#polymorphisme
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Comment Maîtriser l'Évasion d'Antivirus ?
Qu’est-ce que l’Évasion d’Antivirus ? Maîtriser l’Évasion d’Antivirus L’évasion d’antivirus consiste à modifier ou camoufler un malware pour éviter qu’il soit détecté par les logiciels de sécurité. Les hackers utilisent diverses techniques pour contourner les antivirus, afin que leur code malveillant puisse être exécuté sans être repéré. L’objectif est d’exploiter des faiblesses dans les moteurs…
#analyse comportementale#antivirus#attaques sans fichier#cybersécurité#évasion d&039;antivirus#hackers éthiques#Metasploit#polymorphisme#protection des systèmes#techniques d&039;évasion#Veil
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Camponotus Lateralis

[Reine Camponotus Lateralis avec des ouvrières et son couvain] Photo par MicroBestiaire!
La Crematogaster Scrutellaris des Camponotus!
Une espèce coloré et calme!
Les Camponotus Lateralis sont des fourmis discrètes et calmes de petite taille présente tout autour de la Méditerranée. Leur développement est lent. C'est une fourmi colorée qui imite morphologiquement et chimiquement les Crematogaster Scrutellaris! Les colonies peuvent atteindre quelques centaines à quelques milliers d'ouvrières.
Morphologie
Particularités
Fourmi petite taille
Polymorphisme continue
Imite les Crematogaster Scrutellaris morphologiquement et chimiquement!
Bicolore
Couleurs
Ses fourmis ont un gastre noir brillant avec une tête rouge. La reine et les majors peuvent parfois avoir une tache brune sur la tête!
Tailles
Reines: 7 à 10 mm
Ouvrières: 3 à 7 mm (Elles disposent de 3 castes: minor, média et major)
Mâles: 5 à 7 mm

[Ouvrières Camponotus lateralis, la reine (en haut a gauche) et le couvain éparpillé] Photographie par MicroBestiaire!
En nature
Biotope
C'est une espèce méditerranéenne commune qui est adaptée à de nombreux biotopes, mais semble apprécier les sous-bois où se trouvent les Crematogaster Scrutellaris. Elles aiment niché dans le bois sec ou plus souvent des souches pourries.
Démographie
Les colonies peuvent atteindre quelques centaines à quelques milliers d'ouvrières!
Comportement
Les Camponotus Lateralis sont discrète et timide.
Elles fourragement souvent sur les pistes des Crematogaster Scrutellaris. Les Crematogaster Scrutellaris étant une espèce bien plus agressive, leur permettent de profiter des ressources alimentaires qu’elles exploitent tout en étant à l’abri des prédateurs.
C'est une espèce monogyne.
Alimentation
Miellat
Insectivores (de manière opportuniste)
Essaimage
L'essaimage se fait entre avril et mai.
Fondation
Indépendante et claustrale, la reine tiendra sur ses réserves jusqu’à avoir ses premières ouvrières. Elles nichent dans le bois mort ou sous des rochers.

[Ouvrières Camponotus lateralis effectuant une trophallaxie] Photographie par MicroBestiaire!
En élevage
Comportement
C'est une espèce facile d'élevage.
C'est une espèce calme et très agréable à vivre! Si elles n'aiment pas leurs derniers repas elles le font très bien comprendre en jetant de tout et de rien dessus!
Les Camponotus lateralis ne piquent pas.
Alimentation
Les Camponotus lateralis adorent le speudo-miellat, elles ne refuseront néanmoins pas quelques insectes de petite taille de temps à autre.
/!\ Un abreuvoir d'eau doit toujours être mis à disposition dans l'aire de chasse!

[Ouvrières Camponotus lateralis mangeant de la gelée] Photographie par MicroBestiaire!
Conditions de maintien
Température:
20°C à 25°C
Hygrométrie:
20% à 50% Elles acceptent un large gradient d'humidité.
Cette espèce aime tout de même les nids secs.
Diapause:
3 mois entre 8°C et 15°C
Nid
Tout type de nid leurs convient. De simple tubes font parfaitement l'affaire. Tant bien même que les nids en bois semblent très apprécier.
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Pour plus d'informations, vous pouvez consulter les sources suivantes :
Antariums: https://antariums.org/fiches-d-elevage/europe/camponotus-lateralis/
AntWiki: https://www.antwiki.org/wiki/Camponotus_lateralis
#animals#nature#arthropod#ant#antkeeper#antkeeping#ants#insects#camponotus#lateralis#camponotus lateralis
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Gén@nthrop!c & Homoph@n¡c
Pionnière dans l'étude de la diversité génétique de l’espèce humaine: la fondation Jean Dausset-CEPH, Centre d'étude du polymorphisme humain, a permis de constituer un panel de plus de mille lignées cellulaires immortalisées, issues d'individus provenant de cinquante-deux populations multiethniques réparties dans le monde entier.
Séquençage du génome humain et quête de la diversité Les études en génétique se sont particulièrement développées avec l’arrivée des techniques de séquençage de l’ADN et, surtout, le séquençage du génome humain, qui fut achevé au début des années 2000. Cette séquence permit d’accéder à des connaissances-clés sur la structure et le contenu du génome. Nous savons aujourd’hui qu’il est composé…

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Des bourdons chutent "comme des briques" pour repousser les attaques des frelons asiatiques
See on Scoop.it - EntomoNews
Des scientifiques révèlent la technique impressionnante employée par les bordons pour lutter contre les frelons asiatiques.
Chloé Gurdjian
Publié le 09/10/2023 à 7h22
Mis à jour le 10/10/2023
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NDÉ
L'étude
Quantifying the impact of an invasive hornet on Bombus terrestris colonies | Communications Biology, 05.10.2023 https://www.nature.com/articles/s42003-023-05329-5
Thomas O'Shea-Wheller et al.
Traduction (extrait)
L'échec répété des frelons à capturer et à neutraliser les bourdons est remarquable. Les tentatives de prédation suivaient généralement une séquence prévisible : un frelon poursuivait et attrapait d'abord un bourdon en vol (Fig. S6a-c) ; le bourdon tombait ensuite au sol en réaction, entraînant le frelon dans sa chute (Fig. S6d-f) ; puis, au moment de l'impact avec le sol, le frelon perdait sa prise, permettant ainsi au bourdon de s'échapper (Fig. S6g-i et Supplementary Video 2).
Dans certains cas, un frelon a pu maintenir sa prise sur une abeille après avoir heurté le sol, mais le bourdon a alors adopté une posture défensive typique, tombant sur le dos avec les pattes et le dard relevés38,43. Sans exception, ce comportement a finalement contraint le frelon à abandonner la tentative de prédation et à retourner tenter sa chance à l'entrée de la colonie.
Il est intéressant de noter qu'il est peu probable qu'un tel échec puisse être attribué uniquement à la taille comparative des adultes de B. terrestris, car nous avons observé des tentatives de prédation dirigées vers des individus couvrant toute la gamme de polymorphisme des ouvrières présentes chez cette espèce (Fig. 3c), qui se sont toutes soldées par un échec.
Image : Supplementary Video 2 (capture d'écran)
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Pierre Guillaume de la Vieille Taupe et l’antisémitisme
Extrait du livre Les « antisémites » de gauche de Roland Gaucher et Philippe Randa paru en 1998, et repris sur le site d’Arthur Sapaudia.
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Nous avons demandé à Pierre Guillaume un point de vue plus complet sur ses activités, aussi nous a-t-il fait parvenir la réponse ci-après que nous reproduisons intégralement.
***
Messieurs,
Vous me demandez si j’accepterais de répondre à vos questions dans le cadre d’un livre que vous envisagez sur « L’antisémitisme et la gauche ». Le sujet est effectivement très important et il règne dans ce domaine une désinformation totale. Mais il serait peut-être nécessaire de s’interroger préalablement sur ce que signifient ces deux mots : « antisémitisme » et « gauche ».
