilles, encore fragiles de ma dernière otite. Les louanges ont pris de plus en plus d’ampleur, sur scène, dans la foule, et dans mon cœur. La joie a commencé à m’envahir, les doutes et appréhensions, à me quitter. Je dansais un peu, je chantais un peu aussi, puis un peu plus. La joie montait. Je commençais à comprendre que je devais être ici. Soudain, je reçus une forte pensée, je l’entendis clairement, elle n’était pas de moi : “Crois seulement. Le reste, à Dieu. Crois seulement, tu seras sauvée.” Cette pensée m’a atteinte durant toute le temps que nous avons passé sur cette pelouse, parmi ce peuple de Dieu, envahi de grâce, touché par l’Esprit, en communion totale. J’ai senti cette force. 
   Les prières ont commencé, j’ai levé malgré moi les deux mains au-dessus de ma tête, je sais ce que suis venue chercher, je comprends, je vois, je reçois. Le Seigneur m’a déjà annoncé ma guérison, maintenant il est là pour me montrer, il va me guérir, et pas seulement mon corps. En fait, tu peux être rassurée du fait que tu es guérie. Le Seigneur ne te dit pas forcément sur le moment quand tu pourras observer les effets. Mais il t’assure que tu es guérie, parce que tu es en lui, parce que ses promesses sont irrévocables ! Je reçois c’est fort ! Le pasteur Dag Heward-Mills a alors commencé sa prédication.
   Ici j’aimerais à nouveau bénir le Seigneur, me prosterner devant lui pour lui rendre grâce, louer sa grandeur éternelle. Le Seigneur est vivant. Et il était présent au milieu de nous, des milliers de ses disciples.
   Le pasteur nous demande de poser nos mains sur les parties de notre corps qui nous font souffrir. Sans même y penser, je prends mes mains l’une dans l’autre, je ferme les yeux, et je reçois cette onction de guérison vers mon eczéma. Je lève les mains au-dessus de ma tête, je sens comme une vibration à leur niveau, je sens que ça me traverse le corps. Des pensées parasites veulent me faire croire que c’est l’ambiance du lieu, les chants, l’éloquence du pasteur, mon esprit qui est troublé... Mais la brise légère qui traverse le stade, contrastant avec la chaleur qui me remplit le cœur me conforte. Je reçois !
   “La maladie de ton père ne t’atteindra pas”. Oh comme je reçois cette parole. Moi qui parfois vivait dans la crainte des prédispositions à la dépression que mon père pourrait me léguer. Mais non ! Quelle crainte inutile. Jésus a pris cela à la croix. Elle ne me touchera jamais. Jamais !
   Jésus a fait sortir le démon de l’enfant, dans Matthieu, dit le pasteur, mais c’est bien dans Marc 9:18 que la Bible précise que l’enfant grinçait des dents. Il grinçait des dents, le pasteur a rappelé cela. En allant chercher tout de suite la référence de la Bible, je tombe aujourd’hui sur plein de versets de la Bible qui précise ceci : ce sont des démons qui grincent des dents, qui font grincer des dents. Je reçois, même si peut-être ça ne m’était pas destiné, je reçois. Je grince des dents, jour et nuit, et c’est ce qui a prolongé mes inflammations aux oreilles. Je suis stressée, crispée, tendue, et je serre les dents. Depuis que je ne serre plus autant mes dents, cela a bien diminué mais j’avais conservé l’hyperacousie, qui est une forte sensibilité aux sons aigus. D’où le fait que je mette jeudi des cotons dans mes oreilles. Mais je reçois, je reçois qu’un démon en moi me tourmente depuis un moment, je reconnais sa marque.
   On amène des gens qui se roulent par terre, crient, serrent leurs mains, devant le pasteur. Je les vois passer dans les allées, portés par la sécurité. J’entends la pensée “Crois seulement”. Je me rappelle qu’en Afrique plus qu’ailleurs les démons sont présents, la sorcellerie. Je crois. Je commence à prier pour eux, pour tous ceux qui, présents ici, cherchent l’onction de guérison. Les anges de Dieu sont là, ils sont présents, il y en a tellement ! Le Saint-Esprit s’étend sur nous.