Le judaïsme, en tant que religion mono-ethnique du peuple hébreu, puis « les Juifs », ont fait l’objet de critiques de tous ordres et de toutes natures, et le peuple d’Israël, dans sa longue histoire, a rencontré l’adversité sous des formes très diverses […].
Amalgamer toutes les critiques de diverses natures, et toutes les adversités qu’ont pu rencontrer les Juifs sous le vocable d’antisémitisme constitue une escroquerie intellectuelle, à laquelle se livrent allègrement non seulement les zélotes du sionisme, mais une bonne partie des Juifs de toutes tendances, au point d’avoir réussi à créer un climat intellectuel irrespirable, puisqu’il est devenu maintenant pratiquement interdit d’évoquer tel ou tel aspect du judaïsme, ou telle pratique juive, ou telle personnalité juive autrement que laudativement, sous peine d’être suspecté d’antisémitisme. La construction du mot lui-même est absurde. Il existe un ensemble de langues sémitiques comme l’hébreu, l’arabe, et diverses langues du Moyen-Orient ancien, comme l’araméen. Il n’existe pas de peuples sémites qui puissent correspondre à une entité identifiable, en dehors des peuples d’origines ethniques et historiques très diverses qui parlent des langues sémitiques.
Mais le mot a été créé en Europe au XIXe siècle pour désigner spécifiquement une attitude d’hostilité envers les Juifs, dont plus aucun, en dehors d’une très petite minorité de rabbins, ne parlait l’hébreu. De plus, dans l’ambiance des débuts de l’anthropologie au XIXe siècle, la science était « raciste », unanimement « raciste ». Ce qui ne doit pas être interprété à travers les fantasmes hystériques de l’idéologie « antiraciste » actuelle, mais signifie simplement que, confronté à l’extraordinaire diversité humaine, la science d’alors affirmait l’unité de l’espèce, et tentait de rendre compte néanmoins de la diversité, le polymorphisme humain comme on dit maintenant, par le concept de « race », dont on a cherché à préciser les contours de toutes sortes de manière, en privilégiant d’abord l’anthropologie physique.
L’ambiance scientiste, matérialiste, déterministe de l’idéologie scientifique de l’époque conduisait tout naturellement à rechercher aussi dans le substrat biologique (la race) l’explication des non moins extraordinaires diversités culturelles et de civilisation. Cette ambiance « raciste » dominait donc à l’époque où commençait à se manifester un mouvement d’hostilité d’une nature nouvelle à l’égard des Juifs. Le mot « antisémitisme » a été créé pour désigner ce mouvement-là à cette époque-là. Les causes de la montée d’une hostilité à l’égard des Juifs à ce moment-là sont de natures très diverses, et j’incline à croire que la prétendue race des Juifs n’était pas la cause opérante du conflit, mais l’explication « raciste » de cette hostilité caractérise et différencie nettement le mouvement « antisémite » qui culmine avec l’hitlérisme, des autres formes de critique du judaïsme et d’hostilité à l’égard des Juifs.
La différence essentielle tient tout simplement au fait que personne n’est responsable de sa « race », et personne ne peut en changer. Cette interprétation raciste des sources de la conflictualité débouche soit sur une politique de statut différencié, soit sur une politique d’apartheid, soit sur une politique d’expulsion, soit sur une politique d’extermination, selon l’intensité et la radicalité de l’antagonisme. Ce qui n’est nullement le cas de l’antijudaïsme chrétien, à l’intérieur duquel il faut distinguer l’antijudaïsme catholique, qui, tout au contraire, a toujours entretenu des relations extrêmement complexes avec le judaïsme, et a protégé les juifs, y compris pendant la Deuxième Guerre mondiale des persécutions que les juifs suscitaient et subissaient pour toutes sortes de causes et de raisons.
Pour des raisons évidentes, la propagande sioniste tire un avantage majeur d’un amalgame de toutes les formes d’antijudaïsme avec l’antisémitisme raciste. D’abord cela lui permet de développer une vision de l’histoire juive, complètement paranoïaque, où les Juifs sont les perpétuelles victimes innocentes d’un ostracisme universel qui débouche inéluctablement sur leur persécution et sur leur extermination. La constitution d’un État juif, nécessairement surpuissant pour ne pas dire tout puissant, devient la seule solution pour sauver les Juifs du génocide qui les menace. Puis dans un deuxième temps, il faudra organiser à l’échelle mondiale la chasse et l’extermination des criminels contre l’humanité, qui ne comprennent pas que l’alpha et l’oméga de la politique mondiale doit consister avant tout à protéger les Juifs… de leur propre fantasme !
C’est bien là le mensonge idéologique parfait : le mensonge qui créé par lui-même les conditions de sa propre vérification ! (Comme souvent les délires paranoïaques !)
Cela permet surtout à la propagande sioniste de stigmatiser tous ses adversaires comme de prétendus « racistes », de mobiliser sous sa direction toutes les victimes ou prétendues victimes du « racisme » ; et cela permet surtout de culpabiliser, de déboussoler et de déstabiliser ceux qui sont victimes de cette accusation. À partir des années trente, avec la fondation par Bernard Lecache de la LICA (qui deviendra la LICRA), l’antiracisme deviendra le fond de commerce de tous les activismes juifs, et du plus important d’entre eux : le sionisme. On retrouve pareillement des activistes juifs derrière la création du MRAP, de SOS racisme et derrière la mise en spectacle systématique du « racisme des Français » dans tous les médias. Il existait même à la fin des années soixante-dix, une section du Betar spécialement destinée à faire monter cette mayonnaise-là. Dans toute cette agitation « antiraciste », les Arabes et les Antillais n’ont jamais eu qu’un rôle de figurants, ou pour certains d’idiots utiles, et de goyim du Shabbat, tant cet « antiracisme » n’a rien à voir avec une lutte réelle contre des préjugés raciaux ou une discrimination réelle, mais ne sert essentiellement qu’à pourchasser des adversaires, accusés de « racisme », c’est-à-dire non pas de pratiques ou de comportements discriminatoires, mais de crime de la pensée par non-conformisme idéologique.
Il n’est d’ailleurs pas nécessaire de développer ce point puisque c’est dans cette ambiance idéologique qu’a été élevée toute la nouvelle génération, depuis une trentaine d’années : les Juifs ont été victimes du « racisme » et sont à la pointe de la lutte contre le « racisme ».
Mais à y regarder de plus près, le sionisme politique, né à la fin du XIXe siècle, comme ses ancêtres religieux messianiques, réclamait également une politique de séparation et d’apartheid. Le judaïsme, tel qu’il se dévoile dans la Torah, est fondamentalement et radicalement raciste, et fait de l’extermination des ennemis d’Israël un devoir sacré ! La fête religieuse la plus populaire parmi les Juifs, la fête de Pourim, célèbre et commémore le massacre (mythique) systématique des ennemis d’Israël, accusés (déjà) d’avoir voulu exterminer les Juifs. Comparé au racisme incandescent qui s’exprime dans la Torah, au bellicisme, au terrorisme systématique qui y sont revendiqués, et dont le seul critère moral est le triomphe et la gloire d’Israël, le Mein Kampf de Hitler apparaît bien modéré… C’est évidemment la chose qu’il ne faut pas dire… mais qu’il est aisé de vérifier par une lecture attentive de La Bible et de Mein Kampf.
D’ailleurs, à l’origine du sionisme, dans le yiddishland germanico-russo-polono-ukrainien d’Europe centrale, le mouvement sioniste naissant se définit lui-même comme un mouvement « « völkisch » . Ce mot en allemand signifie « du peuple » ou « populaire » (Volk = le peuple), mais avec la connotation culturelle allemande de ce mot, différente de la connotation française. Le mot peuple est pris dans son acceptation ethnique et naturaliste. Dans Mein Kampf, Hitler définit également son mouvement comme un mouvement « völkisch ». Mais la traduction française, (financée avant-guerre par la LICRA aux Éditions Sorlot, devenues Nouvelles Éditions Latines, donc l’édition actuellement disponible) traduit völkisch par « raciste ». Mais quand il s’agit de traduire les textes des précurseurs sionistes, le mot völkisch est simplement traduit par « populaire » ou « du peuple ». On évite soigneusement d’utiliser le mot « raciste ».
Le judaïsme en général et le sionisme tout spécialement sont parvenus à dissimuler au public les conceptions profondément racistes qui les animent en profondeur, dans un effort de dénégation remarquable, et en prenant la tête de l’idéologie antiraciste. « Ce n’est pas moi qui suis raciste proclame le judaïsme, c’est Hitler qui me contraint de l’être ! » L’antiracisme judaïque débouche dès lors sur une impasse, et cette rhétorique a permis de justifier toutes sortes de pratiques profondément racistes et agressives dont la situation en Palestine actuellement est la résultante et le révélateur.
Force est de constater que, depuis 1945, cette rhétorique a parfaitement fonctionné, et le judaïsme s’est acquis une véritable juridiction morale, et même une juridiction légale, dont le procès Papon est la dernière manifestation. Le génocide-Holocauste-Shoah est le seul événement de toute l’histoire de l‘humanité qui soit dogmatiquement affirmé par la loi. Et les ligues commémoratives ont le pouvoir sans précédent d’accuser rétroactivement. Jadis on apprenait l’histoire sainte au catéchisme et l’histoire à l’école. Désormais c’est à l’école laïque que l’on apprend l’histoire sainte des Hébreux, et l’extermination des Juifs à Auschwitz a remplacé comme événement fondateur de l’ère nouvelle (postmoderne disent-ils) la mort du Christ sur la croix.
La droite en général a été d’abord la principale victime de cette instrumentalisation de l’accusation d’antisémitisme à tort et à travers. On comprend donc la réaction pour un homme de droite qui consiste à dire « C’est pas nous, c’est la gauche », ce qui, historiquement, n’est pas faux, mais cette réaction, compréhensible, a l’inconvénient de constituer l’antisémitisme en référent, à l’aune duquel chacun doit être jugé, et sans s’interroger sur la signification de ce mot. « L’antisémitisme », ce serait le mal qui relève d’une pulsion irrationnelle, injustifiée, injustifiable, voire pathologique. Or, ce mot en lui-même est un mot valise, et le contenu de la valise est piégé. Pour la raison que j’ai déjà indiquée, ce mot réalise l’amalgame de toutes les oppositions, obstacles, critiques, persécutions, injustices ou atrocités auxquelles les Juifs ont eu à faire face.
Mais le judaïsme, la religion juive, proclame que Dieu, dans une sorte de contrat synallagmatique, a promis au peuple d’Israël, en échange de sa soumission et de l’accomplissement des mitsvot, qu’il finirait, au terme de l’histoire, par exercer sa domination mondiale. L’histoire, qui voit la chute, et la destruction successive de toutes les nations et de tous les empires, dans sa dialectique, assure et réalise le triomphe final d’Israël, les temps messianiques.
Le projet messianique dont le peuple juif est porteur, disent les rabbins, est un projet explicitement politique, mondial et historique. La nation juive est la nation prêtre, la nation pédagogue, destinée à accomplir l’humanité par sa propre domination religieuse, et donc la domination d’une religion qui ne fait pas la différence entre le religieux et le politique !
Il existe certes d’autres interprétations judaïques de la Bible et de la mission historique théocratique du peuple juif, mais ce raccourci extrême et brutal correspond effectivement à l’interprétation sioniste majoritaire actuellement. Il en résulte qu’il suffit d’avoir un projet religieux ou politique ou social différent du projet judaïque pour être, un jour ou l’autre, taxé d’« antisémitisme ». Et ceux qui ne sont pas encore passés à la casserole ne perdent rien pour attendre. Jéhovah est un dieu jaloux qui ne tolère rien d’autre que lui-même et qui a passé un contrat avec Israël, grâce auquel Il existe (Il est adoré) et grâce auquel Il doit dominer la terre entière. Jéhovah a donc besoin d’Israël comme Israël a besoin de Jéhovah.
Comme cette alliance est inscrite dans la chair et dans le sang du peuple juif de façon irrémédiable (Brith’ Milah = circoncision, et B’nai Brith = fils de l’alliance) quiconque n’est pas Juif ou n’accepte pas la juridiction d’Israël est suspect. C’est du moins ce qu’on enseigne en latin à la Sorbo, oh, oh, oh…ne !
Le Christ a évidemment tout foutu par terre en déclarant « Notre royaume n’est pas de ce monde », et saint Paul a achevé d’anéantir le fondement raciste mono-ethnique du projet théocratique rabbinique en décrétant qu’il n’était pas nécessaire d’être circoncis pour entrer au royaume de Dieu, qui était ouvert également aux gentils.
Les quelques considérations qui précèdent suffisent à montrer que l’accusation d’antisémitisme n’a aucun sens, car en pratique un antisémite est simplement quelqu’un que les Juifs n’aiment pas, pour une raison ou pour une autre, et contre lequel ils s’apprêtent à mobiliser la grosse cavalerie de l’ « antiracisme » chevauchée par la Shoah. Il existe donc autant de formes d’antisémitisme qu’il existe de manière d’être au monde qui n’entrent pas immédiatement dans le projet faisant l’objet de l’Alliance.
L’accusation d’antisémitisme fonctionne comme un mécanisme de dénégation de la parole de l’autre : « Vous dites cela parce que vous êtes antisémite ! » Cela ne sera donc ni entendu, ni considéré, ni discuté.
… Et la Vieille Taupe dans tout ça ? Elle n’est absolument pas antisémite. Elle se revendique d’un antijudaïsme radical qu’elle a toujours proclamé urbi et orbi en se revendiquant du texte fondateur de Karl Marx, La Question juive, qui se termine par la phrase : « L’émancipation sociale du Juif, c’est l’émancipation de la société du judaïsme. » La Vieille Taupe milite en faveur de l’émancipation sociale du Juif. Nous avons publié dans cet ordre d’idée – outre le texte de Marx – L’Antisémitisme, son histoire et ses causes, de Bernard Lazare, Histoire Juive – Religion Juive, le poids de trois millénaires, d’Israël Shahak, et Judaïsme et Altérité, d’Alberto d’Anzul.
Au moins trois des quatre auteurs responsables des textes programmatiques de La Vieille Taupe dans ce domaine sont juifs : Karl Marx, Bernard Lazare, Israël Shahak. C’est dire combien nous n’avons rien de commun avec la tradition antisémite. Nous n’en sommes que plus libres pour constater que beaucoup d’auteurs « antisémites » ont été exagérément calomniés, et que des excuses sont dues à certains, dont nous ne partageons pas le point de vue, mais qui ont été traités comme de véritables monstres antisémites lorsqu’ils ne faisaient qu’énoncer des vérités incontestables, sur le contenu du Talmud par exemple.
La Vieille Taupe dénonce la métaphysique de la terre (d’Israël), et du sang (les fils de l’Alliance) en quoi se résume le judaïsme, dont le socialisme-national est idéologiquement une pâle imitation (une démarcation antagonique). Mais elle reconnaît la totale légitimité de l’attachement naturel à la terre et à la parenté, et lutte contre le déracinement de tout ce qui n’est pas lui-même auquel aboutit la logique totalitaire du projet judaïque.