   Le pasteur continue, avec foi, et force. “Jésus, restaure et sauve mon âme !” Ah. La guérison n’est pas seulement celle du corps, et c’est fort, Jésus vient toucher notre âme, vient panser nos blessures, et surtout, il vient prendre nos péchés. Nous sortirons justifiés. J’entends, je comprends, et je crois les paroles inspirées du pasteur qui assure que nous n’allons peut-être pas voir de suite les bénédictions du Seigneur ce soir, mais que nous allons être transformés. Je ressens que Jésus touche mon âme de son amour.
   J’entends les “Amen” de No derrière moi. Parfois, je suis tellement concentrée dans ma prière, que j’oublie qu’il est là. Nous sommes venus pour notre bénédiction individuelle. Cependant, le savoir derrière moi me remplit aussi de joie. Nous vivons enfin cela à deux, pour la première fois, nous qui allons vivre toute notre vie ensemble. J’en profite pour rendre grâce d’être là, en couple ce soir. 
   Soudain, quelque chose se passe en moi, physiquement. Je ne me sens pas de l’expliquer dans un post, mais quelque chose m’arrive. Un peu comme des larmes que je n’avais toujours pas versées jusqu’ici, mais de manière différente. J’avais une telle foi à ce moment. Et j’eus une révélation. Jésus a guéri mon corps, a restauré mon âme, à présent, il m’envoyait et me confirmait une promesse. J’en parle dans le post d’aujourd’hui que j’ai écrit tantôt. Une telle promesse. J’entendis aussi que ma place était ici, cette place qui était encore si indécise il y a trois ans ! Il y a trois ans j’ai dit à mon entourage qui me questionnait à ce sujet, que je ne saurais dire à quoi j’aspirerais à trente ans, après mes trois ans au Gabon. Dieu m’envoya que ma place, celle à laquelle il m’avait destinée, aujourd’hui (car selon son plan je serai peut-être amenée plus tard à être ailleurs), ma place était bel et bien ici, auprès de ces gens qui croient, auprès de mon homme, qui a la foi, et qui m’aide spirituellement à faire grandir la mienne, et surtout, auprès de Jésus, qui guérit. Quelques larmes ont coulé, je les ai accueillies avec joie. Jésus n’est pas ému par tes larmes, il est ému par ta foi obéissante, et j’ai senti que véritablement il l’était.
   Nous sommes partis, bénis, remplis, nous sommes montés en voiture, et pendant un certain moment nous n’avons pas trop parlé. Puis, mon homme m’a parlé de certaines choses, des choses saines, saintes, selon l’Esprit. Pas selon certaines conceptions que j’avais pu évoquer dans le passé, par rapport à des relations. J’avais une telle douceur dans le cœur, j’ai reçu ses paroles avec beaucoup de calme, et j’ai expliqué que j’étais en train de changer. Oui. Je change, mais cela ne me fait plus peur car le Saint-Esprit m’indique avec beaucoup de paix la direction. Je l’ai rassuré comme j’ai pu. Il a raison de profiter de ces moments pour me parler, parce que, touchée par l’Esprit, j’entends beaucoup mieux sa parole, plus clairement.
   Vendredi, je suis retournée au stade avec Wilson. J’avais une telle joie d’y retourner. D’abord, le Diable a tenté de m’en empêcher, j’étais épuisée par la semaine de travail. Mais en parlant de l’onction incroyable que j’avais reçue la veille, et de la puissance avec laquelle la communion se fait là-bas, avec le Saint-Esprit, je me suis fortifiée, j’ai donné le goût à Wilson, et nous sommes partis. Les louanges nous ont remplis de joie, la prière nous a touchés, parfois je voyais Wilson qui levait ses mains, priait, il cherchait Jésus. Cela m’a touchée. J’ai vu une amie, puis un autre ami qui vient les dimanches à l’orphelinat. Dieu me montre mes frères et sœurs en Christ. Nous avons dansé sur les louanges, puis, comme j’avais mal aux pieds, nous sommes allés plus loin mais sur la pelouse, car auparavant nous étions sur le béton. Le pasteur a commencé sa prédication. Pour moi, c’était différent d’hier. Comme si je n’étais plus là pour l’onction de guérison, parce que j’avais reçu, j’avais la ferme assurance que j’étais guérie. Cette confirmation m’a remplie