La Vieille Taupe fait de la restauration de la liberté d’expression en Europe l’objectif majeur et immédiat de tous ses efforts. Elle fait du respect de la libre expression de l’autre, et donc de la libre expression de ses propres ennemis, le seul critère qui entraîne l’exclusion de son sein. La Vieille Taupe est donc en opposition avec la tradition antisémite, et combat l’antisémitisme, mais avec des arguments honnêtes, c’est-à-dire véridiques ; des arguments qu’elle est toujours prête à corriger si on lui montre qu’ils sont faux. Contrairement au judaïsme religieux et à la tradition antisémite, La Vieille Taupe considère que les Juifs sont comme tout le monde, mais que le judaïsme n’est pas une religion comme les autres.
Elle déplore seulement que la plupart ne le sachent pas encore !
Pierre Guillaume (1998)
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I have limited experience with interviews, but not all technical tests are about algorithms, other are simply about writing code.
If you want to pass interviews that will ask for algo skills, my advice is to look up classic algorithms. At some point it will click on its own, and you'll "get it".
if you want to prepare for interviews, and depending on the time you're willing to invest, here's what I recommend:
level 1 : learn FIFO and LIFO structures
level 2 : learn sorting algorithms
level 3 : learn trees and associated algorithms (depth and breadth first traversal, pre order post order, in order)
level 4 : learn graphs and path finding algortihms
Bonus: Programming patterns, and in particular the observer pattern is a nice one to have.
if you're being tested on an Object Oriented Language, you should really master polymorphisme.
In all cases not all jobs will ask for all of this. Learning just a bit can get you a long way already.
Anyway, good luck to you anonymous !
are algorithms required for being a professional developer? do you know up to what extent? I know they ask about algorithms in interviews, and you have to have a strong understanding of the fundamentals, but do you have to solve algorithm questions directly?
Yes. Yes. Yes. Yes. Yes. Yes.
Algorithms are probably the most important thing you need to get professional jobs. The second being data structures.
Unfortunately, my algorthims skills are genuinely terrible so I cant really give you much information to help out in regards to learning.
And as far as I know (I've never gotten a job interview for a developer) they really grill your ass for job interviews.
That's about all I can say, sorry I cant help more.
In game dev you only need to know a couple of basic data structures so I'm a noob.
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Avalanche WIP rencontre avec la famille
Attendez-vous à ce que Maduin intervienne dans Avalanche. Je ne parle pas d'intervention dans le passé ou en périphérie de l'histoire, cette fois. Maduin vient de s'imposer dans l'histoire avec son sans-gêne et son polymorphisme habituel. Certains étaient préparés. Pas les autres. L'Ancien va être tour à tour mère poule, père attentif, lionne surprotectrice, ancêtre avisé et parent embarrassant. Les jumeaux sont ravis. Cid est perplexe. Vincent est mortifié.
“Makoto, c’est qui?” demanda Yuffie en tirant sur la manche de Vincent. “Maduin. L’Ancien de la Famille,” répondit Vincent. Il se redressa en sentant soudain le regard de Maduin sur lui. Disparut les yeux changeant, cette fois, le regard de l’Ancien était devenu deux orbes dorées sans iris, ni pupille. Il fit un pas en arrière, par réflexe, quand la créature repoussa très délicatement les jumeaux de geste mesurés, ses griffes s'allongeant sur ses mains et ses pieds, les mèches s’échappant de ses voiles se teintant de mauve. Maduin dépassait maintenant les jumeaux, ses longues cornes ajoutant encore à sa taille démesurée. Maduin était suffisamment en colère pour en reprendre sa véritable apparence. La seule fois où Vincent l’avait vu ainsi, c’était quand Chaos avait tenté de le ramener après sa fugue de Daguerreo et avait attaqué la Caravane pour le récupérer. La correction que lui avait mit Maduin avait fait trembler le ciel et la terre et tous les feux de camp de la Caravane. Chaos était reparti sans demander son reste et Maduin avait reçu une lettre de leur père par la suite, présentant ses excuses pour l’attitude de son aîné et lui demandant de mettre un peu de plomb dans la cervelle du benjamin. “Makoto Hamasaki de Daguerreo,” gronda une voix plus froide que toutes les tempêtes de Nibelheim. Cid attrapa par réflexe Yuffie par le coude et commença à s’éloigner, faisant signe à Vincent de le suivre, mais le sniper ne s'exécuta pas, rangeant son arme et restant dos au mur. “Bonjour, Maduin....” commença Vincent. “Bonjour?” rétorqua la créature en fendant le groupe pour approcher de Vincent d’un pas déterminé, “BONJOUR?! Trente ans à passer pour mort et non seulement tu ne me préviens pas mais tout ce que tu trouves à dire c’est: Bonjour?!”
Oui, il va se faire enguirlander. Même Barret pensera que c'était mérité.
#avalanche#wip#vincent valentine#Maduin#et ça ne sera rien par rapport à ce que Vincent prendra face à son père#le biologique je veux dire
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Polymorphisme membranaire sur un feuillet
Les membranes biologiques ne sont pas homogènes, leurs constituants varient selon où on se trouve sur celles-ci : on parle de polymorphisme membranaire. Pour rappel la membrane est faite de deux feuillets superposés de lipides et incrustée de protéines : il existe un polymorphisme au sein de ces feuillets, mais aussi entre les deux.
Au sein d'un feuillet on peut avoir par exemple des radeaux lipidiques. Ce sont des micro-domaines individualisés sur la membrane, c'est-à-dire qu'on y retrouve certains types de composants en plus grand nombre qu'à la normale. Ces radeaux sont généralement dix fois plus larges que l'épaisseur de la membrane soit entre 50 et 100 nanomètres.
Les radeaux fluides (en clair), c'est-à-dire où les protéines et lipides membranaires peuvent se déplacer facilement, sont essentiellement composés de phosphatidyl-choline (PC). Inversement les radeaux rigides (en foncé) sont plus souvent constitués de sphingomyéline (SM) et/ou de cholestérol (chol). Ces radeaux, fluides ou rigides, attirent certaines protéines et il y a donc un couplage qui se fait entre le type de protéines qu'on rencontre sur une membrane et le type de lipides qui s'y trouvent autours. Il peut y avoir des ancres de glyco-phosphatidyl-inositol (GPI) c'est-à-dire une glycosylation de certains phospholipides composant la membrane. Ces ancres servent notamment à y accrocher des protéines par glycosylation : ces glycoprotéines sont dites alors extrinsèques à la membrane car y sont reliées sans avoir une partie intra-membranaire.
Ces schémas ont été faits pour mes ED du Tutorat à partir des cours que j'ai retranscrit quand j'étais en première année de médecine. Ma seule source est le professeur de l'époque, et je peux avoir mal compris certaines choses, faire des approximations fausses, etc même si je fais de mon mieux. Croiser les sources permet d'avoir des informations plus fiables. N'hésitez pas à commenter pour discuter des sujets abordés ! Schémas et explications faits entre 2015 et 2016.
#biologie cellulaire#membrane plasmique#polymorphisme membranaire sur un feuillet#medecine#paces#ue 2#biologie#science#corps humain#studyblr#medblr#scientific illustration
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Alors que vous êtes pris d’une migraine assourdissante, un ami vous tend des antidouleurs, vous assurant qu’ils « font des miracles » sur lui.
Or, sur vous, rien ne se passe. Les médicaments agissent différemment selon les personnes, un mystère que nous comprenons de mieux en mieux. Pour un grand nombre d’entre nous, les gènes en sont les responsables.
«La médecine personnalisée, également appelée médecine de précision, représente depuis longtemps le saint graal des soins médicaux», explique Kemal Malik, membre du conseil de direction chargé de l’innovation chez Bayer. «Or, il était jusqu’ici impossible d’atteindre le degré de précision que nous souhaitions. Mais notre capacité à séquencer le génome humain a tout changé.» En avril 2003, le projet international Human Genome Project annonce le séquençage réussi de près de 20 000 gènes parmi ceux qui tracent le plan de notre corps. Depuis aujourd’hui 15 ans, cette avancée scientifique façonne et révolutionne les soins médicaux. La génomique, ou l’étude du génome, permet de prédire, de diagnostiquer et de soigner des maladies avec une précision sans précédent et de façon personnalisée.
Un génome humain complet est composé de trois milliards de paires de bases d’ADN, dont la disposition unique définit l’anatomie ainsi que les particularités d’un individu, telles que sa taille et la couleur de ses cheveux. Les séquences d’ADN forment les gènes, dont le fonctionnement nous apporte de nombreuses informations quant à notre organisme et aux conséquences de la maladie. Voici le raisonnement qui sous-tend les 13 années et les 2,7 milliards de dollars consacrés au Human Genome Project. Quelques heures et moins d’un millier d’euros nous suffisent aujourd’hui pour cartographier un génome humain. La génomique a fait son entrée dans la médecine traditionnelle grâce au séquençage rapide, à grande échelle et à bas coût de l’ADN, révolutionnant ainsi la médecine de précision.
Alors que le diagnostic précoce d’une affection augmente significativement les chances de succès du traitement, la génomique est en mesure de déceler une maladie bien avant la manifestation des premiers symptômes. De nombreuses maladies, y compris le cancer, sont dues à des mutations génétiques. À l’aide de tests génétiques toujours plus nombreux – dont une grande partie est disponible en ligne –, la génomique permet d’identifier ces modifications et de les rechercher. Si les résultats témoignent d’une sensibilité à une maladie, nous pouvons alors prendre des mesures préventives en vue de retarder voire d’arrêter le développement de l’affection. «Les soins médicaux viseront davantage à prévenir qu’à guérir», affirme M. Malik. Et la génomique permettra alors de déterminer les mesures médicales spécifiques que doit prendre un individu.
Lorsque les symptômes se manifestent, l’étude du génome peut jouer un rôle clef dans le diagnostic de la maladie. Grâce au Human Genome Project, près de 2000 gènes pathologiques ont été découverts et ont fourni une analyse rapide et précise d’une redoutable efficacité. Ils se sont montrés particulièrement utiles dans l’identification de maladies génétiques rares dont le diagnostic demandait jusqu’alors des années, mettant ainsi un terme à l’incertitude et à la souffrance infligée par les «odyssées diagnostiques». Les recherches se poursuivent afin de constituer des bases de données relatives aux biomarqueurs génétiques, en particulier pour les différents types de cancer. «Jusqu’ici, la génomique a surtout porté ses fruits en matière de cancer», avance Kemal Malik. «Nous pouvons prélever des tissus, les séquencer et identifier les mutations.» Aux États-Unis, le projet Cancer Genome Atlas a permis de cartographier les principales altérations génomiques en cause dans plus de 30 types de cancer. Grâce à ces bases de données, il serait possible d’apporter un diagnostic définitif en seulement quelques secondes et même de diriger vers des traitements ciblés en lien avec l’ADN du patient comme de la maladie. En effet, le séquençage génétique des tumeurs cancéreuses est non seulement en mesure d’identifier certains types de cancer mais également d’en définir les causes et ce qui pourrait les anéantir.
S’agissant de traitement, la génomique transforme un autre aspect essentiel de la médecine de précision : la pharmacogénomique. « Nous savons depuis longtemps que la même dose d’un même médicament agit différemment selon les personnes », poursuit M. Malik. Nous connaissons désormais les raisons. Nos gènes influent sur la production d’enzymes du foie essentielles à la métabolisation des médicaments. Lorsqu’une mutation génétique entrave le bon fonctionnement des enzymes, le médicament risque de s’accumuler dans l’organisme et de causer de graves effets secondaires. Certains médicaments ne font effet que s’ils sont décomposés par le foie, de sorte qu’ils ne fonctionnent tout simplement pas en cas de dysfonctionnement des enzymes. Bien que ces variations génétiques, appelées polymorphismes, soient fréquentes, il est possible de les détecter et d’y remédier grâce à la génomique. En raison des variations génétiques, environ 30 % de la population ne peut assimiler totalement un anticoagulant courant. Cependant, les tests génétiques permettent d’identifier d’autres médicaments aux mêmes effets.
Plus de 250 médicaments sont aujourd’hui accompagnés d’informations pharmacogénomiques, permettant ainsi de les prescrire suivant le patrimoine génétique du patient. Alors que leur nombre augmente et que le séquençage génomique se fait plus fréquent, il est fort probable que des médicaments soient à l’avenir prescrits en fonction de nos gènes, réduisant alors les effets secondaires dangereux et assurant aux traitements rapidité et efficacité. «La génomique va jusqu’à transformer la manière dont nous développons les médicaments», déclare Kemal Malik. «Le processus est désormais beaucoup plus sophistiqué. Nous sommes capables de détecter une mutation spécifique à l’origine d’une maladie et de mettre au point un médicament qui s’attaque à cette mutation en particulier.» En 2014, 8 des 41 nouveaux traitements autorisés par la Food and Drug Administration (FDA) étaient des thérapies ciblées. «En matière de soins médicaux, l’approche adoptée a toujours été plutôt générale. Nous pouvons désormais nous attaquer à une maladie au cas par cas.»
Et cela est particulièrement palpable dans le domaine émergent de la modification génétique, une technique permettant aux scientifiques d’éditer l’ADN d’organismes vivants. «Il est rare que la médecine guérisse les gens pour de bon. Or, si le cœur du problème réside dans une mutation génétique particulière que nous pouvons éliminer, nous passons alors d’une approche qui soigne à une approche qui guérit», explique M. Malik. Derrière l’édition du génome se cache la technologie CRISPR-Cas9. À partir d’un mécanisme de défense présent dans une bactérie, l’enzyme Cas9, que ce membre de Bayer compare à des «ciseaux moléculaires», cible un segment précis d’ADN dysfonctionnel, l’élimine et le substitue par un segment d’ADN sain élaboré en laboratoire. D’ores et déjà employé lors d’essais cliniques, l’édition du génome est en passe de devenir un traitement rapide, efficace et de moins en moins coûteux. «C’est le nec plus ultra de la médecine de précision», affirme-t-il. «Son potentiel est immense.»
Au cours des 15 ans qui ont suivi le séquençage du premier génome humain, le monde médical n’a pas tardé à mettre ses connaissances en pratique. La génomique nous fournit un mode d’emploi de l’être humain nous indiquant comment nous réparer. «À l’avenir, chaque patient atteint d’un cancer pourra voir son génome être séquencé et nous développerons des médicaments à même de cibler la mutation génétique qu’il présente», espère M. Malik. Avec un séquençage génétique pour moins de 100 dollars (environ 88 euros), jusqu’à 2 milliards de génomes pourraient avoir été séquencés d’ici à 2025. «Les choses bougent à vitesse grand V», affirme Kemal Malik. La génomique centre les soins médicaux sur le patient plutôt que sur la maladie, transformant les traitements en remèdes. «Elle bouscule non seulement l’idée que nous nous faisons des soins médicaux, mais surtout de la maladie», conclut-il.
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Conversation
Interwebs #7
Moi : Parle-moi de ton âme.
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Garçon 1 : Elle est jaune. Ensoleillée. Tout ira bien.
Moi : Dis-m'en plus.
Garçon 1 : Je t'aimais vraiment beaucoup même si je n'étais pas toujours là.
Moi : Ça ne t'a jamais été reproché.