de joie. Le pasteur nous a à nouveau demandé de fermer les yeux, de placer nos mains sur une partie du corps qui souffre, et il a prié. Il a commencé par dire “Je sens que quelqu’un qui souffre, au niveau des yeux, va être touché !”, et moi, j’ai ouvert les yeux. A dix mètres, il y avait un homme, en bleu, il avait la main gauche levée, et le pouce et l’index de sa main droite sur les yeux. Quand mon regard s’est posé sur lui, j’ai pleuré. J’ai senti qu’il était guéri, j’ai reçu qu’il était guéri ! Alléluia. J’avais envie d’aller lui dire ! Je n’avais pas besoin. Il est guéri ! Alors je me suis mise à prier pour les autres dans le stade, à prier pour mes proches aussi. Je sentais la paix, la grâce du Seigneur, je me sentais baignée dans le sang du Christ. Inatteignable. J’aurais aimé rester encore, mais Wilson me pressa. L’heure. Il avait raison, il y avait beaucoup de monde qui allait sortir après. En sortant, il me dit qu’il comprenait ce que je disais tout à l’heure, la puissance du lieu, l’onction ! Mais il me demanda presque dans la minute si nous pouvions aller boire une bière. Je n’étais pas du tout disposée à la fête, mais alors pas du tout. Cependant, j’étais aussi dans un état de douceur relatif au Saint-Esprit en moi, alors je lui expliquai donc gentiment. Nous prîmes un taxi, et il continua à parler de choses... du monde. Sauf qu’une femme monta dans le taxi, et alors que nous étions en train de parler de Jésus et de la campagne au stade, elle entama une véritable évangélisation ! Sur la véritable identité des églises, comme au stade, sur Jésus, qui est le Christ pour tous, sans distinction, c’était fort ! Nous sommes descendus et avons marché avec Wilson. Au moment de se quitter, je lui dis : “Essaie quand même de prier sur ce que tu as reçu en rentrant.” Il me répondit “Toujours ! Et le plus important, c’est même de lire la Bible. J’ai dans le sac là un petit ouvrage du Nouveau Testament, et à la maison, la Bible ouverte dans la chambre. C’est important.” Sa parole m’a fortifiée. Il m’a aussi écrit en rentrant “Vraiment merci pour cette sortie vers la voix du Christ”. Je ne sais pas s’il voulait écrire “voix” ou “voie”, peu importe. J’ai alors compris l’importance d’élever vers Christ ses amis, il n’y a pas de plus belle preuve d’amitié que de les sauver, en les aidant à se placer sur son chemin, sa voie, sa vérité. Cela m’a aussi fortifiée.
________________________________
“Il faut que fasse ce post aujourd’hui, ce soir. Je viens d’être touchée, en plein cœur. J’ai pleuré, de reconnaissance.”
   C’est ce que j’ai écrit pour commencer ce post. Je suis devant mon ordinateur, j’étais en train de passer des commandes pour mon retour en France. Dans mon téléphone, j’ai un album, dans mes photos, avec des captures d’écran de certains produits. Un des albums s’appelle “Eczéma”. J’ai cherché certains produits, et, machinalement, j’ai passé toutes les photos de l’album. Je suis tombée sur des photos très dures de ma peau à vif, il y a quelques mois. J’ai regardé mes mains aujourd’hui. J’étais en train d’écouter des louanges, et passait le chant “Emmanuel”. J’avais mis la musique quand même forte. 
La musique.
Forte.
Mais,
Aucune douleur aux oreilles.
Ma peau est presque unie sur mes mains, à peine un peu sèche.
   Je ne dis pas que les épreuves ne reviendront pas, je ne dis pas que le plan de Dieu, si je me refuse encore à lui obéir, ne sera pas à nouveau, par mes péchés, de laisser le Diable agir pour m’éprouver. 
   Mais ce soir, je n’ai aucune crainte, aucune peur, j’ai l’assurance, la joie, la confiance, la foi, que Dieu m’a guérie, je témoigne de ses bienfaits, je rends grâce de sa grandeur, de sa miséricorde, je prouve au monde que je suis guérie. Et si je le suis physiquement, imaginez un peu à l’intérieur !
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rayhanargentique · 4 months
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3| Parc Pasteur 2/3
Un petit tour au Parc Pasteur à travers une Planche Contact.