Garçon 1 : Je pense très souvent à toi et je fais souvent des détours pour me sentir proche de toi.
Moi : Physiquement ou spirituellement?
Garçon 1 : Physiquement, mais je ne t'ai jamais revue. L'important, c'est que ça me fait toujours un bien énorme.
Moi : Tu peux toujours me retrouver à travers le regard, un éclat de rire, les mouvements des autres.
Garçon 1 : Il n'y en a pas d'autres : elles te ressemblent mais ne pourront jamais te remplacer.
Moi : Fais une mosaïque.
Garçon 1 : Une mosaïque ?
Moi : De petits morceaux récoltés ça et là, assembler pour créer un tout grandiose.
Garçon 1 : Je ne suis plus l'artiste que j'étais : les émotions négatives et la douleur m'inspiraient, mais je ne les ressens plus.
Moi : Quelle est la source de ce blocage?
Garçon 1 : Ce n'est pas un blocage, j'accorde seulement de l'importance à ce qui ne bouscule pas ma sérénité.
Moi : Et pourtant, la douleur peut être si belle lorsqu'elle se fait muse.
Garçon 1 : Quand la douleur est omniprésente, ça devient difficile de réaliser son vrai potentiel. J'aime ce que je deviens et je suis reconnaissant d'avoir survécu et d'avoir compris.
Moi : Prends ton envol.
Garçon 1 : Merci. Je te promets que j'aurai l'occasion de faire cette mosaïque, et elle sera grandiose. Sinon, toi? Es-tu heureuse?
Moi : Je le suis.
Garçon 1 : : Tu ne dis pas ça pour me faire plaisir ?
Moi : Non, je le dis par sincérité.
Garçon 1 : Tu me fais vraiment plaisir. C'est ce que j'espérais de tout coeur.
Moi : Nos coeurs résonnent en écho.
Garçon 1 : T'as toujours été parfaite pour moi.
Moi : Mais n'oublie jamais que nous ne sommes pas les moitiés d'un tout. Tu es entier et complet en toi-même.
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Garçon 2 : Elle est mauve.
Moi : Dis-m'en plus.
Garçon 2 : Elle est volatile.
Moi : Et cela te plaît ou te cause problème ?
Garçon 2 : Me décontenance.
Moi : C'est récent?
Garçon 2 : Toujours.
Moi : C'est une très belle chose d'avoir une âme mouvante et organique. Ça veut dire que tu ne stagnes pas.
Garçon 2 : Ah bon? Pourtant, parfois, j'ai l'impression de perdre de ma substance.
Moi : Par ta mobilité psychique?
Garçon 2 : Oui, sans aucun doute.
Moi : Il y a certainement moyen d'harmoniser ta fluidité et les éléments qui te définissent.
Garçon 2 : Et comment puis-je faire cela?
Moi : Étudie-toi. Prends le temps de remarquer quels sont ces éléments qui te définissent. Ensuite, tu devras te pratiquer à les reconnaître à travers ta mouvance et à explorer leur polymorphisme qui faisait en sorte que tu ne te sentais pas en mesure de les apercevoir.
Garçon 2 : Y a-t-il des techniques particulières pour y arriver?
Moi : Une étape à la fois. Ne cherche pas, attends que ça se présente à toi comme une évidence. Prends des notes, fais des listes. Et pour chaque aspect, amuse-toi à le métamorphoser consciemment afin d'anticiper, dans une certaine mesure, les métamorphoses inconscientes. Rationalise l'irrationnel.
Garçon 2 : Ça semble complexe.
Moi : Ce l'est.
Garçon 2 : Je suis perdu.
Moi : C'est un voyage difficile que tu t'apprêtes à entamer. Mais s'il t'aide à te sentir en paix, il en vaudra la peine.
Garçon 2 : Je n'en sais rien.
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Garçon 3 : Elle est très pure.
Moi : Quels sont les critères de la pureté?
Garçon 3 : La gentillesse, la sagesse, la patience, etc.
Moi : Jouis de cette pureté, tu es très choyé.
Garçon 3 : Décris-moi ton âme.
Moi : Elle est complexe et simple à la fois.
Garçon 3 : Explique-moi.
Moi : Elle est simple car très compréhensible et facilement lisible, mais complexe car constituée de plusieurs couches juxtaposées et entremêlées.
Garçon 3 : Oui, je comprends, je vois. Ça me fait penser à moi un peu.
Moi : Pourquoi?
Garçon 3 : Je suis parfois trop gentil il faut que je fasse attention à qui j'offre cette gentillesse.
Moi : Alors ta pureté est autant une force qu'une vulnérabilité.
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Messor Barbarus

[Reine Messor Barbarus avec des ouvrières et son couvain] Photo par MicroBestiaire!
La fourmi moissonneuse
Une fourmi passionnante!
Les Messor Barbarus sont des fourmis granivores de taille moyenne présentes tout autour de la Méditerranée. Leur développement rapide fait qu’elles forment vite de grande colonie! C’est une fourmi fascinante qui aide à la fertilité du sol en dispersant des graines! Les colonies peuvent atteindre plus de 10 000 ouvrières! En nature elles peuvent atteindre 80 000 ouvrières!
Morphologie
Particularités
Fourmi de taille moyenne
Polymorphisme*1 élevé!
Ne possède pas de jabot social*2 (ne pratique donc pas la trophallaxie*3)
Couleurs
Ses fourmis sont principalement noires avec une tête noire à rouge. Au début de leur vie, les ouvrières sont jaune pâle et prennent leurs couleurs avec le temps!

[Ouvrière Messor Barbarus nouvellement née au côté d’ouvrière plus âgée et de la reine] Photo par MicroBestiaire!
Tailles
Reines: 14 à 16 mm
Ouvrières: 2 à 12 mm (Elles disposent de 3 castes4: minor, média et major)
Mâles: 8 à 9 mm
En nature
Biotope
C’est une espèce méditerranéenne plutôt commune qui apprécie les zones ouvertes comme les prairies. Elles aiment faire leurs nids dans les lieux dégagés. On peut facilement les reconnaitre au déchet de graines qu’elles jettent à l’entrée!
Démographie
Les colonies peuvent atteindre 80 000 ouvrières!
Comportement
Les Messor Barbarus sont dominantes. Bien que pas faite pour la chasse, elles sont plutôt agressives!
En été, elles ont tendance à fourrager le soir lorsque les températures sont plus fraiches.
C’est une espèce monogyne mais la polygynie est parfois observée en élevage.
Alimentation
Granivores
Insectes (de manière opportuniste)
Essaimage
L’essaimage se fait de septembre à octobre. Ils sont massifs. Certaines colonies ne produisent que des mâles ou des femelles.
Fondation
Indépendante et claustrale, la reine tiendra sur ses réserves jusqu’à avoir ses premières ouvrières qui récolteront les graines. La reine a tendance à commencer à pondre après son premier hiver.
En élevage
Comportement
C’est une espèce sujette au stress mais pourtant facile d’élevage. /!\ Les vibrations font facilement paniquer la colonie.
Ce sont des fourmis agréables à vivre, toujours actives et un peu maladroites ce qui est plutôt drôle à voir! Parfois un peu cracra.. Elles sécrètent un antifongique (observable sous forme de trainer blanchâtre) qui peut faire plutôt sale dans une fourmilière. Elles adorent aussi étaler leurs urines d’après mes observations. De vraies artistes!
Alimentation
De par leur régime granivore*5, ses fourmis fabriquent du pain de fourmis à partir de l’amidon contenu dans les graines! Il faut cependant éviter de donné de grosses graines tant que la colonie n’a pas de major. Préféré de petites graines comme celle du lin, quinoa, laitue ou pissenlit.
Ce sont de mauvaises chasseuses! Cependant elles ne refusent pas des insectes (mort) de temps à autre.
Même si elles ne pratiquent pas la trophallaxie, les ouvrières apprécieront tout de même un peu de liquide sucré de temps en temps. De quoi leur apportait un enrichissement nutritif.
/!\ Un abreuvoir d’eau doit toujours être mis à disposition dans l’aire de chasse! Sans ça elles ne peuvent fabriquer du pain de fourmis.

[Messor Barbarus dans leur réserve de graines] Photo par MicroBestiaire!

[Ouvrières Messor Barbarus fabriquant du pain de fourmis] Photo par MicroBestiaire!
Conditions de maintien
Température:
20°C à 30°C
Optimal: 25°C à 30°C
Hygrométrie:
50% (voir un peu plus)
Une partie sèche pour le stockage des graines.
Diapause*6:
3 mois entre 10°C et 15°C
Nid
Un nid d’au moins 1 cm de profondeur est nécessaire. Les ouvrières doivent pouvoir grimper les parois afin d’avoir la tête en bas pour la fabrication du pain.
C’est une espèce foreuse. Il ne faut donc pas un nid avec des matériaux friables (comme le plâtre).

[Reine Messor Barbarus avec des ouvrières et son couvain] Photo par MicroBestiaire!
Je vous invite grandement à regarder cette vidéo de AntsFourmis et du Tillythropode d'un déménagement d'une colonie de 20 000 ouvrières!
youtube
Caractérise la capacité à se présenter sous différentes formes.
Un deuxième estomac utilisé comme réservoir pour la récolte, le transport et le stockage de matériaux liquides jusqu’à la colonie ainsi que leur partage.
Mode de transfert de nourriture d’un individu à un autre utilisé par certains insectes.
Groupe social hiérarchisé.
Qui mange des graines.
Phase génétiquement déterminée dans le développement d’un organisme au cours de laquelle celui-ci diminue l’intensité de ses activités métaboliques.
Pour plus d’informations, vous pouvez consulter les sources suivantes :
INPN: https://inpn.mnhn.fr/espece/cd_nom/219406
AntsFourmis: https://antsfourmis.fr/messor-barbarus/
Antariums: https://antariums.org/fiches-d-elevage/europe/messor-barbarus/
Wikipédia: https://fr.wikipedia.org/wiki/
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Du sport qui bloque les cancers du sein

Photo/Andrew Tanglao
Des chercheurs ont prouvé que l’activité physique réduit le risque de développer un cancer du sein, en étudiant des marqueurs associés à cette activité dans les génomes de plus de 130 000 femmes d’origine européenne. Leurs résultats ont été publiés dans la revue British Journal of Sports Medicine en septembre 2022.
Une corrélation entre activité physique et risque de développer un cancer du sein était déjà connue, mais les études précédentes ne montraient pas si ce lien est causal ou dû à des biais. C’est ce qu’a voulu déterminer l’équipe internationale de plus de 150 chercheurs menée par Brigid Lynch, professeure associée à l’Université de Melbourne, en Australie. Ils ont étudié les génomes de plus de 75 000 femmes atteintes de différents cancers du sein, et de plus de 54 000 femmes « contrôles » n’ayant pas développé la maladie. Ils ont cherché dans ces génomes des variations précises de la séquence génétique, appelées polymorphismes de nucléotides uniques (SNPs, single nucleotide polymorphisms, voir encadré). Certaines de ces variations sont fortement associées à une activité physique régulière, alors que d’autres sont associées à un comportement sédentaire.
Ainsi, plutôt que de mesurer directement l’activité physique de milliers de femmes, ces variations sont utilisées comme substitut : leur présence dans le génome d’une personne indique si celle-ci est physiquement active ou non. L’équipe en a déduit que l’activité physique, qu’elle soit modérée ou rigoureuse, est bien associée à un risque plus faible de développer un cancer du sein invasif, c’est-à-dire formant des métastases. Ces résultats sont vrais à tous âges et pour la plupart des cancers du sein. Ils confirment des données précédentes indiquant que cette baisse de risque serait de 20% à 25%. De plus, l’effet dépend de la dose : plus l’activité physique est rigoureuse, plus la baisse est marquée.
Un lien de cause à effet
La méthode statistique utilisée, la randomisation Mendélienne, minimise l’effet de biais sur les résultats. C’est une forte indication que le lien entre activité physique et baisse du risque de développer un cancer du sein est bel et bien causal. « Maintenant que nous avons une triangulation de preuves venant d’études observationnelles, de revues systématiques des mécanismes, et d’études de randomisation Mendélienne, nous pouvons conclure que l’inactivité physique est une cause du cancer du sein. », explique Brigid Lynch.
Angelo Tremblay, professeur au département de kinésiologie de l’Université Laval n’ayant pas participé à l’étude, abonde dans ce sens. « On dirait que tout converge pour supporter cette observation-là », confirme-t-il. Les bénéfices sont nombreux : l’activité physique freine la prolifération des cellules cancéreuses et promeut l’action du système immunitaire contre elles. De plus, elle semble améliorer l’efficacité des traitements anti-cancéreux, en diminuer les effets secondaires, et ferait aussi baisser le risque de récidive. Des résultats similaires ont aussi été publiés pour le cancer colorectal et le cancer de la prostate.
Et si on ne bouge pas assez…
Le manque d’activité physique est donc un facteur de risque. Les chercheurs vont plus loin, et distinguent la simple inactivité physique de la sédentarité. « Inactivité physique, au sens du dictionnaire, c’est une condition d’absence de mouvement », explique Angelo Tremblay, alors que « le comportement sédentaire se distingue de l’inactivité physique par le fait que certaines des activités considérées comme faisant partie du sédentarisme sont des activités qui sont porteuses de stress, avec tous les effets biologiques que ça comporte. » Un exemple d’activité sédentaire ? Passer de longues heures à travailler assis devant un écran d’ordinateur. Ce que le professeur Tremblay résume ainsi : « faire un effort cognitif exigeant, c’est pire que de ne rien faire. »
La sédentarité est donc considérée comme un facteur de risque à part entière. Son influence directe sur le d��veloppement de cancers du sein est pour le moment moins claire, mais l’équipe de Brigid Lynch montre que les SNPs liés à la sédentarité seraient associés à un plus grand risque d’en développer certains types, notamment parmi ceux ayant un moins bon pronostic. « Ce résultat mérite plus d’investigations utilisant différentes méthodes pour déterminer si c’est vraiment le cas », conclut Brigid Lynch.
L’activité physique agit de plusieurs façons pour bloquer le développement de cancers du sein.
Encadré :
Notre ADN comprend quatre nucléotides formés à partir d’adénine, guanine, cytosine ou de thymine. Si on compare une molécule d’ADN à une chaîne, les nucléotides en constituent les maillons. De nombreuses variations affectant un seul maillon de cette chaîne existent entre les individus. Ce sont les SNPs. Certains SNPs sont utilisés comme marqueurs pour prédire la susceptibilité d’un individu à une maladie ou sa réponse à différents facteurs environnementaux. Dans l’étude dirigée par Brigid Lynch, ils servent à prédire le niveau d’activité physique ou de sédentarité des sujets.