Cet article est proposé gratuitement temporairement, n’hésitez pas à souscrire un abonnement pour voir ce qu’il y a à venir. 3| Parc Pasteur (2/3) Cette porte était autrefois l’entrée d’une église avant de devenir celle d’un cimetière. Aujourd’hui, elle ne remplit plus qu’une fonction décorative. «La source humaine» de Felix CHARPENTIER, 1926 Les statues du bas figurent la diversité des…
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Que penser de ces soi-disant "psychanalystes", qui non contents de passer leur temps à faire de la retape pour les Gender Studies, ont depuis plus de deux ans sombré dans le covidiotisme le plus ordinaire sans que leur prétendue "référence lacanienne" (J-A Miller: «L’autorité lacanienne, c’est moâ!») ne leur permette de piger qu’il s’agit de la structure du Discours Capitaliste en tant qu’il est le produit de la copulation perverse du Discours Universitaire avec le Discours du Maître?
«Le minimum qu'on puisse dire, c'est que tout ce qui s'édifie entre ces animaux dits humains, est construit, fabriqué, fondé, sur le langage.
(...)
J'appelle discours, ce quelque chose qui dans le langage se fixe, se cristallise qui use des ressources du langage, qui sont évidemment plus larges, qui ont beaucoup plus de ressources, qui usent de ça, pour que le lien social entre êtres parlants, ça fonctionne.» Lacan, Louvain (1972)
Dans "L’avenir d’une illusion", Freud démontre que les doctrines religieuses sont toutes des illusions, soit «l’accomplissement des souhaits les plus anciens, les plus forts et les plus pressants de l’humanité».
Une croyance est une illusion lorsqu’elle est motivée de façon prévalente par la réalisation d’un désir et ne tient pas compte de son rapport à la réalité.
Telle pourrait être une définition de la religiosité: une machine susceptible de convertir les passions (humaines, trop humaines) en illusions.
Considéré comme un scientifique de premier plan pour avoir exploré dès 1895 les arcanes et les paradoxes du système neuronique, Freud estime que la psychanalyse a «un droit particulier à être le porte-parole de la vision du monde scientifique, parce qu’on ne peut pas lui faire le reproche d’avoir négligé la dimension psychologique dans l’image du monde».
Or, c’est à partir de ce «droit particulier» qu’il va pouvoir prendre ses distances avec la pure et simple conception "néopositiviste", pour la bonne raison que l’idéologie néopositiviste fait partie du monde et devient ainsi, pour lui, un objet d’analyse.
C’est ainsi qu’il découvre que le champ de la croyance ne s’oppose pas seulement à la science, mais qu’il traverse de bout en bout le monde scientifique! Ne convient-il pas dès lors de reconsidérer la frontière séparant la science et la religion?
Dans une lettre du 16 février 1929 adressée au pasteur Pfister, Freud note: «On peut naturellement user du droit humain à l’inconséquence, faire un bout de chemin avec l’analyse, puis s’arrêter pile, un peu comme Charles Darwin, qui allait régulièrement à l’église le dimanche.»
Comment comprendre, en effet, que passant de son laboratoire où il déboutait jour après jour le dogme de la Création, il puisse se rendre régulièrement à l’église?
Freud a ici clairement décollé de l’idéologie néopositiviste puisque cette contradiction, insoluble scientifiquement, n’est plus concevable que sur le plan psychologique.
Avec la psychanalyse, l’inconséquence darwinienne a changé de statut. Elle devient un symptôme. Un symptôme qui dévoile quoi? Que si la névrose est à l’œuvre dans le champ religieux, elle l’est tout autant dans celui de la science!
C’est cette même argumentation que l’on retrouve dans les dernières lignes d’«Au-delà du principe de plaisir». En introduisant sa deuxième topique, Freud sait qu’il a toutes les chances de provoquer le scandale parmi ses disciples. C’est pourquoi il anticipe les réactions. «Seuls les croyants qui demandent à la science de leur remplacer le catéchisme auquel ils ont renoncé verront d’un mauvais œil qu’un savant poursuive et développe ou même modifie ses idées.» Il exhorte donc ses lecteurs à ne pas adopter vis-à-vis de la science une attitude religieuse qui figerait les découvertes en dogmes et ruinerait du même coup toute possibilité de recevoir les nouveaux concepts qu’il avance.