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Rencontre avec Olivia Grandville
En 2022, Olivia Grandville prend la direction du CCN de La Rochelle rebaptisé “Mille Plateaux – CCN de La Rochelle “. La chorégraphe compte y insuffler son goût pour le polymorphisme de la danse, à l’image de son parcours. Une belle rencontre de Marguerite La Rochelaise. Formée à l’Opéra de Paris (elle y danse de 1981 à 1988), Olivia Grandville s’oriente très vite vers la danse contemporaine.…

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#artiste#belles rencontres#ccn la rochelle#chorégraphie#clin dart#culture#danse#La Rochelle#marguerite la rochelaise#mille plateaux#olivia grandville#portrait#regard#rencontre
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[BIODIVERSITE] Les fourmis exotiques envahissantes à Lyon : une Menace grandissante
See on Scoop.it - Les Colocs du jardin
Les hivers doux et les températures en hausse favorisent l'expansion des fourmis exotiques invasives à Lyon. Ces insectes, originaires de régions (...)
le passe jardins - 2024
Voici une liste des différentes espèces de fourmis exotiques invasives que l’on peut retrouver sur la métropole de Lyon :
Tapinoma magnum (Tapinoma nigerrimum)
Tapinoma dariori (Tapinoma nigerrimum)
Tapinoma ibericum (Tapinoma nigerrimum)
Lasius neglectus
Tapinoma melanocephalum
Les trois premières espèces du genre Tapinoma appartiennent au complexe taxonomique Tapinoma nigerrimum. Ces fourmis sont de couleur noire et présentent un fort polymorphisme (les individus peuvent être de tailles différentes) chez les ouvrières : elles peuvent mesurer entre 1 et 5 mm. Une odeur de type « beurre rance » a été décrite comme étant associée au groupe Tapinoma et peut contribuer à l’identification. Certains aspects de leur mode de vie permettent de les distinguer des espèces autochtones : elles vivent dans des secteurs fortement anthropisés (modifiés par l’action humaine) souvent à proximité d’espaces végétalisés ou d’arbres, avec une bonne exposition au soleil d’avril à juin et entre septembre et octobre.
Concernant Lasius neglectus, les ouvrières ont une apparence uniforme, mesurent entre 3 et 3,5 mm et arborent une couleur brun clair à foncé avec les pattes plus claires que le corps. Les reines possèdent des ailes mais ne volent pas. À l’opposé des autres espèces citées plus haut, cette espèce préférera un environnement ombragé. Assez frileuses, on les observera plutôt dans les serres ou aux abords. En cas d’invasion, elles peuvent se réfugier dans les maisons lors des fortes chaleurs entre mai et août. Elles peuvent envahir les systèmes électriques, être retrouvées dans le bois mort, sous les dalles de trottoirs, dans les murs de pierre...
Tapinoma melanocephalum est une toute petite fourmi d’environ 1,5 mm avec un abdomen clair et une tête brune. On la retrouve dans les maisons, particulièrement dans les garde-mangers. On peut également observer ces fourmis dans les serres de jardins botaniques, les serres tropicales. Elles ont été observées dans le jardin des plantes à Paris et à la cité universitaire de Villeurbanne.
Clé d’identification simplifiée des genres communs de fourmis de la ville Lyon. V2 Mars 2024 - Néo BOINON https://www.lepassejardins.fr/IMG/pdf/clef_identification__simplifiee__2024.pdf
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La sensibilité à l'ocytocine affecte les compétences sociales des chiens.

La neuroscience est un outil indispensable pour l’éducateur canin et le comportementaliste canin
La sensibilité à l'ocytocine affecte les compétences sociales des chiens
La tendance des chiens à rechercher le contact avec leurs maîtres est liée à des variations génétiques de sensibilité à l'hormone ocytocine. Une étude suédoise récente a ajouté à la connaissance de la différence entre les chiens et les loups (et entre eux aussi).
Un groupe suédois dirigé par Per Jensen a découvert que les compétences sociales des chiens sont affectées par des variations du matériel génétique proches du gène OXTR , qui code pour les récepteurs de l'ocytocine.
L'expérience a impliqué 60 golden retrievers. Chez chacun d'eux, une variante du récepteur de l'ocytocine a été déterminée (à l'aide de marqueurs - régions non traduites à côté du gène OXTR ). Avant le test comportemental (les chiens devaient essayer d'obtenir de la nourriture dans une mangeoire fermée), tous les sujets du test ont été aspergés d'ocytocine dans le nez. En conséquence, chez les chiens avec une variante du récepteur, l'ocytocine a augmenté le comportement attendu - la recherche de contact avec le propriétaire, tandis que chez d'autres - au contraire, il a diminué. Cela signifie que les récepteurs de l'ocytocine influencent la perception de cette hormone et le comportement qui lui est associé.
Les scientifiques ont également analysé l'ADN de 21 loups et y ont trouvé les mêmes variations génétiques. Cela signifie que déjà au tout début du processus de domestication, les chiens avaient différentes variantes de récepteurs à l'ocytocine et, par conséquent, une propension différente à coopérer.
Auparavant, il a été démontré expérimentalement que les chiens ont tendance à se tourner vers les humains pour obtenir de l'aide - c'est leur différence avec les loups, même ceux qui sont apprivoisés. Un groupe de chercheurs hongrois dirigé par A. Mikloshi a mis en place des expériences dans lesquelles des chiens, confrontés à une tâche insoluble, regardaient des personnes en quête de soutien. Mais les loups socialisés ne le font pas. Les scientifiques ont conclu que la capacité des chiens à communiquer avec les humains s'acquiert au cours du processus d'évolution et de développement individuel .
Ainsi, l'étude suédoise aide à comprendre quels mécanismes biochimiques et génétiques influencent les capacités sociales des chiens.
Persson, ME, Trottier, AJ, Belteky, J., Roth, LSV et Jensen, P. L'ocytocine intranasale et un polymorphisme du gène du récepteur de l'ocytocine sont associés à un comportement social dirigé par l'homme chez les chiens golden retriever. Horm. comportement. 95, 85–93 (2017).
Une raison simple pour une grande différence : les loups ne regardent pas les humains, contrairement aux chiens. Courant. Biol. 13, 763–766 (2003).
https://www.educateur-comportementaliste-canin-83.com
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Yoann Pellen, doctorant à l'Université d'Haïfa en Bioinformatique et Génomique Evolutive

Retrouvez l’intervention de Yoann ici !
Salut tout le monde, je suis Yoann Pellen ! Je suis en première année de doctorat au Privman Lab, à l’Université d'Haïfa en Israël.
Je viens du Sud-Ouest de la France, et je suis intéressé par la science depuis tout petit (génération c'est pas sorcier je suppose !). Cet intérêt général sans forcément viser une carrière dans le domaine fait que j'ai étudié plusieurs sujets assez différents pendant mon parcours. J'ai commencé ma licence en biologie cellulaire et physiologie à Albi et l'ai terminée à Toulouse. Je me suis ensuite tourné vers les neurosciences pour ma première année de master à Toulouse ou j'ai notamment travaillé et expérimenté sur la relation entre stress et mémoire, notamment en essayant de réduire un syndrome de stress post traumatique chez des souris. Mais cette année-là j'ai découvert (ou plutôt redécouvert) par une option la génétique et l'évolution d'une façon qui m'a fait changer de plans. Pour ma deuxième année je me suis donc réorienté vers l'anthropobiologie, toujours à Toulouse, ou j'ai principalement étudié la génétique des populations, avec un mémoire sur l'origine du lémurien de Mayotte. A l'issue de mon master, j'ai cherché un travail et ai fini par faire une formation en informatique, domaine dans lequel j'ai travaillé pendant un peu plus d'un an. Mais la biologie et la recherche m'ont vite manqué, donc j'ai cherché une thèse, en profitant de ma nouvelle expérience de développeur.
Depuis décembre, j'ai rejoint l'équipe d'Eyal Privman a l'université d'Haïfa qui travaille sur la génétique des fourmis et principalement leur polymorphisme social. Mon sujet principal est l'évolution des récepteurs olfactifs utilise pour différencier de leurs congénères d'une autre colonie.
On rentrera dans les détails de tout ça pendant la semaine, en espérant que ça vous plaira puisque que j'aimerai faire de la communication/vulgarisation scientifique une fois ma thèse finie (première expérience, je croise les doigts) !
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