Freud constate que le phénomène de la croyance s’immisce dans tous les domaines de la vie. Même là où on serait en droit de ne pas l’attendre: dans les milieux analytiques…
«Méthode de vérité et de démystification des camouflages subjectifs, la psychanalyse manifesterait-elle une ambition démesurée à appliquer ses principes à sa propre corporation.» Jacques Lacan
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from-derry · 4 months
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Simone Nelson - Pasteur - 53 ans
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Simone est la première fille et troisième enfant d’une adelphie de sept, du couple Nelson. Élève brillante, elle est aussi la première de sa famille à aller à l’université. Après un cursus remarquable à l’université publique de la ville, Simone se fait embaucher au tribunal de la ville voisine. D’abord remplaçante, son poste est rapidement pérennisé. Se profile alors pour elle un futur tout tracé et radieux. Au sein de la paroisse baptiste que sa famille fréquente, elle rencontre celui qui sera d’abord son fiancé, puis son mari et enfin le père de ses trois enfants. Épanouie, elle mène une vie heureuse, stable jusqu’à la succession de drames qui percutent sa vie de plein fouet.
Des pertes brutales, des membres de son adelphie sont enlevés par la drogue, l’addiction, des guerres dont ils n’auraient pas dû faire partie et ont été les victimes collatérales. Cela a empoisonné leur famille et, contre toute attente, les rapproche tous toujours plus les uns des autres. Pour aider un de ses frères, Simone va à l’encontre de ses principes éthiques et professionnelles – elle use de sa position pour dévoiler des pièces du dossier de son procès. En parallèle, et peut-être parce qu’elle se sent à la fois souillée et parce qu’elle a besoin d’un appui moral, elle s’investit d’autant plus dans la paroisse.
Elle accorde beaucoup de temps à la lecture et l’étude des textes saints, si bien qu’il n’aurait surpris personne – et surtout pas elle – qu’une reconversion se fasse. Elle se consacre toujours autant à sa famille, est une sœur, fille, femme aimante et altruiste, qui rend visite à son frère, prend du temps pour aider ses parents, est présente pour ses enfants.
Lorsqu’elle arrive à Derry, elle est réellement seule pour la première fois depuis des années. Devant initialement être accompagnée de sa cadette – celle-ci a finalement dû abandonner le voyage – à un mariage d’une cousine éloignée, elle se perd en rentrant de celui-ci, se trouvant dans un autre Etat.
Elle découvre une communauté étrangement soudée mais morose. Elle apprend par Beck, au hasard d’une conversation, qu’il n’y a plus de représentant religieux depuis des mois à Derry, personne n’a remplacé le pasteur décédé quelques dizaines de semaines auparavant. Il faut à Simone quelques semaines de réflexion supplémentaires avant d’oser se proposer pour le rôle – et s’adapter à sa nouvelle vie. Elle voit cependant la défection de sa fille comme un signe de Dieu – et sa présence à Derry également. Accueillie d’abord avec une sorte de méfiance de la part des habitants, elle parvient à reconstruire une paroisse à l’image de la ville, un espace où tout le monde peut se recueillir, trouver du silence ou une oreille attentive si besoin.
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christophe76460 · 16 hours
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Dieu créa la femme non pour être maltraitée, opprimée, non respectée mais pour briller, pour être mère des nations, pour embellir ce monde, pour aimer, pour éduquer, pour secourir, pour aider, pour être une épaule sur laquelle son époux peut se reposer quand il est las...
Dieu créa la femme pour intercéder, pour chanter Sa gloire, pour témoigner de l'amour infini de Dieu...
C'est une femme qui fut témoin de la résurrection de Christ...
La Bible parle de ces femmes déterminées comme Rahab, Sarah, Déborah, Esther, Marie de Magdala etc ...
Alors femme, lève toi par la puissance de Dieu et accomplis le ministère auquel Il t'a appelé...
Que tu sois maman au foyer, que tu sois infirmière, enseignante, assistante sociale ,etc ...tu as une mission.
Personne n'est plus grand que l'autre, restons dans cette humilité , pourvu que nous fassions la volonté de Dieu ...
Cette mission n'est pas seulement réservée aux chantres, aux pasteurs, aux apôtres etc...mais à tous les enfants de Dieu qui marchent dans la crainte de Dieu et qui ont ce coeur d'enfant pour servir dans l'humilité et la sagesse...
Cette mission première consiste à nous aimer les uns les autres, à nous respecter, à voir l'autre comme plus grand que toi...
Cette mission divine est pour toi, saisis la et marche avec joie parce que l'essentiel est de plaire à Dieu ...
♥️Mirella
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Interdiction de vente et de consommation de boissons alcoolisées le 21 juin 2024 dans le Doubs
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À l’occasion de la Fête de la Musique de ce vendredi 21 juin 2024, Rémi Bastille, Préfet du Doubs, interdit, par arrêté en date du 13 juin 2024 la consommation de boissons alcoolisées sur la voie et l’espace publics à compter du vendredi 21 juin 2024 20h00, jusqu’au samedi 22 juin 2024 6h00, au sein des communes suivantes : Avoudrey ; Besançon ; Le Russey ; Les Premiers Sapins ; Montbéliard ; Pontarlier ; Sainte-Suzanne ; Saône ; Seloncourt ; Sochaux ; Taillecourt ; Valdahon. Ainsi que la vente de boissons alcoolisées sur la voie et l’espace publics ainsi que dans les établissements pratiquant la vente de boissons à emporter à compter du vendredi 21 juin 2024 20h00, jusqu’au samedi 22 juin 2024 6h00, au sein des communes suivantes : Avoudrey ; Besançon ; Le Russey ; Les Premiers Sapins ; Montbéliard ; Pontarlier, à l’exception des établissements situés place d’Arçon, place Jules Pagnier (côté Mosquée), Halle Émile Pasteur, place Sainte Bénigne, 56 rue de la République (face à la mairie) et 69 rue de la République (cours de la sous-préfecture) ; Sainte-Suzanne ; Saône, à l’exception des établissements situés espace du Marais ; Seloncourt, à l’exception des établissements situés place Croizat (devant la salle polyvalente), aux abords du centre culturel Cyprien Foresti et parc de la Panse ; Sochaux ; Taillecourt ; Valdahon. Afin d’en assurer le bon déroulement, les services de secours et de sécurité seront pleinement mobilisés durant cette nuit de festivités. Policiers, gendarmes, sapeurs-pompiers et policiers municipaux seront ainsi sur le terrain pour garantir la sécurité et la tranquillité de tous. Enfin, pour que tout se terminent bien, la Préfecture du Doubs appelle à la plus grande prudence sur les routes et au strict respect de la limitation légale de l'alcoolémie au volant. L’alcool reste aujourd’hui, avec la vitesse, l’une des deux principales causes de mortalité routière. Read the full article
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yes-bernie-stuff · 13 days
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◀ 11 JUIN ▶ 365 jours pour ranimer la flamme
Mais le chef de la synagogue, indigné de ce que Jésus avait opéré cette guérison un jour de sabbat, dit à la foule : « Il y a six jours pour travailler ; venez donc vous faire guérir ces jours-là, et non pas le jour du sabbat. ». Luc 13.14
Traditions vs onction
Cette réflexion du chef de la synagogue, que nous pourrions assimiler à un pasteur, est survenue après la guérison d’une femme courbée depuis douze ans. Douze années de souffrance que Jésus est venu « régler » d’une seule parole. Un miracle extraordinaire qui cependant ne plaisait pas à tout le monde, et à ce chef en particulier. Nous pourrions nous offusquer du manque d’amour de ce « berger » en étant persuadés que nous n’aurions jamais agi de cette manière. En sommes-nous si sûrs ? Combien d’interventions divines ont-elles été stoppées parce que l’heure de la fin du culte avait sonné ? Combien de ministères ont été « muselés » dans l’exercice de leurs dons parce que trop jeunes, trop charismatiques, trop féminins, trop dérangeants, trop exubérants, trop... ? Ne jugeons pas trop vite ce chef de synagogue parce que bien souvent, nos traditions prennent le dessus sur l’onction. Maintenant, j’aimerais que nous réfléchissions ! Imaginons que ce ne soit pas Jésus qui soit présent dans la synagogue, mais un autre chef de synagogue oint du Saint-Esprit ayant un don de guérison. Il aimerait exercer ce don pour soulager la souffrance des personnes présentes mais le chef de la synagogue, le regardant d’une certaine hauteur et lui dit : « Frère, nous sommes samedi, ce n’est pas le bon jour pour guérir quelqu’un. Et puis, tu sais, nous ne fonctionnons pas comme ça ici. Le grand prêtre est-il au courant que tu agis de cette manière ? ». Transposez ce dialogue dans une église locale entre deux serviteurs de Dieu, et vous comprendrez pourquoi tant de potentiels spirituels sont mis sous l’entonnoir. Si le chef de cette synagogue avait empêché la délivrance de cette femme, ne pensez-vous pas qu’il en aurait été responsable devant Dieu ? - Lire plus ici :
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